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Les faits sur le Coronavirus - Infos référencées

par Minimalist, lundi 29 juin 2020, 22:45 (il y a 1540 jours)

Voyez cette page du site web Swiss Policy Research qui s'efforce de recueillir les données pertinentes et de remettre les pendules à l'heure...

Toutes les infos présentées sont sourcées. Je ne peux inclure tous les hyperliens pas contre, car ils sont trop nombreux. Si vous voulez voir les sources, allez directement sur la page web. La version en anglais du site présente un nombre encore plus grand d'infos.

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Les faits sur le Coronavirus

Mise à jour: Juin 2020; Publié: 14 Mars 2020;
Langues: CZ, DE, EN, EO, ES, FI, FR, GR, HBS, HE, HU, IT, JP, KO, NO, PL, PT, RO, RU, SE, SI, SK, TR
Partagez sur: Twitter / Facebook ; Voir aussi: Covidinfos.net; Traduction: SLT

Des faits entièrement référencés sur le Covid-19, fournis par des experts en la matière, pour aider nos lecteurs à faire une évaluation réaliste des risques.

La seule façon de lutter contre la peste, c’est l’honnêteté.” Albert Camus, 1947

Aperçu

1- Selon les données des pays et régions les mieux étudiés, la létalité du Covid19 est en moyenne de 0,2% environ et est donc de l’ordre d’une forte grippe (Influenza) et environ vingt fois inférieure à celle initialement supposée par l’OMS .

2- Le risque de décès pour l’ensemble de la population en âge d’aller à l’école et de travailler, même dans les « hotspots » (foyers d’infections) mondiaux, est du même ordre que le risque de décès lors des déplacements quotidiens pour aller au travail en voiture. Au départ le risque a été surestimé car les personnes ne présentant aucun symptôme ou des symptômes légers n’ont pas été incluses.

3- Jusqu’à 80% des personnes testées positives ne présentent aucun symptôme . Même chez les 70 à 79 ans, environ 60% restent asymptomatiques. Plus de 97% des personnes ne présentent au plus que des symptômes bénins.

4- Jusqu’à un tiers de la population a déjà une immunité de fond au Covid19 par contact avec des coronavirus précédents (c’est-à-dire des virus du rhume).

5- L’âge médian des personnes décédées dans la plupart des pays (y compris l’ Italie ) est supérieur à 80 ans et seulement 1% environ des personnes décédées n’avaient pas de maladie grave antérieure. Le profil de la mortalité correspond donc essentiellement à une mortalité normale .

6- Dans la plupart des pays, jusqu’à 50 à 70% des décès sont survenus dans des EHPAD (Note: Au Québec, les CHSLD) , qui ne tirent aucun bénéfice d’un confinement général. De plus, il n’est souvent pas clair si ces personnes sont vraiment décédées du Covid19 ou de stress à des niveaux élevés, de peur et de solitude .

7- Jusqu’à 50% des décès en excès ne sont pas provoqués par le Covid19, mais par les effets du confinement, la panique et la peur . Ainsi le traitement des crises cardiaques et accidents vasculaires a reculé jusqu’à 60 % parce que les patients n’osent plus se rendre dans les centres de soins.

8- Même dans les soi-disant « décès Covid19 » , il n’est souvent pas clair si les personnes sont décédés par ou avec le virus (c’est à dire un décès à cause d’une pathologie préexistante), ou encore que se soit des « cas suspectés », qui n’ont simplement pas été testés. Il est à constater que les chiffres officiels ne reflètent souvent pas ces distinctions.

9- De nombreux reportages dans les médias, rapportant que des jeunes et des personnes en bonne santé sont décédés du Covid19, se sont avérés être faux: Beaucoup de ces personnes ne sont en fait soit pas mortes du Covid19, ou alors elles étaient déjà gravement malades auparavant (par exemple une leucémie non détectée), ou ils avaient 109 ans au lieu de 9 ans.

10- La mortalité globale normale quotidienne aux États-Unis est d’environ 8 000, en Allemagne d’environ 2 600, en Italie d’environ 1 800 et en Suisse d’environ 200 personnes par jour. La mortalité de la grippe aux États-Unis peut atteindre 80 000, en Allemagne et en Italie jusqu’à 25 000 et en Suisse jusqu’à 2 500 personnes par hiver. Dans plusieurs pays, le Covid19 n’a pas atteint ces niveaux-là .

11- Des taux de mortalité très élevés, comme dans le nord de l’Italie, peuvent être influencés par des facteurs de risque supplémentaires tels qu’une pollution atmosphérique et une contamination microbienne très élevées ainsi qu’un effondrement des soins aux personnes âgées et des soins infirmiers dû aux infections, à la panique de masse et au confinement.. Des réglementations spéciales concernant les personnes décédées ont parfois entraîné des goulots d’étranglement supplémentaires dans les enterrements.

12- Dans des pays comme l’Italie et l’Espagne ainsi qu’en partie au Royaume-Uni et aux États-Unis, les vagues de grippe ont déjà entraîné une surcharge des hôpitaux. Actuellement, jusqu’à 15% des médecins et infirmières, même sans symptômes, doivent être mis en quarantaine.

13- Les courbes exponentielles souvent présentées avec des „cas corona“ sont trompeuses, car le nombre de tests augmente également de façon exponentielle. Dans la plupart des pays, le rapport des tests positifs au test global (taux dit positif) reste constant de 5 à 25% ou n’augmente que légèrement. Le pic des infections a atteint son apogée dans la plupart des pays avant les confinements.

14- Les pays sans confinements et interdictions de contacts, tels que le Japon, la Corée du Sud et la Suède n’ont jusqu’à présent pas connu de tendance plus négative que les autres pays. La Suède a même récemment été saluée par l’OMS comme un modèle exemplaire et bénéficie désormais d’une immunité élevée.

15- La crainte d’une pénurie de respirateurs artificiels était injustifiée . Selon des pneumologues , la ventilation invasive (intubation) des patients atteints de Covid19, qui était en partie dûe à la peur du virus, est souvent contre – productive et endommage en outre les poumons.

16- Contrairement aux hypothèses initiales, diverses études ont montré qu’il n’y a aucune preuve de propagation du virus par les aérosols (particules en suspension dans l’air) ou par des frottis (comme les poignées de porte, les smartphones ou chez le coiffeur) .

17- Il n’y a pas non plus de fondement scientifique pour l’efficacité des masques respiratoires chez les personnes en bonne santé ou asymptomatiques . Au contraire , les experts avertissent que ces masques entravent la respiration et deviennent des «lanceurs de germes» .

18- De nombreuses cliniques en Europe et aux États – Unis sont restées sous – utilisées et ont même parfois dû recourir au chômage partiel . De nombreuses opérations et thérapies ont été annulées , notamment des transplantations d’organes «non essentielles» et des dépistages du cancer.

19- Plusieurs médias ont été surpris en train de dramatiser la situation dans les hôpitaux, parfois même avec des images manipulatrices. En général, les reportages douteux de nombreux médias ont maximisé la peur au sein de la population.

20- Les kits de test de virus utilisés à l’échelle internationale sont sujets à des erreurs et peuvent donner des résultats faussement positifs ou faussement négatifs. Le test de virus officiel n’a pas non plus été validé cliniquement à cause de la contrainte liée au temps et peut parfois également réagir à d’autres virus corona .

