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La Vérité n'est pas toujours bonne à dire

par Samädhi @, lundi 17 décembre 2012, 21:56 (il y a 4494 jours) @ Samädhi

Le destin de l’Amérique vue au travers deux Présidents américains

L’histoire qui réunit Abraham Lincoln et de John Fitzgerald Kennedy, va servir à mieux comprendre le sens réel du karma et de la dimension causale, qui est l’extrémité de notre monde phénoménale qui régit par la loi de cause à effet :

Une énigme troublante entre :

Abraham Lincoln & John Fitzgerald Kennedy

Cette énigme entre Abraham Lincoln & John Fitzgerald Kennedy ne peut pas s’expliquer à l’aide d’une analyse strictement rationnelle sans avoir recours à la métaphysique. La logique n’a pas réellement de limite, alors que dans notre système matérialiste nous lui imposons de se conformer à la limite de nos cinq sens. Or, tout ce que nous appelons « logique » en terme rationnel se retrouve être purement coincée par des paramètres sensoriels et limitatifs qui est une perception unidirectionnelle où nous vivons dans un monde purement standardisée sur de fausses prémisses.

Cette histoire fait état d'un cycle mystérieux de 100 ans entre ces deux grands hommes politiques. C’est une analogie qui semble plus profonde que nous pourrions l'imaginer en dehors des convenances qui établissent la règle qui impose subtilement une norme à notre système de pensées moderne, parce que la logique telle que nous la concevons est une aberration. Or, les deux karmas de ces deux grands hommes politiques sont une seule et même mission.

Les deux karmas de ces Présidents des États-Unis forme un cycle qui fait état d'un écart parfait de 100 ans dans tous les grands événements de leurs vies politiques. Suivons la précision du temps, car elle est d’une telle synchronicité que nous ne pouvons pas faire autrement que de constater qu’il y a en dehors de notre réalité tridimensionnelle, une analogie très troublante qui s’exprime dans l’histoire en suivant bien les dates comme étant les preuves logiques et temporelles. Et que cela nous dit implicitement qu’il faut arrêter de penser en mode rationnel pour essayer de comprendre qu’il y a des choses en ce monde qui peuvent s’expliquer logiquement de manière rationnelle, et d’autres qui ne peuvent pas l’être tout simplement :

Abraham Lincoln est choisi par la Convention républicaine comme candidat à la Présidence en 1860.
John Fitzgerald Kennedy est élu Président en 1960.

La secrétaire de Lincoln s'appelait Kennedy et elle l'avait priée de ne pas se rendre au Théâtre le soir où il fut assassiné en 1863.
La secrétaire de Kennedy s'appelait Lincoln et elle aussi l'avait priée de ne pas se rendre à Dallas, ce soir-là de 1963.

L'assassin de Lincoln "reconnu officiellement par l’histoire " se nommait John Wilkes Booth, nom de 15 lettres. Il était né en 1838.
L'assassin de Kennedy "reconnu par l’histoire officielle" s'appelait Lee Harvey Oswald, nom de 15 lettres. Il était né en 1938.

Ces deux Présidents se sont préoccupés du problème noir, c'est-à-dire, le problème racial. Abraham Lincoln a aboli l'esclavagisme aux États-Unis.
John Fitzgerald Kennedy, était un humaniste, il défendit un programme de réformes sociales et l'intégration raciale.

Puis ils ont été assassinés tous les deux sous les yeux de leurs femmes, d'une balle tirée par derrière.

Ils étaient aussi tous deux catholiques.

À Lincoln succède Johnson en 1863.
À Kennedy succède Johnson en 1963.

Chose encore curieuse est que ces deux Présidents ont voulu se libérer du système d’argent dette, et furent exécutés par un ordre, que je présume ici librement, venant des banksters (nous allons voir ce détail graduellement)...

À 100 ans d’intervalle, ces deux présidents des États-Unis ont été préoccupés à régler les mêmes problèmes.

Le plus impressionnant est qu’Abraham Lincoln et J. F. Kennedy ont été assassinés lorsqu'ils avaient créé leur propre argent libre de toutes dettes.

Est-ce le hasard ? Non, pas vraiment !

C’est ici que le système d’argent dette qui avait pris naissance en France à la suite de la révolution Française que tout devient de plus en plus évident et que l’histoire des États-Unis nous révèle la monnaie internationale pour l’instauration de l’ère moderne à venir.

