DOSSIER ANTON PARKS
DOSSIER ANTON PARKS
Kiwan : [en vert]
TOP SECRET et Anton Parks : [en or]
Panthère (3)58 : [en bleu]
Résumé/contexte/narration : [en noir/normal]
Vidéorandia #1533
Objet : Nassim Haramein vers 1:07:40
Kiwan : Je lui [Nassim Haramein] demande : êtes-vous un diplômé de l’université ? La réponse est «non» ! Bien, j’ai dis ça me fait penser à Albert Einstein. C’est pas un gars qui est sorti avec un diplôme universitaire. C’était un vendeur de brevets, d’inventions. Alors, c’est un autodidacte. Et c'est pas parce que quelqu’un apprend à jouer le piano d’une manière virtuose parce qu’il a un talent, un don inné, qu’on dira pas qu’il est «pianiste» parce qu’il n’est pas sorti du conservatoire.
Donc, on dit «physicien» parce que, il a suivi des cours auditeurs libres. Il [Nassim Haramein] a fait son cheminement pour bien comprendre que ça t’enlève rien. Peut-être même au contraire, ça te donne d’autres outils que les autres ont pas parce qu’eux autres sont obligés, comme des moutons, de suivre «la» doctrine de cette religion-là, qu’on appelle cette science de tel ou tel domaine. Alors que celui qui est chercheur autonome, bien il découvre des horizons que les autres n’ont pas eu le droit de regarder. Ça lui a permis à lui de mettre les doigts sur des choses scientifiques très, très, très valables.
Ça me réconcilie un peu d’avec le vidéorandia #1251, face au traitement réservé à Anton Parks, un autre autodidacte qui innove dans des domaines dogmatisés, sclérosés et cadenassés à outrance.
Extraits de la revue TOP SECRET No 79
T.S. : Pourrais-tu nous raconter tes débuts, avant que tu n’écrives ton premier ouvrage ? D’où tu viens, et comment tout ça a germé en toi ?
A.P. : Il est parisien, a un frère et une sœur ainsi que ses deux parents. Issu d’un milieu très chrétien. Ses visions, style cinématographique, commencent à 14 ans. D’une durée de quelques secondes dans notre réalité, elles contiennent plusieurs minutes d’information.
Ces visions me parvenaient aussi dans un langage inconnu. Mais je pouvais en comprendre le sens sur le moment.
Il m’a fallu du temps pour saisir qu’il s’agit de sumérien, de proto-sumérien.
D’une manière générale, ces visions arrivent systématiquement dans le désordre, c’est pourquoi il y a ensuite tout un travail d’assemblage.
Cela me parvient en fonction du spectre lumineux dans lequel j’évolue dans le monde réel.
T.S. : Tu as d’abord eu ces visions, puis tu te mets à écrire, comment as-tu finalement trouvé ta voie ?
A.P. : Un long processus avant de commencer à écrire. Il se définit comme un scribe qui transmet intégralement et fidèlement l’information qu’il a reçu (ou reçoit encore). Bien que ce soit sous une forme considérée ayant la structure du roman, pour lui ce n’est pas de la science-fiction. Concernant ses essais, il fait tout de A à Z.
Je me suis finalement décidé au début des années 2000, lorsque j’ai découvert l’origine du langage de mes visions.
Dans Le Livre de Nuréa, je viens de publier, pour la première fois, des informations très claires sur le processus de réception et de rédaction.
J’ai compris que toutes ces informations proviennent d’archives enregistrées dans un cristal dénommé Girkú, d’où le nom des Chroniques de Girkú.
Je suis à la base très cartésien et mes recherches m’ont permis de me convaincre du bienfondé de toute cette histoire.
T.S. : Ce qui t’a rendu «célèbre» et ce qui a fasciné les lecteurs dès le début ce sont tes Chroniques. Mais ensuite tu t’es mis à écrire des essais, pour retrouver le plaisir et la liberté dans l’écriture. Cela t’a donc amené à faire différentes recherches sur les textes sacrés, et les mythologies ?
A.P. : Exactement. Ce qui m’a incité à me lancer dans ces essais, c’est que je me suis rendu compte assez rapidement, dès le deuxième ouvrage des Chroniques, que pour apporter de la matière à ce récit, il fallait que je fournisse en parallèle des explications rationnelles aux lecteurs.
Ainsi, les récits sont accompagnés de notes et de références. Et vont suivre ses essais dont le premier est Le Testament de la Vierge.
BIO
http://www.antonparks.com/main.php?page=bio
Possédant une formation de graphiste dans les disciplines du marketing et de la communication et travaillant dans ce domaine depuis 1985, Anton Parks s'est également spécialisé dans les cultures de l'Orient ancien dès les années 2000. A ce titre, il est l'auteur de la série les Chroniques du Gìrkù qui retrace, sous la forme d'un récit et d'un minutieux travail de recherche, les origines de l'humanité à travers le regard des dieux de nos mythologies. Anton Parks est aussi l'auteur de l'ouvrage le Testament de la Vierge, essai où il révèle les sources égyptiennes du Nouveau Testament et où il développe une nouvelle théorie sur le fonctionnement hydroélectrique et électromagnétique de la Grande Pyramide de Gizeh.
Anton Parks est également le créateur d'une thèse révolutionnaire sur le codage de la langue sumérienne - étude exposée dans sa série des Chroniques où il est aussi retracé le processus qui l'a conduit à ces découvertes inédites. En fin 2005, il fut approché par l'équipe de Marcello G. Martorelli et Steve Currey afin de faire partie de l'expédition vers le Pôle Nord en qualité de linguiste spécialisé dans le langage Gina'abul (proto-sumérien) ; expédition avortée en raison de la disparition prématurée de Steve Currey.
PROJETS
http://www.antonparks.com/main.php?page=projets
Chers lectrices et lecteurs,
On nous demande souvent pourquoi Pahana Books et moi-même avons décidé de nous lancer dans les rééditions augmentées de mes anciens ouvrages en parallèle aux nouvelles publications de mes oeuvres.
Ceux qui s'intéressent à mon travail, doivent savoir que trois dates importantes jalonnent mon parcours et marquent un tournant décisif dans ma carrière d'écrivain, à savoir le 28 novembre 2011, le 20 avril 2012 et le 12 mai 2013.
- Un avenant aux contrats validés initialement avec l'éditeur Nouvelle Terre fut signé le 28 novembre 2011. Cet avenant limite les droits de Nouvelle Terre aux versions que je lui ai transmises par le passé [qu'il a corrigées et modifiées] et me restitue l'usage intégral de mes droits d'adaptation de mes oeuvres.
- La boite d'édition Pahana Books fut officiellement créée le 20 avril 2012 sous mon impulsion. Étant l'actionnaire majoritaire de cette société, il fut décidé que celle-ci aurait pour vocation d'éditer et rééditer tous mes ouvrages afin de contrôler l'ensemble du processus de création, de fabrication, de diffusion des oeuvres, jusqu'à une restitution équitable des droits d'auteur, ce qui n'a jamais été le cas par le passé.
- La troisième date marque la réception des informations contenues dans le Livre de Nuréa. Ces renseignements me permettent aujourd'hui de démêler des informations mises à l'écart au fil des années et des précédentes éditions des Chroniques du Gírkù.
Très concrètement, ces rééditions me permettent non seulement de récupérer mon catalogue, mais aussi d'éditer les anciens titres à la lumière de cette nouvelle compréhension. Plus encore, elles me donnent l'occasion de récupérer l'intégralité de mes droits d'auteur pendant longtemps limités à 8 % et dernièrement à 10% !
Par voie de conséquence, depuis quelques mois, de nombreux projets se retrouvent sur ma table de travail, ils sont les suivants :
- LE SECRET DES ÉTOILES SOMBRES (Tome 1 des Chroniques en intégral), fin 2015.
- CORPUS DEAE (nouvel essai sur le Graal et les Templiers), prévision pour fin 2016.
- ADAM GENISIS (Tome 2 des Chroniques en intégral) prévision pour 2016.
- COLONIE EDEN - édition complétée du livre Eden en intégral avec de nouvelles traductions de tablettes sumériennes inédites. Initialement prévu en deux volumes, cette version inclura les deux parties.
- LE CRÉPUSCULE DES ANGES (nouvel essai sur les Anges Déchus) - Anton Parks avec Tau Eléazar.
- LE RÉVEIL DU PHÉNIX (Tome 3 des Chroniques en intégral).
- LE TESTAMENT DE LA VIERGE - édition complétée du même livre. Toutes les anciennes illustrations en 3D exécutées en 2009 ont été redessinées.
- L'ORACLE (Tome 4 des Chroniques)
- MOYTURA (tome 5 des Chroniques)
Les rédactions et sorties des tomes 4, 5 et autres volumes des Chroniques du Gírkù ne seront possibles qu'après les différentes éditions signalées ci-dessus. Nous faisons tout notre possible pour les publier dans les meilleurs délais. La route vers la liberté est longue et jalonnée d'obstacles, souvent d'ordre matériel. Nous vous remercions pour votre soutien et votre compréhension.
ANTON PARKS - Août 2015
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
Serge Cazelais VS Anton Parks : Round 1 Plutarque
En noir : résumé, explication, contexte...
En vert : extrait Serge Cazelais, JF, Kiwan
En or : extrait Anton Parks
En bleu : commentaire personnel P(3)58
Source : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67145
Sur Viméo : https://vimeo.com/56182775#at=1933
Pour en savoir plus sur Serge Cazelais : Complément Surprenant #1251:
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67146
Club CRÉÉE : Septembre 2006 Salle 609 :
http://www.esoterisme-exp.com/ClubCREEE_pub/Activites2006/609/609-tradition.php#BAT
À partir de 00 :32 :32 du vidéorandia :
Réaction de Serge Cazelais à Anton Parks
Il est question des analogies entourant Jésus et de nombreux héros mythologiques dont Horus : Qui copie qui ? Qui s’approprie qui ?
M. Cazelais avait débattu sur ce sujet étant en total désaccord d’avec Éric Duchaîne, en septembre 2006, dans le cadre de la conférence mensuelle au cégep de Maisonneuve. M. Duchaîne préconisait essentiellement que l’histoire de Jésus n’était qu’une manipulation basée sur le plagiat de l’histoire d’Horus et d’autres héros (Krishna, Dionysos, et plusieurs autres).
Kiwan : Il y avait beaucoup de mouvance [en septembre 2006 : Da Vinci Code/2003, The Pagan Christ/2004, et autres] à ce moment-là qui remettait en question l’authenticité de Jésus, qui serait plutôt un mythe fondateur basé sur les autres mythologies, et que tout le monde tire la couverte chacun de son côté pour arriver en disant que « c’est nous autres qui a le vrai Jésus ou le vrai pouvoir, ou le vrai… Ben là… Alors, qu’est-ce que tu penses de ça maintenant qu’on parle d’Anton Parks; un autre de plus !
Serge Cazelais : Un autre de plus qui dit la même chose.
P(3)58 : Allégation simpliste et gratuite, non référencée. Sur la base de ses recherches mythologiques et linguistiques, Anton Parks constate des faits troublants, relevant à profusion des analogies entre les histoires et les personnages des écrits bibliques ainsi que ceux de diverses mythologies, cultures, d’avec l’Égypte pré-dynastique, soit, antérieure à l’Égypte antique des pharaons.
À 00 :44 :10 du vidéorandia :
Serge Cazelais revient sur l’analogie entre Jésus et Horus :
Où on nous dit que, Horus aussi est né le 25 décembre, que des rois sont venus lui rendre hommage, qu’il est ressuscité le troisième jour, crucifié entre deux voleurs… Quand on voit ce genre d’affaire-là, qu’on voit que d’un auteur à l’autre ils se répètent les uns les autres, on peut alors facilement conclure que c’est simplement qu’ils se copient les uns les autres et qu’ils capitalisent sur des modes. Parce que ça ne correspond à rien. Il n’y aucun texte égyptien ancien, aucun hiéroglyphe qui nous parlent de ce genre d’affaire-là.
Ou à un moment donné, Anton Parks cite le Traité Isis et Osiris de Plutarque. Hors, il faut aller le lire, il est disponible en plus maintenant sur internet, dans une traduction du 19ième siècle. […] Vous pouvez le lire, vous allez voir, ça ne parle pas de ça du tout. Mais là maintenant, c’est disponible en ligne. Je me questionne : comment ça se fait que certains auteurs continuent à dire à leurs lecteurs «bien j’ai pris ça dans Isis et Osiris de Plutarque», j’ai pris telle chose là. C’est disponible en ligne maintenant; allez le lire, c’est simple. Vous allez voir que ce n’est pas là.
Je trouverais ça extrêmement intéressant si ce genre d’analogie-là était avérée. Ça nous mènerait dans une piste de recherche et de réflexion qui serait, pour moi, en tout cas, très, très, très intéressante et très, même probablement remplie de fruits. Mais, étant donné que ce n’est pas le cas, étant donné que ce n’est pas là, ces analogies-là n’existent pas. Pour moi, ça devient un petit peu une perte de temps et une déception de voir qu’il y autant de gens qui mordent à ça et qui s’intéressent à ça et qui vont approfondir ce genre d’analogie-là mais sans jamais aller vérifier les sources. Uniquement en se basant sur ce qu’ils lisent sur internet.
P(3)58 : Vraiment, je vous déçois… !? Vous me prenez vraiment pour un des «poissons» de l’ère chrétienne qui, eux, mordent aux invraisemblances et aux incohérences des textes bibliques canoniques ?
Ici, Serge Cazelais joue la carte de la bonne foi alors qu’il est rempli de préjugés, d’idées préconçues et que cet aveuglement l’empêche de bien lire le texte des pages où Parks cite Plutarque, ce qui survient à trois reprises, comme vous êtes à même de le constater ci-bas. Je me questionne moi aussi, mais c’est sur la capacité de M. Cazelais à bien lire un texte, lui qui fait dire à Parks des choses qu’il ne dit pas du tout. Une première fausse allégation sur Anton Parks de M. Cazelais, qui induit en erreur les gens qui lui donnent le bon dieu sans confession, dont JF et Kiwan dans ce vidéorandia.
Le premier extrait où Parks cite Plutarque démontre ma prétention à savoir qu’il a fort probablement lu le livre Adam Genisis rapidement, d’une façon superficielle, en diagonale, de même pour le premier tome des Chroniques. Il a donc confondu le texte avec ses propres idées préconçues qui l’ont aveuglé.
Vous remarquerez de plus qu’il ne donne jamais les référence de ses allégations, ni les preuves de ses dires et les correctifs appropriés. Il a fallu que je trouve par moi-même les passages évoqués par le Ph.D. dans le livre, ce qui a été assez fastidieux à faire.
Je suis allé lire Plutarque sur le net (je n’ai pas réussi à retrouver le même lien qu’en janvier 2013). J’y ai trouvé effectivement les trois allusions à Plutarque d’Anton Parks qui se retrouvent dans son tome II des Chroniques, soit dans la section Archives et Décodages.
À savoir :
Sources :
http://le-miroir-alchimique.blogspot.ca/2011/04/plutarque-traite-disis-et-dosiris-c-ier...
http://remacle.org/bloodwolf/historiens/Plutarque/isisetosiris1.htm
(9) Amoun / Manéthon
(13) Osiris / Fruit
( 61) Athéné / Mouvement propre à cette déesse
Extrait no 1 pp.359-360
La célébration égyptienne de la résurrection du roi défunt à travers son fils était opérée par des déesses-prêtresses qui portaient la croix ansée. Les deux KIR-IS-TI [^ renversé sur le S] «fils ardent de la vie» Osiris et Jésus connurent la résurrection à laquelle participèrent activement des saintes, respectivement Isis et Nephtys ainsi que Marie et Marie-Madeleine. Ces êtres féminins représentent l’Esprit Saint, le Saint-Esprit des judéo-chrétiens :
« Et si l’Esprit de Celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts habite en vous, Celui qui a ressuscité le Christ Jésus d’entre les morts donnera aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous». – La Bible, Epître aux Romains 8.11
Chez les chrétiens, le Christ est celui dont on attend le salut, il est le Messias (l’Oint), le messie transformé en «sauveur», en libérateur. Ces qualificatifs se rapprochent d’Horus en tant que justicier qui aura pour mission de venger son père, de libérer le peuple opprimé d’Osiris-Enki aux mains de Seth-Enlil et de laver le déshonneur de sa famille maternelle.
La langue latine nous apporte quelques éléments de compréhension concernant le terme «Messias» («oint, sacré par le seigneur»). Nous avons deux termes latins extrêmement approchants qui sont «Messio», «la moisson», et «Messis», «récolte de produits de la terre». Voici qui est des plus frappant, car Enki-Éa était le responsable des prêtresses Santana et Sandan [^ renversé sur le S de Sandan] qui récoltaient les produits agraires pour l’ensemble des Gina’abul-Anunna en Edin, lieu transformé en Paradis par l’idéologie judéo-chrétienne. Plutarque exprime la même idée au sujet d’Osiris dans son «Isis et Osiris» lorsqu’il dit que le «dieu» fit connaître les fruits de la terre aux Égyptiens.
Osiris symbolise le renouveau de la nature, et tout Égyptien décédé portait son nom. En tant que premier «dieu» mort et ressuscité, il était considéré comme le premier initié d’Égypte. Les traditions lui attribuent l’invention du blé, il est la divinité de la germination du grain d’où les Égyptiens tiraient un présage d’immortalité. Une fête importante, celle du mois de Khoiak, célébrait les mystères de la passion, de la mort et de la résurrection d’Osiris.
Extrait no 2 pp.367-368
La légende des Dogons nous décrit clairement un drame cosmique effroyable. Un bouleversement universel qui changea le cours de l’univers et celui des planètes. Le récit de l’arbre de l’horizon que nous avons évoqué un peu plus haut raconte la même histoire. Le démiurge Amon «ouvre» l’horizon oriental symbolisé par l’arbre Ised. [^ renversé sur le s] De cet arbre éclaté sort un serpent protecteur qui est souvent assimilé à Horus.
Hérodote et Plutarque assimilent Amon à Zeus, les Romains l’identifiant de leur côté à Jupiter. D’un point de vue astronomique, Amon représente à l’évidence la planète Jupiter.
Extrait no 3 pp.376
De cette intervention sortit Athéna «tout armée» (la forme guerrière de Vénus). La symbolique est éloquente dans ce mythe. Lorsqu’il est question de la tête de Zeus (Jupiter), il est fait allusion à la planète qui était à sa tête, c’est-à-dire juste devant Jupiter, à savoir l’astre noir dont nous avons parlé dans ce livre. Cette histoire nous raconte simplement le drame céleste qui fit éclater Mulge (l’astre noir) et éjecter Vénus de sa place originelle, lorsqu’elle n’était que le satellite de cette planète qui a explosé.
Dans son «Isis et Osiris», Plutarque cite Manéthon qui prétend que le nom d’Athéna évoque en grec «un mouvement spontané». Il est curieux d’observer que le nom Athéna transposé en suméro-akkadien donne une traduction intéressante : AT ou AD (cri, appel) EN (seigneur) A (père), soit AT-EN-A «le cri du seigneur-père».
Ajoutons qu’en faisant appel au jeu des homophonies – nous venons de noter que le AD sumérien correspond au AT akkadien – , la traduction d’Athéna en sumérien peut donc également se comprendre comme ÁD-EN-A, «l’envoyée du seigneur-père», ou encore ÀD-EN-A, «celle du cadavre du seigneur-père».
P(3)58 : Donc, l’allégation du Ph.D. est complètement fausse concernant Parks et ses références à Plutarque, n’en déplaise à ses fans. Comme Kiwan a le livre, vu dans un vidéorandia, l'équipe d'éso-exp./Orandia peut vérifier mes dires qui sont référencées.
Deuxième round à venir...
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
Serge Cazelais VS Anton Parks : Round 1 Plutarque Mise à jou
En noir : résumé, explication, contexte...
En vert : extrait Serge Cazelais, JF, Kiwan
En or : extrait Anton Parks
En bleu : commentaire personnel P(3)58
* En rouge : ajout mise à jour
Source : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67145
Sur Viméo : https://vimeo.com/56182775#at=1933
* On devrait plutôt lire : Désolé Cette vidéo n'existe plus.
J'ai vérifié la version audio et ça ne semble pas fonctionner non plus. Il reste mes transcriptions qui sont des plus fidèles.
À Peter : Juste rajouter ce qui est précédé d'un * pour la mise à jour aux mêmes endroits. Merci.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
Serge Cazelais VS Anton Parks : Round 2 Évangile de la Paix
En noir : résumé, explication, contexte...
En vert : extrait Serge Cazelais, JF, Kiwan
En or : extrait Anton Parks
En bleu : commentaire personnel P(3)58
Source : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67145
Sur Viméo : https://vimeo.com/56182775#at=1933
Pour en savoir plus sur Serge Cazelais : Complément Surprenant #1251:
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67146
Club CRÉÉE : Septembre 2006 Salle 609 :
http://www.esoterisme-exp.com/ClubCREEE_pub/Activites2006/609/609-tradition.php#BAT
OBJET : L'ÉVANGILE DE LA PAIX
À 1 :05 :08 du vidéorandia :
Kiwan amène le sujet des textes dits apocryphes. Parks aussi en fait mention dans son tome 2 pour introduire L’Évangile de la Paix.
À 1 :08 :05 du vidéorandia :
Serge Cazelais sur L’Évangile Essénien de la Paix
S.C. : [Anton Parks] C’est du roman de A à Z. Il n’y a rien, rien, rien de scientifique dans ça au niveau linguistique. Les références qu’il donne, il s’appuie sur des faux documents. Ça va peut-être froisser quelques personnes que je le mentionne, L’Évangile Essénien de la Paix, c’est malheureusement un faux du vingtième siècle.
À 1 :11 :22 :
Retour sur L’Évangile Essénien de la Paix
S.C. : C’est la même chose, le texte que j’ai mentionné juste avant, L’Évangile Essénien de la Paix, qui est un beau texte, un très très très beau texte, qui reproduit notamment des extraits des lettres de Paul, sans les attribuer à Paul, mais…C’est très très beau, mais le type qui a écrit ça, il prétend avoir travaillé à partir d’un manuscrit du Vatican et d’un manuscrit en langue slavonne. Puis les manuscrits, ils n’existent pas. C’est ça qui est triste dans ce cas-là C’est facile à voir quand quelque chose est faux, quand ça ne correspond à rien.
Anton Parks et Serge Cazelais s’entendent sur la même chose : c’est un très beau texte. C’est probablement pour cela qu’il l’a inséré dans son tome 2 des Chroniques du Girku, dans la partie Archives et Décodages, après la partie du récit. Ce qui les différencie, c’est que Serge Cazelais parle d’un faux document tandis que Parks parle d’un document qui ne peut être reconnu comme authentique par le Vatican.
P(3)58 : Personnellement, ce n’est pas un texte qui attire particulièrement mon attention. C’est une digression dans son argumentation et ses recherches dont l’impact est très minime. Moi, ce qui m’interpelle, c’est le fait que M. Cazelais se base sur cette insertion d’un extrait de L’Évangile de la Paix pour affirmer haut et fort que Parks se base sur de faux documents pour le reste. Il généralise sur quelque chose d’anecdotique. C’est de la mauvaise foi flaagrante.
D’ailleurs, M. Cazelais peut-il nous garantir sans l’ombre d’un doute que les documents sur lesquels il se base sont véridiques ? La véracité et l’authenticité d’un document sont deux choses complètement différente. Autrement dit, on parle du contenant et du contenu. Et c’est sur la base de l’authenticité / contenant que M. Cazelais déverse son fiel contre Parks alors que pourtant, il parle d’un très, très, très beau texte/contenu/véracité. Comment peut-il trouver un texte aussi beau et, du même souffle, condamner un auteur qui, pour la même raison, l’insère dans son livre en prenant bien soin d’avertir ses lecteurs que l’authenticité du texte fait l’objet d’une controverse ? Anton Parks fait preuve d’intégrité avec cet avertissement et, ainsi, n’induit pas le lecteur en erreur.
Après s’être carrément fourvoyé sur les extraits de Plutarque dans le tome 2 des Chroniques du Girku, par suite d’une mauvaise lecture, il persévère dans sa mauvaise foi sur l’extrait de L’Évangile de la Paix que Parks y a aussi inséré. Ceux qui mettent leur confiance en Serge Cazelais et qui ne lisent pas Anton Parks, eux sont induits en erreur.
Deux fausses allégations en deux. Ça ne fait pas une bonne moyenne au bâton, pour une personne dont les diplômes amènent JF et Kiwan à l’affubler d’éloges…
Pourquoi accepterais-je une invitation d’un individu qui est d’aussi mauvaise foi et qui me rabaisse en m’incitant à dépasser Anton Parks ? Comme si je n’avais pas de jugement et de discernement.
Voici l’introduction qui mène à l’extrait de L’Évangile de la Paix :
Extrait : pp.370 à 372
Le message de Jésus le Christ ne semble pas avoir été toujours bien assimilé, surtout qu’il apparaît comme ayant été tronqué dans les écrits judéo-chrétiens. Chez les Gnostiques, Jésus transmet, à l’instar de ses prédécesseurs KIR-IS-TI [un ^ à l’envers sur le S], un message en relation avec le culte de Sophia (la Sagesse), ce qui n’a sans doute guère réjoui la religion monarchique patriarcale qui administre ce monde. Les Gnostiques le voient comme un révélateur, comme un libérateur. Difficile de ne pas le rapprocher de son devancier Enki, le serpent gardien du jardin des «dieux» qui révéla la supercherie à l’esclave humain : «Il (Jésus dans le texte) le fit tenir debout et lui fit goûter de l’arbre de vie. Alors Adam regarda et pleura. Il éleva fortement la voix comme un lion rugissant, il arracha ses cheveux, cria frappa sa poitrine et dit : Malheur, malheur au créateur de mon corps, à celui qui a lié mon âme et aux rebelles qui m’ont asservi». 49
Les messages «apocryphes» de Jésus le Christ, rejetés par le culte judéo-chrétien, sont beaucoup plus spirituels que dans la Bible classique : «Avez-vous donc découvert l’origine, pour que vous cherchiez la fin ? Car à l’endroit où se trouve l’origine, là sera la fin. Heureux celui qui se trouvera à l’origine, car il connaîtra la fin et ne goûtera pas la mort… Si l’on vous demande d’où vous provenez, répondez ceci : Nous sommes venus de la lumière, de là où la lumière est produite par elle-même, où elle s’est trouvée et s’est manifestée en mon image» (Évangile selon Thomas, 18 et 50). 50
Jésus le Christ souligne particulièrement le rôle de l’Éternel Féminin dans le magnifique texte apocryphe intitulé «L’Évangile de la Paix» dont l’original en langue araméenne est jalousement conservé à la Bibliothèque du Vatican. Bien entendu, ce manuscrit ne peut être reconnu comme authentique par le clergé pour des raisons que vous allez découvrir, non sans une certaine amertume :
«Votre Mère est en vous et vous êtes en Elle. C’est Elle qui vous a enfanté et qui vous a donné la vie. C’est à Elle que vous êtes redevables de votre corps, et c’est à Elle que vous devrez le rendre un jour. Heureux serez-vous lorsque vous saurez la connaître, Elle et son royaume, lorsque vous recevez les anges de votre Mère et lorsque vous vous conformerez à ses lois. Je vous le dis, en vérité, celui qui est arrivé à cela ne verra jamais la maladie, car le pouvoir de votre Mère domine tout. Et il détruit Satan ainsi que son royaume ; et la loi de votre Mère régit tous vos corps comme tous les êtres vivants […] Je vous le dis, tant que vous ne suivrez pas les lois de votre Mère, vous ne pourrez, dans aucun cas, échapper à la mort. Et celui qui s’attachera à respecter les lois de sa Mère, c’est à celui-là que sa Mère s’attachera. Elle guérira tous ses maux et jamais il ne sera malade. Elle lui donnera longue vie, le protègera contre toutes les afflictions et le gardera des atteintes du feu, de l’eau et de la morsure des serpents venimeux. Car c’est votre Mère qui vous a enfanté et c’est Elle qui maintient la vie en vous. Elle vous a donné votre corps et personne d’autre qu’Elle ne vous guérit. Heureux celui qui aime sa Mère et qui se repose en paix sur son sein ! Car, même lorsque vous vous éloignez d’Elle, votre Mère vous aime. Et combien plus encore vous aimera-t-elle si vous revenez à Elle. Je vous le dis, en vérité, grand est son amour, bien plus grand que les hautes montagnes, bien plus profond que les mers les plus profondes. Et ceux qui aiment leur Mère ne sont jamais abandonnés par Elle. De même que la poule protège ses poussins, la lionne ses petits, la mère son nouveau-né, ainsi votre Mère, la Terre, protègera le Fils de l’Homme de tous les dangers et de tous les maux». 51
Après avoir recommandé à l’Homme de prier le Père céleste, Jésus fait de même avec… l’Éternel Féminin :
«Et priez de cette manière votre Mère, la Terre : Notre Mère qui est sur la terre, que ton nom soit sanctifié. Que ton règne vienne et que ta volonté s’accomplisse en nous comme en toi. De même que tu missionnes chaque jour tes anges pour le service, envoie-les vers nous. Pardonne-nous nos fautes, comme nous expions toutes nos fautes envers toi. Ne permets pas que nous devenions la proie de la maladie, mais délivre-nous de tout mal. Car c’est à toi qu’appartiennent la terre, le corps et la santé. Amen.» 51
49 BAR KHONI, Théodore, «Le livre des Scholies 11», (8e siècle), dans ROUSSEAU, Hervé, « Le Dieu du Mal», Presses Universitaires de France, Paris, 1963.
50 Manuscrit de Nag-Hammadi, «Évangile selon Thomas», Codex NH2, dans WAUTIER, André, «Textes Gnostiques de Sheneset», éditions Ganesha, 1989-2000.
51 SZEKELY, Edmond, «L’Évangile de la Paix», éditions Pierre Genillard, 1974 (+ extrait suivant).
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
Serge Cazelais VS Anton Parks : Round 2 Évangile de la Paix
En noir : résumé, explication, contexte...
En vert : extrait Serge Cazelais, JF, Kiwan
En or : extrait Anton Parks
En bleu : commentaire personnel P(3)58
Source : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67145
Sur Viméo : https://vimeo.com/56182775#at=1933
Pour en savoir plus sur Serge Cazelais : Complément Surprenant #1251:
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67146
Club CRÉÉE : Septembre 2006 Salle 609 :
http://www.esoterisme-exp.com/ClubCREEE_pub/Activites2006/609/609-tradition.php#BAT
OBJET : FAUX DOCUMENTS
À 1 :08 :05 du vidéorandia :
Serge Cazelais sur L’Évangile Essénien de la Paix
S.C. : [Anton Parks] C’est du roman de A à Z. Il n’y a rien, rien, rien de scientifique dans ça au niveau linguistique. Les références qu’il donne, il s’appuie sur des faux documents. Ça va peut-être froisser quelques personnes que je le mentionne, L’Évangile Essénien de la Paix, c’est malheureusement un faux du vingtième siècle.
FAUX DOCUMENTS
Je vais développer sur son allégation qu’Anton Parks s’appuierait sur de faux documents avec ses références.
Je vais donc mettre les références qui me semblent liées directement aux connaissances de M. Cazelais. Ce sera aux lecteurs de se faire leur propre opinion. Si vous trouvez un «faux document» dans la liste, signalez-le.
Pourtant, il y a un document qui revient souvent et duquel je suis d’accord avec Serge Cazelais : la Bible !
S’il y a un livre dont on peut remettre en question l’authenticité des auteurs, la fiabilité des textes, des diverses traductions, la véracité du contenu, c’est bien la Bible.
Malgré mes révisions, des «coquilles» peuvent s’être glissées dans ma transcription.
TOME I : LE SECRET DES ÉTOILES SOMBRES
N.B. Dans l’édition que je possède, soit celle des Éditions Nenki, une page accompagnant le livre, vient compléter sa bibliographie. Qu’en est-il pour avec les divers changements de maison d’édition depuis ? (Éd. Nouvelle Terre et Éd. Pahana Books) Alors je vais la transcrire ici :
" ERRATUM
Suite à un problème d’infographie, une erreur de titre s’est glissée à la page 330 où le chapître 7 s’intitule en réalité : «Le secret de l’Ubšu’ukkinna».
Nous reproduisons en outre ci-après la bibliographie manquante de l’ouvrage.
(1) LE LIVRE D’ADAM ou «CODE NAZARÉEN», éditions Robert Laffont, Paris, 1980
(2) FACSIMILE OF MESOPOTAMIAN TEXTS AND CUNEIFORM LITERATURE, Don Moore’s personnel collection
(3) KÁSSKARA UND DIE SIEBEN WELTEN, «Die Geschichte der Menscheit in der Űberlieferung der Hopi-Indianer», J.F. Blumrich, Knaur, München 1979-1985
(4) LE ZOHAR, Collection «Les Dix Paroles», éditions Verdiers, 1981
(5) LE DIEU DU MAL, Hervé Rousseau, Presses Universitaires de France, 1963
(6) LA MYTHOLOGIE CHINOISE, Yan Hansheng et Suzanne Bernard, éditions You-Feng, 2002
(7) MYTHOLOGIES – Anthologie des mythes et légendes du monde, Gründ, 2002
(8) LA BIBLE DE JERUSALEM, éditions du Cerf, 1986
(9) MYTHOLOGIES DES PEUPLES LOINTAINS OU BARBARES, Paul Grimal, Librairie Larousse, 1963
(10) LA TRADITION PRIMORDIALE DE L’EGYPTE ANCIENNE SELON LES TEXTES DES PYRAMIDES, Christian Jacq, édition Bernard Grasset, 1998
(11) LES MANUSCRITS DE LA MER MORTE, traduction intégrale, M. Wise, M. Abegg Jr et E. Cook, Plon, Paris, 2001
(12) THE GNOSTIC SOCIETY LIBRARY – The Nag Hammadi Library : www.gnosis.org/naghamm/nhlalpha.html
(13) MYTHES ET DIEUX DE L’INDE, Alain Danielou, éditions du Rocher, 1992
(14) SHIVA ET DIONYSOS (Documents spirituels), Alain Danielou, Librairie Arthème Fayard, 1979
(15) Dossier sur le VIMANA indien : www.chez.com/pioum/conspirations/vimana.htm
(16) LA NOTION GNOSTIQUE DU DEMIURGE dans les écritures et les traditions Judéo-Chrétiennes, Robert Ambelain, éditions Bussière, 2002
(17) LE LIVRE DUHOPI (histoire, mythe et rites des Indiens Hopi), Frank Waters, éditions Payot, 1978
(18) ECRITS GNOSTIQUES, Codex de Berlin par Michel Tardieu, éditions du Cerf, 1984
(19) FOLIES, MYTHES ET MAGIES D’AFRIQUE NOIRE, Christine Bastien, éditions l’Harmattan, Paris, 1988
(20) LE SHIVA PURANA (La légende immémoriale du dieu Shiva), traduit par Tara Michaël, Collection Unesco – Gallimard, 1991
(21) RIG-VEDA, traduit par A. Langlois, Jean Maisonneuve éditeur, 1984
(22) POUR LA SURVIE DE PHARAON – Le texte funéraire de l’Amdouat dans la tombe de Thoutmosis III, Jean-Yves Barré, éditions Errance, Paris, 2003
(23) PAROLES DU BOUDDHA par Marc de Smedt, éditions Albin Michel, 1993
(24) LIVRE DES MORTS DES ANCIENS EGYPTIENS par Grégoire Kolpakchy, Dervy-Livres, Paris, 1979
(25) LA BIBLE, Texte hébraïque d’après la version massorétique, Librairie Colbo, Paris, 1967 "
Suite des références dans le livre comme tel :
AVANT-PROPOS :
p.6 Ext. du Livre des Cavernes des Anciens Egyptiens, Section 1
p.6 Le livre des Morts des Anciens Egyptiens, chapître 79, 5-6
CHAPITRE 1 : La bataille du passé
p.11 Les tablettes d’argile en Mésopotamie contenant entre autre les récits de la Création
p.14 Les tablettes sumériennes et babyloniennes exhumées en 1975
p.15 Les tablettes d’argile de la ville d’Ebla découvertes en Syrie en 1975
p.14 La littérature juive et les plus anciens textes du Coran
p.23 Ours Blanc, indien Hopi, village Oraibi, livre de J.F. Blumrich
p.24 Sources archéologiques et anthropologiques :
(2) André Parrot, «Sumer», édition Gallimard, 1981
(3) Samuel Noah Kramer, «Le Berceau de la Civilisation», collection Time-Life, 1967
(4) S. N. Kramer, «L’histoire commence à Sumer», réédition Flammarion, 1994
(5) Michael A. Cremo & Richard L. Thompson, «Forbidden Archeology – The Hidden History of the Human Race», BhaktivedantÀ Book Publishing, Inc, 1993, 1996, 1998. Version française abrégée : «L’histoire secrete de l’espèce humaine», Éditions du Rocher, 2002
(7) Carl Edward Baugh & Clifford Wilson «Footprints and The Stones of Times», Hearthstone Pub. 1994 www.creationevidence.org
(10) Martin Wilson, «The Pyramid of Caral», BBC-Horizon, 2002
CHAPITRE 2 : Diviser pour mieux régner : NIL
CHAPITRE 3 : Civilisation sous contrôle occulte
p.41 Speculum Naturale de Vincent de Beauvais
p.41 Jérôme, Commentarii in Isaiam
p.41 In Lucien-Jean Bord et Piotr Skubiszewski : L’IMAGE DE BABYLONE AUX SERPENTS DANS LES BEATUS, Contribution à l’étude des influences du Proche Orient antique dans l’art du Moyen Age, Carscript, Paris, 2000.
p.42 Chant hurrite d’Ullikummi, troisième tablette (Syrie du Nord)
p.42 Texte de l’Amduat (tombe de Thumtmosis III), 5ième heure, 3, 197-199 (Égypte)
p.42 Le Rig-Veda (Inde)
p.43 La Bible, Isaïe 66, 15-16 (Proche-Orient)
p.43 Ours Blanc, traditions des Indiens Hopi de l’Arizona (Amérique du Nord)
CHAPITRE 4 : Le langage des étoiles et le code secret des «Anges» rebelles
Extrait p.78 : Vous trouverez au début de chaque chapitre des extraits tirés de diverses légendes et traditions du globe. Ces passages vous aideront à élargir votre vision de l’Histoire de l’humanité et vous démontreront l’universalité du récit qui vous est conté. Chaque peuple possède sa propre version des faits, et de nombreuses traditions de la planète décrivent les mêmes événements.
p.79 Textes apocryphes et gnostiques : textes de Shenesêt en Haute-Égypte, communément nommés textes de Nag-Hammadi
RÉCIT
PREMIÈRE PARTIE : L’HÉRITIER DES UŠUMGAL
p.87 Le Livre d’Adam, partie 1, extrait du chapitre 27
p.87 Enûma Eliš, l’Épopée babylonienne de la Création, tablette 1, extrait des lignes 1 à 16
p.93 Ours Blanc, Traditions des Indiens Hopi – KÁSSKARA UND DIE SIEBEN WELTEN
p.107 Le Zohar, Tiqoune Ha-Zohar, 22b
p.112 Manuscrit gnostique, Hippolyte 6,34
p.119 Le Zohar, Tiqoune Ha-Zohar, 22a
p.130 Légende chinoise de la Déesse-Mère Tai Ping Yu Lang, tiré des «Lecture impériale, sous les Song» et Chu Ci de «l’Anthologie poétique des Chu»
p.131 La Bible, Les Proverbes, chapitre 8,23-31
DEUXIÈME PARTIE : LA GENÈSE DES NUNGAL ET DES ANUNNA
p.137 Légende tirée des inscriptions runiques des anciens Turcs de l’Orkhon
p.147 Les Textes des Pyramides, 320,a-b
p.155 Manuscrits de Qumran, Psaumes d’action de grâce (rouleau des Hymes) Col. 22 frag. 4
p.166 Manuscrit de Nag-Hammadi, «Tonnerre, Esprit Parfait», Codex 6,2
p.176 Karâpatrî, Shrî Vishnu Tattva
p.181 La Bible, Isaïe 59,5
p.181 Le Zohar, Berechit 2, 35b
p.181 Kûlârnava Tantra, 7,99
p.197 Manuscrit de Nag-Hammadi, «Sur l’Origine du Monde», Codex 5; 13,2
p.202 La Genèse Rabba, chapitre 15, partie 7
p.203 Codex Borgia, planche 74, 66
p.213 Manuscrit de Nag-Hammadi, «La Sagesse de Sylvain», Codex 7, extrs. 30 et 33
p.224 Enûma Eliš, l’Épopée babylonienne de la Création, 120-122
p.233 Ours Blanc, tradition des Indiens Hopi
p.239 Manuscrit de Nag-Hammadi, «Zostrien», Codex 7, 81
p.254 Sanskrit Samarangana Sutradhara
p.254 Extrait du Livre des Trésors d’Adam
p.262 Le Livre du Hopi
p.268 Le Livre secret de Jean, codice gnostique de Berlin B45, 19-B46,9
TROISIÈME PARTIE : RÉVÉLATIONS ET HOSTILITÉ
p.277 Manuscrits de Qunram, «Prescriptions relatives aux punitions pour infraction aux règles», extraits 4Q266 Frag.18 et 4Q270 Frag.11
p.283 Propos des guérisseurs maliens en milieu Bambara
p.286 Christine Bastien, «FOLIES, MYTHES ET MAGIES D’AFRIQUE NOIRE», Éd. l’Harmattan, Paris, 1988
p.288 Le Livre d’Adam, partie 1, extrait du chapitre 27
p.295 Shiva Purâna, Vdyeshvara Sambitâ, chap. 21, 25-32
p.296 Papyrus égyptiens et tablettes mésopotamiennes
p.301 Légende hittite de Hupasiya
p.307 Les Textes des Pyramides, extraits 1153 et 379a
p.307 Rig-Veda, sixième section, Hymne 7
p.316 Les Textes des Pyramides, 2204a; 198b; 1146b
p.316 Manuscrit de Nag-Hammadi, «l’Évangile de St Thomas», Codex 2,2
p.330 Texte de l’Amduat, tombe de Thumtmosis III, 3ème heure, 1, 25-27
p.348 Enûma Eliš, l’Épopée babylonienne de la Création, tablette 1, extrait des lignes 85 à 135
p.348 «Le vrai vainqueur», parole de Bouddha
p.363 Le Livre des Morts des Anciens Égyptiens, chapitre 229
p.382 Traditions égyptiennes comme les Textes de Shabaka, les Textes des Pyramides, le Livre des Morts
À VENIR : LES RÉFÉRENCES DES DOCUMENTS DU TOME II ADAM GENISIŠ
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
Serge Cazelais VS Anton Parks : Faux Documents 2
FAUX DOCUMENTS
Partie 2
Je vais développer sur son allégation qu’Anton Parks s’appuierait sur de faux documents avec ses références.
Je vais donc mettre les références qui me semblent liées directement aux connaissances de M. Cazelais. Ce sera aux lecteurs de se faire leur propre opinion. Si vous trouvez un « faux document » dans la liste, signalez-le.
J’essaie d’éviter les doublons. Ex. Plusieurs livres écrits par le même auteur : Christian Jacq. Je le cite une fois.
Évidemment, la bibliographie contient les principales références. Mais, il inclut aussi dans son livre de nombreux extraits, des allusions, des citations, des sources, d’autres références.
Pourtant, il y a un document qui revient souvent et duquel je suis d’accord avec Serge Cazelais : la Bible !
Malgré mes précautions, des « coquilles » peuvent s’être glissées dans ma transcription.
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TOME II : ADAM GENISIŠ
pp.513-514 Bibliographie 1
(1) FACSIMILE OF MESOPOTAMIAN TEXTS AND CUNEIFORM LITERATURE, Don Moore’s personnal collection
(2) THE GNOSTIC SOCIETY LIBRACY – The Nag Hammadi
Library : www.gnosis.org/naghamm/nhlalpha.html & TEXTES GNOSTIQUES DE SHENESET par André Wautier, éditions Ganesha, 1989-2000
(3) DIEU DESSÉCHA LE FLEUVE (la relation Homme-Dieu dans les traditions orales du Zaïre), Hermann Hochegger, Publication du Centre d’Étude Ethnologiques Bandundu, 1978
(4) LA DOCTRINE DU SACRIFICE (mythes védiques), Ananda K. Coomaraswamy, réunis et traduit par Gérard Leconte, éditions Dervy, 1997
(5) DE NATURA ANIMALIUM LIBRI 17, Claudius Aelianus, (Pedro Gillio Gallo & Conrado Gesnero Interpretibus), Joann Tornassium, Geneva, 1611
(6) LES MYTHES RELIGIEUX, Robert Graves & Raphael Patai, éditions Arthème Fayard, France, 1987
(7) LES LÉGENDES DES JUIFS, (La création du monde, Adam, les dix générations, Noé), Louis Ginzberg, éditions du Cerf, 1997
(8) THE GENIUS OF THE FEW, Christian & Barbara O’Brien, Dianthus Publishing, 1985, revised edition, 1999
(9) DÉLUGES ET AUTRES CATASTROPHES (Mythes d’Amazonie et de Nouvelle-Guinée), Alain Monnier, éditions Slatkine, Genève, 1999
(10) DIEU D’EAU, (Entretiens avec Ogotemmêli), Marcel Griaule, éditions Fayard, 1966
(11) LIVRES ET LÉGENDES BOGOMILES, Jordan Ivanov, Les littératures populaires de toutes les Nations, nouvelle série, Tome 21, G.P. Maisonneuve et Larose éditions, Paris, 1976
(12) DANS UN PEUPLE DE DIEU – Mythologie de l’Hinterland libérien, Roger Dorsinville, Société Nationale d’Édition et de Diffusion, Alger, 1971
(13) MYTHES SUR L’ORIGINE DE L’HOMME, Xavier Yvanof, éditions Errance, 1998
(14) NOIRS ET BLANCS, Veronika Görög-Karady, centre National de la recherche scientifique et du conseil international de la langue française, Selaf, 1976
(15) LES MANUSCRITS DE LA MER MORTE, traduction intégrale, M. Wise, M. Abegg Jr et E. Cook, Plon, Paris, 2001
(16) LA BIBLE DE JÉRUSALEM, éditions du Cerf, 1986
(17) KÁSSKARA UND DIE SIEBEN WELTEN, "Die Geschichte der Menscheit in der Uberlieferung der Hopi-Indianer", J.F. Blumrich, Knaur, München 1979-1985
pp.515-516 Bibliographie 2
(R-1) LES ARCHIVES DU SAVOIR PERDU, Guy Tarade, éditions Robert Laffont, 1972
(R-2) LES DIEUX DE L’ESPACE ET DES TÉNÈBRES, Richard E. Mooney, éditions Plon, 1976
(R-3) FLYING SERPENTS AND DRAGONS, R.A. Boulay, The Book Tree, 1997-1999
(R-4) LES TECHNOLOGIES DES DIEUX, David Childress, éditions la Huppe, 2004
(R-5) LES MYTHES GRECS, Robert Graves, éditions Hachette, 1999
(R-6) LE ZODIAQUE D’OSIRIS, S. Cauville, éditions Peeters, 1997
(R-7) MONDES EN COLLISION, Immanuel Velikovsky, réédition Le Jardin des Livres, 2003
(R-8) NOS ANCÊTRES LES ANGES, Andrew Collins, éditions La Huppe, 2002
(R-9) LA VIE VIENT D’UNE INTELLIGENCE SUPÉRIEURE, Jean Sider, éditions JMG, 2002
(R-10) LE RENARD PÂLE, Marcel Griaule et Germaine Dieterlen, Institut d’Ethnologie, Musée de l’Homme, Paris, 1965
(R-11) La recherche présente : NÉANDERTHAL, éditions Tallandier, 2006
(R-12) DIEU D’EAU, (Entretiens avec Ogotemmêli), Marcel Griaule, éditions Fayard, 1966
(R-13) ENTETE (La Genèse), la Bible traduite et commentée par André Chouraqui, éditions J-C Lattès, 1992
(R-14) DÉCHIFFREMENT DE L’ÉCRITURE MAYA, Werner Wolff, éditions Geuthner, 1938
(R-15) LES TRAVAUX PUBLICS ET LES MINES DANS LES TRADITIONS ET LES SUPERSTITIONS DE TOUS LES PAYS, Paul Sebillot, Guy Durier éditeur, 1894, réédition 1979
(R-16) NOTES DE TERRAIN, Marcel Griaule / Dogon Ogotemmêli, 11 microfiches non publiées, Institut d’Ethnologie, Paris, 1974
(R-17) Magazine Les Archives du Savoir Perdu, No 11, janvier-février 2007
(R-18) Cheikh Anta Diop / ANTÉRIORITÉ DES CIVILISATIONS NÈGRES, Présence Africaine, 1967, réédition 1993
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AVANT-PROPOS
p.8 Le Livre d’Adam, Extrait de la deuxième partie du chapitre 1
p.10 Références de manuels de langues orientales : les éditions Geuthner, manuels sumériens et akkadiens
pp.21-22 Ugur, nom du cristal (Ǧírkù) qui contient toutes les données linguistiques et historiques reçues par Anton Parks
RÉCIT
1. LES MAÎTRES D’URAŠ
p.25
. Fragment de la plus ancienne tablette sumérienne connue à ce jour (ébréchée)
. Manuscrit de Nag-Hammadi, "Le Livre Secret de Jean", Codex NH2-1 ; 28
. Tradition orale des Lumwe du Zaïre
p.37
. Maimonide, "Les Regeles des Mouers"
. Seldenus, "Die Diis Syriis"
p.40
. Manuscrit de Nag-Hammadi, "Marsane", Codex 10
. Pancavimsha Brâhmana 25, 15-4
p,47
. Livre des Portes, 12e heure (Égypte)
. Codex Nuttall, planche 29 (Mexique)
p.52 Manuscrit sanskrit Samarangana Sutradhara
p.64 Codex mexicain Fejervary-Mayer (planche 42)
p.65
. Manuscrit de Nag-Hammadi, "la paraphrase de Shem" Codex 7, 65-67-68
. Extrait de la tablette sumérienne "Comment Ereškigal a choisi le monde du dessous"
p.69 Codex Borgia des anciens mexicains, planche67
p.77
. Otzar Midrashim, recueil de deux cents midrashim
. Vita Adae 14-16
p.81 Traditions juives dans l’exégèse rabbinique
p.82 Hymne d’Iunyt (Esna en Haute Égypte)
p.87 Livre des Morts égyptien et textes funéraires égyptiens
p.96 Tablette K5157 (texte bilingue dans Babylonian Liturgies – Paris, 1013)
p.101 Texte gnostique de Nag-Hammadi, "Les Origines du Monde", Codex NH2-5 ; 20
p.104 Poême babylonien Atrahasis, extraits des lignes 1 à 26
p.117 Sceau sumérien
p.125 Les tablettes sumériennes de Kharsağ (Harsağ), extraits des tablettes 1 et 2 datant du troisième millénaire av. J.-C.
p.134 Gravure de Fra Mauro (datée du 15e siècle)
p.135 Croyance provenant de Papouasie Occidentale (Nouvelle-Guinée)
2. L’ARGILE ET LES ÉTOILES
p.155 Manuscrit de Nag-Hammadi, "L’Évangile selon Philippe", Codex NH2 ; 96
p.184 Tradition bulgare du village de Ustovo, dans les monts Rhodopes
p.185 Texte sumérien "Enki et Ninmah"
p.198 Manuscrit de Nag-Hammadi, "Exposé du Valentinisme", Codex NH11 ; 26
p.206 Doctrines hébraïques
p.209 Tablette babylonienne Nûr-Aya, tablettes du texte cosmogonique d’Aššur et de l’Épopée babylonienne de la Création (Enûma Eliš)
p.213 Propos de Gleone, conteur et chef de village, Jabo Sie, vieux guerrier et sage de la tribuKru et Mythe kabyle de la Création (Algérie)
p.220 Texte Cabinda (Afrique centrale)
p.221 Extraits du poème sumérien "Louange à la pioche"
p.225 Hymne à Enlil – University Museum of Philadelphia et Prière à Enlil – Dalglish text no11, Psalm fifty-one
p.226
. Le texte DP82 de la ville de Lagaš
. Les tablettes de comptabilité DP-602
. La tablette DP-67
. Les archives du Grand Document Juridique de la ville d’Enlil, Duranki (Nippur)
(Archives du Département des Antiquités Orientales du Musée du Louvres à Paris)
p.227
. Yvonne Rosengarten, "Le régime des offrandes dans la société sumérienne" (CNRS), éd. E. de Boccard, Paris, 1960
. Le poème sumérien "Le bétail et le grain"
p.232 Il cite les dires de Diodore de Sicile
p.233 Hésiode dans "Les Travaux et les Jours"
p.235
. Version simplifiée de "la liste royale sumérienne"
. Tablette d’argile attribuée à la déesse de la guérison Gula, KAR 73,30 – épopée babylonienne
. Manuscrits de la Mer Morte 4Q266 Frag.9 col.2
p.238
. Hérodote (1.2, ch. c2 et suiv.)
. "Les Merveilles de l’Inde" traduction de Marcel Devic, Paris Lemerre, 1878 (ch. 36)
. Littré dans une note de sa traduction de Pline, tome 1 p.473
. Agricola (Georgius Agricola "Bermannus, sive De re metallica", 1657)
. Walckener dans "Collection de voyages en Afrique", tome 5, Paris 1842
p.247 Le Zohar, en Berechit II (37a)
p.250
. Guy Rachet, "Dictionnaire des civilisations de l’Orient ancien", Larousse, 1999
. Le poème sumérien "Enki et l’ordre du monde"
. Platon
. La tablette "Enki et Ninhursağ"
3. LE CHEMIN DE LA RÉDEMPTION
p.261
. Manuscrit de Nag Hammadi, "le Codex Asclepius"
. Texte gnostique, la parole de Jésus-Christ, "le deuxième Livre de Jésus"
p.276
. Extraits de l’épopée d’Erra et Išum et d’un ancien rituel liturgique
. Tradition rabbinique, Sepher Hassidim, 290
p.283
. Extraits de la fin du poème "Le Mariage du Sud"
. Emmerkar et le Seigneur d’Aratta
. Extrait d’une tablette de l’Ashmolean Museum d’Oxford
p.289 Texte des Sarcophages, 146 (B1C)
p.294 Tablettes sumériennes : "Lamentations pour Kalam (Sumer) et Urin", "Lamentations pour la ville d’Eridug (Eridu)", "Lamentations pour la ville de Duranki (Nippur)", "Lamentations pour la ville de Unug (Uruk)", "Lamentations pour la ville d’Ur"
p.299 Les tablettes sumériennes du poème "Enki et Inanna"
p.311 Textes des Pyramides (1657)
p.313 Livre des Morts égyptien (chapitre 161)
FIN DU RÉCIT
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PARTIE INVESTIGATIONS / RECHERCHES / ESSAI
4. ARCHIVES ET DÉCODAGES
p. 320 SITCHIN, Zecharia, "La Douzième Planète", Éd. Louise Courteau, 2000
p.329 LANGLOIS, A., "Rig-Veda", Bibliothèque Orientale, éditions Jean Maisonneuve, 1984
p.330 DANIELOU, Alain, "Mythes et dieux de l’Inde", éditions du Rocher,1992
p.333 JACQ, Christian, "La tradition primordiale de l’Égypte ancienne", Grasset, 1998
p.336 BARGUET, Paul, "Le Livre des Morts", éditions du Cerf, 1967
p.337 ANTONIADI, E.M., "L’astronomie égyptienne", éditions Burillier, 2003
p.340 JOANNÈS, Francis, "Dictionnaire de la civilisation mésopotamienne", éditions Robert Laffont, 2001
p.341 HANCOCK, Graham, "L’Empreinte des Dieux", éditions Pygmalion, 1996
p.348 MURRAY, Margareth, "The Splendour that was Egypt", Sidgwick & Jackson, London, 1987, cité dans le livre « p.341 » ci-dessus
p.351
. Berossus, d’après "Les Anciens Fragments"
. CORY, Isaac Preston, "Ancient Fragments", Wizard Bookshelf, Mecosta, MI (É.-U.), 1980
. CENTINI, M., "Atlantide, lieux et cites disparus", éditions de Vecchi, 2003
. WALLIS BUDGE, E.A., "A Hieroglyphic Vocabulary to the Book of the Dead", E.A. Dover Publications, 1920, réédition 1991
p.355 GUILMOT, Max, "Les initiés et les rites initiatiques en Égypte ancienne", éditions Arista, 1991
p.356 SABBAH, Messod et Roger, "Les Secrets de l’Exode", (L’origine égyptienne des Hébreux), éditions Seld/Jean-Cyrille Godefroy, 2000
p.359
. RACHET, Guy, "Dictionnaire des civilisations de l’Orient Ancien", éditions Larousse, 1999
. THIBAUD, Robert-Jacques, "Dictionnaire de la mythologie et de la symbolique égyptienne", éditions Dervy, 1996
p.361 TT 373 (Thèbes) in KOEMOTH, Pierre, "Osiris et les arbres", De Aegyptiaca Leodiensia 3, Liège, 1994
p.368 Hérodote et Plutarque
p.370
. "Mysteries of the Alphabet", Marc Alain Ouaknin, Abbeville Press Publishers, 1999, p.158
. BAR KHONI, Théodore, "Le livre des Scholies 11", (8e siècle), dans ROUSSEAU, Hervé, "Le Dieu du Mal", Presses Universitaires de France, Paris, 1963
p.371 SZEKELY, Edmond, "L’Évangile de la Paix", éditions Pierre Genillard, 1974
p.373 FAULKNER, R.O., "The Ancient Egyptian Pyramid Texts, 1910", Kissinger Publishing, reedition de 2004
p.384 TEYSSÈDRE, Bernard, "Anges, Astres et Cieux", Albin Michel, 1986
p.386 BRUSCHWEILER, Françoise, "Inanna", éditions Peeters, "les cahiers du Cepoa", 4, 1987
p.387
. À Ištar, King STC, 2, dans "Hymnes et prières aux dieux de Babylonie et d’Assyrie", éditions du Cert, 1976
. À Ištar, dans "Sumerian and Babylonian Psalms", Langdon, 1909
p.388
. CHARROUX, Robert, "Le Livre des Secrets Trahis", éditions Robert Laffont, 1965
. VIROLLEAUD, C., "La déesse Anat", mission de Ras Shamra, volume 4, 1938
p.392 PIMPANEAU, Jacques, "Chine, Mythes et Dieux", éditions Philippe Picquier, 1999
p.394 DE HEUSCH, Luc, "Rois nés d’un cœur de vache", éditions Gallimard, 1982
p.395 VON BOMHARD, Dr. A.S., "Le Calendrier égyptien – Une œuvre d’éternité", Periplus publishing, 1999
p.396 VINCENT, Louis-Claude, "Le Paradis de MU", volume 1, éditions Copernic, 1981
p.397 MOORE, Robert J., "Les Indiens d’Amérique", éditions Place des Victoires, Paris, 2002
p.401 Text of Pepi, extr. des lignes 443/449-452/471-488
p.405
. Mythe cosmogonique Nahuatl – Prose ancienne, Teotlahtolli ("La Parole Divine")
. LEON-PORTILLA, Miguel, et LEANDER, Brigitta, "Anthologie Nahuatl", l’Harmattan/éditions UNESCO, 1996
p.406 XOKONOSCHTLETL, "Unserer einziger Gott ist die Ende", (Aurum Verlag, 1991)
p.407 DE SAHAGUN, B., "Le Tonalamatl ou calendrier divinatoire des Anciens Mexicains", éditions Le Mail, 1989
p.409 Textes des Sarcophages 673 (B1Bo)
p.410 CARRIER, Claude, "Les Textes des Sarcophages" (3 volumes), éditions du Rocher, 2004
p.415 SLOSMAN, Albert, "Le Livre de l’au-delà de la Vie", éditions Baudouin, 1979
p.418 SCHWARZ, Fernand, "Les traditions de l’Amérique ancienne", éditions Dangles, 1982
p.419 FERGUSON, Erna, "Dancing Gods – Indian Ceremonials of New Mexico and Arizona", Alfred A. Knopf, New York, 1931
p.424 KOLPAKTCHY, Grégoire, "Le Livre des Morts des Anciens Égyptiens", éditions Dervy, 1983
p.427 BANCOURT, Pascal, "Le Livre des Morts égyptien – Livre de Vie", éditions Dangles, 2001
p.430 BARRÉ, Jean-Yves, "Pour la survie de Pharaon", (le texte funéraire de l’Amduat dans la tombe de Thutmosis III), éditions Errance, 2003
p.438 LECARDONNEL, Marie-Lucie, "Lumière de l’Horizon égyptien", éditions Guy Trédaniel, 1996
p.440 DOIGNON, Olivier, "L’étoile flamboyante", La Maison de Vie, 2002
p.458 TOURNAY, Raymond-Jacques, et SHAFFER, Aaron, "L’Épopée de Gilgameš", Éditions du Cerf, 1998
p.483 MASSON, Hervé, "Dictionnaire Initiatique", Jean-Cyrille Godefroy éditions, 1982
p.485
. ELIADE, Mircea, "Traité d’histoire des religions", éditions Payot, 1949
. CALAME-GRIAULE, Geneviève, "Le Thème de l’arbre dans les contes africains", Bibliothèque de la Selaf, Paris, 1969
p.490 HISLOP, Alexander, "Les deux Babylones", éditions Fischbacher, 1972-2000
p.503 PICKNETTE, L., et PRINCE, C., "La Porte des Étoiles", éditions du Rocher, 2000
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
Serge Cazelais VS Anton Parks : Round 3 Le sumérien
Auteur Anton Parks
Éditions Nenki
2005
403 pages
En noir : résumé, explication, contexte...
En vert : extrait Serge Cazelais, JF, Kiwan
En or : extrait Anton Parks
En bleu : commentaire personnel P(3)58
Source : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67145
Sur Viméo : https://vimeo.com/56182775#at=1933
Pour en savoir plus sur Serge Cazelais : Complément Surprenant #1251:
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67146
Club CRÉÉE : Septembre 2006 Salle 609 :
http://www.esoterisme-exp.com/ClubCREEE_pub/Activites2006/609/609-tradition.php#BAT
Le sumérien
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sum%C3%A9rien
Extrait : Sumérien
Sumérien
EME.ĜIR
Période
Attesté à la fin du IVe millénaire av. J.-C. ; extinction possible vers le XXIe siècle av. J.-C. ; utilisé comme langue classique jusqu'au Ier siècle
Extinction
XXe siècle av. J.-C.
Pays
Sumer, Empire d'Akkad
Région
Mésopotamie (Irak actuel)
Typologie
SOV, agglutinante, à fracture d'actance
Classification par famille
- hors classification (isolat) - sumérien
Le sumérien (en sumérien «
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
Cazelais VS Parks : Round 3 Le sumérien Partie 1
Auteur Anton Parks
Éditions Nenki
2005
403 pages
En noir : résumé, explication, contexte...
En vert : extrait Serge Cazelais, JF, Kiwan
En or : extrait Anton Parks
En bleu : commentaire personnel P(3)58
Source : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67145
Sur Viméo : https://vimeo.com/56182775#at=1933
Pour en savoir plus sur Serge Cazelais : Complément Surprenant #1251:
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Club CRÉÉE : Septembre 2006 Salle 609 :
http://www.esoterisme-exp.com/ClubCREEE_pub/Activites2006/609/609-tradition.php#BAT
Le sumérien
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sum%C3%A9rien
Extrait :
Sumérien
EME.ĜIR
Période : Attesté à la fin du IVe millénaire av. J.-C. ; extinction possible vers le XXIe siècle av. J.-C. ; utilisé comme langue classique jusqu'au Ier siècle
Extinction : XXe siècle av. J.-C.
Pays : Sumer, Empire d'Akkad
Région : Mésopotamie (Irak actuel)
Typologie : SOV, agglutinante, à fracture d'actance
Classification par famille : - hors classification (isolat) - sumérien
Le sumérien est une langue morte qui était autrefois parlée dans l'Antiquité en Basse Mésopotamie. C'était la langue de Sumer aux IVe et IIIe millénaires av. J.-C., puis elle a progressivement laissé la place à l'akkadien et est tombée dans l'oubli jusqu'au XIXe siècle apr. J.-C. même si la plupart des habitants de l'époque étaient décrits comme bilingues sumérien-akkadien. Le sumérien est, avec le hatti, une des langues du Proche-Orient ancien que les linguistes ne parviennent pas à rattacher à une famille de langues connue : il est considéré comme un isolat linguistique.
Le sumérien semble être la plus ancienne langue écrite connue, sous une forme d'écriture appelée le cunéiforme. Cette écriture a été plus tard reprise pour l'akkadien, l'ougaritique, l'amorrite et l'élamite, ainsi que par les rois égyptiens qui voulaient communiquer avec leurs provinces du Proche-Orient et les rois mésopotamiens. L'écriture cunéiforme a aussi servi à transcrire certaines langues indo-européennes, comme le hittite (qui avait en parallèle une écriture hiéroglyphique) et le vieux-persan, bien que dans ces cas les instruments de gravure aient été différents, éloignant les signes de leur graphie originelle. La reprise du système graphique s'est accompagnée d'adaptations : les signes, s'ils sont les mêmes en sumérien et en akkadien, ou encore en vieux-persan, n'ont cependant pas la même valeur sémantique.
L'akkadien a progressivement remplacé le sumérien comme langue parlée autour du XXe siècle av. J.-C., mais le sumérien a continué à être utilisé comme langue sacrée, cérémonielle, littéraire et scientifique en Mésopotamie jusqu'au Ier siècle av. J.-C.
À partir de 00 :35 :00 à 00 :40 :00 du vidéorandia : Tome I / II Anton Parks / Sumérien
. Serge Cazelais connaît les langues sur lesquelles Anton Parks prétend s’appuyer
. il connaît peu le sumérien, qui serait une langue mystérieuse dite agglutinante
. il n’y a aucun spécialiste du sumérien comme tel sur la planète
. le sumérien est une langue à part, difficile à rattacher à une famille linguistique ; l’hypothèse qu’il partage avec d’autres : c’est une langue que l’on pourrait associer aux langues chinoises
À 00 :40 :00 du vidéorandia : Le Sumérien
JF : Pourquoi agglutinante ?
Serge Cazelais : C’est le nom de famille des langues. Je ne me suis pas penché sur cette question de dénomination de la langue, c’est le nom que l’on donne à cette famille de langues-là, les langues agglutinantes. Le sumérien, j’en ai fait un petit peu, j’en ai appris un peu, puis c’est spécial comme langue. C’est une langue qui a des petites racines brèves, bien souvent des racines d’une seule syllabe. Et, ce que fait un auteur comme Anton Parks… C’est de valeur, je pourrais vous faire rire, j’ai un document quelque part que j’avais composé pour moi-même pour prouver que le mot « banane » voulait dire OVNI. [rires] En prenant ba-na-ne en sumérien puis en jouant avec ça et ne tenant aucunement compte de la syntaxe, comme fait Anton Parks d’ailleurs, il ne tient aucunement compte de la syntaxe, il fait juste prendre des phonèmes, des racines bilitères, à deux syllabes, et il fait n’importe quoi, fait dire n’importe quoi, il prend des mots modernes et les rattache…
JF : Parce qu’on n’est pas capable avec une langue dont on n’a pas entendu parler de la rattacher avec des mots. C’est ça que tu dis ? Avec des bruits, je veux dire ?
SC : Si on ne tient pas compte de la syntaxe, on peut faire dire n’importe quoi à une langue.
JF : Si on ne l’a jamais entendue, parce qu’elle est carrément morte, il n’y a plus personne qui parle le sumérien sur Terre ?
SC : On connaît le sumérien grâce à des inscriptions «bilingues» qui nous donnent des traductions en langues sémitiques.
JF : Donc, tout attachement avec un son est pure hypothèse.
SC : Tout est pure hypothèse effectivement.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
Serge Cazelais VS Anton Parks : Round 3 Le sumérien
Auteur Anton Parks
Éditions Nenki
2005
403 pages
En noir : résumé, explication, contexte...
En vert : extrait Serge Cazelais, JF, Kiwan
En or : extrait Anton Parks
En bleu : commentaire personnel P(3)58
Source : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67145
Sur Viméo : https://vimeo.com/56182775#at=1933
Pour en savoir plus sur Serge Cazelais : Complément Surprenant #1251:
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Club CRÉÉE : Septembre 2006 Salle 609 :
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Le sumérien
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sum%C3%A9rien
Extrait : Sumérien
Sumérien
EME.ĜIR
Période
Attesté à la fin du IVe millénaire av. J.-C. ; extinction possible vers le XXIe siècle av. J.-C. ; utilisé comme langue classique jusqu'au Ier siècle
Extinction
XXe siècle av. J.-C.
Pays
Sumer, Empire d'Akkad
Région
Mésopotamie (Irak actuel)
Typologie
SOV, agglutinante, à fracture d'actance
Classification par famille
- hors classification (isolat) - sumérien
Le sumérien (en sumérien «
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
Cazelais VS Parks : Round 3 Le sumérien Partie 2
ANTON PARKS
Site : http://www.antonparks.com/main.php?page=secret_etoile
Extraits du site d’Anton Parks :
En 2009, Alain Gossens et James Rooms ont interviewé David Icke sur l’île de Wight pour le magazine Dossiers Secrets d'Etats. Alain avait en main la traduction complète en anglais du Secret des Etoiles Sombres qu’il a transmise à Icke. De cet échange résulte cette appéciation dans l’ouvrage "Human Race get off your Knees" de David Icke :
Les tablettes décrivent les Anunnaki comme une race reptilienne extraterrestre qui s’est croisée avec des êtres humains pour créer des lignées hybrides ou des lignées de dieux, puisqu’ils ont été perçus ainsi. L'écrivain et chercheur français, Anton Parks, a fait un excellent travail dans ce domaine ces dernières années, surtout avec ses traductions de termes sumériens. Il dit que le nom sumérien pour la race reptilienne était Gina'abul : Décomposé en syllabes sumériennes, nous obtenons GINA (réel, vrai), AB contraction d’ABBA ancêtre, père) et UL (magnificence, abondance, splendeur), c’est-à-dire "les vrais ancêtres de la magnificence (ou splendeur). Beaucoup plus tard à Sumer, ce terme est devenu un synonyme pour Lézard… La langue sumérienne était unique, elle n’appartient à aucune famille linguistique connue et semblerait être originairement une langue apportée par les dieux reptiliens.
Le chercheur, Anton Parks, qui a fait une étude détaillée de la langue sumérienne et ses significations, fait référence à celle-ci comme Gina'abul-Sumérien / Reptilien-Sumérien. Il y avait autrefois une société très avancée globale avec une langue. Anton Parks dit avoir découvert un système syllabique unique Sumérien-Assyrien-Babylonien duquel proviennent des mots clés dans une longue liste de langues anciennes, y compris l’égyptien, le chinois, l’arabe, l’hébreu, grec ancien, Hopi, latin, hindi et les langues nous appelons germaniques.
David Icke, "Human Race get off your Knees", 2010
Phénomène Anton Parks : [...] L’auteur du Secret des Etoiles Sombres passionne des milliers de lecteurs à travers le monde avec ses récits épiques sur l’origine de la civilisation humaine. Mais ne nous y trompons pas : sous cette forme romanesque, Parks nous restitue peut-être notre véritable genèse, celle qui figure dans les textes sumériens qu’en tant que clairvoyant, Parks décrypte sans complexe. [...] Accrochez-vous, c’est du Parks !
Nexus France, N°43-44 (printemps 2006)
Extraits du livre Le Secret des Étoiles Sombres :
(se retrouvent aussi sur http://www.antonparks.com/main.php?page=secret_etoile )
Endos du livre :
L’auteur nous dévoile également le code linguistique des «dieux», astucieusement dissimulé dans la grande majorité des anciens langages de la Terre. Le syllabaire suméro-assyro-babylonien est la clé d’une codification inventive, la langue sumérienne est l’idiome empreinte des «dieux» qui servit à fabriquer tous les mots principaux et usuels de nombreux idiomes et langage ancestraux comme : le chinois, le dogon du Mali, les langues germaniques, l’ancien grec, l’hébreu, le hopi de l’Arizona, le latin… et bien d’autres encore. La démonstration de l’auteur est stupéfiante !
Note de l’Éditeur p.5 :
L’auteur se veut un précurseur du décodage linguistique du langage présumérien qu’il nous dévoile après de longues recherches.
Note de l’Auteur p.7 : Certaines notes sont parfois assez longues, mais je vous conseille de les lire attentivement, car rien n’y est annoté au hasard. De même, les travaux de transcription et de traduction effectués très fréquemment grâce au syllabaire suméro-assyro-babylonien pourront quelquefois vous sembler rébarbatifs, mais il m’a semblé important d’être précis étant donné que le code linguistique des «dieux» vous est dévoilé pour la toute première fois.
Introduction :
p.15 : Au cours de votre lecture, et notamment grâce aux notes en bas de page, vous constaterez, au contraire, que les multiples parallélismes entre l’Ancien Testament et les tablettes, ne sont pas le seul résultat d’une influence cananéenne, mais plutôt des restes dispersés d’une histoire commune. Les cultures de tous les anciens peuples possèdent la même racine de base, pratiquement toutes les traditions de la planète décrivent les mêmes événements. La preuve manifeste de ce phénomène se trouve dans une codification linguistique astucieusement dissimulée et qui transparaît dans de nombreux langages anciens. Cette information marquante est, à ce jour, totalement inédite aux yeux des spécialistes et savants de la planète.
p.64 : Cependant, un élément original va soutenir et renforcer mes propos tout au long de notre cheminement à travers le passé lointain de l’histoire des Gina’abul et de l’humanité. Cette information ignorée à ce jour vous permettra de comprendre bien des aspects cachés de l’histoire du monde. Vous allez voir qu’une partie du Gílimanna (litt. le Bestiaire Céleste) utilisait un code qui servit à communiquer avec l’ensemble des peuples de la Terre, vos lointains ancêtres. Ce code se retrouve dans les différents langages des grandes civilisations du passé et témoigne d’une antique source commune, celle des Gina’abul. Grâce à ce code, bon nombre de thèmes universels vont subitement s’éclairer d’un jour nouveau.
Pratiquement tous les anciens langages de la Terre sont codifiés et se traduisent grâce aux valeurs phonétiques des syllabes Gina’abul que l’on retrouve à la fois dans le sumérien, l’akkadien et l’assyro-babylonien. Cette information est totalement nouvelle à vos yeux.
p.65 : L’opinion scientifique a tendance à admettre l’existence de près de 300 familles linguistiques qui dateraient du début de l’ère chrétienne. Un peu plus loin dans le temps, l’hypothèse d’une cinquantaine de groupes aux environs de -5 000 ans fait son chemin, mais n’est pas partagée par toute la communauté scientifique. Au-delà, certains parlent de «super-familles linguistiques» et les estiment à une quinzaine vers -10 000 ans, mais là encore, cette théorie occasionne bien des débats. Toujours est-il que plus nous reculons dans le temps, plus nous sommes systématiquement renvoyés vers une langue universelle, un langage originel.
À ma connaissance, les enquêtes menées à ce jour concernant la recherche d’un probable ancien langage universel, ou proto-langage, se sont souvent concentrées sur la ressemblance entre les mots de différents langages et pratiquement jamais sur leur formation à partir d’un syllabaire ou lexique originel qui aurait servi à construire les langues des anciennes civilisations. La raison de cette omission s’explique par le fait qu’il est totalement impensable pour la communauté scientifique d’imaginer qu’une civilisation mère aurait été responsable, entre autres, de l’élaboration et du développement des grandes familles de langues parlées dans le monde. Si les linguistes s’étaient mieux concentrés sur la méthode de comparaison lexicale multilatérale, ils auraient sans doute remarqué la singularité du syllabaire suméro-assyro-babylonien et le fait qu’il constitue la base même des différents mots principaux de nombreux langages anciens comme l’arabe, le chinois, le dogon, l’égyptien, le grec ancien, l’hébreu, l’hindou, le hopi, le japonais, le latin, les langues germaniques et bien d’autres encore.
La probabilité de pouvoir traduire deux ou trois mots de plusieurs langues antiques grâce aux valeurs phonétiques des syllabes suméro-assyro-babyloniennes est envisageable, mais non de pouvoir traduire la quasi-totalité des mots clés de nombreux langages anciens, et ceci, en apportant à chaque fois des définitions similaires au sens du mot originel, voire une définition complémentaire. Vous serez à même d’apprécier et de juger par vous-mêmes l’exactitude de toutes ces informations au fur et à mesure de votre lecture.
p.66 : La langue sumérienne est un véritable mystère pour les linguistes pour deux raisons essentielles : elle englobe un système qui fut totalement formé dès son apparition et qui n’a subi que quelques rares aménagements au fil du temps et, second point, elle n’appartient à aucun groupe linguistique connu. Cependant, l’akkadien – langue parlée dans le nord de la Mésopotamie et structurée à partir du syllabaire sumérien – est l’ancêtre de l’assyrien et du babylonien, appartenant eux-mêmes aux groupes sémitiques comme l’hébreu et l’arabe.
L’écriture cunéiforme mésopotamienne combine des signes en forme de clous triangulaires (ou Santak en sumérien) gravés il y a plusieurs millénaires sur des tablettes d’argile au moyen d’un roseau taillé en biseau. Ce langage est difficile à traduire et interpréter à partir de ces signes, car il est principalement idéographique, c’est-à-dire que chaque signe représente une image qui possède une signification concrète ou abstraite. Le sumérien est un langage dit agglutinant qui assemble entre elles des particules pré ou postposées (particules placées avant ou après) à des racines nominales ou verbales généralement invariables.
Extrait entrevue
http://www.karmapolis.be/pipeline/anton_parks.htm
Karmaone : Vous travaillez énormément sur le langage, la décomposition des mots sumériens, pour y analyser les significations profondes et le lien avec certains mots de nos langues modernes. Vous êtes vous basés sur un travail d’intuition et de documentation ou bien certains éléments de cette langue sont «imprimés» en vous ?
Anton Parks : Comme je l'ai dit précédemment, lorsque j'ai reçu ces informations, j'ai bien perçu que le langage utilisé n'avait rien à voir avec le français, même si sur l'instant je le comprenais comme s'il s'agissait de ma langue natale. Cette histoire de codification du langage était très présente et est due à l'existence de castes chez les Gina'abul (lézard(s) en sumérien). J'ai cru pendant plusieurs années qu'il s'agissait de l'hébreu, mais mes quelques incursions "héroïques" dans cette langue ne m'ont absolument pas mis sur la voie d'une codification grâce à son syllabaire (NDR : un syllabaire est un ensemble de signes ou de symboles qui représentent des sons. Système d'écriture, voire un manuel de lecture, qui résente les mots d'une langue découpés en syllabes. Le découpage de « mots » en « syllabes » permet de travailler sur le sens en investiguant sur la combinaison de plusieurs termes qui combinés ensemble forment un mot et un concept plus ou moins complexe). Ce n'est que bien tardivement, vers la fin des années 90, que la piste Sumer s'est définitivement présentée à moi. J'étais au bout de tout. J'avais réussi à mettre un début et une fin à ces "archives" que j'avais reçues pendant toutes ces années dans le désordre, mais le langage mère me manquait et du coup certaine compréhensions aussi. Lorsque j'ai eu en main mon premier syllabaire sumérien, j'ai aussitôt décomposé certains termes bibliques et cela a fonctionné. Pour réussir la décomposition d'un mot, il faut connaître le contexte qui a conduit vers l'assemblage de tel ou tel terme.
Prenons par exemple, le vocable sumérien Gina'abul (lézard(s)). Une fois décomposé, cela donne GINA-AB-UL, soit "véritable(s) ancêtre(s) de la splendeur". Lorsque l'on connaît la vanité maladive des êtres dont je décris en partie l'histoire, on ne s'étonnera pas d'une telle appellation! Prenons un autre exemple simple : le nom « Adam » n'est absolument pas, comme on souhaite nous le faire croire, de l'hébreu en relation avec les termes "adama" (glèbe) ou encore adôm (rouge)… Je m'étonne encore aujourd'hui qu'aucun auteur n’ait relevé que ce terme existe en sumérien en tant que Á-DAM et veut dire : "bêtes, animaux, troupeaux" ou encore "prélèvement, établissement, installation ou colonisation" et sous forme verbale : "infliger" ! Si Á-DAM était utilisé pour désigner des personnes, cela donnerait : "les bêtes, les animaux, les prélevés, les établis, les installés ou encore les colonisés, les infligés"… L'idée d'un être esclave totalement soumis aux "dieux" est renforcé dans l'équivalence du terme Á-DAM en akkadien qui est Nammaššû et qui se traduit phonétiquement en sumérien en nam-maš-šû, soit littéralement : "la demi-portion à charge"… Je pense que l'on ne peut être plus précis !
Toujours dans la partie intro du Tome I des Chroniques du Girku, Parks donne quelques exemples de décodage linguistique.
P(3)58 : Curieux que Serge Cazelais se contente de ridiculiser Anton Parks avec son ba-na-ne = OVNI et qu’il ne relève pas dans l’un de ses deux livres des exemples de décodage linguistique et la correction appropriée. Encore une autre allégation gratuite. On dirait qu’il mise sur sa crédibilité au lieu de d’identifier, de documenter et d’amener une argumentation sérieuse. Une opinion personnelle, tout le monde y a droit. Mais une opinion professionnelle, et sauf avis contraire c’est le cas ici, ça ne passe pas.
De plus, il n’est pas un spécialiste du sumérien, encore moins du proto-sumérien et il se permet de critiquer Anton Parks sur son approche innovatrice. Je ne suis pas un spécialiste des langues anciennes mais j’ai assez de jugement et de discernement pour voir si le contenu est cohérent, vraisemblable. Et ça l’est ! Ça donne un éclairage nouveau sur nos origines et les textes dits sacrés. Et Parks le fait objectivement tandis que Cazelais se cantonne dans le décodage de messages spirituels, un domaine où la subjectivité alimente la perception et l’interprétation.
Malgré tout, et j'en ferai un Round, Cazelais et Parks ont beaucoup en commun !
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
Cazelais VS Parks : Round 3 Le sumérien @panthère58
Salut panthère58 Si je comprend un peu ,par intuition de synthèse , le language des ''lézards-reptiliens '' était, aurait été un langage avec un grand vocabulaire de multiples sons sifflés. Le peuple sumérien aurait fait un travail de '' traduction '' , pour traduire ce langage sons-sifflements en vocabulaire -alphabet compréhensible aux humains ?
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''les con-(sciences)-sonnes-voyelles (quantiques) vibrantes (verbe-Source) générées par le mouvement de l’énergie-sombre ( 73% ) issues de la matière-noire ( 22% )créent les bigs-bangs de lumières-univers ( 5% )'' et les mondes spiralés et circulaires.
Problème technique pour soumettre Round 3
Malheureusement, le système n'a pas fonctionné pour soumettre mon billet au complet. En mode recherche pour récupérer ou recommencer.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
Donc..
Ouin donc que se passe-t-il? Pourquoi cette argumentation avec toi ? C'est d'un vieux VidéOrandia que tu parles la? Tu viens de le voir je comprends pas pourquoi cette résurgence..
Donc..
Je fais un dossier Anton Parks pour regrouper toutes les infos que je mets sur lui sous un même billet. Et ce vidéorandia est incontournable. Et comme Parks est toujours actif et productif.
Pour la première fois de ma vie, je me suis équipé avec mon propre équipement informatique fin octobre 2015.
Depuis le 22 mars 2013, je n'avais plus l'internet, et l'équipement d'alors appartenait à l'un de mes frères déménagé.
Beaucoup de forumiens ont une confiance aveugle en M. Cazelais. Je répond donc à la critique faite à la légère par celui-ci sur Anton Parks par une argumentation sérieuse. Il y a beaucoup d'heures de travail derrière les billets que je mets présentement. Là, ça s'accélère parce que je peux à nouveau travailler à la maison.
De plus, il est important de démontrer les fausses allégations d'une personne diplômée... qu'aucune preuve et/ou démonstration tangible ne vienne appuyer. Tout ne repose que sur sa réputation d'universitaire dont il abuse avec notamment votre complaisance à son endroit à tout laisser passer sans demander un exemple précis sur chacune de ses allégations.
De plus, je suis ciblé, directement impliqué. Ce vidéorandia a été un choc pour moi de la façon que M. Cazelais m'interpelle du haut de son savoir. J'avais mis une première ébauche incomplète après les Fêtes suivant ce vidéorandia qui n'y est plus depuis mars 2013 (777). Il est important pour moi de garder sur le forum une rectification des faits.
Curieusement, aucune excuse et/ou rectification officielle du forum pour ces fausses allégations depuis, avec pourtant les livres en main pour vérifier. Où est l'éthique tant évoquée ?
Et de plus, les vidéorandias sont toujours très actifs. Va voir le nombre de visiteurs depuis qui s'y accumulent. Il est de plusieurs milliers de même pour les compléments Surprenant.
Voilà pour ma justification.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
Donc..
Oui je vois donc dans ton rétablissement des faits que tu dois t'en prendre a M. Capelais aussi. C'est beau quand même l'ésotérisme, plein de petite géguerre d'opinions que je constate depuis que je suis revenu sur le forum.. He bien rétablis tout cela si ca t'amène une paix d'esprit.
Pour ma part comme pour la plupart des gens sur le forum je ne peux que vous croire les deux ou du moins vous écouter avec le respect de vos opinions car je ne lis pas le sumérien donc je ne pourrais dire..
Bien du plaisir donc dans cette recherche de la vérité.
Ma réponse
Tu peux la lire ici : http://orandia.com/forum/index.php?id=129622
Aussi ici : http://sergecazelais.com/complement-videorandia-et-faq/
Les 'vrais' et les pseudo-spécialistes.
'Les gens ne cherchent pas la vérité mais veulent avoir raison'
Christian R. Page
Anton Parks dit des choses qui sont vraies.
En effet Sitchin prétend connaitre le 'summérien' et voit des 'extraterrestres'
et des 'reptiliens' dans les textes.
Tout cela est une 'interprétation' très récente des textes.
(Sitchin, 1976)
De VRAIS expert SÉRIEUX des 'textes summériens' sont :
Michael Heiser : Sitchin is wrong
qui 'prouve' que Sitchin ne passerait même pas un examen pour
étudiants débutants en summérien.
Scott Alan Roberts : 'The Secret History of the Reptilians'
Dans The Secret History of les reptiliens, Scott Alan Roberts étudie
et examine la présence omniprésente du serpent dans l'histoire humaine,
la religion, culture et politique.
ou Jean Bottéro
De 1947 à 1958, il est chercheur au CNRS et participe à des fouilles au Proche-Orient avant de devenir directeur d'étude à l'École Pratique des Hautes Études de Paris (Section des sciences philosophiques et historiques, chaire d'assyriologie).
Ses publications scientifiques lui confèrent une renommée internationale de premier plan que viendront appuyer des ouvrages de référence comme Naissance de Dieu : la Bible et l'historien, Mésopotamie : l'écriture, la raison et les dieux ; Lorsque les dieux faisaient l'homme : mythologie mésopotamienne, ainsi que sa traduction de l'Épopée de Gilgamesh.
:: Lorsque les dieux faisaient l'homme.
Mythologie mésopotamienne, Jean BOTTERO,
Bibliothèque des histoires, Éditions Gallimard, Paris,1989
:: Mythes et rites de Babylone,
Champion, 1985
L'histoire des Sumériens (2010),
1ère civilisation au monde, dans le croissant fertile ou Mésopotamie.
Sumer est une civilisation et une région historique située dans le sud de l’Irak, la Mésopotamie. Elle a duré de la première colonie d’Eridu dans la période d’Obeïd (fin du VIe millénaire av. J.‑C.) en passant de la période d’Uruk (IVe millénaire av. J.‑C.) et les périodes dynastiques (IIIe millénaire av. J.‑C.) jusqu’à la montée de Babylone au début du IIe millénaire av. J.‑C.
Le terme sumérien s’applique à tous les locuteurs de la langue sumérienne.
Elle constitue la première civilisation véritablement urbaine et marque la fin de la Préhistoire au Moyen-Orient.
Les Sumériens et leurs successeurs akkadiens possédaient une culture exceptionnellement avancée, on leur doit notamment :
- la fondation des premières cités-États (Ur, Lagash, Uruk, Umma, etc.) ;
- peut-être le premier système politique à deux assemblées ;
- le travail du cuivre ;
- l’utilisation de la brique dans la construction d’habitations ;
- la première architecture religieuse connue (temples puis ziggourats) ;
- le développement de la statuaire ;
- la glyptique ;
- l’écriture, à la base des chiffres, après pictographique, puis cunéiforme ;
- les mathématiques et l’écriture des nombres en système sexagésimal : numérotation sumérienne ;
- le premier système scolaire ;
- les premières formes d’esclavage ;
- le commerce et la notion d’argent.
La religion sumérienne a influencé l’ensemble de la Mésopotamie pendant près de 3000 ans, ainsi que les 11 premiers chapitres de la Bible.
Elle est une composante très importante de la vie, privée comme publique, des Sumériens et donne naissance à des représentations artistiques comme à des œuvres littéraires.
Dans la conception sumérienne, le souverain n’est que le dépositaire de la divinité : sa fonction est sacerdotale aussi bien que politique.
La religion sumérienne est caractérisée par son polythéisme et son syncrétisme.
Son panthéon compte une grande variété de dieux, structurée en une hiérarchie stricte,
calquée sur la société humaine.
Les 'vrais' et les pseudo-spécialistes.
Anton Parks dit des choses qui sont vraies.
Je ne sais pas si tu écris ça par dérision ou sérieusement et je ne sais pas si toi-même tu as lu ses livres pour dire cela.
Personnellement, je préfère dire qu'il a écrit des choses qui sont cohérentes et vraisemblables et qui jettent un éclairage nouveau sur notre genèse. Et Parks n'est pas une religion pour moi ni Nassim Haramein d'ailleurs. Ce sont des infos pertinentes, les mises à jour les plus récentes sur des sujets qui nous concernent.
Concernant l'opinion et la critique sur Sitchin, voilà une chose en commun que partage Parks et Cazelais.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
Cazelais VS Parks : Round 4 La linguistique Partie 1 de 3
Auteur Anton Parks
Éditions Nenki
2005
403 pages
Auteurs Anton Parks
Éditions Nouvelle Terre
2006-2007
518 pages
En noir : résumé, explication, contexte...
En vert : extrait Serge Cazelais, JF, Kiwan
En or : extrait Anton Parks
En bleu : commentaire personnel P(3)58
Source : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67145
Sur Viméo : https://vimeo.com/56182775#at=1933
Pour en savoir plus sur Serge Cazelais : Complément Surprenant #1251:
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67146
Club CRÉÉE : Septembre 2006 Salle 609 :
http://www.esoterisme-exp.com/ClubCREEE_pub/Activites2006/609/609-tradition.php#BAT
LA LINGUISTIQUE
. Serge Cazelais n’a pas lu Le Testament de la Vierge
. Le tome I des Chroniques du ǦÍRKÙ lui a été prêté
. Il a acheté le tome II
Donc, je m’en tiens aux deux premiers tomes des Chroniques pour argumenter sur ses allégations.
À 00 :35 :00 du vidéorandia : Langues du Proche Orient Ancient
SC : Puis le tome II, il y a une section à la fin, parce que, étant donné, je peux mieux en parler parce que je l’ai, là, il y a une section à la fin qui se veut plus explicative, puis qui veut essayer de montrer les bases scientifiques puis les bases linguistiques de ses romans, finalement. Parce que pour moi, ce n’est rien d’autre que du roman. Des bons romans… […] Plusieurs des langues sur lesquelles il prétend s’appuyer, les langues du Proche Orient Ancien, bien, je les connais ces langues-là. Ça fait que pour moi, je lis ça, puis c’est de la fiction, c’est rien d’autre que de la fiction.
P(3)58 : Il avance une allégation sans apporter aucun(s) exemple(s). Pourtant, il a le livre !
Et il ne parle pas juste du récit. Il rejette entièrement la section Archives et Décodages, de la page 315 à 516 ! Implicitement, on en déduit qu’il qualifie Anton Parks d’imposteur. Ce n’est pas rien ! Maintenant, est-il sincère quand il qualifie les récits d’Anton Parks de bons romans de science-fiction ? J’en doute fortement. Parce que lorsqu’on apprécie un livre, on le recommande, on en parle avec enthousiasme, ce qui ne transpire pas dans son propos puisqu’il m’invite à plusieurs reprises à dépasser Anton Parks. C’est paradoxal puisque Parks arrive sur la scène médiatique. Alors que les interprétations des écrits canoniques bibliques, eux datent… et méritent une sérieuse mise à jour que plusieurs se refusent à faire, parce ce que leurs croyances religieuses sont en jeu. On appelle ça un conflit d’intérêt.
Il semble ici que l’objectif était double de qualifier les récits de Parks de bons romans : d’une part, ne pas en rajouter une couche sur sa critique acerbe et, d’autre part, démontrer un semblant de bonne foi, d’objectivité pour donner du crédit à sa critique aux yeux des forumiens, membres ou visiteurs.
À 00 :40 :30 du vidéorandia : Décodage linguisitque
SC : Ce que fais un auteur comme Anton Parks… C’est de valeur, je pourrais vous faire rire, j’ai un document quelque part que j’avais composé pour moi-même là, pour prouver que le mot banane voulait dire OVNI. [rires] C’est en prenant ba-na-ne en sumérien, et puis en jouant avec ça et en ne tenant aucunement compte de la syntaxe comme fait Anton Parks d’ailleurs, il ne tient aucunement compte de la syntaxe, il fait juste prendre des phonèmes, des racines bilitères, à deux syllabes. Puis il fait n’importe quoi. Il fait dire n’importe quoi. Il prend des mots modernes…
P(3)58 : Encore une fois, une allégation sans apporter aucun(s) exemples(s). Pourtant, il a le livre !
Il porte un jugement sur son décodage linguistique alors qu’il n’est pas qualifié en sumérien pour le faire et simplement parce que ça ne rentre pas dans les petites cases universitaires qu’on lui a enseigné. Moi, non plus d’ailleurs, je ne suis pas qualifié pour porter un jugement sur son décodage linguistique. Mais je me sers de mon jugement et de mon discernement pour évaluer la cohérence et la vraisemblance de son propos. Ici, d’aucune façon Serge Cazelais parle de l’argumentation de Parks. Il ne fait que la dénigrer et sur un ton clownesque en plus…
D’ailleurs, c’est tellement gros ce qu’avance Serge Cazelais, qu’il est étonnant que personne n’ait relevé de façon formelle jusqu’à maintenant les lacunes linguistiques de Parks. Pourtant en Europe, ce n’est pas une première pour les différentes revues spécialisées d’être confrontées au latin, au grec, à l’hébreu, etc.
À 01 :08 :05 du vidéorandia : Le latin
SC : C’est du roman de A à Z. Il n’y a rien, rien, rien de scientifique dans ça au niveau linguistique. Les références qu’il donne, il s’appuie sur de faux documents. [Voilà le seul exemple qu’il donne : l’Évangile Essénien de la Paix ; voir mon propos à ce sujet ci-haut. Dans un autre round, je vais aborder la question des documents sur lesquels se base Anton Parks. Parce que non seulement Cazelais erre sur la question de l’Évangile de la Paix dont on en retrouve un extrait dans le livre de Parks, mais il généralise pour l’ensemble de ses écrits. C’est une grave allégation.] Ça va peut-être froissé quelques personnes que je le mentionne. L’Évangile Essénien de la Paix, c’est malheureusement un faux du vingtième siècle. Il cite des mots latins, puis c’est clair qu’il ne connaît pas le latin, Anton Parks. C’est même, c’est rigolo aussi là, dans les Chroniques de ǦÍRKÙ.
P(3)58 : Alors M. Cazelais, encore une fois, fait une allégation sans donner au moins un exemple pour ce qui est de la question du latin.
Je ne suis pas un spécialiste du latin. Alors, pour le bénéfice des lecteurs, des forumiens, membres ou visiteurs, je vais transcrire des extraits de mots latins significatifs trouvés dans les deux premiers livres des Chroniques du ǦÍRKÙ, ainsi que d’autres références linguistiques et des exemples de sa méthode de décodage linguistique. Je vais donc leurs laisser le soin de se faire leur propre jugement en espérant une approche objective et honnête et intègre de leur part. Certainement qu’il y en a qui vont être en mesure d’apporter leur contribution.
Les deuxième et troisième parties vont suivre une fois que j’aurai relevé et transcrit des extraits linguitiques du livre contenant des exemples pertinents au propos.
La deuxième partie contiendra des extraits du premier tome des Chroniques de Parks et la deuxième partie, ceux du deuxième tome.
Je sépare en plusieurs parties parce que lorsque je suis trop longtemps à paufiner mon billet, le système connaît des ratés et ne soumet pas tout mon travail, comme ci-haut.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
Cazelais VS Parks : Round 4 La linguistique Partie 2 de 3
Auteur Anton Parks
Éditions Nenki
2005
403 pages
ANTON PARKS
Quelques extraits concernant la linguistique, dont le latin et le décodage linguistique tiré du tome I : Le Secret des Étoiles Sombres
N.B. Dans l’introduction, qui va jusqu’à la page 85, la touche de l’éditeur québécois Nenki est omniprésente. Il me la confirmer de vive voix au téléphone et les nombreuses références québécoises en témoignent.
Aux gens de se faire leur propre idée avec ces extraits.
Et possiblement que Serge Cazelais peut y trouver matière à argumenter, à préciser, à contredire, à complémenter.
Je le répète, moi, je n’ai aucune autorité en la matière.
Je me sers de mon jugement et de mon discernement pour évaluer si ça cadre bien et si ça amène vraiment un éclairage nouveau sur notre genèse.