21- De nombreux experts de renommée internationale dans les domaines de la virologie, de l’immunologie et de l’épidémiologie considèrent les mesures prises comme contre–productives et recommandent une immunisation naturelle rapide de la population générale et la protection des groupes à risque. Il n’y a jamais eu de raison médicale pour la fermeture des écoles .

22- Plusieurs experts ont décrit les vaccins obligatoires contre les coronavirus comme inutiles, voire dangereux . En fait, le vaccin contre la soi-disant grippe porcine de 2009 a entraîné de graves dommages neurologiques et a donné lieu à des indemnisations à hauteur de millions (de livres sterling).

23- Le nombre de personnes à travers le monde qui, à cause des mesures anti-corona , souffrent de chômage, de problèmes de santé mentale, de violence domestique, est monté en flèche . Plusieurs experts estiment que les mesures anti-corona provoqueront plus de morts que le virus lui–même. Selon l’ONU des millions de personnes à travers le monde sont en train de tomber dans la pauvreté et la famine absolue.

24- Le lanceur d’alerte et dénonciateur de la NSA, Edward Snowden, a averti que la crise corona était utilisée pour l’expansion massive et permanente des outils mondiaux de surveillance. Le célèbre virologue Pablo Goldschmidt a parlé de „terreur médiatique mondiale“ et de „mesures totalitaires“. L’infectiologue britannique John Oxford a parlé d’une „épidémie médiatique“.

25- Plus de 500 scientifiques ont mis en garde contre une “surveillance sans précédent de la société” grâce à des applications de suivi de contact problématiques. Dans certains pays, ce suivi de contact est déjà effectué directement par les service secrets. À travers le monde ça a abouti à une surveillance de la population civile par des drones et dans certains cas à des violences policières massives.

Pour plus d’informations en français, voir aussi Covid Infos.
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Juin 2020

A. Partie générale

Études sur la létalité du Covid-19

Le professeur John Ioannidis, de Stanford, a publié une vue d’ensemble des études sur les anticorps contre le Covid-19. Selon son analyse, la létalité du Covid19 (IFR) est inférieure à 0,16% dans la plupart des pays et régions. Ioannidis a trouvé une limite supérieure de 0,40 % pour trois foyers.

Dans son dernier rapport, le CDC, l’autorité sanitaire étatsunienne, a réduit la létalité du Covid19 (IFR) à 0,26% (meilleure estimation). Même cette valeur peut être considérée comme une limite supérieure, puisque le CDC suppose, de manière prudente, qu’il y a 35 % de cas asymptomatiques, alors que la plupart des études indiquent 50 à 80 % de cas asymptomatiques.

Fin mai, cependant, des immunologistes suisses dirigés par le professeur Onur Boyman ont publié ce qui est probablement l’étude la plus importante sur la létalité du Covid19 à ce jour. Cette étude préliminaire arrive à la conclusion que les tests habituels qui mesurent les anticorps dans le sang (IgG et IgM) peuvent reconnaître au plus un cinquième de toutes les infections à Covid19.

La raison en est que chez la plupart des personnes, le nouveau coronavirus est déjà neutralisé par les anticorps présents sur la muqueuse (IgA) ou par l’immunité cellulaire (lymphocytes T) et qu’aucun symptôme, ou seulement des symptômes légers, se développent.

Cela signifie que le Covid-19 est probablement beaucoup plus courant qu’on ne le pensait et que la létalité par infection est jusqu’à cinq fois plus faible qu’on ne le supposait auparavant. La létalité réelle pourrait donc être bien inférieure à 0,1 % et donc dans le domaine de la grippe saisonnière.

En fait, plusieurs études ont maintenant montré que jusqu’à 60 % des personnes ont déjà une certaine immunité cellulaire au Covid-19, qui a été acquise par contact avec des coronavirus (virus du rhume) antérieurs. Les enfants, en particulier, sont souvent en contact avec ces coronavirus, ce qui pourrait expliquer leur insensibilité au Covid19.

La nouvelle étude suisse pourrait également expliquer pourquoi les études sur les anticorps, même dans les foyers épidémiques importants comme New York ou Madrid, ont trouvé des taux d’infection d’environ 20 % au maximum, ce qui correspondrait à un taux réel de près de 100 %. Dans de nombreuses régions, la prévalence réelle pourrait déjà être bien supérieure à 50 %, et donc dans le domaine de l’immunité collective.

Si l’étude suisse devait être confirmée, l’évaluation de l’épidémiologiste d’Oxford, la professeure Sunetra Gupta, s’appliquerait, elle a en effet prédit très tôt que le Covid-19 est très répandu et que sa létalité est inférieure à 0,1 %.

Malgré la létalité relativement faible du Covid-19 (décès par infection), la mortalité (décès par population) peut encore être augmentée au niveau régional et à court terme si le virus se propage rapidement et atteint les groupes à haut risque, en particulier les patients des maisons de retraite, comme cela s’est effectivement produit dans plusieurs foyers épidémiques importants (voir ci-dessous).

En raison de sa létalité plutôt faible, le Covid-19 se situe au niveau 2 du plan de lutte contre la pandémie à cinq niveaux élaboré par les autorités sanitaires étatsuniennes. Pour cette étape, seule l‘”isolation volontaire des personnes malades” doit être appliquée, tandis que d’autres mesures telles que le port obligatoire d’un masque facial, la fermeture des écoles, les règles de distance, la recherche des contacts, les vaccinations et le verrouillage de sociétés entières ne sont pas recommandées.En ce qui concerne la recherche des contacts, une étude de l’OMS sur les pandémies de grippe de 2019 a également conclu que d’un point de vue médical, cette mesure n’est “en aucun cas recommandée“, car elle n’est pas opportune pour les maladies respiratoires facilement transmissibles et généralement bénignes.

Il est parfois avancé que la létalité plutôt faible n’était pas connue au départ. Ce n’est pas tout à fait vrai, car les données de la Corée du Sud, des bateaux de croisière et même de l’Italie ont déjà montré en mars que le risque pour la population générale est plutôt faible.

De nombreuses autorités sanitaires le savaient également, comme le montrent les fuites de courriels en provenance du Danemark à la mi-mars : “L’autorité sanitaire danoise continue de considérer que le Covid-19 ne peut pas être décrit comme une maladie généralement dangereuse, car il n’a pas d’évolution habituellement grave ni de taux de mortalité élevé”.

Cependant, certains médias et profanes continuent de calculer un taux de létalité de Covid19 prétendument beaucoup plus élevé, parfois supérieur à 1 %, en divisant simplement les décès par les “infections”. Cette procédure n’a bien sûr aucun sens car elle ne tient pas compte de l’âge et de la structure du risque de la population, ce qui est absolument crucial, surtout avec le Covid19.

Les dernières données de l’Observatoire européen de la mortalité Euromomo montrent que plusieurs pays tels que la France, l’Italie et l’Espagne enregistrent déjà une mortalité inférieure à la moyenne. La raison en est que l’âge moyen des décès par Covid19 était très élevé et que moins de personnes que d’habitude meurent aujourd’hui dans cette tranche d’âge.

