L’idéologie toxique de Valérie Plante

par Jeromec, lundi 15 juillet 2024, 02:48 (il y a 55 jours) @ Jeromec

lourdement embourbée dans les scandales Terrasses gates du F1 de Montréal et des dépenses illicites, des voyages ''en missions'' à l'étranger bien arrosée au frais des contribuables, des 800 millions cédé au tramway imaginaire de Québec, des coupures dans l'entretiens des écoles approuvés par la CAq, itténérance, infestations de rates, criminalité gallopante, déversement illégaux de produits toxiques dans les cours d'eau, innondations d'autoroute, ça va bien à Mourriale...

https://www.journaldemontreal.com/2024/05/31/lideologie-toxique-de-valerie-plante
L’idéologie toxique de Valérie Plante

Vendredi, 31 mai 2024 00:00

MISE À JOUR Vendredi, 31 mai 2024 00:00

Valérie Plante n’a pas apprécié que Pierre Poilievre l’ait de nouveau qualifiée d’incompétente après que La Presse eut révélé que les délais pour obtenir un permis pour construire ont plus que doublé malgré la pénurie de logements. On peut comprendre son irritation. La vérité blesse!
Idéologue

Mme Plante incarne la pire mouture des politiciens, soit celle des idéologues prêts à sacrifier le bien-être de leur population sur l’autel de leur utopie.

En chevalier autoproclamé de l’écologie, elle espère contrôler le climat et sauver la planète. Elle est d’ailleurs vice-présidente du Comité directeur du C40, un réseau mondial de maires unis dans l’action climatique. Un objectif phare du C40, la carboneutralité d’ici 2050, est notamment au cœur du «Plan climat» de l’administration Plante.

Or, avant de vouloir sauver la planète, elle devrait commencer par s’occuper de sa ville.

Montréal fut jadis la métropole du Canada. Aujourd’hui, c’est une ville en décrépitude.

Les devantures des innombrables commerces fermés accueillent les graffitis. L’insécurité augmente alors que la violence s’impose dans les rues et dans le métro. Les rues, jonchées de déchets, sont un hommage olfactif et visuel à son administration. Quant à la crise de l’itinérance, elle est plus désolante que jamais.

Pourtant, Mme Plante perd son temps et notre argent dans des mesures insignifiantes comme l’interdiction des fours à bois dans les pizzérias et les boulangeries de bagels, l’instauration des trottoirs éponges, la boîte «Bienvenue bébé», sans oublier les centaines de millions de dollars pour des pistes cyclables.
Utopie

Mme Plante a transformé Montréal en laboratoire pour son utopie verdoyante. Elle échoue à fournir des permis de construction en temps opportun, mais elle veut contrôler le climat. Elle est incapable de sauver les plus vulnérables de l’itinérance, mais elle veut sauver la planète.

Heureusement pour Mme Plante, le ridicule ne tue pas! Malheureusement pour nous, son idéologie est économiquement et socialement toxique.