Pour moi, ma réflexion suite à ma lecture et à mes relectures des cinq premiers livres d’Anton Parks, je m’avance à dire que c’est le cas.
Et ce n’est pas une religion pour moi. Si quelqu’un amène de l’eau au moulin et me semble plus crédible que Parks ou complémentaire, ou divergent sur certains aspects, je suis prêt à réviser, à ajuster mes positions. Je ne suis pas empêtré, ni figé dans des croyances religieuses.
Ma quête de cohérence et de vraisemblance n’est pas terminée. Elle est continuelle. Et tant que la Lumière ne sera pas faite sur nos origines, on va se faire manipuler et on va nous diviser pour mieux nous contrôler. Et on va se tromper de cible en condamnant l’Humanité.
C’est sûr que ces extraits sont sortis un peu de leur contexte. Mais j’essaie de respecter les droits d’auteur en même temps que je veux présenter des extraits pertinents au propos suite à la critique de Serge Cazelais dans le vidéorandia #1251.
En espérant qu’il ne s’est pas glissé des «coquilles» malgré mes révisions.
EXTRAITS
p.39 : On vous a embrigadé dans un système millénaire des plus sournois, c’est pourquoi vous êtes aujourd’hui encore dans la même position que l’homme et la femme des anciens temps (Ish et Ishsha en hébreu), travaillant dans le jardin des «dieux».
p.40 : Faudra-t-il croire de nouveau en la parole du Serpent (Nahash) ou bien en celle des tuteurs complices du complot planétaire ?
p.40 : À ce propos, il est intéressant de préciser, qu’en arabe, la traduction exacte du terme Babel veut dire «la porte des dieux»…
p.66 : L’écriture cunéiforme mésopotamienne combine des signes en forme de clous triangulaires (ou Santak en sumérien) gravés il y a plusieurs millénaires sur des tablettes d’argile au moyen d’un roseau taillé en biseau.
p.70 :
1. Le roi se dit Malik en arabe.
2. Le roi se dit de plusieurs façons en latin, comme Regis ou Egis.
3. En lingala d’Afrique, plus précisément en langue du Gabon, du Zaïre, du Congo et du sud du Cameroun, le roi se dit Elwa.
4. En hébreu, le roi se dit Melek.
5. Chez les Japonais, roi se dit Kokuô.
6. Finalement, en kurde, le roi se nomme Pasha.
Vous retrouvez à chacune de ces traductions du terme roi, femme, le décodage en langage Gina’abul /sumérien.
Voir le lien de son site si vous voulez compléter les deux prochains extraits : http://www.antonparks.com/main.php?page=secret_etoile
Extraits du lien :
#1. Voyons ce que donne le terme roi en arabe, en latin, en langue lingala d'Afrique, en hébreu, en japonais et en kurde. Petite information utile avant de nous plonger dans cet exercice, lorsqu'un mot sumérien ou akkadien évoque une personne ou un emplacement, il est généralement admis de l'exprimer au départ avec "celui (celle)…" ou "le lieu de…" :
1. Le roi se dit Malik en arabe. Décomposé en sumérien, il va donner MA (établir, placer), LÍK (prince, prêtre, inspecteur), soit MA-LÍK : "le prince qui établit".
2. Le roi se dit de plusieurs façons en latin, comme Regis ou Egis. Ce terme traduit grâce aux valeurs phonétiques sumériennes va donner RE7 (guider, conduire, emmener), E (parler, faire), GIŠ (sceptre, arbre), ce qui donne RE7-GIŠ "celui au sceptre qui guide" ou encore E-GIŠ "celui au sceptre qui parle".
3. En lingala d'Afrique, plus précisément en langue du Gabon, du Zaïre, du Congo et du sud du Cameroun, le roi se dit Elwa. Dans la langage des "dieux" cela va donner EL (être élevé, être pur), WA (offrir, donner), soit EL-WA, litt. "l'élevé qui offre". Vu la fonction principale du roi, on devine aisément qu'il offre quelques présents aux "dieux".
4. En hébreu, le roi se dit Melek. Décomposé dans la langue Gina'abul, cela va donner MÉL (voix, gorge), la particule EK n'existant pas en sumérien, optons donc pour la remplacer par ÉG (ordonner, parler, faire), cela va donner MÉL-ÉG "celui dont la voix ordonne".
5. Chez les japonais, roi se dit Kokuô. Sachant qu'en sumérien, ou proto-sumérien, le "o" n'existe pas et qu'il est communément admis que la voyelle "u" est celle qui se rattache le plus, cela va donner KUKU-Ú "l'ancien à charge".
Finalement, en kurde, le roi se nomme Pasha. Décomposé en PÀ (déclarer, jurer, conjurer), ŠA6 (bon, beau, favorable), cela donne PÀ-ŠA6 "le bon qui déclare ou conjure". Stupéfiant, n'est-ce pas ?
#2. Allons plus loin et entrons quelques instants dans le langage biblique, celui de l'Ancien Testament. Dans la Genèse, l'homme et la femme sont respectivement désignés sous les noms Ish (homme) et Ishsha (femme) avant de se prénommer Adam et Eve. N'en déplaise aux linguistes, la particule Ish n'est pas de l'hébreu mais de l'Emešà – plus précisément de l'ancien assyrien aux yeux des experts. La syllabe IŠ7 (Ish) veut dire ancien, ancêtre. Le premier homme de la Genèse est bien l'ancien, plus précisément l’ancêtre humain. La particule sumérienne ŠÀ exprime à la fois le cœur, les entrailles et une matrice. Associée à IŠ7, Ishsha (la femme) donne IŠ7-ŠÀ, litt. "le cœur de l'ancêtre", "la matrice de l'ancêtre" ou encore "celle des entrailles de l'ancêtre"… Ceci vous rappelle-t-il quelque chose ?
Retour aux extraits du livre que j'ai relevés :
p.75 : Cela va faire rire certains d’entre vous et d’autres un peu moins, mais le terme religion, tiré du latin religio, est très précis à nos yeux. Les linguistes chrétiens se plaisent à expliquer que le terme religio proviendrait du verbe latin ligare qui signifie lier, ce qui sous-entend que la religion lie ou relie les êtres humains entre eux. Mais il serait juste de souligner que ce même terme veut également dire assujettir dans la langue de la Rome antique. D’ailleurs, toujours en latin, les mots religio et obligatio (obligation ou dette) ont souvent le même sens. Inutile de vous préciser que la religion désigne l’ensemble des croyances et des dogmes qui définissent les rapports entre l’homme et le sacré, cet ensemble ayant été généralement dicté et imposé par «Dieu» ou «les dieux».
Avant de traduire le sens caché de religio grâce à notre syllabaire, vous devez savoir qu’il y a quelques millénaires à peine, lorsque vos ancêtres eurent la possibilité de consigner leurs légendes, doctrines et croyances, c’est-à-dire leur religion, le seul support disponible à l’époque était de l’argile, ou de la pierre taillée sous forme de tablettes. C’est à partir de ces tablettes, notamment celles de Babylone, que de nombreuses données purent se transmettre avec soin et apporter la manne d’informations dont se servirent les intellectuels de la communauté d’Israël pour compiler de multiples passages de l’Ancien Testament. N’est-ce pas aussi à partir des tables de la lois établies par «Dieu» que la religion judéo-chrétienne reçut ses premiers commandements ? C’est véritablement sur des tablettes que l’Homme du Proche-Orient Ancien répertoria et diffusa les différents dogmes qui servirent à échafauder ce qui est considéré comme la première religion du monde. Mais venons-en au fait, la décomposition du terme latin religio (religion) effectuée grâce à notre syllabaire originel, donne RE7-LI-GI4-U8 , litt. «ce qui accompagne les tablettes d’apprentissage des moutons» ou encore «les tablettes d’apprentissage qui guident les moutons» !!!
p.77 :
#1 Ajoutons que, Islam, qui est le nom donné à la religion des musulmans, veut dire soumission en arabe.
#2 Chez les Chinois, la religion s’exprime par le vocable Dzungjyau qui, décomposé en sumérien, manifeste lui aussi la «soumission de l’humanité».
#3 En hébreu, le terme religion s’exprime par le vocable Dat dont le véritable sens est loi. La religion hébraïque n’est pas véritablement basée sur la foi, mais sur le fait de respecter les différentes lois de Dieu.
pp.78-79 : Parmi ces extraits, vous trouverez également plusieurs passages tirés de textes dits apocryphes (du grec apokruphos «tenu secret») – d’anciens écrits embarassants qui n’ont, volontairement, pas été incorporés dans la Bible. Vous découvrirez également de nombreux extraits gnostiques – terme tiré du grec Gnôsis «connaissance».
p.82 : Sachant qu’au royaume des manipulateurs du genre humain rien n’est fait au hasard et que ces derniers adorent le symbolisme, voyons de plus près ce que dissimulent les initiales de l’ONU. Les initiales anglophones des Nations Unies sont UN (United Nations). Ce qui est stupéfiant c’est que ce terme existe dans le langage des «dieux». La particule UN que l’on retrouve dans le sumérien veut dire plusieurs choses bien précises qui sont : «population» ; «gens» ; «foule». Ceci conforte le rôle de l’UN qui a effectivement pour vocation de servir les peuples de la Terre. Ce qui est redoutable, par contre, c’est que la valeur phonétique de l’UN sumérien évoque très clairement le pays de Sumer, c’est-à-dire KALAM. D’ailleurs les termes sumériens UN et KALAM possèdent le même signe cunéiforme. Ceci indique tout simplement, aux yeux du gouvernement occulte, que l’ONU est symboliquement au service des populations mais qu’elle est surtout à la solde des êtres de Kalam, c’est-à-dire des anciens «dieux» de Sumer, précisément du Bestiaire Céleste qui forme le gouvernement ultrasecret de la planète !
Suite de la partie 3 avec d’autres extraits linguistiques du tome II intitulé ADAM GENISIŠ.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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DOSSIER ANTON PARKS : Le Livre de Nuréa
ANTON PARKS - LE LIVRE DE NUREA (FR)
ANTON PARKS
Publiée le 8 févr. 2015
Teaser de la vidéo promotionnelle du Livre de Nuréa (tome 0 des Chroniques du Girkù) d'Anton Parks.
Toute origine possède son histoire. Les textes gnostiques d'Egypte révèlent que la Grande Déesse, la Mère Céleste, contempla longuement le firmament pour tenter de percevoir la Lumière Divine. Drapée de ses espoirs et de ses rêves, elle quitta son monde idyllique du Plérôme (plénitude) et plongea vers l'au-delà, au cœur des régions insondables du temps et de l'espace. L'objectif de son voyage devait la mener vers la Source de l'Eternité dont elle souhaitait se rapprocher pour s'inspirer de son Pouvoir Créateur. Emportée par le flux des Abysses cosmiques et éblouie par la Lumière Vive, elle se dirigea finalement vers son destin sans savoir où celui-ci la mènerait. Au terme de son voyage infini, la Déesse-Mère chuta dans un monde froid situé à des années-lumière de son Plérôme originel...
Catégorie
Science et technologie
Licence
Licence YouTube standard
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
Cazelais VS Parks : Round 4 La linguistique Partie 3 de 3
Auteurs Anton Parks
Éditions Nouvelle Terre
2006-2007
518 pages
ÁDAM GENISIŠ
EXTRAITS du site d’Anton Parks (que l’on retrouve dans le livre mais ça m’évite la transcription, ouf !)
En espérant qu'il ne s'est pas glissé des «coquilles» malgré mes révisions.
Lien : http://www.antonparks.com/main.php?page=adam_genisis
#1. Note de l’auteur "ÁDAM GENISIŠ" Il aurait été difficile de trouver un intitulé plus précis à cet ouvrage sans prendre le risque de s'éloigner de son thème central, à savoir la création et l'évolution de l'espèce humaine grâce aux multiples manipulations génétiques dont elle fit les frais par les mains du Bestiaire Céleste. C'est sans aucune ironie superflue que nous appuyons le fait que la terminologie universelle Á-DAM GEN-ISIŠ ("fixer et répandre les animaux") est du pur langage sumérien. Tout expert assyriologue aura noté et validé que l'association des formes verbales GEN ou GIN (fixer, envoyer) et ISIŠ (répandre, pleurer) évoquent clairement une création à l'instar de son quasi homophone latin Genesis dont le sens est "naissance". Ces mêmes spécialistes du langage suméro-akkadien ne pourront tout autant contester le fait que le terme Á-DAM se traduit en "animaux", "bêtes", "troupeaux"...
Il pourrait toutefois paraître singulier de constater que dans ce jeu de mots, nous trouvons associés le verbe "fixer" et Isis qui est le nom grec de la déesse égyptienne Aset. Or, dans la mythologie égyptienne, Aset symbolise la déesse des naissances. Nous verrons qu'à travers plusieurs traditions différentes, nous la retrouvons à chaque fois avec les mêmes attributs et fonctions : mère universelle, magicienne et créatrice de vie. Isis est la maîtresse des gènes humains (du grec : genos "origine"). Elle symbolise bien la naissance (genesis en latin), et elle est vraiment celle qui fixe la vie et la répand dans le monde.
Il sera confirmé tout au long de cette série que les anciens langages de la Terre furent subtilement codifiés à l'aide du sumérien, ou plus précisément grâce aux combinaisons lexicales qu'offrent le suméro-akkadien (que je nomme parfois langage suméro-assyro-babylonien ou encore Gina'abul-sumérien). Vous découvrirez que le langage égyptien possède lui aussi des possibilités de codage tout à fait stupéfiantes !
Depuis la sortie de "Le Secret des Etoiles Sombres", des lecteurs nous ont contacté pour nous demander des traductions ou encore des références de dictionnaires en langues orientales. Nous tenons à vous rappeler que ces manuels sont disponibles dans toutes les librairies spécialisées, comme celle du Musée du Louvre à Paris ou encore sur le Net. Les éditions Geuthner font, par exemple, de très bons manuels sumériens et akkadiens.
Ainsi, chaque lecteur pourra, s'il le souhaite, se reporter aux manuels sumériens, akkadiens et égyptiens en vue de vérifier mon travail et exécuter ses propres traductions. Nous avons fait l'effort de placer les correspondances lexicales (accents et numérotations) pour le sumérien et l'akkadien à cet effet précisément. C'est une première pour ce genre d'ouvrage. La façon dont les langages furent codés par le passé a été clairement détaillée dans l'introduction de "Le Secret des Etoiles Sombres". […]
La façon de transcrire cette série m'a longtemps posé un problème. Il y a quelques années, lorsque je me suis enfin décidé à me mettre à la rédaction, j'ai commencé à rédiger le premier volume sous la forme d'un essai. Au bout d'une bonne centaine de pages, je me suis aperçu que je ne pouvais pas placer tous les détails que j'avais reçus. J'ai donc abandonné cette idée et j'ai rédigé la partie centrale, à savoir l'histoire, sous forme de récit. Ainsi, j'ai pu placer toute la spécificité de cette histoire sans tabous et j'ai pu préserver cette sensation singulière de se retrouver dans le corps du personnage principal, comme à l'époque de la réception de toute cette histoire. En conséquence, j'ai gardé le contenu de mes investigations historiquo-mythologiques et linguistiques pour les notes de bas de pages et pour des dossiers, comme ceux placés à la fin de cet ouvrage. Ceci explique pourquoi deux styles d'écritures différents cohabitent dans les volumes de cette série. […]
Les deux dossiers positionnés en fin d'ouvrage sont des enquêtes importantes qui suivent le déroulement de l'histoire décrite dans ÁDAM GENISIŠ. Il est donc préférable de les lire après avoir compulsé l'intégralité du récit millénaire de Sa'am.
Vous noterez que les termes utilisés dans l'ensemble de cette série restent invariables volontairement, le but étant de ne pas alourdir la lecture qui est déjà peu aisée par l'utilisation de nombreux vocables sumériens, akkadiens et égyptiens.
Bonne lecture et avec toute ma fraternité !
Anton Parks
#2. PRÉFACE par le scientifique Gerry Zeitlin
[…] Face à cela, Parks disposait d'une possibilité d'action qui n'était autre que de se cultiver lui-même dans au moins deux disciplines susceptibles d'apporter quelques éclaircissements à propos de ces questions-là - et de découvrir ce qui avait des chances d'être le plus proche de la vérité pour ce qui est de notre passé comme de notre actuelle situation. J'ai nommé les domaines de la linguistique et de la mythologie.
Il lui fallait des connaissances en linguistique, car même s'il s'était trouvé en mesure de comprendre et d'utiliser les formes orales et écrites de la langue qu'employaient les êtres avec lesquels Sa'am / Heru était en relation, il n'avait à l'origine aucune idée de ce que cette langue aurait pu être. Comme il l'a lui-même soigneusement expliqué dans son premier volume, son étude a révélé que cette langue s'était avérée être une sorte de proto-sumérien. Il a au cours de ce processus également découvert que toutes les langues premières de l'humanité tiraient leurs racines phonétiques de cette langue fondatrice, et la façon spécifique dont chaque phonétique s'était adaptée en disait long sur la façon dont les civilisations qui les employaient articulaient leurs concepts.
Tout ceci a ainsi directement débouché sur une enquête exhaustive concernant les diverses mythologies du monde.
Là ou les spécialistes universitaires en mythologie se contentent d'assimiler les mythes à des croyances, qui les renseignent ainsi sur la façon dont étaient structurées celles des diverses civilisations premières, Parks est quant à lui en mesure de comparer ces mythes à ce dont il se "souvient", mythes qui constituent d'ailleurs souvent la trame de ses souvenirs.
EXTRAITS DU LIVRE / SECTION RÉCIT pp.23 à 314
p.3 Les Chroniques du Ğírkù Volume 2 ÁDAM GENISIŠ du sumérien Á-DAM-GEN-ISIŠ : " fixer et répandre les animaux"
p.26 Uraš, triomphe de la matière. Fierté de Ti-ama-te (le système solaire) et des Kadištu (planificateurs). La molécule de vie y a été transplantée en dimension KI (la 3e dimension) par le travail unifié des mandataires de la Source.
Nous étions une poignée d’exilés sur ce globe étrange. Seulement 300 de mes Nungal avaient réchappé à la bataille meurtrière de Mulmul (des Pléiades)…
La conquête de cette planète fut décisive pour mes Kuku (ancêtres).
Certaines races de planificateurs y séjournent dans l’ANGAL (fréquences supérieures). D’autres comme les Amašutum, les Abgal et peut-être les Urmah, fréquentent plutôt l’Abzu (le monde souterrain).
p.27 Note de bas de page #3 : SI4-GUN, litt. "la terre rouge" en Gina’abul-sumérien, aujourd’hui l’Australie.
p.29 Après les événements qui ravagèrent Uraš (la Terre), les Kadištu choisirent de créer une base fixe sur Mulge ("l’astre noir"). Quant aux Urmah, les guerriers Kadištu, ils établirent leur base principale dans des souterrains, quelque part en Kankala (l’Afrique).
Note de bas de page #5 : Il est dit en Genèse 1.26, lorsque Elohim (l’autorité planificatrice) veut créer l’homme (la 1re humanité) : "faisons l’homme à notre Tsélem (image)". Pourtant le mot hébreu "Tsélem" ne semble pas être convenablement traduit, car il est formé du vocable Tsél qui veut dire "ombre" et du "Mem" final qui symbolise de façon hermétique l’eau, l’élément vital (la semence). Lorsqu’il est dit qu’Elohim va former l’homme primordial à partir de son Tsélem, cela veut donc dire qu’il va le former à partir de ses gènes, de son "ombre-liquide", c’est-à-dire de la semence d’Elohim ! Il est tout à fait intéressant de noter que le terme hébreu "Tsélem" décomposé en suméro-akkadien donne TÉŠ ("sexualité", "force vitale"); EL ou ÍL ("élevé", "être haut"), EM ou IM ("argile", "boue") ; soit TÉŠ-EL-EM "la force vitale élevée de l’argile". Nous démontrerons plus loin dans cet ouvrage que le terme "argile" évoque l’élément principal de la vie : le sang. Notre démonstration est d’autant plus évidente que le "MEM" hébreu final ("l’eau-semence") possède une valeur numérique de 40 et que nous savons que l’embryon met 40 jours pour se transformer en fœtus !
p.41 Un jour, il leur vint la mauvaise idée de m’inventer un nouveau surnom qu’ils ne cessèrent dès lors d’employer pour me nommer – ENKI , "le seigneur du KI", titre pompeux qui me désignait comme souverain de la réalité dans laquelle nous nous étions échoués.
Note de bas de page #16 Les traditions suméro-akkadiennes précisent en effet que Nudímmud, fils d’An et de la déesse Nammu, porte aussi le nom d’"Enki" sur la Terre. Selon les tablettes mésopotamiennes, An et Enlíl dirigent les Anunna(ki) alors qu’Enki-Nudímmud commande ses enfants, les Nungal (en sumérien), dont le nom akkadien est "Igigi" ou "Igigû".
EXTRAIT / LEXIQUE
pp.506-507 Anunna = litt. "progéniture princière", souche guerrière Gina’abul crée par An et Ninmah sur le Dukù
Anunnaki = Anunna vivant sur Terre
Vous avez jusqu’à maintenant un bon exemple de comment est élaboré son récit avec les nombreuses notes de bas de page, dont celle transcrite ici qui n’est que la moitié des notes de bas de page de cette page 29 ! Évidemment, c’est écrit en petits caractères.
Je vais donc aller à la partie Archives et Décodages pour vous donner un aperçu.
EXTRAITS DU LIVRE / SECTION ARCHIVES ET DÉCODAGES pp.315 à 518
p.331 Dans la version grecque de la Bible, Lucifer est dénommé Phosphoros (phôs = lumière / phoros = qui porte).
p.340 Prolongeons notre démonstration en observant que le terme français "absoudre", officiellement tiré du latin "absolvo" ou "absolvere" (délier, libérer) doit obligatoirement son origine à l’Abdju égyptien.
pp.344-345 Ce fait prend tout son sens lorsque l’on sait que le nom EN-KI est décliné en É-A en akkadien, c’est-à-dire "(celui au) temple de l’eau". Phénomène très intéressant, les éléments attribués à Osiris sont la Terre et l’Eau. Ces mêmes principes sont justement octroyés à Enki, en tant que "seigneur de la Terre" et Ea "maître du temple de l’eau".
Dans l’inscription archaïque sumérienne (à gauche), [image dans le livre] on retrouve le signe de la croix, symbole des KIR-IŠ-TI, litt. "fils ardent de la vie" ou "poisson des étoiles et de la vie" qui sera repris par l’Église chrétienne comme symbole de Jésus le Christ (voir plus loin la partie intitulée "Sous le signe de la croix"). Le signe de la croix est bien antérieur au christianisme et se retrouve sur bon nombre de monuments antiques, particulièrement sur ceux d’Amérique centrale, où il est identifié comme étant "la croix de Quetzalcoatl". Ce même Quetzalcoatl étant assimilé à l’Étoile du Matin et au Christ de la culture précolombienne. Nous verrons plus loin qu’il s’agit d’un double d’Heru (Horus).
p.350 Le terme "Abgal" se décline ne "Apkallû" en akkadien. Cette dénomination servait à désigner un sage et par la suite un prêtre.
p.355 Le terme grec "Christos" qui se dit "Messias" en latin, possède comme sens "oint, sacré par le seigneur". On dit d’une personne qu’elle a été ointe [du latin "unctum" ("onguent")] lorsqu’elle a été consacrée par une onction liturgique.
p.357 En suivant notre pensée, nous n’aurons aucun mal à relever que le nom hébreu "Cohen", qui est extrêmement répandu, veut dire "prêtre".
p.358 ! Par la relation que possédaient les Abgal et Isis avec Sirius, il ne fait aucun doute que le rite des lamentations et de l’enterrement (KRST en égyptien) est en lien avec ce lieu céleste.
p.360 [du paragraphe de la citation de Plutarque ci-haut dans les billets subséquents au dossier Anton Parks] La langue latine nous apporte quelques éléments de compréhension concernant le terme "Messias" ("oint, sacré par le seigneur"). Nous avons deux termes latins extrêmement approchants qui sont "Messio", "la moisson", et "Messis", "récolte de produits de la terre".
Je pense en toute honnêteté que vous en avez suffisamment pour vous faire une idée. Si vous avez relevé une traduction erronée, mentionnez-le avec l’explication et le correctif.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
Cazelais VS Parks : Round 4 La linguistique @panthère58
Salut panthère58 Le travail de recherche que tu fais est pour moi extraordinaire ainsi que l'énergie que tu y mets. J'aime lire tes textes, tes découvertes et la logique et le discernement, les explications qui les accompagnes. Continue ton beau et bon travail.
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''les con-(sciences)-sonnes-voyelles (quantiques) vibrantes (verbe-Source) générées par le mouvement de l’énergie-sombre ( 73% ) issues de la matière-noire ( 22% )créent les bigs-bangs de lumières-univers ( 5% )'' et les mondes spiralés et circulaires.
DOSSIER ANTON PARKS : Testament de la Vierge
Lien avec PDF
No 16 - pp.37 à 51 - par JAMES G. ROOMS
Belle facture !
LE TESTAMENT DE LA VIERGE
OU LE RÉVEIL DES CONSCIENCES
De la filiation d'Isis et d'Osiris au Christianisme !
http://www.antonparks.com/EGYPTE_16_Testament_de_la_Vierge.pdf
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue / Sitchin + 2012
Entrevue : Première de quatre
Lien : http://www.echo-zen.com/anton-parks-neberu-et-la-fin-du-monde/
ANTON PARKS : Neberu et la fin du monde
28/08/2012 2 Commentaires Par Chris
Interview exclusive d’Anton Parks, tirée du magazine Les Grands Mystères de l’Histoire, Hors Série, n° 10, décembre 2009. Merci à H. Kapf et Meline
NEBERU (ou Nibiru) ET LA FIN DU MONDE
GMH : On parle de plus en plus d’une planète X que beaucoup d’auteurs et médiums associent à l’astre Nibiru (ou Neberu) des tablettes mésopotamiennes. Qu’est-ce que Nibiru ? N’est-ce pas l’auteur Zecharia Sitchin qui en a parlé le premier ?
Anton Parks : C’est effectivement Zecharia Sitchin qui est à l’origine du « virus » planète X ou Nibiru. D’après ses calculs, cette planète devrait rejoindre notre système solaire entre 2012 et 2060. Manifestement, comme 2012 approche à grands pas, il pencherait plutôt pour la date la plus éloignée.
On trouve trace de Nibiru ou Neberu / Marduk dans la littérature mésopotamienne. Il s’agit d’un astre mystérieux que quelques rares tablettes (l’épopée Enuma Elish et les tablettes : KAV 21B ; CT 26.41 ; CT 25.35.7 ; K.6174 et K. 12769) évoquent comme ayant un rapport avec les activités des dieux (royauté, guerres) et celles de l’humanité (déluge, travail de la terre). Toute la thèse de Sitchin est échafaudée sur la notion de cette planète errante et qui appartiendrait au système solaire, mais dont l’orbite fortement elliptique autour du soleil posséderait, selon lui, une période de 3.600 années terrestres. En terme clair, cela veut dire que ce chiffre correspondrait au temps que mettrait cette planète hypothétique à revenir vers la Terre de façon cyclique.
Ce que ne précise pas M. Sitchin et que j’explique dans mon second ouvrage Adam Genisis, c’est que le Šár (3.600) était une unité de mesure fréquemment utilisée par les Mésopotamiens. On la retrouve sur de nombreuses tablettes qui n’ont absolument rien à voir avec Neberu. Notons par exemple le récit du déluge dans l’épopée ninivite de Gilgamesh où le Noé mésopotamien confectionne son bateau à l’aide de « 3 x 3 600 unités d’asphalte (Šár) » à la ligne 65 de la tablette. L’embarcation possède d’ailleurs « une superficie de 3.600 mètres carrés (Ikû) » comme formulé à la ligne 57… De nos jours, en géographie, 3.600 secondes (1/60ème de minute) représentent un degré.
Bref, c’est en se référant à la tablette d’argile VA-243 que M. Sitchin nous dit avoir relevé la présence de l’astre mystérieux tournant autour de ce qui lui semble être un soleil. Pourtant, cette tablette n’est absolument pas un document astronomique. Elle a fait l’objet d’une publication en 1940 par les soins d’Anton Moortgat pour le Vorderasiatisches Museum de Berlin. Les trois lignes qui composent le texte de cette tablette évoquent simplement : « Dusbsiga (nom personnel), Ili-Illat (nom personnel), ton serviteur ». Donc, aucune allusion à Neberu et aucune trace de cette planète en tant que demeure des « dieux » Anunna.
GMH : Voulez-vous dire que les propos de Zecharia Sitchin au sujet de Neberu ne sont pas crédibles ?
Anton Parks : Je n’ai rien contre M. Sitchin, mais puisque vous m’en donnez l’occasion ici, je vais rétablir une vérité malheureusement déformée involontairement ou volontairement par cet auteur depuis plusieurs décennies. Je ne suis pas contre l’idée q’un astre puisse vagabonder dans des systèmes planétaires, mais le problème ne se situe pas là.
Selon les propos de M. Sitchin, les « dieux » sumériens Anunnaki proviendraient de la planète Neberu (qui est en perdition), et ces derniers trouveraient de l’or sur Terre pour restaurer leur atmosphère. Sauf preuve du contraire, les tablettes mésopotamiennes qui formuleraient ces informations n’existent pas. Aucun érudit, aucun spécialiste n’en a jamais fait mention, même entendu parlé ! J’ai fait de longues recherches dans de multiples bibliothèques spécialisées et auprès de plusieurs éditeurs spécialisés dans l’Orient ancien : rien, ces textes n’ont jamais été catalogués… Depuis plus d’une trentaine d’années il a été maintes fois réclamées à Zecharia Sitchin de fournir les références de ces tablettes, mais il ne l’a jamais fait.
Je rappelle aux personnes qui liront ces lignes attentivement, qu’à ce jour, bon nombre de lecteurs et magazines croient toujours aveuglément à la thèse fictive de Sitchin selon laquelle l’astre mésopotamien Neberu serait une planète d’où proviendraient les « dieux » sumériens. Idem pour cette idée d’or tirée des mines terrestres pour filtrer et stabiliser l’atmosphère de cette planète soit-disant en perdition, selon les propos de cet auteur. Libre aux magazines spécialisés de colporter ces inepties. Maintenant que les récits mésopotamiens sont disponibles dans les plus grandes bibliothèques et sur le Net, plus d’excuses ! Tout journaliste sérieux pourra vérifier et constater par lui-même…
Je suis totalement sidéré de voir un tel contentement autour d’un sujet aussi sérieux et qui finalement génère à la fois de la peur et surtout de la désinformation. Le problème vient aussi du crédit que l’on porte à Zecharia Sitchin qualifié, probablement à raison pour certains points, de grand érudit, notamment grâce à son CV. Cependant, l’auteur allemand Frank Dörnenburg a récemment mis le doigt sur un problème dans le CV de Sitchin. Il est écrit noir sur blanc à son propos qu’il aurait « acquis son diplôme au London School of Economics » (LSE) ». Or dans cette école, on ne peut absolument rien y étudier qui ait un rapport avec l’archéologie, la sumérologie, le cunéiforme et les hiéroglyphes. Frank Dörnenburg note que de toute évidence, l’école LSE s’est transformée dans sa biographie en « Université de Londres » où là, on peut effectivement étudier l’archéologie. Et à Dörnenburg de conclure : « Il est plutôt probable que, comme adolescent, Sitchin ait bouquiné de la littérature appropriée. Il est évident que le CV de Sitchin a été maquillé soigneusement pour faire d’un journaliste économique un « expert spécialisé » en langues antiques et en archéologie », source : http://doernenburg.alien.de/alternativ/pyramide/pyr06.php
Je pense simplement que M. Sitchin a dû se dire, au début de ses travaux, qu’il ne serait jamais mis en défaut par les spécialistes des tablettes parce qu’il savait qu’ils ne s’abaisseraient jamais à cela.
Bien entendu, cela n’enlève rien aux recherches de cet auteur concernant les sujets autres que Neberu. Son travail est important, particulièrement celui qui concerne certaines de ses traductions des tablettes mésopotamiennes et ses déductions.
GMH : Si la planète des dieux sumériens n’est pas Neberu, alors quelle était, selon vous, la planète des Anunna ?
Anton Parks : Le nom généralement utilisé, sur les tablettes en argile, pour désigner la demeure originelle des Anunna est Dukù * ou Duku(g) (« saint monticule »). Avant de débarquer sur la Terre et de résider dans le Kharsag, dans les montagnes du Taurus (Turquie), les Anunna vivaient clairement sur le Dukù, un lieu céleste inconnu. Cela impliquerait que les dieux sumériens Anunna seraient à nos yeux des extraterrestres, ce qui est impensable et inacceptable pour de nombreux historiens, sumérologues et auteurs. L’importance du Dukù est telle que ce même nom fut donné en Mésopotamie aux temples et terrasses consacrées aux dieux.
* Ndlr. D’après Parks, la planète des Anunnakis se nommerait DUKU. Dans Star Wars, un des principaux seigneurs Sith (forces obscures) est le comte Dooku ! ! !
Il n’y a aucun rapport entre Neberu et le Dukù, aucun rapprochement entre ces deux lieux cosmiques sur les tablettes mésopotamiennes. Par contre, la présence de la constellation des Pléiades sur de multiples tablettes d’argile, est confirmée par de nombreux spécialistes. Les Pléiades sont souvent présentes auprès des dieux ou de vaisseaux volants. Cette constellation se nomme MUL-MUL, litt. « la constellation des constellations ». De mon point de vue, ce nom est très approprié pour nommer un lieu d’origine.
GMH : Alors qu’est-ce que Neberu selon vous, et d’où provient cet astre ?
Anton Parks : Les tablettes mésopotamiennes indiquent que Neberu est un astre nomade qui bouleversa périodiquement les affaires des dieux et des humains. Son origine est « le lieu de la bataille céleste ». Cette localisation est extrêmement importante, car elle nous rappelle la symbolique de l’arbre Išed, le pivot éclaté de l’horizon ou celui de l’éclatement de la colline primordiale des ancêtres chez les anciens Egyptiens. Cette idéologie suggère que le sacrifice de cet arbre permet la sortie d’un serpent céleste qui n’est autre qu’Horus. Or le seigneur Horus se dit Neb-Heru en ancien égyptien. Quant à l’arbre Išed, les spécialistes de l’Egypte ancienne savent qu’il s’agit d’une image d’Osiris. L’arbre Išed tourne autour d’un thème mythologique récurrent qui est celui d’une bataille perpétuelle entre les forces osiriennes et les forces sethiennes. Le Seigneur Horus (Neb-Heru), fils de l’arbre sacré, assure un rôle de guetteur et de protecteur. Ses allées et venues autour de l’arbre mourant déterminent la bonne course du soleil. Lui-même est considéré comme étant un nouveau soleil. Nous sommes exactement dans la même thématique que l’astre Neberu mésopotamien qui semble effectuer des allers et retours vers la Terre et qui s’illumine, lui aussi, comme un nouveau soleil lorsqu’il apparaissait dans notre ciel.
Pour déterminer un peu mieux les acteurs célestes qui ont créé le drame cosmique à un moment donné de l’histoire terrestre, il faut se pencher sur la littérature chaldéenne. Chez les Assyriens et les Chaldéens qui étaient de grands astronomes, MUL-GE6 (litt. « astre noir ») était « le maître de l’enfer » ou encore « le maître des abysses ». Les traces de cette colline de l’horizon égyptienne est parfaitement identifiable dans les formules chaldéennes sous la forme de cette Mulge qui est le maître de l’abîme inférieur, là où descendent les morts. Elle est la montagne de l’occident, où se couche le soleil. L’entrée des enfers est à proximité de cette montagne céleste, mais au-delà des eaux du grand réservoir de l’océan astral. La planète Vénus est son éclatant prolongement dans le ciel :
1. « La grande montagne Mulge, dont la tête égale les cieux. Le réservoir sublime des eaux [baigne] ses abysses. Entre les pays, elle est comme un buffle puissant qui se repose. La corne, comme un rayon de soleil, étincelle comme l’étoile du ciel qui annonce Dilbat (Vénus), achevant son éclat ».
2. Traduction Don Moore, tiré de W. A. I. IT, 27, 2
Nous savons que dans la littérature égyptienne, Osiris règne sur le monde des morts et que sa forme mésopotamienne (le dieu Enki-Éa) est le maître des abysses. Mulge est un astre qui n’existait plus à l’époque de Babylone, mais qui, dans l’inconscient collectif, symbolisait la mort et la destruction. L’idée que cette montagne céleste, que cet astre noir, ait apporté son ombre sur la Terre ressort clairement des textes chaldéens :
« Ô toi qui ombrages, seigneur et qui répands ton ombre sur les pays. Grande montagne, dieu-père Mulge, qui répands ton ombre sur les pays. Pasteur qui règle les destinés, qui répands ton ombre sur les pays. […] Mulge, Pasteur [véritable], seigneur de la totalité des pays, Pasteur [véritable], seigneur de la totalité des anges ».
Traduction Don Moore, tiré de, W. A. I. IV, 23, 1
En fait, c’est le fils de Mulge que la littérature chaldéenne dénomme En-Zuna ou encore Nin-Dar (« le seigneur qui fracasse » en sumérien), qui est le véritable responsable des bouleversements terrestres. Il est « la peste personnifiée, qualifiée de fils favori de Mulge, engendré par Nin-ki-gal » (W. A. I. IV, 1, col. 1). Ninkigal ou Ereskigal n’est autre qu’Isis-Hathor, la déesse du grand bas, comme je le démontre dans mes différents ouvrages. Le fils de Mulge (Osiris) est donc bien Horus, c’est-à-dire Neb-Heru.
Nin-dar est le Soleil nocturne, le soleil qui se cache dans le monde inférieur pendant la moitié de sa course. Il est l’équivalent du Ra’af égyptien, le soleil noir, nom donné à Osiris après sa mort et à sa prolongation, son fils réincarné en lui-même : Horus.
Nin-dar doit triompher des ténèbres, c’est pour cela qu’il est le dieu guerrier par excellence. Régulateur du temps et des heures terrestres, il influe sur les mouvements et la vie des dieux et de l’humanité : « Nin-dar, seigneur, fils de Mulge, mesure et juge. […] Nin-dar, seigneur, fils de Mulge, décide la destinée » (W. A. I. IV, 13, 1).
Aussi précis soient ces extraits, il ne faut pas perdre de vue que les Assyriens et Babyloniens avaient la fâcheuse habitude d’employer des informations astronomiques plus anciennes (au moins d’époque sumérienne) et de les insérer dans leurs catalogues sans le spécifier pour autant, ce qui nous a parfois procuré des catalogues astronomiques assez confus. Cette information est capitale.
Dès mon deuxième ouvrage, j’ai démontré que la fameuse Mulge éclatée serait en fait la ceinture d’astéroïdes qui se trouve entre Mars et Jupiter. Si nous suivons le déroulement historique retracé dans les Textes des Pyramides égyptiens, Osiris serait mort peu de temps avant ou pendant l’éclatement de la colline primordiale et la venue de « l’œil du son », un planétoïde dévastateur que l’on retrouve dans les textes du temple d’Edfu en Egypte. Une association évidente a été faite entre la mort d’Osiris (et plus tard son corps fragmenté) et les milliards de débris qui constituent les restes de cette ancienne Mulge suméro-chaldéenne.
Dans mes différents livres, je soutiens également que l’ancien satellite de Mulge (sa lune ou son fils) serait la planète Vénus avant qu’elle ne se place à l’endroit qu’on lui connaît aujourd’hui. J’ai compilé pas mal de légendes du monde entier qui prétendent ou sous-entendent que la planète Vénus aurait bougé plusieurs fois dans le système solaire avant de se stabiliser et qu’elle aurait provoqué des problèmes climatiques sur la Terre. C’est pourquoi, par un étrange et heureux hasard, la planète Vénus (l’Etoile du Matin) est associée à Horus et à tous les rois d’Egypte, eux-même étant une image d’Horus et donc de Vénus dans la pensée de l’Egypte ancienne.
Il existe de nombreuses similitudes entre Vénus et Horus. Après la destruction de Mulge aujourd’hui la ceinture d’astéroïdes), son satellite Vénus a été éjecté de son orbite et a cherché à se stabiliser dans le système solaire, tel Horus, né de son père Osiris assassiné, cherchant à s’imposer et à trouver sa place dans un monde en guerre. Le bruit que Vénus émettait et les dégâts qu’elle occasionnait créait la panique chez les humains et les dieux. Comme je l’ai annoncé dans le Testament de la Vierge, Horus, en quête de recouvrer les territoires perdus de son père, ainsi que sa royauté légitime, profitait des passages de Vénus pour attaquer ses adversaires, car les dieux étaient désorganisés lors de ces déluges. Neb-Heru (Horus) était furieux, comme l’était la planète Vénus, errante dans le système solaire, laquelle créait de gros dommages sur ses passages. Une association évidente a été faite entre Vénus et Horus, qui sont tous deux nés en même temps…
Mes travaux concernant Vénus sont plutôt en accord avec ceux menés par le Dr Immanuel Velikovsky dans son ouvrage « Mondes en Collision ». Le Dr Velikovsky a brillamment remarqué et démontré que la planète Vénus a engendré au moins un cataclysme sur la Terre par le passé et qu’elle n’était donc pas à la place qu’on lui connaît aujourd’hui. La seule divergence entre nous serait la datation possible de la stabilisation de Vénus. Immanuel Velikovsky situe cette stabilisation plus récemment que moi. Ce n’est finalement qu’un détail.
GMH : Si Neb-Heru est la planète Vénus, quelle est votre position par rapport aux rumeurs d’apocalypse de 2012 faisant état de l’arrivée de la planète X appelée aussi la « planète du passage » ? A l’évidence, cette planète X n’est pas Neb-Heru (Vénus)… Alors, quel est cet astre selon vous ? Pensez-vous que nous soyons en danger ?
Anton Parks : Non, je ne pense pas que nous soyons en danger. Le seul danger potentiel étant ce que les grands groupes d’influences qui détiennent tous les pouvoirs et certains groupes dits spirituels vont tirer de ce virus : de la peur et de l’argent, et pour les moins « alarmistes » et intègres, de l’optimisme, malheureusement basé sur une forme de génocide planétaire. Nous allons en reparler plus loin.
Le virus Neberu / Nibiru – planète X a été mis sur le marché en 1976, avec le premier ouvrage de Zecharia Sitchin. Désolé de revenir sur ce sujet. Depuis, c’est la foire à l’information, plutôt à la désinformation. De mon point de vue qui ne regarde que moi, il n’y a pas de planète errante Dans le milieu dit new age, la catastrophe à venir serait provoquée par :
1. une planète
2. une comète
3. un amas d’astéroïdes
4. la planète Jupiter qui deviendrait un soleil
5. un nouveau soleil en approche…
Le tout savamment synchronisé sur l’année 2012, précisément le 21 décembre, date tirée du calendrier maya, laquelle correspondrait à la fin d’un cycle. Je précise bien la fin d’un cycle, et non la fin du calendrier maya lui-même, puisque ce dernier fonctionne par cycle : la fin du calendrier revenant à son début à cette date. Le calcul du temps sur une notion linéaire est typiquement occidental, bons nombres d’anciens peuples comme les Amérindiens calculaient le temps par cycles.
Je dois ajouter également qu’aucun calendrier n’a jamais prédit l’avenir ! Contrairement à ce que de nombreux auteurs new age prétendent, les Mayas n’ont jamais annoncé une fin du monde pour 2012. Leur calendrier s’arrête simplement en 2012 selon nos calculs modernes basés sur notre calendrier grégorien. Autre point que tout le monde oublie d’évoquer, nous ne sommes certains de rien concernant la fixation temporelle du début du compte long du calendrier maya par rapport à notre calendrier occidental. Nous connaissons sa valeur (4 Ahaw, 8 Kumku de l’an 0.0.0.0.0), c’est tout. Avec notre façon de calculer le temps, c’est comme si cette date pointait vers, disons au hasard, les années 80. Mais de quelles années 80 était-il question ? De 1980, de 1880, de 2580, de 3180… ? La date du début du calendrier maya a été déterminée pour l’année 3.114 av. J.-C. par plusieurs experts. Pour des raisons trop longues à expliquer ici, je pense que cette date est plausible, tout du moins, dans une fourchette approximative. Cependant, avec le problème évoqué à l’instant, s’agit-il de 3.114 av. J.-C., ou bien de 3.014 av. J.-C. ou encore de 2.914 av. J.-C. ?, etc.
Un autre point vient considérablement compliquer le calcul de la fixation exacte de l’année 2012 par rapport à notre calendrier : le moine romain Denys le Petit est responsable de la mise en place de notre calendrier dans la mesure où c’est lui qui a substitué à l’ère de Dioclétien, l’ère chrétienne sur laquelle est fixé notre calendrier occidental. Mais nous savons pertinemment qu’il a confondu les années de Rome et qu’il se trompa en fixant le point zéro de notre ère. Ce qui donne que nous avons entre 3 et 7 ans de décalage. Cela veut dire que si le début du compte long maya était bien fixé par rapport à notre ère, le 21 décembre 2012 serait déjà passé ou bien qu’il serait, dans le pire des cas, pour le 21 décembre 2009… Je vous laisse méditer sur ce point.
Revenons à 2012. Pour justifier l’importance de cette date 2012, de nombreuses personnes annoncent qu’à ce moment temporel du 21 décembre de cette année, se présentera un alignement exceptionnel des planètes de notre système solaire. Oui, c’est exact, mais cet événement se produit chaque année, à la même époque, soit chaque 21 décembre. L’astrophysicien Neil deGrasse Tyson (directeur du planétarium Hayden à l’American Museum of Natural History de New York) l’a démontré à la télévision américaine (Fora.tv), le 4 février 2009. Son intervention est disponible en vidéo sur Internet, ici par exemple : http://www.youtube.com/watch?v=QJjQMwEjC1I
Alors les pros 2012 évoquent un alignement exceptionnel de notre système solaire sur le centre de notre galaxie, ce qui provoquerait des répercussions catastrophiques pour notre Terre… C’est encore exact, nous sommes effectivement dans un alignement que l’on pourrait qualifier « d’alignement sur le plan galactique », mais le lecteur doit savoir que l’éminent astronome Jean Meeus, grand spécialiste des mécaniques célestes, a calculé en 1997 (Mathematical Astronomy Morsels) que cette zone d’alignement s’étend de 1980 à 2016. Nous avons donc largement dépassé la moitié de cet alignement à ce jour et nous avons vécu de nombreux 21 décembre depuis 1980, sans aucune fin du monde ! Nous sommes justement en train de quitter cette zone d’alignement. En fait, l’alignement parfait se serait produit en 1998…
GMH : Pourtant de nombreux chanels ou médiums prédisent une catastrophe en 2012. Pensez-vous qu’ils divaguent tous ?
Anton Parks : Je sais parfaitement que je ne vais pas me faire des amis et que je vais perdre quelques lecteurs en évoquant ce que je m’apprête à dire, mais ce n’est pas bien grave. Au fil des années, j’ai pris l’habitude de ne plus perdre de temps et d’aller à l’essentiel. Si cette démarche fait mal, tant pis, je dirai que c’est un mal pour un bien. De nombreux auteurs préfèrent brosser leurs lecteurs dans le sens du poil, ce n’est pas mon cas parce que la situation est grave, trop grave pour se taire. Comme l’a dit Albert Einstein « Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire ! ».
Cela fait plusieurs années que des alertes de type « fin du monde » font leurs apparitions, quelques exemples qui me viennent à l’esprit :
• En 1910, les astronomes de l’époque prédirent que la queue de la comète de Halley allait entrer en contact avec la Terre. Les journalistes s’empressèrent de prédire la fin du monde.
• En 1986 et 1997, les comètes de Halley et Hale-Bopp suscitèrent également des goûts de fin du monde.
• En 1990, l’auteur Francis r. Trestournel publie « la Fin de l’Eden ». Son ouvrage semble recycler l’idée de Sitchin en reportant le drame cosmique à une ancienne collision de entre un planétoïde (ou Baryplanète) et notre ancienne Terre (Terre primitive) à l’époque du tertiaire, l’ensemble ayant formé notre planète actuelle.
• En 1998, V. H. Rabolu recycle le thème de Neberu en « Hercolobulus ou planète rouge », livre édité dans différents pays entre 1999 et 2004.
• Pacco Rabanne a prédit la destruction de Paris pour le 11 août 1999. Relevons qu’il était sincère puisque, avant cette date, il a définitivement déménagé son entreprise et qu’il a quitté Paris.
• Tout le monde se souviendra du passage à l’an 2000. De nombreuses prédictions de type « fin du monde » ont été évoquées à cette époque.
• Richard W. Noone prétendait dans son ouvrage à sensation 5/5/2000 (Three Rivers Press, 1982) un cataclysme planétaire à cette date précise et un retour à l’âge glacière.
• Dès 1995, la prophétesse Nancy Lieder (Zetatalk) a proclamé l’apparition de la planète X / Neberu pour mai 2003. Comme cela ne s’est pas produit, le jugement dernier a été reporté à 2012…
Comme évoqué précédemment, tout démarre en 1976 par suite d’une mauvaise interprétation de Zecharia Sitchin concernant Neberu. Je pense que M. Sitchin a dû remarquer son erreur au fil des années, mais comme toute sa théorie est fondée sur cette idée de planète errante des Anunna, il ne pouvait plus faire marche arrière. Avant son premier ouvrage et l’année 1976, aucun chanel ou médium ne parlait de Neberu ! Ensuite, peu à peu, la paranoïa s’est reportée sur cet astre hypothétique et sur le calendrier maya ainsi que sa date de 2012.
En fait, ce type de pensée est amplement soutenu par l’idéologie new age, agrémentée de ses discours chanélisés, qu’ils soient authentiques du point de vue de leurs auteurs ou totalement manipulés. Les personnes qui soutiennent la venue de cet astre sont bien souvent dans l’attente d’évènements transformateurs « christiques », notamment dans l’expectative de changements planétaires. Ces changements sont généralement regardés comme foudroyants, ne laissant aucune marge de manœuvre à ceux qui ne seraient pas prêts ou qui n’auraient pas suffisamment travaillé sur eux-mêmes pour vivre cette transformation, bien souvent regardée comme un saut quantique vers une dimension supérieure. Ce basculement de dimension implique généralement l’irruption d’un déluge planétaire qui aboutit à la destruction du monde de la 3D dans lequel les différentes espèces d’hominidés et animales vivent pourtant depuis au moins 7 millions d’années… Combien de survivants-élus sont-ils prévus dans la charte new age ? Les avis diffèrent, mais ils seraient peu nombreux et on chiffrerait les morts à plusieurs milliards.
Le nombre de magazines, de livres et de sites Web qui ont perpétué cette erreur est tout bonnement hallucinant. C’est aussi la preuve qu’aucune vérification de l’information n’a été effectuée par les concernés et qu’il est très facile de propager des concepts déformés.
Rassurez-vous, cette vision terrible et monstrueuse n’est pas nouvelle, elle a fait plusieurs fois son apparition au cours de l’histoire humaine sans pour autant se matérialiser. Je pense, par exemple, à la conception que se faisait la secte gnostique sethienne (1) du sauveur de ce monde qui était proche de celle des zoroastriens, pour qui la venue de ce dernier devait marquer la disparition du mal. Mais pour eux, le retour du sauveur devait irrémédiablement déclencher un retournement complet de l’univers, la droite devenant la gauche, le dessus, le dessous, et inversement. Je prévois que ce concept serait simplement en relation avec des faits anciens. Nombreux sont ceux qui gardent peut-être inconsciemment en eux le souvenir douloureux d’un cataclysme ou d’un engloutissement vécu dans une autre vie. C’est possible si l’on croit à la réincarnation.
La Terre connaîtra d’autres cataclysmes plus ou moins proches, c’est certain, néanmoins, je n’envisage pas que ces bouleversements se combineront avec un saut quantique dont seuls quelques élus bénéficieront. Peut-être que cet événement quantique se produira bientôt. Mais, envisager une « évolution » sur le dos de plusieurs milliards de morts n’est pas un bon calcul d’un point de vue karmique.
(1)Je demande aux lecteurs de faire la distinction entre le « dieu » Šeteš (Seth), assassin d’Osiris, et Seth, le troisième fils d’Adam et Eve d’où les gnostiques sethiens tirent leur nom et leur enseignement.
D’une façon générale, les véritables changements s’effectuent par degrés et non subitement. Un changement brutal n’est jamais bon dans la nature. Regardez la dite évolution des espèces. La science ne trouvera jamais aucun chaînon manquant entre les espèces d’hominidés du fait que chaque transformation génétique s’est effectuée par palier, c’est indéniable. La science officielle ne mentionne pas ce phénomène avéré, puisque cela impliquerait une intervention supérieure. La mafia scientifique préfère rassurer le docile travailleur qui finance ses recherches en octroyant au genre humain un caractère exceptionnel dans l’univers.
De leur côté, les gnostiques avaient cette conviction et cet espoir d’être sauvés uniquement grâce à la gnose (du grec gnôsis : connaissance) qu’ils possédaient. Mais comme bien souvent, la connaissance d’un secret ou d’un savoir caché peut monter à la tête et provoquer une ségrégation intellectuelle. Malgré tout le bien que l’on puisse penser de la gnose et de certains de ses messages (sans doute d’origines osiriennes), il ne faut pas oublier que la gnose s’est progressivement transformée en une doctrine d’élite. Elle prônait des messages élitistes résultant de révélations secrètes du Christ, que ce dernier aurait transmis à quelques disciples privilégiés. Pourchassés par les chrétiens, et se regardant comme les héritiers d’un savoir supérieurs, les gnostiques se sont enfermé dans une forteresse intellectuelle et philosophique qui ressemble fort à celle inventée par le clergé osirien resté fidèle aux mystères du dieu assassiné et qui a dû faire face, lui aussi, à l’idéologie du clergé d’Atum-Râ. N’oublions pas qu’après sa mort, Osiris était regardé comme le dieu des morts et Atum-Râ, celui des vivants. Généralement, l’esprit humain préfère toujours se placer du côté de la vie…
La pensée qui appartient au Chilam Balam, le livre prophétique maya (qui n’a rien à voir avec le calendrier maya et 2012 !), s’apparente également à cette vision gnostique et contemporaine des élus sauvés grâce à leur savoir : « La parole, don des dieux, interprétée par le Prêtre Chilam, était à l’origine même du pouvoir et du gouvernement. Les usurpateurs, les étrangers étaient ‘ceux qui ne savent pas parler notre langue’. […] Alors pour ceux qui n’avaient pas [la connaissance], c’était le châtiment suprême : ‘Telles sont les paroles. Si elles ne sont pas comprises par les Batab (magistrats) des villes, néfaste sera l’étoile qui orne la nuit… Ils mourront, ceux qui ne pourront pas comprendre’… » (Les Prophéties du Chilam Balam », éditions Gallimard, 1976). Comme vous le voyez, l’aventure humaine n’est qu’un éternel recommencement philosophique et historique.
GMH : D’autres médiums prédisent plutôt une élévation des consciences en 2012.
Anton Parks : Il est indéniable que l’être humain évolue positivement et que son niveau de conscience s’élève progressivement. Un niveau de conscience qui s’élève implique un changement de fréquence, c’est certain. Ce changement est en marche et nombreux sont ceux qui l’ont déjà senti. Cependant, je suis convaincu qu’un changement de fréquence n’est approprié que si la fréquence expérimentée a été pleinement vécu et comprise. De mon point de vue, une véritable modification de fréquence ne pourra s’effectuer que lorsque la majorité de la planète l’aura unanimement décidée. Simplement, lorsque l’humanité aura pris conscience de ses origines et qu’elle aura une meilleure compréhension de la place qu’elle occupe dans l’univers et, de surcroît, une meilleure compréhension de la Source de toute chose. Le genre humain est coupé de ce concept depuis la nuit des temps.
Un relevé de puissance n’est concret que lorsque l’énergie est additionnée et non lorsque cette énergie se disperse stupidement au point de créer des courts-circuits. L’accumulation d’énergie forme une puissance phénoménale qui peut dépasser l’entendement humain et créer des prodiges. C’est là l’élément qui manque chez certains qui ont décidé de créer l’élitisme et la division plutôt que l’union. Pas besoin d’être prophète pour prédire que l’être humain créera son monde idéal grâce à l’unité et la cohésion. Le genre humain forme une communauté douée d’un potentiel impressionnant. Une seule décision prise de façon unanime et c’est déjà une part du système de ce monde qui s’effondre d’un coup.
GMH : De ce fait, pensez-vous que nous ne puissions pas faire confiance en l’invisible ?
Anton Parks : Non, bien entendu. Je serai mal placé pour affirmer une telle chose, le problème ne se situe pas là. La pensée new age autour du thème de « la fin du monde » n’est pas éloignée de ce concept gnostique qui prône la recherche de soi-même à travers des informations provenant des sphères invisibles. Des informations très souvent invérifiables, qui, de ce fait, apportent le rêve et l’espérance. Des renseignements qui doivent absolument garder leur part de mystère, car la vérité des hautes sphères ne peut être accessible pleinement en 3D.
Parmi la sphère new age se trouvent des gens sincères et altruistes qui cherchent la réalité qui se cache derrière la nôtre. Certains ont déjà compris qu’il s’agit d’une réalité multiple. Parmi ces individus, nombreux autres sont en fracture sociale et en grande souffrance. Ils n’attendent plus grand chose de ce monde, tant notre société est difficile à vivre et souvent cruelle. La 3D n’étant que matière peu fréquentable pour ces personnes en détresse, certains d’entre eux (ils sont nombreux !!) prévoient et espèrent un effondrement du monde qui leur servira de propulseur inter-dimensionnel. Dans le cas de cette dissolution de la 3D, pourquoi faire des projets, travailler à un monde meilleur, puisque celui-ci est destiné à disparaître ? La zone céleste convoitée par ses individus ressemble fort à un endroit idyllique où on ne semble pas se nourrir (si ce n’est de lumière), où on ne travaille pas, où on ne souffre pas, etc.
Il est impossible d’avoir des renseignements clairs et précis sur ces sujets, vu le nombre de messages contradictoires en ce qui concerne ces hypothèses sur notre futur. Ceux qui véhiculent ces théories sont très peu enclins à être pragmatiques dès qu’il s’agit de comprendre et d’analyser dans les détails. Ils sont encore moins disposés à mettre leurs théories en communs ou à débattre objectivement sur les théories qu’ils avancent et qui se contredisent notoirement.
Par contre, je remarque chez ce type d’individus, qu’il est facile de renier la matière, celle qui nous a donné la vie, comme il est aisé de renier ses parents. Répudier la matière qui nous a apporté nos différentes perceptions équivaut à renier ce pourquoi nous sommes fait et tout le processus créateur qui a été élaboré en son sein depuis des milliards d’années par les différentes énergies créatrices, qu’elles soient bonnes ou mauvaises.
GMH : Vous pensez que l’inquiétude autour d’une possible fin du monde est donc déplacée ?
Anton Parks : Chacun a le droit de croire ou de penser ce qu’il souhaite dans la mesure où il respecte le point de vue de son prochain. Là où le culte du catastrophisme impliquant le « sauvetage » de quelques élus devient dangereux, c’est lorsqu’il use de méthodes compulsives, comme celle de la peur, à l’image de certaines personnes ou certaines sectes qui génèrent un prosélytisme important tout en dénigrant en permanence les autres possibilités, aussi cohérentes soient-elles. Différentes religions utilisent cette arme pour conserver leurs adeptes : « celui qui n’a pas la foi en Dieu, n’est pas un bon croyant et n’ira pas au Paradis »… Considérer qu’on est en droit à faire partie d’élus est très dangereux. Avec ce genre d’idéologie sectaire, les plus grands génocides ont été engendrés, l’histoire nous l’a prouvé. Reprocher à son prochain de ne pas avoir la foi en une doctrine est aussi très dangereux à mon sens.
En cette époque de grande collision entre les religions, les cultures, les idéaux et la science, le monde se retrouve au bord d’un gouffre de plus en plus profond à mesure que le temps s’écoule. La Terre et ses richesses n’a jamais été aussi maltraité par la main de l’Homme, mais tout est sous contrôle, vous ne risquerez rien si vous suivez à la lettre les règles imposées par ceux pour qui vous avez voté ! De même, la nature est gravement endommagée et le règne animal n’a jamais été aussi malmené. Les paysans sont acculés par les charges et le système de production mondial leur demande toujours plus au détriment de la qualité. Il n’y a plus aucune liberté, juste une peau de chagrin afin de produire l’effet d’une autonomie individuelle. L’écart entre les riches et les pauvres s’agrandit jour après jour, mais tout va bien, tant que les caisses des impôts sont réapprovisionnées. Savez-vous que si tout le monde ne payait plus ses impôts en même temps, le système s’écroulerait instantanément ? Inutile d’attendre un retour messianique ou une fin du monde pour changer le système. Le système changera le jour où l’humain sera solidaire avec son prochain, ce n’est pas bien plus compliqué.
GMH : Alors, selon vous, que se passera t-il en 2012 ?
Anton Parks : Je pense que 2012 est une date butoir qui servira au gouvernement mondial déjà en place à verrouiller les cadenas de toutes les portes de sortie (les rares qui restent), et à enterrer définitivement les libertés individuelles. 2012 est un leurre qui leur permet de berner et d’hypnotiser les individus qui reconnaissent d’autres théories que la très sainte et officielle. Tétanisés, devant l’attente de cette planète X et de ses bienfaits ou de son action destructrice, beaucoup de gens de bonne volonté s’évertuent à travailler uniquement sur leur esprit (puisque celui-ci est supposé avoir un effet déterminant sur l’orientation prise par la planète X : destruction ou transformation), au détriment du travail dans la matière. C’est une belle excuse pour ne pas regarder les difficultés à agir honnêtement et vivre sainement dans notre monde moderne. Cette pensée offre à la fois de grandes possibilités monétaires aux pollueurs et à ceux qui n’ont aucune morale, et de petites ouvertures à ceux qui sont intègres et consciencieux.
Quoi qu’il en soit, le sujet Neberu et 2012 éveille craintes ou délectations morbides de catastrophisme. Pendant ce temps, les conditions de vie se dégradent au lieu de s’améliorer, comme cela devrait être le cas pour une société qui a développé des technologies pour son bien être. Les banques et les assurances ont pris le pouvoir sur l’ensemble de la planète ! Plus de la moitié des habitants ne mange pas à sa faim, et l’autre ingère des aliments qui les empoisonnent. L’industrie pharmaceutique et chimique se frotte les mains ! De nombreux conflits et guerres sont savamment entretenus dans des endroits stratégiques. La santé et le bien être deviennent de plus en plus rares, seuls quelques privilégiés y ont droit… monnayant de grosses sommes à l’industrie médicale, bien entendu.
Ceux qui vivent du système sont peu enclins à le remettre en question, certains vont même jusqu’à le défendre de toutes leurs forces, tellement ils en sont dépendants. Quant à ceux qui sont ouverts d’esprit et osent regarder de l’autre coté du voile, ils se retrouvent « gavés » d’une multitude de renseignements mêlant informations et désinformations. C’est bien dommage, car ce sont eux qui ont le pouvoir de faire changer les choses sur cette planète. Nous sommes arrivés à un non sens, et il est nécessaire au gouvernement mondial de trouver des solutions fortes aux questionnements et à la possible révolte qui s’ensuivra.
Je ne suis pas spécialement partisan d’un conspirationisme systématique, mais je pense que les providentiels virus et l’arrivée de la planète X sont des chances pour le gouvernement mondial de ne pas être mis en cause. Ses membres sont prêts à tout, et ils possèdent une science très en avance sur la « science officielle ». Il leur sera tout à fait possible d’utiliser des images holographiques projetées dans notre ciel (projet Blue Beam) pour nous faire croire à l’arrivée d’une planète errante ou, pourquoi pas, à de vilains extraterrestres belliqueux. Tout dépend des objectifs de leur plan d’action. Si ce plan possède un programme court, il est possible que cela se passe comme cela. Si leur programme s’étend plus longuement dans le temps, les méthodes offensives contre l’être humain pourront être plus progressives.
Quant aux problèmes graves que l’humanité devra affronter : la dégradation du climat, les sécheresses, et à d’autres endroits, les pluies diluviennes, les inondations, etc, nous devons en chercher la cause dans la dégradation des sols qui se minéralisent sous l’effet de la déforestation et des produits phytosanitaires chimiques qui tuent toute vie organique, empoisonnent nos aliments et notre air. C’est un comble, mais un sol qui se minéralise devient un désert et ne peut plus rien produire s’il n’est pas gavé de chimie…C’est ce qu’il se passe un peu partout aujourd’hui, n’en doutez pas.
Et en ce qui concerne les tremblements de terre qui s’accentuent d’années en années, posons-nous la question de savoir de quel outrage la Terre se défend. Peut-être que les peuples primitifs n’ont pas tort en affirmant que le pétrole est le sang de la Terre. Il faut savoir aussi que cette histoire de planète X est censée, selon certaines théories, être responsable des dégâts climatiques et des tremblements de terre. Une fois encore, une aubaine quant à la responsabilité des industriels et de ceux qui les suivent et leur font confiance aveuglément.
Les solutions écologiques existent, mais elles demanderaient de placer l’être humain, sa santé et son bien être, au centre de toutes les attentions, mais ceci est incompatible avec son rôle de docile travailleur et consommateur. Le peu de considération, le chantage permanent et la précarité qui sont entretenus envers les producteurs qui nous nourrissent, montre bien à quel point ceux qui tirent les ficelles ne veulent pas de citoyens souverains.
D’une façon certaine, une fois l’échéance 2012 passée, les pros planète X avanceront que « l’humanité n’était pas prête ». Les plus engagés dans cette fumeuse propagande (si le projet holographique de projection d’une fausse planète X n’a pas lieu), diront que eux personnellement l’on bien vue, mais que l’habitant lambda qui n’a pas élevé sa conscience dans les dimensions supérieures n’est pas capable de voir des choses qui sont au-delà de la 3D. Il est possible aussi que l’échéance 2012 soit revue à 2060, qui est la date avancée par Sitchin pour sa visite. La planète X ne sera alors plus associée à 2012.
Quoi qu’il en soit, après 2012, il est certain que beaucoup culpabiliseront ou essayeront de faire culpabiliser d’autres individus plus faibles, car l’avenir ne sera pas au niveau de leurs espérances. Une chose est sûre, 2012 sera un point culminant, l’apogée de toutes les peurs pour certains d’entre nous.
Il est communément admis que la pensée créée notre vie, et beaucoup de spiritualistes acceptent ce point. Mais c’est tout un processus, la pensée crée des énergies, des motivations, des rencontres. Une idée au départ va inciter à une réflexion, une autre façon d’aborder les choses. Puis ces pensées vont modifier notre vie, mais à la seule condition que nous mettions en actes, en pratique ces pensées. Sinon, il n’y aura aucun changement, juste peut-être l’illusion d’une modification. En prolongeant cette idée de pensée créatrice, n’oublions pas non plus que le contraire est possible et qu’il est en action aujourd’hui, sous nos yeux. Installer une peur mondiale donne de l’énergie et de grandes possibilités aux carnassiers qui détiennent tous les pouvoirs sur l’ouvrier humain. Cela leur permet de faire passer toutes les lois qu’ils souhaitent sous notre nez. Voilà le portrait futur de notre planète si l’humanité ne se réveille pas très vite. Voilà aussi le cœur du problème concernant cette fameuse planète X. C’est savamment orchestré. Cependant, l’humanité a le choix de tout changer, et bon nombre d’entre nous ne le sait pas encore.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue / Les Mondes creux
Entrevue : Deuxième de quatre sur le site ECHO-ZEN
Lien : http://www.echo-zen.com/anton-parks-les-mondes-creux/
ANTON PARKS : les Mondes creux
23/08/2012 Par Chris
Les Mondes creux et les Anunnaki : une interview exclusive d’ANTON PARKS
Source : TOP SECRET Hors-série N° 1, La Terre creuse (été 2006)
Anton Parks, l’auteur du Secret des Etoiles Sombres, s’exprime sur sa vision de la thématique des mondes creux et, par conséquent, de la terre creuse : il puise en partie ses connaissances dans les textes sumériens et dans les » mythes » des civilisations antédiluviennes. Un entretien qui nous plonge au coeur des abysses et des cavernes du globe terrestre, là où résideraient d’étranges créatures. Karma One, pour le magazine Top Secret
Merci à Karmaone qui nous a amicalement concocté l’interview fulgurante d’Anton Parks. Une façon remarquable de traiter le dossier « Terre Creuse » sur d’autres pistes et perspectives…
Roch Saüquere, directeur de la publication et responsable éditorial du magazine Top Secret
L’INTERVIEW
Top Secret : La thématique de la terre creuse n’est certes pas un concept » moderne » remontant à des chercheurs du 19ième ou à des auteurs comme Jules Vernes. Il semble que les Sumériens évoquaient déjà cette conception sous l’appellation d’Abzu (Apsu en akkadien). Que recouvre-t-elle ? Comment se présentent ces mondes creux, à quoi cela ressemble-t-il ?
Anton Parks : Dans la mythologie mésopotamienne, l’Abzu représente l’abysse des eaux situé sous la croûte terrestre. Cette gigantesque masse fluviale irrigue le Tigre, l’Euphrate, mais aussi toutes les eaux du monde. Il existe de nombreux mythes différents qui confortent cette conception. Je pense que nous en reparlerons plus loin.
Un passage assez explicite de la littérature akkadienne évoque clairement l’Apsu (Abzu) en tant que lieu extraordinaire en dehors du monde habité des Hommes. Il s’agit de la tablette 11 de la version ninivite de l’Epopée de Gilgamesh. Le « dieu » Ea (Enki), le maître de l’Apsu (Abzu), prévient Ut-napishtim (le Noé babylonien) qu’un cataclysme décidé par le Haut Conseil des « dieux » recouvrira la Terre entière et qu’il ne laissera aucun survivant. Ea-Enki présente à son protégé la façon de fabriquer un bateau insubmersible qui lui permettra de naviguer sur la mer et d’échapper au déluge. Ensuite, le maître du monde souterrain conseille à Ut-napishtim de dire aux personnes qui trouveraient son départ suspect : »[Dis-leur] : « Je crains qu’Enlíl [Ndlr : l’adversaire d’Ea-Enki] ne m’ait pris en haine. Je ne resterai donc plus en votre ville, je ne garderai plus les pieds sur le territoire d’Enlíl, mais je descendrai en l’Apsu pour demeurer auprès de monseigneur Ea » ». Cet étrange conseil ne peut se traduire correctement que si on considère bien l’Apsu comme étant le monde souterrain où Ea-Enki demeure et où le protégé du maître des abysses trouvera refuge avec son navire. Ce n’est pas indiqué sur la tablette, mais on imagine bien le seigneur des abysses conseiller Ut-napishtim sur la façon de le rejoindre dans son monde souterrain en passant par l’ouverture d’un des pôles de la planète.
Enki-Ea n’aurait jamais avisé Ut-napishtim de le retrouver sur la terre ferme du dessus, alors qu’un « ouragan diluvien écrasa la Terre pendant 6 jours et 7 nuits » selon les termes du même texte akkadien… La violence de ce déluge est d’autant plus évidente qu’il est dit plus loin que « les Anunnaki brandirent leurs « torches » de leur éclat divin qui embrasa la Terre… les dieux pris d’épouvante devant le déluge, prirent la fuite en montant jusqu’au ciel d’Anu ». Les torches sont bien-entendu les vaisseaux embrasés des « dieux » qui leur permirent de s’élever et quitter la Terre pour rejoindre le « dieu » An(u) dans le ciel. C’est d’ailleurs du ciel que les « dieux » constatèrent les dégâts sur la surface du globe. Pendant ce temps, Enki-Ea qui ne faisait pas partie du voyage, se trouvait tranquillement à l’abri dans son Apsu (Abzu) avec les siens et Ut-napishtim !
Ce petit détail en dit beaucoup sur la façon dont la Terre fut partagée entre les « dieux ». Aucun Anunna(ki) n’avait le droit de mettre les pieds dans l’Abzu d’Enki, sinon ils ne se seraient pas tous envolés et seraient simplement descendus sous terre auprès du maître des abysses…
Lorsque l’on décompose le mot sumérien AB-ZU, on obtient « le trou de la connaissance » ou encore « la retraite du savoir ». Ces définitions sont conformes avec le fait qu’Enki-Ea soit considéré comme un être à part parce qu’il possédait une connaissance particulière provenant de sa mère Nammu, la grande généticienne des Gina’abul (« lézard » en sumérien = nom de la famille à laquelle appartiennent les Anunnaki).
Top Secret : Dans votre livre, « Le Secret des Etoiles Sombres » (paru aux Editions Nenki), une certaine catégorie d’Anunnaki y résident. Pouvez-vous nous expliquer brièvement ce que sont les Anunnakis et pourquoi, cette caste réside-t-elle dans les mondes creux ?
Anton Parks : Au début des chroniques que je relate, ce ne sont pas les Anunna, mais plutôt une race affiliée à ces derniers et dénommée Šutum qui occupait généralement les mondes creux. Ces êtres étaient des ouvriers sous les ordres de la caste dominante Ušumgal (Grands Dragons) qui règne en maître dans la Grande Ourse. Les Ušumgal avaient pour roi un certain Abzu-Abba qui vivait effectivement sous terre, dans l’Abzu. Ce roi illustre possédait tous les Abzu des colonies Gina’abul (NDR : nom générique des races reptiliennes). Abzu étant le terme commun utilisé par les Gina’abul pour nommer chacune des cavités planétaires.
Le roi Abzu-Abba fut éliminé et dépossédé de ses biens par Enki, le fils du « dieu » An parce qu’il avait découvert la véritable raison qui incita les Ušumgal à vouloir cloner les guerriers Anunna. Ce fut ensuite pour cacher le nombre d’Anunna cloné qu’An et ses complices dissimulèrent une grande partie de ces derniers dans les entrailles des mondes creux à l’insu d’Enki.
Pour des raisons trop longues à décrire ici et exposées dans « Le Secret des Etoiles Sombres », une guerre éclata au sein de la famille des Gina’abul qui eut pour conséquence la venue des Anunna dans notre système solaire. Pour simplifier, nous dirons qu’Enki et sa mère Nammu héritèrent alors de l’Abzu (le monde souterrain) d’Uraš (la Terre).
Ce furent donc les êtres sous la responsabilité exclusive de Nammu et de son fils qui s’installèrent dans l’Abzu terrestre. C’est en ce lieu précis que Mamítu-Nammu et Enki créèrent l’humanité. Ces mêmes faits sont clairement rapportés dans de nombreuses mythologies. Les textes mésopotamiens attestent avec précision qu’Enki et sa mère Nammu étaient des cloneurs légendaires qui vivaient et travaillaient dans l’Abzu.
Pour finir sur les Anunna et Enki, le maître des mondes souterrains, j’ajouterai que le fils de Nammu bénéficiait d’une position inédite et particulière au sein du royaume des Gina’abul-Anunna. De par sa mère Mamítu-Nammu, il jouissait d’une sorte d’érudition que ne détenaient pas les Anunna(ki). Enki possédait des droits spéciaux qui lui permettaient à la fois de conseiller les Anunna(ki) d’Enlíl, mais aussi de les diriger ponctuellement avec ce dernier. Aux yeux de l’ensemble des Anunna, Enki était regardé comme un être à part détenant un savoir qui leur est était totalement inconnu, précisément celui des prêtresses qui soutenaient le maître des abysses. Cette situation singulière donna à Enki de nombreux privilèges que même Enlíl, maître incontesté des Anunna(ki), ne possédait pas.
Top Secret : La religion catholique – surtout lorsque l’on voit certains tableaux de Jérome Bosch ou des » effrayantes » illustrations du catéchisme pour les enfants au début du 20ième siècle – fait traditionnellement mention du fait que les enfers sont des mondes souterrains peuplés de créatures démoniaques, reptiliennes et ayant un rapport avec le feu. Est-ce issu d’une connaissance sumérienne de ces mondes ?
Anton Parks : Les abysses renvoient à une notion de l’étrange, à quelque chose d’impénétrable et d’inquiétant. Mais, il y a cet amalgame systématique qui est fait entre l’intérieur de la Terre (la terre creuse = l’Abzu) et les cavernes qui se trouvent sous la croûte terrestre ou les montagnes. Ceci peut paraître insignifiant, mais prend tout son sens lorsque l’on se réfère à l’univers des Gina’abul que l’on retrouve en partie dans les légendes sumériennes.
L’Abzu de la mythologie mésopotamienne est généralement un endroit calme peuplé de créatures bénéfiques, certes aux multiples formes, mais qui oeuvrent pour l’humanité. Il y a parmi ces entités les Nungal (ou Igigi) clonés par Enki, des êtres aquatiques dénommés Abgal (Apkallû en akkadien), des prêtres Enkû, des Namlú’u (des rescapés de l’humanité primordiale) ou encore des femelles Amam’argi (litt. « Mère lumineuse qui restaure »)… Tous ces individus vivent en parfaite harmonie au sein de la terre creuse que l’on peut assimiler au paradis terrestre.
Ce monde est en opposition avec l’univers des cavernes où se sont réfugiés certains Anunnaki, mais aussi quelques Kingú (Gina’abul royaux) et des Mìmínu (« des gris ») au service de la caste dominante Gina’abul. Cet univers est effectivement celui que l’on retrouve dans la littérature judéo-chrétienne qui évoque des enfers peuplés de dragons et de serpents sinistres et menaçants.
Top Secret : Dans votre livre également, il est fait mention du fait que toutes les planètes (même les lunes) sont creuses. Est-ce la nature même d’une planète d’être creuse ?
Anton Parks : Je ne suis pas scientifique, ma spécialité étant plutôt le passé de l’humanité. Mais, effectivement, mes connaissances en la matière me permettent d’affirmer sans l’ombre d’un doute que toutes les planètes sont creuses et qu’elles peuvent pour la plupart abriter la vie telle que nous l’expérimentons dans notre 3ème dimension ou fréquence. Nous avons fait un gros dossier sur le sujet sur mon site Internet. A l’époque, Roch Saüquere avait eu l’extrême gentillesse de nous autoriser à utiliser la magnifique photographie qu’il avait décelée en fouillant minutieusement les archives de la mission STS 75. Depuis cette photo a fait le tour du monde… Votre magazine a également consacré un très beau numéro sur ce sujet en 2002.
Au-delà des mythes et au vu des clichés de la Nasa qui circulent sur le Net, cette réalité ne fait plus aucun doute !
Top Secret : Justement, parlons de mythologie. Est-ce que l’on trouve des références aux mondes creux dans d’autres cultures anciennes comme la culture Egyptienne, tibétaine, sud-américaine ou bien est-ce confiné aux seuls Sumériens ?
Anton Parks : Oui, bien entendu, cette notion est planétaire et se retrouve dans de nombreux mythes qui n’ont à priori rien à voir les uns avec les autres. En Amérique du Nord, les Indiens Hopi de l’Arizona prétendent avoir été créés dans le monde souterrain par le Grand-Esprit Masaw, le Créateur de l’espèce humaine et gardien du monde souterrain qui n’est autre qu’un « double » de l’Enki-Ea des Sumériens.
Les Marawi et les Adima d’Afrique racontent que les premiers Africains avaient été créés dans les profondeurs de la Terre. Ils se trouvaient donc rassemblés au centre de la Terre et résolurent de s’éparpiller pour gagner la surface. Mais, pour rejoindre les endroits désignés à chacun par les dieux, il leur fallut traverser un grand fleuve et se purifier dans ses eaux.
En Amérique centrale, les Indiens Nahua descendants des Aztèques déclarent que les Maîtres de la Terre habitent un royaume souterrain qui soutient le Monde. Ils nomment cet endroit le Tlalocan. Le Tlalocan est une immense grotte composée de montagnes, de fleuves et pourvue dans sa partie orientale d’un lieu aquatique où se rejoignent toutes les eaux du monde. C’est précisément à cet endroit que réside la Déesse-Mère « qui est à la fois l’embryon et l’être multiple de l’ensemble des sages-femmes ». Cette vision est conforme à l’idée que se faisaient les Sumériens de l’Abzu, le lieu où Enki-Ea créa l’humanité avec sa mère Nammu, elle-même considérée comme la Déesse-Mère…
En Australie, les Aborigènes de la terre d’Arnhem prétendent que « la Toute-Mère » arriva au Nord du continent sous la forme d’un serpent et qu’elle donna naissance aux premiers Australiens. Après cela, elle retourna chez elle à l’intérieur de la terre…
Il y a cette légende des Tabetu d’Afrique qui raconte l’histoire de cet homme qui se trouva perdu au fond d’une caverne et qui marcha très longtemps sous terre. Il finit par découvrir une ouverture et fut sauvé. Il se trouva alors dans un pays totalement inconnu. Des personnes l’accueillirent chaleureusement et toutes les femmes voulurent l’épouser. Il vécut là sans savoir où était sa famille ».
En Irlande, ce sont les Tuatha De Dannan qui sont originaires de l’intérieur de la Terre. Ils sont mandatés par la déesse Dana en vue d’anéantir les géants qui infestent l’Irlande.
Il y a aussi cette légende rabbinique qui dit qu’après avoir été expulsé du paradis, Adam eut le brûlant désir d’y retourner. Il se mit à chercher une de ses portes dans la montagne, qu’il retrouva mais elle était fermée, obstruant définitivement l’accès ! Ce même thème se retrouve dans un des épisodes de Gilgamesh où le héros doit passer par une montagne pour accéder au monde des « dieux »…
Comme vous le voyez, il existe un nombre incalculable de mythologies qui traitent de ce sujet. Il y aurait de quoi rédiger plusieurs volumes.
Top Secret : Certains auteurs comme Joscelyn Godwyn (Arktos, Adventure Unlimited Press) ont fait la synthèse de travaux d’autres chercheurs du 19ième siècle sur des continents intérieurs qui tapissent la face interne de la terre. On parle des continents d’Agharta et de la ville de Shambala, qui entretiendrait des relations avec le Tibet. Que recouvre ces lieux mythiques ?
Anton Parks : L’Agartha se trouverait aujourd’hui au centre de la Terre. C’est le séjour des bienheureux où règne une lumière céleste. C’est du moins ce qu’il ressort des légendes tibétaines et ce concept est en accord avec la plupart des mythes que nous venons de relever plus haut. Il est généralement admis que l’Agartha n’était pas souterraine auparavant et qu’elle se situait dans le désert de Gobi il y a plus de 6 000 ans. Sa capitale se situait à l’endroit où se dressent aujourd’hui les ruines de Khara Khota.
Détail important, ceci implique donc que le terme Agartha n’englobe pas totalement la notion de terre creuse. Des traditions occultes venues du Tibet expliquent qu’il y eut une guerre effroyable dans le désert de Gobi, siège de la civilisation avancée des Uighurs et que cette guerre atomique détruisit tout sur son passage. Cette dernière condamna le royaume de l’Agartha à s’enfouir au cœur de la Terre.
Le terme AGA-AR-THA « Grand esprit pur et total » proviendrait du mongol, lui-même adapté à partir de l’alphabet uighur. L’alphabet uighur serait un dérivé du sogdian qui viendrait de l’araméen. Un petit exercice auxquels mes lecteurs sont désormais habitués nous permet de décomposer ce nom à l’aide de l’Emešà, le langage matrice des Gina’abul (le syllabaire suméro-akkadien) : A-GÀR (plaine) ; TA5 (brillant), soit « la plaine brillante » ou encore A-GÀR-TA5-HÁ « la plaine brillante de la multitude ». Une fois de plus l’idéologie Gina’abul et sumérienne nous permet de démystifier le sens profond d’un terme légendaire, car elle met en évidence l’aspect à la fois terrestre et divin de l’Agartha en tant qu’ancienne plaine baignée par le soleil où résidait une multitude d’individus. Le symbolisme axial de l’univers, c’est-à-dire de la montagne et de la caverne est totalement manifeste ici…
Le même type d’exercice nous permettra de décomposer le terme Shambala qui serait plutôt le nom d’une localité intra-terrestre, d’une cité verte et blanche bâtie de pierres précieuses éclatantes. ŠÀ-AM-BALA donne en sumérien : « le cœur du seigneur qui creuse les fossés » ou encore « les entrailles du seigneur du fond courbé ». Cette pensée englobe l’idéologie mésopotamienne qui fait du maître des abysses Enki-Ea à la fois « le seigneur des mines » ou celui « des entrailles de la terre ou du fond courbé de la planète ».
Top Secret : Malgré l’abondance de références anciennes à propos de cette mystérieuse thématique des mondes creux, les chercheurs en science humaine ou en astrophysique considèrent cette thématique comme absurde ou ignorent ces références. Pourquoi à votre avis ? Et surtout, pourquoi cette possibilité que notre terre soit creuse, voire même habitée par d’étranges entités heurtent tant notre sensibilité ?
Anton Parks : Notre inconscient collectif se souvient de l’existence de ces « dieux » à la forme « animale » qui vivraient sous nos pieds. Admettre la présence des gigantesques cavités terrestres obligerait la Communauté Internationale qui gère les affaires de la planète à devoir rendre des comptes auprès de l’humanité. Cette Communauté souhaite-t-elle vraiment montrer à la face du monde l’existence de telles entités plus ou moins favorables ? Souhaite-t-elle se ridiculiser et prendre le risque de perdre le contrôle de ses esclaves humains ? Si l’énorme arnaque venait à être découverte un jour, souhaite-t-elle encore exhiber les « dieux » Anunnaki qui vivent sous les montagnes et qui gèrent secrètement les affaires humaines ? Le lourd secret finira bien par se savoir un jour, sans doute prochainement, mais je doute fort que tout cela se déroule dans la plus grande des sérénités.
Le texte apocryphe intitulé « Le Livre d’Adam », rejeté par le culte judéo-chrétien qui mène ce monde depuis des millénaires, en dit beaucoup sur l’existence, non pas des êtres bénéfiques qui vivent dans l’Abzu, mais de ceux qui résident dans les cavernes, c’est-à-dire des Anunnaki dénommés Archontes chez les Gnostiques. La stupeur du témoin face aux démons des cavernes dénote celle qui risquerait certainement de s’exprimer si le lourd secret venait à être révélé prochainement : « Après que la vie première et souveraine m’eut ainsi parlé, je me transportai par sa puissance dans le séjour des ténèbres, dans le lieu qu’habitent les méchants, dans les demeures des êtres corrompus, dans le repaire des serpents, dans les fournaises du feu consumant, dans les fournaises de ce feu qui monte, monte jusqu’aux limites même du firmament […]. J’allai dans le lieu des ténèbres : je vis les rebelles, je vis les portes de l’obscurité, […] les abîmes du pays de Sinevis ; l’eau noire roulant dans ces abîmes, eau qui donne la mort à quiconque ose l’affronter. Je vis au milieu de cette eau des serpents de diverses couleurs et de diverses espèces ; je vis les vaisseaux des ténèbres différents les uns des autres ; je vis leurs pilotes dépravés assis chacun dans son navire, revêtus de leurs armes impies ». (extrait de : » Le Livre d’Adam ou « code Nazaréen », extrait de la première partie du chapitre 6 « ).
Comme vous l’aurez compris, nous sommes ici bien loin de la spiritualité de l’Abzu, de Shambala ou encore de l’Agartha. Les serpents qui vivent dans « l’obscurité » des cavernes se disputent la légitimité de la planète. Ils le font depuis des millénaires par humains interposés. Mais, fort heureusement pour l’humanité, les entités qui se situent dans la gigantesque cavité planétaire ont toujours veillé sur elle. Vu le contexte mondial actuel qui ne s’arrange guère, les entités bienveillantes que l’on retrouve dans bon nombre de mythologies risquent fort de placer à nouveau l’espèce humaine face à ses responsabilités en tant que « jeune adolescente » qui devra faire un choix…
© 2006 Anton Parks, pour les décompositions, traductions et interprétations suméro-akkadiennes.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
Une rhétorique un brin… merdique!
Anton Parks dit : «Le texte apocryphe intitulé « Le Livre d’Adam », rejeté par le culte judéo-chrétien qui mène ce monde depuis des millénaires».
Panthère, tu me déçois gravement…
Tu me dénonces à tour de bras, tu m'insultes depuis décembre 2012, tu me traine dans la boue et tu postes fièrement une telle chose?!?
Franchement… Quel phrase “poubelle”! Indigne d'un auteur comme Anton Parks! Sans compter que, encore une fois, Parks est occidentalo-centriste (mais ça, c'est une autre affaire).
Il faut dire une chose pour commencer : Le Livre d'Adam est super connu, répandu, édité et traduit. Il ne s'agit pas d'un ouvrage d'origine juive, ni d'origine chrétienne! Il s'agit d'un livre liturgique mandéen! Ils s'agit d'un des nombreux groupes ethniques persécutés en Irak, comme les yézidis, les kurdes et, bien entendu, les chrétiens.
Les mandéens se faisaient en effet appeler «nazaréens», ou «chrétiens de Saint-Jean» ou «sabéens» par les voyageurs et géographes du 19e siècle qui les ont fait connaître à l'occident. Encore à ce jour, une partie de l'information qu'on retrouve sur eux sur le web vient de ces trucs du 19e siècle (classé “domaine public”). Le titre de ce livre chez les mandéens est «Ginza», le titre de «Livre d'Adam» ou de «Code Nazaréen» vient simplement des éditeurs du 19e siècle qui ne savait pas trop. De plus, ce livre est une partie importante d'un ensemble liturgique - donc pas un livre destiné à révéler des secrets que nous cache la Curie romaine. Il s'agit donc d'un livre que chantent les mandéens encore à ce jour lors de leurs méditations et de leurs liturgies, lorsqu'ils entrent en eux et qu'ils sont en proie à leurs “démons” intérieurs. Le livre est composé de visions. Rien donc à voir avec la terre creuse!
Un détournement de sens qui vraiment est choquant et doit être dénoncé!
Autre détail, s'il est vrai qu'au 19e siècle l'Abbé Migne pouvait ranger ce texte avec les apocryphes, aucun chercheur sérieux ne ferait ça actuellement. Il ne s'agit pas d'un redoutable apocryphe caché qui pourrait faire tomber le Vatican, il s'agit d'un des livres liturgiques des communautés mandéennes d'Irak! Même à ce jour, en 2015, les mandéens en chantent des extraits à chaque jour, à chacune de leurs liturgies!
Quoi? Le grand Anton Parks ne sait pas ça??? Il pense qu'il s'agit d'un livre «rejeté» ???
Batince…
Alors on pose à nouveau la question : Pourquoi cette rhétorique de merde et pourquoi ça en particulier : « rejeté par le culte judéo-chrétien» ?
Serait-ce pour impressionner son lectorat cible qui ne vérifie rien?
Ça, c'est vraiment de l'ignorance de la part d'un auteur avec une telle notoriété - j'espère qu'il ne s'agit pas de mauvaise foi…
Autre élément troublant : Sa citation du Livre d'Adam vient du Dictionnaire des apocryphes, édité en 1856 par… l'Abbé Migne!
Même pas foutu de prendre une traduction récente ou de traduire lui-même son extrait, lui qui pourtant sait lire (colporte-t-on parmi les grands initiés) des tas de langues anciennes… Ça mérite d'être posé ça comme question!
On veut des réponses, pas du mauvais copié-collé!
Mais poursuivons notre brève enquête (qui a pris une dizaine de minutes à réaliser - c'est vrai que les textes censurés par le Vatican sont introuvables sur le web!)
Élément de plus à mettre au dossier: sa citation est trafiquée! Il inverse l'ordre du texte… Inféodant ainsi un sens - le siens - au récit du visionnaire (dans le texte) qui décrit ce qu'il voit!
« Après que la vie première et souveraine m’eut ainsi parlé, je me transportai par sa puissance dans le séjour des ténèbres, dans le lieu qu’habitent les méchants, dans les demeures des êtres corrompus, dans le repaire des serpents, dans les fournaises du feu consumant, dans les fournaises de ce feu qui monte, monte jusqu’aux limites même du firmament […]. J’allai dans le lieu des ténèbres : je vis les rebelles, je vis les portes de l’obscurité, […] les abîmes du pays de Sinevis ; l’eau noire roulant dans ces abîmes, eau qui donne la mort à quiconque ose l’affronter. Je vis au milieu de cette eau des serpents de diverses couleurs et de diverses espèces ; je vis les vaisseaux des ténèbres différents les uns des autres ; je vis leurs pilotes dépravés assis chacun dans son navire, revêtus de leurs armes impies »
La partie «Après que la vie première et souveraine m’eut ainsi parlé, je me transportai par sa puissance dans le séjour des ténèbres, dans le lieu qu’habitent les méchants, dans les demeures des êtres corrompus, dans le repaire des serpents, dans les fournaises du feu consumant, dans les fournaises de ce feu qui monte, monte jusqu’aux limites même du firmament […].,» vient de la page 74 du dictionnaire de Migne. (on vérifie ça ici)
La partie «J’allai dans le lieu des ténèbres : je vis les rebelles, je vis les portes de l’obscurité, […] les abîmes du pays de Sinevis ; l’eau noire roulant dans ces abîmes, eau qui donne la mort à quiconque ose l’affronter. Je vis au milieu de cette eau des serpents de diverses couleurs et de diverses espèces ; je vis les vaisseaux des ténèbres différents les uns des autres ; je vis leurs pilotes dépravés assis chacun dans son navire, revêtus de leurs armes impies» vient de la page 70! (On vérifie ça ici)
Intéressant, mais mineur dans ma démonstration qui va suivre dans les jours qui viennent.
Je le redis donc : Anton Parks est un auteur de fiction! Ça plait à certains, mais on ne devrait pas l'utiliser si on est soi-même en recherche!
Mineur donc, mais ça pointe en direction d'une chose : Certaines “vedettes” dans le merveilleux monde du zozotérisme (qui n'a rien à voir avec l'ésotérisme) sont prêt à trafiquer des textes afin de leur faire dire ce qui va conforter leur public cible, un public vendu d'avance qui, quoi qu'on dise, quoi qu'on fasse va toujours demeurer convaincu que les gros méchants universitaires sont parties prenantes d'un complot, complice de la Curie vaticane afin que moi, vous et les autres ne puissions avoir accès à l'essence du vrai qui est plus vrai que vrai!
Mineur donc comme détail à la lumière de l'ensemble qui sera présenté ici dans quelques jours. Mais l'occasion faisant le larron, je ne pouvais m'empêcher de montrer ce petit détail qui sert donc d'introduction au reste qui est à suivre.
Je soulève une question ? Est-ce qu'Anton Parks travaille à partir de fiches et de notes éparses prises n'importe où, les raboutants ensuite, ne sachant plus où il les a prises?
Heille, c'est du n'importe quoi - mais pourquoi est-ce que je ne suis aucunement surpris de tant d'obscurantisme?
Une rhétorique un brin… merdique!
Anton Parks dit : «Le texte apocryphe intitulé « Le Livre d’Adam », rejeté par le culte judéo-chrétien qui mène ce monde depuis des millénaires».
Il faut dire une chose pour commencer : Le Livre d'Adam est super connu, répandu, édité et traduit. Il ne s'agit pas d'un ouvrage d'origine juive, ni d'origine chrétienne! Il s'agit d'un livre liturgique mandéen!
1. D'abord, il n'a pas dit que le Vatican cachait ce texte, mais qu'il l'avait rejeté. Fait-il partie des textes canoniques, oui ou non ?
2. Faudrait identifié à qui il s'adresse quand il mentionne le culte judéo-chrétien. Pour moi, il fait référence surtout à l'Église catholique romaine et à sa base occidentale. À ce que je sache, et j'ai été pratiquant un bon bout de temps, je n'ai jamais entendu parler du « Le Livre d'Adam » dans notre liturgie au Québec. Tu me corrigeras si j'erre...
Et il n'a jamais été question dans son propos de dire que ce livre n'existait pas dans certains milieux comme en Irak, historiquement parlant. Toi, tu as étudié là-dedans mais tu fais partie d'un groupe très restreint en regard du % des catholiques à travers le monde.
3. Il a « inversé » devient il a « trafiqué ». Wow ! Bon, tu as discuté du contenant, du contexte historique, bravo pour le cours d'histoire. Maintenant, pourrais-tu discuter du contenu, du sens donné par Parks ? Des gens qui citent la Bible en regroupant plusieurs extraits pour démontrer un point de vue, c'est courant. Est-ce qu'ils trafiquent tous la Bible ? Beaucoup de gens s'appuient sur la Bible pour argumenter sur toutes sortes de sujet. Et pas n'importe qui. Tu pourrais peut-être partagé avec nous quel sens tu donnes à ce texte, toi. Et ce faisant, nous expliquer pourquoi le sens donné ici à Parks ne convient pas. Tu te dis ouvert à la discussion, mais tu voudrais qu'on en vienne tous à ton interprétation. Pour la partie historique, je n'ai rien à redire. Pour le sens à donner au texte, là, je m'excuse, tu n'as pas le monopole de la vérité. Personne ne l'a. Même pas Anton Parks. À chacun d'alimenter sa réflexion et non pas d'adhérer aveuglément.
4. Hier tu m'interpelles en criant au loup à propos d'une entrevue d'Anton Parks que le site Stop Mensonge a mis sur son blogue. Et tu as fait une scène avec une partie du texte à la fin qui n'avait rien à voir avec Parks.
J'ai pu retrouver la même entrevue sur un autre site plus sérieux et en comparant, on voit bien que tu avais tort. Tout ce que tu as trouvé à dire c'est : «Ouain, mais plus haut aussi il y a de mes phrases… mais détournées de leur sens!»
Encore une fois, comme dans le vidéorandia #1251 (parce que tu avais le Tome II entre tes mains bien avant le vidéorandia), au lieu de prendre le temps de contre vérifier par toi-même, hier tu as été vite sur la gachette pour conclure et faire des allégations non-fondées. Et quand je le met en évidence, tu dis que je t'insulte !