Lire aussi : Studies on Covid-19 lethality (“Études sur la létalité du Covid-19”)
[image]

Exemple : Taux de mortalité par tranche d’âge dans le Massachusetts, États-Unis (source)

Le rôle des maisons de retraite et de santé pour personnes âgées

Les maisons de retraite et de santé pour personnes âgées ont joué un rôle absolument essentiel dans la pandémie du Covid 19. Dans la plupart des pays, un à deux tiers de tous les décès dus à Covid19 sont survenus dans des maisons de soins et de retraite, et jusqu’à 80 % au Canada et dans certains États US. Même en Suède, qui n’a pas imposé de mesures de confinement, 75 % des décès sont survenus dans des maisons de repos et des appartements de soins pour personnes âgées

Il est d’autant plus inquiétant que certaines autorités ont obligé leurs maisons de repos à admettre des patients atteints du Covid provenant des cliniques, ce qui a presque toujours entraîné de nombreuses nouvelles infections et de nombreux décès. Cela s’est produit dans le nord de l’Italie, en Angleterre et dans les États US fortement touchés de New York, du New Jersey et de la Pennsylvanie.

On sait également que la crainte généralisée du virus et le confinement annoncé ont entraîné la fuite des infirmières, principalement d’Europe de l’Est, ce qui a accéléré l’effondrement des soins aux personnes âgées.

Aux États-Unis, au moins 42 % de tous les décès dus au Covid19 sont imputables à 0,6 % de la population vivant dans des maisons de retraite. Les maisons de santé et de retraite nécessitent une protection ciblée et ne bénéficient pas d’un confinement général de la société dans son ensemble.

En outre, il n’est souvent pas clair si ces personnes sont réellement mortes à cause du Covid-19 ou de semaines de stress et d’isolement total. Par exemple, il y a eu environ 30 000 décès supplémentaires dans les maisons de retraite et de repos anglaises, mais dans seulement 10 000 cas, le Covid19 est noté sur le certificat de décès.

Rien qu’en avril, environ 10 000 patients supplémentaires atteints de démence sans infection liée au coronavirus sont morts en Angleterre et au Pays de Galles en raison des semaines d’isolement. Des enquêtes sur la situation dans les maisons de retraite ont été lancées ou demandées dans plusieurs pays.

[image]

Décès dans les maisons de retraite, en valeur absolue et en pourcentage (LTCCovid)

Le rôle des hôpitaux

Le deuxième facteur central concernant les infections et les décès, en plus des maisons de retraite, sont les hôpitaux eux-mêmes. Une étude de cas à Wuhan a déjà montré qu’environ 41 % des patients hospitalisés pour le Covid avaient en fait contracté la maladie dans l’hôpital même.

La contamination dans les hôpitaux a également joué un rôle décisif dans le nord de l’Italie, en Espagne, en Angleterre et dans d’autres régions gravement touchées, ce qui signifie que les cliniques elles-mêmes sont devenues le principal lieu de transmission du Covid19 à des personnes déjà affaiblies (infection dite nosocomiale) – un problème qui avait déjà été observé lors de l’épidémie de SRAS de 2003.

En l’état actuel des connaissances, les pays qui ont réussi à éviter les foyers d’infection dans les maisons de soins et les hôpitaux ont enregistré relativement peu de décès. Toutefois, le confinement général n’a joué aucun rôle, voire un rôle contre-productif (voir ci-dessous).

Il est bien connu que même les coronavirus communs (virus du rhume) peuvent être très dangereux pour les personnes vivant dans des maisons de soins. Le professeur John Ioannidis, de Stanford, a déjà souligné à la mi-mars que les coronavirus peuvent avoir un taux de mortalité allant jusqu’à 8 % dans les maisons de retraite.

Le tableau clinique du Covid-19

Le célèbre médecin légiste hambourgeois, le professeur Klaus Püschel, a présenté son étude (en anglais) sur les 12 premières des 190 autopsies détaillées du coronavirus lors d’une conférence de presse (en allemand).

Le professeur Püschel a de nouveau souligné que le Covid-19 “n’est pas aussi menaçant qu’on le soupçonnait au départ”. Le danger était “trop influencé par les images des médias”. Les médias se sont concentrés sur des cas individuels graves et ont alimenté la panique avec des “messages complètement faux”. Covid-19 n’est pas un “virus tueur” et l’appel à de nouveaux médicaments ou vaccins est “motivé par la peur, pas par les faits”.

La cause spécifique de décès des cas examinés était la pneumonie, mais dans environ 50% des cas, il y avait une thrombose veineuse dans les jambes, qui peut conduire à une embolie pulmonaire mortelle. Les reins et le muscle cardiaque étaient également partiellement touchés. Le professeur Püschel recommande donc l’administration préventive de médicaments anticoagulants pour les cas graves de coronavirus.

En ce qui concerne la thrombose et l’embolie pulmonaire, le professeur Püschel – comme d’autres experts avant lui – a souligné qu’un “confinement” avec quarantaine à la maison était “exactement la mauvaise mesure”, puisque le manque d’exercice physique favorise également la thrombose. En effet, les spécialistes étatsuniens ont déjà mis en garde contre ce risque après que même des personnes Covid-négatives aient développé une thrombose inattendue.

De nombreux médias ont à nouveau mal interprété les résultats de l’autopsie et ont parlé du Covid-19 comme d’une dangereuse “maladie multi-organes” qui, contrairement à la grippe, entraînerait une thrombose et une embolie pulmonaire. C’est bien sûr faux : on sait depuis 50 ans que même une grippe grave peut augmenter considérablement le risque de thrombose et d’embolie et peut affecter le muscle cardiaque et d’autres organes. Même la recommandation concernant l’utilisation préventive d’un anticoagulant pour la grippe grave existe depuis 50 ans déjà.

Les enfants et les écoles

De nombreuses études ont maintenant montré que les enfants n’attrapent pratiquement pas le Covid19 et ne transmettent pas ou peu le virus, ce qui était déjà connu lors de l’épidémie de SRAS de 2003. Il n’y avait donc aucune raison médicale à la fermeture des écoles à aucun moment.

Par conséquent, tous les pays qui ont rouvert leurs écoles en mai n’ont pas constaté d’augmentation des cas d’infection. Des pays comme la Suède, qui n’ont de toute façon jamais fermé leurs écoles primaires, n’ont pas non plus eu de problèmes à cet égard.

Une étude préliminaire réalisée par le virologue allemand Christian Drosten a fait valoir que le risque d’infection chez les enfants est comparable à celui des adultes et que les écoles devraient donc rester fermées. Cependant, plusieurs chercheurs ont démontré que l’étude comportait des erreurs méthodologiques. Drosten a par la suite retiré la recommandation concernant la fermeture des écoles.

Dans certaines écoles, par exemple en France et en Israël, de prétendues “épidémies de coronavirus” se seraient produites. Il est toutefois probable qu’il s’agisse de transmissions d’enseignants à des écoliers qui, à leur grand désarroi, sont régulièrement testés, bien qu’ils ne présentent pratiquement aucun symptôme et qu’ils soient eux-mêmes peu ou pas du tout contagieux.

