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DOSSIER VIH = SIDA : LE MENSONGE CONTINUE... 1

par panthère58, mardi 20 novembre 2018, 13:08 (il y a 1956 jours) @ panthère58

:-) Voici les liens vers les anciens dossiers, vers le nouveau dossier "SMALLVILLE", vers le dossier "2023" et vers le dossier X-FILES:

1. Dossier Anton Parks : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=128348
2. Dossier Secrets de la Bible : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=123255
3. Dossier VidéOrandias : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=129655
4. Dossier Smallville (à jour) : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=150923
5. Dossier VidéOrandias VERS 2023 (à jour) : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=151671
5. Dossier VidéOrandias X-FILES : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=153323

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:-) DOSSIER VIH = SIDA : LE MENSONGE CONTINUE...

LIEN ORIGINAL : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=130365

Le plus bel exemple de collusion et de corruption qui implique des milliards de dollars depuis les années 80.

Le plus bel exemple de médecins qui ne font que suivre les directives/les ordres/les consignes de l'OMS, de la Santé Publique, de la FDA américaine, du Collège des Médecins du Québec, sans rien remettre en question, aveuglément. La prescription de l'AZT faisait partie d'un véritable génocide ! Avez-vous entendu un ou des médecins faire leur mea culpa ? Avez-vous entendu le Collège des Médecins faire le point sur cette délicate question ? Avez-vous entendu la Santé Publique ? On tue des gens sur prescription, et on se réfugie dans le déni, l'hypocrisie...

Comme dans l'armée, comme dans les corps policiers, comme les politiciens... Et probablement souvent de bonne foi, comme ça semble être le cas pour le Dr Réjean Thomas, devenu le symbole au Québec de la lutte contre le SIDA.

Même les revues gaies sont devenues des courroies de transmission de ce mensonge, les compagnies pharmaceutiques achetant de la pub $ à profusion dans ces revues homosexuelles, revenus devenus essentiels pour la survie de bien de ces revues ! Conflit d'intérêt vite éjecté sous le couvert encore d'une morale. Là aussi, le mensonge est devenu un dogme que l'on ne peut remettre en question sans en essuyer les coups bien nourris.

Ce qui plane sur l'équation VIH = SIDA, plane aussi sur toute la question du cancer.

Mon opinion personnelle sur la question : L'AZT prescrit a tué des milliers, voire des millions de personnes, rapidement, en faisant porter le chapeau au virus VIH. La trithérapie fait le même travail mais lentement... ! Ça donne l'illusion que ce traitement fonctionne bien. Et aujourd'hui, on veut l'imposer à titre préventif... !?

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:-) DOSSIER VIH / SIDA : Première partie


Lien vidéo Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=4z2DtNW79sQ

Entre [ ] signifie que j’ai soit corrigé une faute de français ou que j’ai complété la phrase parce que l'article a été coupé et il manque quelques mots.

Entre […] signifie que je saute un ou des paragraphes ou des phrases de l'extrait.

Des coquilles peuvent être présentes malgré mes révisions.

1. Dr Jean-Marc Brunet n.d.
Journal de Montréal, Chronique quotidienne
Mercredi 11 Janvier 1995

VIVEZ EN SANTÉ / VIVEZ HEUREUX !

Virus du sida

Un lecteur me demande sur quoi se basent les gens qui soutiennent que le virus du VIH n’est pas la cause du sida, alors que cette réalité est reconnue universellement.

Le virus VIH (virus de l’immunodéficience humaine) a été découvert par le professeur Luc Montagnier, de France, à partir d’un tissu ganglionnaire prélevé chez un individu qui présentait les symptômes du sida. On a conclu que ce virus était responsable du sida puisqu’il s’agissait d’un nouveau virus.

Mais le fait qu’un virus soit présent dans les tissus d’un individu qui présente un trouble quelconque de santé ne prouve pas que ce virus soit la cause de ce trouble. En fait, jamais personne n’a pu démontrer que le VIH causait les symptômes reliés au sida. Il s’agit d’une affirmation totalement gratuite. Même si cette affirmation est véhiculée universellement, elle n’en demeure pas moins gratuite pour autant.