Durant la guerre civile de 1861 à 1865, Abraham Lincoln avait besoin d'argent pour financer sa guerre contre le Sud, les banquiers voulaient lui charger 24 à 36% d'intérêt, il fut horrifié et comme il était un homme de principe, il ne voulait pas plonger son pays dans une histoire de financement que les américains n'auraient jamais réussi à payer cette horrible dette. Il avisa le congrès de passer une loi autorisant le gouvernement à émettre lui-même sa monnaie légale avec l’idée de pouvoir par la même occasion soutenir l'effort de guerre, il reconnut alors le grand bénéfice de cette décision commémorative, se marquant bien sûr dans l'histoire officieuse des États-Unis. Les américains avaient désormais leur propre monnaie et pouvaient alors payer leurs propres dettes. Ces fameux billets de banque ont étaient imprimé avec de l'ancre verte seulement à l’endos des billets, ce fut donc les « Greenbacks de Lincoln, dont il en a imprimé 449.338.902 $ », un montant d'argent sans dette et sans intérêt, qui servit à financer la guerre. Ces billets ont servi pour régler les dettes publiques et privées, il a pu faire avec cet argent libre de toute dette, la paye de ses soldats, il s'en servit aussi pour payer les employés des services civils et tout ce qui a fallu pour le matériel de guerre.

Peut de temps après arriva le London Times qui a imprimé ce qui suit : « Si cette sottise de politique financière, qui à eu naissance dans la république d'Amérique du Nord, est un système intolérable dans la manière dont il fonctionne. Lorsque le gouvernement peut fournir sa propre monnaie sans coup et sans être endetté, il peut faire tout le commerce dont il a besoin et cela peut devenir un précédent dans l'histoire pour un gouvernement civilisé. Tous les génies de tous les endroits du monde vont aller vers les États-Unis, ce gouvernement doit être détruit ou bien il va détruire toute monarchie sur le globe. »

Les banquiers ont très bien compris, d'une part, qu'un peuple heureux devient incontrôlable. Et deuxièmement que le seul moyen qu'un gouvernement puisse être souverain est simplement d'avoir le pouvoir de faire sa propre monnaie sans dette. Et troisièmement que de cette manière le nationalisme pourrait s'éterniser et faire obstacle au projet international de la mondialisation. Puis quatrièmement que c'est en même temps le seul moyen qui pourrait enrailler le pouvoir international des banquiers dont leur but ultime est d’en arriver à tout contrôler.

Après que le London Times publia son article, il était très clair que le gouvernement britannique ne faisait qu’un avec les banquiers de Londres, a apporté son support aux Confédérés du Sud, c'est-à-dire dans l'esprit de vouloir défaire Lincoln et l'Union, ils voulaient clairement détruire ce gouvernement.

Cette conspiration de banquiers européens fut arrêtée par deux choses : Premièrement, Lincoln savait que le peuple britannique et le gouvernement britannique ne supporteraient pas de savoir que l'esclavage soit aboli aux États-Unis, en sachant que cela proclamé son Émancipation. À partir de ce moment, les banquiers londoniens auraient été mal vus de supporter la Confédération vu qu'il n’y avait plus d'esclavage.

En second lieu, le Tsar de Russie envoya sa force navale vers les États-Unis pour se mettre au commandement d'Abraham Lincoln. La flotte russe est devenue dès lors un allier des États-Unis et à la fois, un problème pour la flotte britannique, qui faisait un blocus contre le Nord pour empêcher le ravitaillement des troupes Nordiques. C'est le Nord qui gagna et l'union fut préservée et l'Amérique est devenue une nation uniquement dans les apparences, car les États-Unis ont été enregistrés sous le nom d’une compagnie britannique appartenant au Commonwealth et que rien n’a réellement changé puisque la constitution Américaine fut annulée par Londres juste après l’assassina d’Abraham Lincoln. Suite à ceci, les Illuminati sont intervenus en créant la discorde entre les États-Unis et la Russie, en introduisant l’idée du communisme en Russie, ceci pour produire une rupture au niveau de leur amitié commune qui commencée à grandir entre ces deux grandes nations, ceci dans le but d’éviter que l'Angleterre soit attaquée par surprise par ces deux grandes puissances mondiales. Diviser pour mieux régner, voilà la devise de Machiavel du contrôle par la ruse !