La Fondation britannique pour la maladie de Kawasaki a une nouvelle fois critiqué la couverture médiatique douteuse et lugubre de la maladie de Kawasaki. En fait, il n’y a eu aucune augmentation significative des cas de Kawasaki et aucune association prouvée avec le Covid-19. Les réactions inflammatoires générales chez les enfants sont également connues pour d’autres infections virales, mais le nombre de cas signalés jusqu’à présent est extrêmement faible.

Les associations médicales allemandes ont également donné le feu vert : le Covid-19 est imperceptible ou très léger chez presque tous les enfants. Les écoles et les garderies doivent donc être ouvertes immédiatement et sans restrictions, c’est-à-dire qu’il n’est pas nécessaire de former de petits groupes, de respecter des règles de distance ou de porter des masques.

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Des écoliers en France doivent jouer dans des boîtes tracées à la craie dans la cour de récréation (15 mai 2020, DailyMail )

Sur l’efficacité des masques

Indépendamment de la létalité relativement faible du Covid19 dans la population générale (voir ci-dessus), il n’existe toujours pas de preuves scientifiques de l’efficacité des masques chez les personnes en bonne santé et asymptomatiques dans la vie quotidienne.

Une étude transnationale menée par l’université d’East Anglia a conclu que l’obligation de porter un masque n’était pas bénéfique et pouvait même augmenter le risque d’infection.

Deux professeurs étatsuniens et experts en protection respiratoire et contre les infections de l’université de l’Illinois expliquent dans un article que les masques respiratoires n’ont aucun effet dans la vie quotidienne, ni en tant qu’autoprotection ni pour protéger des tiers (contrôle à la source). L’utilisation généralisée des masques n’a pas non plus empêché l’épidémie dans la ville chinoise de Wuhan.

Une étude réalisée en avril 2020 dans la revue Annals of Internal Medicine a conclu que ni les masques en tissu ni les masques chirurgicaux ne peuvent empêcher la propagation du virus Covid19 par la toux.

Un article du New England Journal of Medicine de mai 2020 conclut également que les masques respiratoires n’offrent que peu ou pas de protection dans la vie quotidienne. L’exigence d’un masque est décrite comme un “réflexe de peur irrationnelle”.

Une méta-étude de mai 2020 sur la grippe pandémique publiée par le CDC étatsunien a également conclu que les masques respiratoires n’avaient aucun effet.

En Autriche, l’obligation de porter un masque dans le commerce de détail et la restauration sera à nouveau levée à partir de la mi-juin. L’obligation de porter un masque n’a jamais été introduite en Suède car elle “n’offre pas de protection supplémentaire à la population”, comme l’a expliqué l’autorité sanitaire.

De nombreux hommes politiques, journalistes et policiers ont déjà été pris en train de mettre leur masque dans une foule, spécialement pour les caméras de télévision, ou de l’enlever immédiatement lorsqu’ils croyaient ne plus être filmés.

Dans certains cas, il y a eu des attaques policières brutales parce qu’une personne “ne portait pas son masque correctement”. Dans d’autres cas, les personnes handicapées qui ne peuvent et ne doivent pas porter de masque ne sont pas autorisées à entrer dans les grands magasins.

Contrairement à toutes ces preuves, un groupe appelé “masks4all”, qui a été fondé par un “jeune dirigeant” du Forum économique mondial (FEM) de Davos, plaide en faveur d’une obligation mondiale de porter un masque. Différents gouvernements et l’OMS semblent y répondre.

Dans ce contexte, les critiques soupçonnent que les masques sont plus susceptibles d’avoir une fonction psychologique ou politique (“muselière” ou “signe visible d’obéissance”) et que leur port fréquent peut entraîner des problèmes de santé supplémentaires.

Sur l’origine du virus

À la mi-mars, certains chercheurs ont fait valoir dans une lettre adressée à la revue Nature Medicine que le virus Covid19 devait être d’origine naturelle et non “issu d’un laboratoire”. Ils ont cité la structure du virus et le fait que la liaison au récepteur des cellules ACE2 humaines ne correspondait pas au maximum théorique.

Entre-temps, cependant, de nombreux virologistes renommés ont contredit cet argument. Une origine artificielle dans le cadre de la recherche fonctionnelle virologique est “au moins aussi plausible” qu’une origine naturelle. En fait, les coronavirus de ce type font l’objet de recherches intensives dans plusieurs laboratoires depuis près de 20 ans (l’épidémie de SRAS en 2003), disent-ils.

En particulier, les arguments en faveur d’une origine artificielle sont que la liaison au récepteur cellulaire ACE2 humain est nettement plus forte que chez tous les animaux d’origine courants et qu’aucun animal d’origine n’a encore été identifié à ce jour. En outre, le virus contient des séquences de gènes frappantes qui renforcent sa transmissibilité et qui auraient pu être insérées artificiellement.

La théorie initiale du marché des animaux à Wuhan a depuis été rejetée parce qu’aucun animal n’y a été testé positif et qu’un tiers des tout premiers patients n’avait aucun lien avec le marché des animaux. Le marché des animaux est maintenant considéré comme un lieu de transmission secondaire.

On sait que le laboratoire virologique de Wuhan, en collaboration avec les États-Unis et la France, a fait des recherches sur les coronavirus et a ainsi généré des “agents pathogènes potentiellement pandémiques” (PPP) particulièrement faciles à transmettre et/ou particulièrement dangereux. En outre, plusieurs accidents de laboratoire avec libération de virus ont eu lieu en Chine et aux États-Unis.

L’observateur impartial doit donc continuer à envisager plusieurs options réalistes : une origine naturelle du virus (comme on le suppose avec le SRAS 2003), un accident de laboratoire dans le cadre de la recherche fonctionnelle (probablement à Wuhan), ou même une libération ciblée par un acteur géopolitiquement intéressé en Orient ou en Occident.

Néanmoins, le virus Covid19 n’est pas une “arme biologique” au sens classique du terme : le virus est très facilement transférable, mais pas particulièrement dangereux pour la population en général. Des études sur les animaux ont montré que des coronavirus beaucoup plus mortels peuvent être générés.

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Comparaison des séquences d’acides aminés des coronavirus (Yuri Deigin)

Vaccins contre le Covid-19

De nombreux experts ont déjà souligné qu’un vaccin express contre le nouveau coronavirus n’est ni nécessaire ni utile en raison de la faible létalité globale (voir ci-dessus) et de la propagation déjà en déclin. La protection des groupes à risque, en particulier dans les maisons de retraite, pourrait être beaucoup plus ciblée.

Certains experts, comme l’infectiologue suisse Dr Pietro Vernazza, ont également souligné que l’expérience montre que le groupe à haut risque en particulier bénéficie le moins de la vaccination, puisque son système immunitaire ne réagit plus de manière adéquate au vaccin.

Divers experts ont également souligné les risques sanitaires importants d’un vaccin express. En fait, la vaccination contre la grippe dite “porcine” à partir de 2009/2010, par exemple, a entraîné des dommages neurologiques parfois graves, en particulier chez les enfants, et a donné lieu à des millions de demandes de dommages et intérêts.

Néanmoins, plusieurs milliards de dollars de fonds privés et publics ont déjà été collectés pour le développement d’un vaccin. Un “certificat d’immunité” pour le travail et les voyages est toujours en cours de discussion. Cependant, contrairement à ce que rapportent la plupart des médias, les deux principaux projets de vaccins ont connu de graves complications.