On prétend que le VIH attaque les lymphocytes T 4 et les détruit. Comme le soulignait le Dr Peter Duesberg, de l’Université de la Californie à Berkeley, le VIH n’infecte qu’un nombre très limité de cellules. On parle d’une cellule sur 10 000 ou d’une cellule sur 100 000. Cette faible contamination par le virus rend d’ailleurs le VIH difficile à déceler. Pour le Dr Duesberg, le VIH est un rétrovirus qui semble passablement inoffensif.

Si le taux des lymphocytes T 4 infectés par le VIH est faible, ces derniers ne peuvent pas être détruits par ce virus parce [que] chaque mois, la moitié de ces lymphocytes est renouvelée. Le taux de renouvellement dépasse largement le [nombre de lymphocytes infectés.]

Il faut donc que le sida soit causé par d’autres facteurs. Le sida pourrait tout simplement résulter d’un effondrement du système immunitaire, engendré par de mauvaises habitudes de vie. D’ailleurs, cette hypothèse est vraisemblable puisqu’on rencontre des cas de sida chez des personnes chez qui le VIH n’est pas présent. C’est à Amsterdam, en 1992, que ce phénomène a été observé. Si des gens présentent les symptômes du sida sans être porteurs du VIH, c’est qu’une autre cause justifie cette affection.

Chez les gens porteurs du VIH, on estime qu’au bout d’une période de sept ans, 33% demeureront sans symptômes. Un deuxième tiers aura des symptômes variés, sans toutefois qu’on puisse parler du sida. Si donc 66% des porteurs du virus s’en sortent, on ne peut pas affirmer que ce virus cause le sida. Il faut nécessairement que d’autres facteurs soient impliqués dans l’effondrement du système immunitaire. Ces autres facteurs pourraient tout simplement être de mauvaises habitudes de vie.

Au lieu de s’affoler devant les dangers du sida et d’adopter une attitude défaitiste, il vaudrait beaucoup mieux prendre les bons moyens pour tonifier le système immunitaire. Au lieu de condamner les gens à mort, à plus ou moins long terme, lorsqu’on découvre qu’ils sont porteurs du VIH, il vaudrait beaucoup mieux modifier leurs mauvaises habitudes de vie, combler leurs carences nutritionnelles et favoriser leur désintoxication.

Évidemment, l’approche des bonnes habitudes de vie pour tonifier le système immunitaire n’est pas populaire dans la recherche impliquée dans la lutte contre le sida. Pour cette industrie, il semble préférable de retenir l’hypothèse que le VIH cause le sida et s’impliquer dans le développement de tests, de médicaments et de vaccins. À l’heure actuelle, on consacre des milliards de dollars à travers le monde dans la recherche sur le sida. Tout laisse croire qu’il serait beaucoup plus rentable de s’impliquer plutôt dans l’éducation de la santé et la prévention de la maladie.

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:-) :-) :-) DOSSIER VIH / SIDA : Deuxième partie

Jean Pierre Olivier
Journal Vert
1995-2003 ? Revue hebdomadaire, dont la date n'apparaît pas sur les pages


Lien vidéo Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=BXk2TTitjxc

Un film indépendant de Jean-Marc Vallée

[image]
SIDA : la vérité qui fait peur
Les médicaments et les drogues sont peut-être les vrais responsables

Soyons clair : personne ne meurt du sida. Tout simplement parce que le sida n’est pas une maladie en tant que telle, mais bien, comme son nom l’indique, un syndrome (ensemble de symptômes) d’une immunodéficience dite « acquise ». Et si on meurt de quelque chose, ce n’est pas du sida mais de maladies qui surviennent lorsque notre système immunitaire est délabré. Des maladies parfois communes, parfois aussi assez rares il est vrai, mais qui ont toujours existé et sont répertoriées depuis longtemps : pneumonie pneumocystis carinii, sarcome de Karposi (une forme de cancer), cytomégalovirus ainsi qu’une vingtaine d’autres moins connues. Depuis la conférence de presse fortement médiatisée du 23 avril 1994 où le Dr Robert Gallo, un éminent virologue américain, a annoncé qu’il avait trouvé la «cause» du sida, il est généralement admis dans la communauté scientifique que le sida est causé par le VIH (virus de l’immunodéficience humaine). À l’époque, cette retentissante déclaration avait été entérinée par la secrétaire du Département de la Santé des États-Unis, si bien que pendant de longues années, on n’a plus jamais remis en question l’équation VIH = SIDA.