Les banquiers n'acceptaient pas cette situation et ils étaient fermement décidés de mettre une fin à Abraham Lincoln et à son principe de monnaie sans dette et sans intérêt. Il fut ainsi assassiné par l'ordre des banquiers. Bien sûr l’histoire officielle ne vous dira jamais les choses de cette manière, mais la logique s’impose ici pour en déduire que c’est les banquiers qui en ont donné l’ordre. Cette version officieuse ne pourrait jamais être dans les livres de l’histoire officielle, sinon l’histoire américaine deviendrait antisémite en avouant que les banquiers était les meurtriers de Lincoln, mais nous pouvons facilement comprendre avec un peu de recul et de pragmatisme, et aussi avec un peu de logique, que ce sont les banquiers qui sont les vrais auteurs de ce meurtre. Vous en aurez donc la preuve immédiatement, car après l'assassinat de Lincoln, le congrès à révoqué l'amendement de Lincoln, qui servit à faire sa monnaie « Greenbacks », et dès lors, les banquiers ont mis en fonction « The National Banking Act » pour remplacer la monnaie de Lincoln, ce qui autorisé une banque privée à imprimer de l'argent et à fonctionner par l'intérêt, et les banquiers eurent l'autorité de retirer tous les Greenbacks de la circulation. En 1972, le ministère de la trésorière des États-Unis a entrepris de faire traiter par ordinateur, des calculs qui marquent l'impact positif de la circulation des billets Greenbacks et le résultat conclut que du fait que Lincoln a imprimé cet argent Greenback en la mettant légalement en service, il fit économiser 4 billions de dollars de dette nationale aux citoyens des États-Unis.

La loi ne fut pas changée durant les cinquante années qui suivirent. Finalement en 1913, la Federal Reserve Act passa par une grande majorité du congrès, pour finalement remplacer la National Banking Act, ce fut la loi qui élimina les Grenbacks du marché, les banquiers étaient arrivés à leur fin ultime. Un avertissement aurait été donné au London Times, qui dit : « Que si la politique du gouvernement de Lincoln avait continué, elle serait sans dette nationale et elle aurait attiré vers elle tout les esprits brillants et le monde spécial ainsi que les riches auraient tous immigré aux États-Unis. » Ce n’était certes pas la vraie raison, car ce discours voulait évidemment cachée qu’il s’agissait là d’un plan savamment orchestré par les banques privées qui étaient les amis de la cour d’Angleterre. Ce qui explique bien que les banquiers d'Angleterre « de la Banque de Rothschild est autres », ont eu peur de perdre leur pouvoir, et c'est aussi ce qui explique pourquoi l'Angleterre n'a pas voulu entrer dans l'accord européen de Maastricht. Simplement par peur de devoir se conformer aux exigences de ses propres colonies du Commonwealth, et ainsi perdre sa suprématie oligarchique, et son pouvoir financier.

En ce qui concerne Meyer Anselm Rothschild, il dit ouvertement : « Permettez-moi d'avoir le moyen de produire et de contrôler l'argent d'une nation et je me fiche bien de ceux qui font les lois ... » Son idée était toute faite, il savait déjà que tout politicien a son prix !

Lorsque la Federal Reserve Act passa au congrès, le pouvoir fut légué aux banques privées et ainsi les Banquiers remettaient en service la nouvelle monnaie dette, c'est à partir de ce moment précis que le gouvernement américain se laissa envahir par le pouvoir bancaire, les banquiers prirent alors l'intérêt qu'ils désiraient.

Le 3 février 1913, William H. Taft, le 27ème président américain, 29 jours avant de quitter la présidence, réussit à changer le 16ième amendement de la constitution américaine pour permettre au congrès de commencer à récolter des impôts sur les corporations (personnes morales). Le 3 octobre 1913, Woodrow Wilson réussit à faire passer le « Revenue Act of 1913 » qui, grâce au 16ème amendement qui fut signé le 23 décembre 1913, permettait de récolter des impôts aux contribuables et d’imprimer de l’argent dette dans un bail de 99 ans, où celui-ci doit se terminera légalement le 23 décembre 2012. C’est pour cette raison que des rumeurs courent de partout en criant haut et fort que la fin du monde va arriver fin 2012, alors qu’il s’agit de la fin du bail de la plus grande pègre du monde a fait avec les États-Unis. À cette époque ces impôts commençaient à 1% avec les couples gagnant plus de 4.000$ US et les gens seuls gagnant plus de 3.000$, et une table d’imposition progressive avait été établie faisant en sorte que les plus riche payaient plus d’impôts. À l’époque, moins de 1% des américains payaient des impôts.