Dans le cas du vaccin de l’université d’Oxford, lors d’expériences sur des animaux, les six singes rhésus sont tombés malades avec le Covid19 malgré la vaccination et ont été aussi infectieux que les singes non vaccinés. Néanmoins, le vaccin est passé à la phase de test sur l’homme. Cependant, le responsable du projet a expliqué que le coronavirus était déjà devenu si rare dans la population que l’essai clinique pourrait ne donner aucun résultat.

Dans le cas du nouveau vaccin à ARN de Moderna, qui a été exceptionnellement testé directement sur l’homme, 20 % des participants du groupe à forte dose ont eu un “effet secondaire grave”, bien que Moderna n’ait autorisé que des personnes en très bonne santé à l’essayer.

L’un des participants de Moderna a ensuite été présenté et interviewé par CNN en tant que “héros”. Cependant, il a été convenu de ne pas mentionner que le participant s’était évanoui après la vaccination et était aussi devenu “malade comme jamais auparavant dans sa vie”. Plusieurs experts ont également critiqué Moderna pour ne pas avoir suffisamment divulgué leurs données cliniques.

Le directeur du programme étatsunien de développement rapide du vaccin Corona était lui-même auparavant directeur chez Moderna. Le président Trump a également annoncé que le vaccin pourrait être distribué dans tout le pays avec l’armée étatsunienne. Certains pays, comme le Danemark, ont déjà créé la base légale pour la vaccination obligatoire de toute la population. En Allemagne aussi, plusieurs politiciens se sont prononcés en faveur de la vaccination obligatoire.

Les partisans de la vaccination obligatoire, comme le président de la médecine mondiale Frank Montgomery, affirment que la population doit être vaccinée pour protéger ceux qui ne peuvent pas l’être pour des raisons de santé. Compte tenu de la létalité plutôt faible du Covid19 et de la prévalence déjà importante, cette argumentation semble toutefois plus contestable. En outre, il existe les risques graves liés au vaccin décrits ci-dessus.

Néanmoins, le responsable du plus grand portail européen de vente de billets, Eventim, a déclaré que “les événements majeurs pourraient ne pas se reproduire tant qu’il n’y aura pas de vaccin ou de médicament efficace correspondant”.

Le Premier ministre britannique Boris Johnson, qui a coprésidé le sommet sur les vaccins début juin avec le milliardaire étatsunien Bill Gates, a décrit l’alliance GAVI sur les vaccins comme une sorte d’“OTAN de la santé“.

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Les chefs de gouvernement au sommet mondial sur les vaccins le 4 juin 2020 ( GAVI )

Médicaments contre le Covid-19

La situation concernant les médicaments utiles pour les cas graves de Covid19 reste très floue. Le seul consensus est que les anticoagulants sont utiles pour prévenir les thromboses et embolies mortelles (comme dans le cas de la grippe grave).

L’hydroxychloroquine (HCQ), médicament contre le paludisme, fait l’objet de vives discussions depuis des mois. Le journal Lancet a publié fin mai une étude selon laquelle l’HCQ entraîne des problèmes cardiaques. L’OMS a alors cessé toutes ses études sur la HCQ. Peu de temps après, cependant, on a appris que l’étude de Lancet était basée sur un ensemble de données manipulées.

L’étude du Lancet et une autre étude du New England Journal of Medicine (NEJM) ont dû être retirées, ce qui constitue l’un des plus grands scandales médicaux de ces dernières années. La raison de l’étude manipulée n’est pas claire, cependant, l’auteur principal semble être impliqué dans une étude sur un médicament concurrent, le Remdesivir, au même moment.

L’utilisation du remdesivir par la société pharmaceutique Gilead a elle-même été mise sous pression après qu’une première étude ait montré que le médicament ne pouvait pas réduire le risque de décès. Cependant, de nombreux médias ont ignoré cette information et ont tout de même fait état de résultats positifs concernant le médicament.

Un ancien ministre français de la santé a révélé dans une interview que les rédacteurs du Lancet et du NEJM ont expliqué dans un panel de discussion confidentiel que la pression et l’influence des compagnies pharmaceutiques étaient devenues si importantes qu’elles ne pouvaient plus guère faire de la vraie science. Les deux rédacteurs auraient même parlé d’une approche “criminelle”.

Diverses cliniques utilisent ou étudient l’HCQ chez les patients atteints de Covid19, parfois en combinaison avec du zinc, des vitamines ou d’autres médicaments. Cependant, on sait que l’HCQ peut entraîner des complications fatales dans la particularité métabolique du favisme, qui se produit notamment chez les personnes originaires d’Afrique et de la région méditerranéenne.

Malheureusement, il faut supposer qu’une médication incorrecte ou trop agressive avec de l’HCQ, des stéroïdes, des antibiotiques et des agents antiviraux ainsi qu’une ventilation invasive pendant la pandémie de coronavirus ont conduit à de nombreux décès supplémentaires et évitables.

Avis d’experts (sélection)

- Le médecin en chef britannique, le Dr Chris Witty, a déclaré lors d’une conférence que Covid19 ne représentait “aucun danger pour la majorité de la population” et que la plupart des gens ne tomberaient pas malades ou seulement légèrement, et même pour ceux qui sont gravement malades, les chances de guérison sont bonnes.

- Michael Levitt, professeur à Stanford et prix Nobel de chimie, explique dans un nouveau post que les confinements n’ont pas sauvé de vies mais en ont coûté beaucoup. Un “virus de la panique” s’est répandu parmi les politiciens du monde entier, a déclaré le professeur Levitt.

- Le professeur Karel Sikora, de l’université de Buckingham, a affirmé dans une interview qu’en fin de compte, la peur “tuera beaucoup plus de gens que le virus”, y compris les patients cardiaques et cancéreux non traités. Les écoles devraient être ouvertes rapidement et les masques devraient rester une décision individuelle car leurs avantages n’ont pas été prouvés. Il faut revenir à une “ancienne normalité” et non à une “nouvelle normalité”. (Note : la vidéo avec le professeur Sikora a été temporairement supprimée par YouTube et n’a été réactivée qu’après des protestations).

- L’ancien ministre israélien de la santé, le professeur Yoram Lass, estime que les mesures de confinement sont “totalement disproportionnées” et constituent une menace aiguë pour des centaines de millions de personnes dans le monde. Le Covid19 est comparable à une épidémie de grippe et n’aurait jamais justifié une telle destruction politique des moyens de subsistance. Les gens ont été intimidés et ont subi un “lavage de cerveau”.

- La professeure d’épidémiologie d’Oxford, Sunetra Gupta, affirme dans une nouvelle interview que la létalité du Covid19 est probablement inférieure à 0,1% et qu’un grand nombre de personnes ont déjà été en contact avec le virus.

- Un employé du ministère allemand de l’intérieur, responsable de la protection contre les catastrophes, ainsi que des experts externes ont rédigé un document d’analyse de 100 pages sur la gestion de la crise du coronavirus, qui a été divulgué à la presse au début du mois de mai et a suscité de vives réactions. Dans ce document, le Covid-19 est décrit comme une “fausse alerte mondiale” car “il n’y a probablement eu à aucun moment un risque au-delà du niveau normal” pour la population en général. Les dommages collatéraux causés par le confinement sont maintenant nettement plus élevés que le bénéfice reconnaissable et dépassent de loin le potentiel de risque du coronavirus. Rien qu’en mars et avril, plus d’un million d’opérations n’ont pas été menées en Allemagne. Les données fournies par le RKI officiel n’étaient “pas fiables” comme base de décision. Le fonctionnaire a ensuite été licencié parce qu’il avait créé le document “sans autorisation”.