L’un des premiers à le faire fut le Dr Peter Duesberg, professeur de biochimie et de biologie moléculaire à l’Université de Californie à Berkeley. Pionnier dans la recherche des gènes du cancer, ses travaux lui ont valu d’entrer à la prestigieuse Académie Nationale des Sciences, en 1986, pour avoir dressé le plan de la structure génétique des rétrovirus. Or un jour, au grand scandale des milieux scientifiques officiels, le docteur Duesberg a osé soutenir que le VIH n’a rien à voir avec le sida. Ce sont, a-t-il soutenu, les drogues illégales et des médicaments hautement toxiques, incluant l’AZT et les nombreux antiviraux que l’on donne comme traitement aux personnes infectées qui sont responsables de l’effondrement de l’immunité et par conséquent, du sida. Aujourd’hui, le Dr Duesberg, est dans le collimateur de ce lobby colossal et à l’échelle du monde, qui maintient que le VIH est le premier et le seul responsable des maladies du sida. Par la suite et comme par hasard, le gouvernement américain a coupé la plupart des subventions dont bénéficiait ce chercheur scientifique et des pressions sont faites pour que les étudiants universitaires évitent ses cours sous peine d’être pénalisés par le jury lors des examens…

Ce que soutient le Dr Duesberg, ainsi que d’autres dissidents de la théorie officielle, c’est que le VIH n’obéit pas aux exigences des postulats de Koch *, lesquels sont reconnus pour définir les rapports spécifiques entre un microbe et la maladie dont il est réputé responsable. Alors que la théorie officielle dit que la multiplication du virus cause l’affaissement du système immunitaire et ouvre la porte à toutes sortes d’infections dites « opportunistes », le Dr Duesberg et beaucoup d’autres scientifiques depuis, affirment au contraire que le virus en tant que tel est inoffensif et ne se multiplie que parce que le système immunitaire du malade est déprimé. Mais comment expliquer d’autre part que tant de personnes séropositives depuis fort longtemps ne semblent pas s’en porter plus mal ? Lors du 12e Congrès international de pharmacologie qui se tenait à Montréal il y a quelques années, le Dr Jay A. Levy déclarait : « La moitié des gens infectés par le sida n’ont pas encore développé la maladie après dix ans ». Il serait malaisé de vider la question car si l’on possède de nombreuses statistiques sur les personnes atteintes de maladies, on n’en a guère sur les bien-portants (qui ne consultent pas, comme de raison).

La seule question est : le VIH cause-t-il le SIDA ou pas ? Et si tel est le cas, d’où vient-il ? Est-il transmissible, sexuellement ou autrement ? Comment l’homme a-t-il pu un jour être infecté par ce virus ? Des théories courent à l’effet que des chimpanzés seraient à l’origine de la contamination. On sait depuis longtemps que certaines races de singes sont porteuses d’un virus appelé VIS (virus de l’immunodéficience simiesque) mais ce virus ne les rend pas malades en aucune façon. Or, on a pu démontrer [que] cette souche de virus était très proche du VIH et il n’en fallait pas plus pour [que] des scientifiques affirment que le virus a été transmis à l’homme par ces primates. Par ailleurs, le magazine Rolling Stones a déjà accusé le Wistar Institute de Philadelphie, considéré comme un leader mondial pour ce qui touche, en biologie, aux virus et à la recherche sur le cancer, d’avoir répandu le virus du sida en Afrique par le biais de vaccins contre la polio, au début des années soixante.

Ça ressemble drôlement à la théorie conspirationniste dans la dixième saison des X-Files !