Après des mois de discussions et d’opposition, de débats et d’amendements et de congressistes et de sénateurs très peu satisfaits, le « Federal Reserve Act » fut adopté par le sénat avec 43 voix pour, et 25 contre, avec 27 abstentions. Ces 27 voix auraient pu faire une grande différence dans l’histoire américaine. Le passage du « Federal Reserve Act » le 23 décembre 1913 et signé par le président américain Woodrow Wilson, qui autorisa la formation de la « Réserve Fédérale », une institution privée « tel que dit par l’ancien patron Alan Greenspan qui devient la banque centrale des États-Unis, et à laquelle on conféra la création d’argent non basé sur l’or, c’est-à-dire le système d’argent dette pur et simple, et ce, même si la constitution américaine ne permettait pas ce genre de chose ». Les banquiers pouvaient alors violer toutes les lois du congrès, puisque les États-Unis n’étaient qu’une simple compagnie Britannique sans aucun pouvoir constitutionnel. C’était, et c’est toujours, une illusion de croire que les États-Unis représentent réellement un pays.

La FED introduisit le « Federal Reserve Notes » (FRNs, qui allait éventuellement devenir le dollar américain tel qu’on le connaît aujourd’hui). L’acte fit en sorte que les banques fédérales furent incorporées en 1914 et à partir de 1916 la FED commença à distribuer ses FRNs en tant qu’argent en parallèle avec les USNs (United States Notes). Les USNs étaient alors des reçus officiels représentant les dépôts véritables en or, argent, des biens et possessions terrestres, soit la vraie richesse palpable de la population, alors que les FRNs eux étaient des billets sur lesquels on avait inscrit à l’encre une somme quelconque et était une dette monnayable basé sur strictement rien. En anglais le dollar américain est ce qu’on appelle du « Fiat currency qui veut dire argent dont la valeur est ordonné par le gouvernement et qui ne peut être converti en pièce d’or (exemple) ou espèce de même valeur ». En gros, ce n’était que de l’argent de papier qui n’était basé sur rien et ne valait strictement que ce que les gens au pouvoir disaient que cela valait, sans système réel pour supporter leurs paroles. Donc les deux systèmes roulaient ensemble et un individu pouvait s’il le désirait échanger son or contre des FRNs (dollar américain). Donc, il pouvait donner quelque chose dont la valeur était incontestable contre un instrument (FRN) monnayable qui ne valait en réalité rien de plus que le papier et l’encre qui était dessus. Les gens ont acceptés d’échanger leur or contre les FRNs pour le simple privilège d’utiliser les FRNs, et on aussi acceptés de payer l’intérêt généré par ces instruments de dettes en or. À chaque fois qu’un échange comme ça se faisait, moins d’or étaient disponible et plus de dette étaient créée. La FED imprimait du papier avec de l’encre dessus et le peuple donnait de l’or en échange d’avoir le privilège de l’utiliser. Tranquillement, la Réserve Fédérale se ramassait avec de plus en plus d’or et le peuple, de moins en moins. Éventuellement, la limite allait être atteinte.

En 1920, le Congrès américain vota le « Independant Treasury Act of 1920, un acte qui mit fin au « Treasury Department of the United States governement ». En résumé, la trésorerie américaine gouvernementale fut éliminée en faveur d’un consortium privé. Ce consortium émettait des billets verts en papier avec un montant dessus en échange d’or et les intérêts de ces prêts au gouvernement devaient aussi être remboursés en or. La FED créait alors de l’argent à partir de rien et en échange elle vidait la réserve d’or du gouvernement. En fait ce consortium avait imité les Green Back (l’argent libre de toute dette) de Lincoln, ceci pour mieux tromper le peuple et cela amena assez rapidement au désastre et dont l’ampleur du cauchemar allait bientôt se révéler aux yeux de tous.