- Un groupe dirigé par le professeur Sucharit Bhakdi a fondé l’Association des médecins et des scientifiques pour la santé, la liberté et la démocratie (MWGFD), qui a déjà été rejointe par plus de 16 000 sympathisants. Début juin, le groupe a publié un appel au gouvernement fédéral et à tous les gouvernements des États pour qu’ils lèvent immédiatement et complètement les mesures imposées par la loi Coronavirus. Le livre du professeur Bhakdi, Corona : A False Alarm ?, qui paraîtra fin juin, est déjà un best-seller amazonien du seul fait des précommandes.

- Un médecin en chef de la médecine intensive de l’hôpital universitaire de Zurich, qui a soigné des patients atteints de la maladie du Covid 19, a critiqué dans une vidéo largement diffusée le “alarmisme” associé à cette maladie. Pour la grande majorité des gens, il n’y a pas de risque significatif de décès, les chiffres sont globalement comparables à ceux des vagues de grippe précédentes. Les groupes à risque pourraient être protégés de manière ciblée, alors que le confinement n’empêche que l’immunisation de la population générale. En outre, des personnes meurent en raison de l’insuffisance de l’offre médicale dans d’autres régions. Les dommages médicaux et sociaux ont longtemps été plus importants que les bénéfices. La protection faciale partiellement obligatoire pour les écoliers n’a également “aucun sens ni aucun avantage médical” et fait peser une lourde charge sur les enfants. Le “comptage quotidien” des cas est absurde et ne fait que répandre la peur. Les médias suisses ont essayé de faire pression sur l’hôpital universitaire de Zurich après la diffusion de la vidéo. Le médecin a depuis retiré la vidéo originale

- Le médecin-chef suisse en infectiologie, le Dr Pietro Vernazza, s’appuyant sur des études de cas actuelles, explique que les mesures de la fièvre et la recherche des contacts ne sont pas utiles en raison de l’évolution souvent sans symptômes et de la transmission facile du Covid19.

- Le Dr Beda Stadler, immunologiste suisse bien connu, explique dans un article que le Covid19 est une “maladie très sélective” et ne représente un risque réel que pour très peu de personnes. Les médias, en revanche, se sont concentrés sur les quelques cas individuels atypiques qui existent avec chaque maladie. De nombreux scientifiques se sont trop concentrés sur leurs modèles et trop peu sur la réalité. La recherche planifiée des contacts est médicalement “insensée” et ne répand “que la panique”.


Aperçu : 250 worldwide expert voices against corona dogmas (“250 voix d’experts du monde entier contre les dogmes du sur le coronavirus (allemand)”)

Exemples de réussite

Suède : La Suède n’avait pas de mesures de confinement, pas d’obligation de porter un masque et pas de fermeture d’écoles primaires, mais s’appuyait principalement sur la responsabilité personnelle et la coopération de la population. Cette approche a bien fonctionné et la Suède n’a connu qu’un faible taux de mortalité dans la population générale, comparable à une forte vague de grippe saisonnière.

Néanmoins, le taux de mortalité global était sensiblement plus élevé que dans les pays scandinaves voisins ou en Allemagne et est comparable à celui de l’Angleterre. La véritable raison en est cependant que près des trois quarts des décès suédois se sont produits dans des maisons de retraite et des appartements médicaux pour personnes âgées. L’âge médian des décès suédois est probablement le plus élevé au monde, soit 86 ans.

Le gouvernement suédois a présenté ses excuses pour la protection insuffisante des patients en soins infirmiers et a annoncé une enquête. De nombreux médias ont tenté de présenter cela comme un prétendu “échec de la stratégie de non-confinement”, bien que les maisons de santé aient besoin d’une protection ciblée et ne bénéficient pas d’une fermeture générale.

En outre, même la mortalité totale en Suède est restée inférieure aux fortes vagues de grippe saisonnière des trente dernières années. En outre, la Suède peut désormais bénéficier d’une immunité naturelle très élevée, surtout si l’on considère les dernières études immunologiques sur la gamme réelle des tests d’anticorps (voir ci-dessus).

La Floride : Malgré la présence de nombreux seniors, la Floride a introduit des restrictions minimales et aucun confinement général, même les plages populaires ont été rouvertes tôt, ce qui a été fortement critiqué par de nombreux médias étatsuniens. Néanmoins, la Floride s’est très bien comportée par rapport à d’autres États et a récemment enregistré environ 2300 décès sur une population de 21 millions d’habitants, ce qui correspond à la mortalité de l’Allemagne.

Dans une interview, le gouverneur a expliqué que, contrairement aux médias, il s’est très vite rendu compte, en se basant sur les chiffres de la Corée du Sud et de l’Italie, que le Covid19 n’était dangereux que pour un très petit groupe à risque et qu’il protégeait donc au mieux les maisons de retraite. En termes de prévention, les maisons de retraite sont encore plus importantes que les cliniques elles-mêmes, et cette stratégie a fait ses preuves. Fin mai, le gouverneur a annoncé que les camps d’été et les activités pour les jeunes pouvaient se dérouler sans restrictions.

Le Japon : Le Japon a enregistré certains des premiers cas de Covid19 en dehors de la Chine, mais n’a pas instauré de confinement. Fin mars, le Japan Times a demandé : “Where’s the coronavirus explosion?” (“Où est l’explosion de coronavirus ?”). Bloomberg rapporte maintenant que la crise du coronavirus ne s’est jamais matérialisée : il n’y a eu aucune restriction de mouvement, les restaurants et les coiffeurs sont restés ouverts, il n’y a pas eu d'”applications de suivi” et aucun test de masse de la population en général. Néanmoins – ou à cause de cela – le Japon est aujourd’hui de loin le pays qui compte le moins de décès par rapport aux pays industrialisés du G7.

Il est parfois avancé que les masques ont été décisifs pour le succès du Japon. Cependant, les masques sont volontaires au Japon et n’ont pas arrêté l’épidémie dans la ville chinoise de Wuhan, tandis que la Suède, la Floride et d’autres régions qui ont réussi n’ont pas utilisé de masques dans la population générale.

Biélorussie : La Biélorussie a probablement mis en place la moindre restriction de toutes les nations industrialisées et a même organisé des événements majeurs tels que les célébrations des 75 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale. La Biélorussie compte néanmoins officiellement moins de 300 décès au Covid19, même après plus de trois mois. Le président de longue date, Loukachenko, qui a qualifié à plusieurs reprises le Coronavirus de “psychose”, a déclaré à la mi-mai que la capitale, Minsk, avait déjà dépassé le pic. La décision de traiter les cas de Covid19 comme une pneumonie normale était correcte. Cependant, en fin de compte, seules les statistiques sur la mortalité globale pourront montrer si les chiffres biélorusses sont vraiment corrects.
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Une plage de Floride pendant la pandémie de Coronavirus (NBC)

Notes complémentaires

- Les voies de transmission : Un nouveau rapport de l’agence sanitaire étatsunienne CDC conclut que le virus se transmet principalement par contact direct avec l’homme et “ne se propage pas facilement sur les surfaces”. Le virologiste allemand Hendrik Streeck a déjà pu démontrer que le nouveau coronavirus ne se propage pas ou peu à travers des objets ou des aérosols flottant dans l’air.