Rien donc à voir avec la terre creuse!
C'est vrai. Si tu prends le temps de lire, tu vas voir que ça l'a à faire avec les cavernes !
Le texte apocryphe intitulé « Le Livre d’Adam », rejeté par le culte judéo-chrétien qui mène ce monde depuis des millénaires, en dit beaucoup sur l’existence, non pas des êtres bénéfiques qui vivent dans l’Abzu, mais de ceux qui résident dans les cavernes, c’est-à-dire des Anunnaki dénommés Archontes chez les Gnostiques.
Finalement, tu es en train de me convaincre que tu es un fameux prof d'histoire que j'aurais certainement apprécié d'avoir. Oui, là j'aurais apprécié, aimé discuté autour d'un café ou d'une bière. Voilà très certainement le lien qui pourrait nous réunir. Mais, pour le reste, ça ne s'arrange pas. Au contraire.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
Une rhétorique un brin… merdique!
Pourquoi le Vatican, ou les juifs se prononceraient-il sur la canonicité ou non d'un texte liturgique mandéen?
Dis-moi…
Est-ce que le Vatican a quoi que ce soit à voir avec la canonicité, disons, les hymnes védiques? Est-ce que la synagogue doit se prononcer sur la canonicité du Mahabharata?
Pourquoi Anton Parks le présente-t-il comme un texte «rejeté par le culte judéo-chrétien» alors qu'il n'a rien à voir avec ce culte?
De plus, ce livre est toujours et encore à ce jour en usage au sein des communautés mandéennes, incluant celles en exil installés aux USA et en Australie.
Il se documente où donc? C'est une question importante… S'il fait de la fiction, c'est une chose, mais s'il prétend faire de la recherche, on doit soulever cette question!
Et quand tu dis que tu n'as pas entendu parler de tel ou tel autre texte, le problème ne vient que de toi mon cher et de toi seul!
Il n'y a pas longtemps, un type me disait qu'il avait découvert l'existence d'apocryphes cachés par l'Église. Le gars, un anglophone, pensait avoir trouvé quelque chose de big jusqu'à ce que je lui montre un livre édité pour la première fois en…1924, réédité rapidement en 1926 (un vrai succès de librairie) et réédité périodiquement depuis. Le titre «The Apocryphal New Testament», je l'ai moi-même dans une réimpression en livre de poche qui date des années '70, achetée chez un bouquiniste. Pas besoin d'un Post-Doc de Cambridge, ni de faire partie d'une clique académique pour connaître ça.
Et de toutes manières, lorsqu'un de ces types vient parler à des groupes comme celui de Richard, les “réguliers” s'organisent en meute pour lui sauter dessus et lui cracher au visage. Tu n'as jamais noté ça?
Tu m'étonnes là…
Livre cachés, c'est de la vulgaire et grossière rhétorique ça mon cher! Il faut alors voir à qui s'adresse une telle rhétorique et identifier qui sont ceux qui l'utilisent afin de s'assurer que personne ne va aller vérifier quoi que ce soit.
Dans le bon vieux temps, à l'époque où Richard semblait vouloir se sortir de cette glue, je l'ai dit, exposé et expliqué à de nombreuses reprises : Ceux qui vous crient que vous êtes manipulés sont ceux qui vous manipulent le plus! Quand quelqu'un te dis qu'une chose est rejetée ou cachée et qu'elle ne l'est pas, ça soulève une question.
Non?
Et si quelqu'un propose des étymologies et que celles-ci sont complètement fantaisistes, ça s'appelle comment ça?
À moins que tu ne me dises que les dictionnaires et lexiques des langues anciennes ont tous subit le couperet le Messire Monseigneur et de l'Opus Dei…
Je comprends que tu cherches défendre ton auteur favoris bec et ongles, mais une chose m'étonne, c'est ton incapacité à discerner sa rhétorique biaisée alors qu'avec moi, tu fesses dans l'dash! Mais je comprends, il y a un certain inconfort lorsqu'on se rend compte que les auteurs et les sites web où on pense s'informer sont en fait des grapilleurs de n'importe quoi!
Une rhétorique un brin… merdique!
Donc, là où Anton Parks voit une preuve de l'existence des Anunnaki ou autres reptiliens, toi, tu y vois simplement des « démons intérieurs ».
Tu as droit à ton opinion dans le contexte de l'entrevue sur « la Terre creuse et les cavernes ».
Parce que c'est là l'essence de la question : preuve matérielle ou message spirituel ?
Que chaque personne choisisse son camp selon ses convictions personnelles.
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Je ne peux garantir de la véracité mais ça donne une idée tant qu'à parler d'eux.
Notez que j'ai enlevé les annotations des références que j'ai vues pour faciliter la lecture, mais vous les trouverez en cliquant sur le lien.
Lien : https://fr.wikipedia.org/wiki/Mand%C3%A9isme
Extrait : Traditions
Les plus anciens des manuscrits mandéens datent du XVIe siècle, mais l'analyse de leurs textes et notamment des listes de scribes les ayant recopiés, permet de remonter jusqu'au IIe siècle. Selon leurs traditions, leur communauté se serait formée autour de Jean Baptiste, ils pourraient faire partie de ceux qui ne se sont pas ralliés à Jésus. Leur départ de Judée pourrait résulter à la fois de la terrible répression de la Révolte des exilés connue sous le nom de guerre de Quietus (115-117) et de la répression qui a suivi la défaite de la révolte de Bar Kokhba et la destruction de Jérusalem par les Romains en 135. Toutefois, cette vision ne fait pas consensus parmi les chercheurs. Certains, comme André Paul, estiment « qu'ils avaient des liens idéologiques avec les mouvements évoluant en marge du judaïsme de Palestine, en Transjordanie exactement », mais que cela ne peut nous permettre de remonter que « jusqu'au IIe siècle chrétien, mais guère plus haut ». André Paul estime donc « très improbable » la tradition mandéenne qui fait remonter leur existence à Jean le Baptiste (mort vers 35). Nombre d'autres spécialistes ne sont pas aussi catégoriques que lui.[réf. nécessaire]
Le Chatt-el-Arab où vivaient jusqu'en 2003 l'essentiel des mandéens et où Elkasaï puis Mani ont fondé leur première communauté. Comme tous les cours d'eau qui servent à leurs rites baptismaux, les mandéens l'appellent Jourdain.
Selon la plupart des historiens, les mandéens ont migré depuis le sud du Levant jusqu'à la Mésopotamie dans les premiers siècles de notre ère et sont certainement d'origine pré-islamique. Ils sont sémites et parlent un dialecte oriental de l'araméen connu sous le nom de mandéen. Ils peuvent ainsi être liés aux « Nabatéens d'Irak », qui parlaient l'araméen et étaient des habitants autochtones pré-islamiques s'étant taillé des royaumes arabes lors de l'effondrement des royaumes séleucides (fin du IIe siècle av. J.-C.) au sud de l'Irak (Characène) et au nord en Adiabène (Mossoul, Erbil, Nisibe, Edesse, Harran).
Les mandéens semblent s'être établis dans le Nord de la Mésopotamie, mais la religion mandéenne a été principalement pratiquée autour du cours inférieur du Karoun, de l'Euphrate et du Tigre et des rivières qui entourent le Chatt-el-Arab, une partie du Sud de l'Irak et de la province iranienne du Khuzestan. Ils sont appelés sabéens (صابئة) par la population environnante et dans les écrits des auteurs islamiques. Ils font vraisemblablement partie de ceux qui sont appelés sabéens dans la littérature islamique dès le VIIIe siècle et qui selon ces auteurs habitent à Kutha (au sud de Ctésiphon et Séleucie), à Koufa (un peu plus au sud), dans la Characène, dans la ville de Mésène (ancienne Charax Spasinu sur le Chatt-el-Arab) et à Mossoul (actuel Kurdistan). Toutes ces villes d'Irak étaient situées au bord du Tigre ou de l'Euphrate et se trouvent dans l'espace où les mandéens vivaient encore avant l'invasion de l'Irak en 2003.
Appellations et étymologie
Le terme mandéisme vient du mandéen classique mandaiia et apparaît en néo-mandéen comme mandeyānā. Sur la base des mots apparentés dans d'autres dialectes araméens, des orientalistes, spécialistes des langues sémitiques, comme Mark Lidzbarski (en) et Rudolf Macúch (en), ont traduit le terme manda, duquel découle mandaiia, par : « connaissance ». D'après l’Encyclopædia Universalis, les « mandéens » (mandaya) seraient les hommes de la connaissance (manda), mais ils se désignent eux-mêmes d’un autre nom, celui de nasoraia (« nasoréens »). D'après André Paul : « la secte gnostique des mandéens, dans ses Écritures rédigées dans un dialecte araméen oriental, se nommait indistinctement mandayya ou nasôrayya ».
Sabéens
Les mandéens d'Irak sont désignés sous le nom de sabéens, sabiens ou sabaya صابئة (« baptistes »), par la population environnante. Ce nom souligne l’importance prise dans cette « secte » par les rites du baptême. C’est aussi de cette troisième appellation que les auteurs musulmans contemporains se servent de préférence. La première occurrence connue du terme Sabéen, figure au début du IIe siècle, dans le Livre d'Elkasaï qui est dédié aux Sobai par son auteur. Elle y désigne les baptistes auquel ce livre est adressé. L'appellation Sabéens est attestée dans les écrits d'auteurs musulmans dès le VIIIe siècle, pour désigner des groupe de « Baptistes » vivant le long des cours du Tigre et de l'Euphrate.À partir du Xe siècle, certains juristes musulmans s'interrogent pour savoir s'il faut les compter parmi les « Gens du Livre » (les Juifs, les nazôréens et les sabéens), mentionnés dans le Coran, ce qui donnait le droit de pratiquer sa religion, moyennant le paiement d'un impôt de capitation, la jizya. Toutefois, cette interrogation est surtout formulée à l'encontre des « sabéens de Harran (ancienne Carrhès) », qui vivent plus à l'ouest (au sud d'Édesse, actuelle Şanlıurfa), alors que ce statut ne semble pas contesté aux sabéens du Chatt-el-Arab.
Mandéens
Le terme mandéen a un rapport avec la gnose, l'araméen manda signifie « connaissance », tout comme le grec gnosis. Les mandéens sont nommés mandaiuta en mandéen, et en arabe mandā'iyya مندائية. Ces dénominations et l'ancienneté de leur existence suggèrent que les mandéens pourraient bien être le seul mouvement religieux survivant depuis l'Antiquité à s'identifier explicitement avec les Gnostiques, Le gnosticisme ayant été initialement une hétérodoxie judaïque, par la suite hellénisée, puis christianisée. L'existence d'un gnosticisme judaïque pré-chrétien déjà bien admise est attestée par les écrits dits de Qumrân (les manuscrits de la mer Morte). Avant ces découvertes, on la repérait surtout dans la littérature judéo-grecque ou dans les œuvres d'apocalypse.
C'est aussi le dernier mouvement héritier des « Baptistes », dont l'existence est attestée dès la fin du Ier siècle dans de nombreux textes chrétiens et chez Flavius Josèphe. André Paul et Simon Claude Mimouni estiment que les mandéens sont membres du seul courant vraiment baptiste qui a persisté jusqu'à nos jours. Tous deux mentionnent la possibilité que ce courant soit un héritier du mouvement Elkasaïte.
Nasoréens
Le terme nasaréens (araméen nasôrayya), mentionné comme une secte en premier lieu par Épiphane a été parfois rapproché du nom nazoraios (nazôréens) que nous connaissons depuis le grec comme le nom qui désignait, dans l'usage juif, les membres du mouvement créé par Jésus de Nazareth. Toutefois, les mandéens ne semblent pas issus des nazôréens qui ont reconnu Jésus comme Messie, mais justement d'un groupe baptiste qui a refusé cette reconnaissance.
Les spécialistes de l'analyse des premiers textes chrétiens (Évangiles, Nouveau Testament) détectent d'ailleurs dans ces textes le fait que tous les partisans de Jean le Baptiste ne se sont pas ralliés à Jésus.[réf. nécessaire]
Selon André Paul, le mot nasôrayya (Nasaréens) utilisé dans les Écritures mandéennes rédigées dans un dialecte araméen oriental pourrait signifier « mainteneurs », « fidèles ».
Il fait remarquer que l'hérésiologue du IVe siècle Épiphane de Salamine « mentionne les nasaréens dans sa liste des « sectes » juives pré-chrétiennes »6. François Blanchetière fait lui aussi remarquer qu'Épiphane de Salamine parle de Nasaréens distincts des Nazôréens qui « existaient avant Jésus et n'ont pas (re)connu Jésus ». Épiphane indique aussi que le livre d'Elkasaï a été adopté par les « osséens »16, les nasaréens, les nazôréens et les ébionites (Épiphane de Salamine, Panarion, 19, 5, 5 et 53, 1, 3.). Pour Simon Claude Mimouni, les nasaréens sont des juifs baptistes aux tendances hétérodoxes qu'il ne faut pas confondre avec les nazôréens.
Pour André Paul, le nom nasôréens (nasôrayya) fut peut-être donné aux disciples de Jean le Baptiste. « En arabe selon T. Fahd dans la notice « Sabi'a » de l'Encyclopédie de l'Islam, natsoraye/observants désigne l'une des deux branches de la secte musulmane des Sabi'un ou Sabéens, des baptistes apparentés aux Elkasaïtes au VIIe siècle et considérés dans le Coran comme faisant partie des Gens du livre/ahl al-kitab. »
Croyances
Le mandéisme est connu par les baptêmes que ses membres pratiquent dans le fleuve (aujourd'hui l'Euphrate et le Tigre, mais aussi le Jourdain). Cette cérémonie serait quasiment inchangée depuis des millénaires, ce serait la même qu'aurait reçue Jésus de Jean-Baptiste. Des cérémonies de re-baptême ont encore lieu aux dates de fêtes où des centaines d'adeptes pénètrent dans l'eau en tunique blanche avant qu'un patriarche ne les immerge totalement.
Le mandéisme privilégie Jean-Baptiste au détriment de Jésus, considéré comme un faux prophète, au même titre qu'Abraham, Moïse ou Mahomet.
Les mandéens opposent un monde d'en haut à un monde d'en bas. Au-dessus du monde d’en haut, règne un dieu inconnu, le dieu de la Lumière. Il porte différents noms, tels « Vie » ou « Seigneur de la grandeur ». Le monde d’en haut est en réalité multiple, de nombreuses entités y séjournent, appelées « richesses ». Le monde d'en bas, ou monde des ténèbres, est issu du « chaos » originel à l’instar du monde de la Lumière.
Le mandéisme repose davantage sur un patrimoine commun que sur un ensemble codifié de croyances et de doctrines religieuses. Il n'existe pas de guide de base de la théologie mandéenne.
Toutefois, de nombreux textes mandéens ont été découverts au cours des siècles, et il existe des informations concernant cette croyance, à l’inverse des gnostiques des premiers siècles. L’œuvre majeure est le Ginza ou Genzā Rabbā (en) (le « Trésor »), écrit aux environs des VIIe ‑ VIIIe siècles. Le Genzā Rabbā (en) est divisé en deux parties — la Genzā Smālā ou « Ginza de gauche » et le Genzā Yeminā ou « Ginza de droite ». En consultant les manuscrits du Ginza de gauche, Jorunn J. Buckley a identifié une chaîne ininterrompue de copistes de la fin du IIe ou au début IIIe siècle ap. J.-C. Ces manuscrits témoignent de l'existence des mandéens sous l'empire parthe, un fait corroboré par la légende Harrān Gāweta selon laquelle les mandéens auraient quitté la Palestine après la destruction de Jérusalem (135) au début du IIe siècle et se seraient installés dans l'Empire parthe. Bien que le Ginza ait continué d'évoluer sous les empires Sassanides et sous l'empire islamique, peu de textes de traditions peuvent prétendre à une telle continuité.
Comme on l'a noté précédemment, la théologie mandéenne n'est pas systématique. Il n'y a pas une seule version à l'origine de la création du cosmos, mais plusieurs. Certains chercheurs, comme Edmondo Lupieri, soutiennent que la comparaison de ces différentes versions peut révéler les diverses influences religieuses sur lesquelles les mandéens se sont basés, et la façon dont la religion mandéenne a évolué au fil du temps. En revanche, les mystiques modernes tels que Steve Wilson ont suggéré que ces versions sont plus des manuels de méditation tels que Merkabah et Heikhalot (en), textes du premier millénaire du mysticisme juif, que des textes explicatifs pour l'ensemble de la foi.
Contrairement aux textes religieux des sectes Gnostiques préalablement trouvés en Syrie et en Égypte, les textes mandéens originaux suggèrent une théologie plus dualiste, typique d'autres religions iraniennes comme le zoroastrisme, le Manichéisme et les enseignements de Mazdak. Dans ces textes, il y a une séparation nette entre la lumière et les ténèbres. Le prince des ténèbres est appelé Ptahil, et l'auteur de la lumière (c'est-à-dire Dieu) est seulement connu sous le nom de « la Grande première vie du monde de la lumière, la sublime qui s'élève au-dessus de tous les travaux ». Lorsque cet être est apparu, les autres êtres spirituels ont été corrompus et, avec leur guide Ptahil, créèrent notre monde. Il faut noter la similitude entre le nom Ptahil et l'égyptien Ptah, suivi du suffixe -il ajouté pour « spiritualiser » le mot. Les mandéens ont peut-être résidé en Égypte pendant un certain temps [réf. nécessaire]. [Encore une fois, il y a un lien potentiel avec l'Égypte...]
La question est encore compliquée par le fait que Ptahil seul ne constitue pas le démiurge, mais seulement qu'il remplit ce rôle dans la mesure où il est le créateur de notre monde. Plutôt, Ptahil est le moins élevé d'un groupe de trois êtres démiurges, les deux autres étant Yushamin (alias Joshamin) et Abathur. Le rôle démiurgique d'Abathur consiste à juger les âmes des mortels. Le rôle de Yushamin, le plus élevé, est plus obscur : pour avoir voulu créer son propre monde, il a été sévèrement puni pour s'être opposé au Roi de la Lumière.
Langue mandéenne
Le nom mandéen s'applique à trois réalités linguistiques différentes :
le mandéen classique qui est la langue liturgique du mandéisme (Irak, Iran) ;
le mandéen post-classique ;
le néomandéen ou mandéen moderne qui est une langue vivante utilisée comme langue quotidienne par une petite communauté en Iran.
Histoire
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Le mandéisme est une religion dualiste née aux premiers siècles de notre ère. Il aurait pris sa forme définitive dès le Ve siècle ap. J.-C.
Selon leurs traditions, les mandéens auraient été chassés de Jérusalem, en raison de leur foi gnostique. Ces groupes religieux se seraient formés en Palestine ou Transjordanie au Ier ou IIe siècle de notre ère, sans se lier au mouvement nazôréen créé par Jésus. Ils se seraient réfugiés d'abord dans deux régions de Transjordanie, le Golan et au sud-ouest de Damas. Comme d'autres mouvements baptistes aux conceptions très proches, comme les elkasaïtes, ils se serait réfugiés dans l'espace Parthe (en Mésopotamie), suite à la fois à la terrible répression de la Révolte des exilés connue sous le nom de guerre de Quietus (115-117) et du « retrait des troupes romaines [de l'Empire parthe] lors de l'accession au pouvoir d'Hadrien. » La répression qui a suivi la défaite de la révolte de Bar Kokhba et la destruction de Jérusalem par les Romains en 135, accompagnées de l'interdiction à tout juif de vivre dans une large zone de la Judée a probablement contribué à leur exil.
Selon la plupart des historiens, les mandéens ont migré depuis le sud du Levant jusqu'à la Mésopotamie dans les premiers siècles de notre ère et sont certainement d'origine pré-islamique. Ils sont sémites et parlent un dialecte oriental de l'araméen connu sous le nom de mandéen. Ils peuvent ainsi être liés aux « Nabatéens d'Irak », qui parlaient l'araméen et étaient des habitants autochtones pré-islamiques s'étant taillé des royaumes arabes lors de l'effondrement des royaumes séleucides (fin du IIe siècle av. J.-C.) au sud de l'Irak (Characène) et au nord en Adiabène (Mossoul, Erbil, Nisibe, Edesse, Harran).
Vers la fin du IIIe siècle, ils auraient ensuite fondé des communautés ethniques et religieuses au sud de l'Irak actuel et du Khouzistan iranien23.
Au VIIIe ou IXe siècle l'évêque nestorien Théodore bar Konaï, originaire de Kaskar en Mésène, consacre une notice à « l'hérésie des Dosthéens qu'enseigna Ado mendiant », groupe baptiste encore dynamique à son époque. Il indique qu'en Mésopotamie, le mouvement de Ado est appelé Mandéens et Maskinéens.
Le premier auteur chrétien occidental à les avoir mentionnés semble être le dominicain florentin Ricoldo da Montecroce qui a visité Bagdad en 1290. Dans son Itinerarium, il décrit ces Sabéens qu'il a approché et demande que des missionnaires leur soient envoyés. Bien avant que le terme « chrétiens de saint Jean » soit utilisé dans un rapport daté de 1555 écrit par les moines portugais d'Ormuz. Par la suite un missionnaire carme décrit ses membres en utilisant la même dénomination (1652).
Aujourd’hui encore, il existe quelques groupes éparpillés en basse Mésopotamie. Les communautés mandéennes souffrent de délocalisations, et il n’est pas exclu que leur fin approche. On estime qu'il reste environ 60 000 à 70 000 mandéens dans le monde, et jusqu'à la guerre américaine en Irak, la plupart vivaient dans ce pays. Cette guerre a largement contribué à accélérer la disparition de la communauté et il ne restait qu'environ 5 000 mandéens en Irak en 2007.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
Une rhétorique un brin… merdique!
Donc, là où Anton Parks voit une preuve de l'existence des Anunnaki ou autres reptiliens, toi, tu y vois simplement des « démons intérieurs ».
Tu as droit à ton opinion dans le contexte de l'entrevue sur « la Terre creuse et les cavernes ».
Parce que c'est là l'essence de la question : preuve matérielle ou message spirituel ?
Que chaque personne choisisse son camp selon ses convictions personnelles.
D'une part, il faut se méfier de la notion populaire “c'est mon opinion et c'est ton opinion”. Si on veut faire une recherche sérieuse, quel que soit notre champs d'étude, il faut prendre un recul et sortir le plus possible du domaine de l'opinion. Autrement, on se projette soit-même et nos désirs dans le texte.
Le mandéisme est une chose telle que si tu projettes les annunaki dans ça, tu fais un important contresens. Le mandéisme est d'abord et avant tout une voie initiatique et très très spirituelle, une vois d'intériorité et si tu amalgames avec ça des divinités (ou des extra-terrestres) matérielles, tu tires ta flèche complètement à côté de la cible.
Les mandéens sont très spirituels et c'est une des raisons pour laquelle, sans doute, ils se sont fait massacrer par le gouvernement irakiens et les guerres.
Par ailleurs, c'est correct wikipedia, on se donne une idée générale avec ça, mais encore là, attention parce que n'importe qui peut intervenir sur ça et aussi bien souvent la base vient de vieux ouvrages classés “domaine public” qui ne tiennent pas compte des progrès de la recherche.
Un de ces jours, si on devient amis et qu'on cesse d'avoir peur l'un de l'autre, je te raconterai des anecdote de mes tentatives pour corriger des articles : Je me faisais censurer! Mais l'ironie, c'est que maintenant certains articles wikipedia me citent Et je n'y suis pour rien!!
Blague à part : Pour Panthère58
Et pour les autres aussi, surtout ses feu-fannes qui me disent que je suis «astralisé» (je vous l'ai dit que je trouve ça vraiment hot de me faire écrire ça?)
Panthère58, tu as entrepris une longue réfutation de ma petite personne. Sache que, même si tu as utilisé un langage de boxe, je ne me considère pas en lutte avec toi. Nos échanges à venir risque de créer des flammèches, j'en suis conscient. Mais sois assuré que je ne cherche ni à ta “planter”, ni à te donner la leçon, ni à te faire avoir l'air fou. Tu es un gars qui cherche et tu as cru faire le bien en me blastant, en me défigurant afin de prendre la défense d'un auteur en qui tu as mis ta confiance.
Est-ce ça ou si j'interprète mal l'affaire?
Mon style d'écriture est à l'image de ce que tu as vu dans le vidéo (donc avec une entité qui me flotte au-dessus de la tête, dirait ton/ta feu-fanne anonyme qui n'a pas eu le courage de signer… mais ça, c'est une autre affaire!) Je joke, je fais de l'ironie et j'ai toujours le sourire. Mais je n'avance rien si je ne suis pas convaincu de mn affaire, autrement, je me ferme la gueule, ou je pose une question.
Alors si le ton monte, on saura toi et moi qu'on est capable de rire.
Le plus beau dans tout ça, c'est que si je te fais découvrir des textes, tu vas les lire directement (dans des traductions, on s'entend) plutôt que filtré par un auteur zozotérique! Ça, c'est une belle avancée, ne penses-tu pas? Alors, vois-tu, même si tu as reviré de revers de la main mon invitation, je vais quand même avoir réussi mon mauvais coup!
Alors, watch out…
P.S. : Pis, ta lecture de l'extrait du texte mandéen, tu en dis quoi? Intéressant quand même, n'est-ce pas?
Blague à part : Pour Panthère58
Et pour les autres aussi, surtout ses feu-fannes qui me disent que je suis «astralisé» (je vous l'ai dit que je trouve ça vraiment hot de me faire écrire ça?)
D'abord, tu ne cesses de parler de mes « fefannes » et je n'en connais point. Et je n'ai pas de blogue ni d'autres contacts à part ce forum. Sur Facebook, je n'ai aucun amis. Je suis là pour avant tout m'abonner à des pages qui m'intéressent et qui m'alimentent en infos dont je fais le tri et dont je partage parfois sur le forum, parce que c'est un lieu de partage. Il y en a qui s'intéressent à Anton Parks comme d'autres s'intéressent à Gregg Braden, ou à Nassim Haramein.
De mémoire, selon les divers billets lus sur le forum, je sais que Quantos s'y intéresse à Parks, Merlin aussi, Elwe (dont ça fait un petit bout de temps qu'on n'a pas vu sur le forum) a acheté un de ses livres pour voir, se faire sa propre idée. Il y a Gédéon aussi je crois. Mais aucun ne me suit comme un petit chien de poche ou joue le rôle de « père Ovide » pour mon compte. Mais toi, je crois que tu les connais, tes « fefannes ».
Panthère58, tu as entrepris une longue réfutation de ma petite personne. Sache que, même si tu as utilisé un langage de boxe, je ne me considère pas en lutte avec toi. Nos échanges à venir risque de créer des flammèches, j'en suis conscient. Mais sois assuré que je ne cherche ni à ta “planter”, ni à te donner la leçon, ni à te faire avoir l'air fou. Tu es un gars qui cherche et tu as cru faire le bien en me blastant, en me défigurant afin de prendre la défense d'un auteur en qui tu as mis ta confiance.
Est-ce ça ou si j'interprète mal l'affaire?
Je pense que oui. Je ne te reprend que sur les allégations (faux documents, Évangile de la Paix, Plutarque) qui de mon point de vue étaient fausses et sur ta manière d'argumenter, le ton, la généralisation, la légèreté. Et ça n'avait rien à voir avec le côté convivial du vidéorandia que j'appréciais. Tu t'es souvenu de mémoire que j'avais rétroagit sur ta critique de Benoît XVI, mais je t'avais aussi prévenu de faire une critique objective, honnête intellectuellement. C'est JFPoulin qui nous avait interpelé sur le forum quelques semaines avant ta présence.
Maintenant, il me reste à parler des analogies et de ce que vous avez en commun. Là dessus, je ne pense pas que ce que vous avez en commun fera polémique. Vous prenez peut-être un chemin différent pour arriver à certaines conclusions identiques. Pour les analogies, là, je ne ferai que partager ma vision personnelle. Ce n'est pas une vérité, mais la mienne (toujours en mouvance) que je suis sûr que toi et Kiwan ne partagez pas, si votre point de vue n'a pas changé depuis décembre 2012. Alors vous pourrez dire en chœur : « Un autre de plus qui dit la même chose... ». Mais je pense que toutes les opinions ont droit de s'exprimer, ainsi que leurs contraires.
Mon style d'écriture est à l'image de ce que tu as vu dans le vidéo (donc avec une entité qui me flotte au-dessus de la tête, dirait ton/ta feu-fanne anonyme qui n'a pas eu le courage de signer… mais ça, c'est une autre affaire!) Je joke, je fais de l'ironie et j'ai toujours le sourire. Mais je n'avance rien si je ne suis pas convaincu de mn affaire, autrement, je me ferme la gueule, ou je pose une question.
Alors si le ton monte, on saura toi et moi qu'on est capable de rire.
Mon ton ne monte pas mais j'avoue que je commence à fatiguer. Tu es étourdissant par moment, et ça ne nous rapprochera pas, ça je peux te l'assurer. Mais j'ai hâte de passer à autre chose. Par contre, ça te donne l'occasion de t'exprimer. N'oublie pas que ceux qui nous lisent, silencieusement, se font une idée par rapport à notre argumentation, mais aussi sur la façon que l'on s'y prend. Il se peut fort probablement qu'en définitive tu rallies la majorité des forumiens mais que sur la façon dont tu t'y prends tu perdes plus de plumes que je ne t'en ai fait perdre jusqu'à maintenant, toujours selon tes dires.
Le plus beau dans tout ça, c'est que si je te fais découvrir des textes, tu vas les lire directement (dans des traductions, on s'entend) plutôt que filtré par un auteur zozotérique! Ça, c'est une belle avancée, ne penses-tu pas? Alors, vois-tu, même si tu as reviré de revers de la main mon ..........., je vais quand même avoir réussi mon mauvais coup!
P.S. : Pis, ta lecture de l'extrait du texte mandéen, tu en dis quoi? Intéressant quand même, n'est-ce pas?
Comme je te l'ai mentionné, côté historique, aucun problème. Je suis ouvert et j'aime me cultiver. Pour t'avoir un peu écouté sur Ville-Marie, et pour tes diverses interventions dans ce sens, tu es très intéressant. Pour le reste, tu as la gâchette trop rapide, et c'est toi-même qui me donne du « jus » pour mon argumentation. Si tu étais plus posé, plus réfléchi, je n'aurais pu te rétorquer comme je l'ai fait jusqu'à maintenant. Mais il faut aussi que tu t'ajuste à ton auditoire. Je suis à la recherche de mes origines d'homo sapiens, et jusqu'à preuve du contraire, Parks me comble. Quant à mes origines spirituelles, qui suis-je incarné dans ce corps, faut croire que la réponse viendra de l'autre bord et je m'en approche ! À moins que... mais là on tombe dans le spéculatif. Quant à la pérégrination de l'âme, je n'en ai rien à foutre ! Et je ne cherche pas à retourner à la lumière de UR, mais celle de l'Égypte.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
Blague à part : Pour Panthère58
Je comprends très bien ce que tu exprimes là et il est bien possible que certains ne me lisent pas parce qu'ils n'aime pas mon style, ni rien de ce que je fais d'ailleurs et ça m'est égal. Ma réputation sur ce forum est que je suis un intellectuel “scolastique” à qui la voie du coeur est inaccessible alors tu sais, ce que cette bandes de sectaire pense, je n'en ai rien à faire. Mais il y a du bon monde aussi ici, j'en ai rencontré plusieurs. Note enfin que toi aussi tu m'as royalement tappé sur les nerfs depuis 2012 alors on sera quitte au moins pour ça!
Je comprends que tu ne sois pas intéressé par le côté spirituel de la littérature ancienne et je souhaite que tu ne sois pas trop déçu lorsque tu réaliseras que ce n'est pratiquement que de ça dont il est question! On parle très peu des origines “matérielles” de l'humanité et du monde dans les textes anciens. On faisait de l'allégorie pour comprendre d'où vient l'âme, pourquoi l'âme est-elle dans un corps et autres trucs du genre. Le monde matériel intéressait très peu les philosophes et les religieux de l'Antiquité.
Du côté des sumériens, la masse de textes sur les tablettes sont des choses d'une exténuante banalité : des factures, des notes de crédit, des contrats commerciaux, des actes notariés… Pas pour rien que les fabulateurs se soient emparé de ça pour écrire des livres fantaisites et faire rêver les gens. Mais, il y a un mais, nous avons aussi des textes dits “mythologiques” et là, on ne parle pas vraiment d'origine “matérielle” de l'humanité. On parle des sanctuaires où on offrait aux divinités (religion populaire) et on parle des relations entre certaines divinités - mais nous sommes bien loin de ce qui se raconte dans les livres populaires. Et il y a de fortes présomptions que le tout soit aussi des allégories sur l'âme et l'esprit parce que chez les peuples sémitiques voisins qui partages de nombreux motifs, ça l'est.
L'interprétation matérialiste des textes est un phénomène extrêmement récent qui répond ou correspond à une montée du matérialisme, un souci du corps, de l'extérieur. Si tu explores un peu la littérature apocalyptique (rien à voir avec la fin du monde : apocalypse = révélation), par exemple, on ne parle que de vision céleste, de montée de l'âme hors du corps vers les Palais divins (une expression) et s'il y a des anges et des démons, on ne peut mettre de côté l'aspect immatériel de l'ensemble. Il faut interpréter le texte comme un tout, pas faire comme les fondamentalistes religieux et picorer un peu ici et un peu là. Autrement, c'est du n'importe quoi.
Même la Bible, que de l'interpréter d'une manière “corporelle” est un phénomène étranger au christianisme. Ça a commencé à se manifester au 3e siècle au moment où on l'a traduite en latin, puis au 4e siècle; on a dénoncé ça, mis les lecteurs en garde, puis Augustin a composé un commentaire sur le livre de la Genèse ad litteram et ça a fait son chemin, non sans résistance. Au Moyen âge latin encore, nombreux sont ceux qui comprenaient encore le texte de manière allégorique, mais les règles herméneutiques ne fonctionnaient plus sur une traduction latine, alors on s'est mis à spéculer, puis à dire n'importe quoi jusqu'à la Réforme protestante, puis le 17e siècle, puis les mouvements évangéliques du 19e qui ont radicalisé l'interprétation “à la lettre”, puis le pseudo-ésotérisme qui a capitalisé sur ça en insistant là aussi que le texte devait être lu “à la lettre”, puis notre époque avec de nombreux dérapages, la confusion et le manque de connaissance qui a donné naissance à des trucs comme ceux de Sitchin, Anton Parks et combien d'autres à côté des lectures des chrétiens radicaux “à la lettre”.
Une petite interlude : La Renaissance avec des Pic de la Mirandole, Jean Reuschlin et quelques autres qui ont été initiés et qui connaissaient l'herméneutique ancienne, pas seulement de la Bible, mais d'Homère aussi.
Le judaïsme a eu un parcours un peu différent, on y reviendra une autre fois.
Tout ça pour dire que si tu cherches les origines “historiques” et matérielles, peut-être que des trucs comme les mythes du Proche-Orient ancien, ceux de l'Égypte, Homère, la Bible et le tra-la-la ne répondront pas à ce genre de question. Et, au risque de te décevoir, Anton Parks - tu vas le constater bientôt - est inutile en ce sens.
Si ça avait de l'allure Anton Parks, je m'y plongerais à 100 milles à l'heure, mais avec le bagage que j'ai et les outils linguistiques que je maîtrise, je suis en mesure de foutre ça à la filière numéro 13 dans le couloir de la fiction - et je le dis sincèrement avec beaucoup d'humilité (même si les leaders de ce forum ne le croient pas). Cela dit, libre à toi d'y croire si à la lecture des éléments linguistiques que je vais te montrer, tu demeures sur tes positions.
Cela dit, ce sera long, aussi long que tes dossiers.
P.S. Est-ce que le “Merlin” de ce forum est le même qui m'a envoyer paître et m'a insulté sur un blog? Ça fait quelques années, c'était à propos de Sitchin qu'il défendait avec beaucoup de vigueur - c'est sur ce blog là aussi qu'on m'a servi pour la première fois l'argument que Sitchin était le “Champollion” du sumérien, donc le seul à avoir raison et ça on me l'a servi souvent depuis. Si non, parfait et on continue, si oui, il peut le dire et bien franchement je ne lui en tiendrai pas rigueur. Juste pour savoir si c'est lui ou non.
Blague à part : Pour Panthère58
Quand on s'implique sur un forum, que l'on met sa tête sur le billot, comme on dit, forcément on se fait une réputation. La couleur de nos interventions peut y être pour beaucoup, plus que l'information partagée.
Sans nier ce que tu avances sur les textes antiques, personne ne va me convaincre que le côté historique est éludé, évincé de ces textes auxquels fait référence Anton Parks. Il est clair pour moi qu'ils relatent des faits bien antérieurs à leur transcription. Alors je ne peux être déçu. Maintenant, je m'interroge à savoir sur quelles bases tu indiques que ces textes sont presqu'exclusivement à caractère spirituel.
C'est comme pour la version dite « officielle et reconnue » de la construction des pyramides, même si on l'enseigne comme des faits avérés depuis des décennies, on ne me fera pas avaler cette couleuvre. Je partage entièrement l'opinion de Nassim Haramein à ce sujet.
Concernant les tablettes, voilà un autre point que tu partages avec Parks, après Sitchin. Mais le fait demeure qu'il y aurait quand même un certain nombre de tablettes très évocatrices. Et jumelé à la déportation de l'élite des Hébreux sous Nabuchodonosor II, je pense que Roger Sabbah et Parks touchent à quelque chose là. Je sais que tu n'aimes pas plus Sabbah, mais pour l'avoir écouté [ http://www.orandia.com/forum/index.php?id=123307 ] je le trouve très intéressant à titre indicatif. Et il s'appuie exactement comme tu l'as évoqué, sur divers textes et traditions rabbiniques hermétiques transmises de génération en génération.
Concernant Parks, j'attends le plat de résistance. Tes « amuses-gueules » m'ont laissé sur mon appétit. Une chose à la fois.
Je ne pense pas que bien des gens vont lire mes dossiers sur les références. Ils étaient plus fastidieux à faire. C'est du contenant, pas du contenu. Mais si tu allègues que toute son oeuvre se base sur de faux de documents, je me devais de les mettre en évidence et de laisser ceux qui s'y intéressent porter leur propre jugement. Mais je dois reconnaître que tu es probablement l'un des seuls à pouvoir démêler tout ça. Mais c'était incontournable à faire.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
Blague à part : Pour Panthère58 @ Panthère58 et Serge C.
De panthère58 :De mémoire, selon les divers billets lus sur le forum, je sais que Quantos s'y intéresse à Parks, Merlin aussi, Elwe (dont ça fait un petit bout de temps qu'on n'a pas vu sur le forum) a acheté un de ses livres pour voir, se faire sa propre idée. Il y a Gédéon aussi je crois. Mais aucun ne me suit comme un petit chien de poche ou joue le rôle de « père Ovide » pour mon compte. Mais toi, je crois que tu les connais, tes « fefannes ».
Bonjour a vous Effectivement je m’intéresses plus a Anton Parks que toute théologie venant de l'église Catholique et / ou chrétienne.Par contre j'ai un grand respect pour l’archétype Christique qu'on retrouve dans d'autres époques et nations antérieures tel qu'en Egypte et a Sumer.
A l'age de 24 ans j'ai vécu une libération par la lumière et le son Vooooooooooo ( approximatif), ( pour faire une histoire courte ) un exorcisme ( j'étais seul ) d'une entité style reptilienne archonte que j'entendis grogner comme dans un film, qui était collé a moi depuis environ 6 ans, Ça faisait partie du karma de l’âme en moi , je fus sauvé d'un suicide en priant intensément et sincèrement en parlant mon verbe a haute voix, a Dieu et le Christ. Longue histoire que j'ai écrit mais pas encore publiée ( mais bientôt en 2016 ).
Je ne m'associe pas comme nouveau moi- ego mortel au karma de l’âme et de l'esprit immortel. C'est de la manipulation cosmique de l'Agharta ( gouvernement du Mal ) et Shamballa ( gouvernement du Bien ), les gérants de l’équilibre du mal et du bien au bénéfice de la Matrice astrale régnant encore sur la terre, malheureusement. Tout comme il y a eu et il y a manipulation de la génétique humaine des races, il y eu et il y a la manipulation des âmes que certains ''xtra-terres-races'' lolll appelles ''Containers''
J'ai fait un rêve ( en 1976 ) ou je marchait tard le soir auprès du Christ , sur une plage , et je lui ai demandé --'' Est ce que tu es le seul représentant de Dieu , la Vie,la Vérité et la Lumière ?'' Il m'a répondu ''NON , ils en d'autres qui sont, et qui viendront dans la Lumière parler des ''Réalités cachés'' aux hommes et femmes sincères .Je ne suis jamais devenu un prêtre ou un religieux malgré cette expérience extraordinaire que j'ai vécu.
Je suis demeuré un penseur libre et un libre penseur et un libre chercheur qui a eu toutes ses réponses a l'age de 44 ans, par une entité de lumière. Le karma de mon âme était relié a un personnage historique de l'Allemagne Nazi , les âmes de ceux qui ont du jouer des roles de méchants sont aussi recyclées par la Magouille Cosmique.
Bon, j'arrêtes ici , c'est un résumé , un témoignage. Continuer vos débats , j'aime ça et je penche du coté de panthère58
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''les con-(sciences)-sonnes-voyelles (quantiques) vibrantes (verbe-Source) générées par le mouvement de l’énergie-sombre ( 73% ) issues de la matière-noire ( 22% )créent les bigs-bangs de lumières-univers ( 5% )'' et les mondes spiralés et circulaires.
Blague à part : Pour Panthère58 @ Panthère58 et Serge C.
Longue histoire que j'ai écrit mais pas encore publiée ( mais bientôt en 2016 ).
Merci pour ton partage, ça demande quand même un certain courage. J'espère que tu vas nous tenir au courant pour ta publication. De même pour Serge Cazelais s'il publie quelque chose qui vulgarise, qui est comestible, accessible, qui fait un survol chronologique des différents textes et contextes qui y sont liés, qui réfère, qui n'impose rien mais qui propose. Le reste, c'est à moi de prendre ce qui me convient, ce qui peut me servir dans mon cheminement. Un espèce de « Les textes antiques pour les nuls ». Il n'y a pas de double sens ici. Je fais référence à des publications qui portent cette étiquette pour les néophytes selon le sujet traité.
Bon, j'arrêtes ici , c'est un résumé , un témoignage. Continuer vos débats , j'aime ça et je penche du coté de panthère58
Oui, je pense sincèrement que l'échange peut permettre à ceux qui s'y intéressent d'y trouver matière à réflexion. Notre vécu, nos filtres, nous prédisposent à certaines choses. Parks m'apporte des réponses comme personne d'autres jusqu'à présent. Et Serge Cazelais apporte des réponses qui conviennent à d'autres personnes dans leur cheminement. Tout dépend de l'angle que l'on aborde ces textes.
Ça change quoi dans ma vie ? Ça me donne un outil de plus pour analyser ce qui se passe dans notre réalité matérielle. Pour comprendre qui peut tirer les ficelles sur cette planète. Enfin, ça donne un sens aux divers textes bibliques, gnostiques, apocryphes et mythologiques. Je suis loin d'être un connaisseur de ces textes. J'en ai vu des bribes ici et là, et des infos sur ces textes. Comme catholique de force et non par choix, je connais plus les textes bibliques. Mais pour moi, ils n'ont qu'une valeur historique. Il relate des événements survenus bien antérieurement. Ils sont la résultante d'une tradition orale multimillénaire, de tablettes, d'hiéroglyphes. Et c'est en concordance avec « La Révélation des Pyramides ». Pour moi, ça reflète la rivalité Égypte VS Sumer, Enki/Osiris/Asar versus Enlil/Seth.
Un jour ou l'autre, il y a quelqu'un quelque part qui va arriver et faire la lumière sur nos origines, notre genèse, nos créateurs. Qui va donner un sens à ce monde. Je pense qu'Anton Parks ouvre la voie et comme tous ceux qui sont précurseurs dans un domaine, ils se heurtent à ce qui est convenu, accepté, et qu'on ne peut remettre en question. Ils doivent faire leurs preuves. Mais, j'ai un bon jugement et une bonne intuition. Je le ressens dans mes tripes et dans le cas de Parks c'est aussi positif que dans le cas de Nassim Haramein voilà quelques années.
Car pour le reste, la vie continue. Je reste fondamentalement la même personne avec les mêmes intérêts mais avec une corde de plus à son arc. Comme j'aime bien ce que propose George Kavassilas.
S'il y a un livre spirituellement qui a marqué ma vie au bon moment, qui m'a allumé, car en 1996-98, j'étais un peu comme un ordinateur en état de veille, c'est le chapître 13 du livre « La Voie du Guerrier pacifique » de Dan Millman. Anton Parks, pour moi, ce n'est que de l'information mais fort intéressante et pertinente. Maintenant, pour le spirituel, je vibre plus à certaines chansons, et à leurs paroles.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
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DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue / L'Après-vie + Créateurs
Troisième entrevue de quatre sur le site ECHO-ZEN
Lien : http://www.echo-zen.com/anton-parks-interview-sur-lapres-vie-et-les-createurs/
ANTON PARKS : Interview sur l’Après-vie et les Créateurs
23/08/2012 9 Commentaires Par Chris
Un entretien exclusif avec ANTON PARKS dans Les Grands Mystères des Sciences Sacrées, n°25 – février 2009 – par Laurent Weingarten
Note de l’auteur, en guise d’introduction, conformément à l’article d’origine :
Les informations que je vais développer dans cet article reflètent, à mon sens, l’idéologie de la famille d’âme dont je fais partie. Il faut savoir que chaque famille d’âme possède sa propre expérience globale, son propre karma. Il en résulte que toute famille a sa propre opinion sur la notion de la « Source » ou même de la vie extraterrestre.
Certaines familles communiquent et échangent entre elles et d’autres ne le font pas parce qu’elles ne sont pas prêtes à cela. Les opinions « religieuses » sont très disparates dans les autres dimensions et aucune famille ne se ressemble. Chaque famille étant unique, par extension, chaque membre d’une famille est exceptionnel en qualité d’explorateur pour le compte de son groupe familial. Comme sur Terre, les énergies et expériences de chaque individu étant spécifiques, les opinions sont donc différentes.
Rédaction : Certains auteurs comme Kyle Griffith semblent affirmer assez ironiquement que nous vivons dans un univers où le « Créateur » semble avoir abandonné sa création. Justement, la cosmogonie que vous détaillez dans vos ouvrages soulève certaines questions fondamentales : Pourquoi les Elohims, ceux que l’on pourrait qualifier de « bons Dieux » ne sont-ils pas plus interventionnistes pour épargner à l’humanité cet esclavage alors qu’aux débuts de l’histoire de l’humanité – du moins celle que nous connaissons un peu grâce à l’archéologie – les « Dieux Imposteurs » n’ont pas hésité à être directement interventionnistes dans le cours des affaires humaines ; apparaissant en chair et en os si on peut dire ? En termes très simples : pourquoi la « Source » de toute chose donne-t-elle l’impression de nous avoir abandonnée et reste t-elle invisible à nos yeux ?
Anton Parks : Je ne suis pas d’accord avec cette idée que la Source nous aurait abandonnée. Mais je comprends parfaitement pourquoi cette question hante les esprits. Je vais m’efforcer de démontrer qu’il n’en est rien. Mais avant de démarrer cet article, soyons bien d’accord : tout individu a le choix. Le choix de dire OUI, le choix de dire NON. L’option de CROIRE ou de ne PAS CROIRE. C’est totalement identique dans l’invisible.
La Terre a été décrétée bibliothèque vivante il y a cela des millions et des millions d’années. Les planificateurs qui sont responsables de la majorité des espèces vivantes de la Terre semblent s’être désengagées simplement parce qu’elles n’interviendraient plus directement dans les affaires de l’humanité. La société humaine rencontre de grandes difficultés aujourd’hui, alors les yeux rivés vers le ciel, les êtres de bonnes volontés élèvent leur voix et implorent le ciel : « où es-tu ? ».
Avant de se poser la question de savoir où se cacherait Dieu, il serait préférable de se demander plus simplement où se trouve notre famille, nos racines, les êtres chers que l’on a connus et qui ne sont plus là. Mieux encore, nous pourrions également nous demander où se trouvent réellement ces gens qui nous parlent parfois dans l’invisible et que nous avons la sensation de connaître. Vous devez savoir de quoi je parle, vous avez sans doute déjà eu cette impression étrange d’être écouté et pourquoi pas conseillé, en tout cas suggéré. Faut-il en avoir peur ? Sont-ils des anges ? Les êtres inter-dimensionnels font partie de notre environnement quotidien. Ce n’est pas parce que nous les voyons pas qu’ils n’existent pas. Ne pas admettre cette réalité, c’est ne pas croire en l’après vie. Ne pas considérer l’après vie, c’est ne pas croire en la Source de toute chose que l’on pourrait dénommer Dieu. La Source ne nous a pas abandonnés, mais c’est nous qui l’avons abandonnée…
Rédaction : Selon l’auteur américain Kyle Griffith mais aussi selon Laura Knight qui a consacré une partie de ses livres au phénomène de l’intrusion extraterrestre, aux enlèvements extraterrestres et de leurs présences multidimensionnelles, cette mise en esclavage de l’âme humaine se poursuit au-delà même de sa vie terrestre et incarnée dans l’autre dimension, celle de l’après vie, celle de la « vie après la mort ». Ces deux auteurs ont obtenu à ce sujet des informations étranges, inquiétantes, cohérentes, assez complexes et qui semblent se recouper : nos croyances dans cette vie terrestre conditionnent notre vision du monde et donc notre façon de mourir. En mourant, nos âmes vont rejoindre ces entités qui se seraient regroupés sous la forme de ce que Griffith appelle les groupes théocratiques, consolidant leur puissance grâce à l’énergie que nous leur apportons. Qu’en pensez-vous ?
Anton Parks : Votre article explore des thèmes que je souhaite développer dans un prochain ouvrage qui s’intitulera La Pierre du Destin. C’est un sujet passionnant qui intéresse le plus grand nombre. Nous sommes tellement déconnectés de la Source des origines que le commun des mortels ne sait pas grand chose sur le thème de la vie après la mort. Beaucoup d’interrogations sans véritables réponses, tout du moins satisfaisantes. Les différentes organisations religieuses de la Terre le savent très bien et profitent de ce manque d’information pour manipuler les masses et apporter leurs solutions narcissiques à peines voilées. De cette ignorance collective, une énergie importante est soutirée afin d’alimenter des égrégores qui n’ont bien souvent qu’un seul but : la soif de puissance. Vous faites bien d’interroger sur ce sujet, et pour votre dossier, des personnes qui sont en dehors des cercles de pouvoir.
Je connais en partie le travail de Kyle Griffith. Je suis partiellement en accord avec lui concernant le modèle hiérarchique de l’univers et des différents plans astraux. Par contre, les groupes d’âmes apparents qu’il dénomme « groupes théocratiques » sont pour moi simplement des familles d’âmes possédant des niveaux de connaissances différents, voir des éléments qui se sont écarté de leur famille céleste pour former des groupes dissidents. Cela implique aussi bien des âmes non incarnées que des êtres extraterrestres inter-dimensionnels.
De mon point de vue, ces familles ou clans ne s’organisent pas tout à fait de la même façon que Griffith le pense. Si j’ai bonne mémoire, sa vision de groupe est assez conforme à celle qui est appliquée au monde 3D dans lequel nous vivons sur Terre avec des dominants et dominés. Cette organisation conflictuelle peut être applicable seulement entre différents groupes d’âmes, mais pas au cœur d’une même famille. C’est la clé d’une bonne compréhension du problème. Je parle bien hors incarnation terrestre, car nous savons que lors d’une incarnation en 3D, des membres d’une même famille céleste peuvent très bien s’attirer comme des aimants et se soutirer de l’énergie sans s’en rendre compte. On trouve assez souvent un ou plusieurs membres d’une même famille céleste dans l’entourage d’un incarné, cela permet de mieux supporter des missions de vie parfois difficiles. Mais cela ne veut pas dire pour autant que ces individus auront les mêmes goûts et objectifs. Par exemple, si l’un croit aux extraterrestres, il n’est pas dit que son frère ou sa sœur céleste y croit aussi en 3D. Il s’agit plutôt d’une fraternité qui ne s’explique pas.
Voyons cela de plus près. D’une façon générale, les membres d’une famille d’âme travaillent pour un objectif commun. Que cette famille soit issue d’Orion, Sirius, Alpha du Centaure ou je ne sais où encore, le principe est le même. Chaque participant est un membre actif, un incarné potentiel ou simplement un explorateur qui doit récolter de l’information, l’ingérer et ensuite la partager avec son groupe. Le partage est important, c’est la base de tout. Vous l’aurez compris, l’expérience individuelle ou exploration se déroule dans des plans « physiques » comme sur la Terre, à savoir des plans astraux différents où se situe karmiquement la famille exploratrice. Chaque monde, chaque planète possédant son propre plan astral, sa propre vibration unique, il est donc important d’expérimenter ces différents mondes ou fréquences en vue de se rapprocher au maximum de la Source, celle des origines et des différentes formes de vies de l’univers. Il est toujours important de vérifier les fondations d’une demeure avant de s’y installer. Comme le but de chaque famille est d’explorer les divers niveaux astraux, l’exploration se fait donc de bas en haut et surtout pas le contraire.
Lorsque nous mourrons et quittons notre corps, Griffith pense que les âmes seraient confrontées, voire qu’elles rejoindraient, des entités qui se seraient regroupés sous la forme de « groupes théocratiques » ; donc à mon sens à des entités inter-dimensionnelles ou appartenant à d’autres familles d’âmes. Je ne pense pas que cette combinaison soit applicable pour tout le monde. Il existe comme sur Terre autant d’âmes influençables que de terriens obéissants et aveugles. Tout dépend du niveau d’expérience de chacun. Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. Combien y a-t-il de personnes sur notre Terre qui, plutôt de rechercher l’indépendance et l’autonomie, préfèrent faire partie de grands groupes influents qui donnent l’illusion de protéger et servir les intérêts de chacun ? L’au-delà est un reflet exact de ce qu’il existe sur Terre. Là où Griffith a particulièrement raison, c’est d’insister sur le fait que le danger est tout aussi réel dans les autres dimensions que sur Terre. En effet, ce n’est pas parce que nous nous dirigeons vers des plans subtils et invisibles à nos yeux de terriens que ces plans sont obligatoirement amicaux. Les risques sont les mêmes en haut qu’en bas.
Pour donner un exemple « humain », c’est comme lorsque vous voyagez vers un pays étranger et que vous arrivez à destination ; vous avez autant de chance de tomber sur une personne altruiste que sur une personne qui aura tendance à vous vampiriser, même inconsciemment. A ce propos, Griffith pense que l’on devient « théocrate » lorsque l’on fait le choix d’exercer du pouvoir sur autrui pour « consommer la mémoire et l’énergie » humaine, ce qui permet par exemple de ne pas suivre le processus de l’incarnation. C’est un aspect intéressant et sans doute réel, mais j’insiste, il l’est tout autant que sur la Terre. Ce n’est pas une exception. Nous le voyons bien dans le monde de la politique, où la plus part des politiciens exercent un pouvoir réel sur la masse sans véritable partage. Nous venons d’en avoir la démonstration récemment avec la crise économique mondiale qui n’a pas empêché certains gouvernements de pays déclarés en faillite à injecter comme par miracle plusieurs centaines de milliards d’Euros. Où se trouvait cet argent lorsqu’il était question d’aider les pays pauvres et de lutter contre la famine ? Ou plus simplement pour aider les familles vivant sous le seuil de pauvreté ? Ici comme là haut, c’est la même histoire. Le tout est de bien comprendre le fonctionnement de la hiérarchie céleste pour être certain de ne pas se faire avoir sur toute la ligne.
Gardons notre idée de voyage pour expliquer le processus de passage de la mort vers l’au-delà. Il s’agit dans tous les cas d’un choc fréquentiel. Gardons également l’idée d’une incarnation passée sur la Terre pour simplifier notre exposé. Après la mort physique, lorsque l’âme d’un défunt quitte son corps terrestre, elle peut « se poser » sur plusieurs « pistes d’atterrissage », donc plans fréquentiels. Voyons cela.
Dans le cas d’une « mort naturelle » ou sans grande surprise :
C’est bien entendu le cas le plus courant. L’âme de l’individu décédé est habituellement interceptée par un individu de sa propre famille d’âme. Il est parfois possible que cet individu prenne l’apparence (physionomie) d’une personne qu’a connu le « décédé » sur Terre pour que la transition se fasse en douceur, comme par exemple un ami, un parent, etc. Cela n’implique pas que cet ami ou parent connu lors d’une incarnation 3D fasse partie de la même famille d’âme que le « décédé ».
Ce procédé est autorisé uniquement lorsque le « décédé » ne s’est pas souvent incarné et qu’il n’a pas exploré énormément de mondes. Concrètement, parce qu’il n’est pas encore accoutumé à cette transition post mortem. Plus on s’incarne, plus ce type de transition est « facile », tout au moins acceptable…
Une fois « en haut », l’âme fraîchement débarquée n’a pas particulièrement envie de retourner s’incarner tout de suite. Cela dépend de l’individu et du nombre de ses incarnations. Il a de toute façon le choix. Il faut savoir aussi que l’incarnation est toujours un exercice très pénible qui implique le choc de la naissance et celui de réapprendre au sein d’une nouvelle famille avec, bien souvent, de nouvelles règles. Avant de penser à « redescendre » donc, l’âme doit faire le point sur son périple passé et analyser là où elle aurait rencontré des problèmes. Elle doit trouver des solutions pour ne plus à faire face à ce genre de situation. Le débriefing s’effectue avec un ou plusieurs participants, dont les « guides » ou « anges gardiens » comme nous les nommons ici-bas. Ces guides nous ont suivi durant la vie passée et peuvent très bien exercer la même fonction de guide pour la même entité pendant plusieurs incarnations. Cela se décide ensemble. Une fois le débriefing terminé et les conclusions effectuées, l’âme a la possibilité de retrouver les siens, les membres de sa véritable famille et, si elle est sur ce plan, son âme sœur ou âme jumelle. Il faut savoir que je ne fais aucune distinction entre ces deux expressions. « Ame sœur » était l’expression utilisée jusqu’à la fin des années 90 et « âme jumelle » date des années 2000. Le cas des âmes sœurs serait trop long a détailler ici, mais il est certain que les deux « jumeaux » issus d’une même énergie élémentaire prennent leurs décisions et missions de vie ensemble. Il faut simplement savoir qu’il leur est souvent demandé de réaliser leurs expériences de vie séparément. C’est pourquoi de nombreuses personnes passent leur vie entière à rechercher leur double, parfois sans le trouver. Deux âmes sœurs peuvent se retrouver incarnées ensemble sans encombres seulement lorsqu’elles sont proches de la fin de leur cycle d’incarnation 3D. Sinon, c’est souvent assez catastrophique et conflictuel entre elles.
Pour finir sur le thème des retrouvailles avec notre famille céleste et de la vie en dehors de la 3D, il faut savoir que le temps n’est pas le même qu’ici. Les individus se réincarnent seulement lorsqu’ils le souhaitent, il n’y a aucune contrainte au sein de la famille, à partir du moment où les règles familiales sont respectées. Ces règles impliquent le bon fonctionnement et l’évolution de la famille ou groupe d’âmes. Chacun travaille à son rythme. S’il est paresseux, il sera confronté aux membres de sa famille et dans ce cas uniquement, « invité » à redescendre rapidement collecter de l’information pour son évolution. Un élément traînard retarde obligatoirement tout le groupe qui est de toute façon contraint de l’attendre. Le rythme et possibilités de chacun sont respectés, tant qu’il n’y a pas d’utilisation du groupe au profit d’une fainéantise délibérée ou d’intérêts égoïstes. D’une façon générale, chaque membre a bien conscience de l’implication de chacun et du but familial.
Ainsi, la vie au sein de sa famille céleste peut très bien durer quelques heures, quelques jours ou plusieurs années terrestres. De toute façon, comme chaque membre possède toutes ses facultés là-haut, il est normalement conscient du temps qu’il aura besoin pour récupérer avant de repartir en mission… Plus une famille avance, plus le temps et la fréquence s’accélèrent pour elle.
Le moment venu de reprendre la route de l’incarnation, le futur incarné fait un nouveau point avec ses guides et décide seul, ou avec eux, ce qu’il souhaite expérimenter dans sa prochaine vie. Même si dans la plupart des cas, il est possible de choisir seul, les choix seront de toute façon validés par des membres de la famille. Sauf rares exceptions où par exemple le futur incarné reporte régulièrement une mission ou un problème à résoudre en relation avec ses expériences passées, alors là, ses guides peuvent lui imposer une ligne de vie, voire une vie complète. Il ne faut pas regarder cela comme une sanction, mais bien garder en mémoire l’esprit de groupe. Un traînard ralentit toujours le groupe familial. Une fois les grandes lignes de sa vie prochaine déterminées, le futur incarné peut enfin redescendre. Le problème est que lorsque nous sommes en haut, en compagnie de notre famille, nous avons tendance à oublier le danger et les difficultés étant donné que notre niveau de conscience n’est plus aussi limité que sur la Terre. Le futur explorateur a donc tendance à charger sa ligne de vie inutilement, ce qui peut le mener vers des difficultés imprévues ou de grands détours parfois inutiles.
Je comprends qu’il puisse être difficile d’imaginer que l’on soit en grande partie le maître de sa ligne de vie, particulièrement lorsque l’on naît avec un problème de santé. Il faut pourtant savoir que le jugement est une invention purement 3D qui fait appel au mental et non à l’esprit du cœur. Chacun est responsable de sa conduite passée et présente, ainsi que de sa responsabilité envers son groupe et, par extension, envers la Source. Si des erreurs ont été commises par un élément, ce n’est pas les membres de sa famille qui vont le « sanctionner » ou lui imposer telle ou telle chose, mais c’est bien lui-même. Personne n’est plus intraitable que soit-même là-haut, lorsque toutes les fonctionnalités du mental sont totalement désactivées au profit de l’esprit et du cœur. Il y aurait beaucoup à dire sur la vie en dehors de la 3D.
Il ne faut pas oublier non plus le karma collectif humain qui fait que nous sommes soumis à des conditions difficiles ici bas. Nous avons tous à faire face à des difficultés qui sont le résultat du cumul des actions de chacun passées et présentes (fonctionnement de la société et conséquences néfastes dues à l’industrialisation et la pollution par exemple). Ceci résultant d’actions cumulées, il existe bel et bien un karma collectif sur la Terre. Il ne relève plus de la simple alchimie entre les membres d’une même famille d’âme, mais entre l’association de nombreuses familles qui doivent cohabiter et créer ensemble. C’est un premier pas vers un travail de planification, celui dont je parle régulièrement dans mes ouvrages. Tout individu est un planificateur potentiel. Il pourra très bien le devenir le cas échéant. Lorsque chaque humain aura compris qu’il possède un potentiel divin en lui, et qu’il aura pris conscience que l’addition de ce potentiel forme une force incommensurable, alors il pourra faire tomber les fondations de la sphère limitée des parasites qui dirigent l’humanité dans l’invisible. Ce n’est qu’une prise de conscience et ce changement peut survenir en quelques heures à peine…
Voyons maintenant le cas d’une mort « inhabituelle », comme par exemple, une mort violente. Dans ce cas, il y a plusieurs possibilités qui s’offrent à notre âme en transit.
Dans le cas d’une « mort violente » :
1- Ce qui va suivre n’est applicable qu’aux individus inexpérimentés ou influençables. Ceux qui possèdent une longue expérience d’incarnation ne rentrent pas dans ce cas de figure et sont rattachés au cas que nous venons de détailler plus haut.
C’est comme sur la Terre, la personne expérimenté fera plus facilement face à des situations inattendues qu’une personne sans expérience. Voyons donc ce qu’il pourrait advenir à l’âme « apprentie » et qui n’aurait pas assimilé ou accepté ce changement d’état brutal. Elle peut très bien errer quelques temps dans un plan parallèle à la fréquence terrestre. Il faut savoir qu’il en existe plusieurs proches de notre fréquence 3D. C’est souvent ces plans qu’explorent les chamans lors de leurs voyages astraux. Ces domaines parallèles n’ont rien à voir avec les plans que je nomme Kigal (grand bas) et Angal (grand haut) dans mes ouvrages et que l’on peut agencer sur un modèle vertical. Ils résonnent plutôt sur des plans horizontaux à la fréquence terrestre qui se nomme KI. Si ces âmes ne se rendent pas compte de leur état, elles peuvent rester bloquées sur ces plans de nombreuses années, voir des centaines d’années. Il est également possible qu’elles puissent être en contact ici avec des entités dominatrices qui n’auraient qu’un seul objectif : les maintenir dans cette sphère pour leur soutirer de l’énergie. Généralement, les entités dominatrices qui fréquentent ces lieux ne sont pas systématiquement malintentionnées, mais simplement curieuses ou en manque de compagnie. Heureusement, ces fréquences sont praticables pour certaines entités sentinelles qui ont pour mission quotidienne de ramener les individus égarés. L’âme égarée dans ces dimensions parallèles au plan horizontal de la 3e dimension peut très bien leur faire confiance et suivre ces sentinelles ou bien se contenter de rester là parmi un décor pouvant être fort semblable à celui de notre environnement terrestre. De toute façon, ils finiront bien un jour par se rendre compte qu’il se sont fait berner. Cela peut prendre des heures, des années, des siècles… Des flashs lumineux leur sont régulièrement envoyé par les sentinelles ou par des membres de sa famille céleste. Ces lumières pulsent comme des phares dans ces dimensions parallèles et sans goût. Elles sont clairement visibles.
2- Si l’âme est extrêmement influençable ou qu’elle ne croyait pas en la réincarnation sur la Terre – avec probabilité de grande fragilité – il lui est possible d’être coincé par des dissidents et de descendre d’un ou plusieurs niveaux qui sont ceux du KUR-GI-A ou du KUR-NU-GI. Ces niveaux sont relativement facile d’accès et plus proche de notre dimension KI que le sont les fréquences du haut (Angal). Dans ce cas assez rare, les membres de sa propre famille d’âme n’ont pas réussi à intercepter leur frère à temps et à le guider sur la bonne « piste d’atterrissage » (fréquence).
Rédaction : Comment se déroule le passage vers l’une de ces dimensions ? Vous voulez dire qu’en ces dimensions, notre âme pourrait continuellement être mise en esclavage par ces entités extra-dimensionnelles et/ou extraterrestres ?
Anton Parks : Non, pas tout à fait. Pour certains, les dimensions plus basses peuvent demander moins d’effort à franchir que celles du haut où la fréquence est plus haute. Selon la pensée sumérienne, le KUR-GI-A serait une dimension transitoire où les âmes peuvent rester un moment avant de réintégrer l’Angal (les niveaux supérieurs à notre 3e dimension). Le KUR-NU-GI est, quant à elle, une dimension médiane entre la première et la deuxième. C’est la plus compliquée. Comme son nom l’indique, il s’agirait d’une fréquence de « non retour », un lieu que l’on pourrait grossièrement assimiler à l’enfer. C’est ici que se situent à mon sens les cercles de pouvoir dont fait état Kyle Griffith. Ici résident des groupes d’âmes dissidentes et des êtres incarnés interdimensionnels qui contrôlent en partie l’humanité. Généralement, les âmes « humaines » en transit qui se retrouvent ici manquent de volonté et peuvent avoir besoin d’une aide extérieure pour quitter ces lieux sans avenir. Le problème est que ces sphères, particulièrement celle du KUR-NU-GI, sont bien gardées et que le passage pour les sentinelles y est délicat. S’ils se font prendre, les sentinelles peuvent très bien se faire attraper et servir de pile ou de générateur aux êtres dissidents. Lorsqu’ils sont vidés, ils sont relâchés.
Normalement tout individu doit pouvoir quitter le bas de son plein gré. C’est un peu comme lorsque l’on souhaite quitter une entreprise alors que l’on est un bon élément. Une grosse pression est exercée par les dirigeants, voir du chantage, mais finalement c’est possible. Le tout est de connaître les règles du jeu et d’avoir pleinement conscience de son potentiel. Comme je l’ai indiqué, le véritable problème se situe au niveau de la volonté. Le mental peut tuer la volonté. Le KUR-NU-GI est le reflet amplifié de ce qui se passe sur la Terre où le mental est élevé à son paroxysme. L’humain manque de confiance en lui et ne connaît pas ses véritables capacités en 3D. En KUR-NU-GI c’est encore pire. Ce n’est pas franchement un endroit fréquentable pour une âme venue de la 3D.
Toutefois, prétendre qu’un individu pourrait être indéfiniment prisonnier en KUR-NU-GI n’est pas très différent à mon sens que d’affirmer qu’un immortel, aux cellules souches régénératrices, pourrait passer une éternité sur la Terre. Ce dernier cas est possible. Il a de toute façon existé et perdure aujourd’hui, contrairement à ce que nous fait croire la science actuelle. L’immortel X de chair et de sang qui décide de ne pas se réincarner fait un choix en pleine conscience. Cela peut se produire pour une entité qui a achevé son cycle d’incarnation, mais qui ne souhaite pas réintégrer les dimensions supérieures. C’est le cas par exemple de certains planificateurs. Les planificateurs sont souvent des êtres incarnés (selon leurs dimensions qui leurs sont propres) et qui pourraient pourtant paraître désincarnés à nos yeux parce que leurs dimensions sont trop élevées.
Mais revenons à notre exemple. Le choix de notre immortel X (de chair et de sang), de ne pas s’incarner, peut aussi impliquer une peur de l’inconnue, une peur de devoir perdre ce qui a été obtenu. C’est précisément dans cette logique, dans cette matrice limitée que vivent les êtres inter-dimensionnels des basses dimensions et qui sont justement de chair et de sang. C’est tout le dilemme de la race Gina’abul masculine : la crainte. La frayeur de perdre ce qui a été obtenu et qui est considéré comme du pouvoir, davantage que de l’acquis ou de la connaissance.
Rédaction : Lorsqu’on confronte votre description de l’univers à celle de Griffith ou de Laura Knight, on se rend compte que les thèmes de la vie après la mort (bref ce que devient l’âme humaine après sa vie terrestre mais aussi ce qu’elle a été avant) et celui de l’intrusion extraterrestre, de leur influence sur les affaires humaines sont des thèmes connexes, qui se rejoignent, se complètent et seraient même inséparables . Les extraterrestres bons ou mauvais que vous décrivez dans vos ouvrages voyagent entre les dimensions. Peuvent-ils interagir aussi dans les dimensions de « l’après vie » ? Qu’en pensez-vous ?
Anton Parks : Avant tout, je dois souligner que je ne connais pas l’ensemble des travaux de Laura Knight, particulièrement ce qui touche aux Cassiopéens et au parasitage de l’humain. Je connais plutôt ses travaux qui concernent le fondement de la Bible. Il est bien clair pour moi que les basses dimensions (1ere et 2eme), où se logent des individus dissidents, sont en alliance et dépendance avec des formes extraterrestres belliqueuses. Menaçantes parce qu’elles manipulent la race humaine depuis la nuit des temps. J’ai expliqué, particulièrement dans mon deuxième ouvrage Adam Genisis, les origines des maîtres de ces lieux et leurs motivations. Il s’agit de la souche royale et albinos Kingu qui fait partie des Gina’abul reptiliens. Ces entités inter-dimensionnelles n’ont pas pour habitude de se confronter directement aux individus qu’ils manipulent en 3D. Même en KUR-GI-A et KUR-NU-GI, ils utilisent leurs esclaves dissidents pour rafler les âmes perdues ou en quête de pouvoir afin de les rallier à leur cause.
Nous sommes dans un univers de séduction comme sur la Terre. Des âmes se « perdent » parfois de cette manière : « Vous n’êtes pas satisfait du système en place, celui de la perpétuelle incarnation et de la Source qui prétend être le commencement de toute chose ? Alors, rejoignez-nous ! Rejoignez les dissidents, rejoignez ceux qui ont compris le véritable sens de cette escroquerie. Si vous souhaitez vivre la véritable liberté et autonomie, rejoignez-nous et devenez un dieu en dehors de la matrice qui prétend être la Source ». Voilà le genre de propos séducteur que nous pouvons entendre lorsque nous faisons face aux groupes dissidents ou inter-dimensionnels des basses dimensions qui ont manifestement choisi le mental à la place de l’esprit. Le mental enferme une bonne part d’égoïsme qui est souvent assimilé à une forme de liberté. Ce n’est pas plus compliqué. L’esprit du cœur implique, quant à lui, le partage des valeurs, des informations recueillies, et donc, d’obligations à plus ou moins grande échelle, étant donné que tout savoir enferme une forme de pouvoir et donc une grande responsabilité. Sur la Terre, toutes les anciennes civilisations ont du faire face à ce genre de réflexion. Ceux qui s’en sont le mieux tirés à mon sens, avec les Amérindiens, sont les Egyptiens qui possédait une très grande spiritualité et un bon sens moral, mais le clergé a eu raison de l’Egypte. C’est le thème principal de mon prochain ouvrage Le Testament de la Vierge.
Pour apporter plus de précision à votre question concernant l’intervention de groupes extraterrestres au cœur des dimensions de l’après-vie, je dirai que l’objectif de ces aliens est avant tout de désunir avant même de rallier des individus à leur cause. Vous savez, ils sont de bonne foi. Ils croient véritablement à la forme de pouvoir que renferme le mental. L’esprit du cœur est un sens trop abstrait à leurs yeux. Il ne s’agit que d’une spécificité stupide, un attrape nigaud, alors que le mental reflète pour eux l’intellect et la raison. « Je pense, alors je suis ! ». L’esprit et le cœur n’empêchent pas de penser non plus, c’est là toute la différence.
Pour ces aliens et leurs groupuscules réfractaires, le seul moyen de trouver de l’énergie est de désunir les groupes ou familles célestes comme lors d’une battue ; après, ils chassent les éléments les plus faibles ou éloignés des groupes. Tout du moins, les fraternités dissidentes chassent pour ces aliens. Cette méthode nous renvoie à celle évoquée au début de votre interview : elle nous démontre que les religions terrestres n’ont aucun autre objectif que de désunir le troupeau pour mieux dominer. Lorsque l’on garde en tête que l’invisible peut être aussi vicieux et hypocrite que notre monde 3D, alors les risques de se faire piéger diminuent grandement. C’est pourquoi il est important de bien œuvrer en 3D, car plus on tombe dans les pièges terrestres, plus on aura de chance de reproduire le même schéma en dehors de la sphère terrestre.
Généralement, un désincarné qui a déjà effectué plusieurs incarnations terrestres se souvient inconsciemment de tout cela. Sa véritable mémoire lui revient uniquement lorsqu’il est en contact avec son groupe d’âme ou famille. Ce sont les membres de cette famille qui détiennent la part personnelle oubliée temporairement (l’ensemble du vécu) que notre explorateur avait délaissé avant de partir s’incarner.
Pourquoi avoir délaissé une partie de soi-même là-haut avant de redescendre en 3D ? La réponse est simple : pour diminuer les risques de se faire surprendre par le mental. Une réflexion élémentaire pourra nous restituer toute la dimension du problème à éviter. Imaginez que chacun de nous se souvienne de ses vies passées et de ses liens karmiques avec les gens qui nous entourent. Quelques exemples au hasard :
– Que feriez-vous si vous saviez que votre sœur a été votre mère… dans une vie précédente ?
– Ce père qui vous affectionne tant, qui se fait continuellement du souci pour vous est la personne qui a mis le feu chez vous par accident deux vies auparavant… vous n’avez pas réchappé à l’incendie, et depuis, il s’en veut à mort.
– Mieux encore, que feriez-vous si vous étiez en face de l’individu qui vous a assassiné sauvagement dans la vie précédente ? Que faire, c’est votre patron…
– La grand-mère que vous aimiez tant est décédée il y a quelques années. Aujourd’hui, elle est revenue sous la forme de votre neveu…
– Votre belle-sœur est votre âme sœur, que faites-vous ?!
– Votre frère, continuellement jaloux de vous, était votre meilleur ami dans la vie précédente. Il vous a ruiné, il vous a mis sur le carreau, il a inventé des inepties à votre sujet et a finalement épousé votre femme de l’époque qui n’est autre que l’épouse de votre cousin aujourd’hui…
La 3D est implacable. Notre corps et notre esprit sont fragiles et tellement vulnérables. Si vous saviez tout cela en toute conscience et si vous saviez avec certitude qu’il est possible de revenir, alors votre mental dicterait vos pensées et vos actes. Vous n’hésiteriez pas à prendre des initiatives irréfléchies, quitte à y perdre la vie, puisque de toute façon vous allez revenir… Qu’est-ce que la mort finalement ? Vous seriez au cœur même de la matière et de toutes ses implications. Cela serait comparable à un de ces stupides jeux vidéo où vous prenez tous les risques pour sauvez vos intérêts, mais où vous perdez régulièrement la vie…
Que deviendrait votre histoire et votre patrimoine unique ? Que deviendraient vos frères et sœurs célestes qui explorent avec vous les mondes et avec qui vous ne formez qu’un ? Ces derniers sont les dépositaires d’un savoir ancestral, celui de l’ensemble de votre famille d’âme et de son précieux patrimoine. Ils gardent avec eux et en eux vos faits et gestes lorsque vous partez vous incarner. Leur faire une chose pareille reviendrait à les trahir, bien qu’ils soient dans le cœur et qu’ils vous pardonneraient de toute façon…
Rédaction : Lorsqu’on examine votre propre œuvre, on se rend compte que les entités extraterrestres inter-dimensionnelles responsables de la dissémination de la vie dans l’univers – que vous nommez les Elohim – ne sont absolument pas interventionnistes, se tenant à l’écart des affaires des mondes, des conflits et surtout, du système de détournement de la création et d’esclavage mis sur pied par la seconde grand caste d’entités extraterrestres disséminatrices de vie qui est une alliance complexe d’entités extraterrestres reptiliennes à polarité masculine – les Annuna, les Gina’abul et la caste noble Kingu.
On retrouve des traces de cette caste grâce à toutes les fouilles archéologiques dans l’iconographie et les nombreuses œuvres écrites laissées par les antiques civilisations akkadiennes, sumériennes et même égyptiennes. La trace déformée, maladroite de la saga de la création des êtres humains sur terre et donc de l’incarnation de leurs âmes se retrouve également dans la Bible sous l’appellation du projet « Yahvé » que vous décrivez comme une imposture, visant à placer l’homme, son corps (sa force musculaire) et son âme (son énergie spirituelle) en esclavage sous l’autorité fallacieuse d’un seul pseudo créateur qui s’est fait passer pour un Dieu, le Yahvé de la tradition judéo-chrétienne. Vous montrez aussi que l’imposture se poursuit aujourd’hui grâce à la forme qu’ont pris nos croyances sur la vie après la mort, nos religions et nos structures de gouvernement. D’autre part, il y a une promesse du retour du Créateur dans le seul but de punir et de châtier tous ceux qui auraient fait un usage négatif à ses yeux du libre arbitre…
Anton Parks : La planète Terre et sa 3D sont une bonne école, c’est pourquoi, même si la 3eme dimension implique depuis de nombreux millénaires des incarnations pénibles, les demandeurs se bousculent aux portes… On apprend rapidement et on s’élève plus vite dans ce coin de l’univers, particulièrement depuis la domination reptilienne Gina’abul. Est-ce franchement un hasard ?
Le groupe planificateur et multi-ethnique Kadistu, qui est responsable d’une bonne partie de la création sur la Terre, figure pour moi les Elohim bibliques. De son côté, le dieu Yahvé représente la caste masculine Gina’abul dirigée par le dieu sumérien An et ses « anges » Anunnaki. L’histoire relatée dans mes ouvrages est celle de rescapés d’une grande guerre, échoués sur la Terre, et qui doivent cohabiter ensemble. Ces rescapés font partie de la race Gina’abul qui comprend à la fois des membres Anunnaki et des membres planificateurs. Ces deux clans extraterrestres se sont affrontés sur la Terre et l’ensemble du système solaire. Ils se sont en quelque sorte emparés de notre planète. C’est pourquoi on trouve dans la Bible Dieu comme étant désigné sous les noms de Yahvé et Elohim ou encore Yahvé-Elohim. Les deux clans ont dû ensuite faire face à une autre souche appartenant à la leur, dénommée Kingu. Les Kingu sont les royaux Gina’abul. Ils possèdent la technologie pour passer d’une dimension à une autre. Ce sont eux qui tirent les ficelles dans l’invisible. Je pense que la souche planificatrice Gina’abul vit sous terre, en son centre. Quant aux Anunnaki, certains vivent aussi sous terre, dans des réseaux souterrains, d’autres parmi nous (ils ont la possibilité de se transformer, David Icke l’explique très bien) et d’autres encore fréquentent les sous-sols de la planète Mars.
Je crois savoir que les Anunnaki font l’objet d’une vénération de plus en plus grandissante de part le monde, sans doute en rapport avec la frénésie qui entoure la venue de 2012. Je peux affirmer haut et fort que les Anunnaki sont tout sauf des anges ! Ils exploitent l’humain depuis plusieurs centaines de milliers d’années. Ci-dessous, voici un petit extrait du chapitre 13 du Livre d’Isaïe que j’aime citer lorsqu’il est question de louer la « bonté » du dieu Yahvé et de ses anges. Le texte est en rapport avec Babylone, contre laquelle Yahvé est en colère, car elle est sous l’emprise de dieux étrangers et elle n’écoute plus sa bonne parole :
« Bruit de vacarme de royaumes, de nations rassemblées : c’est Yahvé-Sabaot qui passe en revue l’armée pour le combat, ils viennent d’un pays lointain, des extrémités du ciel, Yahvé et les instruments de sa colère pour ravager tout le pays. […] Voici que vient le jour de Yahvé, implacable, l’emportement de l’ardente colère pour réduire le pays en ruines et en exterminer les pécheurs. Car au ciel, les étoiles et Orion ne diffuseront plus leur lumière. […] Alors comme une gazelle pourchassée, comme des moutons que personne ne rassemble, chacun s’en retournera vers son peuple, chacun s’enfuira dans son pays. Tous ceux qu’on trouvera seront transpercés, tous ceux qu’on prendra tomberont sous l’épée. Leurs jeunes enfants seront écrasés sous leurs yeux, leurs maisons saccagées, leurs femmes violées ».
Les délires sur le thème du retour des « bienfaiteurs de l’humanité » n’est qu’une vaste escroquerie dans laquelle se jetteront sans doute de nombreuses personnes désespérées. C’est l’objectif ! C’est un grand classique qui fonctionne à merveille et dont les faux dieux Anunnaki ou « anges » de Yahvé se sont servi par le passé. Vous noterez que l’allusion faite à Orion n’est pas fortuite ici puisque Orion désigne Osiris en Egypte, autre pays ennemi de Yahvé. Osiris-Enki était fils d’An (Yahvé), mais de souche planificatrice de part sa mère. Il était donc l’ennemi des « anges » de Yahvé, ce qui explique les querelles entre ses Nungal et les Anunnaki de Sumer (les Shemsu contre les alliers de Seth en Egypte). Les alliers de Seth et les Anunnaki sont les mêmes individus. Vous noterez dans cet extrait toute la « bonté » de Yahvé et particulièrement la fin où il est noté que les armées de Yahvé (ses anges) écrasent les enfants et violent les femmes…
Aujourd’hui, les prophètes se réveillent, l’humanité cherche ses nouveaux sauveurs, car nous dit-on, la fin du monde arrive à grands pas ! Je me suis déjà exprimé sur 2012 dans votre magazine (Les Grands Mystères des Sciences Sacrées n°20, p.64). Il est tout a fait possible qu’une volonté de destruction et de déstabilisation soit mise en œuvre pour accélérer le « retour prophétique de Jésus », bien qu’il soit plutôt question ici de la venue de l’antéchrist ! Vous noterez que la majorité des dirigeants des pays occidentaux sont chrétiens…
Je demande aux lecteurs de rester vigilants durant ces prochaines années, de bien observer ce qu’il va se passer lors de ce grand tournoi des consciences. D’examiner ce que les divers gouvernements souhaiteront sans doute nous faire croire et nous imposer. Les organismes religieux profiteront certainement de la confusion générale pour embarquer dans leur transe religieuse de nombreuses « brebis égarées ». Je ne suis pas prophète, juste au fait de ce fonctionnement millénaire totalement ridicule.
N’oubliez pas d’où vous venez et ne délaissez pas ceux et celles qui vous suivent dans l’invisible. Pensez à eux et ils vous enverront de leur force. Vous formez ensemble une équipe impérissable. Cette équipe a, il y a très longtemps, quitté sa patrie d’origine pour étudier des mondes. Explorer de nouvelles règles, parfois très difficiles. Chaque élément d’une même famille céleste ne s’incarne pas spécifiquement que sur la Terre. Chaque individu d’une même famille peut très bien explorer des mondes 3D ailleurs qu’ici, mais tout en restant dans une région proche des membres de sa famille. Vous, et tous les membres de votre famille, vous êtes des explorateurs de la 3D.
Sauf exception, il est préférable qu’un individu et son âme sœur finissent de travailler au même endroit avant que l’ensemble du groupe ne se déplace vers des mondes plus élevés. Certains se sont choisi des missions plus difficiles que d’autres, mais cela ne change rien à l’égalité des membres de votre groupe. N’oubliez pas que vous êtes des explorateurs en quête d’informations. Ces informations appartiennent à vous et à l’ensemble de votre famille d’âme. Ayez des pensées positives pour la Terre, votre demeure d’exil actuelle. Quels que soient vos choix, vos parcours, vos succès ou vos défaites : vous êtes tous des êtres exceptionnels, des exilés qui ne demandent qu’à revenir chez eux lorsque le moment sera venu… Les règles souvent absurdes que vous rencontrez et les groupes théocratiques de la Terre ne pourront rien y changer.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Les Chroniques du Girku
Quatrième de quatre article / entrevues avec Anton Parks sur ECHO-ZEN
Lien : http://www.echo-zen.com/anton-parks-les-chroniques-du-girku/
ANTON PARKS : Les Chroniques du Girku
22/08/2012 8 Commentaires Par Chris
Possédant une formation de graphiste dans les disciplines du marketing et de la communication et travaillant dans ce domaine depuis 1985, Anton Parks s’est également spécialisé dans les cultures de l’Orient ancien dès les années 2000. A ce titre, il est l’auteur de la série les Chroniques du Gìrkù qui retrace, sous la forme d’un récit et d’un minutieux travail de recherche, les origines de l’humanité à travers le regard des dieux de nos mythologies. Anton Parks est aussi l’auteur de l’ouvrage le Testament de la Vierge, paru en 2009, essai où il révèle les sources égyptiennes du Nouveau Testament et où il développe une nouvelle théorie sur le fonctionnement hydroélectrique et électromagnétique de la Grande Pyramide de Gizeh. En 2011, paraît Eden, et à l’automne 2012 sortira la dernière Marche des Dieux.
Anton Parks est le créateur d’une thèse révolutionnaire sur le codage de la langue sumérienne – étude exposée dans sa série des Chroniques du Girku (3 tomes) où il est aussi retracé le processus qui l’a conduit à ces découvertes inédites. Fin 2005, il fut approché par l’équipe de Marcello G. Martorelli et Steve Currey afin de faire partie de l’expédition vers le Pôle Nord en qualité de linguiste spécialisé dans le langage Gina’abul (proto-sumérien) ; expédition avortée en raison de la disparition prématurée de Steve Currey.
T1- LE SECRET DES ÉTOILES SOMBRES (2005)
4ème de couverture :
L’humanité est plongée au cœur d’une querelle millénaire entre humanoïdes reptiliens d’une même famille devenus de véritables hors-la-loi universels. Leur dissension mutuelle et désaccords perpétrés à l’encontre de la communauté planificatrice de cette partie de l’univers, ont engendré, par le passé, des situations conflictuelles sur la Terre. Ce contexte anormal se répercute aujourd’hui encore dans notre société, car cette famille galactique, totalement déchirée, contrôle dans l’ombre l’ensemble des crédules habitants de cette planète.
Le premier volume de ce triptyque évocateur et hautement détaillé, vous révélera la Genèse d’une partie des « dieux » dont la trace se retrouve dans de nombreuses légendes de la Terre, en passant par la mythologie mésopotamienne jusqu’aux traditions des Amérindiens. Anton Parks détient un savoir ancestral encyclopédique dont l’ampleur défie toute rationalité. Il nous livre sans détours de nombreux rites et secrets relatifs à ces « dieux » déchus, ainsi que la raison cachée qui condamna ces derniers à s’échouer sur cette planète en des temps reculés. En parcourant « Le Secret des Etoiles Sombres », vous découvrirez toute l’organisation sociale et politique de cette famille galactique du nom de Gina’abul à laquelle appartiennent les fameux « dieux » Anunnaki des tablettes sumériennes. Ce récit est un parcours initiatique périlleux qui vous mènera au cœur d’une communauté de prêtresses en déclin, meurtrie par une société patriarcale enracinée dans une agressivité génétique programmée. Les chroniques d’Anton Parks donnent le vertige tant par les thèmes traités que par les nombreux éclaircissements totalement originaux qui en découlent. Au fil des pages, les mystères du passé et de nombreux thèmes restés incompris jusqu’à présent tombent, un à un, tel un château de cartes…
Les révélations d’Anton Parks ne s’arrêtent pas là. L’auteur nous dévoile également le code linguistique des « dieux », astucieusement dissimulé dans la grande majorité des anciens langages de la Terre. Le syllabaire suméro-assyro-babylonnien est la clé d’une codification inventive, la langue sumérienne est l’idiome empreinte des « dieux » qui servit à fabriquer tous les mots principaux et usuels de nombreux idiomes et langages ancestraux comme : le chinois, le dogon du Mali, les langues germaniques, l’ancien grec, l’hébreu, le hopi de l’Arizona, le latin… et bien d’autres encore. La démonstration de l’auteur est stupéfiante !
Parallèlement à son récit, Anton Parks vous propose une étude comparative visant à donner une explication universelle des différents mythes de la planète. Entre mythes voisins et distants, parfois séparés par un océan, votre compréhension s’élargira grâce à des similitudes stupéfiantes, dûment relevées, qui vous présenteront une nouvelle vision de l’histoire de l’humanité. Les traditions accumulées et démystifiées dans la série Les Chroniques du Girkù sont édifiantes. Les concordances légendaires relatées à travers l’histoire qui vous est dévoilée vous apporteront de précieuses informations sur l’origine de nombreuses traditions de la planète et vous aideront à mieux comprendre le système sournois dans lequel nous évoluons aujourd’hui.
A la lecture de Les Chroniques du Girkù, vous n’aurez jamais été aussi près de la vérité et vous ne verrez plus le monde de la même façon. Les qualificatifs manquent pour décrire cette œuvre magistrale.
Préface du premier éditeur :
Il semble que ce livre nous arrive d’un autre monde. Il nous plonge dans une dimension universelle, cosmique qui nous a toujours été présentée en tant que fiction, mythes et légendes. Ce qui nous a coupé de la création et de son créateur.
Autant nous trouvons ridicule l’ignorance ou la moquerie des « savants » ou possesseurs de la connaissance du 15ème siècle qui affirmaient que la Terre était plate alors que certains hauts initiés des sectes et sociétés secrètes à travers le monde savaient depuis toujours qu’elle était ronde et que le soleil ne tournait pas autour de la Terre.
Les Mayas, Incas, Dogons et plusieurs autres sociétés anciennes dites « sauvages » le savaient et possédaient même une cartographie du ciel détaillée et « l’Horus-cope » des 12 signes et maisons du zodiaque avec Horus, le soleil, à son centre.
Alors, comment qualifier l’ignorance ou encore mieux l’arrogance et la prétention d’aujourd’hui, fin 2004, que nous sommes seuls dans l’univers et que les humanoïdes sont les seules créatures intelligentes que Dieu ait créées. Anton Parks va plus loin que ce qui nous a été révélé à date sur les différents univers et diverses engeances qui les habitent.
La vraie connaissance nous est cachée, car elle est la base de la vérité qui nous libère de l’esclavage et des manipulations abjectes qui nous divisent et poussent les sociétés à s’entretuer et se détruire au nom de leur Dieu, leur histoire et textes sacrés.
L’auteur se veut un précurseur de la signification des codes linguistiques du langage pré-sumérien qui se retrouvent dans toutes les langues et qu’il nous dévoile après de longues recherches. Mais rarement vu ou lu, est le style dans lequel Anton Parks nous révèle son histoire. de sauriens ou reptiles. Un essai qui se lit comme un roman ou une nouvelle tout en nous éduquant à un nouveau système de vie interdimensionnel qui ressemble au nôtre avec des personnages qui vivent les mêmes émotions que nous.
À la seule différence qu’ils sont reptiliens, sauriens et dragons. Les anciennes créatures fabuleuses, serpentines et hideuses à nos yeux, de l’histoire de certains peuples, mais aussi réelles dans l’Univers que vous et moi.
Il est important de démystifier la présence de cette engeance qui existe dans l’univers et qui sur notre Terre se présente à nous sous la manifestation d’animaux tels que des lézards, iguanes, crocodiles, poissons, oiseaux, à l’exception chez les poissons, des mammifères comme les dauphins, les baleines qui allaitent leurs petits dans l’eau. Même chez les dinosaures, on retrouve le tyrannosaure qui pond des oufs et le brontosaure qui n’était qu’une vache immense à tétine comme celles qui broutent dans nos champs. Herbivores et carnivores chez les deux espèces y compris les humains.
Les Éditions NENKI sont fières d’être parmi ceux qui présentent des clefs qui ouvrent les portes de l’histoire interdite à la civilisation, de ses mours, croyances, religions et surtout de ses sources.
Vous comprendrez pourquoi les Dieux ont interdit aux humains de graver, peindre ou sculpter l’image et/ou la ressemblance des Dieux qui dominaient ce monde. Heureusement que certains désobéirent à l’ordre suprême, ce qui fait qu’aujourd’hui nous avons une plus grande vision de la réalité dont la fiction n’est qu’une esquisse.
Un récit passionnant qui vous transportera à travers les autres dimensions du temps et de l’espace. Dans le tome 2, vous connaîtrez les déroulements terrestres qui ont créé le monde ou la matrice sociale d’aujourd’hui, l’arrivée des lézards sur Terre et les guerres qui se sont poursuivies entre eux, depuis, jusqu’à ce jour…
Vous et moi devrons rester sur notre appétit jusqu’à sa sortie. © Nenki 2005
Magazine Nexus N°43-44 (printemps-été 2006) :
» Anton Parks, auteur autodidacte de nationalité française, a t-il écrit avec Le Secret des Étoiles Sombres un récit épique, mythologique, saga métissée de science-fiction et d’heroïc fantasy ou un livre « historique » ?… L’oeuvre de Parks reste inclassable et pose les questions essentielles : que se passait-il sur Terre avant la venue de l’Homme ? Qu’est-ce qui a précédé et provoqué l’avènement des civilisations humaines ?… L’auteur du Secret des Étoiles Sombres passionne des milliers de lecteurs à travers le monde avec ses récits épiques sur l’origine de la civilisation humaine. Mais ne nous y trompons pas : sous cette forme romanesque, Parks restitue peut-être notre véritable genèse, celle qui figure dans les textes sumériens qu’en tant que clairvoyant, Parks décrypte sans complexe… Accrochez-vous, c’est du Parks ! « .
T2- ADAM GENESIS (2007)
PRÉFACE, par le scientifique Gerry Zeitlin :
Avez-vous jamais rêvé d’être une conscience enclose dans le corps d’une autre personne pendant que cette même personne – homme ou femme – continue de faire les expériences qui lui sont propres.
Cela pourrait paraître quelque peu terrifiant : expérimenter intimement tout ce que la personne de ce rêve fait elle-même, tout en sachant que nous ne sommes pas celle-ci et que nous n’avons aucun moyen d’agir sur cette situation.
Cela pourrait pourtant assez bien décrire la façon dont Anton Parks a « fait l’expérience » de Sa’am, la figure centrale de la première moitié de la série des « Chroniques », dont le présent volume nous révèle des identités qui nous sont quelque peu plus familières. C’est du moins ce que laisse penser la façon dont il décrit son expérience. Sauf que Parks n’était guère en train de rêver ou de dormir. Ses « transports » qui le faisaient passer de sa vie en tant qu’Anton Parks à cet acteur silencieux de la vie de Sa’am / Heru allaient se produire de façon inattendue et intrusive alors qu’il était parfaitement éveillé.
Tous ces épisodes ont débuté en 1981 chez Parks, alors âgé de 14 ans, par une série de « flashes » qui prendraient spontanément place à n’importe quelle heure de la journée. Ceux-ci allaient en définitive évoluer pour devenir des « visions » survenant quotidiennement de deux à trois fois dans la journée.
C’était là des visions non désirées qui interféraient avec la vie d’un jeune homme en pleine croissance. Quelque dix années s’écouleront finalement jusqu’à ce que Parks parvienne à leur mettre un frein. Avant qu’elles ne s’évanouissent cependant, Parks avait pu découvrir qu’il avait intimement vécu, par le biais de son « partenariat » avec Sa’am / Heru, des périodes d’une histoire qui semblait se rapporter à notre Terre, et s’étendaient sur quelque 300 000 années tout au long de civilisations humaines inconnues à ce jour, pour s’achever à l’aube du christianisme.
La question pour Parks, et pour nous aujourd’hui, est de savoir comment considérer ces informations. Comment pourrait-il lui-même, et comment pourrions nous nous-mêmes jamais savoir si nous sommes là en présence de données historiques valides ou de produits d’une imagination fertile propres à alimenter une catégorie quelconque du genre de la science-fiction ?