UN VIRUS DE CULTURE

Une autre théorie, plus troublante celle-là, nous vient du Dr Robert Strecker, spécialiste en médecine interne. Pour lui et son équipe de chercheurs, il y a deux possibilités : la première est que le virus a muté dans des bovins ou des moutons et a été adapté artificiellement à l’homme grâce à un développement dans des cultures de tissus humains ; un certain virus bovin fonctionne en effet comme un destructeur sélectif de cellules-T (exactement comme le fait le VIH). L’autre éventualité est que le virus a été carrément fabriqué en laboratoire par manipulation génétique. Il faut se rappeler que ces techniques étaient déjà à la disposition des scientifiques des années soixante et que les laboratoires du monde entier qui travaillent sur la guerre bactériologique ont toujours eu une dizaine d’années d’avance sur les autres spécialités. Selon le Dr Strecker, le VIH ressemble beaucoup au BLV, le virus de la leucémie bovine. Quand on reprend les travaux vétérinaires de l’époque, dit-il, on s’aperçoit que tout le domaine de l’immunodéficience faisait l’objet d’études dans des laboratoires qui s’occupaient, entre autre, de recherches sur les armes de guerre biologique pour différents départements du gouvernement américain…

Le même Dr Strecker évoque la possibilité d’un traitement contre le sida pour le moins non conventionnel : « En théorie, dit-il, c’est très simple, mais dans la pratique, c’est plus compliqué. Comme les virus ressemblent à de petits cristaux, on devrait pouvoir les fracasser avec des fréquences électromagnétiques et les détruire. Tout comme on peut faire tomber du cristal et le détruire sans que la maison s’écroule, on devrait pouvoir en théorie ébranler les virus sans détruire la structure cellulaire environnante. »

Richard Glenn avait évoqué cette possibilité dans une de ses émissions sur le câble dans les années 90.

Quant à lui, le Dr Horowitz soutient que les membres du FBI et de la CIA qui dirigeaient un programme de contre-espionnage anticommuniste, appelé COINTELPRO, sont responsables de la transmission du sida à des populations américaines bien précises de même que dans certains pays du Tiers-Monde…


Lien vidéo Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=O9QMVUwE5jE

On se souvient de l’époque du célèbre sénateur McCarthy qui, dans les années quarante et cinquante, pourfendait tout ce qui pouvait recéler le moindre brin de communisme. Vingt ans plus tard (c’est l’époque de Nixon), cette chasse aux sorcières sévissait toujours mais en secret et s’en prenait aussi bien à certaines minorités comme les homosexuels et les Noirs qu’à toute personne soupçonnée de sympathies communistes. Exagération ? On n’a qu’à se rappeler le cas de cet Américain qui a récemment demandé au Canada le statut de réfugié, persécuté qu’il est dans son pays parce qu’il est un communiste avoué.

Mais revenons à la thèse voulant que le VIH ne soit pas la cause du sida. Plusieurs études soulignent que 40% des maladies du sida n’auraient aucun lien avec la chute de l’immunité. « Première zone d’ombre, dit Renaud Russeil dans son ouvrage Enquête sur le sida, un virus s’attaquant à l’immunité devrait entraîner des maladies liées à l’état du système immunitaire. (…) La maladie est d’origine virale et contagieuse, mais l’épidémie reste généralement confinée autour des comportements à risques. » D’après un virologue allemand, le docteur Stefan Lanka, on n’a jamais publié la moindre photo d’une particule isolée du VIH, ni de ses protéines ou de ses acides nucléiques (ARN). Aucune expérience contrôlée selon le protocole d’usage * n’a été publiée à ce jour. Ce qu’on nous a montré, selon lui, ce sont des photos de particules semblables à des virus en culture, mais jamais le virus isolé. La différence en virologie est celle du jour et de la nuit ! « L’existence du VIH, souligne-t-il, est déduite d’un test sur des anticorps, mais la façon dont tout ceci opère reste un mystère, tant qu’on n’aura pas prouvé que le virus existe réellement et qu’il n’aura pas été isolé sans contaminants. »

On a aussi soutenu que le virus du sida a délibérément été créé par le gouvernement des États-Unis pour servir d’instrument de dépopulation.

Tiens, ça nous ramène aux Guidestones / Pierres Guides de Géorogie.