- Règles de distance : L’Islande a déclaré les règles de distance facultatives à la fin du mois de mai et a rouvert des bars et des clubs. La Suisse a converti les règles de distance en une recommandation volontaire. Une étude Cochrane de 2011 a déjà montré que l’efficacité des mesures de “distanciation sociale” n’est pour l’instant guère démontrée.

- Les opérations chirurgicales : Selon un article du British Journal of Surgery, environ 28 millions d’opérations chirurgicales, dont de nombreuses chirurgies du cancer, ont été annulées ou reportées dans le monde entier sur 12 semaines en raison des mesures contre le coronavirus.

- Années de vie : Une évaluation réalisée par quatre professeurs étatsuniens arrive à la conclusion que le confinement aux États-Unis coûtera environ deux fois plus d’années de vie que le Covid-19 et que cette mesure était donc très contre-productive, même d’un point de vue médical.

- La saison des coronavirus : Une nouvelle étude publiée dans le Journal of Infectious Diseases montre que les coronavirus sont “fortement saisonniers” entre décembre et avril/mai.

- Test de dépistage des virus : Un mathématicien allemand explique pourquoi le faible nombre d’infections restantes dans de nombreux pays consiste en grande partie en des résultats faussement positifs, même avec des tests PCR assez précis, et que la pandémie “semble donc ne jamais prendre fin”.

- “Deuxième vague” : Les études sur une “deuxième vague” reposent parfois sur des hypothèses totalement irréalistes, telles qu’un risque constant d’infection et de décès dans toutes les tranches d’âge. Néanmoins, l’exemple de la grippe de Hong Kong de 1968 montre que la propagation mondiale des pandémies peut en effet s’étendre sur plusieurs saisons.

- Italie : Près de 5 % de la population de Milan avait déjà des anticorps contre Covid19 à la mi-février, c’est-à-dire avant le déclenchement de l’épidémie en Italie. Cela indique à nouveau que le virus circulait déjà en Europe plus tôt qu’on ne le pensait.

- Le chômage : L’Agence internationale du travail (OIT) prévoit qu’en raison des mesures politiques contre le coronavirus, la moitié des employés du monde, soit 1,6 milliard de personnes, risquent de perdre leurs moyens de subsistance.

- Vérification des faits : 13 misleading and false claims about the corona epidemic (German) (“13 affirmations fausses et trompeuses sur l’épidémie du coronavirus (en allemand)”)

- Revue : Why American life went on as normal during the killer pandemic of 1969 (“Pourquoi la vie étatsunienne s’est déroulée normalement pendant la pandémie meurtrière de 1969”)

- Revue : The ‘Great Pandemic Of 1957’ – And Why Nobody Remembers It (“La “grande pandémie de 1957” – et pourquoi personne ne s’en souvient“)

Le rôle des médias

La plupart des médias traditionnels, qui font presque tous partie de réseaux géopolitiques d’élite, ont mené une importante campagne de peur pendant la période du Coronavirus, un comportement qui est généralement observé en relation avec les guerres d’agression ou les prétendues attaques terroristes.

Le risque pour la population en général était grandement exagéré, les politiques officielles étaient à peine remises en question, la situation dans les hôpitaux était dramatisée, des images manipulées étaient utilisées, des campagnes étaient mises en scène et les manifestants étaient systématiquement diffamés comme “idiots”.

Il est vrai que certains médias conservateurs ont critiqué les mesures de confinement économiquement néfastes. La vraie question, cependant, est de savoir s’ils critiqueront également les mesures de surveillance désormais prévues, telles que la recherche générale des contacts sociaux (voir ci-dessous).

La plupart des médias indépendants ont tôt ou tard réalisé que le risque du coronavirus était exagéré et exploité politiquement. Seuls quelques médias indépendants ne s’en sont pas rendu compte, peut-être parce qu’ils n’avaient pas de formation médicale ou parce qu’ils se sont laissés prendre à la campagne de peur officielle.

Certains analystes ont comparé le Covid-19 à une opération psychologique qui utilise la peur du virus induite par les médias pour provoquer un changement politique et social.

Les plateformes étatsuniennes telles que Google, Youtube, Facebook et Twitter ont largement censuré les questions sur le coronavirus en supprimant les points de vue critiques même des médecins ou en limitant leur diffusion, comme cela a longtemps été la norme pour les questions géopolitiques.

Cependant, les utilisateurs des médias modernes ont la possibilité d’utiliser des moteurs de recherche sans manipulation comme DuckDuckGo et des plateformes vidéo indépendantes comme Bitchute, ainsi que d’utiliser généralement un bloqueur de publicité et de suivi sur les sites de médias propagandistes.

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Une interview contradictoire avec le professeur Karel Sikora qui a été temporairement supprimée par Youtube (Unherd)


Développements politiques

De nombreux observateurs ont déjà attiré l’attention sur le fait que la “crise du coronavirus”, principalement induite politiquement, est ou pourrait être utilisée pour des changements sociaux et économiques de grande envergure.

En mars, le lanceur d’alerte de la NSA Edward Snowden a averti que les gouvernements utilisent la crise du coronavirus temporaire comme une occasion ou un prétexte pour étendre de façon permanente la surveillance et le contrôle social, établissant ainsi une “architecture de l’oppression”.

Parmi les mesures actuellement en cours de discussion ou déjà mises en œuvre, on peut notamment citer

1- L’introduction d’applications pour la recherche de contacts à l’échelle de la société

2- Construire des unités pour renforcer la recherche et l’isolement des citoyens

3- L’introduction de cartes d’identité biométriques numériques qui peuvent être utilisées pour contrôler et réglementer la participation à des activités sociales et professionnelles.

4- L’élargissement du contrôle des voyages et des opérations de paiement (par exemple, suppression des espèces).

5- La création de bases juridiques pour l’accès aux systèmes biologiques des citoyens par les gouvernements ou les entreprises (par le biais de ce que l’on appelle les “vaccinations obligatoires”).

Plus de 600 scientifiques ont mis en garde contre une “surveillance sans précédent de la société” par le biais d’applications problématiques de “recherche des contacts”. Dans certains pays, cette “recherche des contacts” est déjà effectuée directement par les services secrets. Dans plusieurs régions du monde, la population est déjà surveillée par des drones et fait l’objet d’une surveillance policière excessive.En mai, Apple et Google ont ajouté une interface de recherche des contacts aux systèmes d’exploitation de trois milliards de téléphones portables qui peuvent désormais être utilisés par les autorités nationales.

Et ce, malgré le fait qu’une récente étude de l’OMS sur la grippe pandémique ait conclu que la recherche des contacts n’est pas judicieuse d’un point de vue médical et qu’elle n’est “recommandée en aucun cas”, car les avantages épidémiologiques de telles applications restent douteux.