Si nous avions bien sûr eu une connaissance préalable des mécanismes qui ont sous-tendu cette expérience, nous pourrions aujourd’hui être en mesure de faire une première évaluation des informations obtenues à travers le processus. Mais personne n’ignore que le savoir humain laisse passablement à désirer dans ce domaine. Nous serions même bien embêtés pour apposer un nom sur le phénomène auquel Parks a été soumis. Il ne s’agit clairement pas d’une expérience de rêve éveillé, étant donné que cela s’est produit à l’état de veille – sans compter moult autres raisons.
De fait, le type d’expérience qu’a connu Parks n’a probablement jamais été étudié par aucune sorte de scientifique – psychologue, parapsychologue et autres chercheurs en rêves… Nous aurions même beaucoup de mal à déterminer un domaine de recherche qui lui corresponde vraiment.
Face à de telles circonstances, Parks s’est rendu compte que la seule façon de comprendre le sens de ces informations était d’étudier les données elles-mêmes, de vérifier de quoi elles étaient faites et si elles pouvaient s’apparenter à de quelconques vestiges encore présents de nos jours et liés aux époques excessivement anciennes qu’elles supposent.
La question de leur cohérence intrinsèque semble s’être résolue d’elle-même. Comme n’importe quel lecteur du premier volume, « Le Secret des Étoiles Sombres », l’aura vu, le récit de Parks se tient magnifiquement de bout en bout -, là n’est pas le problème, et il n’y a pas de doute que les lecteurs auront le même sentiment quant au présent volume. Il y a pourtant deux problèmes importants auxquels nous sommes confrontés pour ce qui est de leurs correspondances externes.
La totalité de ce scénario implique premièrement des races étrangères à notre planète, issues d’autres dimensions, ainsi que des événements inconnus du savoir officiel et auxquels notre société moderne dénie toute validité. Ceci nous amène à la question suivante : les « autorités connaissantes » de notre société sont-elles compétentes pour émettre un jugement quant à la validité de cette partie-là de l’histoire de Parks ?
Il va bien entendu sans dire qu’en tant qu’autorités, elles revendiqueront le droit d’agir de la sorte. Et nous attendrions de leur part qu’elles considèrent que cette validité est ici sans fondement, soit parce que la possibilité que les informations de Parks puissent être valides n’est conforme à aucun de leurs modèles de réalité, soit parce que nous sommes à ce jour incapables de comprendre ce processus. Et il nous faudrait, étant donné qu’il s’agit des autorités, attendre qu’elles apprennent éventuellement suffisamment de choses à ce propos dans un avenir incertain – si tant est qu’elles nous en informent.
Et c’est pourtant là ce qu’elles déclareraient, étant donné qu’elles sont, en tant qu’autorités, censées tenir de tels propos.
C’est à nous de décider s’il convient de les écouter ou pas.
Ce qui constitue le second problème, ce sont les épisodes de cette histoire qui ont lieu sur notre planète et dans notre dimension, lesquels ont pu laisser des traces et ce, de manière si répétée que les séquences en questions ont commencé à empiéter sur des périodes connues de l’histoire humaine.
Nous avons ainsi la situation inverse : il y a bien des « autorités » de toutes sortes qui sont toujours prêtes à nous donner leur interprétation de telle ou telle trace physique, psychologique ou historique, insistant la plupart du temps sur le fait qu’elles sont dans le vrai, même si elles contredisent en cela d’autres autorités.
Face à cela, Parks disposait d’une possibilité d’action qui n’était autre que de se cultiver lui-même dans au moins deux disciplines susceptibles d’apporter quelques éclaircissements à propos de ces questions-là – et de découvrir ce qui avait des chances d’être le plus proche de la vérité pour ce qui est de notre passé comme de notre actuelle situation. J’ai nommé les domaines de la linguistique et de la mythologie.
Il lui fallait des connaissances en linguistique, car même s’il s’était trouvé en mesure de comprendre et d’utiliser les formes orales et écrites de la langue qu’employaient les êtres avec lesquels Sa’am / Heru était en relation, il n’avait à l’origine aucune idée de ce que cette langue aurait pu être. Comme il l’a lui-même soigneusement expliqué dans son premier volume, son étude a révélé que cette langue s’était avérée être une sorte de proto-sumérien. Il a au cours de ce processus également découvert que toutes les langues premières de l’humanité tiraient leurs racines phonétiques de cette langue fondatrice, et la façon spécifique dont chaque phonétique s’était adaptée en disait long sur la façon dont les civilisations qui les employaient articulaient leurs concepts.
Tout ceci a ainsi directement débouché sur une enquête exhaustive concernant les diverses mythologies du monde.
Là ou les spécialistes universitaires en mythologie se contentent d’assimiler les mythes à des croyances, qui les renseignent ainsi sur la façon dont étaient structurées celles des diverses civilisations premières, Parks est quant à lui en mesure de comparer ces mythes à ce dont il se « souvient », mythes qui constituent d’ailleurs souvent la trame de ses souvenirs.
Comparer cette même trame à des visions conventionnelles du monde ne va cependant pas sans mal. Les corrélations apparaissent clairement, et sont cependant surprenantes. Elles dressent un tableau de notre passé et de la situation présente qui défie pratiquement toutes les idées que nous pourrions avoir quant à ce que nous sommes – et ceci pour la simple et bonne raison que nos mythes sont souvent les restes d’événements étonnants.
En guise de conclusion à notre propos, je crois qu’il est important que nous en revenions à notre point de départ. À quoi sommes-nous censés apparenter l’expérience « paranormale », comme nous serions tentés de l’appeler, de Parks ? Les lecteurs auront en mémoire le rôle central tenu par le Gírkù dans le 1er volume, « Le Secret des Étoiles sombres ». Objet magique (tel qu’il nous apparaît tout au moins à nous) dont l’origine reste un profond mystère, lui-même déjà ancien lorsqu’il fut confié à Sa’am quelque 300 000 ans avant notre ère, le Gírkù a son identité propre. Il possède même un nom : Ugur, et se trouvait être le fidèle compagnon de Sa’am / Enki (comme nous allons le découvrir dans ce volume) et probablement d’autres qui lui ont succédé.
Ugur affiche en tant que personnalité des caractéristiques hautement vertueuses, parmi lesquelles la fidélité à son possesseur et, semblerait-il, à la Vérité elle-même. Ugur est l’éternel dépositaire de toutes les données historiques qui lui ont été confiées. Tout au long des livres de Parks, nous voyons Sa’am / Enki et ensuite Heru (Horus) enregistrer en Ugur les chroniques de maints millénaires. Nous apprenons ainsi que Mamitu-Nammu, la « mère » de Sa’am, a fait la même chose avant lui, d’autres encore l’ayant suivie. Et aujourd’hui, en ce temps qui est le nôtre, Parks indique (lors de communications privées – si ce n’est de manière on ne peut plus claire dans ses livres) que tout ce que comporte ses récits est remonté jusqu’à nous à partir de ce même Ugur.
Il nous est seulement possible d’imaginer comment tout cela s’est passé. C’est pourtant parce que tout cela s’est effectivement produit un jour que nous ne sommes aujourd’hui plus contraints d’affronter notre futur en aveugles, sans même la certitude d’une identité pour assumer notre destin. Nous découvrons ici que notre passé, pour avoir été tragique, n’en est pas moins empreint de noblesse – face aux ennemis les plus impitoyables qui soient, autrefois bien près, et toujours bien près de nos jours, de nous priver de notre héritage comme de notre destinée. Mais rien n’est encore joué.
Gerry Zeitlin, New York, mars 2007
T3- Le Réveil du Phénix (2010)
Préface, par James G. Rooms :
Une loi des cycles régissant l’ensemble de l’univers veut qu’après avoir atteint son sommet, un système décline, arrive à son point d’achèvement, puis est suivi de conditions nouvelles. Actuellement, nous semblons pris entre l’agonie d’un monde aux structures périmées et les douleurs de l’enfantement d’une ère nouvelle. Nous sommes entrés dans une période où tous les événements vont se précipiter : montée des fanatismes, conflits sociaux, pandémies, violences urbaines, crises économiques, pollutions, dérèglement climatique… Ces dernières années, un nombre record de catastrophes naturelles a été enregistré, ce qui a fait dire à certains que nous serions entrés dans une période post apocalyptique. Mais qu’est-ce au juste que l’Apocalypse ?
L’Apocalypse est un texte eschatologique majeur attribué à l’apôtre Jean. Il décrit la fin des temps et les catastrophes qui l’annonceront. Il fait état d’une révolte des éléments contre une humanité qui en a probablement trop joué. Il décrit une époque d’intervention divine dans les affaires humaines. Il y a jugement, sanction et actions directes de Dieu sur la terre. Les visions hallucinantes de Jean évoquent des frayeurs si puissantes qu’elles ont enflammé les esprits durant de nombreux siècles. Bien des artistes ont puisé à cette source inépuisable les thèmes de leurs œuvres maîtresses.
Mais si l’Apocalypse offre, en apparence, la vision symbolique d’une révélation ultime que certains ont interprétée comme étant la fin du monde, s’il n’évoque pour le public qu’une longue suite de cataclysmes, son véritable sens désigne bien autre chose. Le mot « apocalypse » provient du terme grec apocalupsis et signifie « lever le voile », « révéler ». En Grèce, le terme désignait des ouvrages au langage chiffré. L’Apocalypse vise avant tout à rendre visible et compréhensible des éléments qui furent dissimulés au monde profane durant des millénaires. Le texte se présente comme la révélation de choses demeurées cachées. Il est question d’une connaissance, d’un savoir secret qui sera révélé aux hommes aptes à le comprendre. Il est clairement indiqué que le moment venu, ceux qui auront le « discernement » (l’intelligence) pénétreront le sens des prophéties… Il s’agit d’un éveil des consciences, d’un changement de vibration et de polarité, laissant augurer un bouleversement complet de nos systèmes de croyances.
Cette connaissance cachée est liée à l’antique serpent, car l’Apocalypse vient clairement faire obstacle au diable et à son emprise sur le monde. La prophétie raconte comment l’humanité sera délivrée du joug du grand reptile et révèle que la guerre opposant les forces de la Lumière à celle des Ténèbres sera enfin résolue. Elle décrit le jugement de Dieu dans les « derniers jours » pour tous ceux qui auront vénéré la « Bête ». Et ses adorateurs seront nombreux : « Et ils adorèrent le dragon… Ils adorèrent la bête, en disant : « Qui est semblable à la bête et qui peut combattre contre elle ? » – Apocalypse. 13 :4. « Et tous les habitants de la terre l’adoreront…/… car le « grand serpent a séduit toute la terre »- Apocalypse. 12 :9.
Le serpent est au centre de l’Apocalypse et il est aussi au cœur de l’œuvre magistrale d’Anton Parks. En nous dévoilant le mystère de nos origines, Parks a brisé un sceau et ce sceau, une fois brisé, va certainement en entraîner quelques autres dans son sillage… Parks apparaît comme un éveilleur de consciences. Il est incontestablement l’un de ceux qui ouvrent la voie. C’est grâce à des chercheurs tels que lui que nous progressons dans notre quête de vérité. Et si certains esprits étriqués ou empreints de dogmatisme préfèrent ignorer ces signaux, s’en moquent ou n’y croient tout simplement pas, d’autres plus ouverts y voient l’annonce d’un changement radical de civilisation. Malgré la chape de plomb des tabous et des dogmes, nous sortons peu à peu de la léthargie dans laquelle l’Eglise, les religions, les gouvernements, le monde scientifique et les sociétés secrètes nous ont volontairement laissés.
Le serpent est incontestablement lié à un ou plusieurs événements traumatisants, profondément enracinés dans notre passé. Animal sacré et fabuleux, gardien des trésors enfouis, détenteur de la connaissance secrète, initiateur, figure de l’inconscient collectif, emblème phallique, tour à tour angélique et diabolique, créateur et destructeur, il pose la question fondamentale des rapports duels existant entre l’homme et l’univers, la matière et la spiritualité, les forces psychiques et la raison, la Lumière et les Ténèbres. Déifié dans toutes les cultures et les civilisations, il est porteur d’un grand nombre de messages contradictoires. Né des profondeurs de la terre et du domaine aquatique, il détient le secret de nos origines. Des divinités humano reptiliennes figurent dans les théogonies du monde entier en tant que précurseurs des hommes. Elles participent activement aux premières énergies créatrices. Et si une majorité de savants préfère penser que les êtres étranges peuplant nos mythes ne sont que des grands archétypes universels, des images fabuleuses, des figures emblématiques, des chercheurs audacieux comme Anton Parks, naviguant à contre-courant de la pensée unique, estiment que ces légendes non expurgées dissimulent l’énigme de nos origines.
Que savons-nous au juste de notre genèse ? Existe-t-il une vision objective et impartiale de l’état actuel de nos connaissances sur les origines de l’humanité et une ultime réponse convaincante quant à savoir comment et pourquoi la vie est apparue sur la terre, il y a environ 3, 8 milliards d’années ? L’homme actuel (l’homo sapiens) qui a connu une explosion démographique il y a seulement 200.000 ans est toujours à la recherche désespérée de ses origines. Il demeure, comme au premier jour, un éternel curieux qui tente de comprendre le sens de la vie en général, et surtout le pourquoi et le comment de sa création. Ses questions existentielles n’ont toujours pas trouvé de réponse…
Le fossé est immense entre les millions d’individus qui continuent à croire obstinément aux principes de la théorie de l’évolution de Darwin, et les millions de créationnistes qui s’accrochent désespérément à leurs dogmes surannés. Les travaux de Darwin présentent de nombreuses lacunes et incohérences, notamment au niveau de l’existence (supposée) d’espèces intermédiaires. Il s’avère impossible, au départ d’une poignée d’ossements parfois frauduleux, d’édifier une science exacte. C’est en Afrique australe que fut découvert le crâne de l’Australopithèque censé définitivement représenter aux yeux du monde entier, le précieux « chaînon manquant ». Prouver à tout prix la filiation directe entre l’homme et le singe, est devenu une telle nécessité pour les paléontologues et les scientifiques, que le débat principal portant sur d’autres découvertes tout aussi importantes mais déstabilisantes, a été censuré. Contre toute objectivité, la théorie de l’évolution continue à jouir d’une acceptation quasi unanime de la part des savants. Son statut est semblable à celui dont jouissait autrefois le récit de la création de la Bible !
Face aux esprits puristes et pompeux de la science, face aux croyants rivés à leurs dogmes inébranlables, il existera toujours des chercheurs rebelles prêts à tout pour faire jaillir une autre vérité. Ils continueront à rassembler un nombre impressionnant de faits, d’éléments insolites, de manifestations extraordinaires constituant autant de « pièces à conviction » à verser dans l’énorme dossier des énigmes de l’histoire humaine. Toutes les grandes révolutions furent portées par des esprits brillants, indépendants et novateurs. Ces visionnaires téméraires eurent le courage de braver les courants où régnaient en maître l’obscurantisme et la pensée unique. Parks est de ceux-là.
Au travers de ses propres découvertes, de son étonnante expérience personnelle et avec la complicité de son épouse Nora, Anton Parks nous fait découvrir une toute autre genèse. N’hésitant pas à franchir le cap de la critique et des deux thèses habituellement exposées, l’auteur parvient à synthétiser la nouvelle hypothèse qui remporte actuellement de plus en plus de suffrages, celle de l’origine extraterrestre (exogène) de la vie. Récemment, une équipe de savants chinois a affirmé avoir découvert des gênes extraterrestres dans l’ADN humain ! Ce groupe de chercheurs pense que les 97% des séquences non codantes de l’ADN humain représentent un code génétique de formes de vie extraterrestres… Et ces séquences seraient communes à toute la matière organique présente sur terre ! Toutefois, dans l’ADN humain, elles constitueraient la plus grande partie du génome, a déclaré le professeur Sam Chang qui supervise les travaux, de quoi déstabiliser plus d’un mandarin de la science officielle !
Relier les anciens textes sacrés à l’exogenèse de l’humanité et aux témoignages contemporains de rencontres du 3ème type, est une envie à laquelle de moins en moins d’auteurs résistent. Avant Parks, des pionniers avaient établi cette relation à travers la Bible puis, plus récemment, avec les écrits sumériens et les parchemins gnostiques de Nag Hammadi. Cette vision originale des mythes fondateurs de l’humanité a le mérite de donner une cohérence à des récits anciens faisant état d’entités venues des étoiles qui furent considérées comme des dieux par les peuples anciens. Le décodage particulier des écrits religieux portant sur la genèse du monde met en relief des informations très précises sur la nature de ces créatures probablement d’origine extraterrestre qui revendiquèrent le rôle de pères créateurs.
Anton Parks confronte ses lecteurs à une quantité d’informations cohérentes à propos d’une civilisation que bon nombre d’historiens et de chercheurs qualifient, à juste titre, de « berceau de l’humanité ». La culture religieuse sumérienne fait amplement allusion à la colonisation de notre planète par des créatures que les Sumériens appelaient les « Anunnaki » ou fils d’Anu (An), le Dieu suprême. La grande majorité des tablettes d’argile retrouvées relatent les aventures des guerriers Anunna. Elles racontent leur arrivée sur terre, leur colonisation et la création de la créature humaine qu’ils transforment en bétail et réduisent en esclavage. Alors que d’autres chercheurs présentent les Anunna comme une race monolithique composée de plusieurs clans d’une même famille qui s’opposent, Anton Parks évoque de nombreuses entités provenant d’autres dimensions de l’espace appartenant à la race des Gina’abul, mot signifiant « lézard » en sumérien.
Selon lui, les dieux reptiliens de l’antique Sumer ont fait main basse sur une partie de la banque génétique du vivant, l’ont prise en otage pour la détourner et servir leurs propres ambitions : le pouvoir. Ses chroniques évoquent une longue suite de combats et de rivalités entre différents clans, ceux défendant le culte de la déesse mère et les intérêts de la « Source » d’une part, et les mâles arrogants désirant imposer leur domination dans l’univers d’autre part. Ces derniers ont dérobé et détourné les caractéristiques du génome humain afin de fabriquer une sorte de chimère hybride qui devait leur servir d’esclave et accessoirement de nourriture.
Suite à l’intervention d’un « Dieu rebelle », le serpent instructeur de la genèse, le Lucifer chrétien, le Dieu Ea-Enki sumérien, l’Osiris des Égyptiens, un autre modèle humain, plus autonome que prévu, doté du discernement entre le bien et le mal et d’une intelligence, a vu le jour. Cette création fut perçue comme une insulte par les dieux jaloux. C’est de cette étrange histoire largement déformée que s’est inspirée la Bible pour construire la doctrine judéo-chrétienne. La terre n’est qu’un vaste laboratoire et nous sommes le fruit d’une expérience génétique. A l’origine, nous avons été créés pour servir. C’est l’un des secrets bien gardés, sous le voile des dogmes, un secret qui peu à peu est dévoilé au public grâce à des auteurs courageux comme Anton Parks. Pour lui, il ne fait plus aucun doute que les diverses manipulations génétiques entreprises par les « dieux » extraterrestres aboutirent à la création de « l’Homo sapiens ».
L’être humain possède dans son corps des vestiges ophidiens, notamment un cerveau « reptilien », héritage de ses lointains ancêtres sauriens terrestres (ou extraterrestres ?) qui, il y a environ trois cents millions d’années, sortirent de l’océan et déambulèrent sur le sol, leur premier objectif étant de survivre. Le méca¬nisme neuronal qu’ils développèrent ou cerveau « reptilien », se chargea de ces fonctions élémentai¬res. Et ce cerveau se trouve toujours à l’intérieur de notre boite crânienne ! Il est le siège de nos pulsions primitives et instinctives.
De génération en génération, les descendants des reptiles développèrent des adaptations nécessaires à leur survie (sang chaud, allaitement, fourrure…) et devinrent par évolution des mammifères. De nouvelles espèces se regroupèrent en une organisation sociale plus soudée. Ces modifications comportementales nécessitèrent des ajouts à l’ancien cerveau reptilien. C’est alors que dame Nature construisit un nouveau tissu neuronal qui entoura le cerveau primitif – le « cerveau mammalien » – qui guida le comportement maternel et un certain nombre d’autres émotions et qui poussa les premiers hommes à former des groupes soudés. La Nature développa encore un nouvel accessoire cérébral, enveloppant les cerveaux reptilien et mammalien d’une fine couche de substance neuronale, le néo-cortex ou « cerveau primate ». Il donna à l’homme son langage, sa raison, sa logique et sa culture. Mais ce néo-cortex présente un inconvénient, il n’est qu’un fin « vernis » apposé sur les deux anciens cerveaux, toujours actifs.
Que penser du repli semi-lunaire situé à l’angle interne de notre œil qui contient encore les fibres musculaires de ce qui reste d’une troisième paupière ou membrane nictitante, qui existe encore chez les crocodiles ! Que dire de ces ligaments ronds de l’articulation de notre hanche, reliquats d’une portion d’une capsule articulaire qui, chez le reptile, était située en dehors de l’articulation ? Que dire encore de ces glandes périanales autour de l’anus, de ces excroissances occasionnelles prenant la forme d’une queue primitive que l’on observe dans certains cas de malformations ? Que dire des cors, des ongles, et même de nos cheveux, sortes d’écailles rappelant la peau du reptile ? Le Haggadah, source de légendes et de traditions orales juives, ne révèle-t-il pas qu’Adam et Eve perdirent leurs « peaux brillantes et écailleuses » en mangeant le fruit défendu que l’Ancien Testament traduisit par la phrase suivante : « Adam et Eve virent qu’ils étaient nus » ?
Certains scientifiques ont émis l’hypothèse que si les dinosaures n’avaient pas disparu, ils auraient pu atteindre un degré d’intelligence comparable à celle que présente l’être humain et évoluer vers une forme humanoïde/reptilienne. Le Dinosaur Museum de Dorchester expose actuellement un curieux spécimen au public, un étrange petit homme vert, fruit de l’évolution de ce qui aurait pu devenir un bipède issu directement de la lignée des sauriens. Le modèle se base sur les travaux et les recherches du paléontologue Dale Russell. Comme il est à présent admis que l’apparition de l’intelligence humaine liée à l’encéphalisation fut due essentiellement à la bipédie et que l’homme est le seul être vivant à avoir développé une telle faculté, l’hypothèse révolutionnaire présentée par Russell n’est pas inintéressante.
Le professeur Phil Currie, de l’Université d’Alberta, a admis que certains dinosaures possédaient fort probablement le sang chaud. Ces redoutables lézards étaient bien mieux équipés pour la survie que l’espèce humaine. Leur disparition ne fut due qu’à la collision de la terre avec un météore. Si ce cataclysme n’avait pas eu lieu, qui peut dire comment leur espèce dominante, féroce et rusée aurait évolué, sachant que certains de ces animaux pouvaient se déplacer avec agilité sur leurs pattes arrière ? Les scientifiques ont aussi théorisé que la forme reptilienne était idéale pour voyager à travers l’espace. Capables d’hiberner ou de ralentir leur métabolisme pour les longues périodes et de s’immerger dans l’eau ou un environnement liquide, ils pourraient survivre aux longs périples spatiaux néfastes pour les mammifères.
Face à cette foule d’éléments, l’œuvre de Parks ne peut que nous interpeller. Ses livres soulèvent plusieurs interrogations majeures. Si les dieux, anges et démons d’autrefois étaient tous des aliens, pour la plupart de type reptilien, à l’éthique plutôt douteuse et aux intentions fort peu louables, une quelconque spiritualité est-elle encore possible ? Bref, si le domaine spirituel relève plutôt de l’interdimensionnel ou de l’extraterrestre, pouvons-nous croire encore en l’existence d’un Créateur unique, d’une « Source » ? Et cette « Source » de toute chose ne nous aurait-elle pas abandonnés aux mains de nos tortionnaires reptiliens ? A première vue, on pourrait le croire, mais pour Parks, il n’en est rien. Il s’agit d’une « retraite transitoire », car les planificateurs au service de la « Source » n’ont jamais cessé de porter un œil bienveillant sur leur création. A l’échelle humaine, cela peut sembler très long, mais à l’échelle temporelle de l’univers, ce laps de temps représente peu de choses. Ces planificateurs n’interviennent jamais dans le développement des races en pleine évolution, et c’est justement ce qui nous arrive actuellement. Ils ont pour objectif de faire régner une forme d’organisation et de « discipline » émanant de la « Source » que l’on peut assimiler à Dieu. Mais malgré leur haute technologie et leur extrême intelligence, ils « n’ont pas pour mission de résoudre tous les problèmes », dit Parks.
La « Source », aussi illustre soit-elle, n’empêche pas le malheur de s’abattre sur le système solaire. Elle n’empêche pas les différents conflits de se produire et même de s’étendre au-delà de ce système. La « Source » est une « matrice » céleste, une machine à faire des « équations ». Elle ne cesse jamais de combiner différentes formules, selon les régions de l’univers et les espèces qui les occupent. Cela ressemble un peu à un dispositif céleste qui multiplie les combinaisons en vue de créer une sorte d’équilibre impartial entre les différentes espèces de l’univers. Cela peu paraître beau et effrayant à la fois.
La créature humaine possède un karma rattaché aux reptiliens, car elle a été maintes fois manipulée génétiquement par ces créatures. La terre est un lieu où la dualité et le libre arbitre sont vécus avec une très grande force. Nous sommes tous des « dieux » potentiels et nous possédons tous une âme immortelle. L’âme accumule les expériences et n’a normalement qu’un seul objectif, celui de progresser. Malgré les conflits omniprésents, les batailles sanglantes pour le pouvoir qui constituent la trame de fond de l’œuvre de Parks, un fil conducteur immuable relie ses chroniques, et ce fil est le rôle du sexe et sa relation avec le divin, à travers l’énergie de la Kundalini. L’auteur révèle toute l’importance du pôle féminin. Il fait constamment allusion à l’amour sacré et donc, implicitement, à la nécessité pour chacun de nous de retrouver son âme complémentaire ou « âme jumelle » avec laquelle nous devons fusionner pour reformer notre unité androgyne primordiale… Le thème des âmes jumelles ou âmes sœurs est le point central de la série.
En tant que Sa’am-Enki (Osiris) et Heru (Horus-Lucifer), le personnage principal passe son temps à rechercher son âme sœur Sé’et (Aset-Isis). C’est une épreuve difficile et risquée car coexister dans la dimension matérielle avec son âme complémentaire requiert une parfaite maîtrise de ses énergies et un juste équilibre entre les deux partenaires. Si l’un des deux ne possède pas le même niveau de conscience en raison d’une évolution différente, les deux « amants célestes » rencontreront toujours des problèmes sur leurs routes et c’est exactement ce qui arrive aux protagonistes des chroniques qui passent leur temps à se chercher, à se retrouver et à se perdre.
Comme nous le découvrirons dans cet ouvrage, Parks a eu la chance de retrouver son double d’âme dans cette vie. Les circonstances furent pour le moins étonnantes comme le sont probablement toutes les rencontres entre les âmes prédestinées. Nora découvrit un jour par hasard les écrits d’Anton à travers une interview et fut persuadée de très bien le connaître, avant même d’avoir pris connaissance de son livre. « Que dire » écrit Nora, « sinon que nous étions déjà très amoureux avant de connaître nos têtes respectives ! » Finalement ils décidèrent de vivre ensemble puis d’unir leur destinée en 2008. Pour Nora, il ne fait aucun doute que nous n’avons qu’un seul double direct, qu’une seule âme sœur ou M’nen-Ba (« même essence ») comme le restitue le langage égyptien. Il y aurait beaucoup à dire sur ce thème récurrent dans l’œuvre de Parks, mais nous vous laissons le plaisir de le découvrir par vous-mêmes…
L’histoire biblique de l’homme a débuté dans un Jardin avec l’Arbre de la Connaissance. Elle se termine avec ce même arbre de vie placé « au milieu de la place de la ville (Jérusalem céleste) et sur les deux bords du fleuve, produisant douze fois des fruits, rendant son fruit chaque mois, et dont les feuilles servaient à la guérison des nations. » Le texte de l’Apocalypse se termine par l’apparition de la nouvelle « Jérusalem céleste », une cité resplendissante de lumière, que certains n’ont pas hésité à qualifier « d’objet volant non identifié », y voyant le retour des dieux anciens, ceux de Sumer. La boucle est bouclée. On peut penser que les humains pourront accéder enfin aux mystères de leur origine céleste.
Le temps des révélations approche. Apprêtons-nous à vivre des moments intenses, des instants terrifiants aussi car toutes nos valeurs fondamentales vont s’écrouler. La révélation de vérités cachées depuis le début des temps ayant trait à la genèse de l’humanité, à la véritable nature de Dieu (ou plutôt des dieux) et de Satan deviendra accessible aux « Jours de la Fin » et déstabilisera complètement les trois grandes religions monothéistes. Certains y voient la préfiguration du grand retour des créatures célestes, bonnes et mauvaises que nous avons qualifiées à tort d’anges, de dieux ou de démons. Selon certains, nous prendrons enfin conscience de nos vraies racines, probablement plus « extraterrestres » que divines.
L’avenir de l’homme passe nécessairement par une prise de conscience et une compréhension de son passé et de ses origines. Pour certains, cette perception a un caractère strictement spirituel. Pour d’autres, il ne peut s’agir que d’un entendement rationnel et logique. Des millions d’individus continuent à adhérer à un système de croyances rassurant mais basé, pour la plupart, sur des écrits trafiqués. Les uns et les autres considèrent l’hypothèse exogène comme complètement absurde. On a longtemps médit la démarche de certains chercheurs qui se dégageaient des normes, des contraintes et des sentiers battus de la pensée unique. Elle n’était pas à même, assurait-on, de résoudre toutes les difficultés liées à la Genèse de l’Humanité. La présente parution du troisième volume de l’œuvre entamée par Anton Parks qui bénéficie d’adjonctions et de développements importants, nous prouvera le contraire.
James G. Rooms
Rédacteur en Chef des revues « L’Égypte » et « Les Arcanes de l’Histoire »
Directeur Général des publications de la Fondation Horus © 2010 fondationhorus
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Karmapolis #1.1
Lien : http://www.karmapolis.be/pipeline/anton_parks2.htm
Extrait : Anton PARKS et les premiers pas de l'humanité
Adam genesis
Au moment où Anton Parks termine le second tome de sa trilogie, l’auteur nous livre une interview qui narre de manière totalement originale l’histoire de l’humanité d’avant le déluge et explique aussi comment nous avons hérité de structures sociales et religieuses telles que nous les connaissons : des structures hiérarchiques aliénantes dans lesquelles l’homme est un loup pour son prochain. Aussi étonnant que cela puisse paraître à première vue, cette histoire serait le fruit d’une longue interaction avec des entités extraterrestres que nous avons pris pour des dieux, une thèse de plus en plus partagée par un nombre croissant d’auteurs. Cette intervention étrangère explique au mieux la diversification de la création, la manifestation d’entités biologiques complexes et de l’intelligence sur la planète terre.
Ádam Genisiš et les Seigneurs de guerre. On pourrait même parler de « saigneurs » de guerre, tant les entités extraterrestres, la fameuse caste des « dieux » Anunna des tablettes sumériennes, ont exigé leur lot de sang pour asseoir leur pouvoir sur la planète « terre » (Uras- pour les races reptiliennes). Le sang des hommes mais aussi le sang des « dieux » extraterrestres qui se livrent à une guerre raciale, économique, idéologique mais aussi un conflit entre sexes (extraterrestres à polarité masculine contre extraterrestres à polarité féminine) dont l’enjeu est le mode de gouvernement de certaines régions de l’univers. Notre astre est devenu en ces temps si lointain une réserve écologique, une sorte de banque génétique du vivant , enjeu d’un conflit gigantesque entre les divers races extraterrestres –le bestiaire sumérien- qui se déchirent dans le cadre d’une massive guerre intergalactique. La création du projet « Adam », à savoir les divers prototypes d’humains dans un tel contexte ne pouvait aboutir qu’à un mélodrame. C’est ce que nous raconte le second tome des Chroniques du Girku, l’œuvre en plusieurs tomes d’Anton Parks.
L’intéressé nous a accordé une interview qui expose certains des thèmes abordés dans ce livre : la création de l’humain, son assujettissement aux religions dogmatiques mais également ce qui se cache derrière ces étranges notions que sont l’éternel féminin mais aussi la sexualité sacrée. En effet, lorsque certains « dieux » reptiliens ont accordé à l’humanité la possibilité de se reproduire, il s’agissait de conférer aux hommes la possibilité d’être indépendant, autonome et de ne plus avoir besoin du clonage pour se « multiplier ». Certains prototypes de projet « humain » s’émancipaient et pouvaient à terme échapper au contrôle absolu d’Enlil et ses Anunna. Il y a également une autre dimension à ce « don » de la procréation : celle de la sexualité, qui dans certaines conditions peut devenir sacrée et offrir l’accès à la connaissance, à une élévation de l’âme, à une véritable transcendance. Les gnostiques avaient saisi l’enjeu qui se cachait derrière ces notions tout comme les adeptes du tantrisme. Les religions judéo-chrétiennes y ont vu un danger mortel et un poison pour l’âme, raison pour laquelle la sexualité a toujours été auréolée d’un tabou. L’interview d’Anton Parks nous livre de fascinantes perspectives sur ce sujet.
Pour expliquer le monde et les sociétés dans lesquelles nous vivons, nous avons recours à deux types de réponses : les unes émanent de la Science et des sciences humaines, les autres des mythes et des légendes sur la création du monde, et en ce qui nous concerne, les textes bibliques. Malheureusement, à l’usage, nous sommes contraints de reconnaître, pour de multiple raisons que les réponses aux questions fondamentales que nous nous posons provenant tant des champs des sciences exactes, des sciences humaines, des mythes et textes religieux sont largement insatisfaisantes.
La théorie de l’évolution des espèces de Darwin prise stricto sensu est incapable de répondre à des points fondamentaux concernant l’émergence brutale de l’intelligence, de certaines espèces animales et végétales ainsi qu’un paquet d’anomalies temporelles, à savoir des artefacts ; des objets et des créatures que l’on retrouve dans des périodes de l’histoire de la terre infiniment trop anciennes et qui ne sont pas supposés s’y retrouver.
Les récits bibliques imposent tout et n’expliquent rien. Ils ne font que nous informer sur l’existence d’un lien de soumission éternel et indéfectible entre un créateur, « Dieu » et ses créatures, les hommes, tous coupables d’une faute assez obscure concernant le fruit d’un arbre que les humains n’ont même pas volés mais ont eu la curiosité de manger parce qu’une vilaine créature reptilienne le leur proposait.
La surprise peut alors surgir lorsqu’une œuvre qui prend les allures de la fiction mais qui ne pourrait pas en être permet de jeter des ponts entre ces trois domaines : les sciences exactes, les sciences humaines et les mythes et légendes fondateurs de nos civilisations.
L’œuvre d’Anton Parks demeure totalement originale, à part, étonnante, plongeant le lecteur dans un ballet incessant de questions et de réponses, jouant avec les racines de nos mythes les plus fondamentaux, les décodages des langues anciennes et modernes dans le cadre d’une saga épique. Fiction, réalité ? Le lecteur choisira. Cela n’a pas une grande importance car ce qui compte est le sens que l’on trouvera à tous les flashs que l’auteur a perçu pour raconter cette histoire antédiluvienne des « Dieux » qui auraient créé les hommes et dont on retrouve la trace dans les étranges chroniques sumériennes découvertes sur des tablettes d’argile séché dans les entrailles de la Mésopotamie.
Ce lien que l’auteur établit entre ses flashs, sa passion pour la codification du syllabaire akkado-sumérien et les textes anciens lui permet de mettre en évidence une toute autre histoire de l’humanité. Un exemple : la Bible nous affirme que Dieu, pour nous punir de notre orgueil lors de l’édification de la tour de Babel a semé la discorde et a fait en sorte que les hommes ne se comprennent plus entre eux en nous faisant parler différentes langues. A l’aide d’exemples et d’indices présents dans les textes anciens et sur base de ses connaissances propres, Parks met en évidence un autre scénario : c’est Enki qui a fait en sorte d’enseigner diverses langues à des groupes humains afin qu’Enlil (ou Yahvé) et sa cohorte de Dieux guerriers –les Anunna- ne puissent pas diriger un groupe uniforme. Une manière subtile d’empêcher une sorte de gouvernement central.
Ce deuxième tome réjouira les lecteurs du premier car il reprend l’histoire là où l’auteur nous avait abandonné, moment crucial où le personnage de Sa’am/Enki du panthéon des « Dieux sumériens » rejoint la terre et marque de son empreinte une suite complexe et inexorable d’événements qui aboutiront à l’émergence de l’humanité d’abord primordiale, ensuite telle que nous la connaissons. Le projet «humanité », car il s’agit bien d’un projet, aurait du être une merveilleuse aventure du vivant et de la manifestation créée de l’intelligence. Malheureusement, cette aventure, comme le laisse sous entendre les chroniques sumériennes et textes bibliques qui en sont l’émanation expurgée et détournée, sera marquée par l’aliénation, la soumission, la souffrance, bref par cet éternel lien « bourreau/victime » ; « abuseurs/tourmenteurs » qui semble être une marque de fabrique de nos sociétés humaines. La Bible, en un retournement d’arguments très machiavélique, en a imputé la faute aux hommes. Le livre d’Anton Parks montre grâce à son récit de ce qui est arrivé aux « Dieux » extraterrestres vénérés par la suite par les Sumériens à quel point il s’agit d’un mensonge. Notre « péché originel « n’est pas nôtre. Nous pourrions dire que nous n’avons rien à voir avec cette histoire puisque nous avons fait les frais d’une guerre entre « Dieux » et plus largement, entre civilisations extraterrestres.
Comment en est-on arrivé là ? Pourquoi ? Quelles sont les raisons qui ont présidées à l’émergence de cultes monothéistes marqués par la faute originelle, la notion de punition, de soumission, aux concepts de purs et d’impurs ? A cet égard, le second tome répond très bien à ces questions. Il éclaire de façon limpide certains passages de la Bible qui demeurent, pour le pire ou le meilleur des mythes fondateurs de nos sociétés modernes de type essentiellement patriarcale.
Maintenant, comme nous l’avions déjà mentionné pour le tome 1 se pose le problème de la façon dont l’auteur a collecté ces informations et les a retranscrites. Depuis l’âge de 14 ans et pendant une durée de 10 ans, Anton Parks a été assailli par des visions qu’il ne pouvait contrôler, ordonner, dater. Il pensait au départ recueillir des impressions visuelles sur un avenir improbable. Il lui faudra des années pour mettre de l’ordre dans ce déluge d’informations et surtout leur donner un sens. Lorsqu’il est en contact avec l’écriture et les textes sumérien, tout prend alors tournure et ses visions finissent par acquérir une réelle cohérence. On peut rester totalement sceptique ou hermétique à ce type d’événement. Il reste le texte, les rapports totalement pertinents que l’auteur établit entre ses visions et des passages assez hermétiques des chroniques anciennes, des écrits bibliques ou des textes apocryphes. Le lecteur ne pourra pas non plus échapper au décodage de la langue grâce au syllabaire sumérien. Enfin, Anton Parks nous décrit le fonctionnement des rapports de force entre les soi-disant « Dieux » du panthéon sumérien et égyptien en élargissant le tableau vers un colossale bestiaire galactique, un combat extrêmement complexe et fascinant entre de multiples civilisations extraterrestres dont l’identité est codée grâce au syllabaire « Gina-abul sumérien ». Levons maintenant le rideau sur l’interview et dévoilons les premières visions, les premières réponses contenues dans Ádam Genisiš.
Dans votre premier ouvrage "Le Secret des Etoiles Sombres" vous présentiez une codification des anciens langages de la Terre au moyen du syllabaire suméro-akkadien des anciens "dieux". Vos démonstrations étaient frappantes. Dans "Ádam Genisiš", vous prolongez votre raisonnement et vous expliquez que cette codification a eu pour objectif de déstabiliser le monde des "dieux" et non celui des humains comme indiqué dans la Bible (avec le mythe de la tour de Babel).
Anton Parks : Les langages sumériens et akkadiens sont à la base de tous les idiomes et langues terrestres et je pense que les multiples échantillons qu'il m'a été possible de placer dans mes deux premiers ouvrages le démontrent très bien. Pour ainsi dire, tous les termes usuels des anciens langages ont été codifiés grâce au sumérien ou au suméro-akkadien. La raison de cette codification est la guerre qui sépare en deux le monde des "dieux" que l'on retrouve sur les tablettes d'argile qui composent la mythologie mésopotamienne. Avant même la dernière vague d'arrivée de ces "dieux", il existait déjà deux langages distincts qui étaient d'une part, l'Emešà ("langage matrice"), celui des femmes qui englobait toutes les particules que l'on retrouve à la fois dans le sumérien et l'akkadien et d'autre part l'Emenita ("langage mâle"), celui des mâles. Pour des mobiles liés à un ancien conflit entre mâles et femelles Gina'abul (les "divinités" de type lézard), les prêtresses utilisaient déjà une sorte de langue cachée de façon à communiquer entre elles secrètement. Cette même agencement linguistique se retrouve sur Terre en tant que Emešà ("langage matrice") et l'Emesal ("langage raffiné") que parlaient les "déesses" et les prêtresses terrestres de l'époque plus récente, alors que les mâles humains utilisaient l'Emegir ("langage princier"), également dénommé Emean (langage du ciel"), c'est-à-dire le sumérien qui dérive de son ancêtre l'Emenita.
Malgré les nombreuses tentatives de rapprocher le sumérien avec d'autres langues, le langage sumérien reste totalement à part et n'appartient à aucune des familles linguistiques connues. Seul l'akkadien semble faire partie des langues sémitiques. Toutefois, l'affinité du langage akkadien avec le sumérien se reconnaît par l'utilisation de la forme verbale à la fin de chaque phrase, particularité qui ne se retrouve dans aucun langage dit sémitique. Certains linguistes diront qu'il s'agit d'une influence sumérienne parce que l'akkadien apparaîtrait officiellement après le sumérien et que la population akkadienne aurait adapté leur écriture aux Sumériens. Je ne suis pas en accord avec cette opinion, car l'écriture akkadienne a surgi dès la naissance de l'écriture cunéiforme sumérienne (vers 2 500 av. J.C) et que les Sémites porteurs de l'akkadien étaient présents au moins vers 2 600 av. J.C. Les dernières recherches le démontrent distinctement… De plus, l'akkadien apparaît formé dès le début, "comme descendu du ciel", ce qui fait de ce langage le plus ancien de la branche sémitique (avec l'éblaïte). En ce qui concerne l'écriture cunéiforme qui est à ce jour le témoignage le plus "parlant" de l'existence d'une histoire complexe et structurée au Proche-Orient ancien, je rappelle aux lecteurs qu'il s'agit d'une graphie purement terrestre, inventée par les Hommes et non par les "dieux". J'ajouterai que les récits épiques des tablettes mésopotamiennes retracent en partie des événements historiques qui, très souvent, n'étaient pas contemporains des rédacteurs (humains) de l'époque.
Pour revenir au dialecte des Assyriens et Babyloniens, il est bien clair dans ma tête que l'akkadien provient du "langage matrice" que possédaient les prêtresses Diğir ("divinités") du panthéon mésopotamien. La partie mâle (les Anunna) étant en conflit avec ces dernières. De plus, je démontre dans mes deux premiers ouvrages que Sa'am-Enki était plutôt du côté des femelles Nindiğir ou Amašutum que du côté de son créateur An et son bras droit Enlíl. Or, Enki est bien celui qui a mélangé le langage des Hommes selon les propos des tablettes, c'est bien lui qui a codifié les langages de façon à casser la domination d'Enlíl sur le genre humain qui ne parlait originellement qu'un seul et même langage :
"Autrefois, il fut un temps où le pays de Šubur, de Hamazi, de Kalam (Sumer) où se parlent tant de langues, le pays et principauté aux divines lois, Uri, le pays pourvu de tout le nécessaire, le pays de Martu qui reposait dans la sécurité, l'univers tout entier et les peuples tous ensemble, rendaient hommage à Enlíl avec une seule langue. Cependant, le Père-Seigneur, le Père-Prince, le Père-Roi, Enki, […] le Père-Seigneur courroucé… ".
"[…] Enki, le Seigneur de l'abondance, dont les commandements sont sûrs, le Seigneur de la Sagesse qui scrute la Terre, le chef des dieux, le Seigneur d'Eridu, doté de Sagesse, changea les mots de leurs bouche, y mit de la discorde, dans la langue de l'Homme, qui avait été d'abord unique".
Emmerkar et le Seigneur d'Aratta + extrait d’une tablette de l'Ashmolean Museum d'Oxford
J'explique dès le premier ouvrage que la codification organisée secrètement par Enki et les siens, les Nungal, c'est-à-dire les "anges veilleurs" ou Bené Elohim (fils des Elohim), a été possible en employant l'intégralité du dialecte originel (Emešà = "langage matrice") des prêtresses. La création de nouveaux dialectes à partir du syllabaire complet suméro-akkadien n'a pas seulement été possible grâce à l'utilisation répétée des particules dites akkadiennes – originellement inconnues des "dieux" mâles – mais également par l'inventif emploi croisé et embrouillé des trois éléments principaux qui forment une phrase, à savoir : le sujet de l'action, l'objet et la forme verbale. Comme cela sera indiqué dans le volume trois de cette série, l'apparition du langage akkadien est une des dernières manœuvres du clan rebelle pour contrarier la domination Ušumgal-Anunna (Yahvé) sur le pays mésopotamien où était principalement implantée la monarchie des "dieux".
Enki est parfois dénommé MUŠDA en sumérien. Cette épithète le définit comme étant le "grand architecte" ou encore le "maçon" du monde, mais la décomposition de ce terme en MUŠ-DA nous donne "puissant reptile". Ce reptile rusé, responsable du clonage de l'humanité et de la codification des langages de la Terre n'est autre que le serpent biblique, celui qui déjoue le plan de Yahvé en Eden, alors que ce serpent est pourtant sous les ordres de ce même Yahvé. Enki, "le reptile", rappelle en tout point la définition du terme sumérien EME-ŠID ("lézard"), dont la définition stricte EME (langage, parole, langue) + ŠID (mémoriser, réciter à haute voix, dénombrer) nous restitue "celui qui dénombre le(s) langage(s)" ou "celui qui récite la parole" !!! Comme je le démontre dans mes deux premiers ouvrages, l'Ancien Testament est une médiocre contrefaçon qui utilise à outrance des traditions mésopotamiennes et égyptiennes beaucoup plus anciennes…
Je suis absolument convaincu que des lecteurs ou des chercheurs indépendants prétendront que les différentes possibilités qu'offre le jeu de l'homophonie suméro-akkadienne expliquent pourquoi il sera toujours possible de décoder un terme étranger… Je préciserais qu'ils ont parfaitement raison de le penser et préciserait que c'est bien pour cela que le code a été difficile à casser par le passé, même par des Gina'abul qui parlaient pourtant à la perfection l'Emenita ou l'Emegir (le sumérien)… De même, les voyelles étant différentes selon les régions du globe et particulièrement en Orient, certains ne comprendront pas le choix phonétique que j'empreinte pour décoder différents termes. Je souhaite préciser que toute possibilité phonétique est possible, même en changeant parfois les voyelles, que nous savons justement inexistantes dans certains langages. Prenons par exemple le nom égyptien de Isis qui est Aset ou Iset, selon les interprétations. Nous obtenons : A-SÉ-ET "source du présage de vie" ou I-SÉ-ET "lamentations du présage de vie". Ces deux compositions apportent une parfaite définition de la personne d'Isis en tant que source, c'est-à-dire "mère ou pleureuse (d'Osiris) responsable du présage de vie (Horus)".
Le scientifique Gerry Zeitlin et moi avons réalisé un schéma à partir de la compréhension que j'ai pu tirer de cette histoire de langage matrice. Le travail de Gerry est remarquable dans la mesure où il me permet de matérialiser et d'authentifier certaines données que j'aurai eu quelques difficultés à diffuser seul. Notre collaboration est très importante. Gerry Zeitlin a réalisé plusieurs schémas pour Ádam Genisiš ainsi que sur son site où il analyse méticuleusement mon travail.
shéma
La société mise en place par la lignée de la noblesse Ušumgal, celle des "dieux" extraterrestres An et Enlíl, est une société totalement patriarcale, ennemie des Amašutum (groupes extraterrestres à polarité féminine). Est-ce la raison pour laquelle la société judéo-chrétienne régie par les Lois de Yahvé a perpétué un ordre patriarcal ? Ce conflit ancien entre les deux sexes semble se refléter aujourd'hui encore. Lorsqu'il est question de Yahvé, en tant que dieu – selon vos informations –responsable de la (re)création de l'espèce humaine, la notion de glaise, d'argile et de terre est employée dans la Bible. Pouvez vous nous expliquer ces notions et le décodage que le syllabaire sumérien nous apprend à ce propos ?
Anton Parks : Oui, tout à fait. L'existence sur Terre de divinités à polarité féminine est antérieure à la présence du dieu mâle telle que nous la rapporte la religion judéo-chrétienne et qui n'apparaît qu'en Genèse 2.7, c'est-à-dire lors de la seconde création répertoriée dans la Bible. Une grande majorité des légendes de la Terre témoignent de la présence de divinités à polarité féminine. La Genèse l'a fait également, il suffit de lire attentivement le texte de la création. En Genèse 1.26, les Elohim ("les divinités"), terme pluriel féminin, créent l'Homme "à leur image"… Pourquoi ce terme, pourtant féminin pluriel, est-il traduit le plus souvent en "Dieu" ? J'explique dans mes ouvrages que le terme Elohim se décompose en suméro-akkadien en EL-Ú-HI-IM "les puissants élevés qui ont mélangé l'argile (ou l’argileux : l’Homme). Ces Elohim forment une association multiethnique et culturelle planificatrice qui travaille pour la Source de toute chose qui figure plutôt une énergie féminine, celle de la Déesse-Mère. Les êtres féminins dont il a été question plus haut et qui sont en conflit avec l'autorité mâle des textes sumériens, font partie du groupe des Elohim que je nomme Kadištu dans mes écrits.
Une Déesse-Mère sous forme d'arbre nourrit l'humanité, selon le Codex mexicain
Fejervary-Mayer, planche 28. L'arbre est le grand symbole des divinités féminines et figure en Mésopotamie une "Etoile Sombre".
En Genèse 1.26, lorsque les Elohim souhaitent créer l'Homme primordial, il est dit : "faisons l’homme à notre Tsélem (image)". Pourtant le mot hébreu Tsélem ne semble pas être convenablement traduit, car il est formé du vocable Tsél qui veut dire "ombre" et du Mem final qui symbolise de façon hermétique l’eau, l’élément vital, c'est-à-dire la semence. Lorsqu’il est stipulé qu’Elohim va former l’homme primordial à partir de son Tsélem, cela veut traduire qu’il va le former à partir de ses gènes, de son "ombre-liquide", c’est-à-dire de la semence d’Elohim !
"[…] Ils (les créateurs) façonnèrent une créature en associant leurs pouvoirs les uns des autres, ceux dont ils avaient été gratifiés. Chaque puissance fournit une qualité conforme à l'image qu'elle s'en était faite psychologiquement. Ainsi créèrent-elles un être en tant que Homme primordial parfait…".
Manuscrit de Nag-Hammadi, "Le Livre Secret de Jean", Codex NH2-1 ; 28
Il est tout à fait intéressant de noter que le terme hébreu Tsélem (traduit en image?!) décomposé en suméro-akkadien donne TÉŠ ("sexualité", "force vitale") ; EL ou ÍL ("élevé", "être haut") ; EM ou IM ("argile", "boue"), soit TÉŠ-EL-EM "la force vitale élevée de l’argile" ou "la haute force vitale élevée de l'argile". L'argile biblique représentant généralement le sang ou encore les gènes, nous pouvons donc traduire le passage en question en "faisons l’homme à notre (avec) notre haute force vitale élevée ou tirée de l'argile (c'est-à-dire avec notre sang ou nos gènes)"… Cette traduction est parfaitement en accord avec le texte apocryphe de Jean mentionné juste au-dessus. Que le lecteur qui va bientôt se réveiller comprenne d'une façon définitive pourquoi les textes apocryphes (du grec apokruphos "tenu secret") n'ont volontairement pas été incorporés dans la Bible, le plus grand best-seller au monde. Deux des plus importants conspirateurs sont, sans doute, l'empereur Constantin, qui, en 312, a fait détruire les oeuvres "païennes" et "hérétiques" et qui a commanditer auprès des gardiens du dogme, la révision et la fabrication de nouveaux exemplaires de la Bible. Le second est l'évêque Athanase d'Alexandrie qui a dressé en 367 la liste des titres destinés à former le Nouveau Testament parmi plus de 70 évangiles existants… et rejetés !
Le culte de la Déesse-Mère et celui des femmes en général a toujours terrifié le monde politico-religieux patriarcal. Faut-il rappeler que la très Sainte Eglise a considéré la femme jusqu'au Moyen Age comme une souillure qui pouvait être battue, torturée, violée et mis en esclavage. Ah, oui, j'oubliais, la femme n'avait pas d'âme (sic). L'ancienne religion, celle de la Déesse-Mère, n'a cessée d'être persécuté au fil des âges. Au Moyen Age justement, la religion de la Déesse était une concurrente menaçante pour le dogme judéo-chrétien plus récent. En 1484, le pape Innocent VIII chargea l'inquisition de lancer la chasse à l'ancienne religion matriarcale. La publication en 1486, du Maleus Malificarum "le Marteau des Sorcières", ouvrage des dominicains Heinrich Kramer et Johann Sprenger, établit les bases d'un règne de terreur qui dura plus de deux siècles dans toute l'Europe jusqu'en Amérique du Nord. On estime à 9 millions le nombre d'"hérétiques" qui furent exécutés, dont 80 % de femmes, d'enfants ou de jeunes filles dont l'Eglise pensait qu'elles avaient hérité du "mal" de leurs mères ! La misogynie devint un élément capital de l'Eglise Catholique médiévale ; la femme et sa sexualité étant "le mal incarné". La femme accusée de sorcellerie était arrêtée brutalement, sans avertissement, déclarée coupable et brûlée… c'était il y a plus de 500 ans seulement, Alléluia !
Les deux premiers tomes des "Chroniques du Ğírkù" font souvent référence au cycle menstruel, à son importance, à son pouvoir de guérison et d’entendement puisque les menstrues des Amašutum, des entités féminines du récit, sont employées dans le cadre de rituels sacrés. On retrouve très étrangement cette coutume dans les anciens rituels gnostiques qui vouaient un culte particulier à l’éternel féminin. Par contre, dans certaines autres traditions rituelles ou religieuses et plus particulièrement les religions du Livre, comme l’Islam, la femme est considérée comme impure pendant cette période de sa vie et son cycle menstruel est frappé d’un tabou, d’un interdit très puissant. A cet égard, vous mettez en évidence un texte extrait du Manuscrit de la Mer Morte 4Q266 Frag9 Col2 : "Quiconque cohabitera sexuellement avec une femme durant son flux sanguin contractera la souillure causée par la menstruation ; et si un écoulement survient à nouveau en dehors des règles normales, elle sera impure durant 7 jours". Pourquoi ce tabou sur les femmes au point de les comparer souvent à des sorcières ?
Anton Parks : La femme est au cœur d'un complot universel depuis la nuit des temps. Son pouvoir a effrayé les "dieux" des différentes mythologies et il effraie l'Eglise, car il pourrait libérer l'être humain et ce dernier n'aurait plus besoin du clergé pour se rassurer et se sentir "assisté". Les menstrues des femmes terrestres ont, elles aussi, fait l'objet de rituels sacrés et très hermétiques pour les raisons que l'on imagine bien.
Puisque nous sommes dans les grandes vérités, examinons le sens exact du mot « sorcière » dans la langue des "dieux". Nous allons y trouver comme par enchantement un thème fondamental que la religion judéo-chrétienne s'est évertuée à masquer au regard du peuple. Le terme sumérien utilisé pour exprimer une sorcière est Míuš'zu. Sa véritable traduction, et les divers interprétations que l'on va pouvoir en faire grâce aux homophones dont les Sumériens étaient tellement friands vont nous mettre sur la voie d'un sens astucieusement dissimulé. La simple décomposition de MÍ-UŠ12-ZU donne "la femme à la sécrétion-sagesse" ou encore "la femme au venin-connaissance"…
"Sorcière" mexicaine tirée du Codex Fejervary-Mayer, planche 17.
Le serpent ("entre ses cuisses" !) est son symbole de prédilection…
"Pendant 130 ans, Adam resta séparé de sa femme […] à cause du venin qu'il venait d'absorber. Quand le venin vint à s'épuiser, il revint [à Eve]".
Le Zohar, Berechit 3, 55a (texte rabbinique)
Le jeu de l'homophonie sumérienne va encore nous apporter quelques précisions complémentaires sans dénaturer le sens originel du terme. Si nous remplaçons le UŠ12 par ÚŠ, nous obtenons : MÍ-ÚŠ-ZU, soit "la femme au sang sagesse", et avec UŠ, MÍ-UŠ-ZU, soit "la femme qui élève la connaissance (ou la sagesse)"… Avant que le christianisme n'intervienne, les sorcières étaient considérées comme des personnes possédant l’énergie de la Déesse. Les diverses possibilités de traduction jouant sur l'homophonie du langage des "dieux" nous assurent que nous sommes en présence d’une substance particulière dont les femmes sont les seules à posséder le secret. Un autre élément doit intervenir pour accomplir l'acte sacré, nous sommes très proche de la tradition alchimique. Si vous avez une confiance absolue en votre partenaire et que vous l'aimez infiniment, que vous partagez tout avec cette personne, alors sachez que tout est possible, comme partager ses menstrues et son sperme:
"Et l'arbre de la connaissance du bien et du mal : pourquoi est-il ainsi désigné ? […] C'est que cet arbre se nourrit de deux côtés opposés et il les reconnaît comme quelqu'un qui mange en même temps du doux et de l'amer. Tirant sa substance de deux directions contraires, il est appelé "bien et mal"".
Le Zohar, Berechit, 35a et 35b
Les rabbins qui entreprirent la compilation les textes du Zohar savaient très bien de quoi ils parlaient. Bien entendu, l'allusion faite ci-dessus est en rapport avec le sperme et les menstrues, le sperme représentant "le bien", et les menstrues "le mal" ! L'interdit par Yahvé d'approcher une femme et un homme dont les écoulements impurs ne doivent surtout pas se mélanger se trouve également dans la Bible :
"Lorsqu'un homme a un écoulement sortant de son corps, cet écoulement est impur. […] Tout lit où couchera cet homme sera impur et tout meuble où il siègera sera impur. […] Lorsqu'un homme aura un épanchement séminal, il devra se laver à l'eau tout le corps et il sera impur jusqu'au soir. Tout vêtement et tout cuir qu'aura atteint l'épanchement séminal devra être nettoyé à l'eau et sera impur jusqu'au soir. […] Lorsqu'une femme a un écoulement de sang et que du sang s'écoule de son corps, elle restera pendant sept jours dans la souillure de ses règles. Qui la touchera sera impur jusqu'au soir. Toute couche sur laquelle elle s'étendra ainsi souillée, sera imure ; tout meuble sur lequel elle siègera sera impur".
La Bible, Le Lévétique, "les impuretés sexuelles", 15
Il faut savoir que dans les sécrétions sexuelles, on retrouve des éléments chimiques particuliers : le sperme, par exemple, contient des quantités importantes de l'oligo-élément « zinc », qui intervient dans plus de 80 processus biochimiques dans l'organisme. Nous sommes au cœur de l'alchimie mystique…
Toutes ces révélations peuvent vous sembler étranges, j'en conviens, mais vous ne devez pas oublier que la société dans laquelle nous vivons est totalement déconnectée du sacré et de certaines réalités. Le sexe a été volontairement banalisé et se vend aujourd'hui au coin des rues comme une vulgaire marchandise prête à la prompte consommation. Le "génie" de l'homme n'a jamais cessé sa quête des moyens les plus raffinés et pervers en vue d'exploiter la femme pour son plaisir immédiat et l'argent qu'il peut en tirer. Il possède même la capacité de jouir de la souffrance de son double féminin, il est sans nul doute le seul animal (Á-DAM en sumérien) capable de torturer et tuer son prochain pour son bon plaisir. En déformant de la sorte certaines réalités, l'être humain a su se confiner dans un monde formaté, totalement à l'image de l'univers pervers des "mauvais archontes" reptiliens décrits dans les textes gnostiques et qui se sont fait passer pour les véritables divinités de notre univers. Une honte existentielle accompagne le sens du sacré, car le sexe est le centre de la culpabilité infligée par ces mauvais "dieux". Si les "dieux" sumériens, transformés en un dieu unique et universel dans une grande majorité de religions, ont posé un interdit sur le sacré au point qu'aujourd'hui ce sacré soit devenu une véritable foire, c'est uniquement pour détourner l'humanité de la véritable réalité qui lui permettrait de s'élever. Une grande majorité d'entre vous n'a aucune idée du merveilleux qui nous entoure. Vous, qui lisez ces lignes, si vous avez la joie de partager votre vie avec une personne que vous aimez profondément, vous devez comprendre que le sexe n'a rien avoir avec une performance telle qu'elle vous est présentée par les médias. Le sexe est une connexion du cœur, une fusion dans l'amour véritable…
Selon la Bible et les écrits rabbiniques, c'est Samaël "l'ange déchu", dit le "serpent", qui initia l'humanité au fruit de l'arbre de la connaissance. Vous appuyez cette doctrine en précisant qu'il s'agit de Sa'am, alias Enki, le chef généticien Gina'abul qui clona les humains -ouvriers sexués- et qui enseigna la sexualité à cette nouvelle humanité. Il semble également responsable de la pratique sexuelle qui concède l'élévation. Pouvez-vous préciser cette pensée et son fonctionnement ?
Anton Parks : C'est un vaste sujet que j'aborde dans mon premier ouvrage "Le Secret des Etoiles Sombres" et que je précise dans Ádam Genisiš. La pratique qui permet l'élévation spirituelle se prénomme Tantrisme en Inde. Cette action, combinée avec la pratique des mélanges des fluides, apporte une transformation importante de l'individu. La seule condition étant de réaliser cet acte avec respect et uniquement avec la personne que l'on aime profondément. Je préfère le préciser, car il s'agit d'un procédé "magique", qui peut être détourné s'il n'est pas réalisé dans l'Amour Inconditionnel !
Codex maya de Madrid, planche 30.
Représentation de Ixchel, divinité de la fertilité féminine, de la médecine et de la lune. Le texte qui accompagne cette illustration témoigne du mystère des mystères : "l'étoile relâche de l'eau, la sève des profondeurs de la mère éclatante élève le fil tordu (c'est-à-dire la Kundalinî)".
Je vais détailler ici les propos que j'expose dans mes ouvrages en précisant la démarche à suivre. Le Tantrisme est un dialogue religieux entre l'homme et la femme en vue de la réalisation de l'unité. Dans le Tantrisme, chaque femme est une prêtresse dans laquelle est incarnée la Déesse-Mère ; véritable voie d'accès vers l'absolu. Plus l'acte est long, plus la sexualité est intégrée dans un cadre spirituel qui est proche de la relaxation et du yoga. Le yoga tantrique assimile, tel une alchimie interne, les principes masculins et féminins dans le corps humain. La relation sexuelle tantrique est tout le contraire d'un acte sexuel "usuel" où l'homme cherche à atteindre sa jouissance personnelle et son orgasme égoïste, imposant une relation bien souvent expéditive et inassouvie pour la femme que nous savons pourtant multi-orgasmique. Grâce à la pratique du Tantrisme, il appartient à l'homme de se mettre au niveau vibratoire de la femme et de pouvoir la faire vibrer en faisant travailler les sept chakras principaux, et ainsi créer une impulsion que sa partenaire lui renverra. La femme détient le rythme et la fréquence divine, celle de la sagesse ; il incombe à l'homme de pouvoir se caler sur elle afin de "sacrifier ses pulsions primaires" en vue de se synchroniser sur la "Déesse". Le Tantrisme permet d'échapper à la condition humaine et de s'évader de la bestialité qui nous anime. Ceci, simplement à travers un orgasme sexuel prolongé, si possible, sans émission séminale. Cet acte sacré a pour seul but de nous rapprocher du divin, les gnostiques qui prônaient un savoir intérieur, indépendamment de tout dogme religieux, le savaient bien :
"Si tu souhaites discerner la réalité de ce mystère, alors tu devras percevoir la notation merveilleuse des rapports qui ont lieu entre le mâle et la femelle. […] le mystère des rapports est exécuté dans le plus grand secret, de façon que les deux sexes ne puissent être déshonorés devant ceux qui n'éprouvent pas cette réalité. Pour eux, les sexes contribuent uniquement à procréer. Si l'acte se produisait en présence de ceux qui ne comprennent pas cette réalité, ceci paraîtrait totalement risible et incroyable…".
Manuscrit de Nag-Hammadi, "le Codice Asclepius" (21-29), 6,8
Cette pratique millénaire correspond à la sexualité sacrée exercée dans les anciens temps par les prêtresses "Etoiles Sombres", et par la suite dans les temples sacrés où les prêtresses humaines de l'antiquité se livraient à la sexualité rituelle de la Déesse-Mère. Que cette pratique ait été accomplie dans des sanctuaires et que des prêtresses s'y soient accouplées avec des inconnus importe peu ici. C'était en d'autres temps et les mœurs n'étaient pas les mêmes qu'aujourd'hui, nous n'avons aucun jugement à porter à cela. Qu'il y eut également des débordements comme des orgies ou autres pratiques détournées, telles que la recherche d'un contact avec le surnaturel grâce à des extases provoquées à grand renfort de magie noire, ne nous élèvera pas davantage. Comme je l'ai indiqué, c'est un acte qui peut devenir dangereux s'il est exécuté dans un esprit de suggestion et de tromperie. Ce qu'il faut savoir aujourd'hui, c'est que le véritable Tantrisme, exercé à deux dans l'Amour Véritable, avec la personne que vous aimez infiniment ne comporte aucun risque, il procure, au contraire, infiniment de choses. J'insiste bien, cette sexualité doit se pratiquer à deux, entre deux personnes consentantes et aimantes, c'est une union sacrée dont le but suprême est de réveiller le divin en chacun de nous et de percevoir la réalité ultime au-delà des perceptions ordinaires. Nous pouvons également ajouter qu'il s'agit aussi d'une façon de recréer l'unité perdue, celle de l'androgynie qui relève de chacun de nous une fois l'incarnation achevée. C'est pourquoi la plus part d'entre nous est à la recherche de son double, en quelque sorte de son âme-sœur, pour accomplir consciemment ou inconsciemment l'acte extatique et revenir en quelque sorte "chez soi"… Vous comprenez ? Les transformations sont telles qu'elles peuvent également causer un déblocage important chez les plus personnes les plus "frigides". Ce n'est pas à moi d'énumérer les bienfaits de ces gestes millénaires que les anciens connaissaient parfaitement et qui furent finalement réservés à quelques rares initiés. L'expérience est en chacun de nous et propre à chacun. Les textes tantriques de l'Inde ne sont pas les seuls à exprimer le besoin qu'éprouvent la femme et l'homme à s'unir à nouveau pour reformer le couple divin androgyne qui pourra reproduire l'unité et créer une ouverture spirituelle ; couple qui, selon la doctrine tantrique, entreprend lors de l'union sacrée d'interchanger les rôles, la femme devenant l'homme et inversement :
"Lorsqu'Eve était en Adam, la mort n'existait pas. Quand elle se fut séparée de lui, la mort survint. Si à nouveau elle rentre en lui et s'il la prend en lui-même, la mort n'existera plus".
Manuscrit de Nag-Hammadi, "l'Evangile selon Saint Philippe", NH2, 3 68
En sumérien le terme Ğìš-dù veut dire "avoir des rapports sexuels" et son homophone Ğiš-dù se traduit en "offrir un sacrifice". L'analogie est remarquable, car en Inde les textes initiatiques tantriques comparent souvent l'union sexuelle à un sacrifice, où, comme je l'ai évoqué, l'homme doit "sacrifier ses pulsions pour faire vibrer la Déesse"...
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Karmapolis #1.2
Lien : http://www.karmapolis.be/pipeline/anton_parks2_2.htm
Extrait : Anton PARKS et les premiers pas de l'humanité
Enki a fait en sorte que ses propres prototypes soient capables de se reproduire via la sexualité. Vous utilisez pou cela des termes très précis : "L’initiation au Secret des Ğiš" ou l’initiation au "Secret des Etoiles Sombres", titre du premier tome, ce qui fait penser à l’éternel féminin et l’importance que les Gnostiques attachaient à la sexualité. Pourquoi Enki a-t-il voulu que les hommes soient de plus en plus autonomes et soient initiés ? Est-ce que c’est à cause de ce don de la reproduction sexuée faite aux hommes par Enki que l’on retrouve dans la Bible un tabou net sur la sexualité et la notion d’une "Eve" tentatrice ? De plus, pourquoi la Bible raconte-t-elle que la femme a été créée dans un second temps, à partir de la cote de l’homme, comme une sorte de sous produit ? Est-ce qu’il n’y a pas une distorsion volontaire ?
Anton Parks : Oui et non. Il y a eu plusieurs versions de l'humanité. La première "usinée" par les "planificateurs" était effectivement totalement asexuée. Cette antique version que l'on retrouve d'une façon dénaturée en Genèse 1.26 est le produit des Elohim ("les divinités planificatrices"). Le modèle dont il est question dans ce passage de la Genèse est sans aucun doute un mélange de l'Homme Primordial dénommé Namlú'u et le prototype Neandertal, lui aussi manufacturé par les Elohim, précisément par Nammu, la mère d'Enki. C'est cette dernière version, rendue assexuée, donc docile, par le clan des Yahvé (Ušumgal-Anunna) qui travaillera pour les "dieux" sumérien. De façon à rendre cette humanité autonome par rapport au régime autoritaire Anunna, Enki a séparé leurs sexes pour que les travailleurs puissent se multiplier d'eux même. L'Edin (la plaine mésopotamienne) où l'on trouve les plus anciennes traces de blé au monde étant une gigantesque industrie agraire, il était très difficile de la contrôler pleinement. Lorsque l'humanité sexuée s'est retrouvé face à son obligation de poursuivre son travail pour les "dieux" en Edin, elle a du également gérer clandestinement son "autonomie" couverte par le gestionnaire des lieux, à savoir Sa'am-Enki (Samaël, le serpent biblique). La raison de cette manœuvre est une pronfonde mésentente entre Sa'am-Enki et les siens, considérés comme planificateurs (Elohim) et le clan paternel d'Enki qui symbolise l'autorité du Yahvé biblique. Enki, "le serpent" est régulièrement présenté dans l'imagerie mésopotamienne comme un instructeur et non comme un tentateur. Une fois de plus la Bible a préféré inverser les rôles et dénaturer les situations.
Enki, dit le serpent, le serpent, initie l'humanité.
La femme est ici en retrait, car elle connaît le secret des "arbres", conformément à l’idéologie exprimée dans la Genèse. Notez le signe en forme d’étoile (Diğir = dieu) près d’Enki et le signe de la lune en forme de coupe, près de l’homme. Sceau sumérien.
Enki (dénommé MUŠDA "puissant reptile") est figuré comme un serpent placé auprès d'un homme et d'une femme. L'homme lève son verre avec Sa'am-Enki et ce dernier porte dans sa main un gobelet en forme de coupe qui symbolise le sexe féminin, à savoir le "Saint Graal" des traditions d'Europe du Nord… Près d'Enki se tient une étoile qui signifie DIĞIR ("divinité"). Au-dessus de l'homme se trouve le symbole de la lune transposé en GAM ou GÚR lunaire sumérien en forme de coupe. Ces deux termes traduisent à la fois "la mort" et "le fait de s'incliner ou de se soumettre". Cette représentation symbolise plusieurs idées que je traduis tout simplement en "se soumettre au cycle mensuel pour vaincre la mort"… En sumérien ĞÌŠ-DÙ veut dire "avoir des rapports sexuels" et son homophone ĞIŠ-DÙ (litt. "s’attacher à l’arbre") veut dire "offrir un sacrifice". L'analogie est remarquable, car en Inde les textes initiatiques tantriques comparent l'union sexuelle à un sacrifice, où, comme nous le savons, l'homme doit "sacrifier ses pulsions pour faire vibrer la Déesse".
"L'ordure" sert d'engrais et communique des énergies vitales dans la nature pourquoi en serait-il autrement pour l'homme ?! Le terme U veut dire "lune", "vase", "menstrues" en maya, alors que le Ú sumérien exprime "une plante", "de la nourriture", "la puissance". En hébreu le cycle des femmes se dit Ma'hzor, litt. "ce qui revient" et les règles : Véssét. Ces deux termes décomposés en suméro-akkadien vont nous donner MA-ÁH-ZUR8 "placer la force qui jaillit" et WE-SÉ-ET "l’entendement marque de vie (ou force de vie)".
En ce qui concerne l'initiation de l'humanité à la copulation qui a pour objet de procréer, elle apparaît, elle aussi, dans les textes comme "Le Livre d'Adam". Dans l'extrait ci-dessous, Samaël (Enki) sort d'une de ses cachettes souterraines avec ses "anges déchus" (le Nungal) pour présenter à l'homme et la femme "la façon de procéder"…
"[…] Samaël et dix de ses anges s'échappèrent de leur cachot souterrain, prirent l'aspect de femmes extraordinairement belles et vinrent au bord du fleuve. Ils y saluèrent Adam et Eve et Adam s'écria, incrédule : "La terre a-t-elle donnée naissance à ces créatures incomparables ?" puis il demanda : "Amies, comment faites-vous pour vous multiplier ?" Samael répondit d'une séduisante voix de femme : "L'homme se couche auprès de nous pour l'amour. Nos ventres enflent, nous mettons des enfants au monde, ils grandissent et font comme nous. Si tu ne me crois pas, je suis prête à le prouver !" A ces mots, d'autres anges déchus pareillement travestis montèrent à la surface du fleuve. […] Sur ce, les femmes s'étendirent toutes nues, chacune avec son prétendu mari et tous firent de vilaines choses sous les yeux d'Adam. Après quoi, Samaël dit :"Fais cela avec Eve, car c'est la seule manière pour vous de multiplier votre race".
Le Livre d'Adam apocryphe, version éthiopienne
En lisant la Bible, on se rend compte que l’homme originel de la Bible, Adam, ne ressemble pas à ce projet fabuleux que vous décrivez. L’Adam biblique semble idiot, "innocent", ignare, soumis à Yahvé et n’est pas cet être puissant que vous décrivez en début d'ouvrage. Pourquoi ce décalage ? Est-ce le même "Adam" ou bien, il y avait un autre projet, un autre homme originel avant l’Adam biblique ?
Anton Parks : Bien, comme je viens de le mentionner, il y a eu plusieurs versions de l'humain, comme il existe plusieurs versions du singe… Le tout premier est le Namlú'u, créé par les planificateurs Kadištu (les Elohim) qui ont ensemencé la Terre avant l'invasion des Anunna. Les NAM-LÚ-U18 ("immense(s) être(s) humain(s)") sont des êtres qui englobent des capacités hors du commun. Ce spécimen est nommé, par exemple, dans le manuscrit gnostique de Nag-Hammadi ("Livre Secret de Jean", Codex NH2 - 1, 28) où il apparaît sous la forme de 'l'Homme primordial parfait" créé par les différents créateurs selon leurs différentes puissances et qualités. Les Namlú'u possèdent une taille de plusieurs mètres (près de 4 mètres) et sont des êtres multidimensionnels. Comme l'expriment plusieurs textes gnostiques, ils étaient les gardiens de la Terre avant l'arrivée des mauvais dieux (les Anunna). Ils ont disparu de notre dimension lors de l'avènement de ces derniers. Le mot Namlú'u est un terme générique utilisé pour nommer en Mésopotamie l'humanité primordiale et employé plus tard pour désigner les Sumériens qui étaient considérés au Proche-Orient ancien comme la première humanité qui fut mise au service des "dieux".
Il y a donc bien un mélange entre ce Namlú'u, gardien de la planète Terre pour le compte des Elohim, et les différents types d'ouvriers façonnés pour l'intérêt de Yahvé à partir du singe et qui sont l'Homo Neanderthalensis et ensuite l'Homo Erectus qui donna l'homme moderne, c'est-à-dire l'Homo Sapiens. Cette branche Homo est la famille "animale", celle utilisée par les différents Gina'abul ("reptiles") qui composent la famille reptilienne qui s'est imposée sur la Terre. Il n'est pas étonnant de remarquer que le terme sumérien Á-DAM englobe les définitions suivantes : "animaux" ; "bêtes" ; "troupeaux" ; "troupes enrôlées" ; "colonisation" ; "infliger"… Je démontre dans Ádam Genisiš que la première version Homo Neanderthalensis est dénommée Ullegara ("placé avant"). La seconde, remaniée pour le compte des Anunna et asexuée en un premier temps, est appelée Annegarra (placé après") sur les tablettes d'argile. Ce dernier exemplaire correspond à l'Abel biblique. L'autre branche, considérée comme "animale" est une version volontairement rendue moins "spirituelle" que sa cousine Neandertal qui possédait une forme de mysticisme profond envers la vie et ses créateurs planificateurs.
"Quelle dérision en effet qu'Adam ait été modelé comme une contrefaçon du modèle de l'Homme par l'hebdomade"
Manuscrit de Nag-Hammadi, "Le deuxième traité du Grand Seth", Codex NH7 ; 28
L'Adam, au service de l'hebdomade gnostique, n'est autre qu'une version amoindrie de l'Ullegara ("placé avant"), il s'agit bien de l'Annegarra (placé après"), c'est-à-dire de l'homme de Neandertal remanié pour la circonstance. Cet homme de Neandertal (Abel) possédant dans l'esprit humain et biblique l'image d'un être façonné par ceux "d'en haut". Comme je l'ai indiqué, son souvenir se combine sans doute avec l'extraordinaire multidimensionnel Namlú'u pour la simple raison que ces deux espèces ont été façonnées à des périodes différentes par des membres planificateurs Kadištu (Elohim). La seconde vague d'ouvriers assimilée à Adam est la branche animale que je dénomme Ádam Dili ("animaux premier" = Homo Eructus) et Ádam Min ("animaux deuxième" = Homo Sapiens) qui n'était bonne qu'à servir les "dieux" reptiliens. Il s'agit du Caïn biblique. La Genèse prétend que Caïn aurait été créé par Yahvé (An et ses anges Anunna) et qu'il était "mauvais" par rapport à son frère ou cousin Abel. La raison de cette assertion est que Caïn (l'Homo Sapiens) a été génétiquement coupé du divin. En effet, seuls 3 à 5% de l’ADN humain moderne s’exprimeraient en protéines et seraient donc utiles, le reste étant ce Junk DNA ou ADN poubelle dont tout le monde parle.
Sceau sumérien en argile montrant le généticien Enki, une fiole à la main, auprès d’une Ninti qui porte dans ses bras un humain de plus petite taille que les Gina'abul et dont on imagine qu’il a été cloné. Notez la présence de l’arbre (Ğiš = "Étoile Sombre") près de la déesse.
L'étrange assemblée des textes gnostiques, cette hebdomade, n'est autre que celle de Yaldabahot (Yahvé) et ses six autres archontes qui correspond au grand conseil des sept Ušumgal ("grands dragons") et qui possèdent tous les pouvoirs dans l'histoire que je raconte. Il ne fait aucun doute que ce Yaldabahot est le "dieu" sumérien An. Bien que je sois en accord avec de nombreux passages dits apocryphes, je tiens à relever que les gnostiques associent souvent Yaldabahot à Samaël, ce qui est pour moi une erreur monumentale. Cette méprise vient sans doute du fait que Enki-Samaël (fils de An-Yahvé) travaillait pour ce dernier et ai été dans l'obligation de créer des créatures pour les anges subalternes de son père, les Anunna. C'est un peu comme la confusion qui est faite entre Enki (le serpent) et Enlíl (Satan) qui le grand Šàtam (administrateur territorial) de l'Edin (la plaine mésopotamienne). Nous verrons dans le volume trois de cette série, que ce même Enlíl-Šàtam qui n'est autre que Šètéš (Seth) sera en conflit permanent avec Heru (Horus) qui n'est autre que Lucifer, "le porteur de lumière". Comme vous le voyez, il existe beaucoup de confusion entre les grands archétypes mythologiques.
Dans le livre Rene Andrew Boulay, "Flying Serpents and Dragons", l’auteur affirme que les premières expériences pour créer l’homme en tant que main d’œuvre furent supervisées par Enki et Ninmah-Ninhursağ. Les être ainsi créés possédaient beaucoup plus de traits reptiliens puisqu’il est dit dans les textes anciens que l’hybride ainsi créé le fut à l’image de Dieu, de leurs créateurs. Boulay souligne qu’il est intéressant de noter qu’avant le nom de chaque hybride ainsi créé, les Sumériens plaçaient le terme "Dingir", un signe qui symbolise la divinité, "le fait que nos ancêtres étaient considérés comme divin, au moins à un certain degré" (Boulay, p 117, Man Created in the Image of the Reptile God"). C’est en donnant à l’homme singe primitif "le sang reptilien ou saurien" que les Anunna ou Nefilim ont donné à l’homme une part de leur divinité, rapporte encore Boulay qui se base sur plusieurs textes comme la Haggadah et certaines tablettes sumériennes où l’on trouverait parait-il des descriptions clairs des premiers hommes dans lesquelles ils ont des traits reptiliens. Que pensez-vous de cette assertion ?
Anton Parks : Je pense simplement qu'il s'agit de matériels primitifs et intermédiaires, issus de la version Ádam Dili (Homo Eructus) qui procura l'Ádam Min (l'Homo Sapiens = Caïn) au clan Yahvé (Ušumgal-Anunna). Mais il ne s'agit en aucun cas du Neanderthal (Abel) qui, lui, n'a jamais été considéré comme ayant "l'animalité" des Yahvé, mais au contraire, la connaissance des Elohim. Tout cela est une histoire de clonage et de pouvoir procuré à l'aide de la génétique. Ce ne fut pas simplement une guerre physique telle que nous l'entendons aujourd'hui, mais aussi une guerre génétique, une course au meilleur produit qui possédera le meilleur génotype qui fera de lui un ouvrier servile (Yahvé) ou bien un ouvrier "spirituel" et affranchi (Elohim)…
D’après Ádam Genisiš, les premières lignées d’hommes créés pour être du bétail l’ont été par une caste reptilienne, les Ama’Argi, qui tentait d’échapper à une certaine servitude, voire de servir également de bétail aux castes des reptiliens royaux ? Pouvez-vous nous en dire plus ? En outre, vous décrivez une situation dans laquelle les premiers hommes et primates étaient traités comme du bétail par certaines "castes" ou lignées reptilienne : l’homme et le primate étaient à la fois une force de travail mais aussi une nourriture. A ce sujet, on a l’impression que la chair de l’homme est consommée mais également son énergie, ses émotions négatives. Je cite : "Uras (la terre) possède désormais une mémoire de souffrance". Est-ce que cette souffrance est consommée et présente une utilité pour les castes reptiliennes (Kingú/ Reptiliens "rouges" et albinos) les plus agressives ? La "traumatisation" de ces premiers hommes était-elle volontaire ?
Anton Parks : Effectivement, mais je ne m'éternise pas trop sur le sujet dans Ádam Genisiš, car il ne concerne que les clans Kingú et Anunna qui sont confrontés à celui dont Sa'am-Enki fait partie. Lorsque les rescapés de la guerre qui opposa les planificateurs (Elohim) au clan patriarcal Ušumgal-Anunna (Yahvé) amena ces derniers dans le système solaire, la lignée royale Gina'abul de la Grande Ourse (An et ses Ušumgal = Yahvé) eurent la mauvaise surprise de constater que leurs ennemis consanguins, la ligné royale Kingú de la constellation du Dragon, était déjà présente sur la Terre depuis des millénaires. Les Kingú sont responsables de la confection des différents Ugubi (singes) et les utilisaient comme nourriture (par ex. le type chimpanzé) et comme ouvriers avec l'Ádam Dili (le type Homo Erectus). La traumatisation que vous évoquez n'existait pas encore véritablement à cette époque, car, à ma connaissance, les royaux Gina'abul dénommés Kingú n'ont jamais eu de problème de fréquence à l'instar des Anunna. Ils étaient simplement brutaux avec ceux qu'ils considéraient comme leur bétail.
Le nom Adam en sumérien et en égyptien. Il est remarquable de constater que l’appellation donnée à l’ancêtre de l’homme dans la Bible et assemblée en égyptien figure "un être qui tremble et qui peut être dévoré" (comme un animal), mais également "une créature coupée (démembrée) et inconsciente". Voilà qui est conforme aux manipulations génétiques relatées sur les tablettes mésopotamiennes.
Les Anunna vont faire de même avec les différents prototypes que leurs souverains Ušumgal vont créés ou faire créés par les mains de Ninmah, Nammu et son fils Enki, ces deux derniers étant vus comme planificateurs (Elohim) aux yeux des dirigeant Gina'abul. C'est pourquoi, dans la Genèse, la seconde création qui a pour but de servir l'autorité mâle, est créée non pas par Yahvé seul, mais par Yahvé-Elohim !! Tout est clair. Les Anunna ont connu de gros problèmes d'adaptation sur Terre, car la fréquence terrestre est plus haute que celle du Dukù, dans les Pléiades, d'où ils proviennent. Le fait de rabaisser l'homme et de le placer dans des conditions de travaille difficiles a eu pour objectif de diminuer la fréquence terrestre. De même, le fait de dévorer de la chair humaine (ou animale) diminue également la fréquence de la personne qui la consomme. Qui a décrété un jour que l'être humain doit obligatoirement être carnivore ?! Les textes gnostiques, volontairement écartés du canon biblique, expriment pourtant bien cet aspect carnivore de dieu :
"Dieu est un mangeur d'hommes. C'est pourquoi des hommes lui ont été sacrifiés. Avant que les hommes le soient , des animaux (les singes ?!) avaient été immolés, du fait que ceux auxquels ils avaient été sacrifiés n'étaient pas des dieux".
Manuscrit de Nag-Hammadi, "L'Evangile selon Philippe", Codex NH2-3 ; 40
Codex Borbonicus, planche 14. Un "dieu" reptile dévore un humain sous les yeux complices d'un haut dignitaire aztèque.
J'ai entendu dire à de nombreuses reprises que les Anunna des textes sur argile mésopotamiens feraient aujourd'hui l'objet d'une profonde admiration auprès d'un certain public. Je tiens absolument à souligner le fait que le terme Anunna se retrouve dans le langage sumérien sous la forme A-NUN-NA dont la traduction usuelle sumérienne, validée par les linguistes, donne "peur" et la traduction stricte : "le père, prince des humains". Si j'étais à la place des personnes qui s'interrogent sur les origines de l'humanité, j'examinerais la question avec soin : pourquoi les "dieux" sumériens, qui ne sont autres que les Yahvé bibliques et archontes gnostiques sont-ils aussi redoutés ?! Pourquoi Dieu effraierait-il donc les humains ? Est-ce bien son rôle ?
L’humanité semble s’être développée à partir d’un premier groupe en plusieurs autres sous groupes qui ont donné naissance à différentes couleurs de peau etc. Ces différences se sont accentués avec le temps et l’isolement géographique jusqu’à ce qu’on en arrive à des groupes qualifiés de groupes "raciaux". Ces différentions entre les "races" humaines sont-elles le fruit d’une évolution naturelle ou bien d’une intervention génétique volontaire de la part des Anunna ? En ce cas, pourquoi ont-ils provoqué ces différentiations ? Peut-on relier cela au récit biblique de la Tour de Babel ?
Anton Parks : Il s'agit, bien entendu, d'une intervention génétique. Le cas de l'homme de Neandertal est un bon exemple. En 2006, des études sur le séquençage de l’ADN de l’homme de Neandertal, menée par S. Pääbo et son équipe (Institut Max Planck), démontrent que l’homme de Neandertal possédait des chromosomes Y (mâles) très différents de l’homme moderne (Homo Sapiens) et également du chimpanzé ! Le volume cérébral de l’Homo Neanderthalensis oscille entre 1 200 et 1 750 cm3. Comme l’évolution de Darwin ne peut expliquer un tel écart, la science moderne pense que les boîtes crâniennes volumineuses de l’Homo Neanderthalensis étaient celles des hommes et les plus petites, celle des femmes (sic). La taille moyenne du Neandertal oscillant entre 1,55 m et 1,65 m, nous ne pouvons expliquer ses différents volumes crâniens par rapport à sa masse corporelle. La partie postérieure (occipitale) du crâne du Neandertal est légèrement allongée, un peu comme celle des Gina’abul.
Il faut savoir que la thèse d’un cerveau en cours de grossissement est un mythe : sa taille est stable depuis l’apparition de l’homme moderne. Les scientifiques expliquent ce fait qui contredit Darwin en s’accordant à dire que l’évolution biologique de l’homme n’est tout simplement plus à l’œuvre, l’homme s’étant soustrait par ses techniques et ses cultures à la sélection naturelle et à son corollaire, la pression environnementale" (sic). C'est le magazine Science et Vie de décembre 2005 qui l'annonce. En fait, L'hominidé connu sous le nom d'Homo Sapiens apparut soudainement entre 200 000 et 300 000 ans. Il s'agit bien entendu du spécimen que les Gina’abul créèrent spécialement pour leur besogne après leur échec avec le Neandertalien ("Abel"). La capacité de boite crânienne de l'Hommo Sapiens ("Caïn") est pratiquement 50% plus élevée que celle de son prédécesseur l'Homo Erectus, "le singe" évolué qu'on ne cesse de déterrer régulièrement et que la science officielle assimile aux ancêtres de l'Homme. Depuis cette époque, le cerveau humain n'a pas bougé d'un iota ! Personne n'explique cette différence morphologique, encore moins les darwiniens, car de toute évidence l'apparition de cet être doué de raison se fît brusquement. Il faut aussi préciser que c'est un cas totalement unique dans toute l'histoire de l'évolution des espèces de notre planète. Pourquoi l'ancêtre de l'Homme développa-t-il aussi rapidement l'intelligence alors que le singe s'avère avoir passé près de six millions d'années dans une inertie évolutive la plus totale ? Tout ceci est une véritable farce ! Nous avons les réponses à toutes ces questions grâce aux écrits que j'étudie dans les "Chroniques". L’être humain ne descend pas du singe de façon naturelle, les différentes traditions et certains passages des tablettes ainsi que nos insuffisances archéologiques en témoignent avec éclat.
L'être humain de type Homo est originellement noir. Sa dénomination sur les tablettes d'argile est SAĞ-ĞI6-GA. Ce vocable est généralement traduit par les experts en "têtes noirs", parce que, selon eux, les Sumériens (l'humanité au service des "dieux") possédaient des cheveux noirs (sic). En sumérien, le monosyllabe SAĞ évoque une "tête", mais aussi : "un serviteur" ; "un esclave" et "un homme". En conséquences, le choix du terme "tête" est pleinement arbitraire. Il serait logique de traduire Sağ’ğiga en "les hommes (ou esclaves) noirs"…
Enlíl fixa son regard sur les Sağ’ğiga ("esclaves noirs") d'une manière ferme. Les Anunna s'approchèrent de lui (Enlíl), dressèrent leurs mains en salutations, adulèrent alors Enlíl de leurs acclamations et le sollicitèrent pour obtenir des Sağ’ğiga. Au peuple des Sağ’ğiga, ils donnèrent une pioche à tenir".
Extrait du poème sumérien "Louange à la pioche"
A la fin de Ádam Genisiš, j'explique que les "dieux" ont créés différentes "races" et couleurs de peau dans un objectif "politique". Les "dieux" créateurs Gina'abul formaient au moins trois clan qui sont celui des royaux Kingú de la constellation du Dragon, celui des Ušumgal-Anunna (Yahvé) de la constellation de la Grande Ourse et des Pléiades et celui des Amašutum-Enki-Nungal (Elohim). Ces trois clans possédaient la pratique du clonage en série. Le "catalogue" humain qui forme les classes singes et Homos sont le fruit de ces trois clans. Leurs travaux se sont parfois succédés et d'autres fois mélangés. Le but étant de former des ouvriers distincts et reconnaissables par leurs origines et leurs différents apports génétiques. Certains "produits" ont été transformés clandestinement, comme par exemple ceux manipulés par le groupe Amašutum-Enki (Elohim), de façon à leur octroyer une forme de liberté et ainsi contrer le clan des "Yahvé".
Vous dressez un parallèle fascinant entre la notion d’Eden sumérien et le paradis des Grecs, le jardin des Hespérides grâce à la décomposition étymologique à l’aide du syllabaire sumérien. On s’aperçoit qu’il ne s’agit pas de lieux mythologiques mais d’infrastructures colonisatrices très réelles de production. De plus, votre récit montre clairement que les Dieux de la mythologie grecque ne sont que des avatars, des représentations ou des traces dans la mémoire collective de ce peuple antique des "Dieux" extraterrestres colonisateur Gina'abul sumérien. Pouvez-vous nous en dire plus ?
Anton Parks : Le terme sumérien utilisé sur les tablettes pour désigner la plaine mésopotamienne où se déployaient les cultures Gina'abul est EDIN ou EDEN. Ainsi donc, le terme hébreu (?) Eden est manifestement tiré du mot sumérien Edin, également écrit Eden, et généralement traduit en : "la plaine", "la steppe", "l'épine dorsale", "la crête" (d'une montagne) ; "le(s) champ(s)" et le "désert". De même, Le terme hébreu Gan (jardin) provient sans aucun doute, lui aussi, du sumérien Gán ("culture agricole" ; "champ"). Ceci prouve une fois encore que les Hébreux se servirent des textes sumériens pour créer une partie de l'Ancien Testament. Ce mot passa dans leur vocabulaire mais perdit son sens d'origine ; le Gán-Edin "le champ de l'Edin" devint le Gan Eden, "le jardin d'Eden", un endroit qu'on aime à dire qu'il fut un paradis, alors que l'Edin sumérien (la plaine) était un monstre économique où les ouvriers travaillaient péniblement le sol. Si l'Eden était loin d'être un paradis, pourquoi les traditions font-elles justement cet étonnant amalgame entre le champ primordial où les premiers humains-esclaves travaillaient pour les "dieux" et un lieu idyllique nommé Paradis ? En fait, c'est dans le grec ancien que se trouve la réponse. Le mot paradis est la transcription du grec Paradeisos qui signifiait originellement "parc clos où se trouve les animaux sauvages", terme finalement transcrit en "jardin" à l'époque hellénistique.
Toutefois, ce "paradis" existait bien et se trouvait effectivement dans les hauteurs du Taurus, il s'agit de Kharsağ, la cité des "dieux" et de son jardin, celui de Ninmah. Mais la charge de travail en cet endroit était, elle aussi, assez lourde. Je dissocie effectivement deux "Eden" présents dans l'histoire des "dieux" sumériens. Le premier est donc l'Edin (la plaine mésopotamienne ; les champs) et le second est l'Eden, le jardin de Ninmah, qui se place au début de la chaine de montagne du Taurus (au sud) auprès de la cité de Kharsağ où logeaient les Ušumgal et une petite partie des Anunna. Cette dernière définition est en accord avec l'essence même du terme Eden ("l'épine dorsale", "la crête" d'une montagne) puisque le jardin de Ninmah se trouvait bien dans les montagnes. Le scientifique Gerry Zeitlin et moi pensons avoir localisé le Kharsağ Gina'abul et son jardin à l'aide des éléments que j'ai en "mémoire". Nous y avons passé beaucoup de temps, surtout Gerry ! Même si le terrain a changé et qu'il semble plus bas aujourd'hui, il parait correspondre à un endroit qui se nomme aujourd'hui Kara-dag et qui n'est pas très loin du lac de Van dans le Taurus, près d'un des affluents du fleuve Tigre.
Situation géographique de l'ancienne cité de Kharsağ, selon les recherches effectuées par le scientifique Gerry Zeitlin et Anton Parks. A gauche coule un des affluents du fleuve Tigre. Derrière la montagne démarre l'Eden, le jardin fruitier de Ninmah. Plus bas, vers le Sud, débute l'Edin, la plaine mésopotamienne où l'humanité labourait la terre pour le compte des Anunnaki.
Derrière la montagne, le "jardin" fruitier de Ninmah et de la colonie semble toujours présent, comme figé par le temps…
L'Eden, le jardin de Ninmah se situe derrière la montagne Kara-dag (en haut à droite). Ici, comme dans la plaine EDIN (plus bas dans le Sud), les prêtresses Santana (chefs de plantations) et Šandan (arboricultrices, horticultrices) veillaient sur les ouvriers humains.
Concernant l'histoire des Hespérides, il s'agit des gardiennes du verger des dieux. La version commune est celle d'un jardin merveilleux planté de pommiers. Or, le terme grec mêlon désigne deux choses différentes qui sont à la fois "un fruit rond", plus précisément "une pomme", mais aussi "un mouton" ! Nous ne pouvons qu’apprécier ces découvertes, car des "Hespérides", c'est-à-dire des Santana (chefs de plantations) et Šandan (arboricultrices, horticultrices) veillaient effectivement sur des fruits en Eden (le jardin de Kharsağ) et d’autres gardaient un troupeau de moutons assimilés aux êtres humains travaillant dans le champ primordial en Edin (la plaine mésopotamienne). Ceci est d'ailleus en accord avec notre découverte précédente, à savoir que le mot paradis est une transcription du grec Paradeisos qui signifiait originellement "parc clos où se trouve les animaux sauvages". Ces Ádam (animaux en sumérien) sont bien les ouvriers de l'Edin au service des "dieux". Didore de Sicile, lui-même, a écrit que le jardin des Hespérides renfermait un "troupeau de moutons" Est-il étonnant de que le terme sumérien LU traduise à la fois "des hommes" et "des moutons" ?!… La tradition a, malgré tout, gardée l'idée de pommes plutôt qu'un troupeau de moutons. Pourtant la langue des "dieux" confirme les dires de Didore de Sicile. En décomposant le terme Hespérides en suméro-akkadien cela donne EŠ (beaucoup, nombreux), PE ou PI (corbeille), RID ou PISAN2 (récipent, panier). Sachant que les Hespérides sont des femmes, EŠ-PE-RID va se traduire en "les nombreuses aux corbeilles et paniers". Plusieurs textes mésopotamiens comme celui d'Aššur prétendent qu'il fut donné aux humains des pioches et des paniers afin que fussent cultivés les champs des Anunna. L'idée de pioches et de corbeilles dans les mains de l'humanité revient, effectivement, très souvent sur les tablettes mésopotamiennes. Nous avons relevé dans le premier tome que la racine du terme hébreu Yahvé ("Dieu") provient de l'égyptien Iaw (adoration, prière). Nous ne serons donc pas étonné de découvrir un étrange et quasi homophone égyptien qui recoupe notre découverte : Ihw(parc à bestiaux), stupéfiant, n’est-ce pas ?