À l’appui de cette thèse, le NSM 200 (National Security Memorandum), un document top secret du début des années soixante-dix, rédigé par le secrétaire d’État de l’époque, Henry Kissinger et dans lequel il indiquait que « la dépopulation devrait être la plus haute priorité du gouvernement américain concernant la politique étrangère sur le Tiers-Monde. » Et ailleurs dans le texte : « La réduction du taux de population dans ces États est une question vitale pour la sécurité nationale des États-Unis. » Le document contient même une carte géographique de ces régions où la dépopulation est souhaitable : ce sont tous des pays du Tiers-Monde… On peut avoir accès à ce dossier aux archives nationales des États-Unis. Voilà un exemple flagrant des agissements d’un véritable « gouvernement secret en action » car rien de tout cela n’était connu du Congrès et encore moins de la population américaine.

On peut trouver à la bibliothèque du Sénat américain un autre document encore plus troublant appelé Army Appropriations Hearing. Il s’agit d’un rapport datant de juillet 1969, concernant des demandes de budget pour l’armée américaine qui réclamait (et a obtenu) 10 millions de dollars pour développer « un agent biologique synthétique qui pourrait affaiblir ou détruire le système immunitaire humain ». Et à la même époque, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) publiait plusieurs articles favorisant des recherches visant à développer « un virus hybride qui pourrait affecter sélectivement le système immunitaire humain ». Ces textes, Kissinger Memorandum, Army Appropriations Hearing et les articles émanant de l’OMS, sont des documents officiels et vérifiables dont on ne peut contester l’authenticité. Toutes ces informations ont été mises en lumière dans une émission de télévision provenant de Network 23 et diffusée sur un canal du câble de la région de Los Angeles. On y fait notamment état d’une incroyable coïncidence, à savoir qu’en 1972, une importante délégation de l’OMS s’est rendue en Afrique Centrale – dans une région connue aujourd’hui comme la ceinture du sida – afin d’administrer à des milliers d’Africains un vaccin contre la variole. Un événement qui a aussitôt été suivi par les premières manifestations du sida (qui ne portait pas encore ce nom) sur la planète. Cette remarquable coïncidence avait fait la une du London Times mais curieusement, n’a jamais eu droit à la moindre mention, nulle part dans la presse américaine. Par la suite, on a institué des campagnes de vaccination gratuite contre l’hépatite dans les communautés homosexuelles de New York et de San Francisco et, coïncidence ? ces populations ont dans les quelques années qui ont suivi été qualifiées de groupes à risque et les statistiques officielles ont fait [état] d’un nombre alarmant de cas de sida dans ces communautés.

Quoi qu’il en soit la question demeure : le sida est-il causé par le VIH, comme le soutiennent une majorité de scientifiques ? Ou l’effondrement du système immunitaire n’a-t-il rien à voir avec ce virus ? Et d’où vient ce virus ? Des animaux ? Ou bien a-t-il été délibérément fabriqué par l’homme ? Bien malin qui pourrait répondre à ces questions. Peut-être bien qu’aucune des hypothèses n’est la bonne. Que Gaïa, cette bonne vieille terre, a tout simplement décidé de faire le ménage sur cette planète surpeuplée que de toute manière, les hommes ne cessent de maltraiter. Que périodiquement, à différentes époques, surgissent des fléaux qui ont pour objectif de nettoyer la planète et que le sida n’est autre chose qu’une autre de ces vastes opérations de nettoyage organisé par l’écosystème de l’Univers…

À lire : La Guerre des virus. Leonard Horowitz. Éditions Félix.
Enquête sur le sida. Renaud Russeil. Éditions Vivez Soleil.
HIV - reality or artefact. Stefan Lanka. Continuum, avril-mai 1995. Vol. 3 Issue I.

* VACCIN IMPOSSIBLE (Postulat de Koch)

Des doutes sont émis sur la relation de cause à effet entre le VIH et le sida parce que ce virus ne répond pas au postulat de Koch, condition scientifique indispensable pour lui en attribuer la cause et développer un vaccin.

1) Le microbe doit être présent dans chaque cas de la maladie, en quantité suffisante pour entraîner des effets pathologiques (ce qui n’est pas le cas : des milliers de personnes qui sont mortes d’un effondrement de leur système immunitaire et d’infections opportunistes sans qu’on ait constaté, lors d’examens ou même d’autopsies, la présence du virus VIH).