Il est souvent avancé que les applications de recherche des contacts resteraient “volontaires” et “conformes à la protection des données”. Cependant, dans la pratique, ni l’une ni l’autre n’est vraiment vrai.

Dans plusieurs pays, l’utilisation des applications est déjà obligatoire pour certaines activités. En Inde, divers employeurs, administrations, propriétaires et sociétés de transport exigent l’utilisation de l’application de recherche. En Argentine, toute personne qui se trouve dans “l’espace public” doit activer le suivi des contacts.

Certains hommes politiques allemands ont déjà préconisé de privilégier les utilisateurs de l’application lors de leurs déplacements ou de leurs sorties au restaurant. Le Premier ministre israélien Netanyahu, pour sa part, a parlé de l’utilisation de “capteurs” pour le contrôle des distances chez les enfants.

A Singapour, l’application “volontaire” a été installée par moins de personnes que prévu, c’est pourquoi le gouvernement veut maintenant la rendre obligatoire pour certains espaces et services publics. Dans certains parcs, le contrôle à distance est déjà surveillé par des robots.

En Australie, les personnes qui ne veulent pas utiliser l’application de suivi des contacts sont insultées par les médias, qui les considèrent comme des idiots et un danger, et sont donc soumises à une pression sociale.

La protection des données du système de suivi des contacts prétendument “décentralisé” est également problématique. Le professeur d’informatique néerlandais Jaap-Henk Hoepmann a déjà expliqué en avril que même les solutions soi-disant décentralisées peuvent très facilement être utilisées pour le contrôle et la surveillance.

En raison de la rapidité de l’introduction, le président de la Société allemande d’informatique a soupçonné que les fonctions “étaient depuis longtemps dans les appareils” et qu’il suffisait de les “régler avec précision”. Il considère les applications comme un “cheval de Troie”.

Parallèlement à l’introduction des applications, de nombreux pays ont commencé à mettre en place des unités spéciales pour la recherche des contacts et l’isolement des citoyens.

Aux États-Unis, une législation de 100 milliards de dollars a été proposée pour mettre en place un “corps national de dépistage et de traçage des coroners” comptant jusqu’à 180 000 membres. Les États de New York et de Californie sont déjà en train de mettre sur pied des “armées de recherche des contacts” comptant chacune jusqu’à 20 000 membres. Dans l’État de Washington, la Garde nationale doit y participer et ceux qui ne coopèrent pas “volontairement” peuvent être contraints de le faire.

L’Italie a annoncé la création d’un corps de 60 000 volontaires, et la Suisse et d’autres pays ont également commencé à construire de telles unités. En Allemagne, il y a déjà eu des tests de masse dans des immeubles résidentiels sous la menace de la coercition policière. Le logiciel de recherche des contacts à l’échelle de la société aux États-Unis, en Grande-Bretagne et éventuellement dans d’autres pays européens est fourni par l’entreprise technologique Palantir du milliardaire étatsunien Peter Thiel, liée à la CIA. En Israël, le logiciel de recherche des contacts de la célèbre société de cyber-espionnage NSO est utilisé.

Un lanceur d’alerte qui a participé à un programme de formation pour les traqueurs de contacts aux États-Unis l’a décrit dans une interview vidéo comme “totalitaire” et “dangereux pour la société”.

Toutes ces mesures sont mises en œuvre, bien que le bénéfice épidémiologique ne soit pas clair et que l’OMS se soit explicitement prononcée contre la recherche des contacts, qui est par ailleurs utilisée principalement pour les maladies sexuelles graves ou les intoxications alimentaires, qui, contrairement aux maladies respiratoires fréquentes, peuvent facilement être facilement retracées.

Outre les applications et les unités spéciales de recherche des contacts, il existe également des projets ou des plans spécifiques pour les “cartes d’immunité“, qui pourraient être utilisées, par exemple, pour contrôler les déplacements et les activités professionnelles de la population. En fait, l’UE prévoyait d’introduire un tel certificat de vaccination depuis 2018.

Ces “cartes de vaccination” sont à leur tour liées à un “programme de vaccination” mondial, sur lequel on travaille également actuellement. Par exemple, le milliardaire étatsunien et investisseur en vaccins Bill Gates a appelé à la vaccination contre le coronavirus pour “sept milliards de personnes”. AstraZeneca se prépare actuellement à produire deux milliards de doses du vaccin d’Oxford, encore non testé.

D’un point de vue stratégique, un tel programme mondial de vaccination permettrait d’accéder aux systèmes biologiques de la population, en particulier les systèmes immunitaire et nerveux et le système génétique et reproductif.

Dans le domaine économique, on observe une poussée de la numérisation et de la centralisation en faveur de quelques sociétés technologiques étatsuniennes, comme l’a demandé dans un document stratégique de 2019 la Commission nationale de sécurité étatsunienne sur l’intelligence artificielle (NSCAI), dirigée par l’ancien PDG de Google, Eric Schmidt, pour pouvoir concurrencer la Chine.

Le Forum économique mondial (WEF) de Davos, qui, avec la Fondation Gates et l’Université Johns Hopkins, a déjà organisé en octobre 2019 le célèbre exercice sur la pandémie de coronavirus “Event 201“, a appelé à un “Grand Réinitialisation” mondial afin de préparer les structures économiques et sociales du XXIe siècle.

Entre-temps, plusieurs cardinaux et évêques de l’Église catholique ont averti dans une lettre ouverte que, sous le prétexte du coronavirus, une panique mondiale avait été déclenchée pour introduire des formes inacceptables de surveillance mondiale et de contrôle de la population.

L’idée qu’une pandémie puisse être utilisée pour étendre la surveillance et le contrôle au niveau mondial n’est pas nouvelle. Dès 2010, la Fondation étatsunienne Rockefeller a décrit dans un document de travail sur les futurs développements technologiques et sociaux un “scénario de confinement” dans lequel les développements actuels ont été anticipés avec une précision surprenante (à partir de la page 18).


Contributions créatives

Video: They Live – Coronavirus Edition (Trigger Happy Media)
Video: Out of Touch – Run for your life (Kevin James)
“Hors de portée – Courez pour sauver votre vie”
Video: What It’s Like to Believe Everything the Media Tells You (JP)
“Ce que c’est que de croire tout ce que les médias vous disent (JP)”
Le détecteur de distanciation sociale de l’IA (Youtube)

B. Pays et régions

Scandinavie

- Le Danemark : Au Danemark, des fuites de courriels ont révélé que, contrairement aux déclarations politiques, l’autorité sanitaire s’est prononcée contre un confinement en mars et a écrit : “L’autorité sanitaire danoise continue de croire que le Covid-19 ne peut être décrit comme une maladie généralement dangereuse parce qu’elle n’est ni normalement grave, ni n’a un taux de mortalité élevé. “En outre, un taux de reproduction plus faible n’a pas été publié pour des raisons politiques afin de justifier le confinement. Le Parlement danois a maintenant décidé de faire enquêter une commission d’experts sur la politique du gouvernement.

- Norvège : La Première ministre norvégienne a publiquement admis qu’elle avait paniqué en mars et que la plupart des mesures de confinement n’auraient probablement pas été nécessaires. En Norvège aussi, on a appris que le nombre de reproduction était déjà tombé à la valeur stable de 1 avant le confinement. Dans

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