Pour finir sur le sujet de l'Edin, nous pouvons également relever qu'Edin en akkadien se traduit en Sêru, dont la décomposition sumérienne SÈ-RU veut dire "(où) les êtres faibles remettent les présents"…décidément, quel beau paradis !
Parlons étymologie encore : Vous montrez que le terme sumérien LÁ-BURU14 "celui qui met en place les moissons" correspond au terme Dogon qui désigne Dieu, soit "laboro". Ne peut-on pas poursuivre le raisonnement avec le latin et le français "labourer", mot a qui évoque les moissons et la notion de travail que l’on retrouve également dans le latin, l’italien et le français avec des mots comme "Labor" (labeur), "Lavorare" (travailler), élaborer, laboratoire, tous des termes qui évoquent la notion de tâche, de travail ?
Anton Parks : Oui, et c'est une excellente démonstration. Elle nous pousse davantage dans l'étymologie probable sumérienne de ces termes, notamment du "labor" latin (effort, labeur, peine), car nous trouvons deux possibilités sumériennes intéressantes qui sont : LA-BÙR "recevoir l'abondance ou la luxuriance" et LA-BUR "le repas de l'abondance". Comme nous savons que l'être humain avait pour mission de nourrir les "dieux" sumériens dans l'effort, nous ne pourrons qu'apprécier ces nouvelles décompositions réalisées à l'aide du sumérien.
"Que la corvée des dieux devienne leur corvée ! (celle des Hommes). Pour qu'à perpétuité, ils délimitent les champs et prennent en mains pioches et paniers, au profit de la maison des grands dieux, l'Ubšu’ukkinnaku […] Ils mettront en place les rigoles pour arroser et faire foisonner toutes sortes de plantes. […] Ainsi, cultiveront-ils les champs des Anunna, et accroîtront-ils l'abondance du pays. […] ils multiplieront pour promouvoir l'abondance du pays, bœufs, moutons, bétail, poissons et oiseaux. […] Aruru (Nammu), digne souveraine a prescrit l'ample programme. Technicien après technicien, rustre après rustre, d'eux-mêmes pousseront comme du grain. […] Selon l'ample programme établi par An, Enlíl, Enki et Ninmah, les grands dieux, et là même où les Hommes furent créés, fut installée Nisaba (déesse de l’agriculture) comme souveraine.
Extraits du texte cosmogonique d'Aššur
L'humanité est sous l'emprise millénaire des reptiles selon le Codex mexicain Laud, planche 34.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Karmapolis #1.3
Lien : http://www.karmapolis.be/pipeline/anton_parks2_3.htm
Extrait : Anton PARKS et les premiers pas de l'humanité
On s’aperçoit au fil de votre récit que les hommes créés par Enki perdent petit à petit, au cours des siècles et des millénaires, l’habitude d’entrer contact avec les Dieux, c'est-à-dire Enki, sa sœur, les Anunna, les Nungal bref, les administrateurs de l’installation coloniale agricole et minière. Les "Dieux" se griment, portent des perruques afin que leur aspect n’effraie pas les hommes qui entrent en contact avec eux. Il semblerait même que seuls, quelques hommes responsables de l’autorité et du clergé pouvaient communiquer avec les Dieux qui étaient dissimulés derrière des paravents (d’après Boulay ou Sitchin). Est-ce que l’on trouve des traces de cet épisode montrant la perte de contact entre hommes et "Dieux" dans les textes sumériens ?
Anton Parks : Oui, il est par exemple question de cela dans le mythe du déluge akkadien. Il s'agit de la tablette BM 98977 où le "dieu" Éa (Enki), le maître de l'Apsu (Abzu), visite Ut-napishtim (le Noé babylonien) et le prévient qu'un cataclysme décidé par le Haut Conseil des "dieux" recouvrira la Terre entière et qu'il ne laissera aucun survivant. Enlíl aurait, selon le texte, tenté de faire mourir de faim les travailleurs parce qu'ils se multipliaient trop vite à son gôut…
Pour rencontrer l'homme sans être vu – et surtout parce qu'il a juré dans l'Assemblé de ne pas prévenir les êtres humains – Éa-Enki, le maître des abysses, va se glisser derrière une palissade et engager une discussion avec le Noé akkadien : "Seigneur Éa, je t'ai entendu entrer. J'ai aperçu des pas semblables aux tiens. […] Durant sept années, ta [race] a fait mourir de soif des malheureux ! […] Apprends-moi donc quel est votre but ?". Éa prit la parole et s'adressa à la paroi de roseaux : "Palissade, ô palissade, paroi, écoute…"".
Vous décrivez dans votre livre une "réalité" qui se compose de plusieurs dimensions qui se superposent "comme dans une pyramide inversée". Nous, humains, vivons, percevons et respirons dans la troisième dimension. Il y a en dessous de notre dimension, deux autres dimensions, deux autres "réalités" fréquentées par d’autres entités, notamment les Musgir, une race de reptiles très agressive. Les deux dimensions qui sous tendent la nôtre se nomment KUR-GAL et KUR-BALA. Il existe en outre des dimensions intermédiaires (KUR-GI-A et KUR-NU-GI) dans lesquelles se trouvent des entités "spirituelles" particulières et que l’on pourrait comparer à des enfers pour des âmes perdues. Est-ce que l’on trouve présentes dans les écrits et la culture sumérienne des traces de ces conceptions, de cette description du réel ? Ou bien, ces appellations relatives aux trois dimensions du Kigal sont l’exclusive des informations que vous avez captées, mémorisées puis interprétées ?
Anton Parks : Le terme KUR se retrouve abondamment sur les tablettes sumériennes. Les spécialistes des tablettes donnent au KUR plusieurs attributs comme : "monde inférieur" "l'enfer", "pays", "pays montagneux", "montagne", ou encore "pays étranger". Aux yeux des experts de l'Orient Ancien, la définition du KUR sumérien semble à la fois complexe et difficile à cerner tout simplement parce qu'ils ne conçoivent pas un monde formé de dimensions imbriquées les unes sur les autres. Le Kur avait deux significations distinctes aux yeux des Sumériens. Il s'agissait tout d'abord de la montagne où les "dieux" résidaient. Un lieu inaccessible aux mortels, à la fois universel et vivifiant, sans doute en relation avec le domaine primordial (Kharsağ) des Gina'abul-Anunna situé dans les montagnes du Taurus. Le deuxième sens de ce terme est le monde de l'au-delà, le pays des morts généralement situé sous l'écorce terrestre entre les eaux primordiales de l'Abzu et le monde habité du dessus. Nous savons donc qu'il ne s'agit pas dans ce cas de la terre creuse, l'Abzu, mais plutôt du domaine subtil des dimensions ou fréquences inférieures connectées aux souterrains où certains Gina'abul avaient établi leur demeure. Ce domaine, insaisissable pour le commun des mortels, symbolisait généralement le royaume des morts chez les Sumériens.
Françoise Bruschweiler, que je cite dans mon second ouvrage, a composé une magnifique étude sur le Kur dans son livre sur la déesse Inanna. Voici quelques points essentiels qui ressortent de son analyse : "Le Kur désigne la totalité de l'univers existant, au sein duquel s'est développé le monde terrestre, ultime étape du processus de matérialisation enclenché au premier stade de développement cosmogonique. La bipolarité du Kur est liée au cycle universel de la vie et de la mort… Le Kur est invisible par définition et contient tout ce qui ne relève pas de la réalité visible : les différentes générations de dieux qui forment le panthéon, tout ce qui existe, mais n'est pas encore apparu dans le monde matériel et tout ce qui, ayant achevé son existence terrestre, a été englouti par la mort ou la destruction… Dans le Kur se situent également les dieux mineurs, intermédiaires entre l'humanité et les divinités des catégories supérieures. On peut y ajouter, à titre provisoire, les démons et esprits maléfiques qui rôdent aux confins de l'univers matériel. Les uns et les autres hantent ces ultimes projections des Kur de vie et de la mort qui, bien qu'encore invisibles à l'œil (humain), sont cependant si proches de la réalité terrestre qu'une certaine dose de courage héroïque semble suffire à en forcer l'accès".
Pour être parfaitement exact, il faut préciser que la dimension KUR est subdivisée en deux parties qui sont : le KUR-BALA (la première dimension : la plus basse) que les spécialistes des tablettes traduisent souvent en "l'au-delà", mais dont le sens exact est "le KUR du règne ou de la dynastie" et le KUR-GAL (la deuxième dimension), c'est-à-dire "le grand KUR", monde parallèle où des Kingú (ceux qui ne seront pas dans les cavernes) établiront leur demeure, le noyau dur et dirigeant Kingú se trouvant en KUR-BALA. Le maître du KUR-BALA est littéralement "l'œil qui voit tout, en haut de la pyramide… inversée", car il possède un regard direct sur le KUR-GAL et le KI ! Voilà pourquoi sur les tablettes, le KUR (ou KUR-BALA) est souvent traduit "en monde ennemi", lieu où le chaos semble régner perpétuellement. Les trois premières dimensions forment une sorte de pyramide inversée où la dimension KI symbolise la base et la dimension KUR-BALA forme le haut de la pyramide. De cet endroit, toute personne a un regard grossissant (comme une loupe) sur les dimensions supérieures.
L'idéologie Gina'abul et sumérienne n'intègre pas l'enfer de la même façon que les occidentaux. Dans le vocabulaire Gina'abul, le niveau inférieur formé des dimensions KUR et KI est dénommé KIGAL "le grand monde". Ce lieu est opposé aux autres étages dimensionnels supérieurs où résident les Kadištu et qui est nommé ANGAL"le grand ciel".
Le schéma ci-dessous représente les différents étages dimensionnels qui composent le KIGAL avec en plus ses deux dimensions médianes. Les Sumériens voyaient dans les KUR-GI-A et KUR-NU-GI deux représentations des enfers contrairement au KUR-BALA qui était plutôt assimilé à l'au-delà. Pourtant, une traduction stricte du terme KUR-GI-A (KUR de la source ferme) nous dévoile qu'il s'agit plutôt d'une dimension transitoire où les âmes restent un moment avant de réintégrer la Source ou l'ANGAL (le grand ciel). Quant à la décomposition de KUR-NU-GI, elle nous révèle sans l'ombre d'un doute qu'il s'agit d'un étage fréquentiel où les âmes se sont perdues. C'est le lieu où se trouvent les entités restés bloquées et que l'on assimilent aujourd'hui aux fantômes.
Enfin, existe-t-il sous la forme d’une autre pyramide trois dimensions "supérieures" au KI et donc attenantes au KIGAL ? Il y aurait alors deux pyramides, qui en s’interpénétrant, pourrait former le dessin d’une Merkaba ou étoile tétraédrique (symbolisme d’une forme parfaite pouvant servir à voyager de dimensions en dimensions) ainsi que 7 dimensions, 7 "ciels" (que l’on peut relier à l’expression 7ième ciel), les 7 chandeliers d’une Menora juive.
Anton Parks : C'est une très intéressante réflexion. Cependant, je ne pense pas qu'il y ait seulement 3 ou 4 dimensions dans l'ANGAL (dimensions supérieures), mais bien plus. Je n'en ai aucune preuve, c'est simplement un sentiment profond qui ne s'explique pas.
Les plaquettes sumériennes font référence à un étrange monde "du dessous", un univers souterrain appelé "Abzu". Dans Ádam Genisiš, vous décrivez avec d’abondants détails le monde souterrain de la terre sous la forme de continents tapissant la surface interne et concave de la terre. On accède à ces continents par des entrées situées aux pôles. Ce monde est éclairé par un soleil interne qui fait office de cœur à la terre. Il y a également comme pour le monde de la surface d’importantes surfaces occupées par des océans, des lacs et des fleuves. D’autre part, il existe une longue tradition de récits de peuples aborigènes d’Amérique du Sud, du Nord, d’Asie ou d’Afrique qui évoquent également des mondes souterrains dont ils seraient originaires. Mais dans le cas de ces récits et mythes, on parle non pas de continents et de la terre creuse mais plutôt de gigantesques cavernes et d’un immense réseau de galeries reliant des pays et des continents entre eux, entre autre l’Amérique à l’Afrique et l’Europe via un continent disparu dans un grand déluge. Peut-on considérer que les récits sur la terre creuse d’une part et les mondes souterrains des cavernes et des galeries d’autre part se complètent et décrivent donc deux univers différents ?
Anton Parks : Oui, il s'agit bien de deux univers différents. J'ai effectué une interview sur le sujet en 2006 pour le magazine français "Top Secret" et nous avons aussi un gros dossier qui traite cette question sur mon site.
Le monde souterrain terrestre était, à l'époque, dans les mains des planificatrices Gina'abul Ama'argi et également de Sa'am-Enki. Le monde des cavernes était plutôt celui d'autres Gina'abul, comme par exemple, les royaux Kingú et par la suite celui des Anunna. Les tunnels relient généralement entre eux ces différents mondes, même si l'Abzu (la terre-creuse) était un lieu bien gardé où les Kingú et Anunna n'avaient pas le droit de vivre. J'utilise le passé pour vous répondre, car je n'ai à l'heure actuelle aucune idée de la répartition de ces différents mondes dans les temps présents. Les "Chroniques" (ce que j'ai reçu) s'achevant à l'aube du christianisme.
Les récits des multiples ethnies sises en Asie ou en Amérique du Sud et du Nord décrivent les résidants des cavernes de la même manière, ce qui est assez frappant : ce serait des hommes à la pigmentation blanche et aux cheveux blonds ou roux, disposant, aux yeux de ces ethnies, d’une technologie très avancée. Les Indiens d’Amérique du Nord les ont baptisés : les habitants du monde surnaturel. Selon votre propre perception, qui étaient les habitants des mondes souterrains mais aussi de la terre creuse ? Ont-ils un rapport avec les anges déchus ? Que sont-il devenus aujourd’hui ?
Anton Parks : Ce qu'ils sont devenus ? Aucune idée, pour les raisons que j'ai évoquées plus haut. Par contre, leur origine est claire dans mon esprit. Il s'agit éventuellement des Imdugud, mais j'en doute, car ils sont très solitaires et évitent les contacts. Les Imdugud sont le fruit d'une hybridation entre les royaux Gina'abul dénommés Kingú-Babbar (royaux albinos) et les planificateurs félidés Urmah. On les retrouve dans la littérature akkadienne sous le nom de Anzu. Les Imdugud (litt. "sang noble") sont symbolisés par un aigle à tête de lion en Mésopotamie. L'aigle est l'attribut des Kingú et le lion, l'emblème des Urmah. Cette association démontre distinctement la parenté des Imdugud. Ces derniers sont une sorte de sentinelle de Ti-ama-te (le système solaire), ils ont été initialement programmés pour jouer un rôle de conciliateurs entre les Gina'abul royaux et les Kadištu (planificateurs). Mais ils ont toujours été en retrait des travaux des planificateurs. Les Imdugud sont très solitaires, leur rôle s'est progressivement transformé au fil du temps et ils ont véritablement acquis une indépendance entre les deux partis et la possibilité de négocier avec eux selon leur convenance. Nous avons plusieurs fois discuté des Imdugud avec le scientifique Gerry Zeitlin. Il se pourrait qu'il s'agisse d'une race extra-terrestre qu'a étudié Gerry et qui est dénommée "Tall Whites" ("grands blancs") voir site Internet Gerry Zeitlin : […]
Ceux que vous évoquez plus haut sont, à mon sens, des Nungal d'Enki, c'est-à-dire, des Bené-Elohim (les fils des Elohim), les anges veilleurs (et déchus) de la Bible, ceux qui sont en discorde profonde avec les anges des Yahvé (les Anunna)… Les reptiliens Nungal possèdent, eux aussi, des gènes Kingú-Babbar (les royaux Gina'abul à la peau blanche), ce qui leur a apporté une peau claire comme leur ascendants génétiques royaux albinos. Les Nungal sont dénommés aussi Igigi en akkadien. Certains auteurs traduisent ce terme en "veilleurs", mais une traduction stricte du terme Í-GÌ-GÌ en sumérien nous donne "les 300 encadrés ou encerclés" ou encore "les 300 rejetés". La particule sumérienne GÌ (ou GI4) exprime également le fait d'effectuer des demi-tours, ce qui ammène à penser que ces 300 possèdent le rôle de veilleur de la planète Terre. J'explique dans Ádam Genisiš que les Nungal d'Enki ne furent que 300 à réchapper à la guerre qui projeta les Anunna qui se mirent en guerre contre les panificateurs, à l'instar des Anunnaki (au nombre de 600) qui s'établirent sur Terre. Les définitions exprimées ci-dessus prennent leur sens lorsque l'on sait quel rôle l'instance Ušumgal-Anunna attribua à ces Nungal avant qu'ils ne deviennent réellement libres et affranchis : l’autocrate Enlíl, le grand Šàtam, l'administrateur territorial de l'Edin (la plaine mésopotamienne) les a fait creuser le Tigre et l'Euphrate pour que ces deux fleuves déversent en eaux les cités souveraines des Anunnaki.
Image de synthèse réalisée par Gerry Zeitlin. Cette vue donne une idée du climat qui réganait sur Terre à l'époque de l'arrivée des guerriers Anunna, il y a près de 300 000 ans. Une couche nuagueuse recouvrait le ciel de part et d'autre de la planète, créant une atmosphère légèrement opaque et assombrie © Gerry Zeitlin 2007.
Le terme hébreu utilisé pour dénommer ces veilleurs est "Ir". Or, si vous suivez avec attention mes recherches et remarques depuis mon premier ouvrage, vous ne serez pas étonnés de constater que cette particule se retrouve en sumérien sous les formes ÍR ("lamentations") ; ÌR ("esclave", "serviteur") et IR10 ("guider", "apporter"). Une fois encore, nous retrouvons avec éclat des définitions qui contiennent parfaitement les attributs des Nungal d'Enki. les Nungal (Igigi) sont effectivement décrits comme serviteurs qui se lamentent sur leur sort lorsqu'ils sont employés comme ouvriers pour les Anunnaki. Ils sont ensuite, en effet, considéré comme des anges rebelles qui guident l'humanité, lorsqu'ils apporteront l'usage d'objets "civilisés" à l'humanité pour survivre et se protéger des "mauvais dieux"… On trouve trace de leurs "méfaits" dans "Le Livre d'Enoch" par exemple.
Comme cela est exprimé en fin d'ouvrage et le sera largement dans le volume 3, les Nungal de Sa'am-Enki ne seront pas tous solidaires entre eux. Certains vivront sur les cimes du second Kharsağ, toujours dans le Taurus, d'autres dans des cavernes ou encore en Abzu et le noyau dur auprès la sœur "jumelle" d'Enki, à savoir Ereškigal, au cœur du Gigal, la gigantesque base souterraine sous le plateau de Gizeh. J'ai réalisé un dossier important sur ce thème, dénommé "Enki au Pays des Morts", à la fin de Ádam Genisiš. Ce dossier démontre avec beaucoup de détails inédits que Enki n'est autre qu'Osiris et Ereškigal, Isis !
Comme vous le voyez, cela fait beaucoup de mondes souterrains différents et je comprends que l'on puisse s'y perdre quelque peu…
Justement, le plateau de Gizeh joue un rôle important dans votre livre : avant d’être ce que les archéologues dépeignent essentiellement comme un site funéraire, c’était le siège d’une base, d’une colonie gigantesque d’une race extraterrestre, les Urmah ainsi que l’endroit où deux fleuves s’écoulent dont l’un des deux est le double souterrain de l’autre. Pouvez-vous nous en dire plus ? Le sphinx et les pyramides remontent-ils à cette époque lointaine ou bien ce sont des monuments plus "tardifs" ? Quelles ont été, à votre avis, les fonctions de ces constructions incroyables dont on a pas encore pu percer les multiples mystères?
Anton Parks : On trouve une trace timide des Urmah dans l'imagerie mésopotamienne sous la forme de Urmahlûlû qui sont des génies protecteurs ou "hommes-lion". Les Urmah (litt. "grand guerrier" en sumérien) sont des êtres félidés faisant partie des Kadištu (planificateurs). Il s'agit de l'armée officielle des planificateurs. Les Urmah ont participé à la guerre contre les Anunna. Ils possédaient une base gigantesque sous le plateau de Gizeh, souterrains que les natifs du plateau dénomment Gigal. Ce terme est totalement inconnu, il ne s'agit pas d'égyptien, mais si nous avons l'idée de le décomposer en sumérien, GI7-GAL et GI6-GAL donnent respectivement "le grand et noble" et "le grand et sombre". Le Gigal est une forteresse et ses murs étaient des remparts imprenables. La grande majorité des chefs de villages, c'est-à-dire des initiés, qui résident sur le plateau de Gizeh savent pertinemment que le site est truffé de galeries qui forment un réseau souterrain absolument gigantesque ! Eux-mêmes connaissent d'ailleurs l'emplacement de certains tunnels au nez des autorités et du Conseil Supérieur des Antiquités Egyptiennes, qui, j'en suis convaincu, fouillent les lieux secrètement depuis des décennies.
L'origine du terme Gigal provient sans doute du terme sumérien Kigal qui désigne "la grande terre" ou "la grande place" que j'ai assimilé à l'ensemble des dimensions terrestres dès le premier tome. En Egypte, le sens du Kigal sumérien est détourné et spécifié uniquement au centre stratégique qui se trouve sous le plateau de Gizeh et qui donne accès au réseau souterrain que les anciens textes dénomment Duat. L'assimilation du Gigal égyptien au Kigal sumérien est d'autant plus évidente que l'équivalent akkadien de Kigal est Kigallu dont les sens sont : "base ; terre inculte ; sous-sol ; monde infernal". Les Sumériens et Akkadiens redoutaient ce territoire étranger au point de l'assimiler à leur notion du Kur inférieur. Le royaume des morts du "pays étranger" dénommé Kemet (l'Egypte) – décomposé en suméro-akkadien en KE-EM-ET ("la terre du présage de la tempête") – est bien le domaine nocturne où l'on enterrait les morts, où les morts recevaient un culte funéraire totalement inconnu et redouté à Kalam (Sumer).
Le sanctuaire antédiluvien des Urmah placé sous les pyramides de Gizeh fut réutilisé par les "dieux égyptiens" comme base souterraine et ensuite employé pour effectuer les rites funéraires des anciens pharaons en vue de restaurer le corps et l'âme des souverains d'Egypte, successeurs d'Osiris et d'Horus. Quant à la Grande pyramide, j'explique dans mon second ouvrage qu'elle n'a eu qu'un seul objectif : celui de transcender l'âme d'Osiris, de façon à ce qu'elle se retrouve dans le corps de son fils posthume Horus (Heru). C'est bien au cœur de la Grande pyramide qu'Isis donna naissance à Horus, personnification de l'Etoile du Matin.
Le rite de l'enterrement du roi défunt s'effectuait obligatoirement par la traversée du Nil du sud vers le nord. Dans l'antiquité, le parcours démarrait par l'antique nécropole des rois qui était Khentamentiu, l'ancienne Abydos, localité étroitement liée à Osiris. La traversée du fleuve sacré s'effectuait souvent à la rame à l'aller, en suivant le courant, du côté occidental du Nil. L'occident figurait la mort car c'est dans cette direction que se trouvait l'A'amenpteh détruite (l'Atlantide). Le sarcophage était accompagné de prêtres et de prêtresses ainsi que des pleureuses dont la mission était de reproduire les lamentations d’Isis et Nephtys. Le point culminant de la procession se situait entre Memphis et Gizeh.
Dans les anciens temps, la moitié du voyage du roi défunt s’effectuait sur l’Urenes, le Nil souterrain. Les prêtres initiés connaissaient très bien son accès. Après une lente traversée le long du Nil secret, le corps était convoyé jusqu’aux tunnels de Restau (ou Ro-setau), sous le plateau de Gizeh. Le corps du pharaon était ensuite déposé dans la Grande pyramide, dans le sarcophage de "la chambre du roi" afin de subir un rituel de résurrection semblable à celui qu'Osiris avait reçu initialement au même endroit.
Dans la Grande Pyramide s’effectuait le rite de l’élévation de l’âme des premiers pharaons. Ce rituel avait initialement pour objectif de transcender l’âme du roi défunt afin qu’elle puisse refaire le voyage stellaire d’Horus en tant que Neb-Heru et Neb-Benu. Le roi défunt devait à la fois retrouver le corps d’Osiris dans le ciel en passant par les stades de transformation en soleil nocturne et en soleil diurne. Au fil du temps, le fonctionnement initial de la grande Mer (pyramide) fut délaissé et elle fut utilisée comme plate-forme initiatique pour transcender des initiés triés au préalable…
Le voyage du roi défunt suivait une route précise, extrêmement coordonnée. Le chemin à suivre pour retrouver le corps d’Osiris dans le ciel était manifestement en relation avec les quatre conduits de la Grande Pyramide reliés à la chambre dite "du roi" (chambre d’Osiris) et celle de "la reine" (chambre où Isis donna naissance à Heru). Ces conduits semblent pointer vers certaines étoiles :
"Qu'il puisse traverser le firmament ! Qu'il puisse parcourir les Cieux ! Qu'il puisse voyager en paix sur les bonnes routes sur lesquelles voyagent les Bienheureux ! […] Dispose Sah (Orion) et Meshtiu (la Grande Ourse) en tant qu'étoiles du pays ! Eloigne-les du grand côté droit vers l'escalier du bassin du papyrus à l'endroit de naviguer vers le Sud, dans le lac des récompenses et dans le fleuve des offrandes, à l'endroit où se trouve Osiris ! […] C'est ledit Osiris N, efficace et justifié, qui a abordé avec lui à l'endroit où se trouve Osiris […]".
Textes des Sarcophages, 399 (G1T)
Orion et la Grande Ourse sont cités ici. C’est intéressant, car selon les calculs de Robert Bauval et Adrian Gilbert ("Le Mystère d'Orion"), le conduit sud de la chambre du roi (B sur notre schéma 42) fixerait l’étoile Zéta d’Orion. De même, le conduit nord de la chambre de la reine (C) pointerait vers Bêta de la Petite Ourse, mais si l’on prolonge le tracé, on se retrouve sur Dubhe de la Grande Ourse (Anduruna)… Ajoutons que les calculs de Bauval indiqueraient que le conduit sud de la chambre de la reine (A) fixerait Sirius et le conduit nord de la chambre du roi (D) pointerait sur Alpha du Dragon.
Je tiens à préciser aux lecteurs que l'ancien rituel funéraire égyptien appliqué aux premiers rois défunts (après Osiris) se transforma au fil du temps en des rites initiatiques et magiques qui avaient pour dessein de transcender l'âme des hauts dignitaires (initiés). Ces derniers faisaient souvent partie du clergé et accédaient au savoir suprême après avoir subit une mort initiatique au cœur de la Grande Pyramide, précisément dans le sarcophage d'Osiris placé dans la chambre dite du roi.
Comme vous le constez, les anciens Egyptiens étaient obstiné par le but de réunir l'hier et l'aujourd'hui. Il faut pouvoir se replacer dans le contexte de cette époque et des événements qui projetèrent les anciens "dieux" égyptiens dirigés par Enki-Osiris dans une cuisante défaite face à leurs ennemis qui ne sont autres que les "divinités" qui incarnent "le mal" et dirigées par Šeteš (Seth), c'est-à-dire Enlíl. Le volume 3 des "Chroniques" fera toute la lumière sur cette guerre que va devoir poursuivre Neb-Heru (le seigneur Horus) pour le compte du peuple dit "de la Lumière", les ancêtres des Egyptiens…
Il y aura d'autres volumes encore dans ces "Chroniques du Ğírkù". Un 4ème ouvrage retracera les tribulations d'Heru (Horus) à l'aube du christianisme. Un 5ème et dernier, traitera sans doute du temps présent…
Karmaone
© Karmapolis - mai 2007
© Novembre 2007 Anton Parks, pour les décompositions, traductions et interprétations suméro-akkadiennes
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Karmapolis #2.0
Lien : http://www.karmapolis.be/pipeline/anton_parks.htm
Extrait : Anton PARKS et le Secret des Etoiles Sombres
Anton Parks, auteur autodidacte de nationalité française, a écrit avec le «Secret des Etoiles Sombres» le premier tome d’une trilogie surprenante parce qu’ inclassable : récit épique, mythologique, saga mélangeant science-fiction et héroïc fantasy ou livre «historique» dans la mesure où il nous dévoile notre histoire la plus occulte et la plus mystérieuse ; que se passait-il sur terre avant la venue de l’homme ? Qu’est ce qui a précédé et provoqué l’avènement des civilisations humaines?
Que signifient en réalité les histoires quasi incompréhensibles et parfois contradictoires (un dieu ou plusieurs dieux) contenues dans la Bible et d’autres textes comme la Bible Slavonique, les manuscrits de la Mer Morte ou les évangiles de Nag Hammadi ?
Quelques auteurs comme René Boulay (Flying Serpents and Dragons, The Book Tree) ou Zecharia Sitchin (La 12ième planète, Louise Courteau Editrice) ont réussi à décrypter une petite partie des innombrables textes en écriture cunéiforme trouvés dans les ruines d’anciennes civilisations akkadiennes, sumériennes ou assyriennes et ont commencé à livrer à un grand public souvent incrédule des clés pour comprendre et visualiser ce passé lointain : il semble acquis que les «dieux» qui auraient jeté les bases de colonies civilisatrices sur terre, il y a de nombreux millénaires, étaient de type «reptilien». Boulay passe en revue dans son ouvrage tous les textes, chroniques historiques et «mythes» qui relatent que les premiers êtres à avoir amené sur terre les bases de la vie intelligente et de la civilisation étaient des dragons : non pas des sortes de dinosaures et autres sauriens mais des entités de type humanoïdes recouvertes d’écailles, possédant deux jambes, deux bras et parfois des ailes. On retrouve ces descriptions dans les chroniques chinoises, sumériennes, indiennes (Mahabharata) ou égyptiennes mais également sur des bas reliefs des civilisations d’Amérique centrale et du Sud. Souvent, ces entités sont décrites comme étant bénéfiques (surtout en Chine). Dans l’ancienne Sumer, il existe des « dieux » colonisateurs bienveillants et considérés comme protecteurs du genre humain comme Enki ou dictatoriaux et cruels comme Enlil. L’importance des dragons et autres reptiles s’est étendue jusqu’au Moyen-âge où les récits de chevaliers affrontant des dragons dans des grottes (surtout en Angleterre) ou de villageois bénéficiant des largesses et de la protection de cet être merveilleux (sud de la France) étaient considérés comme des histoires vraies.
Nombre d’archéologues et de spécialistes des textes sumériens sont restés pantois et perplexes face à la cohérence de la multitude de récits narrant la venue de ces dieux venus des tréfonds du cosmos dans leurs chariots de feu pour créer des colonies sur terre. Ils ont voulu y voir des métaphores et des paraboles symbolisant les luttes éternelles entre les pulsions destructrices et constructrices de l’homme face à la nature. D’autres comme Boulay et Sitchin ont décidé de ne pas interpréter ces textes mais de les prendre pour ce qu’ils sont : des narrations d’événements réels et fantastiques parce qu’incompréhensibles pour l’entendement de l’homme de cette époque face à la puissance d’un tel déploiement technologique.
Anton Parks poursuit les travaux de Sitchin et Boulay et les pousse bien plus loin. Il nous montre par exemple que cet arrière fond «reptilien» est encore plus vaste et plus prégnant puisque l’on trouve encore aujourd’hui dans de nombreuses ethnies de type animiste, surtout en Afrique (comme au Mali) de très claires allusions à la présence de ces êtres reptiliens. Sans vouloir dévoiler le contenu complet de cette trilogie dans l’interview, l’auteur, très proche des conceptions que les Gnostiques avaient du monde, nous explique comment et pourquoi des systèmes de pouvoirs et de croyance de type patriarcal et très hiérarchisés ont pris les rennes de notre civilisation. Et en fin de compte, les conflits meurtriers que nous avons toujours connus et qui semblent aller en s’intensifiant ainsi que l’avènement d’un Nouvel Ordre mondial (intronisé par le discours de George Bush «père» le 11 septembre 1991, soit 10 ans avant le 11 septembre) ne seraient que les conséquences de décisions prises il y a plusieurs milliers d’années.
Selon Parks, ces «dieux» reptiliens de l’antique Sumer ne seraient pas nos créateurs comme l’affirme Sitchin mais nos «re-créateurs». Ils ont fait main basse sur une partie la banque génétique du vivant, l’ont prise en otage pour la détourner et servir leurs propres ambitions : le pouvoir.
Comment Anton Parks a-t-il été mis en présence d'une telle qualité d'information si cohérente ? D’où lui vient cette vision si pénétrante de la langue sumérienne et des chroniques de cette ancienne civilisation, surgie de nulle part comme si elle avait fait un bond technologique inexplicable ? Rien que cette partie de la question mériterait tout un livre. Anton se montre circonspect sur cet aspect du livre mais il n'en fait par ailleurs aucun mystère : depuis l'âge de 14 ans, il a été traversé par des visions de mondes, de galaxies, de civilisations et d'êtres étranges. Après avoir douté de son équilibre mental, il s’est ensuite demandé s’il ne s’agissait pas de visions d’un improbable avenir. Ce n'est que bien plus tard, après avoir compulsé les premiers ouvrages relatifs à la civilisation sumérienne, qu’Anton constatera que ce qu’il voyait était relié au «réel» et à l’histoire. Tout prenait corps et signification!
Incroyable? Peut-être. Mais pour ceux que cet aspect quasi initiatique et prophétique laisse indifférent, pour ceux qui refusent de croire l’étonnante aventure intérieure qui a mené Anton Parks à nous livrer ce récit dense et détaillé, Le Secret des Etoiles Sombres reste une saga au souffle épique qui ravira les amateurs de mystères.
L'INTERVIEW D'ANTON PARKS
Karmaone : Racontez-nous votre parcours. Votre premier livre "Le Secret des Etoiles Sombres", aux Editions Nenki, propose de nombreux éléments inédits sur le thème de la civilisation sumérienne mais aussi des reptiliens Annunakis et autres peuples interdimensionnels. Vous décrivez dans le détail un univers très dense. D'où viennent ces connaissances aussi précises ?
Anton Parks : Aussi loin que je m'en souvienne, je pense avoir été un enfant plutôt tranquille, si ce n'est que j'ai toujours été sensible, ce qui m'a parfois posé des problèmes relationnels avec l'extérieur, surtout lorsque j'étais enfant. J'ai été élevé dans un milieu chrétien. Comme beaucoup, j'ai fait mon catéchisme et ma communion.
Tout a commencé en 1981, j'avais alors 14 ans. Au mois de mai de cette année, pour une raison totalement indéterminée, j'ai reçu mes premiers "flashs". Comment expliquer cela en des termes simples… ? Je dirai que cela s'est toujours manifesté de façon spontanée à n'importe quelle heure de la journée. Je n'ai jamais eu de contrôle sur ce phénomène. Je ne le considère donc pas comme du channeling, puisque, sauf erreur de ma part, un channel décide de recevoir, il détermine même le moment où il va se détendre pour entrer en contact. Ceci n'a jamais été le cas pour moi. Je conçois qu'il ne soit pas très évident de se fier aveuglément au channelling, j'ai moi-même du mal avec cette pratique, car il y a autant de gens extraordinaires que de charlatans avérés dans ce milieu. Il existe aussi des personnes sincères qui, parfois, interprètent mal ce qu'elles reçoivent.
Au tout début, les premiers "flashs" sont apparus timidement et au fil des semaines, les "visions" se sont formidablement réglées à mon insu. Au bout de 5 à 6 mois, le rythme s'était accéléré pour atteindre 1 à 3 manifestations par jour… Il y a néanmoins un élément important qu'il me faut préciser. La lumière semblait être l'élément déclencheur du processus. A chaque fois que le phénomène de flash se manifestait, il était toujours en relation avec la lumière ambiante où je me situais. C'est-à-dire que lorsqu'une "vision" apparaissait, celle-ci possédait le même spectre que la lumière du lieu où je me trouvais. Il y avait comme une connexion subtile que je ne m'explique pas totalement aujourd'hui. Ces flashs étaient en quelque sorte des jets de lumière qui venaient "d'en haut" et qui pénétraient le sommet de mon crâne, au niveau du 7ème chakra principal. Cette action me déconnectait instantanément de la réalité et m'envoyait un son et lumière d'une grande précision ; des scènes complètes m'apparaissaient, souvent avec les mêmes personnages autour de l'être dans lequel je me trouvais à chaque fois. Comme je l'ai dit, cela pouvait se produire n'importe quand, quelle que soit la densité lumineuse. Le phénomène s'est souvent manifesté alors que j'étais accompagné d'amis ou de collègues de travail. Le temps semblait s'arrêter autour de moi, j'avais la sensation de vivre des scènes de 2, 5 ou encore 10 minutes ! On ne m'a jamais fait aucune réflexion… ! J'en ai déduit que cela devait ressembler pour eux à une absence de quelques secondes tout au plus.
Karmaone : Comment avez-vous réagi à l'époque ?
Anton Parks : La première année fut très difficile. J'avais le sentiment de devenir fou. Les images que je recevais ressemblaient à de la pure science-fiction. Etait-ce moi qui m'envoyais tout cela ? D'où de telles connaissances pouvaient-elles provenir ? Je lisais très peu, et absolument pas de science-fiction. Les personnages parlaient un langage totalement inconnu que je saisissais sur l'instant, mais qui n'avait rien à voir avec la langue française… ce n'est que tardivement, à la fin des années 90, après bien des péripéties que j'ai finalement compris qu'il s'agissait du sumérien ou plutôt d'un langage dont est issu le sumérien…
Il m'a fallut plusieurs mois à l'époque avant de me décider à en parler à ma mère. Vous savez, à 14 ans, recevoir ce genre d'images peut créer des troubles profonds de la personnalité. Heureusement, et ce n'est sans doute pas un hasard, j'ai eu une très bonne écoute et un soutien extraordinaire du côté maternel… on arrive jamais par hasard dans une famille. Je me doute que ça n'arrangera pas tout le monde d'entendre cela, mais c'est une réalité. Je crois profondément à la réincarnation. Avant de descendre, et en fonction de ce qu'il nous reste à expérimenter, on remplit sa "boite" et on choisit les grandes lignes de son destin. Personne ne le fait à notre place, inutile de chercher des responsables cachés dans l'astral ! Nos guides peuvent parfois nous inciter à prendre une voie plus qu'une autre mais sauf exception, nous avons toujours le choix. Lorsque nous sommes "là-haut", entre deux vies, nos guides nous conseillent et n'hésitent pas à nous signaler si nous avons été trop "gourmand" dans nos décisions. Le problème, c'est qu'on est terriblement têtu et plein de dynamisme avant de redescendre… On se dit souvent, mais non pas de problèmes, ça passera : Il m'arrivera telle ou telle chose importante, je rencontrerai telle ou telle personne (parfois que l'on connaît déjà), bref tout est possible et dans l'absolu – à ce moment précis entre deux vies – on est en connexion avec notre moi profond. Le voile est en partie retiré, la vie et la mort terrestre ne font qu'un et ne génèrent aucune peur. Idyllique n'est-ce pas ? Pourtant, la descente et la vie sur Terre sont éprouvantes et on l'oublie souvent avant de redescendre…
En ce qui me concerne, j'ai l'impression d'être resté en contact avec quelque chose ou quelqu'un et c'est aussi cela qui m'a permis de tenir bon. Ceux qui ont eu la gentillesse de lire mon premier ouvrage auront sans doute remarqué la dureté de certains passages. La vie que je décris est assez impitoyable. Je ne sais pas si j'ai un lien direct avec cette histoire et si j'ai été le personnage de Sa'am dont je retrace la destinée. Toujours est-il qu'à chaque fois que j'ai reçu ces "flashs", je me trouvais à l'intérieur de son corps !
J'ai cette histoire à raconter. Il s'agit de la transcription d'une partie des annales qui proviennent du cristal dont Sa'am était le propriétaire. Ai-je été en contact direct avec le contenu du cristal ? Sa'am ayant été en rapport fréquent avec ce cristal (Gírkù) et la plus grande partie de ses chroniques y ayant été consignées par ses soins, que dois-je en conclure ? Je me suis posé beaucoup de questions à l'époque et ça a bien failli me rendre dingue. Mon côté égotiste serait tenté d'affirmer, «OUI ! J’ai été cette entité» et mon côté modéré dirait plus simplement que j'ai été en contact avec des entités qui possèdent le cristal, bien que ces deux probabilités ne soient pas incompatibles.
Bref, peu importe de savoir si j'ai été ou pas ce personnage aux mains palmées dont le premier nom était Sa'am. Tout ceci a suffisamment bouleversé ma vie pour en conclure que ce n'est pas un "hasard". Lorsqu'en 2001-2002 j'ai finalement décidé de mettre par écrit toute cette histoire, mes vies sociale et affective se sont littéralement désintégrées ! Je me suis retrouvé comme "accidenté" sur le bord de la route… J'ai une chance inouïe d'être soutenu par quelques membres de ma famille, des amis fidèles totalement extraordinaires, et aujourd'hui un éditeur qui croit fermement à ce projet. Mais vous savez, lorsque l'on s'engage dans cette voie, on est terriblement seul et je pense que c'est un passage obligé.
Je suis manifestement porteur d'un message. Je le fais à la fois pour les lecteurs qui le liront et bien sûr pour moi, car cela me libère d'un poids incommensurable. J'ai vraisemblablement choisi de recevoir ces informations et ensuite de les transmettre à qui voudra bien les entendre. Sans vouloir influencer qui que ce soit, j'ai la conviction au plus profond de mon être que toute cette histoire est véridique. J'ai ma conscience pour moi et je sais ce qu'il coûte de mystifier son prochain, car il n'y a pas pire juge que soit-même en-haut ! L'histoire rédigée dans cette série de trois volumes est la stricte transcription de ce que j'ai reçu pendant 10 longues années.
Karmaone : Pourquoi ne recevez-vous plus ces "flashs" aujourd'hui ? Que s'est-il passé?
Anton Parks : Tout simplement parce que ce phénomène prenait trop de place dans ma vie. J'ai vécu près de 18 ans avec une femme remarquable. Elle était assez cartésienne et j'ai dû jongler avec ces "flashs" et ma vie quotidienne. Une dizaine d'années après les premières manifestations, j'avais la sensation de ne pas pouvoir vivre une vie "normale" si je laissais ces flashs continuer à bouleverser mon existence. Il était temps pour moi de profiter enfin de la vie. Comme je l'ai dit, je ne maîtrisais pas ce phénomène, j'en étais même prisonnier. Il y a eu un ras-le-bol et je me suis forcé à ne plus rien recevoir, j'ai donc tout fait pour bloquer le processus. Mais le mécanisme était tellement ancré qu'il n'a pas disparu du jour au lendemain. Au fil des semaines et des mois, le phénomène s'est estompé, l'image devenait de moins en moins précise, par contre le son a eu plus de difficulté à s'éclipser. Cela ressemblait peu à peu aux distorsions d'une radio lorsque l'on essaye de la régler. Au bout de 4 à 5 mois, le phénomène avait totalement disparu, c'était en début 1991, en pleine Guerre du Golfe version 1!
Après cela, j'ai tenté de mener une vie ordinaire tout en digérant tranquillement toutes ces informations sans trop savoir quoi en faire. J'ai découvert petit à petit des ouvrages qui traitaient de sujets similaires. Cela m'a amené progressivement vers les tablettes sumériennes. Ça a été un véritable choc pour moi et les personnes qui m'entourent de découvrir ces documents et de constater qu'ils racontent pratiquement la même histoire que j'ai reçue. Je me suis donc intéressé au sumérien et c'est comme cela que j'ai découvert le code linguistique des "dieux". Sans ces "flashs", jamais je ne l'aurais décelé et décrypté aussi vite…
Karmaone : Avez-vous pu vérifier la qualité de vos informations sur la base des travaux de chercheurs ayant travaillé sur les nombreux textes sumériens ? Quels ont été les rapprochements les plus surprenants entre vos visions et les textes et analyses d’auteurs, comme Sitchin par exemple ? Avez-vous remarqué un auteur plus valable qu’un autre ?
Anton Parks : Oui et non. Bien entendu, dès que j'ai pu faire ce rapprochement entre ce que j'avais reçu et les tablettes sumériennes, j'ai essayé de me procurer le plus de documentation possible. J'ai examiné les travaux de traduction de Samuel Kramer, Jean Bottéro, Marie-Joseph Seux, Thorkild Jacobsen, René Labat ou encore André Caquot… J'ai tout de suite remarqué que les transcriptions étaient souvent différentes les unes des autres. Cependant, le sujet central restant le même, mes proches et moi n'avons pu que constater la surprenante similitude entre mes "flashs" et l'histoire fondamentale produite sur ces tablettes d'argiles vieilles pour certaines de plus de 5 à 6 000 ans ! D'un autre côté, j'ai tout fait pour ne pas me plonger trop profondément dans ces traductions afin de préserver intacte l'histoire telle que je l'avais reçue, car de très nombreux éléments inédits paraissent totalement absents des tablettes.
Parmi ce qui me semble le plus singulier au niveau des similitudes est qu’il existe de nombreux points communs comme celui du clonage qui est assez détaillé sur les tablettes et que des auteurs modernes comme Zacharia Sitchin, R. Boulay et David Icke ont bien remarqué. Mais, il y a surtout tout ce qui entoure le personnage central qui se nomme Sa'am dans le premier tome et qui portera d'autres noms sur la Terre. Mais je ne peux en parler pour l'instant sous peine de dévoiler par avance certains détails importants du deuxième ouvrage qui n'est pas encore édité à l'heure où je réponds à vos questions.
Karmaone : Vous travaillez énormément sur le langage, la décomposition des mots sumériens, pour y analyser les significations profondes et le lien avec certains mots de nos langues modernes. Vous êtes vous basés sur un travail d’intuition et de documentation ou bien certains éléments de cette langue sont «imprimés» en vous ?
Anton Parks : Comme je l'ai dit précédemment, lorsque j'ai reçu ces informations, j'ai bien perçu que le langage utilisé n'avait rien à voir avec le français, même si sur l'instant je le comprenais comme s'il s'agissait de ma langue natale. Cette histoire de codification du langage était très présente et est due à l'existence de castes chez les Gina'abul (lézard(s) en sumérien). J'ai cru pendant plusieurs années qu'il s'agissait de l'hébreu, mais mes quelques incursions "héroïques" dans cette langue ne m'ont absolument pas mis sur la voie d'une codification grâce à son syllabaire (NDR : un syllabaire est un ensemble de signes ou de symboles qui représentent des sons. Système d'écriture, voire un manuel de lecture, qui présente les mots d'une langue découpés en syllabes. Le découpage de « mots » en « syllabes » permet de travailler sur le sens en investiguant sur la combinaison de plusieurs termes qui combinés ensemble forment un mot et un concept plus ou moins complexe). Ce n'est que bien tardivement, vers la fin des années 90, que la piste Sumer s'est définitivement présentée à moi. J'étais au bout de tout. J'avais réussi à mettre un début et une fin à ces "archives" que j'avais reçues pendant toutes ces années dans le désordre, mais le langage mère me manquait et du coup certaine compréhensions aussi. Lorsque j'ai eu en main mon premier syllabaire sumérien, j'ai aussitôt décomposé certains termes bibliques et cela a fonctionné. Pour réussir la décomposition d'un mot, il faut connaître le contexte qui a conduit vers l'assemblage de tel ou tel terme.
Prenons par exemple, le vocable sumérien Gina'abul (lézard(s)). Une fois décomposé, cela donne GINA-AB-UL, soit "véritable(s) ancêtre(s) de la splendeur". Lorsque l'on connaît la vanité maladive des êtres dont je décris en partie l'histoire, on ne s'étonnera pas d'une telle appellation! Prenons un autre exemple simple : le nom « Adam » n'est absolument pas, comme on souhaite nous le faire croire, de l'hébreu en relation avec les termes "adama" (glèbe) ou encore adôm (rouge)… Je m'étonne encore aujourd'hui qu'aucun auteur n’ait relevé que ce terme existe en sumérien en tant que Á-DAM et veut dire : "bêtes, animaux, troupeaux" ou encore "prélèvement, établissement, installation ou colonisation" et sous forme verbale : "infliger" ! Si Á-DAM était utilisé pour désigner des personnes, cela donnerait : "les bêtes, les animaux, les prélevés, les établis, les installés ou encore les colonisés, les infligés"… L'idée d'un être esclave totalement soumis aux "dieux" est renforcé dans l'équivalence du terme Á-DAM en akkadien qui est Nammaššû et qui se traduit phonétiquement en sumérien en nam-maš-šû, soit littéralement : "la demi-portion à charge"… Je pense que l'on ne peut être plus précis !
Karmaone : Paul Von Ward, un auteur américain spécialisé dans l’étude des civilisations anciennes et qui travaille sur l’hypothèse de l’influence extraterrestre sur ces civilisations antiques, pense que les langues anciennes comme le sanscrit, l’akkadien et le sumérien sont les vestiges des langages que nous auraient enseignés ces visiteurs extraterrestres «colonisateurs». Ces langues seraient dotées d’un réel pouvoir : un pouvoir créateur, magique et évocateur. Toujours selon Von Ward, tout cela aurait été perdu. Qu’en pensez-vous ?
Anton Parks : Le véritable pouvoir que je peux identifier est avant tout un pouvoir de codification comme je l'explique de long en large dans mon premier ouvrage. Les syllabes sumériennes et akkadiennes permettent de décomposer les principaux mots de langages ancestraux, comme le chinois, l'hébreu, le grec ancien, le latin, les langues germaniques et amérindiennes, etc… Cela fera sans doute bondir tous les linguistes, mais je pense avoir été suffisamment précis dans le premier tome. D'ailleurs, mon éditeur et moi avons décidé de placer tous les numéros et accents des syllabes que je décompose de façon à ce que n'importe quel curieux puisse vérifier mon travail.
Je précise simplement à tous ceux qui n'auraient pas lu "Le Secret des Etoiles Sombres", que le syllabaire sumérien (l'Emenita = langage mâle) était uniquement utilisé par les mâles Gina'abul, alors que les femelles, créatrices de l'ensemble du syllabaire Gina'abul, jonglaient adroitement avec les particules sumériennes et celles que l'on retrouve dans l'akkadien. Cet ensemble formait en quelque sorte une version intégrale dénommée Emešà (le langage matrice). Bien entendu, tout ceci n'est pas inscrit sur les tablettes, les Gina'abul tenaient trop à leur code ! Quant à savoir pourquoi le langage (et le syllabaire) akkadien – qui est apparu totalement formé du jour au lendemain– semble à première vue ultérieur au sumérien, vous aurez cette réponse dans le volume 3 : "Rising Nebheru" (L'Eveil de Nebheru)…
Karmaone : Zecharia Sitchin a présenté les «Anunnakis» comme une seule race, un groupe monolithique composé de plusieurs clans d’une même famille qui s’opposent, Enki s’opposant à Enlil, etc.. Or, lorsqu’on lit votre livre, on s’aperçoit que l’histoire est bien plus complexe et que ces entités qui seraient venues sur terre, ou qui s’y seraient intéressée, représenteraient plusieurs races dissemblables dont certaines proviendraient même d’autres dimensions : il y a la race reptilienne, en général représentée par le terme Gina’abul, race comprenant les Sutum, les Amasutum, les Kingu, les Musgir, etc.
Pourriez-vous détailler ces clans, ces différentes races et nous expliquer brièvement si ces créatures ont des caractéristiques physiques différentes des nôtres et d’où elles viennent. Quel est le statut précis des Anunnakis ? Pourquoi les tablettes sumériennes évoquent particulièrement ces entités et d’où vient ce nom, les Annunakis.
Anton Parks : J'ai du respect pour Zecharia Sitchin, il est un précurseur en la matière. Grâce à lui, bon nombre de personnes se sont familiarisées avec l'univers mésopotamien. Son esprit de déduction et ses interprétations l'ont souvent mené à des conclusions très intéressantes. Cependant, lui comme les autres auteurs se sont-ils attachés à l'origine des Nungal (NDR : race de planificateurs reptiliens mâles) d'Enki (les Igigi en akkadien) ? Se sont-ils intéressés aux souches Kingú, Imdugud (Anzu) et Mušgir ? S'ils l'avaient fait un tant soit peu, ils auraient très vite compris qu'il s'agit d'éléments séparés appartenant à la même lignée que les Anunna, mais pour la plupart en conflit avec ces derniers. Les autres termes comme Amašutum, Mìmínu, etc… ne semblent pas présents sur les tablettes, cependant, je donne clairement leurs définitions dans mon livre.
Oui, toutes ces souches, appartenant aux Gina'abul, possèdent souvent un physique différent. Les Mušgir (litt. "reptile furieux"), par exemple, sont des dragons ailés. On les retrouve aussi sous le nom assyrien « Pazuzu ». Ils peuvent circuler sans aucun problème de la 1ère à la 3ème dimension. Les Mìmínu sont les extraterrestres dénommés "Gris". Ce terme se retrouve chez les Dogons du Mali et veut dire "fourmi". Quant aux Kingú, que l'on identifie à l'akkadien Quingu, ils sont comme la racine de ce nom l'indique la souche royale des Gina'abul. Décomposé en sumérien cela donne KIN-GÚ "ordonner la terre (ou les régions)". Les Kingú sont en guerre contre les créateurs des Anunna, les Ušumgal (litt. "Grands Dragons", terme repris plus tard par les Sumériens pour dénommer leurs dieux et leurs souverains). Les Kingú sont de 3 types différents, les blancs (les grands royaux), les rouges (les guerriers-nettoyeurs) et les verts (le peuple, lui aussi guerrier). Les tablettes akkadiennes présentent, du reste, un certain Quingu comme un complice de la reine Tiamat(a), elle-même en guerre contre les Anunna…
Ce sont les différentes guerres qui jalonnent le monde Gina'abul qui ont séparé toutes ces souches les unes des autres. C'est la guerre qui a entraîné les Anunna sur la Terre. C'est pour cette raison que ces exilés forcés seront nommés plus tard Anunnaki ("les Anunna de la Terre"). La plus grande majorité des tablettes sumériennes relatent les aventures des Anunna sur la planète bleue. C'est une sorte d'ode à rallonge aux guerriers Anunna. Il s'agit de chroniques plus ou moins détaillées qui relatent leur établissement et surtout leur mainmise sur l'humain qu'ils transformeront génétiquement en bétail pour leur plus grand plaisir, car les Anunnaki sont plutôt paresseux ! D'où le fait qu'ils soient considérés comme des "dieux" (ou carrément Dieu) aux yeux de l'humanité. Mais le vrai "Dieu" est ailleurs et ses "émissaires angéliques" ne sont pas loin…
Ceux qui s'intéressent aux "anges" et aux fréquences élevées ne doivent pas perdre de vue que dans l'univers, les opposés s'unissent toujours pour créer l'unité. Dans un monde de séparation comme le nôtre, ne jurer que par les anges est un peu comme se voiler la face et ne croire qu'aux sociétés secrètes et aux reptiliens revient à donner de la puissance à ces derniers…
Karmaone : Justement, dans votre livre vous évoquez l’existence d’une sorte de caste de « planificateurs », les Kadistus. Qui sont-ils? Représentent-ils une race particulière ou plutôt une communauté de races extraterrestres d’origines différentes ? En quoi sont-ils proches de la source originelle ? Quel est leur rôle ? A cet égard, lorsque vous parlez de «source originelle», parlez-vous de la source ultime et originelle de toutes les dimensions, de tous les univers ?
Anton Parks : Les Kadištu sont les émissaires de la Source Originelle ("Dieu") dont nous sommes tous issus. On retrouve ce terme sous la forme akkadienne « Qadištu » qui évoque une prêtresse de haut rang dont l'équivalence sumérienne est NU-GIG "la non malade" mais aussi "l'image du mal"… Aux yeux des mésopotamiens, la Qadištu était une prostitué sacrée. J'insiste suffisamment sur le rôle du sexe et sa relation avec le divin dans le premier ouvrage, je ne reviendrai donc pas dessus. Il me faut, par contre, rappeler que chez les Gina'abul, les femelles (les prêtresses Amašutum) sont des émissaires de la Source et font partie des Kadištu. Il n'est donc pas étonnant de retrouver ces prêtresses avec des définitions comme "l'image du mal" (à l'instar d'Eve qui représente le péché de chair parce qu'elle fut initiée au principe "du bien et du mal") et en tant que "non malade" du fait qu'elles connaissaient les vertus de la sexualité sacrée qui écarte la maladie… D'ailleurs, le terme akkadien Qadištu décomposé en Emešà (le langage matrice) donne KAD4-IŠ7-TU, litt. "ancien(s) assembleur(s) de vie". Ce vocable est par ailleurs à rapprocher du mot latin « caducéus » (caducée) (NDR : symbole de deux serpents entrelacés représentant l’art de guérir employé aujourd’hui par les médecins et les pharmaciens). Qu'il s'agisse des prêtresses élevées Qadištu des traditions akkadiennes ou des Kadištu (les planificateurs), tous possèdent le secret des chakras symbolisés par le caducée. Une bonne maîtrise de l'ensemble des chakras permet l'élévation de la conscience que ne souhaitent justement pas les Gina'abul mâles qui manipulent ce monde en coulisse depuis des millénaires !
La collectivité des Kadištu est assez présente dans l'histoire que je raconte car elle est en conflit avec une grande partie des Gina'abul. Il s'agit plutôt d'une communauté de différentes races extraterrestres. Son rôle est d'unifier les espèces de notre univers au nom de la Source de toute chose que l'on associe à Dieu sur la Terre. Il faut savoir que les Kadištu sont très puissants. Mais ils disposent d'un principe fondamental qui est celui de ne pas trop interférer dans les affaires des êtres à fréquences réduites qui sont en pleine évolution. L'humanité terrestre actuelle fait partie de ce type d'êtres à cause de la manipulation millénaire des Anunna. Malheureusement, pour ces derniers qui dirigent en secret les affaires des Hommes, l'être humain est en pleine mutation et va bientôt sauter de dimension… C'est un moment historique très attendu dans l'histoire de l'humanité. Les Kadištu nous surveillent plus que jamais et nous envoient des messages par l'intermédiaire de personnes qu'ils contactent directement (par abductions) ou de façon allusive, (par contacts télépathiques), bien qu'il faille parfois rester vigilant, car la plupart des personnes contactées de cette façon sont souvent de bonne foi, mais peuvent aussi faire de mauvaises interprétations de ce qu'elles ont reçues. Dans le cas des abductions, précisons que les "Gris" en pratiquent aussi, alors qu'ils sont habituellement au service des Gina'abul…
Les Kadištu sont en quelque sorte les Elohim de la Bible, c'est-à-dire les Anges de "Dieu" (de la Source Originelle). Ils vivent dans les dimensions supérieures et très peu d'entre eux peuvent se mouvoir dans la troisième dimension, ce qui ne facilite pas le contact direct et qui explique leur façon détournée de nous approcher. En sumérien l'ensemble des dimensions supérieures est dénommé Angal, c'est-à-dire "Grand Ciel", remarquez comme ce terme est proche du vocable anglophone Angel (ange) !
Karmaone : Vous parlez de l’existence de plusieurs dimensions, non pas nos 3 dimensions mais celles relatives à des univers qui seraient superposés au nôtre, comme une sorte de mille-feuilles. Pourriez-vous expliquer comment fonctionne cette représentation du monde, de quels niveaux proviendraient ces races reptiliennes et où nous situerions-nous par rapport à elles ?
Anton Parks : Oui, mais pour vous répondre, je vais reproduire ici une illustration qui sera dans "Adam Genisis". Elle détaille le KUR en y ajoutant toutefois ses deux dimensions médianes.
Il s'agit d'une schématisation du KIGAL ("la Grande Terre") qui est composé du KI (la 3ème dimension) et du KUR qui englobe les dimensions les plus basses. Le KI, correspond au type de dimension où l'humanité évolue sur Terre actuellement. Le KUR est invisible aux êtres évoluant en KI car il est clairement situé en dehors de la perception tridimensionnelle. Le KUR représente le noyau de tout un système tiré directement de l'idéologie secrète Gina'abul. La confirmation et le sens caché de ce terme sont apportés en décomposant le terme KUR en KU-ÙR, ce qui donne : "la fondation ceinturée" ou encore en KU-ÚR : "la base de la fondation".
Pour assimiler le KUR, commençons par le haut. Nous trouvons une dimension médiane qui est le KUR-GI-A ("le KUR de la source ferme"). La traduction stricte de ce terme nous dévoile qu'il s'agit d'une dimension transitoire où les âmes restent un moment avant de réintégrer la Source ("ferme") ou l'ANGAL (qui se trouve au-dessus du KI et du KUR).
Ensuite, apparaît le KUR-GAL (la 2ème dimension), c'est-à-dire "le Grand KUR", monde parallèle où certains Gina'abul établiront leur demeure sur la planète Terre.
Juste au-dessous, s'intercale une autre dimension médiane qui est le KUR-NU-GI4 ("le KUR du non retour"). La décomposition de ce mot nous révèle sans l'ombre d'un doute qu'il s'agit d'un étage fréquentiel où les âmes se sont perdues. C'est le lieu où se trouvent les entités restées bloquées et que l'on assimile aujourd'hui aux fantômes. Les Sumériens voyaient dans les KUR-GI-A et KUR-NU-GI deux représentations des enfers.
Finalement, apparaît le KUR-BALA (la 1ère dimension, la plus basse de toutes). Les Sumériens et les spécialistes des tablettes assimilent ce lieu à "l'au-delà", mais son sens exact est "le KUR du règne ou de la dynastie". Sur la Terre, la dimension KUR-BALA fit l'objet de nombreuses hostilités entre Gina'abul, car l'être qui détient le KUR-BALA devient obligatoirement le maître des deux autres dimensions, celles du KUR-GAL et du KI. Le maître du KUR-BALA est littéralement "l'œil qui voit tout, en haut de la pyramide… inversée", car il possède un regard direct sur le KUR-GAL et le KI ! Voilà pourquoi sur les tablettes, le KUR (ou KUR-BALA) est souvent traduit "en monde ennemi", lieu où le chaos semble régner perpétuellement. Les trois premières dimensions forment une sorte de pyramide à l'envers où la dimension KI symbolise la base et la dimension KUR-BALA forme le haut de la pyramide inversée. De cet endroit, toute personne a un regard grossissant (comme une loupe) sur les dimensions supérieures jusqu'au KI.
En ce qui concerne les dimensions supérieures (l'ANGAL), cela fonctionne un peu de la même façon, mais d'une manière inversée par le haut. Plus on monte, plus on possède un regard détaillé (global) sur l'ensemble de toutes les dimensions… De là provient l'idée que Dieu (la Source) sait tout et voit tout.
Karmaone : Vous vous servez de la langue sumérienne pour donner du sens à un tas d’événements, d’objets et de personnages qui, selon vous, seraient liés à l’histoire de la civilisation humaine. Etes-vous le seul à faire ces interprétations, avez-vous pu les vérifier dans les ouvrages d’autres auteurs et spécialistes de la langue sumérienne ?
Anton Parks : Je ne me sers pas de la langue sumérienne pour valider mes propos, mais je constate et vérifie minutieusement chaque terme traduisible en rapport avec l'histoire que je raconte. Désolé, si à chaque fois une traduction est possible. Elles sont innombrables. Dans le premier volume, le nombre de mots que je n'ai pas pu décomposer à l'aide du syllabaire suméro-akkadien se compte sur une seule main. Je n'invente rien. Le code est là et ne demandait qu'à être découvert ! Par ce fait, je suis, à ma connaissance, le premier à décomposer des termes plus ou moins anciens à l'aide du syllabaire suméro-akkadien. Je n'ai donc pas pu comparer ou même vérifier mes décompositions à partir du travail d'autres auteurs.
Karmaone : Dans votre livre, vous parlez de l’arbre de vie et par la même occasion, vous faîtes référence à l’arbre du Jardin d’Eden et au soi-disant serpent « tentateur ». Quel est le sens réel de cette étrange histoire qui est imagée de façon si énigmatique dans la Genèse ?
Anton Parks : Je ne vais pas pouvoir répondre pleinement à cette question, car elle sera clairement exprimée dans le deuxième ouvrage "Ádam Genisis". Cependant, je peux vous faire quelques révélations inédites sur le serpent et son collègue Satan que l'on confond souvent à tord tort !
Après mille et une péripéties, le Haut Conseil Anunna se voit dans l'obligation de fabriquer génétiquement un être humain afin qu'il accomplisse les besognes journalières à la place des "dieux". Ces humains ne sont pas directement désignés comme étant des Á-DAM (animaux), mais plutôt des Lùlù, c'est-à-dire des êtres "mélangés". Enki – fils d'An et de Mamítu-Nammu, qui dirige sous la contrainte les opérations pour la caste dominante, à savoir les Anunna – ne supporte pas de voir sa création génétique utilisée comme de vulgaires Á-DAM (animaux). Il va progressivement modifier le spécimen esclave pour le rendre autonome. Le premier spécimen spécialement conçu pour travailler était originellement androgyne, Enki va le "couper" en deux pour en faire un homme et une femme. Cette scène existe sur une tablette d'argile que voici :
Que voyons-nous ? Enki apparaît à gauche. Autour de lui des serpents (symbole de création et de fertilité) s'agitent en rythme. Nous pouvons en conclure sans l'ombre d'un doute que le serpent de la Bible n'est autre qu'Enki le généticien, autrement dit Nudímmud le cloneur. Du reste, on aperçoit à ses côtés une étoile avec une flèche qui pointe vers le bas. L'étoile symbolise le terme DINGIR (dieu(x)) et la flèche, "le dessous", "l'abysse", ce qui nous confirme que ce "dieu" est bien Enki, puisqu'il est la divinité de l'Abzu, le monde souterrain.
Au milieu "s'éveille" une femme qui semble surgir non pas d'une des côtes de l'Adam, mais plutôt d'une sorte de marmite que l'on peut aisément assimiler à une matrice artificielle. "Curieusement", cette marmite ressemble au signe archaïque sumérien qui correspond à la démone Lilû (Lilith) qui figure la maladie et le mal dont nous avons déjà parlé plus haut… De vieilles légendes rabbiniques ne racontent-elles pas que la première compagne d'Adam était Lilith ? A ses côtés, un homme tend à la femme une branche d'arbre dont les extrémités se finissent en vagins… Le symbolisme est clair ! Mais le plus croustillant se trouve à droite : nous distinguons un monarque totalement irrité qui brandit ses deux fourches. Chez les Sumériens, la fourche figure "un chef" en rapport avec la terre (le sol). Nous n'avons aucun mal à assimiler ce personnage à un Šàtam, c'est-à-dire un "administrateur territorial" ou "chef de contrée". Qui est le grand Šàtam chez les Anunna ? C'est Enlíl, l'adversaire d'Enki !
Le manuscrit slave d'Adam et Eve (Bibliothèque Nationale de Sofia, N°433) indique que Satan revendiqua à Adam la possession de la Terre : "Mienne est la terre, divins sont le Ciel et le Paradis. Si tu deviens un homme qui m'appartient, tu travailleras la terre…". D'autres passages bibliques comme Mathieu (4,8) ou Luc (4,6) évoquent la même chose. Ce qui est assez cocasse, c'est que dans la Bible, c'est plutôt "Dieu" qui surprend le Serpent "instruisant" Adam et Eve dans son jardin et non Satan !? Comme les Sumériens raffolaient de symbolisme, nous trouvons aux côtés du Šàtam un Gullum (un chat). Le chat a souvent été regardé comme un animal néfaste. Cette idéologie est renforcée chez les Sumériens, car si nous décomposons le terme Gullum, nous obtenons GUL (détruire, anéantir) et LUM (fertilité, abondance, porter un fruit), ce qui veut dire que le Šàtam (Enlíl) n'a qu'un seul objectif : "détruire la fertilité" de sa main-d'œuvre devenue trop abondante et libre à son goût ! Quoi de meilleur qu'un chat pour exprimer cette idée ! D'ailleurs cet épisode est confirmé à la fin des tablettes babyloniennes de Atrahasîs où l'on voit Enlíl commander à Enki de réduire les jours de l'humanité et de rendre certaines femmes infécondes…
Vous remarquerez également que les pieds et les mains d'Enki sont liés. Ce qui évoque le fait qu'Enki ne soit pas libre comme il le souhaiterait car il est bien sous les directives d'Enlíl.
Ne me demandez pas pourquoi aucun auteur n'a encore fait le rapprochement entre les termes sumériens Šàtam, Ádam et ses quasi homophones bibliques et surtout n'a eu la bonne idée d'observer que le "dieu" sumérien Enlíl détient distinctement le rôle de Šàtam ("administrateur territorial" ou "chef de contrée") sur les tablettes d'argile… je n'en ai pas la moindre idée ! Toujours est-il que la vérité est rétablie aujourd'hui… Le fumeux Enlíl qui symbolise le "Dieu" de la Bible (ou le chef des Anunna) n'est autre que Satan ! D'ailleurs, son nom EN-LÍL ("le seigneur du souffle" (de la parole)) peut également se traduire en sumérien en "le seigneur de l'infection"… ce n'est pas une coïncidence car Enlíl, chef suprême des Gina'abul terrestres après An, n'était pas du tout apprécié des Sumériens qui avaient gardé en mémoire le fait qu'il fut un monarque despotique et sanguinaire ! Ceci est conforme à l'idéologie gnostique qui compare le grand Archonte à Satan !
Le terme SATA existe en égyptien. Sa traduction stricte exprime "génie serpent" et "enfant (ou fils) de la terre" (à gauche). Lorsque l'on assemble certaines particules égyptiennes qui pourraient composer le terme Satan, on obtient à la fois "porter la terre" et "porter le mal". C'est intéressant, car on retrouve ici la forme verbale en seconde position comme chez les Gina'abul et Sumériens. De plus, l'imagerie qui ressort ici est conforme aux idéologies mésopotamiennes et chrétiennes qui présentent respectivement Šàtam et Satan de manières similaires… Pensez-vous vraiment qu'il s'agisse d'un hasard ? Dans "Ádam Genisiš", nous observerons combien le langage égyptien était aussi important que celui de Mésopotamie pour la formation de certains termes bibliques.
Karmaone : Vous évoquez sous le terme «Santana» ou «Sandan», une créature extraterrestre qui occuperait la fonction d’ingénieur agricole, d’horticulteur, une sorte de spécialiste des plantes. Cette dénomination a-t-elle également un rapport avec le terme «Satan» que la tradition désigne comme un ange rebelle ? A-t-il un rapport avec l’arbre de vie et l’arbre de la connaissance ?
Anton Parks : Vous avez tout à fait raison de préciser "également". Le terme "Satan" est effectivement un mélange du Šàtam ("administrateur territorial") et du Šandan ou Santana (chef de plantation, herboriste horticulteur) des traditions sumériennes. Mais il y a un détail important qui sépare le Šàtam et le Šandan, c'est que ce dernier est sous les ordres du Šàtam. Le Šàtam possède les pleins pouvoirs, il gère des contrées entières, voire un pays. C'est bien le cas d'Enlíl qui règne sur la totalité du pays de Kalam (Sumer). Ainsi, il administre ses territoires par l'intermédiaire des Šandan (Santana) sans lesquels il ne pourrait rien du tout. Car dans l'univers des Anunna (la caste dominante), une seule chose ne comptait à leurs yeux : la survie grâce aux plantations agricoles ! Or, chez les Gina'abul, les Šandan (Santana) sont exclusivement des femelles. Bien avant les Sumériens, les Šandan (Santana) étaient uniquement des femmes qui travaillaient dans la vaste plaine mésopotamienne dénommée Edin ou Eden… Dans "Le Secret des Etoiles Sombres" j'ai suffisamment détaillé l'association étroite que l'on retrouve dans le monde entier entre la femme et les arbres du jardin d'Eden. Je réponds donc à votre dernière question.
Karmaone : Les civilisations reptiliennes que vous décrivez semblent très étranges : elles seraient fondées sur une ségrégation, une séparation. Ségrégation entre sexes : race féminine, masculine, asexué, robot (représenté par les Gris). Est-ce le résultat d’une décadence où la technologie et le génie génétique auraient joué un rôle prépondérant ? Ces «castes» et races auraient-elles la même origine ?
Anton Parks : C'est une fois de plus la guerre qui est à mettre en cause. Ce sont les Anunna qui ont amené la guerre sur Terre. A l'origine, il n'y avait aucune ségrégation entre les deux sexes chez les Gina'abul. Lorsque les mâles, les fameux Ušumgal et Mušgir, ont découvert la puissance sexuelle féminine et qu'ils ont compris que s'ils s'en rendaient maître, cela leur donnerait plus de puissance. Une partie d'entre eux voulut emprisonner les femelles Gina'abul pour leur faire subir des abominations. Les prêtresses se sont confinées sur elles-mêmes, multipliant les secrets et les rites hermétiques pour se protéger des mâles. C'est d'ailleurs à cette époque qu'elles créèrent les particules linguistiques supplémentaires qui forment l'Emešà (langage matrice) qu'aucun mâle n'est censé pratiquer. Elles purent de cette façon communiquer entre elles en toute confiance.
Les Gina'abul ancestraux possèdent la même origine, mais ce sont les nombreux conflits qui ponctuent leur histoire qui explique que seulement quelques-uns d'entre eux soient restés en Ušu (la constellation du Dragon), le berceau originel de la race. Les Gina'abul se sont répandus dans notre univers pour cette raison. On retrouve par exemple les Ušumgal et la majorité des Amašutum en Nalulkára (la Grande Ourse), les Kingú en Te (la constellation de l'Aigle), les Mušgir et les Mìmínu (les "Gris") en Urbar'ra (la Lyre), quelques Amašutum en Mulmul (les Pléiades) où furent d'ailleurs créés les Anunna, etc..
Karmaone : Vous décrivez une vraie guerre entre le féminin et le masculin, entre reptiliens et reptiliennes. Les mâles sont froids, avides de pouvoir et tournés vers la technologie tandis que les femelles semblent plus équilibrées, capables d’empathie et de compassion. Est-ce une volonté des planificateurs ou des reptiliens mâles de poursuivre le développement de cette société très spécialisée ou bien est-ce le résultat d’une décadence qui leur échappe ?
Anton Parks : Bien sûr, il ne faut pas généraliser, toutefois nous pouvons relever que ce ne sont pas les femmes qui provoquent les guerres sur Terre! Je vais retourner la question. L'histoire et surtout les événements mondiaux actuels ne nous montrent-ils pas que les hommes qui possèdent le pouvoir sont très souvent froids, avides de puissance, tournés vers la technologie alors que les femmes paraissent, d'une façon générale, plus mesurées ?
Comme je l'ai précisé précédemment, les femelles Gina'abul (les Amašutum) se sont protégées des mâles en se mettant à l'écart de ces derniers. Cela a créé des tensions qui se sont ensuite transformées en conflits sanglants. Le sexe ayant été banni pendant longtemps, les Gina'abul s'employèrent à procréer à l'aide de la génétique, ce qui donna toutes sortes de spécimens et d'hybrides auxquels appartiennent par exemple les Mìmínu (les "Gris") qui ne sont que des esclaves au service des mâles Gina'abul… Ce fut donc en se déconnectant mutuellement que les reptiliens femelles et certains mâles se spécialisèrent dans le clonage. On peut effectivement voir cela comme une décadence inéluctable.
Un peu plus tard, les Amašutum se joignirent aux Kadištu (planificateurs) de notre univers. Elles ont toujours été plus sages que leurs frères masculins et sans doute était-ce pour elles la meilleure façon de racheter leurs erreurs passées. C'est d'ailleurs après tous ces événements que les chroniques que je rapporte se situent précisément. Je pense que Barbara Marciniak a été contactée par des Amašutum de Mulmul (les Pléiades). J'ai parcouru ses trois premiers ouvrages et je dois dire que les messages qu'elle semble avoir reçus sont complémentaires à l'histoire que je relate. Nos sources semblent communes. A la différence que Marciniak se concentre en grande partie sur les événements à venir alors que je décris des épisodes anciens… mais, semble t-il, toujours d'actualité.
Karmaone : Les anciennes religions et nombre de cultes shamaniques vénèrent la nature et à véhiculent la notion de «féminin sacré». Les gnostiques (textes de Nag Hammadi) et la religion des Mystères vouent également un culte au féminin sacré et à Sophia (ou sagesse), l’entité source de toute chose dans notre monde. Or, aujourd’hui, nos religions monothéistes (les religions du livre, cad le christianisme, le judaïsme et l'islam) sont paternalistes, révèrent un dieu masculin (YHVH, Yahveh, Jéhovah), dominateur et sévère. Ce sont également des cultes messianiques et rédempteurs. En ce qui concerne le christianisme, il semblerait que "l’amour du prochain" et le culte de la vierge soient des ajouts tardifs provenant finalement de traditions païennes plus anciennes. Les textes et les auteurs gnostiques dénoncent ces religion patriarcales conquérantes et guerrières qui se seraient comme une sorte de virus inoculé par des extraterrestres, les Archontes. Est-il raisonnable de penser qu'en réalité les gnostiques parlaient de reptiliens mâles lorsqu'ils décrivaient les Archontes?
Anton Parks : Oui, c'est tout à fait mon avis ! Malheureusement, je ne vais rien vous apprendre en vous rappelant que tout a été fait pour cacher la vérité sur l'origine et l'apparence des "dieux" qui ont transformé le code génétique de l'humanité en vue d'aliéner leurs esclaves qu'ils assimilent à des Á-DAM (animaux).
Je ne vais pas pouvoir résister de vous placer deux traductions différentes d'un même passage tiré des Manuscrits de la Mer Morte. L'extrait en question provient du rouleau 4Q544, où l'on découvre deux personnages bien singuliers qui apparaissent à Amram, le père de Moïse. J'ai volontairement laissé les […] qui correspondent à des passages abîmés et reconstitués. La falsification est éloquente, à vous d'en juger :
Traduction tirée du livre de Eisenman Robert et Michael Wise, The Dead Sea Scrolls Uncovered, Element Books, Shaftesbury, Dorset, 1992 :
"[Je vis des veilleurs] dans ma vision, une vision en rêve. Deux (hommes) se battaient à mon sujet en disant… et menant grand combat à mon sujet. Je leur demandai : "Qui êtes-vous, qui avez le po[uvoir sur moi ?". Ils me répondirent : " Nous] [avons reçu] pouvoir et gouvernons toute l'humanité". Ils me dirent : "Lequel de nous [choisis-] tu [pour (te) gouverner?". Je levai les yeux et regardai]. [L'un] d'eux était terrfiant d'aspect, [comme un s]erpent, [son] m[antea]u multicolore mais très sombre… [Et je regardai encore] et… dans son aspect, son visage comme une vipère, et [portant…]… et je vis l'autre qui était plaisant d'aspect…".
Traduction d'Edward Cook tirée du livre de Michael Wise, Martin Abegg et Edward Cook, Les Manuscrits de la Mer Morte, éditions Plon, 2001 :
"dans ma vision, la vision du rêve, et il y avait deux figures qui se disputaient à mon sujet, disant […] et s'affrontaient violemment à mon sujet. Alors je leur demandai : "Comment se fait-il que [vous ayez autorité sur moi ?". Ils répondirent : "Nous] sommes les maîtres de toute l'humanité et nous avons pouvoir sur elle". Et ils me dirent : "Lequel d'entre nous […"]. [Je levai les yeux et vis] l'un d'eux, dont l'aspect [était terrible]m[ent effray]ant ; [son habit était] multicolore et très sombre […et je vis l'autre qui était plaisant d'aspect…".
Comme vous l'avez remarqué, la traduction de 2001 a totalement éclipsé les deux passages de la version de 1992 où sont pourtant bien mentionnés l'aspect reptilien du premier "ange". Les cassures ne peuvent être mises en cause étant donné que dans la version de 1992, seul le [s] du terme "serpent" à du être reconstitué et que le mot "vipère" est totalement lisible… S'il ne s'agit pas là d'un remaniement prémédité, de quoi s'agit-il ?!
Karmaone : Toujours selon Paul Von Ward, le système de pouvoir que nous subissons aujourd’hui est la conséquence du système imposé par les Anunnakis et les Sumériens : un système patriarcal, hiérarchisé et centralisé avec des monarchies héréditaires de droit divin. Qu’en pensez-vous ?
Anton Parks : Je ne peux malheureusement que confirmer. C'est d'ailleurs même inscrit sur les tablettes sumériennes. La royauté s'est transmise de "divinité" à humain par « intronisation pompeuse ». Il y avait cependant deux types d'intronisation. Celle du sang, que nous connaissons tous et qui se transmet de père en fils, donc par hérédité. Mais il y a la deuxième, plus hermétique, exprimée sur les papyrus égyptiens et les tablettes mésopotamiennes. Les "Vaches Célestes" (les déesses de l'antiquité) choisissaient un amant à qui elles transmettaient leur divinité et pouvoirs divins en ayant des rapports sexuels avec eux. L'amant était invité à partager dans le lit nuptial sacré l’énergie vitale de la déesse (ou l'une de ses suivantes considérée comme une prostituée sacrée) en vue d'obtenir l'immortalité et de devenir "le Taureau du Ciel". A l'issu du rituel, l'homme était à la fois métamorphosé en époux de la déesse et investi de la fonction royale. Ces rites se pratiquaient aussi bien à Sumer, en Egypte qu'en Grèce classique.
Relevons que Romulus et Remus (les futurs fondateurs de Rome) furent recueillis par une louve qui les allaita et les sauva d'une mort certaine. Le symbolisme de cette histoire crève les yeux : le terme latin Luma (louve) veut également dire "prostituée". Dans l'antiquité, les prêtresses étaient assimilées à des prostituées parce qu'elles transmettaient la vigueur sacrée et la royauté de la Déesse-Mère aux futurs rois et princes. La louve est en fait une prêtresse humaine qui soutient le culte de la Déesse-Mère et qui transmet ici sa puissance, non pas par le sexe, mais par son sein. Romulus et Remus n'ont pas été allaités par une louve mais bien par une femme au service de la religion de la Grande Déesse !
Nous trouvons donc deux types d'intronisation qui reflètent des idéologies différentes. La première est purement patriarcale, car c'est le père (le roi) qui est considéré comme possédant le pouvoir héréditaire, alors que pour la seconde qui est matriarcale, c'est la "reine" qui transmet ses facultés. Nous avons vu qu'il existe chez les Gina'abul une guerre entre le masculin et le féminin. Cette opposition est clairement manifestée ici et elle n'est pas sans évoquer l'initiation clandestine d'Adam et Eve. Ces derniers furent instruits par Enki, qui soutenait le culte de la Déesse-Mère de par sa génitrice Nammu. Le fossé qui sépare Enki (le serpent généticien et "guérisseur") et Enlíl, le Šàtam ("l'administrateur territorial") de l'Edin, est bien là lorsque l'on sait qu'Enlíl appuyait la doctrine patriarcale des "dieux" déchus sur la Terre.
Credo Mutwa, grand chaman Zoulou, nous dit que chez les Hutu et Tutsi du Rwanda, les dieux sont dénommés "Imanujela" dont le sens est "reptiles" et dont la traduction donne "les Seigneurs qui sont venus". Ce terme est traduisible en Emešà (le langage matrice suméro-akkadien). Sachant que le "o" et le "j" n'existent pas dans la langue des "dieux", le terme rwandais IMANUJELA (reptiles) va donner : IM (vent, tempête, nuages) AN (le ciel) ÚH (venin, poison) EL (ou ÍL) (transporter, élevé, être haut) Á (force, pouvoir, gages), soit IM-AN-ÚH-EL-Á, littéralement "ceux des nuages du ciel et au venin qui transportent le pouvoir".
Karmaone : Selon le Nag Hammadi, notre monde est le fruit d’une erreur d'un processus de création généré par une entité, Sophia (ou Sagesse) que vous évoquez dans le chapitre 7. Sophia a-t-elle un nom, une équivalence dans la mémoire des Gina’abul ?
Anton Parks : Dans la cosmologie gnostique, Sophia est un Eon, une divinité cosmique, donc extraterrestre, qui fait partie d'un ensemble organisé de divinités que l'on nomme les divinités du Plérôme. Nous pouvons identifier sans mal ces divinités galactiques qui travaillent dans la lumière aux Kadištu (planificateurs). Ces mêmes Kadištu que l'on devrait aussi assimiler aux Elohim de la Bible. Elohim est le terme hébreu utilisé dans l'antiquité pour désigner les premières divinités créatrices de la Terre et de l'être humain originel de la Genèse (Gen. 1,26) – Adam (l'animal-esclave) n'apparaissant que lors de la deuxième création (Gen. 2,7) par la volonté de Yahvé qui est un mélange des "dieux" masculins sumériens An, Enlíl et Enki.
Elohim est un terme féminin-pluriel qui veut dire "divinités" et, pourtant, il est encore traduit de nos jours en "Dieu"… Sa décomposition en suméro-akkadien donne : EL (ou ÍL : élevé, être haut), Ú (puissant, fort), HI (mélanger, mêler), IM (argile, boue), soit : EL-Ú-HI-IM (le deuxième "i" a disparu en hébreu). Le véritable sens caché d'Elohim (EL-Ú-HI-IM) est donc : "les puissants élevés qui ont mélangé l'argile (ou l’argileux = l’Homme !).
Qui parmi les Kadištu (EL-Ú-HI-IM) était en relation étroite avec l'ordre patriarcal dénommé Yahvé (An, Enlíl et Enki) ? Il y a deux entités principales qui sont Tiamata et sa fille Nammu, c'est-à-dire respectivement Sophia et sa fille Zoé chez les Gnostiques. Zoé que l'on peut décomposer en ZU-È ("qui est sortie de la Sagesse") en sumérien !
Karmaone : D’où viennent les âmes qui s’incarnent dans les corps des Gina-abul ? Selon vos descriptions, la technologie de ces reptiliens permet non seulement de contrôler la forme et l’apparence physique de ces êtres lorsqu’ils sont conçus mais également de contrôler l’âme qui va s’y incarner, de la programmer ?
Anton Parks : Oui, nous pouvons dire que les Gina'abul sont, sur ce point, largement en "avance" sur l'humain, bien que je doute qu’il s’agisse d’un progrès que de savoir programmer l’humanoïde via la génétique… Les Gina’abul possèdent depuis de nombreux millénaires la connaissance du clonage. On trouve trace de ce savoir sur les représentations en argile de Mésopotamie, les codex mayas ou encore certaines figures égyptiennes comme ici dans la tombe de Thutmosis 3 dans la Vallée des Rois. Difficile de ne pas voir une prêtresse face à trois matrices artificielles (ou SI-EN-SI-ŠÁR "qui assemble en ordre les nombreux dignitaires" en sumérien). Nous constatons d’ailleurs sur chaque partie supérieure des matrices un ovule fécondé par un spermatozoïde et à l’intérieur des matrices des corps en formation…
Les Gina’abul savent programmer les gènes d’un individu pour lui donner tel ou tel caractère ou physionomie. Ils peuvent déterminer à l’avance et même répertorier comme sur un ordinateur l'ensemble des connaissances du spécimen fabriqué. Pour cela, ils utilisent des cristaux et notamment différents types de quartz. Mais je ne peux en dire plus car je suis contre ces procédés qui me semblent aujourd'hui totalement immoraux. L'histoire que je raconte est saturée de ces manipulations génétiques et je sais bien où elles ont mené les Gina'abul et surtout l'espèce humaine.
Pour répondre à votre première question, les Gina'abul sont des êtres incarnés tout comme l'humain. Certains humains peuvent très bien s'incarner parmi eux et inversement. Il n'y a aucune règle particulière si ce n'est l'évolution des espèces à travers les lois karmiques que la plupart des Gina'abul mâles ne semblent pas encore avoir assimilées.
Karmaone : Dans le même ordre d’idée, d’où viennent les âmes humaines qui se sont incarnées sur terre à l’époque de la colonisation Anunnaki et pourquoi ces extraterrestres nous auraient-ils créés ?
Anton Parks : Uraš (la Terre) est un lieu de dualité où les notions du "bien" et du "mal" sont expérimentées avec véhémence. Il n'y a aucun jugement à porter à cela. Avant que les Gina'abul et Anunna ne prennent totalement la Terre en main, Uraš était un "zoo" où les Kadištu (planificateurs) avaient placé l'ensemble de leurs connaissances, ce qui explique qu'il s'y trouve une telle diversité. La fréquence du KI (3ème dimension) était beaucoup plus élevée avant toutes ces guerres reptiliennes.
Comme le dit si bien Marciniak, la Terre est une bibliothèque vivante. Notre système solaire est au carrefour de routes importantes qu'empruntent les planificateurs depuis la nuit des temps. Avec l'arrivée des Gina'abul, cet endroit est devenu une zone de libre arbitre. Beaucoup considèrent que c'est une chance de pouvoir s'incarner sur Terre aujourd'hui parce que l'instruction y est intensive et tout à fait inhabituelle. Ce qui peut s'apprendre sur plusieurs millénaires terrestres ailleurs dans notre galaxie peut prendre deux ou trois vies ici, sur la Terre ! Or, la situation va changer et le règne des Gina'abul va s'achever prochainement… Ceci fait partie de l'ordre des choses et les âmes qui s'incarnent sur la Terre depuis plusieurs millénaires et qui n'ont pas fini leur enseignement le savent très bien. Ceci explique, je pense, le fait que de plus en plus d'âmes s'incarnent sur la Terre. Elles veulent profiter de cette situation jusqu'au bout !
Comme vous l'avez compris, les Gina'abul permettent par leurs actions passées et présentes (finement dissimulées) cet ordre des choses… Les Gina'abul ont tronqué le code génétique des êtres humains pour transformer ces derniers en Á-DAM (animaux) à leur service. Cette situation est toujours d'actualité aujourd'hui, surtout lorsque l'on distingue avec détachement les comportements anormaux et souvent inhumains des dirigeants de ce monde au service des fossoyeurs galactiques que les Kadištu (planificateurs) nomment Gílimanna (Bestiaire Céleste).
Désolé de me répéter, mais les âmes qui s'incarnent sur Terre savent où elles mettent les pieds ! Le fait que la plupart des Gina'abul soient devenus des hors-la-loi galactiques et qu'ils soient en conflit avec la communauté planificatrice de notre univers n'est pas incompatible avec le travail karmique exécuté ici bas. Tout n'est qu'une histoire d'appréciation. L'âme qui aura éprouvé la négation sous toutes ses formes sur la Terre se fera "justice" elle-même lorsqu'elle se retrouvera là-haut. Elle finira par expérimenter l'allégation universelle en se mettant au service de son prochain et ensuite de la Source ("Dieu") dont elle est issue et vers laquelle elle revi
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Karmapolis #2.0@panthère58
Extrait : Anton PARKS et le Secret des Etoiles Sombres
Anton Parks, auteur autodidacte de nationalité française, a écrit avec le «Secret des Etoiles Sombres» le premier tome d’une trilogie surprenante parce qu’ inclassable : récit épique, mythologique, saga mélangeant science-fiction et héroïc fantasy ou livre «historique» dans la mesure où il nous dévoile notre histoire la plus occulte et la plus mystérieuse ; que se passait-il sur terre avant la venue de l’homme ? Qu’est ce qui a précédé et provoqué l’avènement des civilisations humaines?
Que signifient en réalité les histoires quasi incompréhensibles et parfois contradictoires (un dieu ou plusieurs dieux) contenues dans la Bible et d’autres textes comme la Bible Slavonique, les manuscrits de la Mer Morte ou les évangiles de Nag Hammadi ?
Salut panthère58 Merci panthère58 pour ces textes d'Anton Parks qui résonnent en moi dans mon esprit. Le Savoir Réel traverse le Mensonge Cosmique et descend dans certains cerveaux humains qui sont et seront prêts a survivre aux événements tragiques et trompeurs en préparation envers l'humanité des multiples nations de la terre ( 195 pays ) .
Les hommes nouveaux ne sont et ne seront pas dupes des formes et des mots falsifiés , des croyances qui ont hypnotisés l'humanité depuis des millénaires.
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''les con-(sciences)-sonnes-voyelles (quantiques) vibrantes (verbe-Source) générées par le mouvement de l’énergie-sombre ( 73% ) issues de la matière-noire ( 22% )créent les bigs-bangs de lumières-univers ( 5% )'' et les mondes spiralés et circulaires.
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Karmapolis #2.0@panthère58
Le mensonge ici, est justement de croire qu'il en existe un ! Car juste le fait d'y croire vous enlève tout sentiment de responsabilité sur l'ici et maintenant de votre existence terrestre !
Ce monde ira là ou la communauté humaine l'aura voulut et désirer réellement, oui une sorte d'éveil, mais un éveil responsable sur la conduite du monde, et non le fait de s'en écarter pour le laisser a des ombres idéologique obscure !
Soit vous êtres responsable de ceci, ou soit vous vous désengager de ceci ! Et ceci est la conduite future de ce monde, de sa destiné, alors voulez-vous vraiment êtres responsable de ceci en y participant, ou voulez-vous plutôt vous déresponsabilisé de tout ceci en rêvassant à ce que pourrait bien être l'au-delà dans une pléthore de représentation symbolique et fantasmagorique ! Car l'action de la conduite de la destiné de ce monde se joue ici et maintenant, et dans et à travers cette dimension terrestre, pas ailleurs !
C'est l'appréhension de se sens spirituelle de la conduite du monde qui le sauvera, pas vos idées obscures, mais belle et bien vos actions pour en identifier fraternellement et charitablement les abus et les contre sens de la conduite humaine face a sa destiné planétaire ! Le symbolisme est tout simplement enfouis là !
L'exemple des Dieux !
Prenez l'exemple de la multitude de représentation de Dieux à travers religions, mythe et philosophie. Un seul Dieux Universelle objectivement, mais qui est subjectivement représenter différemment, et delà découle la haine, la guerre et la violence extrême !
Dieux se ferait-il la guerre à lui-même, serait-il haineux de lui-même !
Dieux détesterait sa propre création au point de vouloir la détruire, de détruire une t'elle catégorie au lieu d'une autre. Qui en serait juge, qui lui en donnerait autorité ! Dieu se ferait-il la guerre à lui-même ?
Voilà d'ou viens tout cette folie, de l'esprit de l'homme et nul part d’ailleurs ! Le désir belliqueux, cupide et orgueilleux de l'homme aux instincts animalisé mal maîtriser, est suffisant à lui-même pour expliquer cette nature pervers transposé sur des schémas de pouvoir de dominance pour expliquer la conduite et la perte de sens de l'orientation du monde qui frôle à présent des collisions de valeurs et de sens !
Nul besoin d'ombres obscure pour expliquer tout ceci ! L'homme mal veillant suffit amplement, surtout s'accaparant les richesses par transfert patrimoniaux inter-générationnelle !
L'exemple des Dieux !
Prenez l'exemple de la multitude de représentation de Dieux à travers religions, mythe et philosophie. Un seul Dieux Universelle objectivement, mais qui est subjectivement représenter différemment, et delà découle la haine, la guerre et la violence extrême !
Dieux se ferait-il la guerre à lui-même, serait-il haineux de lui-même !
Dieux détesterait sa propre création au point de vouloir la détruire, de détruire une t'elle catégorie au lieu d'une autre. Qui en serait juge, qui lui en donnerait autorité ! Dieu se ferait-il la guerre à lui-même ?
Voilà d'ou viens tout cette folie, de l'esprit de l'homme et nul part d’ailleurs ! Le désir belliqueux, cupide et orgueilleux de l'homme aux instincts animalisé mal maîtriser, est suffisant à lui-même pour expliquer cette nature pervers transposé sur des schémas de pouvoir de dominance pour expliquer la conduite et la perte de sens de l'orientation du monde qui frôle à présent des collisions de valeurs et de sens !
Nul besoin d'ombres obscure pour expliquer tout ceci ! L'homme mal veillant suffit amplement, surtout s'accaparant les richesses par transfert patrimoniaux inter-générationnelle !
Tout dépend de « qui » se fait passer pour Dieu parmi les « dieux » ! dans les textes religieux, mythiques ou philosophiques. Parks aide à démêler tout ça. Et une fois que l'on est conscient de nos origines, là on peut envisager des actions cooncrètes dans le sens que tu amènes bien que parfois le choix conscient d'une inaction est une action en soi (Dan Millman - Le Voie du Guerrier Pacifique). Il faut d'abord s'éveiller. Sinon, on en est réduit à utiliser la même folie humaine pour riposter ou à tout le moins se défendre. Si ces « dieux » ont créé génétiquement l'humanité à leur ressemblance, on peut dire que la folie humaine a été programmée d'une certaine façon par certains dieux, et que les humains paisibles l'ont été à la ressemblance de leurs dieux créateurs. (Égypte + Atlantide Versus Sumer) Moi, en tout cas, j'apprécie cet effort de Parks de démêler tout ça. Mais je peux concevoir que pour toi, nul besoin n'est d'emprunter ce sentier, cette quête d'info qui tente de faire la lumière sur nos origines dont la résultant s'exprime encore aujourd'hui.
Et d'autre part, il y a un message véhiculé par différents auteurs, dont Anton Parks, que par notre pensée créatrice, notre éveil, on peut influencer l'issu de cette folie, l'atténuer, l'éluder.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
L'exemple des Dieux !