2) L’agent ne se trouve pas dans d’autres maladies (le VIH est présent dans le cas de plusieurs types d’infections).

3) Après isolation et propagation du microbe en culture, l’agent peut entraîner de nouveau la même maladie (le virus mute continuellement et sa présence peut ne jamais entraîner la maladie comme chez ces prostituées africaines infectées qui ne sont pas malades).

4) À partir de l’hôte expérimentalement infecté, il faut pouvoir isoler de nouveau le microbe spécifique (très souvent, on ne déduira sa présence que si les tests détectent des anti-corps. C’est comme dire que si une ville est « infestée » de policiers, elle est probablement « infectée » par des bandits).

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:-) DOSSIER VIH / SIDA : Troisième partie

Vous remarquerez, étrangement, que le Collège des Médecins, la FDA américaine, la Santé Publique et autres intervenants officiels, sont complètement fermés aux dissidents de la théorie officielle : VIH = SIDA ! Et ce malgré des preuves irréfutables. Ça met à mal notre démocratie et le journalisme que défend bec et ongle notre ami forumien "aiki".

Quand le même phénomène s'observe pour d'autres situations comme pour le fluor dans l'eau, comme pour le 11/9, comme pour le cancer, comme pour la guerre à l'État islamique, comme pour la dette, et j'en passe, c'est qu'il y a dans l'ombre un autre pouvoir qui gouverne et qui a une mainmise.

3. Claudia Rainville
Métamédecine : La guérison à votre portée
Les Éditions FRJ
1995

[image]

Extrait 1 (pp.74 - 79) : Arrêtons-nous quelques instants, et demandons-nous quel peut être l’effet sur le psychisme d’une personne qui apprend qu’elle est séropositive. Question bien secondaire pour le virologue occupé à traquer les subtilités biochimiques des virus dans ses éprouvettes !

Question intéressante pour les psychologues et les thérapeutes qui cherchent à conserver le moral de la personne anéantie par cette nouvelle.

Mais, pour la personne elle-même, c’est une réalité avec laquelle elle doit vivre. Un tel décidera de se battre contre la maladie et aura recours à l’AZT, la diététique, la médecine holistique ou la prière, selon ses conceptions. Un autre le prendra sereinement jusqu’à ce qu’un spécialiste consulté à l’occasion d’une infection lui annonce qu’il a maintenant atteint le stade du sida. Il sera choqué et n’y croira pas. Un autre demandera à son partenaire de le quitter pour tenter de refaire sa vie et s’enfoncera lui-même dans un isolement de plus en plus désespéré. Beaucoup connaîtront la panique, cherchant à se faire rassurer à la moindre « manifestation » jugée suspecte, ce qui multipliera les examens, les traitements et le maintiendra dans un état d’anxiété. Enfin, d’autres vendront tout ce qu’ils possèdent et vivront comme s’il ne leur restait plus qu’un an ou deux à vivre, se préparant déjà psychologiquement à mourir.

Chacun réagit avec les ressources propres à sa personnalité, mais on peut dégager deux grandes tendances : celle de sombrer dans un processus de désespoir et d’abandon, en se repliant sur soi, en attendant la fin, et celle d’accuser le coup mais avec le sentiment d’avoir une épée de Damoclès suspendue au-dessus de la tête. Et, c’est souvent ce qui arrive. Après des mois ou des années de séropositivité assumée sans trop de difficulté, ces personnes vivent un conflit qui se répercute sur le corps, conformément aux lois de cause à effet. Si le lien avec la séropositivité est établi, l’épée, jusqu’alors suspendue, le transperce et c’est le commencement d’une fin qui peut survenir en très peu de temps.

ET SI L’ÉQUATION VIH-SIDA ÉTAIT FAUSSE ?

Et si l’état d’anxiété entretenu et les traitements préconisés, et non la présence du virus VIH, qui était responsable de la destruction du système immunitaire ? Voilà la conclusion de plusieurs spécialistes de la question, dont un éminent chercheur américain, Peter Duesberg.