Dans son message d’adieu, Woodrow Wilson avait ceci à dire à propos des gens qui ont pris possession de la Réserve Fédérale : « Une grande nation industrielle est contrôlée par son système de crédit. Notre système de crédit est contrôlé par une concentration de sociétés privées. La croissance de la nation, et toutes nos activités sont entre les mains de quelques hommes qui, même si leurs actions devaient être assurément honnête et destinés à l'intérêt public, ces personnes sont nécessairement concentrées sur les grandes entreprises dans lesquelles elles ont placées tous leurs intérêts personnels, et qui forcément, en raison même de leurs propres limites qui se résume à leurs implications personnelles, le gèle actuel de l’économie se vérifie dans le fait de détruire la liberté économique réelle, qui est directement lié à leur avidité personnelle et commune, du pouvoir de l’argent. » « Nous avons restreint de crédit, nous avons limité l'occasion, nous avons contrôlé le développement, et nous sommes arrivés à être l'un des pires systèmes décisionnel, l'un des plus contrôlé et dominé de tous les gouvernements dans le monde civilisé ; nous ne sommes plus un gouvernement d'opinion libre, nous ne sommes plus un gouvernement démocratique, mais un gouvernement oligarchique. » « Et s'il y a des hommes dans ce grand pays dont leur volonté est de posséder le gouvernement des États-Unis, ils vont en être le propriétaire. » En d’autres mots, Woodrow Wilson regrettait amèrement d’avoir laissé le 23 décembre 1913 le contrôle de la nation entre les mains d’intérêts privés, en constatant un peu trop tard que la liberté n’existait plus dans son pays. C’était le début d’une dictature financière sur les États-Unis qui allait durer 99 ans. Son amertume, semble encore plus réelle, car c’est le genre de discours qui représente bien la cause initiale de la crise que nous traversons actuellement.

Quand il fut le temps de rembourser tous les intérêts générés par les FRNs, le peuple les paya avec son or, et la FED transféra le tout en Angleterre via l’Allemagne. Avant tôt, la réserve d’or se retrouva vide et les États-Unis se retrouvèrent dans la fâcheuse position de ne plus être en mesure de remplir leurs obligations contractuelles à la Réserve Fédérale qui est de rembourser les prêts et intérêts, ce qu’on appelle dans le jargon des affaires « l’insolvabilité », ou si vous préférez, la faillite. (Si l’Angleterre fit ce genre de manœuvre avec la complicité de l’Allemagne, c’est qu’elle en avait le droit légal, du fait que les États-Unis ne sont pas un pays officiel, mais une simple compagnie Britannique enregistrée, et qu’en d’autres mots, elle était régit comme toute autre colonie Britannique du Commonwealth, mais que l’histoire ne dit toujours pas que ce n’est un pays. Bref cette manœuvre fut orchestrée avec l’aide de l’Allemagne pour transférer tout l’or en Angleterre, parce que l’Allemane faisait partie de la coalition européenne liée au niveau de leurs liens monarchiques. Le fait d’avoir supprimé l’or du territoire américain, cela permettait à l’Angleterre d’enlever toute possibilité que les États-Unis puissent devenir un pays officiellement libre, car ne pouvant pas remplir leurs obligations contractuelles avec la Réserve Fédérale pour rembourser leurs prêts avec intérêts, les États-Unis devenaient alors très fragilisés avec une dette qui a prise des proportions exponentielles. Dans la réalité de notre monde qui est basé sur l’hypocrisie, la vérité n’est pas toujours bonne à dire, car ceux qui écrivent l’histoire sont les mêmes canailles qui sont derrière les banques privées, et ils ont préférés laisser croire aux américains qu’ils avaient fait l’indépendance envers l’Angleterre, et qu’ils vivaient dans un pays libre alors que dans la réalité ils vivent dans une compagnie maquillait par les apparences, et dont les citoyens américains ignorent tout de cette arnaque. Depuis Woodrow Wilson les États-Unis sont téléguidés à partir de la City de Londres qui est le centre de commande de l’Angleterre contrôlé par la franc-maçonnerie où siège les banques privés du Commonwealth et de l’Europe.)

Dans les semaines qui précédèrent le mois de mars 1933, les américains perdirent grandement confiance envers les banques américaines et en peu de temps ils commencèrent à fermer leurs comptes et réclamaient en vu de recevoir leur or, puisque c’était ce qu’ils avaient déposés en échanges de certificats. Le seul problème fut que les banques furent absolument incapables de remettre tout cet or, elles qui étaient responsables de le conserver pour les déposants, car il n’en avait pas suffisamment pour suffire à la demande.