Ce n'est pas ce que nous enseigne la phylogénétique et la génétique du développement dont fait partie le soit disant ADN poubelle.
Mais passons.....
L'exemple des Dieux !
Lien : https://fr.wikipedia.org/wiki/Arbre_phylog%C3%A9n%C3%A9tique
Extrait : Arbre phylogénétique
Arbre phylogénétique, basé sur le génome d'après Ciccarelli et al. (2006)1
Un arbre phylogénétique est un arbre schématique qui montre les relations de parentés entre des groupes d'êtres vivants. Chacun des nœuds de l'arbre représente l'ancêtre commun de ses descendants ; le nom qu'il porte est celui du clade formé des groupes frères qui lui appartiennent, non celui de l'ancêtre qui reste impossible à déterminer. L'arbre peut être enraciné ou pas, selon qu'on est parvenu à identifier l'ancêtre commun à toutes les feuilles. Charles Darwin fut un des premiers scientifiques à proposer une histoire des espèces représentée sous la forme d'un arbre.
Les arbres phylogénétiques ne considèrent pas les transferts horizontaux, et un nouveau modèle se développe en phylogénie, celui de graphe ou réseau phylogénétique qui permet de les prendre en compte, ainsi que les recombinaisons.
Historique
Charles Darwin pensait que la phylogénie, c'est-à-dire l'étude de l'évolution des organismes vivants en vue d'établir leur parenté, pouvait être représentée sous la forme d'un arbre de vie, ou arbre évolutif. Le concept d'une organisation du monde et de ses habitants remonte à bien plus longtemps. Déjà dans la Scala naturæ ou la « grande chaîne de la vie », le monde est composé d'un grand nombre de liens hiérarchiques, des éléments les plus fondamentaux et basiques tels les minéraux et les végétaux jusqu'à la plus haute perfection, Dieu. Cette conception du monde est largement acceptée par la plupart des savants européens depuis l'époque de Lucrèce jusqu'aux révolutions scientifiques de Copernic et de Darwin et l'ultime épanouissement de la Renaissance.
Darwin est le premier à avoir illustré et popularisé le concept d'un arbre de la vie, dans son ouvrage De l'origine des espèces, publié le 29 novembre 1859. Plus d'un siècle plus tard, les biologistes de l'évolution utilisent encore des diagrammes en forme d'arbre pour décrire l'évolution des espèces.
On a un autre point de divergence : je n'adhère pas au darwinisme.
On pourrait dire que je suis créationniste mais sans la connotation religieuse.
La Genèse pour moi raconte une vérité mais à la façon du Capitaine Bonhomme !
Dauphin, anciennement lié au forum, sur son site eso-news, avait mis cette nouvelle sur son blogue voilà quelques années.
Lien : http://www.2012un-nouveau-paradigme.com/article-des-scientifiques-trouvent-des-genes-ex...
Extrait : Des scientifiques trouvent des gènes extraterrestres dans notre ADN humain
12 Novembre 2012, 20:54pm
Un groupe de chercheurs travaillant sur le Projet Génome Humain indique qu’ils ont fait une découverte scientifique étonnante : Ils croient que les prétendus 97 % de séquences non codantes de l’ADN humain n’est rien de moins qu’un code génétique de formes de vie extraterrestres…
Les séquences non codantes sont communes à toute la matière organique sur terre, des moules aux humains. Dans l’ADN humain, elles constituent la plus grande partie de tout le génome, dit le Pr Sam Chang, directeur du groupe.
Les séquences non codantes, à l’origine connue sous le nom d’« ADN poubelle », ont été découvertes il y a des années et leur fonction reste un mystère.
L’écrasante majorité de l’ADN humain est « hors de ce monde » de part son origine. Les « gènes poubelles extraterrestres » apparents « profitent simplement du voyage » avec les gènes actifs fonctionnels transmis de génération en génération.
Après analyse complète avec l’aide d’autres scientifiques, d’informaticiens, de mathématiciens et d’autres savants, le professeur Chang s’est demandé si l’apparemment « ADN poubelle humain » avait été créé par une sorte « d’extraterrestre programmeurs ».
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Les morceaux étrangers dans l’ADN humain, observe encore le professeur Chang, « ont leurs propres veines, artères et leur propre système immunitaire qui résiste vigoureusement à tous nos médicaments anticancéreux. ».
Le Professeur Chang stipule encore que « notre hypothèse est qu’une forme de vie extraterrestre supérieure a entrepris de créer une nouvelle vie et de l’implanter sur diverses planètes. La terre est juste l’une d’entre elles.
Peut-être, après programmation, nos créateurs nous cultivent de la même manière que nous cultivons des bactéries dans des boîtes de Pétri. Nous ne pouvons pas connaître leurs motifs – si c’était une expérience scientifique ou une manière de préparer de nouvelles planètes à la colonisation ou si c’est depuis longtemps affaire de semer la vie dans l’univers. »
Le Professeur Chang indique encore que » si nous pensons à cela en termes humains, les « programmeurs extraterrestres » apparents travaillaient le plus probablement sur un « grand code » consistant en plusieurs projets et les projets devraient avoir produit diverses formes de vie pour différentes planètes. Ils ont également essayé diverses solutions. Ils ont écrit « le grand code », l’ont exécuté, n’ont pas aimé certaines fonctions, les ont modifié ou en ont ajouté de nouvelles, l’ont exécuté encore, ont fait plus d’améliorations et ont fait de multiples essais. »
L’équipe de chercheurs du professeur Chang conclut en outre que les « extraterrestres programmeurs » apparents ont pu avoir reçu l’ordre de couper court tous leurs plans idéalistes de l’avenir quand ils se sont concentrés sur le « projet terre » pour tenir leur délai. Très probablement dans une précipitation apparente, les « extraterrestres programmeurs » ont pu avoir réduit drastiquement le grand code et fourni le programme de base prévu pour la terre. »
Le Professeur Chang est seulement l’un des nombreux scientifiques et autres chercheurs qui ont découvert les origines extraterrestres de l’humanité.
Le professeur Chang et ses collègues de recherches prouvent que des lacunes de l’apparente programmation extraterrestre dans le séquençage de l’ADN précipité par une hâte hypothétique pour créer la vie humaine sur terre ont donné à l’humanité une croissance illogique de masses de cellules que nous connaissons sous le nom de cancer. »
Le Professeur Chang indique encore que « ce que nous voyons dans notre ADN est un programme se composant de deux versions, un grand code et un code de base ». M. Chang affirme alors que « le premier fait est que le programme complet n’a certainement pas été écrit sur terre ; c’est maintenant un fait vérifié. Le deuxième fait est que ces gènes par eux-mêmes ne sont pas suffisants pour expliquer l’évolution ; il doit y avoir quelque chose de plus en jeu. »
« Tôt ou tard », dit le professeur Chang « nous devrons affronter la notion incroyable que chaque vie sur terre porte le code génétique de son cousin extraterrestre et que l’évolution n’est pas ce que nous pensons. »
par John Stokes
source : http://www.agoracosmopolitan.com
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
L'exemple des Dieux !
Spéculation tout simplement !
" Après analyse complète avec l’aide d’autres scientifiques, d’informaticiens, de mathématiciens et d’autres savants, le professeur Chang s’est demandé si l’apparemment « ADN poubelle humain » avait été créé par une sorte « d’extraterrestre programmeurs ». "
Les archéobactéries (procaryote) ont aussi leur propre ADN poubelle (portion non codante pensait-on jadis) ! Le dogme actuelle en biologie moléculaire n'est plus un gène une protéines, mais une combinaisons fonctionnelle beaucoup plus complexes reliant un gène a plusieurs protéines, ou encore a des fonction reliant la coordination fonctionnelle de séquence complexe de gènes (voir gène de développement et autres) ! Et ceci sans parler des phénomènes épigénétiques ! (tu peu associer cela à la convergence structurelle et vibratoire d'un schéma de pensé spirituelle relié à l'émergence évolutive)
En dehors de Darwin, tu as l'essence des choses ! Ce sont les effet qui semble Darwinien et non la cause qui reste spirituelle ou vibratoire.
D'ailleurs sur quelle base dit-on d'origine extraterrestre ?
Voir ici pour plus de détaille !
Voir ici pour plus de détaille !
L'exemple des Dieux !
D'ailleurs sur quelle base dit-on d'origine extraterrestre ?
Voilà l'essence de notre point de divergence. La science peut tenter d'observer et d'étudier un phénomène mais ça ne veut pas dire qu'elle a les réponses sur comment ce phénomène est apparu.
Est-ce que la science est vraiment outillé pour étudier et observer un phénomène avec toute la justesse requise ? (le regard juste qu'évoque Kiwan dans le vidéorandia du 15 juillet 2011)
Donc, moi je crois au phénomène extraterrestre sur la base du gros bon sens, de mes « filtres » qui sont reliés à mon intuition (feelings), à mes réflexions, à mes expériences personnelles, à mon cheminement, à l'archéologie, aux divers textes, signes cunéiformes, hiéroglyphes, tablettes d'argile, dits sacrés, mythiques, historiques témoignages divers sur nos origines. Et je pourrais dire aussi au bagage inconscient de mes vies antérieures. Eh oui, je crois à la réincarnation aussi.
Notre principale divergence vient du fait que toi tu prends le chemin de la science officielle pour avancer sur le sentier de la vie. Et on sait qu'au fur et à mesure que celle-ci améliore ses observations, ses mesures, ses études, des vérités deviennent soudainement obsolètes. Et c'est drôle comme les dogmes scientifiques s'approchent des dogmes religieux à divers niveaux.
Mais comme on l'a souligné, tu amènes un type d'information, un point de vue qui enrichit la réflexion des gens. Moi, je prend un autre chemin tout simplement.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
L'exemple des Dieux Revisité !
D'ailleurs sur quelle base dit-on d'origine extraterrestre ?
Voilà l'essence de notre point de divergence. La science peut tenter d'observer et d'étudier un phénomène mais ça ne veut pas dire qu'elle a les réponses sur comment ce phénomène est apparu.
L'ADN poubelle n'est plus poubelle, mais bien faisant partie de réseaux de résonance et de cohérence fonctionnelle axés surtout sur la synchronicité temporelle du développement, axes ventraux-dorsale, de polarité et de la segmentation du corps lors du développement embryonnaire et fœtal. Ce réseau est aussi responsable de l'aspect épigénétique qui relit le corps aux processus de recherche d'équilibre environnemental. Le dogme de la biologie moléculaire (génétique) a drôlement changé depuis les années 2000.
Est-ce que la science est vraiment outillé pour étudier et observer un phénomène avec toute la justesse requise ? (le regard juste qu'évoque Kiwan dans le vidéorandia du 15 juillet 2011)
Non, car elle n'observe que la surface et les effets ! Mais elle cherche via une méthode objective, il faut juste en avoir conscience pour en comprendre les réelles limites. Mais dans la recherche psychologique du savoir, elle est tout a fait approprié, et son aspect dogmatique viens de la dérive de certains homme qui l'instrumentalise à leur profits (le monde marchand $). Ici, ce n'est pas la méthode qui est mis a mal, mais bien l'homme qui en fait un culte de pouvoir !
Donc, moi je crois au phénomène extraterrestre sur la base du gros bon sens, de mes « filtres » qui sont reliés à mon intuition (feelings), à mes réflexions, à mes expériences personnelles,
Moi aussi, et pourtant !
à mon cheminement, à l'archéologie, aux divers textes, signes cunéiformes, hiéroglyphes, tablettes d'argile, dits sacrés, mythiques, historiques témoignages divers sur nos origines.
Te souviens-tu avoir lut un livre (papyrus ou autre !) de ces époques lors de tes souvenir de tes vie antérieurs. Te souviens-tu des conventions littérale syntaxique et de sémantique de cette appel culturelle ancienne et perdu. Ce que tu dis là est tout simplement faux, car il ne s'agit que d'une impression de ta part, d'un feeling ? Si ce que tu dis était vrai, et bien les codes de la nature et du mystère ancien auraient été découvert depuis belle lurette, et l'humanité vivrait en paie. En plus, tu serais capable de lire parfaitement ses textes tout en les commentant selon l'époque et les traditions de leurs écriture, tu connaîtrais toi même ses langues écrites et parfaitement capable de les retranscrire et de les traduire s'en pour cela t'appuyer et croire aveuglement sur un autre. Ce n'est pas le cas, n'est-ce pas ! Ce n'est pas du réel que l'on ramène de l'astral, mais bien des impressions teintés et polarisés d'émotions !
Tu vois bien que tu crois tout simplement !
Et je pourrais dire aussi au bagage inconscient de mes vies antérieures. Eh oui, je crois à la réincarnation aussi.
Je crois également à la réincarnation, aux EMI et à certain cas d'abduction ! Je crois également en l'assistance de l'évolution de l'homme sur le plan génétique, mais je crois en ceci dans une optique d’intervention spirituelle et harmonieuse, dans le sens prenant la forme d'une manifestation naturelle après avoir transité via une interface de densité vibratoire entre le spirituelle et le matériel ! Une densification de forme évolutive fait pour augmenter les capacité mental en fonction de l'évolution des civilisation planétaire.
Notre principale divergence vient du fait que toi tu prends le chemin de la science officielle pour avancer sur le sentier de la vie. Et on sait qu'au fur et à mesure que celle-ci améliore ses observations, ses mesures, ses études, des vérités deviennent soudainement obsolètes. Et c'est drôle comme les dogmes scientifiques s'approchent des dogmes religieux à divers niveaux.
Ce n'est pas une raison pour la rejeté complètement ! La science te permet de voir et d'entrevoir de manière plus objective une forme sur la dynamique causale de la manifestation des lois de la nature, tu as deux aspects, le spirituelle comme cause, mais aussi l'aspect matériel comme dynamique de surface, et c'est a partir de celle-ci que tu observe le monde matériel et qui peut intuité ta conscience psychologique ! Et à partir delà ton psychique en prend acte, et non l'inverse ....
Donc, soit moins occulte que ça, reste ouvert aux mystère de la nature !
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Croire c'est bien, mais savoir sait encore mieux !
L'exemple des Dieux Revisité !
L'astral c'est d'être figé et non ouvert toute en polarisant une direction plutôt qu'une autre ! Le cosmos est si vaste, comment le connaitre si tu cherche à le diriger ou a l'encadrer ! Laisse le évolué libre ...... C'est a toi a t'adapter au réel, et non l'inverse !
Rester ouvert te permet d'être libre ! Se refermer dans une polarité c'est d'être coincé dans le fondamentalisme et l'intégrisme !
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Croire c'est bien, mais savoir sait encore mieux !
L'exemple des Dieux Revisité !
Et pour preuve :
Tout ce que dis cette dame sur la génétique et son fonctionnement de développement est faux !
Et pourtant cela ne la pas empêché de poursuivre son élan basé uniquement sur une intuition découlant d'une lecture romanesque !
En plus, c'est le second tome de sont premier roman, qui cherche à se prendre au sérieux tout simplement ! Elle base sa rhétorique sur du vent !
C'est ce type de dérive par fixation inductive et hypnotique de l'émotif subjective qui créer la dérive des dogmes religieuse et des sociétés secrètes à travers les ages. C'est comme ça que naisse les religions ! Une forme imparfaite et incomprise restera que l’expression d'une forme !
Un dogme est un dogme !
18/10/2016 « L'Hybridation Génétique à l'aube des âges » avec Bleuette Diot
https://www.youtube.com/watch?v=aWx9o0w8d9c&feature=youtu.be
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Croire c'est bien, mais savoir sait encore mieux !
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Karmapolis #2.0@glevesque
Le mensonge ici, est justement de croire qu'il en existe un ! Car juste le fait d'y croire vous enlève tout sentiment de responsabilité sur l'ici et maintenant de votre existence terrestre !
Ce monde ira là ou la communauté humaine l'aura voulut et désirer réellement, oui une sorte d'éveil, mais un éveil responsable sur la conduite du monde, et non le fait de s'en écarter pour le laisser a des ombres idéologique obscure !
Soit vous êtres responsable de ceci, ou soit vous vous désengager de ceci ! Et ceci est la conduite future de ce monde, de sa destiné, alors voulez-vous vraiment êtres responsable de ceci en y participant, ou voulez-vous plutôt vous déresponsabilisé de tout ceci en rêvassant à ce que pourrait bien être l'au-delà dans une pléthore de représentation symbolique et fantasmagorique ! Car l'action de la conduite de la destiné de ce monde se joue ici et maintenant, et dans et à travers cette dimension terrestre, pas ailleurs !
C'est l'appréhension de se sens spirituelle de la conduite du monde qui le sauvera, pas vos idées obscures, mais belle et bien vos actions pour en identifier fraternellement et charitablement les abus et les contre sens de la conduite humaine face a sa destiné planétaire ! Le symbolisme est tout simplement enfouis là !
Bonjour a vous Au niveau du peuple, le citoyen subit les différentes formes de dictatures des gouvernements. Le citoyen, l'individu n'est point coupable car il n'a aucun pouvoir de changer le pouvoir des dictatures capitalistes et tiers-mondialistes. Regarder dans l'antiquité , le moyen-age et l’époque contemporaine= les peuples subissent. L'homme ne peut que travailler a se sauver lui-même.
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''les con-(sciences)-sonnes-voyelles (quantiques) vibrantes (verbe-Source) générées par le mouvement de l’énergie-sombre ( 73% ) issues de la matière-noire ( 22% )créent les bigs-bangs de lumières-univers ( 5% )'' et les mondes spiralés et circulaires.
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Karmapolis #2.1
Suite : avec la bonne image du livre cette fois !
Lien : http://www.karmapolis.be/pipeline/anton_parks.htm
Karmaone - © Karmapolis - décembre 2005
© Novembre 2005 Anton Parks, pour les décompositions, traductions et interprétations suméro-akkadiennes
Désolé de me répéter, mais les âmes qui s'incarnent sur Terre savent où elles mettent les pieds ! Le fait que la plupart des Gina'abul soient devenus des hors-la-loi galactiques et qu'ils soient en conflit avec la communauté planificatrice de notre univers n'est pas incompatible avec le travail karmique exécuté ici bas. Tout n'est qu'une histoire d'appréciation. L'âme qui aura éprouvé la négation sous toutes ses formes sur la Terre se fera "justice" elle-même lorsqu'elle se retrouvera là-haut. Elle finira par expérimenter l'allégation universelle en se mettant au service de son prochain et ensuite de la Source ("Dieu") dont elle est issue et vers laquelle elle reviendra de toutes les façons. Les chemins tortueux et détournés qu'elle empruntera pour atteindre ce but et qui cependant engendreront différentes formes de souffrance ne regardent qu'elle…
Karmaone : D’après vous, les reptiliens mâles se nourriraient des peurs, des traumatismes et de toutes les énergies négatives dégagées par les «femelles» alors qu’elles sont captives. Les religions et les cultes sacrificiels auraient pour but de donner de l’énergie, dégagée par le traumatisme et la peur, aux entités vénérées lors du sacrifice. Ces pratiques dérivent-elles du fait que ces entités reptiliennes seraient avides d’énergie ? Certains auteurs évoquent des pratiques similaires sur les hommes.
Anton Parks : Vous voulez sans doute parler d'un auteur comme David Icke. J'ai un grand respect pour cet homme bien qu'il soit manifestement dans la peur et que tous les reptiliens représentent pour lui des êtres malveillants. Malgré cette position contestable à mes yeux, pour les raisons évoquées dans le premier tome, je dois bien avouer que Icke a raison sur de nombreux points.
Les reptiliens "terrestres" comme les Anunnaki ou leurs descendants directs ont besoin d'absorber la basse énergie que peut dégager l'être humain lorsqu'il a peur pour la simple raison que la fréquence terrestre (le KI = la 3ème dimension) est plus élevée sur Terre que sur les différents mondes qu'ils occupent dans la galaxie. N'oubliez pas que les Anunna sont arrivés sur Terre par hasard. Ils ont eu beaucoup de mal à s'y adapter. Depuis leur arrivée sur Terre, les Anunna et leurs acolytes consanguins n'ont cessé de faire des manipulations de toutes sortes pour baisser la fréquence du KI. La caste dominante des Gina'abul mâles ne connaît pas l'Amour tel que certains humains l'ont intégré. L'être humain, même diminué aujourd'hui, représente donc toujours un danger pour cette communauté.
Dans "Le Secret des Etoiles Sombres", j'ai expliqué de long en large le rôle de la femme, plus précisément le rôle des prêtresses Gina'abul au sein de la communauté reptilienne et le rapport qu'elles entretiennent avec les planificateurs dont elles font partie. J'ai détaillé la puissance de la féminité que l'on nomme sur Terre "la puissance de la Déesse". Différents Gina'abul mâles, comme les Mušgir et certains Ušumgal ont effectivement emprisonné des femelles pour leur soutirer leur pouvoir par la force et la torture. Ceci créa une scission radicale chez les Gina'abul qui ne se colmata que lorsque les femelles Gina'abul s'intégrèrent aux Kadištu (planificateurs).
Cependant, lorsque quelques-unes de ces prêtresses s'échouèrent avec les Anunna sur Terre, elles ne pactisèrent pas systématiquement avec ces derniers. N'est-ce pas là l'épisode que l'on retrouve dans le jardin de la Genèse où Enki (le Serpent) au service de l'ordre patriarcal Gina'abul se retrouve à initier clandestinement les Á-DAM, "les troupeaux colonisés" (voir plus haut les définitions d'Adam) à l'aide d'étranges femelles dénommées Lilith ? Lilith est en fait alliée à la Source (le vrai Dieu) et c'est pour cette raison qu'elle fut "démonisée" par les organisations religieuses qui incarnent les différentes religions patriarcales de la planète. Observons que l'idéologie gnostique conforte cet état de chose, puisque selon elle, les principes du bien et du mal sont inversés sur Terre.
L'épisode de l'initiation (dissimulée) de l'homme n'est pas propre à la Genèse biblique et se retrouve sur de nombreuses représentations de par le monde, comme ici sur le codex Borgia, planche 57 :
Une prêtresse "Etoile Sombre" initie un homme à la connaissance de l'arbre sacré. La notion d'Etoile Sombre est exprimée par deux fois sur cette figure : une première fois en haut où l'on voit clairement un astre et son côté obscur et une deuxième fois dans chaque main de la prêtresse où apparaissent une étoile et un jaguar (symbole de la nuit). Notez les symboles lunaires sur la prêtresse qui évoquent le fluide menstruel sacralisé dans les rites tantriques de l'Inde. Entre les deux personnages se trouvent deux serpents qui schématisent Idâ et Pingalâ, les deux courants subtils de la Kundalinî qui permettent de faire monter l'énergie le long de la colonne vertébrale. Comme le montre le dessin, l'ascension de ces courants subtils offre la possibilité d'atteindre le monde des étoiles et le mouvement opposé (descendant) apporte une "petite mort" figurée par le crâne placé dans le pot où la coupe qui symbolisent le premier chakra dénommé Muladhara en sanscrit ("le lieu de la racine"). Ce même terme décomposé en sumérien MUL-ÁD-HARA5 se traduit en "l'éclat qui se propage de la coupe"…
Karmaone : Nigel Kerner, un auteur britannique ayant écrit un livre sur les Gris, les décrit comme des robots, des sortes de drones explorateurs chargés initialement de restaurer le patrimoine génétique défaillant de leur créateurs. Ces robots organiques, eux-mêmes en décadence génétique seraient devenus en quelque sorte autonomes, perdant avec les siècles le contact avec les entités qui les ont créées. Que pensez-vous de cette description ? Vous évoquez aussi les Gris sous le nom de Miminu ?
Anton Parks : Oui, c'est le terme que j'ai reçu à l'époque. Quelle ne fut pas ma surprise de le retrouver plus tard chez les Dogons du Mali chez qui ce mot veut dire "fourmi". Décomposé en sumérien, cela donne MÌ-MÍ-NU "responsable(s) des charges hostiles (ou négatives)". Cette traduction est d'autant plus intéressante que Credo Mutwa nomme les "Gris" Mantindane"les bourreaux" en zoulou. Or ce vocable est décomposable en suméro-akkadien : MAN (partenaire, associé, égal) TIN (vivre, résider) DAN (calamité), ce qui donne MAN-TIN-DAN, soit "associé(s) où réside la calamité" ou "partenaire(s) qui vivent de la calamité".
D'après ce que je sais, les "Gris" proviennent originellement de la Lyre, lieu où se trouvent de nombreuses colonies Gina'abul. Ils travaillent en groupe et fonctionnent comme des fourmis. Il s'agit d'une souche d'ouvriers au service de leurs créateurs reptiliens. Les différentes lignées Gina'abul ont fabriqué des Mìmínu par le passé. Il en existe plusieurs sortes selon les régions. Ceux qui sont associés au système solaire et qui furent donc créés par les Kingú (Gina'abul royaux) sont plus grands et possèdent des cheveux.
Il existe d'abondantes preuves sur la présence des "Gris" dans le système solaire, ne serait-ce que par les différents cas d'enlèvements répertoriés chaque année sur l'ensemble du globe. Sincèrement, je ne sais pas ce que sont devenus les Mìmínu aujourd'hui. Leur destin semble avoir quelque peu changé car ils paraissent posséder une sorte d'autonomie qu'ils n'avaient pas encore il y a quelques millénaires. L'histoire que je raconte (donc, ce que j'ai reçu) s'arrête il y a plus de 2000 ans en arrière. Mes connaissances s'achèvent à cette époque.
Karmaone : Selon certains auteurs (comme le shaman Credo Mutwa (Reptilian Agenda), Robert Boulay (Flying Serpents and Dragon), Zecharia Sitchin ou Mark Amaru Pinkham, William Bramley, etc. ), nous aurions été en partie fabriqués par ces Anunnaki. Par contre, John Lash (ainsi que la tradition gnostique) affirme que les reptiliens veulent nous faire croire qu’ils sont nos créateurs et que nous sommes leurs créatures. Qu’en est-il ?
Anton Parks : Une des plus remarquables manipulations des Gina'abul est d'avoir aliéné l'être humain pour en faire un animal à son service. Pour cela, les Gina'abul sont partis de l'humanoïde originel qu'ils ont mixé avec leurs propres gènes et ceux du singe. L'être humain originel fut assemblé par les Kadištu (planificateurs). Son rôle était de garder l'animalerie du jardin planétaire. Comme le précise justement la Genèse (1,26), il fut le dernier spécimen à avoir été intégré dans la réserve vivante des planificateurs. Le but de cette réserve était d'assembler les connaissances génétiques des émissaires de la Source. L'être humain originel était très respecté, car il regroupait à lui seul le patrimoine génétique de nombreuses espèces planificatrices.
Le mixage particulier que les Gina'abul ont dû imaginer pour obtenir leurs Á-DAM relève d'une composition tout à fait impossible à réaliser aujourd'hui pour les scientifiques humains. Il s'agit du même genre de manipulation qu'avaient effectué les Kadištu (planificateurs) pour assembler l'être humain originel. C'est Enki, le fils d'An et de Nammu qui se chargea de cette triste besogne sous des contraintes qui seront développées dans le second tome. Je nomme cette combinaison génétique "sang mêlé" dans le premier ouvrage. Je ne donnerai jamais d'informations complémentaires sur ce sujet pour les raisons que j'ai évoqué plus haut. L'humanité possède un destin prodigieux. Le but de l'humanité n'est pas de reproduire les erreurs des escamoteurs reptiliens qui se sont fait passer pour leurs créateurs !
Le triste aspect de l'Á-DAM-animal est du reste attesté par plusieurs traditions. Notamment dans les textes apocryphes qui sont des documents de la même époque que les écrits bibliques, mais qui ne sont pas admis par l'Eglise. Pourquoi ? Parce que ces textes ébranlent sérieusement la version officielle :
Apocryphe "Le Livre d'Adam", extraits des Chapitres 13 et 15, éditions Robert Laffont, 1980 :
"Qui m'a plongé dans cette tristesse infinie des mauvais anges dont l'odeur est fétide, dont la forme est abominable ? Qui m'a jeté au milieu de ces génies du mal ? Faut-il que je croisse et grandisse dans un milieu que je déteste, parmi des êtres dont j'abhorre les œuvres ? Faut-il que je prenne leur forme, que j'habite leur demeure… ? Pourquoi ma forme primitive a-t-elle été changée ? Ah ! qu'on me laisse revenir au séjour de paix, auprès duquel mon cœur aspire ! Qu'on me rende les réunions célestes et les entretiens et les prières pleines d'effusions des pacifiques ; qu'on m'illumine de la lumière d'en haut et que je sois enfin dépouillé de cette enveloppe d'opprobre. Combien de temps serai-je lié à ce corps de boue ?"
Apocryphe "l'Apocalypse d'Adam", textes gnostiques de Nag-Hammadi, N-H Codex 5, éditions Ganesha, 1989 :
"Lorsque le Dieu m'eut façonné de terre en même temps qu'Eve, je suis allé avec elle vers une gloire qu'elle avait aperçue dans l'éon d'où nous sommes issus. Celle-ci m'enseigna par une parole la connaissance du Dieu éternel. Alors nous sommes devenus semblables aux grands anges éternels : nous étions supérieurs, en effet au Dieu qui nous avait façonnés et aux puissances qui sont avec lui, mais que nous ne connaissons pas. Alors, pris de courroux, le Dieu maître des éons et des puissances nous scinda… Depuis lors, nous avons été instruits, comme hommes, de choses mortelles. Puis, nous avons connu le Dieu qui nous avait façonnés. Car nous n'étions pas indépendants de ses pouvoirs. Et nous l'avons servi dans la crainte et l'esclavage. Et en conséquence, nos cœurs s'obscurcirent…"
Credo Mutwa (encore lui !) dénomme les reptiliens qui dirigent ce monde "les Chitauli", dont le sens est "dictateurs" en zoulou. Encore une fois, ce terme est traduisible en sumérien : ŠITA4 (groupe) UL (splendeur, ancien) I (dominer, maîtriser), soit ŠITA4-UL-I "le groupe de la splendeur qui domine" ou encore "le groupe d'ancien(s) qui domine". Cette traduction n'est pas sans rappeler le sens du terme sumérien lézard(s) GINA-AB-UL "véritable(s) ancêtre(s) de la splendeur"…
Karmaone : Toujours selon ces auteurs, les reptiliens seraient toujours sur terre. Certaines «souches» ou «races» vivraient dans un monde souterrain. D’autres contrôleraient certains de nos dirigeants, ayant en quelque sorte pris en main et créé les lignées héréditaires de la noblesse régnante. Qu’en pensez-vous ? Peut-on vraiment parler d'un «plan reptilien» destiné à manipuler ce monde et nos âmes ?
Anton Parks : Les reptiliens sont en conflit entre eux depuis fort longtemps et cette guerre est toujours d'actualité sur Terre. L'humanité entière en paye le prix fort ! La Terre est un enjeu considérable pour la caste Gina'abul mâle. Les événements géopolitiques présents ne sont pas ma spécialité mais les renseignements dont je dispose aujourd'hui, grâce à ce que j'ai reçu pendant 10 longues années, me laissent à conclure les choses suivantes :
Depuis qu'il n'est plus en contact direct avec ses re-créateurs, l'être humain est soucieux de se donner l'impression de maîtriser sa propre histoire et sa destinée. Il se retranche sur la version officielle confectionnée par l'autorité dominante, elle-même manipulée en coulisse par les Gina'abul mâles (voir à ce propos l'introduction de la série dans le tome 1).
Les Anunna et leurs descendants terrestres sont en guerre contre les Gina'abul royaux dénommés Kingú qui se prétendent propriétaires de la Terre. Cette guerre très ancienne ne devrait en rien affecter l'humanité actuelle. Cependant, les Gina'abul mâles se servent de l'humanité comme de la chair à canon... Les humains qui ne figurent, à leurs yeux, rien d'autre que des Á-DAM (animaux), s'entretuent pour chacun des deux clans par conflits habilement interposés.
Plus simplement, je pense que les forces armées anglo-américaines travaillent pour la faction Anunna et leurs descendants directs. Alors que les Gina'abul royaux se servent des pays nordiques pour combattre leurs ennemis consanguins. Ceux qui se considèrent en haut de la pyramide sociale Gina'abul sont les royaux dénommés Kingú-Babbar, c'est-à-dire les Kingú albinos ! Ce sont des reptiliens à la peau blanche extrêmement redoutables. Ils ont en horreur les Ušumgal, leurs Anunna et leurs descendants, ce qui ne les empêche pourtant pas de conjuguer avec eux lorsque cela les arrange. Cette histoire incroyable de "race pure" (aryenne) vient de là.
Le roi Šulgi d'Ur (2094-2047 av. JC), souverain de Sumer et d'Akkad.
Il fut déifié lors de son règne afin de marquer son origine divine.
On le voit sur ce sceau en argile faisant face à un Dragon qui lui transmet le
pouvoir divin. Un de ses hymnes précise "que Šulgi possède un regard féroce
et qu'il est né d'un Ušumgal (Grand Dragon)" (ANET 585).
Il existe plusieurs sources différentes qui attestent que les Etats-Unis seraient toujours en guerre contre l'Allemagne aujourd'hui. Relevons simplement le fait qu'il n'y a jamais eu de traité de paix signé entre les alliés et l'Allemagne à l'issue de la Seconde Guerre Mondiale. Est-ce vraiment un oubli ? Les Anunna et les Kingú (royaux) utilisent les êtres humains comme des pions et la Terre comme un grand échiquier. Ils règlent leurs comptes de cette façon sordide depuis des millénaires. Les uns comme les autres pensent détenir le plus de pouvoirs et donc de droits sur Uraš (la Terre).
Les Ušumgal-Anunna et leurs descendants se terrent dans des grottes et autres cavités terrestres. Les plus "purs" ou "inaltérés" d'entre eux ne supportent pas (ou plus) la 3ème dimension (le KI) qui ne cesse de (re)monter de fréquence au fil du temps. Certains d'entre eux fréquentent plutôt la 2ème dimension qui, par sa densité particulière sur Terre, pourrait très bien correspondre à la 3ème dimension sur une autre planète. D'après ce que je sais, les albinos royaux ne possèdent pas ce problème de fréquence. Ceux qui vivent sur Terre se situent plutôt aux pôles ou aux abords de l'Abzu (le monde souterrain). Je n'ai pas connaissance qu'ils vivraient actuellement dans l'Abzu même. Les royaux possèdent aussi des zones sous certaines montagnes et des bases sur l'ensemble du système solaire, la lune y comprise…
Le groupement Gina'abul dont a fait partie l'être dont je raconte les chroniques dans cette série se trouvait entre ces deux collectifs consanguins opposés. Ce groupement "rebelle" constitué essentiellement d'Amašutum (femelles planificatrices), d'Ama'argi (femelles Gina'abul terrestres) et de Nungal (clones planificateurs) a passé son temps à conjuguer avec ces deux collectifs ennemis – ce qui créa des complications politiques sur la Terre. Les humains, quelle que soit leur couleur de peau, ont toujours servi leurs re-créateurs. C'est d'ailleurs indiqué dans le terme africain Wazungu "le peuple ou les démons-tourbillon", terme pluriel utilisé par de nombreuses tribus africaines pour dénommer les extraterrestres de type "nordique". Sa décomposition en suméro-akkadien nous apporte son sens profond : WA (entendement) ZU (sagesse, connaissance) UN (gens, population) GU7 (apporter des offrandes alimentaires, nourriture, manger), soit WA-ZU-UN-GU "ceux à l'entendement et à la connaissance pour qui la population apporte des offrandes alimentaires (ou de la nourriture)" !
L'éclatement du langage originel en des milliers d'idiomes différents (décomposables en suméro-akkadien) résulte de ces oppositions entre les Gina'abul rebelles (au service des Kadištu-planificateurs) et les deux autres clans qui se disputent la légitimité de la Terre. La disparition progressive du langage du ciel dans la bouche de l'humanité fut échafaudée, non pour mieux régner, mais pour désorganiser l'assujettissement de l'humain par les Kingú (royaux) et les Anunna.
Ne faut-il pas voir là un espoir retentissant ? Ceux qui gardaient le jardin et qui ont offert un minimum d'autonomie à l'humanité savaient très bien ce qu'ils faisaient. Les traditions religieuses les ont transformés en ennemis de Dieu, alors qu'il s'agit du contraire ! Ces êtres – pour la plus grande majorité au service des planificateurs – n'ont cessé de codifier les langages de la Terre pour éviter une mondialisation qui n'aurait pour but que de centraliser les pouvoirs (vers qui vous savez) et robotiser l'humanité. Comprenez-vous enfin ce qui se passe actuellement ? Les conflits mondiaux, les attentats, l'instabilité croissante ne sont là que pour servir les carnassiers ! Ils poursuivent ainsi leur petite guerre interposée, ils tentent de réduire la fréquence du KI (3ème dimension) qui est sensée servir de tremplin vers les niveaux supérieurs, et ils affaiblissent l'humain…
Les temps sont venus de décoder ce qui a été crypté. Comme je l'ai démontré dans "Le Secret des Etoiles Sombres" et un peu ici, la décomposition de nombreux termes provenant des quatre coins de la Terre est possible grâce au langage codé des Gina'abul rebelles. Ces informations sont précieuses, car elles révèlent les origines de l'humanité et aussi la voie à suivre… Ce chemin spirituel n'est autre que celui de l'esprit et de la lumière qui relie les uns et les autres à une conscience universelle qui ne se limite pas à cette planète. Le terme spiritualité est tiré du latin SPIRITUALIS, lui-même provenant de SPIRITUS ("esprit"). Cela donne dans la langue des "dieux" : SI (lumière), PIRIG (brillant) et la forme verbale ÚS (être près de, suivre, atteindre), soit SI-PIRIG-ÚS "suivre la brillante lumière". C'est bien vers cette lumière que nous parviendrons tous un jour, humains comme Gina'abul…
Karmaone
Karmaone - © Karmapolis - décembre 2005
© Novembre 2005 Anton Parks, pour les décompositions, traductions et interprétations suméro-akkadiennes
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Karmapolis #2.1
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Karmapolis #2.1
Pardon Caton, il y a eut un débat fort intéressant sur ce sujet duquel il y aurait beaucoup à dire. J'ai apprécié les interventions de Serge Cazelais que je considère comme un "honnête homme" et celle de panthère58 qui a apporté des arguments sensés et recevables. Nous ne pouvons pas mettre tout le monde d'accord mais cet échange de qualité permet d'aller plus avant dans la précision des idées.
Chacun il me semble a été respectueux de l'autre et cela faisait longtemps qu'il n'y avait eu un échange de cette qualité sur le forum. J'espère que ce ne sera pas le dernier.
Panthère58 exprime ses idées et opinions sans déroger à la règle du forum, chacun est libre de passer outre ou de lire pour se fonder une opinion.
Ne prêtons pas d'intentions aux intervenants qui ne seraient qu'une projection de nos propres interprétations.
Respectons chacun et chacune dans la diversité de ses opinions, de ses croyances et de ses interventions.
Des débats d'idées vigoureux et... respectueux
Pardon Caton, il y a eut un débat fort intéressant sur ce sujet duquel il y aurait beaucoup à dire. J'ai apprécié les interventions de Serge Cazelais que je considère comme un "honnête homme" et celle de panthère58 qui a apporté des arguments sensés et recevables. Nous ne pouvons pas mettre tout le monde d'accord mais cet échange de qualité permet d'aller plus avant dans la précision des idées.
Chacun il me semble a été respectueux de l'autre et cela faisait longtemps qu'il n'y avait eu un échange de cette qualité sur le forum. J'espère que ce ne sera pas le dernier.
Panthère58 exprime ses idées et opinions sans déroger à la règle du forum, chacun est libre de passer outre ou de lire pour se fonder une opinion.
Ne prêtons pas d'intentions aux intervenants qui ne seraient qu'une projection de nos propres interprétations.
Respectons chacun et chacune dans la diversité de ses opinions, de ses croyances et de ses interventions.
Je suis entièrement de votre avis, konrad. Merci de cette mise au point fort pertinente.
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Karmapolis #2.1
Je n'ai pas dérogé et ce sont des questions que je me pose en tant que participant et membre de ce forum... Alors pardonnez moi ma franchise et le ton direct.
Et surtout désolé de ne pas avoir utilisé une page complète pour mon commentaire.
Et honnêtement car je le suis aussi, j'ai trouvé intéressante l'enfilade, mais seulement que les commentaires de SergeC..
Pour l'autre, je ne comprends juste pas comment il est possible de s' intéresser autant à un auteur de ce genre.
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Il vaut mieux être abattu par la vérité que d'être torturé par des mensonges.
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Karmapolis #2.1
Pour l'autre, je ne comprends juste pas comment il est possible de s' intéresser autant à un auteur de ce genre.
Pourquoi pas?
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« Ce qui m'effraie, ce n'est pas l'oppression des méchants ; c'est l'indifférence des bons. » -Martin Luther King
Dossier Scientifiques libres:
http://orandia.com/forum/index.php?id=188997
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Questions/Réponses 1
Date de cette entrevue Janvier 2011
Pour ceux à qui ça intéresse, évidemment.
Ça complète ses livres.
Ça vous permet de vous faire une idée du bonhomme.
Panthère(3)58 propose ; vous disposez selon votre jugement, votre discernement, VOS FILTRES !
Lien : http://www.antonparks.com/interview_anton_parks_web2010.pdf
Extrait #1 :
1. Questions concernant le contenu des ouvrages :
1. Rise (via le forum) : Le sujet de la symbolique est très important dans les Chroniques. Que ce soient les animaux (le poisson, le loup, le renard, le faucon, etc.) ou autres (l'arbre, le feu, le sous-sol, les étoiles sombres...). Tous semblent être sacrés à un moment dans la saga. Mais, sont-ils de simples moyens de se comprendre, d'imager un concept ou ont-ils une portée, une substance très forte qui dépasse le simple cadre du symbole ? Le sujet du Niama, de la kundalini, l'humain y est t-il hermétique ? Est-ce censé permettre d'accéder à un état d'être supérieur ou est-ce juste un "outil", un pouvoir ?
Anton Parks : A la différence de notre civilisation moderne, les plus anciennes cultures ont toujours su garder un rapport étroit avec la nature. Le meilleur exemple qui peut illustrer ceci est celui des Amérindiens. Ces derniers, comme les Hopis, sont reliés à la Terre Mère et ses créatures, l'objectif étant de vivre en harmonie avec le bas (la nature) et le haut (l'univers). Pour les Amérindiens, comme pour les anciens Egyptiens, tout est habité par une forme de vie, du peuple animal, végétal, minéral, jusqu'aux symboles les plus insignifiants. Associer des symboles d'animaux au monde humain, c'est donner la possibilité à l'être humain d'acquérir magiquement les propriétés distinctives de l'animal totem. Le cas qui nous occupe dans le T3, le Réveil du Phénix - celui des animaux associés aux veilleurs et leurs descendants - est très clair. Le loup et le faucon ont ce point en commun d'être de redoutables prédateurs ; le loup grâce à son odorat infaillible et le faucon grâce à sa vue exceptionnelle. Tous les deux sont de grands veilleurs du monde animal et tous deux renferment le symbole de la lumière. Il n'est donc pas étonnant de les retrouver comme totems attribués aux dieux ou demi-dieux veilleurs qui combattent l'obscurité. Ce thème a été décliné pour de nombreux films. Je pense par exemple à la série Underworld où l'on voit des loups-garous (projection des suivants NungalNeferu) en conflit avec leurs frères vampires (Kingu), alors qu'ils ont une origine commune. Un autre exemple : la série Aliens vs Prédators, où la carrure et la force des Prédators ressemblent fort à celles des suivants d'Osiris et d'Horus (NungalNeferu). Ces derniers se battent contre les reptiles Aliens (les Anunna)… Là, nous sommes au cœur du monde des archétypes.
Concernant votre question à propos du Niama, voici ce que je comprends : il existerait deux formes de Niama, le Niama de pouvoir acquis par filiation génétique et le Niama obtenu par la sensibilité et l’ouverture. Dans le premier cas, on est coupé des autres et du monde (cf. les Usumgal), dans le deuxième cas, l'individu serait plutôt ouvert au monde (cf. les Amasutum, particulièrement l'ancienne souche). Ainsi, vous comprenez dans quelle situation délicate se trouvait Sa'am-Osiris.
2. Philomène (via le forum) : Des hiéroglyphes auraient été trouvés en Australie dans une zone en grés, l'écriture semble particulièrement ancienne et très peu de personnes sont capables de déchiffrer le texte. Apparemment, c'est le fils d'un roi égyptien qui est mort, mordu par un serpent. Dans votre dernier livre, j'ai cru comprendre que l'Australie avait été une région où des Gina'abul avaient vécu, qu'en est-il exactement ?
Anton Parks : L'Australie n'est véritablement évoquée qu'au début du T2, lors de l'arrivée du clan de Nammu et de ses deux jumeaux, après la grande bataille céleste. A cette époque très lointaine, le système hiéroglyphique n'existait pas encore chez les Gina'abul. Ces hiéroglyphes australiens doivent provenir d'occupants d'un bateau égyptien échoué en Australie il y a plusieurs milliers d'années. De 1947 à 1977, le Dr Thor Heyerdahl a organisé plusieurs expéditions visant à démontrer que les océans pourraient avoir été traversés avec des embarcations les plus primitives que l'on connaisse. En 1970, il fit fabriquer un bateau (Râ II) en papyrus comme les réalisaient les anciens Egyptiens, et il traversa l'Atlantique en 57 jours, du Maroc jusqu'à l'île de la Barbade…
Comme je ne peux enregistrer l'image de l'entrevue, j'ai fait une recherche pour une semblable.
3. Apademak (via le forum) : Question relative à la généalogie des personnages. Il est dit dans les Chroniques que Ptah est une figure primitive d'Osiris. Dans ce cas, pourquoi les annales égyptiennes (Liste royale d'Abydos, Papyrus de Turin, Pierre de Palerme, textes de Manéthon) en font deux êtres distincts, ayant régné à des époques différentes ? Par exemple, selon Manéthon (plus précisément Eusèbe de Césarée citant le prêtre égyptien) il est dit : "Le premier homme (ou dieu) en Égypte est Héphaïstos (Ptah), qui est aussi connu des Égyptiens comme l'homme qui a découvert le feu. Son fils Hélios (Râ), auquel a succédé Sôsis (Shu). Puis vinrent à leur tour, Cronos (Geb), Osiris, Typhon (Seth), frère d'Osiris, et enfin Orus (Horus), fils d'Osiris et d'Isis" (Waddell: 1964 [1940] p. 3-5).
Anton Parks : Les différents protagonistes des Chroniques possèdent des vies très longues. La façon dont ils s'y prennent pour vivre quasi éternellement n'est traitée qu'à partir du T3. Comme cela est précisé, il s'agit d'un secret dont personne ne parle, mais qui se vit. Il aura fallu attendre le jeune Horus pour que ce sujet soit évoqué dans le cristal. Donc, pour en venir à votre question, nous savons dès le T1 que les Gina'abul possédaient différents noms, différentes épithètes selon les régions, mais aussi selon les âges. Les listes royales rédigées par des mortels ne peuvent pas prendre en compte cet aspect dans sa totalité. Les humains qui se sont attachés à énumérer les années de règne des dieux ou de leur descendance semi-divine (de façon plus ou moins réelle), ne se sont pratiquement jamais risqués à suivre à la trace la vie d'un dieu parce que toutes les périodes de temps que cela représentait défiaient leur compréhension. Je m'explique cette chronologie très simplement :
Ptah = le Gina'abul Sa'am (les deux sont des façonneurs, des cloneurs) Geb = le dieu sumérien Enki (les deux sont des seigneurs de la Terre) Osiris = le dieu akkadien Ea (les deux figurent à la fois l'élément terrestre et l'eau). Le lien entre ces trois aspects du même personnage sont confirmés dans la littérature égyptienne étant donné que Ptah et Osiris sont étroitement associés dès l'Ancien Empire.
Concernant Râ, j'ai démontré qu'il s'agissait de Her-Râ (à Sumer et Akkad : Erra). En Egypte, on retrouve ce dieu sous deux formes : Râ et Horus l'ancien. J'ai noté dans le T2 que ce personnage avait été cloné avec des gènes de Sa'am (Ptah), que l'on peut donc regarder comme son géniteur. Il y a toujours du vrai dans les chronologies, mais elles ont souvent été déformées pour les raisons évoquées plus haut.
4. Apademak : De même, si Shu et Tefnut (les parents de Geb et Nut) sont une forme primordiale d'Osiris et d'Isis (cf. Testament de la Vierge) pourquoi sont-ils vus comme des personnages différents ayant régné à des époques différentes selon les annales ?
Anton Parks : Toujours pour la même raison abordée à l'instant. Isis / OsirisHorus partagent des qualités gémellaires identiques aux légendaires Tefnut et Shu, ancêtres légendaires du panthéon égyptien. Ces personnages ont été inventés par le clergé. Je vous renvoie vers le T3 (note 18, p. 56) : le clergé héliopolitain a associé l'air "Shu" et l'humidité "Tefnut" (images inversées d’Isis et Osiris) à Atum-Râ, afin qu’ils forment ensemble une nouvelle triade pour remplacer celle d’Osiris-Isis-Horus. Sous la IIe dynastie, les spéculations cléricales ont fait d’Atum-Râ (An) le dieu unique qui s’était engendré de lui-même, celui que l’on prie et adore (YAW en égyptien), autrement dit le YHW de la Bible. C’est à cette même époque que le dieu Râ (Horus l'aîné), garant de la stabilité du pays, fut totalement absorbé par Atum.
5. Rise (via le forum) : Après avoir déclenché une guerre pour reprendre le pouvoir sur les Amasutum et établir le patriarcat, An siège au conseil où sont également Osiris, Horus et Aset ! Pourquoi un tel conseil réunirait-il des ennemis ? Sont-ils toujours ennemis ? Car a priori le Mardukù est caduc... An est-il vraiment le maître de son camp ou a t-il perdu le pouvoir face à Enlil ? (Il est dit qu'il a un faible pour lui). An se complairait à être l'éminence grise derrière le bras armé (Seth) ? Mais, alors pourquoi garde-t-il un contact avec "la bande d'Osiris" ?
Anton Parks : Même s'il n'était pas toujours présent sur Terre, An devait pouvoir s'assurer de garder le contrôle absolu des Gina'abul rescapés de la guerre contre Tiamata. Il en était responsable depuis leur arrivée sur Terre. En politique, le fonctionnement est resté le même. Il y a le pouvoir en place avec son grand administrateur ou président (Enlil) et ses différents ministres (les Anunnaki) qui sont opposés aux autres partis (Enki-Osiris ; Ereskigal-Isis ; les Amasutum ; les Ama'argi ; les Nungal…). Au-dessus, se situent ceux qui détiennent le pouvoir et la technologie et qui donnent leurs directives, à savoir dans notre société : les banques, les industriels, les lobbies agroalimentaires et pharmaceutiques que l'on pourrait comparer dans l'histoire qui nous occupe à An, aux Usumgal et leurs Anunna de Mars. Au-dessus d'eux, se trouvent les Kingu… C'est de la pure stratégie politique.
6. Dificultnspa (via le forum) : Pour moi, la seule question est de savoir ce que pense Anton des cartes et des spéculations que j'ai mises sur ce post : viewtopic.php?f=16&t=1152
Anton Parks : Je viens de survoler vos messages en question. Je trouve votre approche très intéressante et je n'y vois, à première vue, rien à redire. Bravo.
7. Apademak : Qui sont les souverains mentionnés par la Liste royale sumérienne et qui possèdent des durées de règne extrêmement longues ? Sont-ils des Annuna(ki) ?
Anton Parks : Il n'existe pas une liste, mais différentes, comme les listes B, G, la chronique royale babylonienne, etc. Je connais bien ces différents documents pour les avoir lus comme vous. Comme ces renseignements ne se trouvaient pas clairement inscrits dans le Girkù, je n'ai pas pu les placer dans les Chroniques. J'ai juste placé un extrait de la liste G, comme citation, au début d'un chapitre du T2 où il est question de la royauté sur Terre. Je peux simplement vous donner un avis : j'imagine qu'il puise effectivement s'agir d'Anunnaki, voire aussi de descendants d'Anunnaki. C'est ce qui me paraît le plus probable.
8. Lembal (via le forum) : J'ai juste noté une importante incohérence dans le comportement d'Enlil décrit par Anton et par Nora. Pourquoi donc ? Dans le récit d'Anton, Enlil, sur le mont Taurus, est le grand Satam qui possède tous les droits et par-dessus tout, celui de traiter ses Adàm comme il le souhaite. Il ne se gène pas pour affirmer à Heru qu'il s'est mélangé avec toutes les femelles Gina'abul ET humaines en sa possession (sic!). Dans le récit de Nora (Aset séquestrée sur Mars), celle-ci décrit un Enlil qui a en horreur les Adàm Abar. A tel point qu'il refuse de les toucher et qu'il s'aide d'un instrument pour châtier jusqu'à la mort la meilleure amie Abar d'Aset ; celle-ci s'étant fait remarquer en ayant trop mis en avant sa finesse d'esprit lors d’une "joute marsienne". Il est dit clairement qu'Enlil ne supporte pas l'odeur ni le CONTACT des Adàm. Nous avons donc deux Enlil, celui d'Anton qui aime posséder toutes ses femelles (Adam inclus) et celui de Nora qui ne supporte d'être à proximité des humains... Un petit éclairage sur la question ?
Anton Parks : C‘est une très bonne question. Une période de temps importante sépare les deux comportements d’Enlil qui sont effectivement à l’opposé l’un de l’autre. Nora et moi l'avions remarqué et nous en avions discuté longuement plusieurs fois alors que je rédigeais le Testament de la Vierge et le T3. Il faut savoir qu'il y a la période avant la mort de Sé’et et la période d'après. Les femelles Gina’abul ont toujours énormément communiqué entre elles. Il est vraisemblable que, petit à petit, le meurtre de Sé’et par Enlil ait été connu de toutes les Amasutum. Donc, plus aucune d’entre elles n'aurait souhaité avoir de rapports avec lui ou devenir même sa compagne. Enlil a alors fréquenté des humaines, avec sans doute une préférence pour celles qui devaient posséder du sang noble (voir par exemple le sceau d'Ur U.14597 du T3 où l'on voit un Anunnaki s'accoupler avec une humaine). De toute façon, ses pulsions sexuelles étaient plus fortes que son appréhension concernant les humains avec laquelle il a manifestement conjugué.
9. Tony (via mail) : Anton Parks parle d'un métal capable de repousser l'énergie développée par le Girkù. Il est nommé "fer du ciel" dans le Réveil du Phénix (armes de Seth et de Râ). Quel est ce métal mystérieux ? A-t-il été (re)découvert par l'homme récemment ? Cela a-t-il un rapport avec l'orichalque mythique ?
Anton Parks : A notre époque, le mélange des métaux est une science qui en est à ses débuts, de nouveaux métaux ayant été découverts depuis peu. Il y a déjà eu une avancée considérable dans ce domaine et des nouveaux alliages très durs ont vu le jour ces dernières années. A travers ce que j’ai reçu, je ne connais pas la composition de ce métal, Heru n’étant pas intéressé par ce genre de questions. Cependant, comme il est dit que ce métal venait du ciel, il est possible qu'il ait luimême fait l’objet d’un mélange et qu'il fut un alliage particulier capable de résister à de fortes chaleurs.
10. Jean (via mail) : Pourquoi les tableaux en couleurs des pages centrales sont légèrement différents d’un livre à un autre ?
Anton Parks : Les tableaux sont rédigés en fonction de l'évolution du récit. Ils sont complétés à chaque tome. Pour les premières versions du T2, il s’agissait d’une initiative de l'ingénieur Gerry Zeitlin. Pour le T3, et les dernières rééditions du T2, c’est Nora qui s’en est chargé sous ma demande et ensuite mon contrôle. Elle en a
profité pour les compléter et rectifier quelques imprécisions. Nous placerons un dossier sur notre site sur le sujet des tableaux, avec explications et descriptions.
11. Ma Tudi (via le forum) : Comment se fait-il que les personnages du récit passent aussi facilement, sans danger, d'une dimension à l'autre ? Si je puis dire, comment osent-ils prendre ce risque à première vue inconsidéré ? On voit d'ailleurs que Sa'am, dans le premier tome, est conscient du risque mortel qu'il peut y avoir à se retrouver projeté dans une autre dimension à un endroit déjà occupé par un champ de matière dense animal, végétal ou minéral (problème des ossements sur la lune d'Esarra, puis hésitation dans le couloir souterrain de la Duat à Adhal). Mais très vite, dans le tome 2, avec par exemple la centaine d'Ama'argi partie éliminer les Musgir, le problème semble ne plus exister et tout le monde se transfère d'un plan à un autre sans se poser de questions et sans conséquences dommageables... (nous avons coupé la question trop longue, merci de vous reporter à l'original).
Anton Parks : Très intéressant, mais vous semblez percevoir le passage d’une dimension à l’autre comme une dématérialisation et une re-matérialisation un peu comme dans les séries Star-Trek et Stargate, où dans ces deux cas, il ne s'agit pas de passages entre dimensions, mais de voyages d'une 3D à une autre. Il me semble que l'effet qui s'opère dans les Chroniques soit plutôt un glissement d'un individu d’une dimension à une autre, je vous rappelle que toutes les dimensions se chevauchent en quelque sorte, en tout cas, elles sont reliées. Je ne l'ai pas vu, mais je suppose qu’il doit se créer un réseau énergétique autour du corps de la personne qui tient un Gurkur en main, un peu comme une bulle invisible. Sa'am manipule un Girkù (un cristal), alors que les Ama'argi disposent de sphères Gurkur, ces technologies sont différentes. Avec un Girkù, la manipulation que demande ce genre de voyage fréquentiel demande beaucoup de concentration, sans doute pour créer ce champ de force, alors qu'avec un Gurkur, le franchissement se fait sans aucun effort. Concrètement, pour ce genre de transfert dimensionnel, le cristal Girkù s'utilise uniquement avec le Niama, ce qui rend sans doute la manipulation délicate parce qu'il faut être très concentré et centré : ce qui explique aussi la longue initiation de Sa'am-Enki.
12. Ma Tudi (via le forum) : Dans le T2, il est sans cesse question des étapes et circonvolutions entourant la création de l'Humanité Moderne (post-Namlu'u), de ses diverses versions noires et blanches. Or, jamais il n'est question de la version "jaune", Extrême-Orientale. Pourtant, aussi loin que puissent remonter les historiens dans leurs calculs en histoire démographique, les ExtrêmeOrientaux (populations situées aujourd'hui principalement en Chine, Corée du Nord et du Sud, Japon et une partie de l'Asie du Sud-Est) ont toujours représenté plus d'1/3 de la population humaine mondiale. Et leurs caractéristiques morphologiques sont aussi clairement distinctes des autres que peuvent l'être respectivement les peuples blancs et les peuples noirs sur Terre. Que peut donc nous dire Anton sur leur origine ? Selon lui, est-ce Nammu, Sa'am/Heru, Ninmah, An, des Kingu ou d'autres êtres encore qui sont
à l'origine de cette version de la création humaine ? Pourquoi cette version ? Et pourquoi n'apparaissent-ils jamais jusqu'à ce stade du récit des Chroniques ?
Anton Parks : La réponse à cette question se trouve dans le T3, à la fois lorsqu'il est question de l'origine des Amérindiens et sur le graphique jaune des races adamiques au milieu du livre, où vous verrez que les branches amérindiennes et asiatiques se divisent aux environs de 80.000 av. J.-C. Comme je l'ai rappelé dans l'introduction du T3, les notions de temps sont difficiles à évaluer dans les Chroniques. Donc, pour déterminer cette date, je me suis simplement basé sur celle annoncée par Ours Blanc (Cf. dossier : Atlantis contre Mu sur notre site).
Les Asiatiques et les Amérindiens possèdent une particularité génétique collective qui tendrait peut-être à prouver leur origine commune : la marque dite mongolique ou mongoloïde. Elle est généralement de coloration bleu-vert et parfois bleu-gris. Habituellement, elle disparaît totalement à l'âge de deux ou trois ans. Elle mesure entre 1 et 3 cm et elle est souvent située dans le bas du dos, dans la région du sacrum ou sur le coccyx. Elle est présente dès les premiers jours chez la totalité des bébés d’ascendance asiatique, inuit, amérindienne, mais aussi africaine. Concrètement des branches dont Nammu et son fils étaient directement responsables ! Etonnante constatation : n'importe quel romancier aurait sauté sur l'occasion et trouvé l'opportunité de faire évoluer son scénario autour de cette idée. Seulement, vous savez tous que je me limite à ce que j'ai vu et compris. Je n'ai malheureusement pas d'informations complémentaires sur ce point, c'est pourquoi je n'en parle pas dans les Chroniques. Un de mes neveux est à moitié Amérindien, il a porté cette marque de naissance sur son coccyx jusqu'à l'âge de trois ans. Je l'ai vue et je peux vous dire qu'elle avait même une forme triangulaire. Quelques blancs la porte parfois (assez rarement), mais en raison d'un métissage éloigné.
Pour en revenir au contenu de ma série d'ouvrages, je dois vous rappeler que le déroulement des Chroniques suit la chronologie des événements dans le temps. Bien qu'il soit totalement évident que je n'ai reçu qu'une partie de toute cette très longue histoire, il semblerait que Sa’am n’ait jamais rapporté des informations au sujet des Asiatiques dans son cristal ; il s'y trouve juste une ou deux allusions. A l'époque de la scission de la branche originelle des Amérindiens et des Asiatiques (80.000 ans), nous savons que Sa'am n'utilisait plus son cristal. Cela ne veut pas dire pour autant qu'il n'ait jamais eu de contact avec eux, bien au contraire.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Questions / Réponses 2
Date de cette entrevue Janvier 2011
Pour ceux à qui ça intéresse, évidemment.
Ça complète ses livres.
Ça vous permet de vous faire une idée du bonhomme.
Panthère(3)58 propose ; vous disposez selon votre jugement, votre discernement, VOS FILTRES !
Lien : http://www.antonparks.com/interview_anton_parks_web2010.pdf
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Extrait #2 :
1. Questions concernant le contenu des ouvrages :
13. Ma Tudi (via le forum) : D'où viennent en fin de compte les Musgir qui apparaissent dans le premier tome sur la planète Dukù, et dont certains vont rejoindre la Terre après la guerre des Pléiades ? En effet, deux versions de leur origine apparaissent dans le Tome 1. Ils seraient tantôt une recréation faite par Anshar à partir des nombreux gènes prélevés par Ninmah pour An dans la bibliothèque du patrimoine génétique, tantôt, selon Sa'am, d'anciens Musgir rescapés de la Grande Guerre qui se seraient terrés dans les deux premières dimensions pour se soustraire aux Sukkal venus débarrasser les lieux de leur présence... Or, aucune des deux hypothèses ne paraît tenir la route :
- Premier cas, la recréation : il faut 14 Danna (28 heures terriennes) pour faire un Nungal. Il en faut donc sans doute à peu près autant à An en Mulmul pour faire un Anunna ou un Musgir. Notons qu'An dispose d'environ 1200 matrices artificielles. Or, selon les propres termes d'Anton dans une de ses interviews, l'ensemble du tome 1 court sur un total de 2 à 3 années. Prenons même 3 années pleines pour la "période création" en Mulmul (1095 jours environ, donc). Et même, réduisons la création des Annuna et Musgir à 12 Danna, avec un roulement permanent jour après jour, mois après mois... Au grand maximum, on peut produire 1.200.000 à 1.300.000 Anunna, et pas un seul Musgir ! (A noter qu'An a produit 1.500.000 Anunna en tout, même là le compte n'est pas bon...) - Deuxième cas, la subsistance de Musgir rescapés de la Grande Guerre (hypothèse de Sa’am page 361, tome 1). Autant que je sache, les Musgir ne possèdent pas la vie biologique éternelle procurée par le renouvellement de la peau. Or, la Grande Guerre est antérieure à l’histoire rapportée dans les Chroniques de 64 millions d’années environ. Donc les Musgir éventuellement rescapés devraient être morts depuis longtemps. Pouvez-vous éclairer ce point sur l’origine des Musgir (et aussi sur le chiffre de 1,5 millions d’Anunna clonés, vu les problèmes de temps de fabrication évoqués plus haut ?)
Anton Parks : Ma Tudi, vous raisonnez encore une fois avec des notions spatio-temporelles terrestres. C'est un peu comme si vous m'annonciez que nos concepts spatio-temporels peuvent expliquer la courbure de l'espace-temps, sachant que le temps terrestre n'est pas une donnée absolue dans l'univers… D'un autre côté, je ne peux pas vous jeter la pierre alors que j'ai fait de même (peut-être maladroitement) en tentant de quantifier le temps écoulé du T1 avec nos notions spatio-temporelles terrestres. Explications : Il a été prouvé scientifiquement que le temps passe plus vite en haut d'une montagne que plus bas, au niveau de la mer ; vous imaginez ce que cela donne dans l'espace à des années lumière de la Terre. Toutes ces choses qui pourraient être faites ailleurs, mais impossibles à réaliser dans la logique de notre espace-temps… En relativité générale, la courbure de l'espace-temps ralentit le temps par rapport au temps mesuré hors champ de gravitation. Dans ce contexte, deux horloges identiques et synchronisées, l'une qui a voyagé dans l'espace et l'autre qui est restée sur Terre, n'ont plus la même heure ! Le même problème se retrouve avec les sondes Pioneer qui semblent ralentir à nos yeux au fil de leur éloignement dans les profondeurs de l'espace… Pour faire court, prenons l'exemple de deux jumeaux, un qui reste sur Terre et l'autre qui voyage dans l'espace, c'est celui qui aura voyagé dans l'espace qui aura le moins vieilli des deux. Même si cela peut paraître fou, illogique, paradoxale, c'est pourtant vrai. Notre science actuelle regorge de paradoxes, d'univers parallèles et d'incohérences défiant les lois de la physique moderne ! D'autres facteurs peuvent entrer en compte comme par exemple celui de la relativité générale qui démontre que plus une planète est massive, plus l'écoulement du temps y est lent… Un bon exemple est ce merveilleux film de Robert Zemeckins (vraiment un de mes préférés) : CONTACT. Comme vous le voyez, nous ne résoudrons pas ce problème ici, mais nous avons tout de même avancé. Merci pour cette question.
14. DeathRamps (via le forum) : Page 37 du T2 (Adam Genisis) : On apprend que Sa'am découvre l'existence d'Itud (La lune) via Sé'et, et que ce serait un "Astre Artificiel" qui servait de base aux Kingu (Imdugud). Ma question est donc : Comment cet Astre artificiel fut-t-il créé, par qui et à quelle époque? (Même si ça doit probablement être les Kingu). Pensez-vous que des bases humaines s'y trouvent de nos jours ? Si oui, quel serait leur rôle ?
Anton Parks : Oui, il doit s'agir d'une très ancienne création Kingu. Je n'ai aucune idée concernant la création d'Itud, Sa'am n'étant pas présent à cette époque et cette information ne paraissant pas inscrite dans ses annales. Je ne sais pas non plus si des bases humaines s'y trouvent, mais je trouve étonnant que l'homme n'y ait jamais remis les pieds depuis les années 1970, alors qu'il était prévu qu'il y bâtisse des bases officielles. L'arrêt subit des missions Apollo n'est pas clair. La Nasa nous fait croire qu'elle travaille sur la conquête spatiale alors qu'elle ne serait pas capable d'établir une base sur la Lune ? C'est un non-sens. Avant de se lancer dans une compétition, il faut passer du temps à s'entraîner… Tout le projet NASA ressemble à un énorme canular. Ce n'est qu'un avais personnel, mais je suis convaincu que la NASA travaille sur d'autres projets secrets, leur programme officiel n'étant qu'un arbre qui cache la forêt. Ou bien encore, la Nasa ne serait qu'un paravent offert en pâture à notre attention, alors que l'espace serait pendant ce temps militarisé…
15. Prométhéen (via le forum) : A propos d'Osiris-Enki, sa mort n'était-elle pas inévitable ? Une fois qu'il avait assuré l'implantation de la colonie Anunna sur Terre, il ne leur était plus utile... Il devenait même dangereux pour eux en travaillant contre leurs intérêts (armement de l'Humanité...). N'est-ce pas exceptionnel dans un sens qu'il ait survécu aussi longtemps ?
Anton Parks : Oui, vous avez raison, d'une certaine manière on peu le dire comme cela. Cependant, malgré les apparences, An-Atum affectionnait son fils EnkiOsiris. Je pense que c'est d'ailleurs pour cette raison que Enki-Osiris a pu survivre aussi longtemps. An devait tout à son fils. Ce dernier incarnait l'équilibre dont l'humanité avait besoin pour survivre tout en restant sous le contrôle des Anunnaki. L'assassinat d'Enki-Osiris relève plutôt de la seule décision d'Enlil-Seth. Particulièrement en raison du refus d'Enki-Osiris quant à la question du commerce entre l'ancienne Sumer des Anunnaki et l'Egypte. Enlil-Seth était extrêmement jaloux d'Enki-Osiris, il a fini par trouver sa guerre et son excuse pour passer à l'acte. De son côté, An-Atum a profité de la mort de son fils et de l'instabilité du clan d'Isis pour se hisser à la tête de l'assemblée égyptienne que l'on retrouve dans l'arbre des Sephiroth de la Kabbale juive.
16. David (via mail) : Dans votre dernier livre le Réveil du Phénix, vous nous proposez un arbre des Sephiroth égyptien. Il y a un problème, l'arbre des Sephiroth de la Kabbale juive date du Moyen Age !
Anton Parks : Un magazine m'a posé la même question il y a quelques semaines, je vous restitue ma réponse : Oui, il est exact que cet arbre est apparu au Moyen Age alors que la Bible juive la plus complète date, elle aussi, du Moyen Age (codex de Leningrad conservé dans la bibliothèque de Saint-Pétersbourg), précisément de 1008 de notre ère, alors que ses racines sont généralement considérées comme ayant été élaborées vers le 8ème siècle av. J.-C., pendant que les royaumes d'Israël et de Juda étaient en pleine occupation assyrienne ! Il n'y a donc aucun problème à voir des concepts puiser leurs racines loin dans le temps pour finalement se synthétiser et se matérialiser bien plus tard. La Bible est un bon exemple. Les anciens Hébreux prétendent avoir été aussi dominés par les Egyptiens, il n'est pas étonnant de voir des concepts égyptiens et mésopotamiens dans leurs écrits. Ce que je démontre formellement et simplement dans cet arbre égyptien des Sephiroth, c'est que tous les termes sont égyptiens et qu'ils ont sans doute été déclinés en hébreu par la suite. Il s'agit d'une action magique où les symboles et les chiffres sont mis à contribution. L'arbre égyptien des Sephiroth représente assurément l'assemblée primitive des dieux égyptiens. En plus des noms originellement égyptiens, on retrouve dans chacune des Sephiroth les attributs de chaque divinité de l'Egypte ancienne. De surcroît, chacune d'entre elles est à sa place dans la hiérarchie des dieux… C'est fondamental et doublement ennuyeux pour l'identité profonde de cet arbre.
17. Peter (via le forum) : Je voudrais bien savoir comment un être créé génétiquement peut-il avoir la possibilité de déjà parler, raisonner, réfléchir et de posséder une connaissance scientifique avancée une fois sorti d'une matrice ? En effet lorsque An crée Sa'am, il le crée dans un but génétique pour créer les Anunna. De manière innée, Sa'am connaît les étapes de création d'un alagni (clone). Comme An s'y prend-il pour permettre ce prodige ? Est-ce une connaissance transmise par le biais du code génétique (si oui c'est difficilement compréhensible) ou au sein du cerveau, autre hypothèse une connexion intime (permis par la génétique) à un savoir d'informations ?
Anton Parks : Franchement, je ne sais pas trop. J'imagine que cela doit pouvoir s'expliquer de façon scientifique, mais je ne suis pas un homme de science et je ne sais même pas si les avancements de la science actuelle peuvent expliquer ce phénomène aujourd'hui. La science sait que cloner un animal au stade adulte serait réalisable, encore faudrait-il posséder des matrices artificielles, ce que nous ne possédons pas officiellement en tout cas. En ce qui concerne la transmission de connaissances dans le cas des Gina'abul, cela semblait se jouer lors de la manipulation des gènes. Une programmation pouvait s'effectuer avec la possibilité de connecter ou déconnecter certaines données appartenant au(x) donneur(s). Quelques Gina'abul comme An avaient la possibilité d'organiser le processus dès ce stade, c'est pourquoi certains d'entre eux pouvaient aussi cloner des sang-mêlé. Je ne préfère pas m'avancer plus sur ce sujet que je ne maîtrise pas. Je ne m'en étonne pas non plus. Tout ce qui touche à une forme de manipulation génétique non conventionnée par la sphère planificatrice de cet univers me semble interdite ici-bas. D'ailleurs les Hopis de l'Arizona qui détiennent des informations en ce domaine, le savent très bien. Le genre humain ne devrait pas avoir accès à ce genre de connaissance, car il ne fait pas encore partie des planificateurs. C'est un peu comme si nous donnions de la dynamite à des enfants.
18. Apademak : Dans le récit des Chroniques, les relations sexuelles entre Gina'abul et humains donnent une descendance. Ainsi, au cours du récit, il est complètement fait abstraction du mécanisme d'isolement reproductif, loi biologique qui empêche l'hybridation de deux espèces, même lorsqu'elles sont très proches et étroitement apparentées. Des créations génétiques dans des matrices artificielles je veux bien mais pour qu'il y ait reproduction sexuelle naturelle, il faut absolument que les 2 géniteurs appartiennent à la même espèce, sinon ça ne fonctionne pas.
Anton Parks : Si ce point vous interpelle autant, je me permets de vous dire que votre question me fait le même effet. C'est comme si vous veniez me déclarer qu'un caniche et un pitbull ne pouvaient pas se reproduire ensemble, ce qui n'est pas exact comme tout le monde le sait. Certes, un caniche et un pitbull sont très différents physiquement, mais ils ont ce point commun qui leur permettra toujours de se reproduire : ce sont des canidés ! Pour les Gina'abul et les humains, la question
est du même ordre, ils appartiennent à une même espèce : celle des humanoïdes. J'oserai même ajouter que de mon point de vue personnel, un caniche et un pitbull possèdent bien plus de différences physiques qu'un humain et un Gina'abul !
Beaucoup trop de lecteurs ne comprennent pas ce point essentiel, ce qui est fort regrettable. Gina'abul et humains appartiennent à une même famille, d'autant que nous possédons des gènes Gina'abul, comme l'a d'ailleurs rappelé James Rooms dans sa préface du T3. De plus, vous avez le sceau en provenance d'Ur que j'ai placé et analysé pour vous dans le dossier sur les Gina'abul à la fin du T3 : il démontre bien que cela a existé. Vu la physionomie du reptilien gravé sur ce sceau, je pense qu'il s'agit d'un Anunnaki et non d'un Nungal qui possède un aspect plus "humain".
19. Apademak (via le forum) : Pourquoi les protagonistes des Chroniques que nous voyons dans les illustrations (Nepthys, Isis, Horus) s'amusent à porter des gènes récessifs (peau blanche, yeux clairs, traits fins, cheveux lisses...) alors que ce sont des experts en génétique ? Et donc accessoirement pourquoi avoir placé ces mêmes gènes chez les Lubarra ? Personnellement je percevais cette "européanisation" des personnages comme sociologique, afin que les lecteurs puissent mieux s'identifier aux personnages, mais il en est peut-être tout autrement donc je me permettais de poser la question.
Anton Parks : Cette question a déjà été traitée sur notre forum et j'y avais répondu exceptionnellement. Je vais donc me répéter : Nephtys, Horus et l'ensemble des Nungal (Djehuti et Enlil-Seth compris) possèdent des gènes Kingu ! Je ne vois pas où se trouve le problème. Cette question rejoint un peu la précédente. Je pense que certains lecteurs ne comprennent pas - ou ne souhaitent pas comprendre - que les Gina'abul sont des humanoïdes et que ceux qui détiennent les gènes royaux Kingu ressemblent énormément aux humains à la peau blanche. Je vous rappelle qu'ils portent généralement des cheveux. On le voit par exemple lorsque Isis devient à son tour Kingu, non par magie, mais grâce à la fusion qu'elle effectue avec son fils. La seule différence notable pour les Kingu, Nungal, Immdugud, etc. étant les petites écailles et bien souvent le crâne allongé. Les autres Gina'abul, comme les Anunna, les Usumgal, Sa'am-Enki, Nammu, Dim'mege, les Abgal, les Miminu, etc. sont effectivement d'aspect plus reptilien avec une peau verte, souvent des yeux rougeâtres, sans cheveux (ou bien des perruques), avec des écailles plus prononcées.
20. Appademak (via le forum) : Où a eu lieu précisément la création des premiers homo-sapiens (Sag'giga, hommes noirs) ? Dans Adam Genisis (page 245) cela semble être l'Eden (Turquie actuelle) pour être ensuite déplacé en Edin (actuel Iraq) afin de cultiver le sol. Pourtant, l'archéologie nous montre que les plus anciens hommes modernes ne proviennent pas de ces régions mais plutôt de la région des Grands lacs en Afrique (Omo I et Omo II, -195.000 BP ou l'homo sapiens idaltu, -154.000 BP en Éthiopie). En outre, l'étude de l'ADN Mitochondrial nous apprend que les peuples les plus anciens sur Terre sont ceux des San d'Afrique Australe et des Sandawe de Tanzanie (qui disposent de l'haplogroupe L0). Les Pygmées Binga ne venant qu'en troisième position (haplogroupe L1). Ainsi, l'apparition la plus ancienne des hommes modernes au Moyen-Orient sont les ossements de Qafzeh et Skhul en Israël/Palestine, datés respectivement de –97.000 et –80.000 BP), ce qui laisse tout de même presque 100.000 ans durant lesquels les sapiens ne sont pas sortis d'Afrique (ceci est confirmé par la paléontologie et la génétique). Est-ce que cette longue période peut être située dans les Chroniques ? Comme il est dit dans l'introduction du Secret des Étoiles Sombres que les Sumériens viennent d'Afrique, je voulais avoir plus de précisions à ce sujet.
Anton Parks : Beaucoup de points relatifs à toutes ces questions se trouvent déjà dans le récit d'Adam Genisis, mais aussi dans son tableau (lignées adamiques), réédité dans le T3 où des précisions ont été apportées. Les travailleurs que vous évoquez au début de votre question (Kharsag / Eden) ne concernent que quelques centaines d'individus. La zone de Kharsag que je pointe depuis le T2 devrait faire l'objet de fouilles sérieuses. Il serait quasi impossible de ne rien y trouver, aussi bien en ossements, qu'en blé ancien et en vestige d'habitation, quoique pour ce dernier cas, cela soit moins évident puisque les habitations de Kharsag étaient essentiellement en bois.
Vous évoquez des dates entre -97.000 et -80.000 BP au Moyen-Orient (Israël / Palestine) en indiquant qu'il s'agirait des plus anciennes traces de l'Homo Sapiens retrouvées à ce jour dans cette région. Oui, mais la science (qui n'est d'ailleurs jamais figée), et particulièrement les magazines dits "scientifiques" destinés au grand public, ne mentionnent jamais qu'en Edin (la plaine mésopotamienne), où tous les regards sont fixés pour y déterrer nos origines "bibliques", il est quasiment impossible de trouver quoi que ce soit entre le Tigre et l'Euphrate au-delà de 6.000 ans av. J.-C. !! Particulièrement entre la moyenne et la basse Mésopotamie. Il y a une raison scientifique très simple à ce phénomène qui n'est rapportée que dans des ouvrages spécialisés. J'en parle avec précision dans le livre que je prépare et qui devrait sortir en 2011. Donc, je ne vous en dirais pas plus pour l'instant, mais ce phénomène découle d'une raison simple validée par de nombreux spécialistes en la matière. Dans votre question, vous évoquez aussi près de 100.000 ans durant lesquels les Sapiens auraient séjourné en Afrique, mais je vous rappelle que dans le T2, il est indiqué que Sa'am exploitait les mines de l'Afrique pour le compte des Anunnaki et qu'il y avait introduit une importante main d'œuvre pour s'en charger. Par la suite, ils a rendu la liberté à bon nombre d'entre eux qui ont séjourné sur le sol africain…
21. Apademak (via le forum) : Parallèlement, où est-ce que la première création des homo-sapiens "leucodermes" (blancs) a-t-elle eu lieu (quelle zone géographique) ? Pourquoi ces derniers ont-ils été créés (au cours des Chroniques il est simplement dit que ce fut pour "dérouter les dirigeants de Kharsag") ? Les Lubarra disposent-ils de différences psychiques avec les Sag'giga ? Pourquoi est-ce que la plupart des allèles des gènes des Lubarra sont-ils récessifs face aux allèles des gènes des Sag'giga ? Est-ce aussi en rapport avec la science des Gina'abul ?
Anton Parks : Les zones géographiques ne sont pas mentionnées tout le temps dans le récit, difficile d'avoir une telle précision sinon cela deviendrait vraiment du roman. Par contre, la majorité d'entre elles est visible dans le tableau jaune des lignées adamiques en pages centrales du T2 et T3. D'après les Chroniques, la race blanche a été originellement créée sur Mars par Ninmah. Elle avait pour objectif de manifester la suprématie du clan d'An sur leurs ennemis Kingu. Ensuite, il ne faut pas oublier qu'une grande partie des Gina'abul issus de la guerre des Pléiades étaient des blancs (Nungal, Enlil, Djehuti, par la suite Inanna…). De ce fait, l'homme blanc a été introduit dans le paysage terrestre pour les mêmes raisons. Ce n'est qu'après que le clan d'Enki-Osiris l'a ensuite modifié pour des mobiles clairement expliqués dans le T3, lors d'une discussion entre Horus, le roi des Neferu et sa fille Altin.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Questions / Réponses 3
Date de cette entrevue Janvier 2011
Pour ceux à qui ça intéresse, évidemment.
Ça complète ses livres.
Ça vous permet de vous faire une idée du bonhomme.
Panthère(3)58 propose ; vous disposez selon votre jugement, votre discernement, VOS FILTRES !
Lien : http://www.antonparks.com/interview_anton_parks_web2010.pdf
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Extrait #3 :
22. Pad (via le forum) : Est-ce que parmi les informations que vous avez reçues, vous avez pu à un moment donné rencontrer dans l'univers des Gina'abul quelque chose qui pourrait se comparer à un tarot ou un oracle ou un quelconque jeu divinatoire ?
Anton Parks : Non, je n’ai rien vu de tel, mais cela ne veut pas dire que cela n’a pas existé. La divination et les prophéties sont des sciences que possèdent les Abgal et ils ne communiquent pas sur ces sujets. Nous avons vu que les prophéties tiennent une place importante chez les Amasutum. Quant à leur approche, je ne pense pas que nous puissions appréhender et comprendre ces divinations à travers l’intellect seul, puisque certaines d'entre elles se font à travers des situations très simples et anecdotiques, en apparence.
23. Pad (via le forum) : Si oui, est-ce que cela avait un lien avec Djehuti ? Sinon, est-ce que vous savez quel rôle Djehuti a pu jouer sur l'évolution de l'humanité ?
Anton Parks : Djehuti était à la fois un sage mystagogue et un très grand scientifique. Selon la pensée égyptienne, il est celui qui connaît tous les secrets. Il fait partie de l’arbre de vie ; il est également un idéal. Djehuti a passé son temps à régler des problèmes en tout genre, aussi bien politiques que scientifiques. Il était en quelque sorte le garde des sceaux des Gina'abul et le plus sage des veilleurs Nungal. Sans lui et son soutien, et particulièrement après la mort d'Enki-Osiris, l'équilibre entre l'ombre et la lumière aurait été brisé et le clan Gina'abul proche de la Source, aurait été absorbé par An, Enlil et leurs Anunna. Son rôle a été déterminant.
24. Pabio (via le forum) : Question à Anton et Nora sur les abeilles d’Enki. Djehuti, fidèle compagnon d’Enki, nous apprend dans le tome 3, le Réveil du phénix, que des milliers d’abeilles auraient accompagné l’âme Osiris dans l’audelà et résideraient depuis dans une dimension parallèle. Ces mêmes abeilles protégeant Horus lors de séances de voyage astral. Sur notre Terre, les abeilles sont les messagères du printemps, les entremetteuses de la vie végétale. Elles participent activement à notre écosystème et sont quasi indispensables à la chaîne alimentaire de par la pollinisation des fleurs. Comme tout a chacun, vous êtes au fait que ces abeilles deviennent une espèce menacée d’extinction. Les apiculteurs disent que les ruches sont désertées, parfois en une seule journée. Ainsi le soir venu, les butineuses d’un même groupe décident de ne pas réintégrer la ruche royale et abandonnent leur reine mère à une mort certaine. Par ailleurs, on ne retrouve ni cadavre, ni déplacement ou migration de ces millions d’abeilles. Donc, vous aurez compris ma question sous-jacente… Pensez-vous que nos amies les abeilles aient soudainement pris la fuite dans une autre dimension ? Si tel était le cas, auriez vous un début de réponse à ce comportement aussi peu solidaire à notre sort ?
Anton Parks : Non, ne soyez pas prêt à croire ce genre de choses qui sont diffusées ici et là. Je ne pense pas que les abeilles disparaissent dans une autre dimension. Le cas d'Osiris et de ses abeilles n'a aucun rapport. Les abeilles d'Osiris ont suivi leur maître dans l'au-delà, ce qui a aidé d'une certaine manière à sa résurrection. Il s'agit d'un cas à part. Si vous observez bien la nature, les insectes morts ne restent pas longtemps sur le sol. Ils sont éliminés en quelques heures par d’autres insectes ou animaux. Il y a plusieurs causes à la disparition des abeilles. Les scientifiques ont longtemps pensé qu'il s'agissait de l'addition de plusieurs facteurs comme : - Les antennes relais et les ondes magnétiques générées par les machines, les technologies et l’industrie. Dans ce cas, les abeilles peuvent ne retrouver leur ruche le soir, elles sont désorientées et s’éparpillent. Cela peut sembler difficile pour nous de le comprendre parce que l'humain ne semble pas affecté par ce genre de problème, en tout cas à court terme, bien qu'à mon avis cela soit caché par les industriels. Les effets néfastes sur la santé sont plus lents chez l'humain. En fait, les pesticides, les polluants et les OGM semblent être la cause définitive du problème.
Nora Parks : Nous pouvons aussi ajouter : - L'appauvrissement des différentes races d'abeilles élevées. La race d’abeille noire a été presque abandonnée en Europe, car elle était plus agressive. Mais elle était surtout plus résistante… - De nombreux apiculteurs donnent à manger du sucre industriel (pauvre en minéraux) aux abeilles au lieu de leur laisser une partie de leur miel, riche en substances nutritives autres que le glucose dont est justement composé le sucre industriel. De ce fait, leur système immunitaire baisse, elles sont alors peu résistantes aux maladies. - Depuis quelques années, une race de frelon venue d’Asie est un terrible prédateur pour elles. Ce frelon sévit surtout dans le sud-ouest de la France. Il n’est pas le seul prédateur des abeilles. - Etrangement, de nouveaux parasites inédits s'abattent sur elles, comme les larves de Meloe franciscanus, nouveau type de parasite découvert en 2000.
Mais, la réponse définitive semble se trouver dans un documentaire de Mark Daniels que Arte a édité en DVD, intitulé le Mystère de la disparition des Abeilles (Arte éditions, 2010). La réponse scientifique à la question de la disparition des abeilles est annoncée à l'issu de ce reportage passionnant et fort bien documenté : les pesticides ! Toutes les démonstrations s'y trouvent. Il arrive aux abeilles ce qu’il nous arrivera bientôt si nous ne nous réveillons pas ; elles sont bien les messagères de la vie.
25. Padawan_Tiresias (via le forum) : Pour ma part, ma curiosité se tourne plutôt vers le personnage de Sabu (Anubis) ; sera-t-il de nouveau évoqué, voire présenté de manière plus détaillée dans les tomes suivants ? - Au sujet de son origine, il est dit qu'il est fils de Meri Aset, mais est-ce un Kirišti né des flancs de la reine de Kemet ou bien est-il un alagni sorti d'une matrice artificielle ?
Anton Parks : Oui, Sabu se trouvera dans la suite du récit. Sabu est un sangmêlé. Pour le reste de votre question, vous trouverez la réponse en bas de la page 77 du T3.
Padawan_Tiresias (via le forum) : Et donc dérivant de la question précédente, qu'en est-il de son aspect physique ? Possède-t-il des gênes et une physionomie Albinos/Nungal comme son frère Heru, ou bien a-t-il les mains palmées des Abgal ou encore a-t-il un faciès allongé façon Gina'abul plus traditionnel ? Enfin, pour finir, que peut-on savoir sur lui et son rôle auprès de l'humanité et de la famille d'Aset ?
Anton Parks : Pour la couleur de sa peau et ses yeux, voir encore page 77. Oui, Sabu avait bien les mains légèrement palmées et un faciès un peu allongé, mais pas autant qu'Osiris. Sabu est un personnage important de cette partie de l'histoire. Il possédait la sagesse de ses deux parents, mais aussi celle de Thot qui a été son maître pendant longtemps. Il était aussi un redoutable guerrier. Son union avec Altin, la fille du roi des Neferu (Nephilim), aura apporté à son frère Horus les cartes nécessaires pour contrecarrer les plans d'An et de tenter de déjouer son jeu. Je ne peux pas en dire plus sur ce personnage pour l'instant. Je pense que vous comprendrez que si je vous révélais des aspects non traités, je prendrai le risque de les voir utilisés et appropriés par d'autres sur le Net ou dans des ouvrages, perdant ainsi toute la primeur et surtout le sens profond de ce qui doit être transmis. D'après ce que l'on m'a rapporté, c'est devenu un sport pour certains de reprendre et de s’approprier mes propos, voire de les modifier selon des objectifs personnels.
26. Lembal (via le forum) : Qui a construit les pyramides et les sites mégalithiques d’Amérique centrale et du Sud ? d’Europe de l’Est ? De Chine ? Quelles méthodes ont-été utilisées pour assembler ces divers monuments : bras humains ou lévitation ?
Anton Parks : Que d’impatience, étant donné qu’il s’agit de la suite des Chroniques. Cependant, pas pour la Chine, comme évoqué plus haut dans la réponse donnée à Ma Tudi à propos de l'humanité jaune.
27. Lembal (via le forum) : Les Anunna font-ils des NDE ? Ont-ils un paradis des Anunna ? Le partagent-ils avec toutes les autres entités de l’univers y compris les êtres humains ? Les Miminu (les gris) ? Les Abgal ? Tiens d’ailleurs lorsque qu’une entité éthérée meurt - si c’est possible - où va son âme ? Les Namlu'ù peuvent-ils également mourir ? Où sont-ils actuellement ?
Anton Parks : Comme je le dis souvent, il n’y a pas d’âme reptilienne ! Il y a l’âme tout court, et les formes d’incarnations sont variées en fonction de ce que l’entité souhaite apprendre et expérimenter. L'aspect individuel est parfois secondaire, car dans certains cas comme celui de l'histoire que je retrace, l'objectif concerne un plan complet, une famille qui travaille collectivement pour restaurer un équilibre, mais aussi un domaine céleste, à savoir celui de Sirius C. Il n'y a aucune raison pour qu'un reptilien, même de type Anunna, ne puisse pas faire de NDE. Je ne pense pas que le concept de paradis fasse partie de celui des Anunna. Les Anunna, comme beaucoup d'humains, se croient au-dessus de tout, au sommet de l'évolution. Les Anunna sont déconnectés de la Source, ils se sont séparés du concept universel des familles d'âmes, d'où leur arrogance. Je les vois mal partager leur philosophie avec les Miminu qui sont à leur service. Lorsqu'une entité éthérée meurt (même de type planificatrice), j'imagine qu'elle retrouve les siens, sa famille d'âme. Les Namlu'ù se sont retranchés dans une dimension supérieure, sans doute ne pouvaient-ils survivre dans notre dimension en raison de leur réceptivité et au regard des nouvelles circonstances politiques de la Terre. Ils n’ont pas été programmés pour combatte, leur départ était la solution la plus adaptée pour leur survie. Eux, ont eu le choix.
28. Ps : Pourriez-vous décrypter "Lembal" en akkado-sumérien ? A l'origine c'est un terme Maya signifiant "lumière", "cristal" et "connaissance"
Anton Parks : Bien entendu, c'est très simple, ces deux particules font partie du sumérien, donc inutile de se rabattre sur l'akkadien.
Lam : verbe : "croître", "pousser" nom : "luxuriance", "abondance", "l'autre monde", "amandier" Bal : verbe : "transférer", "franchir", "traverser", "extraire". nom : "hostilité", "ennemies"
Généralement, la forme verbale se place à la fin. Eh bien Lembal, êtes-vous une personne qui "franchit d'autre(s) monde(s)" ou bien qui aurait un rapport avec l'immortalité ?… Dans de nombreuses cultures, l'amandier figure l'immortalité. C'est un beau pseudo.
29. Apademak, Goupil et Sreum (via le forum) : Comment la Grande Pyramide et le Sphinx ont-ils été construits exactement ? Ces monstres architecturaux ont dû nécessiter des moyens colossaux et une technologie énorme pour être bâtis. Comment Isis s'y est-elle prise pour construire la Grande Pyramide ? Avec l'aide de combien d'ouvriers, traités sous quelle condition et avec quels matériaux ? Et surtout quelle a été la technique d'assemblage si précise de ces immenses blocs de pierre pesant plusieurs tonnes chacun ? Dans l'éventualité ou M. Parks ne se souviendrai pas bien de la méthode de construction des pyramides, je me permets de proposer une question plus simple "Les pierres de calcaires qui ont été utilisées pour la construction de la Grande Pyramide (et d'éventuels autres pyramides) ont-elles été taillées ou ont-elles été reconstituées (par moulage)".
Anton Parks : Je vous rappelle qu'Enki-Osiris était mort et que Horus n'était pas né lorsque Isis a fait construire la Grande Pyramide et le Sphinx. Par contre, je vous renvoie au début du T3 où Osiris explique l'édification de son temple aquatique qui se nomme Osireion aujourd'hui. Il dit que les blocs de granite furent coulés. Il s'agit donc de coulage. Je doute que ce genre de travaux ait nécessité beaucoup d'hommes pour la Grande Pyramide, quelques centaines, à peine, mais surtout pas des milliers, encore moins des esclaves, que cela soit à l'époque des "dieux", comme à l'époque des pharaons.
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Extrait #4 :
1. Questions concernant le contenu des ouvrages : suite
30. Goupil (via le forum) : Cette question est à mon avis très importante puisque la Théorie sur la construction des pyramides égyptiennes à base de pierres moulées par Joseph Davidovits provoque beaucoup de débat dans la communauté scientifiques d'autant qu'elle apporte des preuves d'une part et qu'elle peut être réalisée avec des moyens techniques plus primitifs d'autre part. Pour faire court : Pierres des Pyramides = Pierres de Tailles ou Pierres reconstituées ?
Anton Parks : Vous avez décidé de me faire réouvrir mes ouvrages ! En page 310 du Testament de la Vierge, je ne contredis pas la thèse de Davidovits, bien au contraire. Idem en page 29 (légende de l'image 6) de l'édition Nouvelle Terre du T1 où je montre une photographie que j'ai prise d'un morceau de la chaussée qui entoure la Grande Pyramide. Il s'agit bien de pierres reconstituées et moulées.
31. Geronimo (via le forum) : Bonjour a tous. Nouveau sur ce site et aussi passionné que vous par les ouvrages de A. Parks et tous les thèmes qui tournent autour, mon premier message sera pour Nora qui m'a gentiment dédicacé le dernier livre de son mari, en me rappelant que l'Amour est plus fort que la mort. Aussi, j'aimerais qu'elle me parle d'Isis avec son Cœur... De même, en tant que bon judéo-chrétien, je n'ai jamais pensé que le créateur, quel que soit son nom, nous ait abandonnés ou soit mort, même s'il brille par son absence ! Que pensez-vous donc de ces "dieux" qui sont les mêmes, quel que soit le Panthéon auquel ils appartiennent, sont-ils partis ou sont-ils dans une autre dimension ? Je vois le drame de l'humanité dans le meurtre d'Osiris, mais un immense espoir dans sa résurrection et dans l'Amour qui unit ce couple, Amour plus fort que la mort ! Suis-je un doux rêveur ? Trop romantique ? Si oui, ça vaut la peine d'être vécu quand même ! Merci Nora, toutes mes amitiés à vous deux.
Nora Parks : Que dire sur Isis ? J’en ai une appréciation complètement différente par rapport à la majorité des personnes qui s'y intéressent. Isis avait beaucoup de qualités, mais elle savait que c’était en grande partie en raison de ses gènes Abgal, et que la possibilité de s’incarner avec de tels gènes est une grande chance. Elle n’a jamais été très heureuse, ses idéaux étaient trop élevés. Elle aspirait à un monde sans guerre, où chacun pourrait naître égal et libre. Elle était souvent morne, voire déprimée par moments, mais elle a toujours essayé de ne jamais perdre espoir, et a sans cesse œuvré et travaillé pour changer les dogmes imposés par An-Atum, car c’était le seul moyen pour elle de rendre sa vie supportable, tant elle était consciente des trames et des jeux de pouvoirs qui, petit à petit, entraînaient complications, liberté bafouée, puis souffrances.