Peter Duesberg est professeur de biologie moléculaire à l’université de Berkeley, et membre de l’Académie nationale des sciences. Sa renommée internationale et sa spécialité en virologie l’a amené à participer au décodage chimique du VIH. Familiarisé avec la pathologie virale et les rétrovirus en particulier, il prend sérieusement en compte les lacunes et les incohérences liées à ce qu’il considère être devenu un dogme aveugle : le sida est engendré par ce rétrovirus. Il relève encore d’autres arguments :

- Le VIH atteint moins de lymphocytes que le taux naturel de renouvellement de ces cellules ;
- L’absence de maladie chez les chimpanzés infectés artificiellement ;
- La proportion beaucoup plus grande de séropositifs qui passeront au stade du sida en Occident par rapport à cette même proportion en Afrique ;
- Le nombre important de cas de sida diagnostiqués cliniquement se développent sans la présence du virus VIH, ni même d’anticorps. Ce phénomène est en contradiction avec la doctrine de l’étiologie spécifique qui enseigne que pour pouvoir établir un lien de causalité entre un germe et une maladie infectieuse, il est indispensable que 100 % des individus atteints de cette maladie soient contaminés par le germe responsable.
[Postulat de Koch]

Peter Duesberg en arrive à la conclusion que l’équation VIH = SIDA est fausse, que le virus est probablement très ancien, nouvellement décrit mais inoffensif en soi. De tradition orthodoxe, il continue à croire à une atteinte immunitaire, mais il la relie à d’autres facteurs, notamment à la montée des drogues utilisées par les homosexuels, aux diverses formes de toxicomanie et à la malnutrition.

Plus graves encore sont ces affirmations : le principal médicament anti-sida qu’est l’AZT provoquerait des dégâts majeurs dans l’organisme, notamment sur le système immunitaire, puisqu’il s’agit d’un produit chimiothérapique cytostatique (famille de substances qui inhibent la division cellulaire) qui participerait directement à la propagation du sida. Et, c’est ce produit qu’on offre à ceux et celles qui sont séropositifs.

[Depuis 1995, on a substitué la trithérapie à l’AZT : au lieu de tuer rapidement les personnes séropositives, on les tue lentement donnant ainsi l’illusion de son efficacité. J’avais lu de la documentation scientifique à cet effet. Je vais faire la recherche ultérieurement pour compléter le dossier. Probablement dans des documentaires vidéos.]

Les répercussions sont lourdes de conséquences puisque cela signifie que le sida n’est pas une maladie infectieuse et n’a rien à voir avec la sexualité. Quant au traitement préconisé, il s’apparente davantage à un génocide thérapeutique. […]

« Le sida ne mène pas inévitablement à la mort, surtout si l’on veille à supprimer les cofacteurs qui aggravent la maladie, il est très important de dire cela aux gens qui sont affectés. Les facteurs psychologiques sont critiques pour maintenir la fonction immunitaire. Si l’on supprime le soutien psychologique à quelqu’un en lui annonçant qu’il est condamné à mort, ces mots seuls peuvent représenter pour lui une condamnation. »
- Prof. Luc Montagnier (découvreur officiel du virus VIH)


Lien vidéo Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=bAPZnPuPuwc

ET SI LE VACCIN N’ÉTAIT EN DÉFINITIVE QU’UN VESTIGE D’UN VACCIN REÇU ?

Le VIH fut officiellement « découvert » en 1983 à l’Institut Pasteur à Paris par le professeur Luc Montagnier. Certaines personnes se sont penchées sur cette question et ont fait d’étonnantes découvertes qui les ont amenés à conclure que le VIH était une pure création de laboratoire et non la découverte d’un virus déjà existant.

Robert Strecker, médecin gastro-entérologue et docteur en pharmacologie, a conclu « Le sida a été délibérément provoqué, soit volontairement soit involontairement, par des essais de vaccination contre l’hépatite B sur les homosexuels. » Il est également convaincu que le continent africain a été contaminé de la même façon, au moment des campagnes de vaccinations contre la variole, pour étudier, à la demande de l’OMS, les effets de certaines bactéries et de certains virus. Il explique que le VIH ne peut venir de la nature, tant il est différent des autres virus connus. Il serait le résultat d’un clonage de virus d’animaux.