Voyez-vous, si vous analysez bien ce que vous venez de lire, cela signifie que les banques ont donnés en échange plus de certificats que d’or qu’ils possédaient véritablement dans leurs coffres. Donc toutes ces banques, ces centaines d’institutions, avaient tous bien vues que le peuple préférait faire leurs affaires avec les certificats qu’avec le métal or, et ils ont émis beaucoup plus de certificats que ce qu’ils avaient réellement en or dans leurs coffres, surtout que tout l’or des États-Unis avait transité vers l’Allemagne pour aller en suite vers Angleterre. Le plus grand cauchemar des banques arriva et elles furent prisent la main dans le sac et le public réalisa à quel point ces banques les avaient volées. Conséquemment, la population tenta de reprendre ce qu’elle pouvait et, face à l’impossibilité de répondre aux besoins, des milliers de banques fermèrent leurs portes et durent déclarer faillite, laissant criminellement la population en plan et en emportant les économies de ces épargnants, eux qui souffraient déjà de la crise économique de 1929, laquelle fut très bien montée et dirigée par la Réserve Fédérale (la recherche pour les « Recall Loans »). Effectivement, en 1931 uniquement, 2.290 banques ont fait faillites aux États-Unis, et les conséquences de la grande dépression se sont fait grandement ressentir aussi en Europe, où près de 15 millions d’emplois furent perdus.

C’est ainsi que le 3 mars 1933, le gouverneur de Washington, Clarence Martin, via un bill, autorisé par les deux chambres « Washington State Senate Bill No. 185, ordonne la fermeture de toutes les banques de l’état de Washington. Avant même le début de la prochaine journée, et ce à la grandeur du pays, le 4 mars 1933, toutes les banques des 48 états (à cette époque) barrent aussi leurs portent.

Arrive Franklin D. Roosevelt, le fraîchement élu président de la corporation des États-Unis, le 4 mars 1933. Juste à temps pour sauver les banques…

« Certains historiens… » prétendent que la faillite des États-Unis n’est qu’une coïncidence historique, mais si vous vous donnez la peine de faire votre propre recherche, peut-être découvrirez-vous que les lois et ordres exécutifs mis de l’avant, et qu’à cet époque on faisait en sorte de faire croire que tout était extrêmement bien orchestré, et que tout le monde puisse marcher main dans la main. À vous d’en juger par contre.

En mars 1915, la société J. P. Morgan, les secteurs de l’acier, de la construction navale et de la chimie et leurs filiales réunirent 12 individus des plus hauts placés dans le milieu journalistique. Ils leur demandèrent de sélectionner les journaux les plus influents aux États-Unis et d’assurer la direction d’un nombre suffisant d’entre eux afin de contrôler de manière générale la politique de la presse quotidienne. Ils se rendirent compte qu’ils avaient besoin de ne se payer que le contrôle des 25 plus grands journaux, avec un règlement à honorer chaque mois. Ils nommèrent un rédacteur en chef pour chaque journal afin de superviser correctement l’organisation et de publier toutes les informations concernant les questions de préparation militaires, de militarisme, de politiques financières et autre sujets prétendue nationale et internationale, considérés comme indispensables au maintien des intérêts des acheteurs. Député U.S. Oscar Callaway, 1917.

David Rockefeller, dans un discours devant la Commission trilatérale en juin 1991. Nous remercions chaleureusement le Washington Post, le New York Times, le Time Magazine et les autres grandes publications dont les directeurs qui ont participé à nos réunions et respecté leurs engagements en matière de discrétion depuis presque 40 ans. Il nous aurait été impossible de mettre notre plan en œuvre au niveau mondial si nous avions été mis sur le devant de la scène au cours de toutes ces années. Mais le monde est aujourd’hui plus sophistiqué et prêt à se diriger vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et des banquiers internationaux est certainement préférable à l’autodétermination développée au cours des siècles précédents. Notre tâche ne consiste pas à donner aux gens ce qu’ils désirent, mais plutôt ce que nous avons décidé qu’ils devraient avoir. Richard Salant, ancien Président de CBS News.

Depuis lors, les médias du monde entier sont contrôlés à plus de 94% par la haute finance, ce qui a comme résulta que la vérité est muselée est que ce que nous croyons être de l’information est de la pure désinformation de masse dont le but est d’avoir le plein contrôle dans tous les domaines. Depuis l’élaboration de ce système de contrôle de masse très sophistiqué, le travail du journaliste consiste à détruire la vérité, à mentir sans réserve, à pervertir, à avilir, à ramper aux pieds du dieu Mammon et à vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez comme je le sais, alors qui peut parler de presse indépendante ? Nous sommes des pantins et les vassaux des hommes riches qui se cachent derrière la scène… Ils tirent les ficelles… ET NOUS DANSONS. John Swinton, ancien chef du personnel du New York Times, dans un discours à ses collègues journalistes.

(…)

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