Isis était d’une très grande simplicité, très solitaire, sauvage même. Nous avons bien vu dans le récit qu’elle a choisi de passer la plus grande partie de son temps en forêt lors de l'arrivée sur Terre des rescapés de la guerre des Pléiades. Dans le T3, elle choisit d’élever Horus pendant plusieurs années dans le delta du Nil, pour que son fils apprenne à se débrouiller dans un contexte vierge et parfois hostile et qu'il soit en lien avec la Nature. Elle n’a jamais été énervée ni colérique pendant ces années de vie sauvage. Par la suite, ses colères découlent de la vie qu’elle a choisie et des désagréments politiques qu'elle devait régler. Elle a accepté de jouer ce rôle parce que la situation l’exigeait, mais elle aspirait à une vie toute simple. Nous avons aussi vu dans le T2 qu’elle aimait visiter les jardins et voir l’avancement de l’apprentissage des cultures humaines. Cultiver la Terre et en vivre représentait pour elle l’émancipation et la liberté des humains, sans parler du fait que cela leur permettait de ne plus manger d’animaux ou d’en manger moins.
Isis ne s’est jamais placée sur un piédestal et se considérait d’égal à égal avec les êtres humains. Elle était assez incomprise en général. Il y a une scène par exemple dans le Réveil où elle parle à travers Horus pour repousser l’humaine qui essaye de l’attirer dans son lit. Cette réaction a été interprétée par certains par une volonté de pouvoir et de condescendance d’une déesse aux gènes reptiliens envers une humaine ; je pense qu'il n’en est rien. Aset-Isis voulait simplement que son double inversé ne se mélange pas avec la première venue issue de l'Ekur d'EnlilSeth, elle a alors choisi les mots qu’elle a prononcés dans ce but, mais sans adhérer à ce qu’elle disait (supériorité des Gina'abul sur les humains). C'était une réaction impulsive. Isis était néanmoins consciente du prestige de ses gènes, ce qui lui conférait un grand sens de la responsabilité, mais aussi une vision terrifiante sur les humains et les animaux. Je m’explique : les races Gina’abul sont plus "évoluées", d’une certaine manière, que les humains et les animaux. Les Abgal le sont encore plus. Les planificateurs créent la vie et considèrent les animaux et les humains comme leurs enfants, sans aucune différence d’affection et d’amour entre eux. C’est terriblement difficile d'observer les Gina’abul exploiter et massacrer les humains et ensuite les humains exploiter et massacrer les animaux. Ces sentiments la différenciaient du reste de sa race, et c’était ce qui lui apportait le plus de souffrances. D’où le soulagement et l’euphorie qu’elle ressentait à travers l’évolution agricole, l’autonomie et l’émancipation qu’apporterait cette indépendance.
Pour ma part, je ne souhaite pas que les "dieux" Gina'abul partent, s’ils sont encore présents ici-bas ou dans une autre dimension. Cette solution me semble impossible du point de vue karmique, car ils sont les co-créateurs du genre humain. Je peux me tromper aussi. J’espère juste que l’humanité développe suffisamment de sagesse et d’intelligence pour que les Gina'abul ne puissent plus les manipuler et les exploiter. Les Gina’abul liés karmiquement à la Terre pourront alors enfin évoluer. Dans tous les cas, j’espère que les politiciens (certains au sang royal reptilien ?) et leurs lobbies arrêteront de polluer la planète, sinon plus personne n’aura de "maison". On ne peut pas être trop romantique. Le lien qui unit les deux personnages principaux des Chroniques est effectivement indéfectible, quoi qu’il arrive, ils se retrouvent et se reconnaissent toujours. C’est une belle histoire et j'ajouterai, non sans humour, que j’ai bon espoir que la saga des Chroniques devienne un jour un "best seller intergalactique", le jour où la planète pourra de nouveau communiquer physiquement avec d’autres mondes. Pour la mémoire d’Isis, merci beaucoup pour votre question, car elle n’a jamais été beaucoup écoutée. Je pense que c’est normal aussi. Chacun doit trouver les réponses par lui-même. Comprendre certaines choses intellectuellement ne veut pas dire les intégrer forcément. Intégrer, c’est comprendre en profondeur, dans toute sa dimension, mais cela demande un cheminement personnel. Il est impossible de d’apporter cette compréhension profonde uniquement via l’intellect et les mots, malheureusement.
32. Ma tudi sur forum : En 500 ans, depuis la Renaissance en gros, la pensée et les outils humains se sont développés de façon exponentielle, surtout à partir du XIXe siècle, et nous avons des satellites, des armes chimiques, bactériologiques, des lasers, des bombes nucléaires, des canons électromagnétiques qui tuent à distance, sans parler des banals fusils mitrailleurs, roquettes, missiles sol-air, sol-sol etc. Alors, on pourrait donner disons 10.000 ans aux Gina'abul (c'est très généreux déjà, vu leurs capacités mentales supérieures), et ils ne peuvent pas faire au moins aussi bien ? Le pire, c'est que An sur Mars, autant que je sache, a développé de telles installations et structures industrielles que les Miminu ont pu reconstruire pour lui un vaisseau-mère, et qu'ils fabriquent des drones super-sophistiqués (les Dubù du T2), etc. Tout le monde voit bien, j'espère, le niveau de développement technologique que cela suppose...! Alors, je comprends mal cette question de combats au glaive dans le T3, et pourquoi pas au couteau de poche... Il y a du paradoxe ou alors c'est moi qui perds la tête...
Anton Parks : Vous ne perdez pas la tête, vous anticipez sur un sujet en développement. Il n'y a aucun paradoxe, ce point a été amorcé dans le T3 et sera développé dans la suite. Donc, vous m'obligez à évoquer des questions en cours de développement. Tout d'abord, je ne suis pas certain que les armes Anunnaki ne fonctionnaient plus depuis des milliers et des milliers d'années. Ce n'est pas indiqué comme cela dans le T3. Je pense que cela a dû s'effectuer un peu avant la mort d'Enki-Osiris.
Venons en au fait : comme vous le savez, les Dubù du T2 provenaient de Mars. Un début de réponse se trouve déjà ici. Toute la technologie Anunnaki provient de cet endroit où An s'est installé et où il usinait du matériel en tout genre pour le compte de ses Anunna et des Anunna terrestres, les Anunnaki. Les rares matériaux "terrestres" que les Anunnaki ont eu en mains provenaient de Dim'mege et de l'Abzu, mais cette ère de distribution date uniquement du début de l'arrivée des Anunnaki. Ensuite, c'est devenu compliqué, voir à ce propos le sermon de Dim'mege dans l'Assemblée, au début du T3. Cela traduit en gros que les Anunnaki terrestres ont peu fabriqué de leurs mains, vous vous rappelez peut-être que j'ai plusieurs fois indiqué qu'ils étaient des sacrés paresseux… On leur doit tout de même les réseaux souterrains de Turquie (cf. T3).
Cela veut dire que sans An et Mars, les Anunnaki terrestres ne sont rien, de surcroît, plus encore depuis la disparition d'Enki-Osiris. A partir du meurtre de ce dernier, An soutient de moins en moins Enlil et ses Anunnaki. Cela est déjà visible dans le T3, on s'en rendra compte plus encore dans la suite. Lorsque An a tenté de placer Enlil-Seth sur un siège plus avantageux dans l'assemblée égyptienne, il l'a fait plutôt pour asseoir ses propres intérêts, car Enlil pouvait encore lui servir. An a toujours fonctionné de cette façon. Cela veut dire que dès le début du T3, on se rend compte que les Anunnaki sont livrés à eux-mêmes, mais je peux vous préciser qu'ils gardaient toujours l'espoir d'être soutenus par leur maître suprême An. Quant aux Nungal-Shemsu du clan d'Osiris et Isis, ils étaient beaucoup plus proches de la nature et du genre humain. Ils se sont toujours adaptés face à n'importe quelle situation. Passer autant de temps, comme ils l'ont fait, à creuser les fleuves bibliques pour le compte des Anunnaki, et ensuite s'être fragmentés géographiquement comme ils l'ont fait, leur a appris à s'adapter à n'importe quelle situation. Ils n'avaient besoin de personne pour subvenir à leur existence et s'il leur fallait des armes, ils les fabriquaient fièrement eux-mêmes.
33. Mangimaru (via le forum) : De nombreux auteurs font également référence à des conflits nucléaires sur Terre et dans l'espace entre différentes factions, décrits entre autre dans le Mahabharata, ainsi que la découverte de squelettes irradiés, sol vitrifié sur de nombreux sites, entre autre en Inde et sur les sites de Harappa et Mohenjo-Daro au Pakistan, est-ce tout simplement une déclinaison de la destruction de Sodom and Gomorrhe ? Ces conflits sont-ils liés à nos factions (voir vol 3) et les raisons de l'embargo ? Que de questions...
Anton Parks : Il s'agirait plutôt d'événements de l'époque biblique ou à peine plus anciens, qui se trouveront dans le T4. Je n'en dirai pas plus, sous peine de prendre le risque de voir ces informations utilisées et appropriées par d'autres. Comme je l'ai déjà signalé, s'approprier les informations des Chroniques sans les citer est devenue monnaie courante.
34. Galaad (via le forum) : L'origine du monothéisme est capitale pour bien comprendre l'embrouille religieuse et son empreinte millénaire sur le bétail humain. Par exemple, à la lecture du désordre des siècles de Vélikovsky, ce dernier conclut à un décalage de pas moins de 6 à 7 siècles entre l'Histoire d'Egypte et celle des Hébreux. A qui ce glissement temporel profite-t-il et pourquoi ? Néanmoins, à la lecture de Parks, la base du problème semble se perdre dans la nuit des temps, c'est plutôt le conflit entre Kingu et Usumgal qui semble perdurer sur cette planète et dont les humains subissent les conséquences sans même se douter de qui tire les ficelles. Les Kingu ont cloné les Usumgal qui bénéficient du Niama et sont donc devenus dangereux pour leurs créateurs. Les lois du clonage seraient-elles moins fiables que celles de la robotique ? Et pourquoi les Kingu n'ont-ils pas appris au fil des siècles à maîtriser le Niama ?
Anton Parks : Dans les Chroniques, nous voyons que le Niama est l’apanage des races anciennes qui ont un aspect reptilien prononcé. Les Kingu, quant à eux, sont très "humains" d'aspect. Nous savons qu’ils ont en horreur les autres lignages ou races, se considérant de loin comme supérieurs ; d'ailleurs le blanc n'est pas éloigné de ce genre de vision.
Le Niama est lié aux gènes, mais une certaine forme de Niama peut être développée et elle est en rapport avec l’évolution personnelle et la maturité émotionnelle, comme c’est le cas pour les Amasutum. Or, dans les Chroniques, nous voyons bien que les Kingu n’ont qu’un seul objectif : la connaissance, le développement technologique et le pouvoir. Ils expérimentent des formes de vie, mais uniquement pour les étudier, ce qui les empêchent d’évoluer et de développer des pouvoirs dont ils n’ont d’ailleurs que faire, puisque leur technologie le leur apporte. Nous pouvons constater dans l’histoire, que c’est la race humaine blanche qui a le plus d’esclavagisme à son compte, d’indexation de cultures, de richesses et de territoires. D'ailleurs, on me reproche parfois d'avoir des paroles dures à propos des blancs, et d'inciter à une forme de "racisme" (sic). C'est justement parce que je suis blanc moi-même, que je peux en parler de cette façon.
Il s’agit même du programme d’histoire de 3ème des années 80 que mon épouse et moi avons suivi et que voici :
Les raisons de la colonisation : La croyance en la supériorité de l’homme blanc et de sa civilisation. Œuvre civilisatrice (assurer la paix, la sécurité, la richesse). Evangélisation. L’homme blanc s’estime supérieur aux autres.
Les intérêts matériels : Garantie des ressources en matières premières. Débouché pour les industries du pays colonisateur. Tenir des points stratégiques et de ravitaillement. La population européenne en expansion a besoin de nouveaux territoires.
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Extrait #5 :
2. Climats et astronomie dans les Chroniques :
35. Peter (via le forum) : Le premier déluge est notamment confirmé par l'évolution des températures au cours des derniers millénaires (étude sur la carotte de glace). Le graphique ci-dessous présentant cette évolution, nous montre très clairement une hausse des températures à partir d'environ 10.000 ans avant J.-C. (hausse provoquée par le passage de Vénus à proximité de la Terre et due à la fonte des glaces). Concernant le second déluge, il est plus difficile de percevoir la hausse des températures liée au dernier passage rapproché de Vénus (vers 3.000 av. J.-C. selon vous ?). Comment expliquer les hautes températures survenues il y a 130.000 ans et les importantes variations survenues par la suite jusque 10.000 ans avant J.-C. ? Est-ce une conséquence d'une manipulation du climat ? Faut-il y voir la conséquence également de la précession des équinoxes et de l'activité solaire (principales explications des scientifiques pour tenter de comprendre les cycles de température à l'échelle de millénaires) ? Cette hausse de température à 130.000 ans av J.-C. semble avoir été similaire à l'effet du passage de Vénus qui a provoqué le premier grand déluge ? Comment interpréter ces courbes et dans quelle mesure Vénus et la manipulation du climat ont-t-elles influencé les cycles de température ?
Anton Parks : De mon point de vue, il n'y a effectivement aucun rapport entre ce qui est survenu il y a 130.000 ans et le déluge de près de 10.000 ans av. J.-C. Je ne suis pas scientifique, donc je ne peux prétendre commenter cette courbe. Je ne suis pas certain non plus que la science l'ait même déjà fait de façon claire et définitive. Je peux toutefois vous rappeler que la Terre a subi plusieurs inondations sur la très longue période qui couvre le T2. Dans sa dernière entrée du T2, EnkiOsiris en fait allusion. Il faut aussi se rappeler que le clan Anunnaki a joué avec le climat afin d'obtenir plus de chaleur. Il est possible que cette manipulation du climat se situe vers 130.000 ans, cela me semble tout à fait possible.
En ce qui concerne les passages de Vénus, les approches de l'astre étaient différentes à chaque fois, donc les effets visibles ou mesurables sur Terre devaient être inégaux. Pour ce qui concerne la date approximative de 3.000 av. J.-C., cela ne concerne pas une hausse des températures, mais une montée des eaux partielle de la planète (dont on a retrouvé les traces). C'est d'ailleurs vers cette date que les plus grandes civilisations du monde se réveillent, celles qui se trouvent dans nos livres d'histoire.
36. Osirisnotdead et d'autres intervenants (via le forum) : Quand et comment Seth, An et consorts ont-ils fait sauter Mulge, et quel en était le but principal, s'agissait-il uniquement de se débarrasser de Nammu et des Abgal ou bel et bien de briser le pouvoir des Planificateurs au sein du système solaire ? Au sujet de la destruction de Mulge : Sachant que la chute de l'astéroïde qui aurait causé par une suite d'évènements la fin du Crétacé (65.000.000 BP) n'a causé qu'un cratère de 180 km de diamètre (Chicxulub) malgré une force destructrice de "plusieurs milliards de fois "Hiroshima" selon les scientifiques, comment Seth s'y est pris pour détruire une planète aussi gigantesque que Mulge ? Je n'ose même pas imaginer la taille de l'astéroïde qu'il faudrait réussir à détourner pour qu'une telle explosion se produise. Et si ce n'est pas le fait d'un déplacement d'un corps céleste, de quelle type d'arme a disposé Seth pour produire une telle force destructrice ?
Anton Parks : Quand Mulge a sauté ? : approximativement entre 12.000 et 10.000 av. J.-C., c'est indiqué plusieurs fois dans mes ouvrages. Comment Mulge a explosé ? : Personne ne le sait. Dans le Réveil il a été évoqué que l'appareil de Sé'et transportait peut-être une bombe, ce qui l'a empêché d'atteindre Mulge-Tab. Pour la mort de Nammu et la destruction de Mulge, on peut éventuellement imaginer que son vaisseau transportait à son tour une très lourde charge et qu'il ait éventuellement atteint le monde creux de Mulge, ce qui l'a fait exploser. Faire exploser une charge dans la cavité intérieure ne doit pas donner le même effet qu'à l'extérieur. Lorsque je parle de charge explosive, je ne pense pas qu'il puisse s'agir du même type d'explosif que nous connaissons sur Terre. Je pense que ce genre d'arme était usiné sur Mars par An et ses Anunna. C'est un peu le sentiment que j'ai aujourd'hui sur ce sujet, mais nous sommes dans des suppositions, car je n'ai pas plus d'informations à ce propos. En tout cas, le fait de faire disparaître la fille et ensuite la mère dans des conditions similaires est typiquement Usumgal-Anunna. Comme vous l'avez noté dans votre question, je pense que l'objectif de ce complot avait bien pour visée de briser le pouvoir planificateur au sein du système solaire.
37. Prométhéen (via le forum) : Les nombreux satellites de Jupiter et Saturne, comparables à notre Lune, sont-ils aussi des bases Kingu ? Ces deux planètes sont censées être gazeuses, quel serait alors l'intérêt pour eux de cette présence, s'il est possible de le savoir ? Plus généralement, pourrait-on avoir une idée de la répartition des forces dans notre système solaire...?
Anton Parks : Difficile à dire. C'est comme si vous me demandiez de vous dresser la carte des forces armées américaines sur notre globe. Les Kingu ont toujours été secrets, comme toute force militaire terrestre. Par contre, j'ai un gros doute concernant leur présence sur des satellites de Jupiter.
38. Apademak : Problème des constellations : Il est souvent dit que tel ou tel groupe d'individus provient d'une constellation en particulier. Je n'arrive pas à comprendre cette vision purement géocentrique car si je prends au hasard 3 étoiles de la constellation d'Orion cela nous donne: - Rigel (Beta Orionis), environ 774 années lumières de distance de la Terre. - Saiph (Kappa Orionis), environ 700 années lumières de distance de la Terre. - Bételgeuse (Orionis), environ 427 années lumières de distance de la Terre. Ainsi, venir de la constellation d'Orion par exemple ne veut rien dire, car si l'on vivait sur une planète d'une de ces étoiles, les deux autres nous paraîtraient alors appartenir à d'autres constellations. Je veux dire que les étoiles de pratiquement n'importe quelle constellation sont aussi éloignées entre elles qu'elles le sont elles-mêmes de nous.
Anton Parks : Une constellation n'est pas seulement un groupement d'étoiles proches, malgré les énormes distances qui peuvent les séparer, mais aussi un groupement d'étoiles brillantes dans le ciel. Que cela soit sur Terre ou ailleurs dans notre univers, j'imagine que le constat reste le même. Vous avez raison de préciser qu'une constellation n'aura jamais la même figure géométrique dans notre ciel terrestre comparativement à un autre endroit dans l'univers. Cela implique donc que le même nombre d'étoiles brillantes ne sera peut-être pas regroupé de façon identique dans un ciel extraterrestre qu'ici-bas. Jusqu'ici, nous sommes d'accord. Cependant, lorsque j'évoque des étoiles dans les Chroniques, comme par exemple la constellation d'Orion, je parle de zones géographiques célestes. Lorsque je pointe une étoile appartenant à une constellation, il s'agit d'un lieu distinct qui porte un nom que les "dieux" sumériens lui ont donné et qui lui est propre. Votre remarque aurait été pertinente si le terme sumérien Mulmul ("la constellation des constellations") aurait été la traduction du grec Pléiades ("les navigatrices"), or ce n'est pas le cas. Idem pour Sirius qui provient du grec Seirios ("ardent") qui n'est pas la traduction du nom sumérien GAG-SI-SÁ ("flèche céleste"), on pourrait continuer ainsi à l'infini. Le constat reste le même : les Hopis font descendre leurs Kachinas des Pléiades et les Dogons d'Afrique font provenir leurs dieux amphibiens de Sirius… Pour résumer : dans les Chroniques, il n'est question que de zones célestes. Par exemple, aux yeux des Gina'abul, Mulmul (les Pléiades) n'est pas nécessairement constitué du même nombre d'étoiles que sur Terre, idem pour les autres constellations.
39. Apademak : Autre interrogation d'ordre astrologique. Toutes les étoiles et constellations présentes dans Les Chroniques (La Lyre, Le Dragon, La Grande Ourse, Orion, Sirius...) se situent dans notre Galaxie, c'est-à-dire la Voie Lactée (qui contient déjà à elle seule entre 200 et 400 milliards d'étoiles). Est-ce que l'auteur sait si les Gina'abul sont aussi présents sur d'autres galaxies que la nôtre ?
Anton Parks : C'est une bonne question. Je suppose que les Gina'abul forment une espèce spécifique à notre univers, ce qui est déjà pas mal. Ceci dit, il n'est pas exclu d'imaginer des familles cousines aux Gina'abul dans d'autres univers.
3. Questions concernant la rédaction des Chroniques :
40. Peter, Rictus et Tony (via le forum et par mail) : Comment Anton a-t-il pu retranscrire avec tant de minuties les textes des dialogues que l'on retrouve dans les Chroniques ? Est-ce retranscrit de mémoire ou avez-vous pris des notes depuis que votre expérience "paranormale" a commencé au cours de votre adolescence ? Si Anton a reçu tant de visions pendant de nombreuses années, il ne comprenait pas encore la langue. J'admets la possibilité de retenir avec grande précision une vision, mais il est beaucoup moins évident de retenir une conversation surtout dans une langue qu'on ne comprend pas. Admettons qu'au cours du temps Anton ait pu retenir certains fragments, comment a-t-il pu retranscrire avec tant de précisions des dialogues si compliqués ? A-t-il peut-être au bout d'un certain temps réussi à noter ce qu'il comprenait ? Est-ce que les retranscriptions des dialogues des toutes premières visions sont-elles perdues ? Quelle a été sa démarche pour retranscrire les dialogues ?
Anton Parks : Comme je l’ai déjà expliqué plusieurs fois, j’ai reçu des visions sous forme de flashs lumineux pendant près dix ans, entre 14 et 24 ans, de 1981 à 1991. J'en ai eu de nouveaux après, en 2007, lors de mon premier voyage en Egypte. Ce furent les plus douloureux d'entre tous. Sûrement en raison du fait que Sa'am et ensuite Heru ont bien connu la terre d'Egypte et les lieux que j'ai visités. Ensuite, cela s'est estompé à partir de 2008 ; je ne reçois à nouveau plus rien du tout à l'heure actuelle. J'espère bien ne plus rien recevoir ! Ce que j'ai reçu, il y a quelques années, représente bien peu par rapport au reste. Je connais bien la suite et la fin de toute cette histoire. J'y ai déjà consacré de nombreuses heures pour tenter de comprendre et d'assembler son contenu.
Mes flashs ont toujours été spontanés (en relation avec la lumière ambiante du moment présent, équivalente à la scène reçue), sans être contrôlé, ce n'est pas moi qui décide de "voir" contrairement à un channel. Quand cela survient, c'est de façon subite et je ne peux pas arrêter le processus, de toute façon, c'est très rapide, de 2 à 5 secondes tout au plus. Je reste cependant conscient de ce qui se passe autour de moi, mais les visions ont plus d'importance et accaparent toute mon attention. En quelques secondes, je reçois plusieurs minutes, voir même des heures. C'est dans ce dernier cas que cela est le plus éprouvant. Ce n'est pas simple, car je revis émotionnellement tout ce que le personnage vivait. L'intensité et le vécu émotionnel est d'ailleurs un facteur important dans la mémorisation. Lorsque l'on vit des choses aussi intenses et concentrées, il n'est pas possible de les oublier. C'est comme si vous aviez été brûlé à vif.
Ma mère a pris des notes et a retranscrit mes premières visions lorsque j’étais à la fin de mon adolescence et au début de l'âge adulte. J’ai aussi pris des notes manuelles, que je consulte quelques fois lorsque je rédige mes ouvrages, mais l'ensemble est resté gravé dans ma tête.
Merci pour la précision concernant les faits, mais certains m’ont déjà reproché de ne pas donner suffisamment de détails sur les décors, au détriment de détails "moins importants". Il faut comprendre que je ne fais que retranscrire ce que Sa’am vivait, voyait et ressentait, dans les scènes qui me sont apparues. Je n’ai jamais reçu deux fois la même scène. Comme Nora l’explique bien dans son dossier qui se trouve à la fin du Réveil, la totalité des connaissances du personnage n’est pas appréciable dans son ensemble lors des visions, en raison du fait de revivre uniquement ce que les deux personnages pensaient, ressentaient et voyaient à ce moment précis et qui sont restitués à l’identique lors des visions. Le langage que j'entendais m'était parfaitement étranger, mais je le comprenais sur l'instant. Il a été enregistré (gravé comme sur un disque dur) avec l'ensemble des images quelque part dans ma tête. Comme je l'ai mentionné à d'autres occasions, il m'a fallu du temps pour comprendre qu'il s'agit d'une forme ancienne de sumérien. Ce n'est qu'en feuilletant par hasard un manuel sumérien vers l'an 2000 que j'ai enfin compris. Cela a été un des facteurs qui m'a décidé à écrire.
41. Idem : Aussi y a t-il eu une part d'interprétation lors de la translittération finale ? Est-ce le temps qui a permis à Anton de comprendre progressivement la langue sumérienne (et akkadienne) ? Est-ce que le ressenti d'Anton à la place de Sa'am est-il suffisant pour retrouver le sens de ses paroles ?
Anton Parks : Je ne fais que retranscrire ce que j’ai vu, il n’y a pas de partie romancée ou ajoutée. Lorsque j'écris un ouvrage des Chroniques, j'y passe beaucoup de temps, car cela me demande un effort considérable de retrouver l'information au fin fond de ma mémoire, de la retranscrire et de la placer dans le bon ordre de la narration. Le journaliste Alain Gossens comparait cela à une tête de lecture qui va chercher l'information sur le disque dur. Au début, lorsque j'ai commencé à recevoir ces flashs et qu'il était question du personnage du T1 et du T2, j'entendais le nom Sam ou Am, et quelques fois (plus rares), Sam'il ou Sam'el. Je l'ai alors associé au Samaël de la littérature juive. Par exemple, lors de la scène où An annonce à son clone (début du T1) : "Tu te nommeras plutôt Sa'am - le bon seigneur, le bien façonné", je ne savais pas qu'il s'agissait de SA'AM, pour moi c'était SAM ou AM. D'ailleurs au début de mon manuscrit du T1, ne sachant trancher, Sa'am s'est nommé tour à tour AM, ensuite 'AM ou encore E'AM dans les premières pages. C'est le Sumérien qui m'a mis sur la voie, car SA’-AM veut effectivement dire "bon seigneur". J'avais la bonne information, mais il me fallait le sumérien pour comprendre. D'ailleurs SA-AM-IL veut dire "bon seigneur élevé (ou grand)". J'ai piétiné sur beaucoup de détails comme cela au début. Je vais vous donner un autre exemple qui me vient à l'esprit. Il ne concerne pas la linguistique, mais la chronologie de l'histoire. Après le Testament, lorsque j'ai repris la rédaction du T3, je me suis rendu compte que la scène où Horus se trouve à Abydos pour y être initié par les prêtres ne se situait pas du tout à sa bonne place, elle intervenait beaucoup trop tôt dans l'histoire. Pourquoi ? Parce que je n'avais pas encore fait le lien entre cette scène partiellement rédigée et celle où Horus se révèle à la foule comme étant le Mesi d'Asar (l'engendré à l'image d'Osiris), donc le successeur légitime d'Osiris.
Comme vous le voyez, écrire ce genre d'ouvrages demande beaucoup de temps et une énorme concentration. Je suis perfectionniste, chaque mot est important, chaque souffle, chaque virgule. C'est pénible. C'est aussi pénible de devoir rédiger une histoire figée où l'on ne peut rien changer, c'est très frustrant. J'aimerais souvent qu'un personnage dise autre chose ou qu'il fasse carrément le contraire, mais ce n'est pas possible. De surcroît, pour les raisons que vous connaissez, tout se déroule avec les yeux de Sa'am et Heru : on ne sait jamais ce qui se passe ailleurs. Imaginez devoir rédiger des ouvrages avec cette contrainte… c'est du suicide littéraire ! Difficile de captiver un lecteur de cette façon, un livre d'accord, mais pas toute une série. Alors, vous voyez, lorsque j'entends dire que je serais un romancier, cela relève pour moi plus de l'exploit que d'une critique…
Pour finir, une fois un ouvrage écrit, il m'est impossible de le réouvrir et de me relire. Je ne me relis jamais, je le fais uniquement lorsque je dois retrouver une note ou quelques chose de ce genre. Cela a demandé tellement d'énergie… lorsque j'écris, je me vide comme une pile. J'ai beaucoup plus de plaisir à écrire les notes, les dossiers et maintenant des ouvrages de recherche, donc des essais. Dans ce genre de rédaction, j'écris beaucoup plus vite et je me sens plus à l'aise.
42. Mireille (via mail) : Pourriez-vous juste me dire si vous avez plus d’informations sur "l’état" de votre personnage principal lors du combat (perceptions du temps et de l’espace, état énergétique, état émotionnel…) même le détail le plus insignifiant peut m’être fort utile.
Anton Parks : Je pense que votre question concerne Horus. Ce dernier ne pensait à rien de particulier lorsqu'il était au combat. Il faisait son possible pour ne pas se laisser gagner par des émotions qui auraient dérangé sa concentration. Il lui arrivait de se poser des questions, mais c'était plutôt d'ordre tactique.
43. François (via mail) : Aussi, est-ce que dans les récits avenirs, vous allez aller plus vers l'histoire racontée ou l'élaboration de preuves ?
Anton Parks : Je vais poursuivre la démarche éditoriale dans laquelle je suis, récit et recherches parallèles. Mes diverses démonstrations sont pour moi des preuves. On m'a dit qu'elles agacent parfois. Je suis un personnage public de la littérature qui irrite parce que j’incite le lecteur à sortir de son attachement à des dogmes historiques et religieux qui forment la culture humaine officielle. Je compare ce "savoir autorisé" à un dogme parce qu'il est pré-mâché et surtout bancal ; il n'incite donc pas à la réflexion et à la libre pensée.
Au contraire, ce que j'écris incite à la réflexion, à l'intelligence et au voyage. A ce propos, la véritable intelligence est l’honnêteté ! Mais, à l'heure actuelle, je ne suis pas certain que l'honnêteté serait très "actuelle et branchée".
Mes écrits sont destinés à électriser la pensée unique, celle qui a, en quelque sorte, sédentarisé notre cerveau. J’ouvre des voies et des portes, à chacun de s’y engouffrer et de partir pour un voyage dont il ne pourra ressortir indemne s'il a bien compris le sens de ce voyage et son objectif. Mais cet objectif, j'en conviens, peut faire peur, car il ébranlera beaucoup de nos convictions établies par l’ordre mondial occidental de la pensée unique.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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DOSSIER ANTON PARKS : Résumé des T1, T2 et T3
Des Chroniques du Girku par Jsf
N.B. Ça n'engage pas l'auteur. Mais c'est relativement bien fait pour ceux qui veulent survoler le récit des « Chroniques de la Sainte Épée ».
Ça ne comprend pas les nombreuses notes de bas de pages et explications qui accompagnent ces trois tomes, en plus de sections complètes de plusieurs pages qui viennent étoffer, valider le récit, à mes yeux en tout cas.
Lien : http://fr.scribd.com/doc/105258274/Anton-Parks-Resume-des-Chroniques-3-tomes-par-Jsf#sc...
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Questions / Réponses 6
Date de cette entrevue Janvier 2011
Pour ceux à qui ça intéresse, évidemment.
Ça complète ses livres.
Ça vous permet de vous faire une idée du bonhomme.
Panthère(3)58 propose ; vous disposez selon votre jugement, votre discernement, VOS FILTRES !
Lien : http://www.antonparks.com/interview_anton_parks_web2010.pdf
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Extrait #6 :
3. Questions concernant la rédaction des Chroniques :
Théorie de la terre creuse :
44. Apademak (via le forum) : Comment alliez-vous la théorie de la Terre creuse à la loi de gravitation universelle de Newton? En effet, cette loi démontre que tout objet ayant une masse hérite d'une force d'attraction proportionnelle à cette masse. Si la Terre était creuse, elle ne pourrait avoir une masse suffisante pour générer la force d'attraction que nous lui connaissons. En outre, l'intérieur d'une terre creuse serait privé de gravité car la force gravitationnelle est nulle à l'intérieur d'une coquille sphérique, quelle que soit l'épaisseur de celle-ci si l'on néglige l'effet des autres masses à l'intérieur et à l'extérieur de la coquille (théorème dit de la coquille creuse). Les habitants de cette terre creuse ne subiraient donc aucune attraction vers l'extérieur, et ne pourraient pas se maintenir sur le sol. Ils se trouveraient en état d'apesanteur quasi-complète, car ils ne pourraient ressentir que la petite force de gravité résiduelle provenant de la forme imparfaitement sphérique de la terre ainsi que des forces de marée produites par les corps célestes extérieurs tel que la Lune. La force centrifuge due à la rotation de la terre les attirerait en théorie vers l'extérieur, mais elle n'excéderait jamais (pas même à l'équateur) 0,3% de la force de gravité qui s'exerce à la surface dite extérieure de la Terre. En outre, toutes les études des sismologues via les ondes sismiques nous font état de différentes couches solides (croûtes continentale et océanique, manteaux supérieur et inférieur, noyaux externe et interne) délimitées par des discontinuités (Moho/Gutenberg). Cela semble logique si nous considérons que la terre s'est formée par accrétion de météorites. J'ajoute que depuis les travaux et la modélisation d'Einstein, nous savons que la gravité n'est qu'une déformation du "tissu" (géométrie) de l'espace-temps sous l'effet de l'énergie de la matière qui s'y trouve. Est-ce que Mr. Gerry Zeitlin ou vous-même avez un autre modèle à nous présenter ?
Anton Parks : J'ai comme le sentiment que vous me prenez pour un physicien ou quelque-chose d'approchant. Non, je n'ai pas de théorie à vous donner, mais je vous renvoie vers celle de l'Allemand Karl-Heinz Engels et sa Hohlkörper-Theorie (La Théorie des Corps Creux) qui a été complétée par des membres du magazine français Morphéus. J'adhère à cette théorie, bien que je ne sois pas persuadé que le magma planétaire serait présent sur une étendue qui couvre la superficie totale de la Terre.
Je vois plus le magma comme s'étalant autour du globe en réseau, comme une tuyauterie ou un réseau sanguin. Voir le dossier ici :
http://www.antonparks.com/main.php?page=mondes_creux_4
45. DeathRamps (via le forum) : Que pensez-vous de la légende qui entoure l'Agartha et sa fameuse cité "Shambala" ? Qui pour les adeptes de la théorie, n'a rien à voir avec celle de la Terre Creuse et serait donc un énorme réseau de galeries souterraines parcourant le monde. Pensez qu'un peuple puisse vraiment vivre dans "ces réseaux souterrains" ? Les Neferu ? L'Abzu terrestre est-il toujours habité selon vous? Par les Kingu ? Neferu ? ...
Anton Parks : Je ne pense pas grand chose de Shambala. Je ne sais pas de quand date l'association Agartha / Shambala, mais je crois que ce sont les Occidentaux qui ont fait cette assimilation hasardeuse. Je ne pense pas que Shambala ait été la capitale de l'Agartha, il s'agit plutôt d'une ville qui est considérée comme étant invisible à la surface de la terre. Shambala apparaît dans un ancien texte bouddhiste, le Tantra Kalachakra, où il est indiqué que cet endroit ne peut se situer sur aucune carte et que seules des personnes qui ont un karma convenable peuvent y avoir accès. Je ne suis pas contre l'idée que des individus spirituels puissent vivre dans des endroits reculés du monde, totalement invisibles à nos yeux. Alors pourquoi pas, mais ce genre de concept n'apparaît pas vraiment dans mes informations (à part pour les dimensions et le monde souterrain), il ne m'est donc pas très familier. Je suis plus proche du concept du monde souterrain. Effectivement, les concepts de la terre creuse et celui de réseaux souterrains et de galeries sont différents. J'ai donné mon avis sur celui de la terre creuse dans mes ouvrages et plusieurs documents qui sont disponibles sur notre site. Dans la narration des Chroniques, l'Abzu (la terre creuse où les eaux primordiales du monde sont réunies) serait plutôt contrôlé par des individus de souche planificatrice comme les Ama'argi. J'espère que cette famille est toujours présente, sinon cela ne serait pas un bon signe pour nous. Quant aux réseaux, il devrait sûrement y séjourner des Kingu (cf. traité signé avec les Ama'argi dans le T2) et sans doute encore des Neferu…
46. Eric (via mail) : Question concernant l'influence des Chroniques du Girkù. Depuis la parution, y a-t-il eu des modifications dans la vision officielle de l'histoire humaine, notamment par le fait que des chercheurs, des paléontologues, aient pu montrer un vif intérêt aux écrits d'Anton ? Que certains d'entre eux aient pu se rapprocher d'Anton pour corroborer ses connaissances ? ou au contraire, avez-vous pu subir, vous-même et votre entourage, des pressions pour vous faire taire ?
Anton Parks : Je n’ai jamais subi de pressions jusqu’à présent, à part des missives malveillantes qui semblent plus émaner de personnes déséquilibrées et auxquelles il serait pure perte de temps d'y prêter attention. Cela fait partie du lot des auteurs qui travaillent dans cette voie. La vision "officielle" de l’histoire humaine est jalonnée de différentes théories, et s’enrichit constamment. Difficile de répondre à cette question. Effectivement, quelques scientifiques de toutes natures semblent porter un intérêt aux Chroniques. Le premier tome date de 2005, espérons qu’avec le temps, il y en aura de plus en plus. A ce propos, je peux vous rapporter une aventure inoubliable ; un excellent contact que j'ai entretenu pendant quelques temps avec Marcelo G. Martorelli qui devait effectuer la fameuse expédition au Pôle Nord avec Steve Currey pour atteindre l'ouverture Nord. J'ai rencontré Marcelo et son épouse Nancy le 15 novembre 2005 à la Défense à Paris. Ils étaient accompagnés d'un petit groupe appartenant à son éditeur français. Nous avons beaucoup parlé. Marcelo m'a remis des documents qu'il comptait utiliser lors de l'expédition et qu'il pensait codés. Il souhaitait que je les examine, ce que j'ai fait par la suite. Nous nous sommes revus plus tard dans la soirée, en privé. Avec le consentement de Steve Currey, il m'a invité à faire partie de l'expédition à titre gratuit, en qualité de linguiste spécialisé dans le langage extraterrestre Gina'abul, afin que je puisse être intégré aux hommes de science qui allaient participer à cette expédition. Nous avons longuement échangé, et je peux attester que Marcelo et Nancy sont des êtres exceptionnels, d'une grande simplicité et surtout très respectueux. Par la suite j'ai inspecté à la loupe lesdits documents que l'on m'avait remis. Certains étaient vraiment intéressants. Parmi eux, se trouvait toutefois un faux, un leurre (un document en vieil allemand), mais un autre, lequel représentait une topographie assez détaillée de l'intérieur de la Terre, était effectivement codé en Gina'abul. Malheureusement, nous connaissons la suite de l'histoire. L'expédition n'a pas eu lieu, Steve Currey étant décédé le 26 juillet 2006 en raison d'une tumeur fulgurante au cerveau. Le voyage avait été cependant reporté d'un an avant l'annonce de la tumeur incurable, mais ce voyage ne pouvait plus avoir lieu sans Steve. Tous les participants ont été remboursés. Je dois dire que je pense souvent à Marcelo et son épouse Nancy ; ils sont dans mon cœur à jamais.
Questions sur la Franc-Maçonnerie et l'occultisme :
47. Secretlight (via le forum) : Que pensent Anton et Nora Parks de la Franc- maçonnerie au vu des révélations contenues dans leurs livres, et vu la symbolique de l'œil qui les accompagnent et à laquelle ils semblent souscrire ?
Anton Parks : Nous ne pouvons pas parler des francs-maçons et du groupe de la Franc-maçonnerie pour une simple raison : Nora et moi n'en faisons pas partie et ne connaissons pas véritablement ce sujet. En tout cas, pas plus que la majorité de mes lecteurs. Il est difficile de nous exprimer sur un thème qui nous est inconnu. Les francs-maçons ne communiquent jamais d’informations sur leur organisation à ceux qui n’en font pas partie, c’est peut être aussi pour cette raison qu’il existe une telle fixation sur ce groupe très secret, dont tout le monde sait qu'il possède des ramifications jusqu'aux sphères gouvernementales. Pour avoir des avis clairs, il faut s’orienter auprès des personnes concernées. Il existe beaucoup de livres qui parlent de ce sujet, écrits par des francs-maçons. J'en possède en tout et pour tout quatre : deux de C.W. Leadbeater (qui parle de la Franc-maçonnerie égyptienne) ; "La Clé d'Hiram" de C. Knight et R. Lomas et "L'Etoile Flamboyante" de O. Doignon. Ma culture personnelle sur ce sujet s'arrête là.
Ma formation concerne le marketing et la communication où j'ai exercé de nombreuses années à Paris. Pendant toutes ces années, j'ai connu plusieurs francsmaçons. Ces hommes et ces femmes étaient comme vous et moi, très sympathiques au demeurant, avec souvent ce petit truc en plus : celui d'être très respectueux et attentifs à votre point de vue. D'après ce que je sais, la Franc-maçonnerie serait une école de la connaissance. Les francs-maçons font un énorme travail sur eux et sur leur ego, ils passent leur vie à "polir leur pierre", à forger leur caractère, ce que la grande majorité de la planète ne sait pas faire. Chacun d'entre nous fréquente un ou plusieurs francs-maçons dans son entourage proche ou même dans sa famille sans le savoir… et alors ? L’être humain a tendance à focaliser et à diaboliser ce qu’il ne connaît pas.
Concernant la symbolique de l'œil, il s'agit d'un symbole universel qu'il est facile d'utiliser sans même s'en rendre compte. Je vais vous donner deux exemples très simples à propos des mises en pages des deux premiers tomes. Pour la couverture du T1, le vaisseau d'An qui s'élève d'un cratère forme un œil reptilien. Antas et moi ne l'avions pas vu et c'est en montrant notre maquette à un très bon ami que ce dernier m'en a fait la remarque. Il nous a même suggéré de rajouter un léger orbe tout autour pour accentuer l'effet de cet œil imprévu, ce que nous avons fait. Le second exemple concerne la nouvelle mise en page du T2 et particulièrement sa tranche (que l'on nomme aussi l'épine) où l'on voit l'astre rouge de la couverture s'élever ou s'approcher de la Terre, mais dans un positionnement vertical et non horizontal comme sur la couverture. Si vous regardez bien cette image le soir, dans un clair-obscur, vous aurez l'impression de voir un œil flamboyant dans une pyramide… Une fois encore, c'était totalement imprévu.
Nora : Il existe plusieurs groupes maçonniques en France et certains organisent même des portes ouvertes. Il y a donc des moyens possibles pour trouver réponse à ces questions en s’enquerrant auprès des personnes concernées. Personnellement, Anton et moi n’avons pas d’a priori. Comme l'a dit Anton, je suis certaine que nous connaissons et côtoyons tous des personnes qui font partie de la Franc-maçonnerie, sans même le savoir. Si demain, des gens que vous aimez, de la famille, des amis, ou des personnes avec lesquelles vous travaillez, vous annoncent en faire partie, votre sympathie envers eux va-t-elle cesser sur ce simple fait ? Chacun est libre d’avoir ses opinions et de faire ses propres expériences.
A propos de la symbolique de l'œil. J'ai vu que plusieurs personnes ont fait la réflexion qu'Anton aurait un rapport avec le satanisme à cause de cette fameuse photo artistique où on voit son visage superposé à la Terre. Je trouve qu'il faut être terriblement perturbé pour annoncer ce genre de propos. Il est impossible que ces personnes aient pris le temps de lire ses livres, puisque le fond de ses ouvrages dénonce justement ce sujet. Malheureusement beaucoup font encore l'amalgame entre Satan, le grand administrateur du monde, et Lucifer, le porteur de lumière qui combat ce dernier. C'est un des grands sujets des ouvrages d'Anton.
La symbolique de l’œil est partout. Chacun de nous, hommes et animaux, possédons deux yeux. Lorsque nous prenons des photos ou réalisons des couvertures d’ouvrages, nous ne réfléchissons tout simplement pas à la symbolique. Nous regardons le coté artistique et suivons nos goûts spontanément. Dans un processus de création, il est important de ne pas analyser, ni de faire attention à ce que cela représente, sinon l’inspiration ne vient pas. Anton qui travaille toujours dans le milieu de l'art et du graphisme en sait quelque-chose. Les artistes comprendront ce que je dis, car ils savent bien que le plus souvent celui qui crée est étonné d’analyser ensuite ce qu’il a fait, et de découvrir la symbolique que son œuvre renferme. Pour vous donner un autre exemple, nous avons réalisé bien plus tard que la photo d’Anton avec la Terre montrait la moitié gauche de son visage, et la photo du Testament de la Vierge, la moitié droite du mien, alors que ce sont justement ces parties exactes qui sont attribuées à Osiris et Isis dans l’arbre des Sephiroth. Une fois de plus, c'était du hasard, d'autant plus que la 'vierge' sur la pochette ne représente pas nécessairement Isis, mais plutôt une prêtresse vouée à son culte. La photographie du fond a été prise dans le temple de Dendérah, dans le même lieu où des milliers et milliers de prêtresses ont séjourné pendant plusieurs millénaires…
48. Osirisnotdead (via le forum) : Les Kingu royaux (dont la hiérarchie, à moins que cela ne m'ait échappé, n'est jamais clairement évoquée par Parks) et les Usumgal seraient en guerre et agiraient sur Terre en KI, manipulant en cela une espèce humaine jusqu'à présent puissamment mystifiée, voire égarée pour mieux être domestiquée (et servir de chair à canons). Que penser dans ce cas de la lettre prophétique d'Albert Pike qui jouait les Cassandre dès 1871 en prévoyant dans sa lettre à Mazzini trois guerres mondiales à venir ?
Anton Parks : Je ne suis pas certain de bien comprendre votre question. Les Kingu sont très secrets. Il n'est pas étonnant de ne posséder que très peu de renseignements les concernant. Ils se situent en haut de la pyramide de la famille Gina'abul. Si je n'avais pas relevé leur existence dans mes ouvrages, on n'en parlerait même pas. Personne ne s'est jamais intéressé aux Kingu auparavant. Je vous rappelle que dans le T3, il est mentionné qu'ils feraient du commerce avec des engeances extraterrestres… Pour la troisième guerre mondiale, je ne suis pas devin, ni prophète, ma spécialité étant le passé. Un passé qui, j'espère, apportera des réponses pour un meilleur avenir, en tout cas pour qui s'en donnera la peine. Tout ce que je peux ajouter c'est que pour les Gina'abul du clan d'An, les Kingu, mais aussi pour nos gouvernements, la guerre n'est rien d'autre que de l'autorégulation…
49. Osirisnotdead (via le forum) : De quel côté doit-on situer Horus aujourd'hui (s'il s'agit bien du Lucifer franc-maçon), (et qui est Adonai ?) dans le combat qui s'annonce ?
http://thomiste.pagesperso-orange.fr/pikeplgm.htm
J'ai bien conscience qu'une seule question en soulève plusieurs autres, et que toutes les réponses ne sont pas forcément définitives !
Anton Parks : Sincèrement, je ne savais pas que Lucifer avait un quelconque rapport direct avec la Franc-Maçonnerie. Les concepts de la lumière (Lucifer) et des ténèbres (Satan) sont bien plus anciens, j'en suis certain et ceci est démontré dans mes différents ouvrages. J'ai été voir votre document. J'ai remarqué que la troisième guerre mondiale semblait programmée pour le 20e siècle, alors que nous sommes aujourd'hui au 21e siècle. Certes, nous avons tous bien compris que les différents pouvoirs gouvernementaux ne cessent de diviser les gens pour avoir plus de contrôle sur nous tous. J'ajouterai même, qu'ils traquent l’intelligence humaine qui est supérieure à leur médiocrité. Si une nouvelle guerre mondiale devait éclater malgré la vigilance des citoyens et leur compréhension sur la façon dont les décisions sont prises en coulisse, c'est que l'humanité (celle qui aime s'autoproclamer comme étant audessus de tout) serait tombée bien bas !
Le changement que tout le monde attend n'est pas nécessairement en rapport avec une guerre totale, mais plutôt avec une crise économique mondiale et des conflits d'intérêts qui pourront se terminer dans la rue. J'entends souvent dire que le système financier s'écroulera bientôt ; à moins d'un ressaisissement et d'actions ciblées grâce à la mobilisation des foules, je ne vois pas trop. Il faut savoir que le système financier s’écroulera vraiment le jour où les gangsters du privé qui mènent la danse auront décidé qu’il s’écroulera. Il ne faut pas prendre les plus grands voleurs au monde pour des amateurs. Ils sont les rois du bricolage qui font dire ce qu’ils veulent aux comptes et aux statistiques. Le jour où la finance s'écroulera, ils auront pris leurs dispositions et cela fera partie d'un plan machiavélique, comme cela a été le cas pour les deux précédentes guerres mondiales. Maintenant, vu les armes dont dispose désormais le genre humain, une guerre totale ne serait souhaitable pour personne. En 1871, Albert Pike ne pouvait pas prévoir que pendant et après la seconde guerre mondiale, plusieurs gouvernements auraient entretenu des contacts avec d'autres civilisations plus évoluées matériellement et que ces dernières auraient communiqué une partie de leurs armes. C'est du moins ce qui est écrit ici et là, mais ce sont des informations totalement invérifiables, même si elles m'évoquent à travers les Chroniques un goût de déjà vue, alors prudence...
Je pense que la 3e guerre mondiale concerne plutôt une guerre psychologique et alimentaire qui tourne autour du contrôle de la nourriture. A l'heure où je vous parle, l'empire agroalimentaire US fait pression sur Bruxelles pour rendre l'OGM obligatoire en Europe. L'objectif est à la fois de contrôler la nourriture mondialement (faire du bénéfice), mais aussi d'empoisonner les gens (réduire la population mondiale), car l'extension planétaire des cultures OGM ne dépend d'aucun contrôle sérieux sur les effets sur la nature et la santé humaine. Le reportage de Marie Monique Robin : Le Monde selon Monsanto (Arte Vidéo, 2008) l'explique de façon implacable.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Questions / Réponses 6
[i]Je pense que la 3e guerre mondiale concerne plutôt une guerre psychologique et alimentaire qui tourne autour du contrôle de la nourriture. A l'heure où je vous parle, l'empire agroalimentaire US fait pression sur Bruxelles pour rendre l'OGM obligatoire en Europe. L'objectif est à la fois de contrôler la nourriture mondialement (faire du bénéfice), mais aussi d'empoisonner les gens (réduire la population mondiale), car l'extension planétaire des cultures OGM ne dépend d'aucun contrôle sérieux sur les effets sur la nature et la santé humaine. Le reportage de Marie Monique Robin : Le Monde selon Monsanto (Arte Vidéo, 2008) l'explique de façon implacable.
[/i]
Ci-dessous un extrait du livre : ANASTASIA de Vladimir Mégré// Editions Véga, 2015 pour l'édition en langue française
L'Energie de vie
Volume 7
Dans le chapitre sur La nourriture divine :
".....Il faut cacher aux hommes qu'il existe un moyen divin pour se nourrir. Les obliger à consommer de la nourriture qui n'accélère pas la pensée, mais qui la freine.C'est la condition première.Ensuite, débutera une réaction en chaîne.
La dégradation du processus mental générera en abondance divers facteurs d'influence impactant la vitesse de la pensée..........
Page 115
A souligner aussi entre autre dans ce livre un chapître sur le Terrorisme ,
et un chapitre : Entrainement à la Téléportation........
bref de l'actualité discutée sur ce forum ces jours -ci.
Merci Panthère 58 sur la qualité de tes recherches.
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Questions / Réponses 7
Date de cette entrevue Janvier 2011
Pour ceux à qui ça intéresse, évidemment.
Ça complète ses livres.
Ça vous permet de vous faire une idée du bonhomme.
Panthère(3)58 propose ; vous disposez selon votre jugement, votre discernement, VOS FILTRES !
Lien : http://www.antonparks.com/interview_anton_parks_web2010.pdf
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Extrait #7 :
3. Questions concernant la rédaction des Chroniques :
Question concernant les reptiliens Gina'abul :
50. Rise (via le forum) : Pourrait-on avoir plus d'infos sur les différentes races composant les GINA'ABUL ? D'ailleurs le lexique les définit comme une seule race, mais il semble y avoir de grandes différences entre les Musgir ailés, par exemple, et des Abgal palmés... Leur situation est-elle globalement la même que celle que vit actuellement l'humanité avec le phénomène de racisme ?
Anton Parks : Le racisme est un problème universel. La différence devrait enrichir et non séparer les êtres. On le voit bien dans la littérature mésopotamienne, à travers le regard xénophobe que portent les Anunnaki sur l'humanité qui vit "à quatre pattes" et qu'ils "civilisent" en les rendant esclaves pour leur confort. Je suis pantois lorsque je constate qu'il existe des organisations ou des sectes aux USA qui vénèrent littéralement les Anunnaki et qui les attendant les bras ouverts ! En tout cas, difficile pour certains de se considérer à égalité avec d’autres ethnies regardées comme inférieures sans vouloir les dominer, ici-bas comme en haut dans le cas de certaines engeances extraterrestres qui ne sont pas nécessairement reliées à la Source de toute chose. Les Anunna en font partie.
Je sais que je devrais dessiner les différentes races Gina'abul et personnages principaux pour que les lecteurs se fassent une meilleure idée de la physionomie des différents intervenants. Je compte le faire, mais il va falloir me donner du temps ! On m'a bien proposé de le faire à ma place, mais c'est impossible, c'est à moi de le réaliser.
51. Galaad (via le forum) : Serait-il possible d'avoir quelques précisions concernant les êtres amphibiens (d'après les explications données dans l'enregistrement holographique de Sa'am) vivant dans une dimension parallèle (Kidul) à celle des Abgal, sur Septj-Khemt (Sirius 3) ? Sa'am précise bien qu'il s'agit en quelque sorte du "lieu d'origine" des 2 jumeaux célestes. Qu'en est-il de leur civilisation ? Les Abgal communiquent-ils souvent avec eux ? Pourquoi ces "cousins" des Abgal ne font-il pas partie de la famille Gina'abul ?
Anton Parks : Oui, il s'agirait bien d'une famille cousine des Gina'abul. Le peu qu'il m'a été possible de connaître sur eux concerne la fin de la série, donc je ne peux pas en parler pour l'instant ; c'est un peu comme si je vous donnais une partie du dénouement. Mais, ne vous attendez pas à des révélations fracassantes sur ce sujet précis. Ce dénouement englobe d'autres aspects relatifs à l'au-delà et qui ne concerne pas nécessairement et uniquement cette famille d'amphibiens. Par contre, petite précision, si ces êtres ne font pas partie des Gina’abul en ligne directe, il est possible qu’ils n’aient pas besoin du rituel du lit en pierre, puisque l’Abgal qui les mentionne à Horus dans le Réveil précise que ce rituel concerne l’ensemble de la famille Gina’abul ; c’est ce que j’en déduis. Ils sont proches cousins, se ressemblent, mais vivent dans une dimension parallèle, différente de celle des humains et des Gina’abul.
52. Rictus (via le forum) : Selon-vous où sont passés les dieux de vos récits ? Sincèrement est-ce que vous ne pensez pas que les dieux dont vous évoquez les manigances n'ont pas la volonté de revenir aujourd'hui puisqu'ils sont immortels ou quasi-immortels ? Ne vous demandez-vous pas où ils sont passés ?
Anton Parks : Je n'ai pas d'idée précise sur le sujet. Comme certains Gina'abul possédaient des bases sur la Lune et d'autres, comme An et ses Anunna, sur Mars, tout est envisageable. Je l'ai déjà indiqué, je pense que plusieurs groupes de Gina'abul vivent simplement sous terre, pas nécessairement dans la terre creuse, mais aussi dans des cavités importantes. Les légendes regorgent de ce genre de concept. Les Kingu doivent faire partie de ceux-là puisqu'ils avaient signé un pacte avec ceux de l'Abzu (cf. T2). Mais ne croyez pas qu'ils vivent terrés comme des rats. Ils possédaient une technologie très avancée déjà à l'époque comparativement à la nôtre. Je vous rappelle aussi que les Anunnaki étaient des sous-développés à leurs yeux. Ils se sont servis d'eux, tout comme les Anunnaki ont utilisé les humains. De nos jours, nous nommons cela une pyramide socio-politique.
53. Ma Tudi (via le forum) : Et pour les reptiliens ? Aucun d'entre eux ne ressemble le moins du monde à un Kingu !?! Où sont donc passés ces derniers dans cette Histoire ? Et les Dinoïdes ? Faut-il faire un lien entre le
travail de Nammu sur les Néandertaliens et les essais des rescapés du vaisseau Kadistu Réxégéna sur des variétés croisées humains-Kadistu ? Et d'une manière plus générale, comment Anton fait-il le lien entre cette histoire et les Chroniques du Girkù, étant donné qu'il semble manquer bien des maillons à cette longue histoire ?
Anton Parks : Désolé s'il manque des maillons à cette histoire, mais c'est déjà formidable de pouvoir y avoir accès. Comme je ne cesse de le formuler, les Kingu ont un aspect quasi identique à l’être humain. Il n’est pas étonnant qu’il n’en soit pas fait état dans le livre de Valérie Barrow puisqu'ils ne se montrent pratiquement jamais. Les Dinoides pourraient représenter une branche archaïque de Gina’abul ancienne souche. Les maillons qui manqueraient, comme vous le précisez, sont relatifs aux périodes de temps considérables qui se sont écoulées. Je ne pense pas qu'il fasse faire un lien entre le vaisseau Réxégéna et le travail de Nammu qui me semble postérieur, donc qui se situerait entre Réxégéna et le T1. Au début du T2, Sa’am découvre dans l'ancien cristal de sa mère que des êtres des étoiles avaient manipulé génétiquement les êtres humains sur Terre dans des temps reculés, mais sans savoir pourquoi, ni dans quel but. Ce qui me semble vraiment intéressant dans le livre de Valérie Barrow, ce sont les différents témoignages qui s'y trouvent et qui expliquent que la race humaine est une chance et qu'elle constitue une grande possibilité d’évolution pour la race reptilienne, les humains étant majoritairement des incarnations des âmes précédemment incarnées chez les reptiliens. Cette idée se trouvait également bien avant chez Barbara Marciniak, qui je vous le rappelle, est la première à avoir mentionné les reptiliens, bien avant David Icke par exemple.
54. Rictus : Ne croyez-vous pas que certains êtres pourraient "tirer les ficelles" depuis des régions au-delà des cycles du temps et donc de la Samsara, et pourraient donc s'incarner à loisir, dans des corps de génétique reptilienne par exemple ? Autrement dit, s'incarner ne serait-il pour les dieux, non pas une "nécessité évolutive" inscrite dans une linéarité temporelle, mais un moyen de voyager au sein de leur création ?
Anton Parks : C'est une très bonne réflexion. Effectivement, il n'est jamais question de "nécessité évolutive" chez les Gina'abul, cela ne fait pas du tout partie de leur idéologie. Par contre, s'ils se réincarnent (de façon naturelle comme les humains), c'est uniquement en raison d'une détérioration irréversible de leur corps physique ou bien d'un accident grave. Vous trouverez réponse à cette question dans la suite des Chroniques.
55. Prométhéen (via le forum) : Question sur la capacité des reptiliens à se transformer. Je voulais parler de la capacité des Anunna à se faire passer pour des humains. Le Niama certes procure de grands pouvoirs, mais il n'est partagé que par une minorité des acteurs des Chroniques. Hors Anton semble dire que la possibilité de se transformer en humain est accessible à tous les Anunna, même sans Niama. Et à ce que j'ai compris, les Kingu par exemple n'ont pas cette possibilité...
Anton Parks : Les Kingu ressemblent énormément aux humains, à la rigueur un petit coup de maquillage pour effacer leurs minces écailles et une paire de lentilles pour ôter leur regard reptilien, et nous n'y verrions aucune différence. Sa'am pouvait se transformer, même s'il ne l'effectuait pratiquement jamais. De son côté, Horus pouvait aussi se transformer, bien qu'en qualité de Kingu, il n'en ait eu peu souvent besoin. En tout cas, cela ne devait pas lui demander d'énormes efforts. Horus possédait du Niama grâce aux gènes de ses parents, mais il était aussi Kingu… Je dois bien avouer ne pas bien maîtriser cette histoire de transformation chez les Anunnaki. Je pencherai plutôt pour un gène particulier qui se trouverait chez certains d'entre eux. Nous savons par exemple que An a effectué plusieurs sessions de clonage et différents types d'Anunna. En plus vient s'ajouter la descendance royale Gina'abul-humaine qui, elle, devait bénéficier des qualités physiologiques de ces deux races d'humanoïdes. Peut-être que du côté Anunnaki, ces transformations ne concernent finalement que ce type d'hybrides. C'est mon sentiment aujourd'hui sur cette question.
56. Cédric (via mail) mail : Comment se fait-il que des reptiliens se soient incarnés ou réincarnés en humain ? C'est-à-dire que leur corps physique est celui d'un humain, mais derrière ce corps physique se cache en réalité un reptilien. Celui-ci ignore qu'il est un reptilien. Je tiens cela d'une magnétiseuseguérisseuse.
Anton Parks : Selon mon épouse et moi, il n’y a pas "d’âme reptilienne". Il y a l’âme tout court, qui choisit de s’incarner dans une race ou une autre pour expérimenter des qualités spécifiques et évoluer. Ceux qui ont vécu des existences incarnées en reptiliens peuvent s’incarner en humains et vice-versa. Qu'ils soient humains ou reptiliens, ils s'incarneront sur Terre tant que leur évolution n'aura pas atteint un certain niveau ici-bas. Sauf exception, ces individus sont normalement reliés à leur famille d'âme. Lorsque nous aurons compris cela, nous comprendrons beaucoup mieux l’importance de la biodiversité comme possibilité d’évolution et de choix pour expérimenter ce dont l’âme a besoin pour évoluer. Sinon, pourquoi les planificateurs se seraient-ils donné autant de mal pour créer une telle richesse de races animales et humanoïdes dans la 3D ?
57. Questions de plusieurs internautes : Pensez-vous qu’il existe une volonté occulte de diminuer mentalement l’être humain, voire aussi de réduire la population mondiale ? Les reptiliens seraient-ils derrière tout ça ?
Anton Parks : Il faut savoir une chose importante à laquelle personne ne réchappe : le cerveau reptilien contrôle notre monde, celui de la matière ! Tout est fait pour garder l’humanité sous contrôle. Nous sommes des moutons à la solde d'un système qui est basé sur le rendement. Dans l'antiquité, les dieux avaient besoin de leur régime alimentaire et de leurs offrandes pour subsister, le régime actuel fonctionne de la même manière, sauf qu'il a été remplacé par l'argent. Pas besoin nécessairement des reptiliens ou de leurs descendants pour arriver à ce constat. La politique humaine est basée sur son modèle reptilien que je décris dans les Chroniques. Dans l’histoire des Chroniques, les Gina’abul ont pensé naïvement régler leurs conflits internes en créant un être humain esclave, docile et diminué, c’est-à-dire sans trop d’intelligence et d’entendement (d’après leur point de vue). Ils ont refusé de regarder en face les problèmes qu'ils avaient créés et qu'ils avaient à résoudre et ont préféré modifier l’humain d'origine pour qu'il puisse les résorber à leur place. De notre coté, en tant qu’humains, nous comptons sur nos enfants pour résoudre les problèmes que nous engendrons sur Terre. Karmiquement parlant, il n'est donc pas étonnant que l’être humain devienne un problème pour ceux qui nous dirigent. De plus, le régime actuel, tel qu'il a été pensé, ne peut nourrir autant de monde, c'est pourquoi il a besoin d'un bon travailleur qui ne fonctionnera qu'un temps. La maladie et l'épuisement se chargeront du reste…
58. René Bickel, tiré de l'ouvrage : les Chemins de la Souveraineté Individuelle
Questions de plusieurs internautes : Je subis des attaques d’entités reptiliennes et les ressens fortement. Que puis-je faire ?
Anton Parks : La présence de manifestations émotionnelles ou bien provenant de l’astral peuvent avoir différentes origines. En voici quelques-unes qui me viennent à l'esprit :
- Une âme désincarnée coincée dans une dimension intermédiaire qui parasite la personne ou qui cherche de l’aide.
- Une âme incarnée qui évolue dans une dimension inférieure. Dans ce cas, à ma connaissance, seuls certains reptiliens peuvent faire cela, du moins sur cette planète.
- Des transferts énergétiques naturels entre vivants peuvent aussi être à l'origine de ce genre de phénomènes.
- Ses propres troubles, dont on n’a pas forcément conscience.
- Des projections effectuées par magie noire. Les humains savent pratiquer ce genre d'envoûtement inconsciemment et d'autres de façon tout à fait volontaire pour faire du mal à autrui.
La malfaisance n'est pas l'apanage des races reptiliennes. Une entité malfaisante désincarnée et coincée dans une dimension parallèle peut avoir le même effet "parasitant" qu'un reptilien qui est dans une dimension basse. Le terme "reptilien" désigne une race, celle des Gina'abul. Dans le cas d'une entité désincarnée, il n'y a pas de race. Donc définir les reptiliens comme mauvais est tout simplement de la ségrégation basée sur une méconnaissance des processus d'incarnation. Un être malfaisant incarné en humain ou en reptilien reste un être malfaisant. Les humains sont aussi très forts dans ce domaine. Quel que soit le type d'incarnation, dans une race ou une autre, l'âme est la même. Il y a juste les capacités d'expressions qui changent et qui sont en relation avec les gènes, donc avec le corps dans lequel on est incarné. De même, ce que nous nommons la malfaisance peut parfois n'être qu'un blocage (une grande souffrance), que la personne incarnée ou désincarnée n’arrive pas à dépasser. Elle projette alors sur une autre personne la responsabilité de son mal. L’absence de morale, de solidarité, d'introspection, donc de règles justes et équitables dans nos sociétés, participent à ces projections puisque la personne manquera de bases saines pour évoluer. C’est un ensemble auquel nous participons tous.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
Petite correction entrevue questions / réponses 7
58. René Bickel, tiré de l'ouvrage : les Chemins de la Souveraineté Individuelle
Questions de plusieurs internautes : Je subis des attaques d’entités reptiliennes et les ressens fortement. Que puis-je faire ?
Devrait se lire ainsi (à cause que « René Bickel, tiré de l'ouvrage » va dessous une image juste au-dessus de la question) :
58. Questions de plusieurs internautes : Je subis des attaques d’entités reptiliennes et les ressens fortement. Que puis-je faire ?
Anton Parks : La présence de manifestations émotionnelles ou bien provenant de l’astral peuvent avoir différentes origines. En voici quelques-unes qui me viennent à l'esprit :
- Une âme désincarnée coincée dans une dimension intermédiaire qui parasite la personne ou qui cherche de l’aide.
- Une âme incarnée qui évolue dans une dimension inférieure. Dans ce cas, à ma connaissance, seuls certains reptiliens peuvent faire cela, du moins sur cette planète.
- Des transferts énergétiques naturels entre vivants peuvent aussi être à l'origine de ce genre de phénomènes.
- Ses propres troubles, dont on n’a pas forcément conscience.
- Des projections effectuées par magie noire. Les humains savent pratiquer ce genre d'envoûtement inconsciemment et d'autres de façon tout à fait volontaire pour faire du mal à autrui.La malfaisance n'est pas l'apanage des races reptiliennes. Une entité malfaisante désincarnée et coincée dans une dimension parallèle peut avoir le même effet "parasitant" qu'un reptilien qui est dans une dimension basse. Le terme "reptilien" désigne une race, celle des Gina'abul. Dans le cas d'une entité désincarnée, il n'y a pas de race. Donc définir les reptiliens comme mauvais est tout simplement de la ségrégation basée sur une méconnaissance des processus d'incarnation. Un être malfaisant incarné en humain ou en reptilien reste un être malfaisant. Les humains sont aussi très forts dans ce domaine. Quel que soit le type d'incarnation, dans une race ou une autre, l'âme est la même. Il y a juste les capacités d'expressions qui changent et qui sont en relation avec les gènes, donc avec le corps dans lequel on est incarné. De même, ce que nous nommons la malfaisance peut parfois n'être qu'un blocage (une grande souffrance), que la personne incarnée ou désincarnée n’arrive pas à dépasser. Elle projette alors sur une autre personne la responsabilité de son mal. L’absence de morale, de solidarité, d'introspection, donc de règles justes et équitables dans nos sociétés, participent à ces projections puisque la personne manquera de bases saines pour évoluer. C’est un ensemble auquel nous participons tous.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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DOSSIER ANTON PARKS Entrevue Questions / Réponses 8
Date de cette entrevue Janvier 2011
Pour ceux à qui ça intéresse, évidemment.
Ça complète ses livres.
Ça vous permet de vous faire une idée du bonhomme.
Panthère(3)58 propose ; vous disposez selon votre jugement, votre discernement, VOS FILTRES !
Lien : http://www.antonparks.com/interview_anton_parks_web2010.pdf
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Extrait #8 :
3. Questions concernant la rédaction des Chroniques :
Questions personnelles :
59. Zefiros / modérateur du site (via le forum) : Etant donné la rigueur et le sérieux de ton travail quant aux données linguistiques, archéologiques, historiques, entre autre, que tu nous livres en complément de ce magnifique récit épique que sont les Chroniques du Girku, je me demande depuis un certain temps si tu envisages de confronter ton travail et tes découvertes face à des scientifiques relevant de ces disciplines, dans le cadre d'une émission de radio sérieuse et crédible dans ces domaines, mais également ouverte aux démarches originales, aux chercheurs (style "Continent sciences" sur France culture) ?
Anton Parks : Bonjour Zefiros. Si une personne de science me contacte et me pose des questions, généralement j’y réponds toujours. C’est arrivé à plusieurs reprises. Pour ce qui est d'une confrontation de mes écrits avec une quelconque discipline scientifique, je n'ai aucun besoin de valider mes propos plus qu'ils ne le sont par mes recherches parallèles. Un exemple : un lecteur féru de sciences m'a contacté peu après la sortie du T3, il m'a dit que l'effet que je décris lors de la mise en fonction des colonnes d'énergie dans la Grande Pyramide porte un nom : effet Hutchinson, nom donné à cette discipline par son inventeur John Hutchinson. Je connais vaguement cet effet grâce à une personne qui m'en avait parlé à l'époque où je rédigeais le Testament de la Vierge (donc avant sa sortie) parce que les descriptions que je faisais sur le fonctionnement de la Grande Pyramide lui semblaient du même ordre. Si j'avais été vénal, je me serai empressé de mentionner cette science dans le Testament de la Vierge et plus encore dans le Réveil du Phénix. Comme je l'ai déjà mentionné plusieurs fois, ce n'est pas à moi de confronter mon travail avec des sciences actuelles dont je ne connais d'ailleurs pas grand-chose, juste ce que j'ai pu vérifier ici et là pour mon compte personnel.
Non, il n’est pas prévu d’interview radio pour l’instant. Pour la radio, cela se fera éventuellement le jour où j'aurais achevé ma série. Peut-être un peu avant, je verrai. Ce ne sont pas les propositions qui manquent. J'aurais à ce moment plus de recul sur mon œuvre en général, alors qu'aujourd'hui je n'en ai aucun ! C'est une telle charge de travail et de concentration qu'il m'est impossible de discuter de tout cela aujourd'hui. Mon esprit est continuellement en effervescence, même lorsque j'effectue tout à fait autre chose que de la rédaction. C'est un état pénible, insupportable, mais avec lequel j'ai appris à conjuguer pour une question logique de survie. Lorsque je fais face à mon ordinateur, j'arrive naturellement à rassembler mes mots et à les traduire sur le clavier, alors que dans la vie de tous les jours, si une personne me demande de m'exprimer sur ma rédaction, cela m'est pénible, en tout cas de façon approfondie. Ma tête est pleine, c'est difficile d'expliquer ce phénomène. Il est important et vital pour moi de coucher tout cela sur papier et de dégager ainsi le maximum de la mémoire vive… et ensuite, même concernant certains détails de toute cette histoire gardée pendant longtemps dans un coin de ma tête : d'oublier ! Notre ami journaliste Alain Gossens avait trouvé cet aspect très intéressant. Nora et moi lui avions demandé pourquoi, il nous avait répondu : "Parce que tout le monde sait qu'un romancier qui invente des histoires pour ses livres, n'oubliera jamais aucun détail, aussi insignifiant qu’il soit".
60. Philomène (via le forum) : Je souhaiterais savoir sur le plan du sens de votre vie comment accueillez-vous cette expérience et quels enseignements en tirez-vous ? Si vous aviez un message à faire passer pour permettre à des personnes de donner un sens à leur vie, à la lumière de ce que vous vivez, quel serait-il ? Je vous remercie de l'attention que vous porterez à ces questions.
Anton Parks : Ce sont deux très bonnes questions. Mon instinct animal répondrait sans hésiter que je ne vis pas très bien cette expérience. Vivre au quotidien avec toutes ces images en tête est assez insupportable. J'ai passé près de vingt ans à jongler avec ces scènes complètes et ces sentiments, vingt ans à les cacher de mon mieux à tous mes proches et à moi-même. Aujourd'hui, j'ai la chance de pouvoir exprimer tout cela et de pouvoir enfin libérer de la mémoire vive dans ma tête… Depuis quelques années, cela s'est transformé en soulagement.
Concernant votre seconde question, je vais attirer votre attention sur le fait que depuis quelques années, j'ai le sentiment que la culture se soit appauvrie considérablement. Les classes politiques deviennent folles, elles nous ont pris en otage et souhaitent nous entraîner dans leur folie et leurs dogmes. Sans doute souhaitent-elles détourner notre attention des authentiques vérités. De ce fait, les gens s'intéressent de moins en moins à leurs origines, les traditions sont oubliées, même souvent la politesse et le respect. Malgré l'importance considérable du Web et son utilité, l'ère d'Internet rend peu à peu l'humain avide de sensations nouvelles et le coupe aussi du réel. Tout va beaucoup trop vite et le cerveau humain ne me semble pas adapté à cela. Beaucoup d'Internautes souhaitent connaître les clés du bonheur et regarder vers le futur, mais ils ont oublié un point essentiel : comprendre notre passé est primordial, car une humanité sans passé est une humanité sans racine et sans modèle ; une humanité en involution, prête à s'effondrer. Toute personne qui ne peut le comprendre, ne regarde pas vers l'avenir. Je précise, je parle bien de l'humanité et non de notre civilisation qui, elle, va de toute façon dans le mur si elle ne se ressaisit pas. Mon travail sur le passé de l'humanité, comme celui effectué par d'autres auteurs, peut aider à regarder sereinement vers l'avenir. L'humanité doit connaître la vérité sur sa véritable histoire, sinon elle ne s'en sortira jamais.
61. Jean-Paul par mail : Connaissez-vous la confédération de "Damanhur" située au nord de Torinos (Turin) ? Ce regroupement existe depuis plus de 36 ans et pratique de la physique ésotérique. Ils utilisent un langage atlante, qu'ils dansent et dessinent, fabriquent des "Selfs" (objets en cuivre qui contiennent des intentions), font des voyages dans le passé (pas le futur) et ont construit le "tempio di Uomo" (Temple de l'homme) à l'intérieur de la terre... (c'est de "l'Indiana Jones"... en vrai...). C'est un lieu de productions coopératives et de recherche spirituelle et physique. Ils travaillent également en collaboration avec l'hôpital de Turin. J'ai beaucoup pensé à eux en lisant vos Chroniques car ils ont un rite avant les repas et purifient tous leurs aliments par Horus. J'aimerai, si cela vous parle, avoir votre opinion sur cette mouvance. En quoi pourrait-elle être en rapport avec les travaux d'Horus et d'Aset ? Si vous en voyez ?
Anton Parks : L’Egypte ancienne et l'A'amenptah (l'Atlantide) sont au cœur de nombreux cultes, hier comme aujourd’hui. C’est sans doute dû à la profonde sagesse que ces cultures contiennent. Je ne connaissais pas la fédération de Damanhur. Comme vous n'êtes pas le premier à m'en parler, j'ai été voir de quoi il s'agit sur le Net. A priori, je n'ai rien à dire, cette fédération fonctionne de façon communautaire et semble mettre un point d'honneur sur le respect de son prochain, ce qui est encourageant. D'un point de vue personnel je trouve juste que les peintures de leur temple souterrain sont un peu trop criardes et spectaculaires ; il faut savoir rester simple parfois. Maintenant, j'ai pu constater que certains sites Internet tentent de les salir, à tord ou à raison, c'est de toute façon une habitude. Lorsque des communautés fonctionnent de cette façon, la grande parade est systématiquement de les taxer de secte. En tout cas, merci pour l'information.
62. Uforeims sur forum : Quelle est l’origine des Crop Circles ?
Anton Parks : Personnellement, je n’ai pas d'avis précis sur l’origine des Crop Circles, mais Nora en a un, je lui laisse donner son sentiment sur cette question.
Nora Parks : Le phénomène des Crop Circles n'est pas récent. On en trouve des traces dans des récits historiques datant de plusieurs décennies, voir plusieurs siècles, puisque le premier témoignage remonterait à 1590, voici un lien Internet, par exemple, à titre d'information :
http://forums.futura-sciences.com/debatsscientifiques/66854-phenomene-agroglyphes-crop-...
Nous en entendons beaucoup parler depuis les années 1980, date où il semblerait que ces phénomènes soient devenus de plus en plus importants. Barbara Marciniak, dans ses ouvrages, affirme qu’il s’agirait simplement de lumière pure qui afflue sur Terre, et qui prendrait ces formes géométriques. Sachant que la lumière est aussi la connaissance, pourquoi pas. Cette théorie me touche et résonne en moi. Je ne peux pas m’empêcher de faire le rapprochement entre les visions d’Anton reçues sous forme de flashs lumineux et ces Crop Circles. Lorsque j'observe tout ce blé plié pour former des formes géométriques extraordinaires dans les champs, et lorsque j'ai vu Anton, parfois plié en deux, lors de ses derniers flashs douloureux en Egypte, je m'interroge… Et si finalement, la nature de ces phénomènes était identique ? De la lumière pure qui touche les humains et la planète. J'en suis convaincue. Dans l’histoire des Chroniques, l'œuvre des planificateurs est d’implanter la lumière dans cette partie de l’univers. Pour moi, cela se tient, et si les Crop Circles sont bien de la lumière divine pure arrivant sur Terre, cela veut dire qu’elle s’y incarne et que les centaines de milliers d’années de travail ont porté leurs fruits !
63. Mercure (via le forum) : Où se trouve le GIRKU aujourd'hui ? Pensez-vous que les flashs que vous avez eu sont dus à la proximité du GIRKU ou d'un de ses fragments (si un jour il a été détruit partiellement comme je le ressens) et que vous y étiez réceptif ? Tel le sentiment de malaise ressenti à proximité et au-dessus du Benben, la dernière fois (lors d'un de vos voyages en Egypte, comme vous l'expliquez dans le Testament de la Vierge).
Anton Parks : La réponse partielle à cette interrogation se trouvera à la fin des Chroniques, mais vous devez savoir que je ne sais pas où se trouve le Girkù aujourd’hui. Je sais juste dans quelles mains il se trouvait à la fin de toute cette histoire. En règle générale, certaines personnes peuvent ressentir ou voir des choses en étant à proximité d’un objet ou à son contact. Mais, il est aussi possible qu’il puisse y avoir des "transferts" d'informations dans l’espace et le temps. Chaque objet a emmagasiné des informations sur son passé et vibre d'une certaine façon. Quelques personnes savent traduirent naturellement ces données. Concernant mon expérience, je ne saurai dire si c'est à cause du Girkù ou pour une autre raison que j'ai reçu tout cela. Comme vous le savez, cela ne m'intéresse pas d'en connaître les raisons. Ne pouvant expliquer clairement le [processus] qui m'a permis de recevoir autant d'informations, je ne peux pas être plus précis. Peut-être que Nora a raison lorsqu'elle évoque "l'effet Crop Circles". Je ne sais pas, et surtout, je ne me pose pas cette question qui me semble secondaire. Se poser trop de questions sur soi-même empêche bien souvent d'avancer. Il est sain d'avancer instinctivement en faisant confiance à ce que l'on a au fond de soi.
64. Bertrand (via mail) : Quels liens entretenez-vous avec vos lecteurs et aussi avec ceux qui collaborent avec vous si c'est le cas ? Vous êtes maintenant assez connu dans le monde francophone, en qualité de personne publique vous ne devez pas réchapper aux critiques et à la désinformation, suivez-vous ce qu'il se raconte sur vous ?
Anton Parks : Ce n'est pas moi qui réceptionne les messages et les lettres que nous recevons. Depuis pratiquement le début, tous nos e-mails sont redirigés vers différentes boîtes mails comme celles des trois principaux administrateurs de mon site et aussi dans ma famille. Les messages sont triés ; les plus "occultes" sont écartés. Ceux qui ne commencent pas par "bonjour" ne sont même pas lus.
Il est difficile, quasiment impossible, d'entretenir des relations suivies avec des lecteurs ou des internautes. Les attentes sont souvent disproportionnées et impossibles à satisfaire. Aujourd'hui, j'ai une pile immense de mails et de courriers sur mon bureau qui ont été triés, je sais pourtant que je ne pourrais en lire qu'un 10e et éventuellement répondre à la moitié de ce dixième. Mes lecteurs doivent savoir que je ne passe pas mes journées à écrire et que j'ai d'autres activités. Les journées sont intenses et très courtes ; arrivé à la fin de la journée, je ne veux plus entendre parler de ce que j'aurais eu le temps de faire ou de ne pas faire, et encore moins de l'écrivain si j'ai trouvé du temps pour écrire. D'ailleurs, lorsque je sors, j'évite de discuter de mes activités professionnelles. Je déteste parler de moi. De ce fait, mon épouse et moi fréquentons des personnes qui savent rarement que j'écris aussi des ouvrages et qui m'apprécient simplement pour ce que je suis.
En ce qui concerne mon travail d'écrivain, j'ai bien tenté quelques essais de collaboration d'un point de vue artistique, mais les idées qui sont faites sur vous et votre œuvre ne vont pas nécessairement dans la même direction que les vôtres. Dans ces conditions, les réactions peuvent parfois devenir surréalistes et une collaboration sur du long terme devient impossible. Cela devrait normalement être une joie que de partager des idées, même si elles sont différentes. Mais, lorsque que l'on entretient des rapports amicaux avec autrui, la tentation est grande pour devenir des "amis", alors on vous implique rapidement dans des problèmes qui ne sont pas les vôtres ou encore on tente de vous projeter des frustrations qui ne vous appartiennent pas : dans ce cas, il faut alors savoir dire stop ! J'ai passé de nombreuses années dans la communication, et trouver des solutions était ma mission. Mais aujourd'hui, j'ai appris que tendre le bras systématiquement comme me le dicte mon cœur et comme le veut le milieu de la communication, c'est prendre le risque que l'on vous le coupe. On a tenté de me le couper plus d'une fois ces dernières années. Je suis bien trop attentionné, tout le monde me dit que c'est ma faiblesse ! Alors cela peut créer de l'autre côté des familiarités inacceptables, comme nous en avons connu. De toute façon, quoi que vous fassiez, vous ne donnerez jamais assez, aussi bien intellectuellement que matériellement. Aujourd'hui, je dois aller à l'essentiel, je n'ai peut-être plus la même patience non plus, particulièrement avec ceux qui se complaisent dans la "victimisation". C'est toujours plus simple d'être une victime et de reporter ses espoirs ou ses désillusions sur les autres. Chacun fait des choix dans la vie plus ou moins bons, mais il faut tous les assumer.
Des personnes qui placent tous leurs espoirs personnels dans des ouvrages ou un écrivain sont des personnes qui ont besoin d'un responsable sur lequel elles déchargeront toutes les responsabilités en cas de déception ou d'échecs des espoirs projetés. Dans ce cas, ce sont les reproches, les menaces et quelques fois l'intimidation. On ne peut pas plaire à tout le monde, heureusement d'ailleurs ! Ceci est valable dans tous les milieux, particulièrement dans le milieu dit ésotérique dans lequel on a catalogué mes ouvrages.
Je ne suis pas du tout ce qu'il se dit à mon sujet sur le Net, cela ne m'intéresse absolument pas, mais on nous le rapporte parfois, notamment grâce aux contacts de lecteurs fidèles. Apparemment je n'aurais pas toujours répondu à des attentes spécifiques. Les gens attendent souvent trop de moi, certains guettent plutôt la venue d'un sauveur ! Sauver de quoi, allez savoir… A chacun ses espoirs, mais aussi ses délires et sa colère. Personne, parmi chacun de nous, n'est là pour supporter les problèmes des autres. C'est une spécialité du milieu ésotérique et pseudo spirituel que de se pavaner dans des monologues dont le seul objectif est de décharger de l'ego ou de la colère non assumée. Dans l'antiquité, on envoyait un bouc dans le désert pour résoudre le problème, aujourd'hui on a Internet !
65. Michel (via mail) : Avez-vous vu ce sceau qui semble d'origine sumérienne (présence du signe Dingir) et s'il avait un avis à ce sujet ? Je cherche à trouver une traduction de ce sceau pour mieux comprendre la symbolique autour de ce paon, car il me semble représenter la divinité Enki-Ea mais je ne suis pas certain. Il y a beaucoup de spéculations sur ce peuple Yezidi, car les musulmans attesteraient qu'ils seraient des adorateurs du Diable. Hors je pense qu'il n'en est rien. Le sceau:
http://img94.imageshack.us/img94/1548/melektaus.png
Anton Parks : Je doute fortement qu'il s'agisse d'un sceau sumérien. Le paon ne fait pas partie du bestiaire sumérien et je ne connais aucun sceau où il serait gravé. A ma connaissance, Enki-Ea n'a jamais été symbolisé par un paon. L'écriture cunéiforme n'est pas du sumérien sur ce sceau, mais plutôt du babylonien moyen. Le signe Dingir est déclinable du sumérien archaïque à l'akkadien récent. Désolé de ne pas pouvoir vous aider davantage sur cette question.
66. Kristian (via mail) : Anton connaît-il le site www.autresdimensions.com et s'il le découvre, reconnaît-il une similitude et une simultanéité de ces informations avec l'Univers qu'il révèle dans ses propres ouvrages ?
Anton Parks : Non, je ne visite pas ce genre de sites. Je ne vais occasionnellement sur le Net que pour faire des recherches spécifiques et vérifier des informations.
67. Kristian (via mail) : Il y a déjà pas mal de temps j'ai écrit à Anton via l'éditeur pour connaître son analyse sur la diffusion de la langue auxiliaire "Esperanto", sachant que l'aspect linguistique est essentiel dans son oeuvre. A-t-il aujourd'hui la possibilité de répondre ?
Anton Parks : L’esperanto part d'une volonté de créer une langue unique, comprise et parlée par tous. C’est une démarche louable, mais qui est vouée à l'échec. La raison étant que cela n'arrangerait en aucun cas les affaires des différents gouvernements mondiaux que toute la planète puisse parler une seule langue et ainsi communiquer tranquillement. Ce genre d'idée sera peut-être possible lorsque le système actuel aura changé et que l'humanité se donnera la possibilité d'avancer main dans la main, sans aucune discrimination raciale et culturelle.
68. Kristian (via mail) : Dans le même registre linguistique, j'ai cherché en vain à savoir quelles étaient les possibles prononciations des lettres similaires, mais avec des accents différents des mots sumériens qui jalonnent cette saga des étoiles... ? Je reste curieux de cette réponse.
Anton Parks : Je sais que je devrais peut-être réaliser un jour une sorte de dictionnaire linguistique Gina'abul. Mais cela s'effectuera lorsque j'aurai fini ma série d'ouvrages. Ce n'est pas le plus important aujourd'hui. Seule une poignée de lecteurs s'y intéressent, mais peut-être beaucoup plus lorsque tout sera achevé. Dans ce cas, cette démarche aura vraiment un sens éditorial et cela sera une aventure extraordinaire et un nouveau défi à relever.
69. Anne (via le forum) : Dans le Testament de la Vierge, vous démontrez la manipulation judéo-chrétienne et ses méthodes millénaires, entre autre par l’étude de l’histoire et de la linguistique. Pourtant vous dites vous être marié à l’église. Si ce n’est pas trop indiscret, pouvez-vous m’expliquer votre démarche personnelle ?
Anton Parks : La religion chrétienne a puisé ses bases dans le paganisme et nous y retrouvons nombre de concepts communs à la pensée égyptienne. Même si beaucoup d’idées ont été détournées et que cette religion comporte des non-sens, elle comprend aussi beaucoup de générosité et de sagesse. C’est bien pour ces raisons qu’elle a été acceptée par un si grand nombre au fil des siècles. La majorité des gens qui en font partie sont souvent de bonne volonté et altruistes.
Il est certain que l’Eglise a du sang sur les mains et que rien n’excuse "l’évangélisation", les vols de territoires (faits en son nom) et les extinctions culturelles qu’elle a perpétrées et qu’elle poursuit aujourd'hui encore. Mon épouse et moi n’adhérons pas à cela, car nous avons trop de respect pour les anciennes cultures. La majorité des peuples primitifs possèdent une vision respectueuse des choses et du monde. Ils sont proches de la nature et ont beaucoup de concepts à nous transmettre. Si nous exterminons ces gens et leur culture, nous nous privons nous-mêmes de la possibilité d’évoluer et d’apprendre en se rapprochant d’eux et du divin. Il nous a été reproché "d’être restés fidèles à cette religion". Mais, ce n’est pas parce que nous nous sommes mariés à l’église que nous adhérons aux dogmes chrétiens dont certains ne sont que des interprétations issues d’une compréhension limitée. Nous reconnaissons simplement la part de bon qu’elle contient, et la bonté de leurs membres. Pourquoi la rejeter en totalité alors que ce que le christianisme enseigne est souvent juste (ne pas mentir, ne pas tromper, etc.). Il ne faut pas jeter "le bébé avec l’eau du bain" comme le dit si bien le vieil adage.
Nora Parks : Il faut savoir que le mariage a été instauré à l’origine par Isis. Nous avons célébré notre union dans une église dédiée à Marie, et cela a été une manière d’honorer la mémoire d’Isis ainsi que le culte de la Déesse-Mère. C’est nous qui avons élaboré la cérémonie et rien ne nous a été imposé. Nous avons pu faire lire des textes apocryphes ainsi que des textes de notre rédaction et nous avons choisi notre musique. Si nous n’avions pas pu sélectionner les textes et préparer le déroulement de la cérémonie, elle n’aurait pas eu le même sens du tout. Mais là, en l’occurrence, elle a bien eu le sens que nous voulions lui donner. C’était une cérémonie magnifique et très originale. Nous avons pu exprimer des choses qui nous tenaient à cœur et rendre ainsi hommage à l’ancienne religion d’Osiris. Une façon pour nous de lui redonner la place et l’importance qui lui est due lors de ce jour important pour nous, et espérer, qui sait, que la religion chrétienne retrouve ses vraies racines ainsi qu’une compréhension plus profonde et complète d’elle-même, sans contradictions avec la profonde sagesse antique égyptienne, dont elle est issue. Pour nous, le fait que nos textes aient été acceptés montre bien (ou nous prouve) qu’elle est sur la voie de la compréhension profonde et du retour à ses vraies racines, même si cela prend peut-être du temps.
70. François (via mail) : Un internaute sur votre site a décomposé le nom de la cabale secrète qui dirige le monde des humains en coulisse c'est-à-dire les illuminati avec le syllabaire sumérien. Cela donne ÍL-LÚ-MÍ-NA-TI qui se traduit selon l’internaute par "les hommes élevés du culte de la non-vie". Que pensezvous de cette traduction et pouvez-vous vous-même la traduire pour voir si par le jeu de l’homophonie d’autres traductions sont possibles ?
Anton Parks : Cette décomposition est exacte, mais elle pourrait également donner ÍL-LU-MÍ-NA-TI "les nombreux élevés responsables du genre humain et de la vie", NA étant une particule qui peut aussi désigner le genre humain et pas seulement une négation. Le tout est de savoir de quel côté on se situe lorsque l'on effectue une décomposition. Le sumérien ou proto-sumérien, dérivé du langage Gina'abul, est un idiome reptilien qui permet le double langage.
71. François (via mail) : Que pensez-vous de l’auteur britannique Aleister Crowley et plus particulièrement sa façon de refonder les différentes religions et doctrines sachant qu’il utilise la trinité égyptienne et emploie les termes de la femme écarlate, de la bête et de l’antéchrist ? Pensez-vous que nous sommes en plein détournement des symboles comme c’est souvent le cas dans l’histoire de l’humanité ?
Anton Parks : Désolé, je ne connais pas du tout cet auteur. Les lecteurs ont souvent tendance à croire que je connais tout, ce qui n'est pas le cas, sinon cela serait bien triste pour moi. C'est merveilleux d'apprendre encore et toujours… Malheureusement, le détournement de symbole peut être aussi présent dans des travaux de recherche. Il peut s'agir d'inversions inconscientes ou conscientes, selon les cas. Ne connaissant pas le travail de cet auteur, je ne peux pas vous donner mon avis.
72. Franck (via mail) : Cher Monsieur, envisagez-vous célébrer votre nouveau chef-d’œuvre avec une séance de dédicaces et avez-vous une position sur les terribles ouvrages de Mr. David Icke ?
Anton Parks : Pour la séance de dédicaces, bien que cela ne soit pas d'actualité, ça se fera bien un jour pour un prochain livre, j'en suis convaincu. Concernant David Icke, j'ai donné mon opinion à son sujet dans le Réveil du Phénix. C'est un grand chercheur intègre et respectable, malgré la dérision qui s'est abattue sur lui et ses travaux. Je pense que mes Chroniques et particulièrement mes recherches parallèles apportent crédit à certaines de ses découvertes. Par exemple, la décomposition du sceau d'Ur que j'ai effectué dans le T3, ne le laissera pas indifférent puisqu'elle confirme avec éclat ses propos sur la présence du gène reptilien et aussi sur la descendance humano-reptilienne, sujet important de ses ouvrages. Une preuve fondamentale a été apportée et elle est gravée sur argile. Pour le reste, je n'ai pas lu non plus tout ce qu'a pu écrire David Icke. Son travail me semble d'une grande importance. Icke se charge de collecter des indices sur la présence reptilienne aujourd'hui. De mon côté, je me charge de démontrer cette présence dans notre passé…
73. Didiera (via le forum) : Anton Parks reçoit ses récits en 'revivant' ce qui est arrivé à Enki-Sa'am. A l'état de veille si j'ai bien compris. Connaît-il d'autres personnes, vivantes ou décédées, connues ou inconnues, qui vivent le même genre de phénomène ? Si oui, quel genre de personnage se manifeste ?
Anton Parks : A part l'égyptologue Dorothy Eady (Omm Sety) dont le cas relèverait d'une ancienne incarnation, personne que je connaisse, mais cela ne veut pas dire qu'il n'en existe pas. Il doit y avoir des personnes connectées à des sources d'informations concernant le passé, comme par exemple celle qui concerne la voie du channeling. Ce qui pose problème dans ce genre de cas, c'est le manque cruel d'informations et de détails dus au filtre propre du channeling. Un channel reçoit toujours ce que l'entité ou le groupe extérieur à notre dimension souhaite lui transmettre. Cette connexion se réalise sous certaines conditions et les informations sont éparses, fragmentaires et souvent contradictoires, ce qui est spécifique au channeling. C'est pourquoi je me méfie du channeling, mais il existe des gens sérieux dans ce domaine comme Barbara Marciniak et Valérie Barrow pour son Contacts avec les Pléiadiens. J'ai expliqué de nombreuses fois mon expérience dans des interviews disponibles sur notre site. Elle ne relève pas du channeling pour ces raisons et d'autres pour lesquelles j'ai toujours été clair.
74. Watcher (via le forum) : Vous dites avoir reconnu en votre femme Nora, votre double, votre âme sœur. Pouvez-vous nous expliquer comment peut-on reconnaître son double dans la vie de tous les jours et être certain qu’il s’agit de la bonne personne?
Anton Parks : Avant de vous répondre, je précise de nouveau ici que je ne fais pas de distinction entre les termes "âme sœur" et "âme jumelle" ou "flamme jumelle", ces deux dernières dénominations datant d'une dizaine d'années et étant donc récentes. De mon point de vue, une âme sœur est une âme jumelle, alors qu'un individu appartenant à une même famille d'âme est simplement une âme communautaire ou fraternelle. J'ai déjà évoqué ce sujet dans une interview donnée au magazine Les Mystères des Sciences Sacrées, placée sur notre site ; celle qui concerne la vie après la mort.
Je sais que beaucoup de personnes aimeraient retrouver son double pour des raisons que l'on peut comprendre parfaitement. Cela peut être vraiment formidable de vivre avec son double. Cependant, j'aimerais attirer votre attention sur quelques points auxquels les gens ne pensent pas nécessairement. Habituellement, on reconnaît son double sur l'instant, en tout cas assez rapidement, en faisant abstraction de l'attirance physique réciproque qui peut occuper les pensées dans le cadre d'une rencontre amoureuse. Je dirais simplement que l'effet systématique et spontané lorsque l'on fait face à son double, c'est de voir une image de soi-même, un peu comme lorsque l'on se regarde dans un miroir. C'est très troublant comme sensation ; on ne le vit qu'en face de son double. Chaque geste, chaque mot, chaque regard compte. Pour ces raisons, ce n'est pas toujours facile de côtoyer ou vivre avec son âme sœur. Des âmes sœurs forment une essence primitive, elles possèdent des qualités et des défauts identiques, mais renferment chacune des capacités spécifiques qui enrichissent celles que son double ne possède pas nécessairement. De véritables âmes sœurs se renvoient aussi le meilleur comme le moins bon qui est en nous. Avec son âme sœur, on peut se permettre parfois d'être dur, alors que cela serait impensable avec une autre personne. Réciproquement, chaque membre d'un couple jumeau attend beaucoup inconsciemment de son double inversé, tout autant que ce que l'on pourrait attendre de soi-même. L'effet est à la fois naturel et spontané, presque animal. On le voit bien dans le T3, c'était le cas entre Isis et Horus, mais leurs responsabilités conjointes et séparées les obligeaient aussi à réagir de la sorte.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
Serge Cazelais VS Anton Parks : Round 5 Points Communs
POINTS COMMUNS ENTRE SERGE CAZELAIS ET ANTON PARKS
Aussi surprenant que cela puisse paraître, il faut prendre bonne note que Cazelais et Parks se rejoignent sur bien des points même s’ils n’empruntent pas le même chemin pour y arriver. Qu’ils ont peut-être plus en commun qu’il n’y paraît. Seul le temps nous le dira. Évidemment, je suis bien conscient que l’un comme l’autre puisse ne pas être totalement en accord avec l’argumentaire de l’autre. Là n’est pas l’objectif de ce billet.