Eva Lee Snead, pédiatre, auteure de plusieurs communications scientifiques et des volumes intitulés Some Call it Aids… I Call it Murder et The Connection between Cancer, Aids, Immunizations, and Genocide. Elle a entrepris, depuis plusieurs années, une série de recherches médicales sur l’augmentation des taux de cancer et de leucémie chez les enfants. Elle établit la ressemblance des syndromes cliniques du VIH et ceux du SV 40 des singes verts d’Afrique. On a retrouvé du SV 40 chez certains individus. La seule façon pour un humain d’avoir le SV 40 du singe c’est soit en ingérant sa chair, soit en se le faisant inoculer en même temps qu’un vaccin. On a également trouvé ce même SV 40 dans le vaccin Sabin contre la polio (« la soupe du singe » SABIN) avec lequel on a vacciné des millions d’enfants pendant des années. Or, on a constaté que le SV 40 cause des anomalies congénitales, des leucémies, des cancers, une grave immunosuppression, des symptômes semblables à ceux du sida. La pédiatre démontre la responsabilité des vaccins dans l’apparition du sida et dans l’accroissement des leucémies et des cancers.

« Essex et un autre chercheur, Abroy, se demandent si la contamination n’aurait pas pu se faire par voie médicale, c’est-à-dire par des produits réalisés à l’aide de sang de macaques, tels que le vaccin polio (Sabin) oral et d’autres compsantes de médicaments. »4

Rappelons toutefois, comme le disait Claude Bernard (biologiste), que « le microbe n’est rien, le milieu est tout ».

Qui n’a pas reçu le vaccin Sabin contre la polio ?

Je suis persuadée que, si l’on faisait passer des tests de dépistage du VIH dans une population saine non soupçonnée d’être séropositive, on retrouverait une quantité surprenante de personnes séropositives. Séropositif ne veut rien dire de plus qu’avoir été en contact avec le rétrovirus VIH.

Et si ce [constat], contrairement à ce qu’on a voulu nous laisser croire, n’était qu’un vestige d’une vaccination reçue ? Quel soulagement pour la personne qui ne vit plus depuis qu’on lui a annoncé qu’elle était séropositive ! Et pourtant, c’est la conclusion à laquelle en arrivent d’éminents professionnels, chercheurs et médecins que l’on veut faire taire.

Le professeur Peter Duesberg fut mis au ban de ses pairs, il fut écarté des débats et des médias, on lui a retiré ses subventions pour ses recherches sur le cancer.

Le docteur Ryde Geerd Hamer, Allemand dont la démarche diffère fondamentalement de l’étude scientifique habituelle, dans la mesure où il prend en considération le psychisme de l’individu et le fonctionnement de son cerveau sans se limiter aux seuls aspects organiques et symptomatiques de la maladie, a été radié à vie en 1986 de l’Ordre des médecins. Il lui est donc interdit de pratiquer. En plus, il a été menacé à plusieurs reprises d’internement psychiatrique et ignoré des médias.

On peut se demander pourquoi on veut tant faire taire ceux qui ne cherchent qu’à réveiller leurs frères et leurs sœurs de la terre pour qu’ils recouvrent la santé. Serait-ce que la maladie est une entreprise très lucrative ?

On peut être séropositif et dormir bien tranquillement sur ses deux oreilles. Sans déficience immunitaire, pas de sida. Le sida est une maladie d’autodestruction reliée le plus souvent à une culpabilité de vivre. Il sera approfondi au chapitre « Le mal de vivre, comment s’en libérer ».

Extrait 2 (p.166) :

Le sida et la séropositivité sont deux affections bien différentes à ne pas confondre, même si certains séropositifs sont devenus sidatiques par la peur, l’angoisse ou les traitements d’AZT qui ont eu raison de leur système immunitaire.

Le sida est une forme d’autodestruction reliée à un mal de vivre ou à la culpabilité de vivre. C’est en intervenant au niveau de ce mal de vivre qu’on peut espérer une véritable guérison.

(4) « Sida, la voie du singe », Sciences & Vie, no 821, février 1986

Elle donne un exemple de cette culpabilité de vivre chez un homosexuel.


Lien vidéo Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=63UGa7NiEjA

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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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