T = Tome des Chroniques du Ǧírkù
E = Essai
T-1 = Le Secret des Étoiles Sombres
T-2 = ÁDAM GENISIŠ
T-3 = Le Réveil du Phénix
E-1 = Le Testament de la Vierge
E-2 = EDEN la vérité sur nos origines
Je résume les propos de Serge Cazelais que vous pouvez aller écouter directement sur le vidéorandia. Je mets des extraits d’Anton Parks pour que vous ayez ses écrits directement aussi.
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Voyons maintenant ce qu’ils partagent de mon point de vue :
1. Les qualificatifs du Sumérien : À 0 :35 :55
Serge Cazelais : Il en connaît un peu. Une langue qui a des petites racines brèves, souvent d’une seule syllabe. C’est une langue dite « agglutinante », langue qui demeure un mystère, donc aucun grand spécialiste sur la planète, une langue que l’on ne peut pas rattacher à une famille. Il a seulement une hypothèse, partagée par d’autres, qui la rattache dans la mouvance des langues chinoises, asiatiques. Donc, le Sumérien est une langue à part. Si on ne tient pas compte de la syntaxe, on peut faire dire n’importe quoi à une langue. On connaît le Sumérien par des inscriptions bilingues qui nous donnent des traductions en langues sémitiques. Tout rattachement avec un son est pure hypothèse.
Anton Parks : Voir le lien http://www.orandia.com/forum/index.php?id=129588
Sous le titre : « Cazelais VS Parks : Round 3 Le sumérien Partie 2 »
E-1 p.14 Les textes mythologiques et funéraires égyptiens cachent plusieurs niveaux de lecture grâce à l’emploi des hiéroglyphes, dont certains figurent des sons totalement inexistants dans la plupart des langues occidentales. L’origine de la langue égyptienne est tout aussi mystérieuse que le sumérien, quoiqu’elle soit généralement rattachée aux langues sémitiques du Proche Orient comme le syro-palestinien, l’akkadien et l’hébreu.
E-2 p.23 Si l’on se fonde sur diverses recherches linguistiques menées jusqu’à ce jour, le sumérien ne semble pas avoir changé depuis ses plus anciennes inscriptions ; son langage écrit (l’écriture cunéiforme) et sa grammaire, eux, ont par contre évolué au fil des millénaires, passant de l’état de pictogramme archaïque à la forme de l’akkadien récent. Le sumérien ne ressemble phonétiquement à aucun autre idiome connu sur Terre (vivant ou mort) : l’EME-AN reste donc un mystère total.[/color][/b]
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2. L’imposture de Zecharia Sitchin : À 0 :41 :39 et à 1 :04 :18
Serge Cazelais : Étant plus jeune, il s’est intéressé à Sitchin. Quand il a appris l’hébreu, il s’est rendu compte que Sitchin, c’était de la fiction. Ce qu’il disait des mots hébreux sortait de son imagination. Donc, pourquoi il lui ferait confiance quand il traduit des mots sumériens.
La théorie de la douzième planète de Sitchin repose sur un sceau cylindrique dont les inscriptions sur le côté n’étaient qu’une signature.
Anton Parks : E-1 p.29 Le lecteur qui débarque sans aucune connaissance à propos des Anunnaki doit savoir que ce thème connaît un essor considérable depuis 1976 dans le milieu dit "New-Age" grâce notamment aux travaux de Zecharia Sitchin.
E-1 p.30 Malheureusement pour ces militaires et les nombreux journalistes qui soutiennent ce conte à dormir debout, cette version est une pure invention de Sitchin. Jusqu’à preuve du contraire, les tablettes mésopotamiennes qui formuleraient ces informations n’existent pas. […] Depuis plus d’une trentaine d’années, il a maintes fois été réclamé à Zecharia Sitchin de fournir les références de ces tablettes, mais il ne l’a jamais fait.
T-2 pp.320-321 Les éléments rapportés à cette partie et à l’ensemble de ce dossier vont malheureusement mettre à mal la thèse de l’auteur Zecharia Sitchin au sujet de Neberu ou Niburu mésopotamien. […] C’est en se référant à la tablette VA-243 que M. Sitchin aurait relevé la présence de l’astre mystérieux tournant autour de ce qui lui semble être un soleil. Pourtant, cette tablette d’argile n’est absolument pas un document astronomique. Elle a fait l’objet d’une publication en 1940 par les soins d’Anton Moortgat pour le Vorderasiatisches Museum de Berlin. Les trois lignes qui composent le texte de cette tablette indiquent simplement : "Dusbsiga (nom personnel), Ili-Illat (nom personnel), ton serviteur".
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3. Textes sumériens VS les textes bibliques ou dits « sacrés » : À 1 :01 :00
Serge Cazelais : Les textes bibliques font référence à des récits qui sont connus dans l’épopée de Gilgamesh, comme le Déluge. Ces textes bibliques ressemblent beaucoup aussi à certains récits de la Création du Proche Orient Ancien. Et c’est normal. Ce qui les distingue, c’est le message, l’accent qu’ils mettent sur certains éléments plutôt que d’autres. Si le but est de transmettre un message spirituel particulier, on fait poser des actions, des gestes aux personnages ou on met en scène un scénario en ce sens.
Anton Parks : T-1 pp.13-14 Les Mésopotamiens ont laissé une empreinte profonde et indélébile dans la Bible et l’ensemble de la culture judéo-chrétienne. La découverte en Mésopotamie de tablettes datant de 3 500 à 5 000 ans (dates des rédactions), montre de toute évidence que l’Ancien Testament de la Bible de Jérusalem n’est qu’une adaptation d’écrits antérieurs.
E-1 p.374 Quelle était la situation des Hébreux déportés à Babylone à partir de 597 av. J.-C. sur l’ordre de Nabuchodonosor II ?
E-1 p.376 Tout ceci pour souligner le fait que les scribes et prêtres hébreux étaient suffisamment intégrés au peuple babylonien pour pouvoir prétendre avoir accès à l’illustre bibliothèque de Babylone. Cela nous renvoie donc au sujet de ce dernier chapitre : la rédaction de la Bible.
E-1 p.379 Il va sans dire que, pendant et après leur séjour à Babylone, les prêtres hébreux avaient en leur possession tous les éléments imaginables pour mettre au point la Bible en tant qu’Histoire universelle et ce, sur la base des textes et des traditions appartenant aux deux grands pays ennemis : l’Égypte et la Mésopotamie – une compilation de documents qu’ils avaient trouvés lors d’existences passées au cœur de ces deux grandes civilisations. C’est là, à partir de cet instant précis vers 538 avant notre ère, que tout s’est joué, juste après la prise de Babylone par le Perse Cyrus et l’autorisation donnée aux déportés de regagner la Judée. Il existe de nombreuses similitudes entre les sources égypto-mésopotamiennes et celles auxquelles a puisé la Bible.
E-2 pp.16 Depuis le siècle dernier, de nombreux linguiste et auteurs comme, par exemple, Samuel Noah Kramer, Jean Bottéro, James B. Pritchard, André Parrot, George Conteneau et Thomas Römer, ont étudié les tablettes d’argile de Mésopotamie et les écrits bibliques. De ces études découlent un constat unanime : plusieurs épisodes de l’Ancien Testament trouvent un écho évident dans les tablettes rédigées en caractères cunéiformes. Effectivement, tout le monde sait aujourd’hui que l’histoire du déluge biblique a été calquée sur une version babylonienne du déluge trouvée dans la bibliothèque du roi assyrien Assurbanipal à Ninive.
E-2 p.19 Comme je l’ai mentionné dans mon précédent essai, Le Testament de la Vierge, la transmission des traditions spécifiquement sumériennes et akkadiennes qui ont servi à composer les épisodes clés de l’Ancien Testament, n’a pu s’effectuer que lors de la captivité des Hébreux à Babylone.
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4. Les tablettes d’argile mésopotamiennes : À 1 :03 :40
Serge Cazelais : On est à une étape embryonnaire pour les textes sumériens. Ce sont surtout des factures, des relevés commerciaux. Les textes mythologiques ne représentent même pas 1% des textes.
Anton Parks : T-1 pp.11-12 Les Sumériens, Akkadiens et Babyloniens ont produit une vaste collection de tablettes en argile cuite sur lesquelles sont consignés à la fois les événements les plus simples de leur vie quotidienne, comme la construction de leurs cités, leurs gigantesques travaux d’irrigation, leurs codes sociaux, leur astronomie et mathématiques… jusqu’aux récits de la Création. La particularité des peuples de l’Orient Ancien est d’avoir été en contact direct et prolongé avec les « dieux » des légendes de la Terre, c’est pourquoi leurs innombrables tablettes d’argile et épigraphes regorgent de descriptions insolites et d’éléments atypiques. Les inscriptions sur argile de la civilisation de Mésopotamie regroupent des récits historiques écrits et compilés à partir de différentes traditions orales transmises de génération en génération et ceci sur des milliers d’années.
Un bon nombre d’historiens et d’archéologues considèrent certains de ces documents comme de pures légendes parce qu’ils contiennent, à leurs yeux, de nombreux éléments fantastiques. Pourtant, la science officielle est confrontée à une énigme remarquable, car plus on fouille dans cette région, plus les cultures que l’on découvre sont avancées.
E-2 p.22 Les différentes civilisations qui se sont succédé sur le sol de la Mésopotamie ont, au cours des millénaires et à tour de rôle, produit une documentation monumentale sur des tablettes d’argile (souvent rectangulaires et de la taille de la paume de la main), mais aussi sur des stèles, des statues et des monuments…
Ce sont plus de 2000 signes cunéiformes qui ont été identifiés.
E-2 p.25 Il est un point très important à ne pas oublier : la rédaction sur argile avait à l’origine pour seul objectif de comptabiliser les biens et les échanges commerciaux des divers domaines de l’Edin (la plaine), qui s’étalait entre le Tigre et l’Euphrate.
E-2 p.27 En 1987 fut découverte la bibliothèque du temple de Šamaš à Sippar (Abu Habba). […] Les 44 casiers de celle-ci contenaient pourtant 800 tablettes ! On y rassemblait en général des textes d’astrologie, de divination, de magie, de médecine, de mathématique, d’astronomie, de philologie et, bien entendu, la matière principale de notre enquête : les grandes littératures que l’on classe aujourd’hui dans les mythes et les épopées.
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5. La beauté du texte de l’Évangile essénien de la Paix : À 1 :11 :22
Serge Cazelais : L’Évangile essénien de la Paix est un beau texte, un très très très beau texte qui reproduit des extraits des lettres de Paul sans les lui attribuer.
Parks : T-2 p.371: Jésus le Christ souligne particulièrement le rôle de l’Éternel Féminin dans le magnifique texte apocryphe intitulé "l’Évangile de la Paix" dont l’original en langue araméenne est jalousement conservé à la Bibliothèque du Vatican. Bien entendu, ce manuscrit ne peut être reconnu comme authentique par le clergé pour des raisons que vous allez découvrir, non sans une certaine amertume.
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6. L’Étoile du Matin = Lucifer = Vénus : À 1 :13 :44
Serge Cazelais : Le nom du diable est accolé à Lucifer à partir du 5e ou 6e siècle par un moine dénommé Saint-Jérôme qui n’aurait pas apprécié un évêque prénommé Lucifer, et se retrouve seulement dans la Bible King James (traduction du 17e siècle devenue un peu canonique dans le monde anglo-saxon). Autrement, dans la traduction latine de la Bible, le mot Lucifer signifie « l’Étoile du Matin », soit la planète Vénus.
Parks : T-2 pp.330-331 Certains éléments nous laissent penser qu’il pourrait s’agir d’une forme védique de Lucifer (Vénus). Lucifer est un nom latin qui veut dire "porteur de lumière". Comme nous venons de le voir, cette désignation est conforme à Agni. Dans la version grecque de la Bible, Lucifer est dénommé Phosphoros (phôs = lumière / phoros = qui porte). C’est sans doute à partir du célèbre passage du livre d’Isaïe que l’église chrétienne assimila de manière erronée Lucifer (l’Étoile du Matin) à Satan, que nous avons démystifié dans ce même ouvrage.
Lien : http://otremolet.free.fr/otbiblio/bible/ancien/isaie/is14.html
Extrait : Isaïe 14, 12/16
Is 14:12- Comment es-tu tombé du ciel, étoile du matin, fils de l'aurore ? As-tu été jeté à terre, vainqueur des nations ?
Is 14:13- Toi qui avais dit dans ton cœur : "J'escaladerai les cieux, au-dessus des étoiles de Dieu j'élèverai mon trône, je siégerai sur la montagne de l'Assemblée, aux confins du septentrion.
Is 14:14- Je monterai au sommet des nuages, je m'égalerai au Très-haut. "
Is 14:15- Mais tu as été précipité au shéol, dans les profondeurs de l'abîme. "
Is 14:16- Ceux qui t'aperçoivent te considèrent, ils fixent leur regard sur toi. " Est-ce bien l'homme qui faisait trembler la terre, qui ébranlait les royaumes ?
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7. Textes apocryphes de Nag Hammadi et textes canoniques : À 1 :19 :57
Serge Cazelais : Sur la réincarnation, la résurrection, en gros, les textes apocryphes de Nag Hammadi (découverts autour de 1947 dans une jarre remplie de codex, des livres reliés, le support est en papyrus, en langue copte, langue de source pharaonique égyptienne intégrant des mots grecs), en particulier les Évangiles de Philippe, de Thomas, de la Vérité, disent essentiellement la même chose que les textes canoniques sauf peut-être pour spiritualiser davantage le Christ ressuscité. S’intéressent peu au Christ avant la résurrection, sinon pour le replacer dans l’Histoire.
Parks : T-2 p.370 Le message de Jésus le Christ ne semble pas avoir été toujours bien assimilé, surtout qu’il apparaît comme ayant été tronqué dans les écrits judéo-chrétiens. Chez les Gnostiques, Jésus transmet, à l’instar de ses prédécesseurs KIR-IŠ-TI, un message en relation avec le culte de Sophia (la Sagesse), ce qui n’a sans doute guère réjoui la religion monarchique patriarcale qui administre ce monde. Les Gnostiques le voient comme un révélateur, comme un libérateur. Difficile de ne pas le rapprocher de son prédécesseur Enki, le serpent gardien du jardin des "dieux" qui révéla la supercherie à l’esclave humain.
Les messages "apocryphes" de Jésus le Christ, rejetés par le culte judéo-chrétien, sont beaucoup plus spirituels que dans la Bible classique.
T-1 pp.78-79 Vous trouverez au début de chaque chapître des extraits tirés de diverses légendes et traditions du globe. Ces passages vous aideront à élargir votre vision de l'histoire de l'humanité et vous démontreront l'universalité du récit qui vous est conté. Chaque peuple possède sa version des faits, et de nombreuses traditions de la planète décrivent les mêmes événements. Vous serez surpris de constater les similitudes entre certains mythes, comme par exemple celui des Indiens Urus du lac Titicaca, en Amérique du Sud, et l'histoire du péché originel de l'Ancien Testament... Parmi ces extraits, vous trouverez également plusieurs passages tirés des textes dits apocryphes (du grec apokruphos « tenu secret ») - d'anciens écrits embarassants qui n'ont volontairement, pas été incorporés dans la Bible. Vous découvrirez également de nombreux extraits gnostiques - terme tiré du grec Gnôsis « connaissance ».
Les gnostiques étaient persuadés de connaître l'origine d'une classe d'anges funestes qui précipita l'Homme primordial terrestre dans un corps et un monde matériel. Pour les écoles gnostiques, la connaissance des origines de l'Homme résulte d'une révélation qui leur avait été faite par quelques entités célestes dans le seul but de détacher l'humanité du joug des « esprits mauvais » qui dirigent le monde. Les textes de Shenesêt en Haute-Égypte, plus communément nommés textes de Nag-Hammadi, regorgent de cette philosophie fataliste mais ô combien réaliste.
La découverte en 1945 des documents de Nag-Hammadi aurait dû entraîner une révision profonde de l'histoire de l'origine de l'Église primitive, mais il n'en fut rien. Ces textes sont, encore aujourd'hui, pratiquement méconnus d'un public non savant parce qu'ils dérangent profondément. Comparativement aux textes judéo-chrétiens, les écrits gnostiques insistent sur le fait que « les bons » sont en fait les « mauvais » et inversement... On devine le malaise qui poussa les chrétiens à chasser et éliminer les communautés gnostiques nuisibles dont la pensée n'était pas conforme à la leur. Il ne reste aujourd'hui pratiquement plus aucune trace du mouvement gnostique primitif, car la plus grande partie de ses documents a été détruite au fil des siècles par le christianisme.
La force et la similitude entre mon témoignage et l'idéologie dominante propagée à travers les textes gnostiques, et particulièrement ceux de Nag-Hammadi, m'ont poussé à leur donner une place de choix en introduction de certains chapîtres. Le but de ce procédé n'est pas de discréditer les textes de la Bible, mais de vous faire réfléchir sur des documents parallèles qui, fréquemment, peuvent admirablement compléter les textes bibliques.
T-1 Note de bas de page #37 p.166 En décembre 1945 fut découverte en Haute Égypte, à Shenesêt, près de Nag-Hammadi, une grande jarre renfermant toute une bibliothèque composée de 13 volumes sur papyrus, comportant 55 traités pour un total de 1196 pages. Il s’agit de documents gnostiques, terme provenant du grec Gnôsis « connaissance ». Ces manuscrits sont rédigés en langue copte et leur composition est évaluée à entre le 3e et 5e siècle avant notre ère. Aujourd’hui encore, on discute de l’identité précise de ceux qui cachèrent ces précieux documents, sans doute à des fins de sauvegarde et de diffusion pour les générations futures. Certains pensent qu’il s’agirait de la communauté Sethienne.
On imagine aisément que les communautés gnostiques d’Égypte aient dissimulé ces textes, ces mêmes groupements qui disparurent progressivement au cours des nombreuses persécutions infligées par les premiers chrétiens. Les multiples péripéties qui accompagnèrent la diffusion de ces manuscrits expliquent sans doute qu’ils furent pendant plusieurs décennies totalement méconnus du public non savant. Après maintes discussions et transactions, ce lot de manuscrits se trouve aujourd’hui à nouveau regroupé au Musée copte du Caire. Malgré certains efforts de traduction, surtout en langue anglophone, les textes de Nag-Hammadi sont à ce jour peu accessibles. Une sorte de conspiration du silence entoure cette impressionnante collection de textes gnostiques anciens, pour la grande majorité entièrement inconnus jusqu’à leur découverte.
On a fait toute une histoire de la découverte, deux ans plus tard, des écrits esséniens de la Mer Morte, démontrant pourtant de fortes similitudes entre la secte essénienne et l’Église chrétienne primitive, où l’on relève les mêmes attentes messianiques, les mêmes rites ou encore le même idéal moral, mais rien au sujet des manuscrits de Nag-Hammadi… Il faut dire que le contenu des textes gnostiques et particulièrement ceux de Nag-Hammadi ne s'accorde guère avec l'idée propagée par la religion judéo-chrétienne.
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8. Une expérience difficile à mettre des mots dessus :
À 1 :31 :44 et à 1 :43 :30
Serge Cazelais : Il a vécu une expérience du Christ ressuscité dont il n’est pas aisé de mettre des mots là-dessus. Ça dépasse l’entendement, la question livresque. Une expérience de transformation intégrale, qui touche le cœur, l’émotion, ressentie par le corps et qui amène une remise en question complète.
Le texte, les études pour viennent après l’expérience pour l’approfondir, pour la confirmer.
Anton Parks : Lui aussi a vécu une expérience particulière, celle-ci par contre s’échelonnant sur une dizaine d’années. Par la suite, il a fait des études et des recherches pour valider cette information reçue de façon peu orthodoxe.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Questions / Réponses 9
Date de cette entrevue Janvier 2011
Pour ceux à qui ça intéresse, évidemment.
Ça complète ses livres.
Ça vous permet de vous faire une idée du bonhomme.
Panthère(3)58 propose ; vous disposez selon votre jugement, votre discernement, VOS FILTRES !
Lien : http://www.antonparks.com/interview_anton_parks_web2010.pdf
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Extrait #9 :
3. Questions concernant la rédaction des Chroniques :
Questions personnelles : suite
75.Watcher (via le forum) : Afin de mieux vous connaître, quels sont vos goûts artistiques, comme la musique, les films, l'art ?…
Anton Parks : Cette question pourrait prendre plusieurs pages. Nous allons essayer de faire court. Nous risquons d'en oublier, car le sujet est vaste. Nous apprécions beaucoup l’art africain (Dogon du Mali, égyptien, l'art du Maroc), asiatique et aussi des Amérindiens. Côté musical, mes artistes préférés sont dans un contexte familial ou de travail : Pat Metheny, Anna Maria Jopek, Wes Montgomery, Miles Davis, le compositeur de musique film Hans Zimmer (Antas se charge de son site officiel), le groupe irlandais Clannad et sa chanteuse Moya (ou Maire) Brennan, U2… Pour rédiger mes ouvrages, j'écoute plutôt des musiques assez calmes, comme : Steve Roach, Coyote Oldman, Patrick O'Hearn, David Helpling, j’ai beaucoup écouté E.S. Posthumus lors de la rédaction du T1 et du T3 (particulièrement l’album Unearthed), mais aussi de la musique classique et des chants du Moyen Age… Pour les films, cela concerne des grands classiques de science-fiction, d'aventure ou d'humour, comme : les épisodes 4, 5 et 6 de Star Wars, le Seigneur des Anneaux (version longue s'il vous plaît !), Minority Report, Constantine, Island, Avatar, Matrix, la série Retour vers le Futur et Contact du même réalisateur, des vieux classiques comme Planète Interdite, Voyage au Centre de la Terre... Louis de Funès me fera toujours mourir de rire ! J'affectionne beaucoup les films de Luc Besson, ceux de Ridley Scott et Christopher Nolan (Batman, le Prestige, Inception…). Mon épouse et moi apprécions énormément ceux de Coline Serreau… J'en oublie beaucoup.
Nora Parks : Pour les films et le cinéma Anton et moi avons les mêmes goûts. J’apprécie beaucoup de styles de musiques différentes. A part une ou deux exceptions, j'aime les musiques que Anton cite plus haut, mais je suis particulièrement touchée par les musiques ethniques, les percussions d’Afrique de l’Ouest, tous les chants et musiques des Indiens d’Amérique, les aborigènes d’Australie, les grands classiques afro-cubains. Pour ne citer que mes préférés : Sally Nyolo (qui a fait partie de l’excellent groupe Zap Mama). Tous ces albums sont splendides et chacun dans un style différent. Son dernier Mémoire du monde est renversant ! Elle a une voix remplie d’émotions et c’est ce que j’aime chez elle. Je suis persuadée que c’est quelqu’un qui a des sentiments très profonds, sa musique le fait ressentir. Dans un autre registre, Luc Arbogast est un chanteur de musique médiévale, il est très étonnant. Ces deux artistes me font pleurer à chaque fois que je les écoute.
Afrique : Famoudou Konaté ; Mamadi Keita ; Boubacar Traoré ; Tinashe Chidanyika (piano à pouce); Yé Lassina Coulibaly. Les chants et la musique de Guinée Bissaw ; les polyphonies des Pygmees Mbenzele ; Hadzas ; les Bushmen de Tanzanie, Bergers de la vallée de l’Omo (Ethiopie)…
Cubain et Afro Cubain : Iluyenkori ; M. Spiro/M. Lamson pour leurs album Bata Ketu ; Alfredo Rodriguez ; compilation perfecta ; Afro Cuban all Stars ; Indra ; Celia Cruz. Le groupe brésilien Trio Esperança… et aussi Bob Marley. Les musiques d’Amérindiens : R. Carlos Nakai ; Primeaux and Mik ; Robert tree Cody ; Xavier Quijas Yxayotl ; Jorge Reyes… Les chants sacrés : Le groupe Sequentia et leurs albums tirés de la musique de Hildegarde Von Bingen ; les chants grégoriens : le chant du silence est par exemple une excellente compilation en simple, double ou triple cd. La musique classique : Beethoven ; Mozart ; Vivaldi… Et les artistes francophone : Balavoine ; France Gall ; Stephan Eicher ; JeanLouis Murat ; Alain Souchon ; Niagara ; Les Rita Mitsouko…
76. Lionvert (via le forum) : Cher Anton, en vous voyant toujours plus Sa'am en tant qu'écrivain et Heru comme éditeur on se prend à rêver d'alchimie............ mais alors..... vous auriez une 3ème récurrence à régler, une 3ème montagne à gravir..., celle-ci propre a votre vie présente........votre cœur....? Si l'on prend les choses à l'envers, la vie n'a pu que vous projeter plus en avant en vous-même, vous "déconnectant" des autres et du monde extérieur, car n'ayant jamais rencontré l"empathie" adéquat...... ce serait là votre plus grosse montagne que de se rouvrir au monde, à nous.............
Anton Parks : Une récurrence à régler ? Je ne le pense pas. Je me suis mis au vert depuis plusieurs années, cela me permet de poursuivre mes activités et de mener à terme ce que vous connaissez, mais je ne pense pas que l'on puisse parler de déconnexion. Quant à votre allusion sur l'empathie adéquate "jamais rencontrée", je vous trouve bien téméraire. Après avoir travaillé dans le marketing et la communication, j'ai aussi travaillé dans le social pendant plusieurs années. J'ai aidé de nombreuses personnes à se sentir mieux. On m'avait justement embauché parce qu'ayant travaillé dans la communication, j'avais des aptitudes "humaines" pour ce poste que personne ne voulait occuper. Par ailleurs, on m'a reproché ensuite de passer un peu trop de temps sur certains "cas"… Alors, je ne comprends pas du tout le sens de votre question, si cela en est une. Je crois que beaucoup trop de lecteurs me voient comme un intellectuel acharné, ce que je ne suis pas. C'est l'impression que je donne peut-être malgré moi et la sensation que procure sans doute mes écrits, car je suis contraint d'utiliser un certain ton et d'employer une ancienne forme de pensée pour rédiger mes ouvrages qui relatent l'histoire d'une antique civilisation qui a joué un rôle majeur dans l'évolution de l'espèce humaine.
77. Lionvert (via le forum) suite : Votre rencontre avec Nora ne serait alors plus un hasard, mais un jalon sur un chemin escarpé mais lumineux.... L'on aurait alors envie de vous pousser tous 2 toujours plus loin, de vous demander si vous connaissez les 7 DVD de Patrick Burensteinas sur l'alchimie et le pèlerinage de Compostelle, d'être sûr que vous connaissez la "langue des oiseaux" car par sa magie, elle contribue à nous ouvrir au monde et à nous redonner notre part d'enfance....... mais tout cela est déjà réglé.... du papier à musique... car la dynamique est lancée.... et elle ne peut qu'aller à terme. Rien ne nous empêchera d'être ce que l'on pense.............. On se prend à rêver, donc, on voudrait partager plus de toutes ces incroyables histoires,.... et on irait même jusqu'a finir par une question osée : Nora, Anton, accepteriez-vous une invitation dans la Caraïbe ? Bien à vous.
Anton Parks : Je connais vaguement la série de DVD dont vous parlez, nous en possédons un exemplaire. Je ne suis pas certain de comprendre votre message qui fait allusion à des éléments alchimiques, il est manifestement codé. N'étant absolument pas alchimiste, je suis quelque peu perdu. Je me suis juste rapproché de l'alchimie à l'époque de la rédaction du Testament de la Vierge, lorsque j'ai été contrait de traiter le fonctionnement alchimique de la Grande Pyramide. La langue des oiseaux que vous évoquez, a été codée par les alchimistes, et je n'en connais que très peu. Désolé. Par contre, je peux vous affirmer par mes expériences et celles de Nora, qu'elle n'est pas la seule voie vers la connaissance.
Nora Parks : J'ajouterais, par exemple, que le chamanisme (communion avec les animaux et la nature) est aussi une voie de connaissance, mais qui ne passe pas par l'érudition. Le chaman sait ce que l'oiseau formule dans son chant sans passer par un quelconque décodage.
78. François (via mail) : Je me demandais si vous étiez prêt à partager vos opinions, à savoir, si le récit est plus la mémoire d'une incarnation passée qu'une injection de connaissances provenant de l'extérieur.
Anton Parks : J’ai déjà répondu à cette question dans différentes interviews disponibles sur notre site. Je n'ai pas d'idée sur la question et ce sujet ne m'intéresse pas du tout. Peu importe qui j'aurais été par le passé, ce qui compte pour moi c'est ce que je fais aujourd'hui et pourquoi je le fais.
79. Jean (via mail) : Que pouvez-vous répondre à quelqu’un qui dit que vos théories ne sont pas prouvables ?
Anton Parks : Il y a des personnes qui voudraient ramener tout à un raisonnement mécaniste. Pour l’instant, cette vision mécaniste est incapable de répondre à toutes les questions que les scientifiques se posent. Certains faits resteront toujours inaccessibles en appliquant une analyse mécaniste. Ils ne pourront être compris qu’avec un mode de pensée différent, même si les effets qu’ils produisent sont observables.
Je vais donner deux exemples qui me semblent éloquents :
1. La médecine chinoise soigne très bien, mais si un occidental veut comprendre comment elle fonctionne, il lui faut d’abord pénétrer la pensée chinoise.
2. Prenons également le cas des ondes de la physique quantique. Nous les utilisons dans notre société moderne, sans pour autant savoir comment cela fonctionne du point de vue physique. C’est très difficile pour un occidental de changer ses points de vues, car toute son éducation est basée sur un maximum d’à priori et de croyances.
C’est pour ces raisons que les plus grands ethnologues se sont toujours immergés totalement dans les cultures qu’ils étudiaient. Sans obligatoirement adhérer à la véracité des sociétés antiques que je décris, le récit qui est rapporté est suffisamment riche pour susciter l’intérêt d’une étude. Avec les tomes 1 et 2 des Chroniques, nous étions respectivement plongés au sein d’une société extraterrestre avec des mœurs pour le moins exotiques, et ensuite sur Terre à l’endroit de la très ancienne Mésopotamie et de ses environs. Ce sont des sujets qui touchent peu de personnes car peu d'entre elles ont des affinités avec ces cultures. Pour l’essai Le Testament de la Vierge, et surtout, le T3 des Chroniques, nous sommes plongés au sein de la société des anciens Egyptiens, qui suscite déjà plus d’intérêts, mais qui reste difficilement compréhensible dans toute sa dimension, parce qu'issue de traditions très anciennes et codées.
La pensée égyptienne est hermétique, plus encore que celle de Sumer et d'Akkad. C'était le moyen efficace que le clan d'Enki-Osiris avait trouvé pour se protéger. De ce fait, peu de personnes la comprennent pour ce qu'elle est, cela empêche même parfois de déchiffrer convenablement des textes entiers, alors que la langue égyptienne est connue et répertoriée. Le Réveil du Phénix montre le mode de pensée égyptien, ainsi que la profonde déchirure et amnésie collective que la mort d’Osiris a engendrée. Le Testament de la Vierge explique comment Osiris est mort et comment ce décès a été caché dans les textes religieux juifs et chrétiens. Le mode de pensée des Amasutum et des planificateurs tel qu’il est relaté à travers l’histoire des Chroniques est une grande opportunité pour comprendre cette culture et cette pensée égyptienne.
80. Didiera (via le forum) : Anton Parks a-t-il étudié ou fait étudier son thème astral de naissance, pour voir l'influence des planètes et points médiumniques (Neptune, nœuds lunaires, par exemple) ou bien des rapports planétaires avec des constellations évoquées dans ses ouvrages ?
Anton Parks : En 1987, un ami voulait me mettre en contact avec sa mère qui était à la fois médium et spécialisée dans les thèmes astrologiques de naissance. Je n'étais pas très chaud, mais je lui ai tout de même donné mes références complètes qu'il a transmises à sa maman et nous avions convenu d'un rendez-vous téléphonique. Lorsque j'ai contacté cette femme, son fils était avec moi. Il a parlé en premier avec sa mère. La femme ne semblait pas dans son état normal, son fils était inquiet, je n'entendais pas ce qu'elle disait, mais son fils n'arrêtait pas dire "je ne t'ai jamais entendu comme ça maman. Qu'est-ce qui t'arrives ?" Cela a duré près de deux minutes… J'ai finalement pris le téléphone. Elle était très troublée et n’a pas pu véritablement me parler. Elle m’a simplement dit en ne cessant de s'excuser et en bafouillant : "Je suis désolée, je suis désolée, je ne peux pas vous parler, sachez juste que vous avez réalisé des choses importantes par le passé…". J’ai occasionné une telle gêne chez cette personne que je n’ai plus jamais renouvelé ce genre d'expérience. Je n'ai jamais consulté une voyante ou quelqu'un de ce genre par la suite, de crainte que l'on découvre à mon insu le contenu de mes flashs qui pour certaines personnes pourraient être terrifiants.
Vie extraterrestre, planificateurs et évolution humaine :
81. Mangimaru (via le forum) : Même si de nombreux témoignages de militaires prouvent que certains de nos "amis" seraient intervenus, entre autre, pendant les "grandes heures" de la guerre froide afin d'éviter des dérapages sérieux entre nos chères élites. Et si comme vous l'affirmez et d'autres auteurs (S. Greer par exemple) corroborent vos affirmations, que les "planificateurs" n’ont jamais cessé de porter un œil bienveillant sur leur création, qu'attendentils pour revenir faire le ménage sur notre belle planète avant que ça finisse mal humainement et écologiquement ?
Anton Parks : Désolé de vous apprendre que l'être humain n'a pas fini son apprentissage ici-bas. C'est du moins l'avis de mon épouse et le mien ; cet avis ne regarde donc que notre point de vue. Si nous ne faisions qu'écouter les informations quotidiennes des rois du théâtre et du mensonge qui substituent la propagande à l’information, nous constaterions que : l'Homo Sapiens est menteur, criminel, égoïste, calculateur, opportuniste, plaintif, raciste, j'en passe et des meilleurs. C'est clairement ce que comprendrait un extraterrestre en regardant notre télévision. Le petit groupe qui nous entoure, ma femme et moi, ne relève pas de ces propriétés. Ces personnes sont là (je pense qu'il en existe bien d'autres) pour nous démontrer que le monde est en marche, malgré la folie humaine et ses nombreuses "tentations" en tout genre.
Contrairement aux propos de certains ouvrages et sites Internet : Il n'y aura pas de sauvetage ou même de ménage. Pourquoi les planificateurs le feraient-ils ? Parce que la planète est en danger ? Ne vous inquiétez pas pour la Terre, elle survivra, quitte à ce qu'elle se fasse un nouvel auto-nettoyage ! Alors, parce que l'humain qui la pollue est en danger ? Je doute que les planificateurs viennent avec leurs grosses poubelles intergalactiques faire le ménage à notre place ! Lorsqu'un enfant a mis sa chambre en pagaille, le plus sensé des parents ne se mettra jamais à ranger son désordre à sa place. Je comprends parfaitement que vous vous posiez ces questions ; désolé d'endosser le rôle du rabat-joie, mais je suis peut-être là aussi pour rappeler ce genre de choses. Peu importe finalement de savoir qui se trouve derrière tout cela : humains, reptiliens ou humano-reptiliens… Nous sommes responsables collectivement parce que nous participons à ce délire. Certes, nos hommes politiques sont des humains qui fourvoient le genre humain, mais nous ne sommes pas pour autant obligés de les croire sur parole et de leur donner tous les pouvoirs. Je vais vous donner un exemple clair : lors de la seconde guerre mondiale, les Nazis ont été soutenus par des collabos et c'est grâce à ces derniers que des Juifs ont été entassés dans des wagons : direction l'abattoir. Les collabos sont tout aussi coupables que les Nazis. S'ils n'y avait pas eu autant de collabos, il n'y aurait pas eu autant de déportés. Ce n'est pas compliqué à comprendre.
Nora Parks : Bien que je sois d'accord avec Anton, je vais jouer l'avocate du diable : "Faire le ménage", comme vous le proposez, implique de nombreuses pertes humaines et aucune garantie de ne pas abattre des innocents au regard des technologies militaires présentes sur Terre. Nous savons tous que les militaires ne font jamais le tri dans ce genre de situation. Nous pouvons tout à fait imaginer aussi que les planificateurs aient opté pour ce genre de "solution" dans d'autres mondes à des époques très éloignées et que, la vie se reconstruisant, les mêmes problèmes soient revenus à l’identique, voire pire ? On apprend beaucoup en faisant des erreurs et, en ce moment, les humains apprennent tout autant.
82. Mangimaru (via le forum) : Je suis conscient que nous en sommes qu'à la maternelle de notre développement spirituel et quelques conseils avisés nous feraient le plus grand bien, mais je ne vais pas vous cacher que je suis "un peu" impatient de voir l'humanité enfin rentrer dans une nouvelle ère de paix et d'exploration main dans la main avec nos "aïeux"... Alors quand ?
Anton Parks : Il est très difficile de donner des conseils, simplement parce que l’être humain veut surtout faire des grandes choses, des choses importantes. De plus, chacun à son libre arbitre. Mon avis est que nous ne pouvons changer positivement le système qu’en effectuant de "petites choses", mais ces petites choses nous demandent bien souvent de changer nos habitudes, notre façon de consommer, et notre façon de voir l’univers qui nous entoure, et demandent aussi un investissement personnel. C'est généralement là que ça coince : il ne reste plus beaucoup de candidats. Le seul conseil qui me paraît juste serait d'essayer d’être conscient des conséquences de ses actes et de faire en sorte qu’elles nuisent le moins possible. Encore faudrait-il que l'être humain soit capable de pratiquer l'introspection et de ne pas reporter frénétiquement ses choix ou même ses erreurs sur les autres. Cela concerne la vie de tous les jours, mais aussi celle qui est en rapport avec ceux qui nous dirigent. Certes, ces derniers sont manipulateurs, ils nous donnent peu de possibilités d'action, mais il ne faut pas oublier qu'ils sont humains et qu'ils ne font que se conformer à des exigences industrielles et politiques qui émanent de sphères beaucoup plus hautes. Nos politiciens ne sont que des pantins. Ils forment une collectivité de gangster d’état. Comme le dit Christian Cotten avec humour et objectivité, "les politiciens sont des acteurs de grand guignol qui méritent une grosse fessée pédagogique !"
Si c'est la pyramide que vous souhaitez faire effondrer, il y a deux moyens :
1- La manière douce : des petits actes au quotidien qui vont enrayer le système. Si tout le monde le fait, le résultat sera imparable. De nombreux magazines donnent ce genre de solutions, comme par exemple : les magazines Morphéus, Nexus, le site de Christian Cotten (politiquedevie.net), et bien d'autres… Le dernier film de Coline Serreau en DVD : Solutions Locales pour un Désordre Global, est aussi excellent.
2- La manière forte : une révolution ! Mais pour cela, il faudrait que les humains soient solidaires les uns avec les autres et qu'ils parlent d'une même voix. Je doute qu'ils soient prêts à cela, car avant de penser aux autres, ils pensent à eux-mêmes. Les Occidentaux, particulièrement, n'ont pas l'esprit de clan.
Des propos de Coline Serreau, tirés de son interview qui accompagne son DVD Solutions Locales pour un Désordre Global, illustrent parfaitement ce que je viens de soulever :
"Je dirai que la première chose à exiger, tout simplement, pour la prochaine élection, [c'est de dire que] celui (l'homme ou femme politique) qui ne dira pas :
"nous allons créer des périmètres de sécurité d'autonomie alimentaire pour chaque ville et chaque village", celui-là, nous ne voterons pas pour lui, c'est tout ! C'est une grenade, une bombe, le levier pour tout exploser. C'est-à-dire : notre argent que vous prenez par nos impôts, il va servir maintenant à cela. Et celui qui ne dira pas que cet argent servira à cela, nous ne voterons pas pour lui ! […] Tout le système n'a été qu'un système de pompage du fric et des richesses du peuple pour les donner aux multinationales. C'est le but du système. La seconde chose que les gens ne connaissent pas, c'est leur puissance, à eux consommateurs, pour vraiment éradiquer ce problème. Les multinationales sont des géants avec des pieds même pas d'argile, mais des pieds en papier crépon. C'est-à-dire qu'à la minute où vous tous décidez de ne pas acheter, elles sont cuites, en 24h, elles sont cuites !! Ça aussi cela fait partie des grandes actions que nous pouvons mener, parce que les élections, ils s'en fichent ; ce sont des valets, ils n'ont que des valets qui sont élus et qui sont à leurs bottes, qu'ils soient de droite ou de gauche... Par contre, nous, les petites gens, ceux qui achètent et qui vont dans les supermarchés, nous avons un pouvoir, nous pouvons les faire tomber comme ça ! (claquement de doigts)."
Coline Serrau, interview dans les suppléments de Solutions Locales pour un Désordre Global
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Questions / Réponses 10
Date de cette entrevue Janvier 2011
Pour ceux à qui ça intéresse, évidemment.
Ça complète ses livres.
Ça vous permet de vous faire une idée du bonhomme.
Panthère(3)58 propose ; vous disposez selon votre jugement, votre discernement, VOS FILTRES !
Lien : http://www.antonparks.com/interview_anton_parks_web2010.pdf
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Extrait #10 :
3. Questions concernant la rédaction des Chroniques :
Questions personnelles : suite
82. Mangimaru (via le forum) : Je suis conscient que nous en sommes qu'à la maternelle de notre développement spirituel et quelques conseils avisés nous feraient le plus grand bien, mais je ne vais pas vous cacher que je suis "un peu" impatient de voir l'humanité enfin rentrer dans une nouvelle ère de paix et d'exploration main dans la main avec nos "aïeux"... Alors quand ?
Suite de la réponse
Nora Parks : A propos de connexion avec nos aïeux, Anton donne des pistes, offre des documents exceptionnels à travers ses livres, mais aussi ses interviews et ses articles, bien souvent placés gracieusement sur son site, comme celui que vous lisez en ce moment. Mais pour certains, ce n'est jamais assez. Il faudrait, comme le dit Anton, du "tout cuit, mâché, digéré"… Cela me fait penser à une femme qui nous a écrits à plusieurs reprises en nous reprochant de gagner beaucoup d’argent avec les Chroniques (sic). Manifestement, beaucoup fantasment et n'ont aucune idée des sommes versées en droits d'auteur. Bref, cette femme nous expliquait que si elle avait de l’argent, elle planterait des arbres immenses à perte de vue. Sans doute que cette femme souhaitait savoir ce que nous effectuons de notre côté pour changer les choses. Seulement, il est impossible de planter des arbres immenses, car un arbre a besoin de faire des racines très profondes avant de grandir en surface. Pour planter des arbres, nul besoin d’argent, quelques graines et un peu de temps suffisent. La forêt commence par un arbre, puis un autre, elle n’est que l’accumulation d’arbres individuels. Planter un arbre alors qu’il est déjà grand, c’est prendre le risque qu’il tombe au moindre coup de vent ou bien qu'il ne prenne pas racine du tout. Beaucoup n'aiment pas prendre de risque, alors que c'est souvent en prenant des risques et en étant patient que l'on se réalise. Je trouve par exemple qu'Anton a pris de gros risques en plaçant autant de notes de bas de page et de dossiers dans ses différents ouvrages. Ses livres sont monumentaux, parfois difficiles à manier. Il s'y trouve énormément d'informations ! Beaucoup d'écrivains auraient fait deux ou trois livres avec le contenu d'un seul d'Anton. Et ensuite, on le taxe de faire de l'argent ? C'est faux et c'est grotesque.
Du point de vue de la mentalité dite "humaine", attendre des événements extérieurs pour agir peut être une excuse pour ne rien faire. Il n’y a pas de petites ou de grandes actions qui peuvent changer les choses, il y a l’action tout court. Donc pour répondre à votre question : Alors quand ?, la réponse est : lorsque l’humanité aura fait de bonnes racines !
83. Jay (via le forum) : Est-ce que le passage situé dans Adam Genisis pages 297-298, fait-il référence à un métissage généralisé entre la souche blanche et noire humaine, ou à la fin du cycle (de l'horloge terrestre) du calendrier Maya ou les deux en même temps ? Passage en question : "Face à cette situation, j'ai recomposé clandestinement les séquence des Ukubi-Ádam Min (Homo Sapiens). Asé'et, mon Amour, l'a fait de son côté sur la souche Lubarra (blanche) dont Ninmah est originellement responsable. Les recombinaisons ont été exécutées avec succès... Après toutes ces années de quêtes et de doutes, j'ai enfin trouvé le repos de mon âme, j'ai aujourd'hui l'assurance que le salut des Lú (les humains) s'imposera par surprise lorsque les temps viendront. Quelle que soit la durée que cela prendra, les croisements naturels entre les Lú (humains) influenceront leurs gènes et donc leurs comportements futurs. Ils sont réglés sur l'horloge terrestre." Adam Genisis, pp. 297-298.
Anton Parks : Je ne vais pas vous faire une réponse stéréotypée à la mode, comme le font de nombreux auteurs actuels qui voguent sur la vague du tout spirituel. Il ne faut pas s'attendre à un éveil, les bras croisés, à méditer tranquillement dans son fauteuil en attendant que "des êtres de lumière" viennent nous éveiller ou encore qu'une programmation subtile prévue par Sa'am se déclenche pour nous sauver… Ce n'est pas tout à fait cela. Soyons concrets : Tant que l'humanité terrestre sera incarnée ici, elle restera connectée physiquement à sa maison : la Terre. Elle est réglée sur son rythme cardiaque, donc biologique. Par le passé, les Anunnaki ont exploité la planète et aujourd'hui leurs descendants (peut-être royaux) et leurs sbires humains font pire encore en raison de la forte démographie, de l'industrie qu'elle produit et de l'argent qui en découle. Si l'humanité souhaite évoluer tout en se libérant de l'emprise imposée par notre système élitiste et inégal, elle devra reprendre contact avec la Terre-Mère et reprendre ce qui lui revient de droit : la terre. Normalement, cette prise de conscience devrait s'effectuer naturellement, mais chez certains (par exemple la seconde humanité blanche, remaniée par les Kingu, voir T3, p. 275), cette prise de conscience ne s'effectuera pas sans aide, voire peut-être pas du tout. N'en déplaise à certains channels et aux faux prophètes qui annoncent un départ physique ou dimensionnel imminent ; ceux qui savent raisonner de façon inconsciente (donc de façon intuitive) et qui pourront éventuellement donner l'impulsion à ceux qui raisonnent sous le calcul, ne sont pas nécessairement les personnes qui liront cette interview et qui s'intéressent aux sciences parallèles. Partir un jour ? Pourquoi pas ! Mais comme je viens de l'indiquer plus haut, avant de quitter les lieux vers de nouveaux horizons, il nous faudra faire le ménage, c'est un minimum. Si nous ne le faisons pas, la Terre s'en chargera avec nous sur son dos ! Le dessinateur René Bickel illustre à merveille ce genre de concepts dans ses ouvrages, c'est d'ailleurs pourquoi quelques-unes de ses créations sont dans cette interview.
Ceux qui savent écouter et respecter la nature, donc ceux qui sont réglés sur l'horloge terrestre, ouvriront la voie aux autres chez qui le déclenchement ne se sera pas effectué naturellement parce qu'ils sont génétiquement déconnectés de leur moi intérieur et de ce fait en déphasage avec leur véritable potentiel. Ce n'est pas du prophétisme à la sauce new age, mais du bon sens. On est un peu comme dans Matrix, c'est pourquoi ce film est par ailleurs excellent. Nous sommes entourés d'individus qui travaillent pour le bien-être de la planète et qui ne cessent de nous envoyer des signaux. Ils ne sont pas là par hasard. Au lieu de regarder aux confins du cosmos, il suffit d'observer tous ces acteurs autour de nous, ici, avec nous. L'humanité n'aura aucun avenir si elle n'écoute pas ces personnes et ces signes. C'est là la force du genre humain : celle de pouvoir aller audelà de ses peurs, la nature et ses sympathisants actifs étant là pour nous le démontrer et nous montrer la voie. Vous cherchez des planificateurs ? Mais ils sont là avec nous, certains même incarnés sur Terre, c'est évident.
Ainsi, le truchement génétique dont parle Sa'am dans l'entrée que vous citez plus haut, raccordées aux informations du T3, concernent un certain type d'individus, donc pas la totalité de l'espèce humaine, tant les intervenants au niveau des diverses programmations génétiques ont été nombreux. On le constate par ailleurs dans les différents tableaux génétiques du T2 et T3. Sa'am et son clan ont, en effet, effectué un véritable travail de planification, mais il s'agit d'un encodage subtil qui relie la Terre à ses résidants. La Terre possède un rôle actif dans la libération du genre humain. Il n'y a pas de voie d'évolution en dehors du respect de la nature. On n'acquiert par la connaissance ou même l'élévation spirituelle en torturant la nature, un point c'est tout ! Il s'agit d'une relation de cause à effet que les anciens avaient compris, mais que la civilisation moderne ne souhaite pas entendre.
Nora Parks : Les humains se font subir entre eux ce qu’ils font subir à la Terre, la connexion est parfaite. C’est pourquoi le quatrième monde des Hopi (celui dans lequel nous nous trouvons) est nommé "Tuwakatsi" (on dit aussi "Tuwaqatsi" ou "Tuwakachi"), le monde parfait. C’est cette connexion qui fera que l’humanité évoluera ou se détruira elle-même. Cela peut paraître dur, mais quand on connaît cette règle et les lois karmiques, c’est juste et équitable. Il faudra encore du temps à beaucoup pour comprendre l’implication complète de cette connexion profonde.
84. Jay (via le forum) : Ce précédent passage est-il en rapport avec l'introduction de gènes de Namlú'u dans l'espèce Sapiens ? Cette question me paraît primordiale et elle semble être l'information la plus importante dans l'œuvre d'Anton. Il serait très intéressant d'approfondir ce sujet car il vaut son pesant d'or.
Anton Parks : Il est très probable qu’il se trouve du Namlu’u dans l’Homo Sapiens, ne serait-ce que grâce aux modifications génétiques apportées par les Ama’argi sur l’Homo Erectus, dont découle justement le Sapiens. La nature des modifications génétiques effectuées sur le Sapiens par Sa’am (Osiris) et Asé’et (Isis) sont inconnues. Mais je peux me risquer à dire qu'il est vraisemblable qu’ils aient utilisé des gènes de l’homme de Neandertal pour les combiner au Sapiens. Il est aussi très probable que les Neandertaliens ont possédé des gènes de Namlu’u, c'est d'ailleurs ce qui transparaît dans le tableau sur "les souches et personnages" (T2 et T3). Cela voudrait donc dire, qu'effectivement, le Sapiens aurait bien des gènes Namlu'u… Je vous rappelle à ce propos que les Namlu'u étaient en connexion profonde avec la Terre et son environnement. Lorsqu'ils ont quitté les lieux pour une raison de survie de leur espèce face à la menace Gina'abul, ils n'avaient pas laissé derrière eux le foutoir que nous avons créé.
85. Anne (via le forum) : Voyez-vous un rapport entre Ashtar (mythe moderne basé sur des contacts immatériels entre cette entité et des humains), et Isthar, la déesse mésopotamienne ?
Anton Parks : De mon point de vue, le rapprochement entre Isthar/Asthar est évident. La modification des langages étant souvent effectuée dans un premier temps par le biais des voyelles. L’appropriation de ce nom en dit long sur les intentions de ceux qui sont derrière cette mascarade. Innana-Nephtys était la déesse de la passion, de la séduction, des plaisirs et de la guerre, en opposition à Isis qui était sagesse, raison, amour et protection. Ces deux déesses étaient en leur temps des femmes politiques (l’équivalent des chefs d’états actuels) et donc elles représentaient les forces en opposition sur cette planète. D'une certaine façon, elles témoignaient aussi des épreuves qui se jouent en chaque être humain. Si nous observons ce détournement avec la pensée de l'ancienne Egypte, l’appropriation du nom Isthar/Asthar, permettrait de récupérer magiquement certains pouvoirs. Il est alors évident que ce qui se trame derrière ce Asthar n’est pas la sauvegarde, la protection et le bien-être des humains. Ishtar a mené l'humanité à la guerre (cf. le texte du Hopi Ours Blanc sur notre site). L’histoire tend à se répéter. Souhaitons que les gens voient clair dans ces discours décousus et chanélisés par des pro-Asthariens qui discréditent (peut-être à leur insu) des sujets importants de notre histoire en mélangeant passé et hypothétique futur. Beaucoup d'individus croient en ces absurdités et attendent patiemment la dissolution de la 3D pour vivre dans des mondes éthérés… Les cycliques temps messianiques sont de retour.
86. Mangimaru (via le forum) : Je voulais demander à Anton si le système solaire était toujours sous embargo ? (Par les planificateurs ?) Si oui, pourquoi et jusqu'à quand ? J'ai déjà eu l'occasion de lire cette information à plusieurs reprises et en recoupant différentes sources, il semblerait que Mars, Venus ainsi que d'autres planètes du système solaire sont toujours "habitées" (Ringmakers of Saturn, N. Bergrun) et cela peut être depuis très, très longtemps... Qu'elle est son opinion, avons-nous affaire au même "acteurs" que ceux décrits dans les livres ?
Anton Parks : Ce n'est que mon avis, mais je pense que notre système solaire est, effectivement, toujours sous embargo planificateur. La Lune et Mars étaient habités à l'époque des Chroniques, il y a peu de chance qu'elles ne le soient plus de nos jours. La situation semble compliquée dans l'espace, le terrien lambda n'a aucune idée de ce qui se passe en dehors de notre monde.
87. Prométhéen (via le forum) : Autre question sur les Planificateurs. Pourrait-on en savoir un peu plus sur eux ? Les races qui forment la communauté planificatrice se comptent-elles en centaines, en milliers ? Ont-ils une sorte de "Conseil Galactique" ? Sur quel monde se trouvent-ils ? Ont-ils un symbole commun ? Sont-ils présents également dans d'autres galaxies que la nôtre...?
Anton Parks : Je pense que les planificateurs se comptent plutôt par milliers d'individus, voire plus. Un conseil galactique comme dans les films de SF ? Pourquoi pas ! Mais sincèrement, je n'en sais rien. N'oubliez pas que les Gina'abul dont je restitue l'histoire dans mes Chroniques sont coupés du monde de la planification, même les membres planificateurs comme les Nungal-Shemsu n'ont jamais vraiment appris à planifier étant donné qu'ils se sont très vite retrouvés au cœur de cette guerre absurde décrite dans le T1. Les éléments dont je dispose à leur sujet proviennent des expériences de Sa'am-Heru ou encore du Girkù. Encore une fois je vais en frustrer plus d'un, mais vous en saurez un peu plus sur les planificateurs dans la suite du récit.
88. Ma Tudi (via le forum) : Dans les premiers temps de l'existence du Forum, Anton avait répondu à Curtis au sujet du livre sur le Réxégéna, de Valérie Barrow, et il lui avait dit être en parfait accord avec cette histoire (tensions diplomatiques puis guerre entre Kadistu et reptiliens au sujet du projet pour la Terre, puis intervention des Urmah, etc.). Anton est-il d'accord avec le portraittype des Urmah qui est reproduit dans le livre ?
Anton Parks : Le dessin n’est pas très fin, mais il y a tout de même une ressemblance… Comme je l'ai évoqué plus haut, c'est un livre intéressant qui semble rapporter certains événements qui se situeraient avant le T1 des Chroniques.
89. Albator (via le forum) : Je suis un Camerounais de la tribu Guidar, né à Bidzar au nord du pays. C'est un village ma foi intéressant par le fait qu'il y a du marbre partout et soit en même temps un site archéologique. Dans mon dialecte, la couleur blanche se dit "Babbar" eh oui ! Dieu est appelé Mangoelva (le plus souvent on écrit Mangelwa). Mon frère, mon camarade : Mulmu'a. L'eau "enkilé ("e" bien appuyé). C'est vraiment étrange, mais bon, si ça peut aider certains sceptiques, tant mieux. Je suis bien conscient qu'Anton ne peut pas tout savoir. Il faudrait pour cela des milliards d'incarnations et encore... Voici mes deux questions : Que font des seins et des menstrues chez des reptiles ? Pourquoi avoir laissé les humains se reproduire de manière anarchique comme autant de souris nuisibles ? N'ont-ils pas remarqué leurs capacités destructrices ? Moi, je trouve que nous sommes un échec, les plus stupides des animaux.
Anton Parks : Concernant votre question à propos des menstrues et des seins chez les Gina'abul, je vous rappelle que les Gina'abul sont des humanoïdes. Beaucoup de lecteurs semblent l'oublier. D'ailleurs, l'être humain possède leur patrimoine génétique. Oui, il y a beaucoup de monde sur la planète Terre… Nous vivons dans une société de consommation qui a besoin de faire toujours plus pour maintenir son niveau d'achat et faire du profit. On en est arrivé à un tel point depuis le début des années 1990, que l'industrie ne fabrique plus du tout de "l'inusable" et de la qualité. Chaque appareil électroménager, audiovisuel, etc. n'est plus manufacturé pour durer dans le temps. C'est une escroquerie non officielle manigancée par les ombres du contrôle social qui sont aux ordres d’intérêts privés. Tout le monde le sait, mais aucun média n'en parle. C'est tout à fait scandaleux ! L’Homo Sapiens n’est pas favorisé par ses gènes, à l’opposé du Neandertal et des peuples premiers qui ne se sont jamais coupés de la Nature et qui ont toujours évolué en prenant soin d'elle. La spécialité de l’Homo Sapiens est de se couper de la nature en pensant que la technologie va la remplacer. Espèrerons qu’un jour l’être humain devienne le plus intelligent et le plus altruiste des animaux, ce qui n'est pas encore le cas…
90. Eric (via mail) : Une question sur l'actualité, à propos de la Conférence organisée au National Press Club de Washington D.C. ce lundi 27 septembre 2010, portant sur la question des incursions d'Ovnis au-dessus des sites américains d'armements nucléaires depuis ces 60 dernières années et sur l'annonce de l'ONU, aujourd'hui démentie, de la nomination d'une astrophysicienne, Madame Mazlan Othman, comme ambassadrice pour accueillir les extraterrestres. Ces deux événements me donnent le sentiment que les choses se précisent au niveau de l'arrivée d'extraterrestres. Qu'en pensez-vous et devrions-nous nous méfier, sachant que comme vous le dites, il existe plusieurs races extraterrestres, ayant des intérêts divers, dont certains sont hostiles vis-à-vis de nous ?
Anton Parks : Malgré cette forme de quarantaine que subit la Terre depuis très longtemps et dont j'ai parlé dès 2005, il est bien clair que notre planète est surveillée, et tout porte à croire, selon des sources de plus en plus officielles, que nos gouvernements entretiennent secrètement des contacts avec des civilisations extraterrestres. Maintenant, le contenu de ce genre de contact ou d'affaires nous est inconnu. Tout ce que je peux ajouter, c'est qu'en haut, les choses se déroulent un peu comme ici-bas, c'est-à-dire qu'il existe des "bons" extraterrestres et des "moins bons". Il ne faut pas voir tout ce qui vient d'en haut comme étant automatiquement bon pour l'humanité, les Anunnaki étant un bon exemple à ne pas oublier. Espérons juste que les groupuscules humains qui sont supposés nous représenter n'ont pas joué aux apprentis sorciers avec ces engeances extraterrestres…
91. Questions de plusieurs internautes : A notre niveau, nous ne pouvons rien faire pour changer les choses, nous sommes des victimes dans ce monde créé à l’origine par des races reptiliennes.
Anton Parks : Nous avons tous des gènes reptiliens et, même s’il est difficile de le reconnaître, nous possédons des fonctionnements et des schémas communs. C’était justement un refus de remettre en cause des choses établies qui est à l’origine de la révolte des Usumgal et à l’origine de leur création adamique. Que nous le voulions ou non, le genre humain ressemble aux reptiliens. Nous sommes tous conditionnés pour participer au système et l’entretenir. Contrairement aux peuples premiers, nous n’avons pas conscience de faire partie d’un tout et de l’influencer par nos actes et nos pensées quotidiennes. La notion de pouvoir personnel et de responsabilité est très difficile à appréhender dans son ensemble par les peuples dits "modernes". Quant à changer les choses, nous pouvons le faire chacun à notre niveau, en suivant une règle simple, essayer de ne pas nuire dans nos actes quotidiens et leurs conséquences.
Nora Parks : Nous pouvons changer des choses importantes dans notre manière de vivre et de consommer en ne soutenant pas les escrocs de la malbouffe ; nous avons le choix de les cautionner ou non par nos actes d’achats. Utiliser des produits qui ne polluent pas et consommer du non industriel n’est pas forcément plus cher, mais cela peut paraître compliqué de prime abord, parce que cela ne fait pas partie de nos habitudes et de notre éducation. L’important n’est pas de faire peu ou beaucoup, l’important est de faire ce que l’on peut, puis de tenter de faire de mieux en mieux chaque jour, petit à petit en acceptant l’imperfection et en étant chaque jour plus conscient de ce qui est nuisible pour nous et pour la planète. De toute façon, nous aurons beau brailler tant que nous pourrons contre ceux qui nous dirigent, ils ne feront rien pour changer les choses, ils sont grassement payés pour supporter les critiques. C’est à nous d’arrêter de les cautionner, c’est tout.
92. Christine (via mail) : Actuellement, quelle est la place de l'homme dans l'univers parmi toutes les races extraterrestres, quel rôle peut-il avoir dans un avenir proche ?
Anton Parks : Très bonne question. Aujourd'hui l'espèce humaine est amnésique et cela lui permet de compenser. Un peu de la même façon qu'une personne qui aurait subi un choc ou un viol et qui, pour se préserver de la cruelle vérité, aurait tout oublié. Quel est le rôle de l'humanité dans un avenir plus ou moins proche ? La réconciliation entre les espèces de cet univers, l'humanité étant elle-même un gros mélange issu d'un programme planificateur, mais qui a été quelque peu amoindri. Lorsque l'espèce humaine aura dépassé ses peurs et aura fait la paix avec son passé et son environnement, elle aura toutes les attentions des êtres d'en haut qui commenceront alors à entretenir des relations directes avec elle. C'est mon avis simple et définitif sur la question.
93. Questions de plusieurs internautes : Que sont devenus les Usumgal, les Nungal et les Anunna à notre époque ? Pensez-vous que ces dieux seraient encore en vie ? Est-ce eux qui tirent les ficelles de la politique mondiale comme le dénonce David Icke ?
Anton Parks : Nous sommes tous les descendants de ces entités qui se sont attribués le nom de "dieu(x)". Que ce soit en ligne directe ou en qualité d'enfants génétiques. Notre monde est en grande souffrance, car il y a beaucoup d’inégalités, de misère, de famines et de guerres. Les véritables solutions ne sont pas appliquées uniquement pour garder l’être humain sous contrôle. Imaginez un monde sans misère, ni chômage, ni inégalités. Personne ne voudrait s’engager dans l’armée et le business de l'armement qui représente des milliards et des milliards de dollars par an manquerait cruellement dans les caisses de nos gouvernements… A moins d'un miracle, nos hommes politiques entretenus par le système ne bougeront jamais. Que les "dieux" encore en vie ou leurs descendants soient derrière la politique actuelle, ne change finalement pas grand chose. La volonté de garder l'humanité sous contrôle est bien présente : les dégâts et la souffrance sont là. Je pense vraiment que c'est par son unique initiative que l'homme se libérera de l'injustice ; une initiative individuelle, mais commune à l'ensemble du peuple qui, ne l'oublions pas, est constitué de consommateurs. Qui dit consommateurs, dit grands pouvoirs.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Questions / Réponses 11
Date de cette entrevue Janvier 2011
Pour ceux à qui ça intéresse, évidemment.
Ça complète ses livres.
Ça vous permet de vous faire une idée du bonhomme.
Panthère(3)58 propose ; vous disposez selon votre jugement, votre discernement, VOS FILTRES !
Lien : http://www.antonparks.com/interview_anton_parks_web2010.pdf
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Dernier extrait #11 :
3. Questions concernant la rédaction des Chroniques :
Questions personnelles : suite et fin
94. Okéann (via le forum) : Je n'aurais qu'une question à poser. Actuellement, j'étudie beaucoup la méditation non duelle qui revient à dire que Tout EST LA SOURCE… que la source est aussi bien dans l'un et son contraire. Par exemple et selon nos concepts : LE BIEN / LE MAL, LE CHAUD / LE FROID, LA BIENVEILLANCE / LA MALVEILLANCE… et qu'elle jouerait donc tous les rôles à la fois afin de se connaître elle-même et s'auto-expérimenter : le bourreau et la victime, etc. Hors, dans vos livres, il est dit que Sa’am (et filiation) est un serviteur de la Source, donc selon nos concepts on le classe naturellement comme un bienfaiteur, du coté de la lumière, du positif, du bon... du nôtre qui sommes des victimes, donc du côté des gentils, lol. Et les autres alors... ? Les AN, ENLIL and Co...? S'ils n'œuvrent pas du coté de la source, sont-ils déconnectés ? Quel est leur rôle ? Sont-ils tels des Anges déchus qui ne sont plus "nourris" par la Source, est-ce pour cela qu'ils se nourrissent de nos énergies négatives qu'ils manipulent en créant peur, horreur, misère et chaos autour et en nous ? Où bien restent-ils acteurs de la farce Céleste et jouent-ils leur rôle à la perfection selon le concept que la "SOURCE EST TOUT" ?
Anton Parks : Très bonne question. Effectivement, nous provenons de la Source et c’est aussi le lieu où nous nous dirigeons tous. Personne n’est jamais totalement déconnecté de la Source, mais certains parviennent à poursuivre leur chemin en détournant les lois élémentaires de la Vie, en créant souvent intentionnellement malheur et chaos. C’est la peur de perdre le contrôle et le pouvoir qui les fait souvent agir de la sorte. Pour d'autres, c’est la peur de ne plus être dirigé ("guidé"), et la peur des responsabilités qui fait accepter les manipulations du camp adverse. L’histoire des Chroniques montre bien à travers les erreurs des protagonistes qu'aucun n’est ni tout blanc ni tout noir. Prenons par exemple la reine Tiamata qui a tout fait pour garder le pouvoir afin de préserver sa communauté de prêtresses : elle n’a réussi qu’à exacerber le désir de révolte des mâles Usumgal. Quelques fois de bonnes intentions donnent des résultats négatifs et de mauvaises offrent des résultats positifs de part la prise de conscience de ce qui est juste et de ce qui ne l’est pas. Accepter de tirer l’enseignement et la sagesse des situations, ne veut pas dire qu'il faut regarder ces situations comme normales ou bonnes alors qu’elles ne le sont pas nécessairement, mais reconnaître le caractère "élévatoire" de l’expérience. Ce sujet tourne autour du thème de la planification et d'une forme d'équilibre dont je souhaite préciser quelques aspects d'ici la fin de cette interview.
95. Questions de plusieurs internautes : Qu'en est-il d'une éventuelle montée en dimensions de l'humanité pour nous sauver de cet enfer ? Certains médiums prétendent qu'il faudra nous affranchir.
Anton Parks : Nous passerons sûrement (ou auront accès) à une dimension plus élevée lorsque l’humanité sera prête. Pour l’instant, cela me semble impossible, beaucoup trop d’êtres humains et d’animaux souffrent sur cette planète. Il existe des races évoluées, ailleurs, qui vivent effectivement dans ces dimensions. Pour nous, sur Terre, il faudra en un premier temps éliminer les guerres, les conflits et la famine, afin de se hisser petit à petit dans des dimensions plus élevées. C'est notre point de vue à mon épouse et moi. Les dimensions supérieures sont celles où les énergies d’une planète et des habitants qui y vivent sont directement perceptibles. Alors, bien entendu, que les dimensions supérieures sont déjà perceptibles pour certains d'entre nous, d’où les phénomènes de médiumnité et de prémonition. Mais s’y hisser est une tout autre affaire qui ne sera possible que collectivement et dans un climat sain, n’en déplaise à ceux qui crient sur tous les toits qu’ils sont persuadés de faire partie d’une élite qui ascensionnera bientôt tandis que d’autres périront parce qu'ils ne se seront pas affranchis.
Chaque humain n'aura pas besoin de s'affranchir pour accomplir ce changement fréquentiel, beaucoup de "gourous new age" et de faux prophètes utilisent ce terme et cette forme de peur pour culpabiliser les masses afin de récupérer quelques adeptes. Cette technique est récurrente, même cyclique, car elle se manifeste particulièrement en fin de cycle de notre société. Ces personnes sont faciles à identifier puisque, lorsqu'elles parlent d'elles ou de leur ligues, elles s'expriment comme au temps des faux dieux qui régnaient sur Terre : elles ne s'intègrent jamais dans la masse humaine : il y a eux et les humains. Il y a eux et leur énergie ou leurs dimensions et vous, "pauvres humains, vous qui vivez dans cette médiocre 3D" qui vous a donné la vie et dans laquelle pourtant vous êtes supposés évoluer (dans les deux sens du terme). Il est impossible que ces personnes soient des guides spirituels. Les guides spirituels ou les personnes ascensionnées ou encore les avatars, ne parlent pas comme cela, ce sont des gens simples et sans ego qui s'expriment clairement dans un langage accessible à tous pour expliquer des concepts de la vie. Expliquer le sens de la vie n'est pas compliqué. Les guides ne se comparent jamais aux autres non plus ; ils sont humbles. Les véritables guides n'étalent jamais leur vie personnelle et elles ne sont pas des personnes avides de pouvoir et de reconnaissance.
Beaucoup veulent vivre des choses extraordinaires tant leur vie leur semble vide. L'espérance en l'extraordinaire est un bon moyen pour donner un sens à son existence… Désolé, mais c'est aussi pour ne pas prendre de décisions et pour ne rien faire. Nous pouvons vivre des événements extraordinaires en nous réalisant, en allant au-delà de nos peurs et de nos colères. C'est ici que le problème de notre société se trouve. Lorsque ce cap est franchi, tout est possible. C'est pourtant le thème de beaucoup de films et de livres formidables. Mais, comme nous sommes dans une société de consommation, la majorité d'entre nous regarde un film ou lit un livre et l'oublie… pour passer à un autre film ou un autre livre… L'humanité est amnésique et n'écoute pas les signes qui lui sont présentés. J'entends souvent dire : "Ah, ces sales reptiliens ou encore ces politiciens ! Tout est de leur faute, nous ne pouvons rien faire." Les gens oublient souvent qu'ils se sont incarnés ici et qu'ils savaient obligatoirement où ils mettaient les pieds. La vie est un peu comme un jeu vidéo où l'on doit trouver les solutions pour avancer et survivre en vue d'accomplir la mission qui nous est destinée. Pourquoi serait-ce possible dans un jeu insipide et pas dans la vraie vie ? Lorsque les bons choix sont pris, les portes sont ouvertes pour avancer. Comme le dit le dicton : Si tu veux changer le monde, change-toi toi-même. Mais je le précise, il n'est pas question d'affranchissement ou de rédemption. Se changer, c'est avant tout s'accepter et s'aimer, avec ses qualités et ses défauts. Se changer, c'est s'observer : regarder là où l'on est doué et là où on l'est moins. Là où l'on fait du bien ou encore là où l'on fait mal aux gens. C'est aussi remarquer ses peurs, c'est déterminer ses envies et prendre en considération ses frayeurs pour accéder à ses désirs. Il s'agit d'équilibre, sans cesse d'équilibre. Lorsque vous êtes conscient que l'équilibre autour de vous est instable par votre faute ou par d'autres, il faut savoir prendre les bonnes décisions pour vous et pour les autres. Lorsque l'équilibre est finalement obtenu (il s'obtient assez souvent avec abandons ou pertes et fracas), alors cet équilibre se transformera nécessairement en harmonie, mais là, nous ne sommes plus tout à fait dans un monde purement humain, mais plutôt dans celui des êtres élevés ou des planificateurs… L'être humain est potentiellement un planificateur en devenir.
Je finirai en ajoutant que j'assume la dureté de certains de mes propos lorsqu’elle concerne ma volonté de déconnecter les gens à cette forme de matrice de l’endormissement culturel édulcoré dans laquelle nous sommes plongés. Je n’ai pas un rôle facile à endosser, mais je l’assume ! Mon objectif est de susciter des réflexions qui vont s’orienter vers de l’action. Les réactions positives ou négatives qu’occasionnent mes propos forment toujours des réactions, ce qui est plutôt une bonne nouvelle. Lorsque la joie et la colère sont passées, le moment des décisions est là, donc celui des actes. Si j’arrive un tant soit peu à cette forme de réaction et de réflexion qui prend à contre-pied le cerveau reptilien, c’est que mon objectif est atteint. La raison fera le reste. Je suis contre la non-action et les béatitudes spirituelles, celles que prônent plusieurs mouvements mystico-spirituels ou même chrétiens et qui attendent des changements les bras croisés en pensant qu’ils viendront du ciel. C’est dans l’action et la prise de conscience que l’humanité se réveillera et qu’elle prendra en main son destin au lieu de le déléguer à une bande d’escrocs qui met à sac la planète au nom du dieu argent.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
ROUND 6 : ANALOGIES ENTRE HORUS (ÉGYPTE ) ET AUTRES HÉROS 1
ANALOGIES ENTRE HORUS (ÉGYPTE) ET D’AUTRES HÉROS PARTIE 1
En noir : résumé, explication, contexte...
En vert : extrait Serge Cazelais, JF, Kiwan
En or : extrait Anton Parks et autres
En bleu : commentaire personnel P(3)58
Pour en savoir plus sur Serge Cazelais : Complément Surprenant #1251 :
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67146
Son site : http://sergecazelais.com/
Club CRÉÉE : Septembre 2006 Salle 609 :
http://www.esoterisme-exp.com/ClubCREEE_pub/Activites2006/609/609-tradition.php#BAT
Source : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67145
Sur Viméo : https://vimeo.com/56182775#at=1933
N.B. Les propos tenus dans ce vidéorandia ont été tenus voilà trois ans. Quoiqu’il en soit, le forum permet la possibilité de rétroréagir pour rectifier, préciser, ajouter, bonifier, nuancer.
Ici, dans cette sixième partie, il est simplement question d’un débat d’opinion sur les analogies entre Horus (Égypte) et les autres héros dont Jésus, un des plus récents, sinon le plus récent d’entre eux.
Kiwan a sa propre opinion basée sur son cheminement, son savoir, ses contacts particuliers.
Serge Cazelais a sa propre opinion basée sur son cheminement, ses études, ses recherches, son travail.
Comme vous tous, j’ai moi aussi ma propre opinion basée sur un cheminement, mes propres réflexions, mes observations, mes questionnements ; basée aussi sur mon jugement et mon discernement à évaluer la cohérence et la vraisemblance de ce que l’on nous impose ou propose, dépendant. Cette opinion est en constante mouvance selon les sources qui se présentent à moi.
Je commence donc par présenter les points de vue exprimés dans ce vidéorandia par Serge Cazelais et Kiwan, parsemés de mes commentaires. Par la suite, j’exposerai les sources qui alimentent ma réflexion, qui soutiennent mes croyances. Et ça va certainement s’échelonner dans le temps. Libre aux inscrits du forum d’y participer ou d’y réagir.
P(3)58 : En bout de ligne, tout le monde est gagnant parce que chacun a sa propre vérité dans sa quête de la Vérité et / ou dans le jeu de la réalité. Bien que cette vérité peut nous avoir été imposée dès notre plus jeune âge, on a la liberté de se la réapproprier ou pas une fois adulte. Parfois, pour plusieurs, la Vie se charge de nous y pousser. Et la valeur du prix est directement lié à cette vérité qui nous transporte et qui nous amène à être à la bonne place, au bon moment et à faire la bonne chose dans ce que l’on est intrinsèquement, à ainsi créer notre quotidien, de nos choix liés à ces croyances. Et ce que l’on expérimentera, si jamais les tribulations pressenties par plusieurs se concrétisent, est aussi lié à cette vérité que l’on entretient consciemment ou inconsciemment.
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Petit Robert (1991) Dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française
Analogie : Ressemblance établie par l’imagination (souvent consacrée dans le langage par les diverses acceptions d’un même mot) entre deux ou plusieurs objets de pensée essentiellement différents. V. Association, correspondance, lien, parenté, rapport, relation.
Ici, il est question de possibles liens, ressemblances, correspondances entre des héros essentiellement différents, du moins, en apparence.
1. À 0 :33 :00 du vidéorandia :
Kiwan : Juste une parenthèse Serge, c’est que la dernière fois que l’on a fait affaire ensemble, on était dans la mouvance de Da Vinci Code, si tu te souviens. [Da Vinci Code : 2003]
Serge Cazelais : C’est ça. En fait, la dernière fois que j’ai donné une conférence, je dirais chez vous, Richard, dans l’une de tes activités, c’est au Cégep de Maisonneuve, et le deuxième invité nous parlait justement de cette question-là des analogies entre Jésus et de nombreux héros, que ce soit Krishna, Horus, Dionysos et plusieurs autres. Et l’autre conférencier nous parlait de manipulations. En fait, le cœur de son message c’était ça, de dire qu’on était manipulé depuis 2000 ans, que l’histoire de Jésus n’était que le plagiat de l’histoire d’Horus et de Krishna et d’autres héros. Puis on avait débattu un peu à la fin. [Conférence Septembre 2006, Salle #609 du Club CRÉÉE]
Kiwan : Et il y avait à la même époque, un livre écrit par un Torontois, je pense, un type de l’Ontario. [...] Il y avait aussi Acharya...
Tom Harpur et son livre : The Pagan Christ (2004)
En français : Le Christ païen, Retrouver la lumière perdue, préface de Jacques Languirand
Lien : http://www.amazon.ca/Christ-pa%C3%AFen-Le-Tom-Harpur/dp/2764603630
Extrait : Longtemps avant l''ère chrétienne, les Égyptiens, comme d''autres peuples, croyaient en la venue imminente d''un Messie, fruit d''une naissance virginale, en une Madone à l''enfant, au Verbe fait chair. Les premières Églises ont fait de ces dogmes les fondements mêmes de la foi chrétienne, tout en occultant leurs origines. Ce qui avait d''abord été conçu comme un système universel de croyances, basé sur le mythe et l''allégorie, s''est transformé, entre les mains de groupes ultraconservateurs farouchement attachés à la lettre plutôt qu''à l''esprit, en une institution figée et dogmatique. Dans son livre le plus audacieux et le plus original, Tom Harpur fait sortir de l''ombre un corpus religieux universel basé sur la sagesse antique que l''Église avait choisi d''oublier. Son message est clair : notre attachement aveugle à une interprétation littérale de l''Écriture est en train de tuer le christianisme. Seul un retour à une religion ouverte, qui prône que le Christ est en chacun de nous, nous permettra de comprendre qui nous sommes et ce à quoi nous sommes destinés. À cette époque où la figure du Christ exerce une fascination renouvelée, ce livre propose une approche vivifiante de la foi et un christianisme véritablement spirituel.
Qui est Tom Harpur ?
Lien #1 : http://www.tomharpur.com/biography/
Extrait : He:
01. Won several scholarships at The University of Toronto including the Jarvis Scholarship in Greek and Latin; The Maurice Hutton Scholarship in Classics; The Sir William Mulock Scholarship in Classics; and the Gold Medal in Classics.
02. Attended Oxford University on a Rhodes Scholarship 1951-1954.
03. Studied theology and tutored in Greek at Wycliffe College, University of Toronto, 1954-56. Won prizes in homiletics and Greek.
04. Won full colours in rugger at U of T and an ice hockey Blue at Oxford.
05. Began career as an Anglican priest at St. Margaret's-in-the-Pines, West Hill, Ontario (1957-1964).
06. Professor of New Testament at University of Toronto (Toronto School of Theology) from 1964 to 1971.
07. Fellow of the Religious Public Relations Council (USA).
08. Awarded The Silver Medal for Outstanding Journalism by the State of Israel in 1976.
09. Listed in U.S. Who's Who in Religion, Canadian Who's Who, and the most recent edition of Men of Achievement, (Cambridge, England).
Has appeared on major television and radio networks. Was host of the following shows, all based on his books by the same names:
1. a 10-part series on Vision TV, City TV and The Learning Channel called "Life After Death"
2. a weekly hour-long interview programme, "Harpur's Heaven and Hell"
3. a 12-part series on Vision TV: "The Uncommon Touch"
Ses livres : (10 d’entre eux ont été des best-sellers canadiens) :
01. Born Again (Thomas Allen Publishers)
02. There Is Life After Death (Thomas Allen Publishers)
03. Water Into Wine (Thomas Allen Publishers)
04. Living Waters (Thomas Allen Publishers)
05. The Spirituality of Wine (Northstone Publishing)
06. The Pagan Christ (Thomas Allen Publishers)
07. Harpur's Heaven and Hell (Oxford)
08. For Christ's Sake (Oxford)
09. Always on Sunday (Oxford)
10. Communicating the Good News Today (Lancelot)
11. Life After Death (M&S)
12. God Help Us (M&S)
13. The Uncommon Touch (M&S)
14. The God Question (Lancelot)
15. The Divine Lover (Lancelot)
16. Harpur vs. Hancock (Lancelot)
17. Would You Believe (M&S) (published in the U.S. as The Thinking Person's Guide to God, Prima Press)
18. Prayer - The Hidden Fire (Northstone Publishing)
19. Prayer Journal (Northstone Publishing)
20. Finding the Still Point - A Spiritual Response to Stress (Northstone Publishing)
Lien #2 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tom_Harpur
Extrait : Thomas Tom Harpur (né en 1929, Scarborough, Ontario, Canada) est un auteur canadien, animateur de télévision, journaliste et théologien anglican.
Biographie
Harpur complète son éducation à l'Université de Toronto où il mérite plusieurs bourses. Entre 1954 et 1956, il étudie la théologie au Wycliffe College à l'Université de Toronto et reçoit des prix pour la maîtrise du grec et pour l'« homiletics », c'est-à-dire l'application des principes de la rhétorique à la théologie.
Harpur a été ordonné prêtre anglican. De 1957 à 1964, il fait partie de la Congrégation de St.-Margaret's-in-the-Pines, à Scargorough en Ontario et il travaille en servant de prêtre pour la Communauté de West Hill. De 1964 à 1971, Harpur est professeur du Nouveau Testament à l'Université de Toronto, pour l'École de théologie de Toronto.
Harpur est mieux connu pour son travail au quotidien Toronto Star, pendant 30 ans dont douze ans à titre de responsable pour la religion. Depuis qu'il a quitté ce poste en 1984, il a continué de contribuer au journal en maintenant une rubrique pour toutes les question d'éthique et de religion. Harpur est aussi l'auteur de plusieurs livres sur la religion et la théologie. Il a animé plusieurs programmes de radio et de télévision touchant ces sujets.
Harpur pense qu'il n'y a pas d'évidence de l'existence de Jésus. Il perçoit plutôt le Christianisme à travers ses racines païennes. Il affirme que la Bible devrait être interprétée de manière allégorique plutôt que de manière littérale.
Son ouvrage Le Christ païen a été traduit en français (Fayard, 2005).
La critique de son livre :
Lien #1 : http://www.aprum.umontreal.ca/Livres/Durand.htm
Extrait : Lors de l'assemblée générale du mois de juin, plusieurs collègues m'ont parlé du livre de Tom Harpur, Le Christ païen (Fayard, 2005) dont les journaux avaient abondamment parlé. Les jours suivants, je me suis empressé de le lire. Voici quelques commentaires, moins à titre de croyant qu'à titre de théologien ayant quelques connaissances sur l'histoire des religions et sur l'exégèse.
Thèse
La religion catholique a été inventée aux IIIe et IVe siècles par ceux qu'on appelle les Pères de l'Église, en reprenant ce qui existait depuis des siècles chez tous les peuples sous formes de mythes et en l'appliquant à un homme historique, Jésus le nazaréen.
Développement
1. Tous les récits, miracles, paraboles qu'on trouve dans les Évangiles existent depuis des millénaires dans les cultures anciennes, surtout l'Égypte. Ils sont intégrés, sous forme de mythes, à une religion intérieure, cosmique. Chaque être humain est une parcelle de Dieu, chacun a un Christos intérieur à développer, y compris en se réincarnant, suivant le rythme de la nature qui se renouvelle sans cesse. Il existait, à l'origine, une seule religion, cosmique qui, peu à peu, s'est détériorée au cours des âges, mais dont on trouve les éléments fondamentaux dans les écrits de l'Égypte ancienne (p. 49).
2. Les Pères de l'Église aux IIIe et IVe siècles ont appliqué cela à l'homme Jésus. Ils ont fait d'une religion intérieure et universelle une religion historique, insensée, pleine de fables inacceptables. Pour ce faire, ils ont interprété de manière erronée et délibérément mensongère les textes de l'Évangile, et inventé les faits et doctrines dont ils avaient besoin pour convaincre et asservir les masses.
3. Dans les faits, Jésus n'a jamais existé. Les textes des auteurs profanes qui en parlent sont des fabrications ajoutées. Les Apôtres représentent les douze signes du zodiaque. Les textes de l'Ancien Testament, eux-mêmes n'ont aucun caractère historique : « Ils sont strictement allégoriques et leur véritable signification se cache sous la surface » (p. 166). Les références à l'esclavage en Égypte ou à l'exil, par exemple, doivent être comprises en réalité comme « la captivité » de l'âme humaine dans la matière (p. 166). Saint Paul, par contre, est un personnage historique, mais il ne connaît pas l'existence historique de Jésus : le Christ dont il parle, « c'est le christ mystique connu à travers tous les âges, le christ dit païen » (p. 227).
4. L'avenir du christianisme est dans le retour à la religion intérieure universelle, cosmique, païenne. Il n'y a qu'une chose d'essentiel, la présence de l'essence divine dans chaque être humain qui demande à se développer. « Jésus était et demeure le symbole dramatique suprême de la divinité qui réside en chacun de nous » (p. 235). « Nous sommes devenus étrangers au royaume spirituel d'où nous sommes venus originellement et où nous retournerons un jour » (p. 250).
Analyse
Le livre se présente sous forme de témoignage, celui d'un ancien pasteur anglican qui a enfin découvert la vérité. Il essaie manifestement de convaincre et convertir. Il affirme des choses d'une manière catégorique qui frôle l'indécence (« il est évident que »... « preuves incontestables »... «sans l'ombre d'un doute »). Il contient des répétitions lassantes (par exemple, il affirme trois fois que les chrétiens ont brûlé la bibliothèque d'Alexandrie).
Pour l'Égypte, Harpur se fie à trois auteurs du XIXe et du début du XXe siècle qu'il cite à pleines pages. Les noms de ces auteurs n'apparaissent pas dans le recueil officiel des égyptologues (M.L Bierbrier's Who Was Who , 1995). L'auteur ne donne presque jamais de références précises des livres égyptiens, et jamais dans des éditions savantes, en sorte qu'il est très difficile de vérifier ses dires. De toute manière, sa compréhension des religions égyptiennes contredit ce que disent les égyptologues, par exemple, sur la date des manuscrits, la nature du Dieu Horus, le type de monothéisme.
Il est vrai que le christianisme a beaucoup emprunté à l'Ancien Testament et à la culture religieuse ambiante, que les Évangiles ont été écrits dans un but catéchétique et contiennent une part de mythes, mais de là à nier tout caractère historique au peuple juif, à l'existence de Jésus et à la foi des premiers chrétiens, il y a une marge inacceptable. L'auteur disqualifie bien vite les quatre évangélistes, et les auteurs profanes (Pline, Tacite, Suétone, Josèphe) qui attestent l'existence de Jésus. Il semble tout ignorer de la recherche exégétique des cent dernières années, notamment des études scientifiques modernes sur la composition des évangiles.
Il est vrai aussi que les Pères des IIIe et IVe siècles ont fait des choix dans les écrits et idées répandus. Ils ont brûlé des livres considérés comme hérétiques ; cependant la bibliothèque d'Alexandrie a été cinq ou six fois la proie des flammes, d'abord en 89 avant J.-C. par Ptolémée, puis en 48 par les Romains et la dernière fois en en 691 par les Arabes. Ils ont exprimé la doctrine dans le vocabulaire et la philosophie grecs par souci d'inculturation, mais déjà l'essentiel était fixé. Contrairement à ce que prétend l'auteur, Paul affirme plusieurs fois le fait historique de Jésus : sa naissance qui le fait homme et descendant de David (Ga 4,4; Rm 1,3), le dernier repas pris avec ses disciples (1 Co 11,23-29), sa mort et mise au tombeau (Ph 2,8; 1Co 2,2) et sa résurrection (1 Co 15, 3-4). Irénée de Lyon est lui aussi très ferme, contrairement à ce qu'écrit Harpur.
Le livre insiste par ailleurs sur la richesse des mythes, l'importance des rituels et célébrations, le souci d'une spiritualité profonde. Mais son interprétation des religions anciennes et ses critiques du christianisme lui enlèvent presque toute valeur. Bref, si l'auteur s'était limité à exposer sa conception de la spiritualité et de la religion, on pourrait apprécier son livre. Celles-ci rejoignent le courant religieux du gnosticisme, connu depuis longtemps et aujourd'hui populaire dans certains milieux.
Lien #2 : http://www.ledevoir.com/societe/ethique-et-religion/77807/a-propos-du-christ-paien-rien...
Extrait : À propos du «Christ païen» - Rien de nouveau sous le soleil
Un écrit dans la tradition gnostique
26 mars 2005 |Alain Gignac | Éthique et religion
À l'approche de Pâques surgit Le Christ païen de Tom Harpur. Voilà qu'un éditeur québécois s'intéresse au Christ au point de faire traduire un livre. Livre auquel un libraire accole par ailleurs le label « Coup de cœur ». Coup de foudre ou coup fumant ? Déjà, la rumeur s'active : « Un livre décapant, ressourçant, libérateur ! » « Un livre sulfureux, scandaleux, malhonnête ! » Qu'en est-il ?
La thèse du livre est double. D'une part, «la doctrine chrétienne n'est rien d'autre qu'un égyptianisme retapé et mutilé » (34). Rien de nouveau sous le soleil que le christianisme. Dans la religion égyptienne, l'essence de la spiritualité universelle et intemporelle est mieux décrite et sous une forme plus originelle. La quête spirituelle véritable, dégagée de sa superstition chrétienne, consiste en l'avènement du Christ intérieur en chaque humain. D'autre part, la figure historique de Jésus de Nazareth est une invention de l'institution ecclésiastique des IIIe et IVe siècles pour s'assurer le contrôle des masses ignorantes. Ce qui était une fable mythique à haute teneur spirituelle est devenu, dans la version définitive et tardive des Évangiles, un récit naïf, littéraliste, sanglant et absurde.
Le livre de Harpur se présente comme un plaidoyer passionné (un coup de cœur !) sous forme de témoignage : après avoir longtemps résisté, l'auteur affirme avoir trouvé une interprétation lumineuse de Jésus qui, loin d'ébranler le christianisme, est capable de le régénérer. La rhétorique répétitive du livre cherche à persuader et non à convaincre. « Hors de tout doute », « assurance totale », « ce que personne ne peut contredire » : les affirmations sont à l'emporte-pièce. Au christianisme intolérant qui a incendié la bibliothèque d'Alexandrie (accusation répétée à deux reprises), l'auteur oppose donc un Christ païen tout aussi absolu et totalitaire que celui qu'il dénonce.
Le faux et le vrai
À quelles sources scientifiques puise l'auteur ? La recherche en sciences des religions (particulièrement sur le Jésus historique et sur la religion égyptienne) est ignorée. Harpur s'appuie plutôt sur un trio peu connu d'auteurs (Godfrey Higgins, Gerald Massey et Alvin Boyd Kuhn), dans la mouvance de la théosophie. Certains arguments étymologiques étonnent par leur fantaisie (Jésus et Matthieu seraient des noms égyptiens). Les citations sont la plupart du temps sans référence, hors contexte, et souvent détournées de leur visée originelle. Ainsi, Irénée de Lyon et Albert Schweitzer auraient dénié l'historicité de Jésus. On pourrait aussi donner l'exemple du traitement subi par Augustin, maître Eckhart, Grégoire de Naziance, etc. (Ici, l'universitaire que je suis doit faire son mea-culpa : qu'en est-il de la diffusion des acquis de la réflexion scientifique en sciences des religions et en théologie auprès du grand public ?)
Pourtant, beaucoup d'affirmations sont justes : influences des autres religions sur le christianisme, qui n'est pas né en vase clos ; utilisation du langage mythique dans la Bible ; intérêt du mythe pour énoncer une vérité religieuse ; importance de la croissance spirituelle personnelle. Ce qui pose problème, c'est l'exagération de la thèse, en ses deux faces : l'originalité de la religion juive d'où surgit le christianisme est occultée ; la réalité de la mort de Jésus, pourtant capitale pour le témoignage du Nouveau Testament, est niée. L'existence historique de Jésus de Nazareth, comme celles de Socrate ou de Siddartha Gautama (le bouddha) est certes difficile à saisir. Mais même les tenants d'une interprétation minimaliste des données (comme les animateurs du fameux Jesus Seminar) admettent l'historicité de Jésus.
Rien de nouveau sous le soleil ? L'interprétation du Christ dans une ligne gnostique est aussi vieille que le christianisme. Dès Irénée de Lyon, deux tendances s'affrontent, l'une insiste sur le destin historique de Jésus de Nazareth, l'autre sur le don de l'esprit. Qu'est-ce qui sauve, la mort de Jésus ou l'expérience spirituelle ? Les écrits du Nouveau Testament eux-mêmes cherchent à articuler les deux aspects, les évangiles insistant peut-être plus sur le premier, et les lettres de Paul, sur le second. Or, contrairement à ce que dit Harpur, même si Paul de Tarse s'intéresse peu aux détails de la vie de Jésus ou à son enseignement, cela n'est pas nié (voir la mise au tombeau de 1Co 15,3, la naissance juive de Jésus en Ga 4,4 et le denier repas en 1Co 11,23).
À venir: partie 2 : infos sur Acharya S/D.M. Murdock
(l'autre auteure évoquée par Kiwan)
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
ROUND 6 : Une pièce de plus pour toi!
Télécharge ça rapidement parce que je ne le laisserai pas sur dropbox longtemps - j'utilise dropbox dans le cadre de mon travail et mon espace est limité. Confirme-moi lorsque tu l'auras téléchargé. Cyberpresse l'a fait disparaitre depuis un bout de temps (sauf erreur de ma part).
Le «Christ païen» , c'est de la science-fiction!
Je cherche une autre recension, celle de Pierluigi Piovanelli de l'Université d'Ottawa, dès que je la trouve, je te donne ça.
Est-ce que tu prends ces choses-là au sérieux ? Aucun document de l'Égypte ancienne n'est jamais cité dans le livre de Harpur (et chez Massey et compagnie) et lorsqu'il cite les Pères de l'Église, c'est tout déformé… C'est gênant quand on ose se mettre le nez dans les sources directes. Oseras-tu le faire un jour ? Je le souhaite tellement parce que je sais que tu t'y intéresses vraiment. Tu gagnerais tellement de temps.
ROUND 6 : Une pièce de plus pour toi!
Télécharge ça rapidement parce que je ne le laisserai pas sur dropbox longtemps - j'utilise dropbox dans le cadre de mon travail et mon espace est limité. Confirme-moi lorsque tu l'auras téléchargé. Cyberpresse l'a fait disparaitre depuis un bout de temps (sauf erreur de ma part).
Je n'ai pas de compte Dropbox tel qu'exigé pour télécharger. Et je n'ai jamais télécharger au sens d'enregistrer. Je consulte. Je met des liens dans mes favoris. C'est tout. J'imagine que lorsque j'écoute par exemple un vidéorandia, il se télécharge de lui-même pour que je puisse l'écouter. Mais, jamais je n'enregistre quoi que ce soit comme tel. Donc, maintenant que j'ai mis l'info sur Harpur dans ce billet, je l'ai enlevé de mes favoris.
J'ai mis de façon la plus objective possible de l'information sur les auteurs que Kiwan et toi avez mentionnés. À ceux que ça intéresse de se faire leur propre idée. Tu es le bienvenu pour partager ton point de vue sur ces auteurs bien que ce que tu soulèves ait déjà été évoqué dans les 2 critiques. Tout ce que je peux dire à ce moment-ci, c'est que j'ai une liste d'épicerie de livres à acheter pour 2016 (à faire venir de la Librairie Perro - Bryan Perro/Perreault). Mon année 2016 est donc bouclée.
Et le livre de Harpur en fait partie ainsi que d'autres comme En marge du canon, la traduction de la république de George Leroux, évidemment si tjrs disponible. Je préfère de loin voir par moi-même ce qu'il en est et me faire ma propre idée, parce que c'est moi qui vit et meurt en fonction de mes idées. Je ne mourrai ni ne vivrai sur les idées des autres. Alors la seule chose que je tienne compte, ce sont les liens ou les références (livres à lire sur) que tu peux proposer à tous. Je fais partie de ces « tous ».
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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ROUND 6 : Un élément de réflexion pour toi
Bien honnêtement, très sincèrement, ce serait dommage que tu dépenses ton argent en commandant les livres de Harpur, de Acharya S, de Massey, de Kuhn et autres (si c'est ça que tu veux commander).
Pour toi qui ne roule pas sur l'or… D'autant plus qu'Acharya ne dit rien de plus dans ses livres que ce qu'elle dit sur ses sites web, et les arguments de Massey et autres tu peux tout trouver ça gratuitement sur internet. Même ses livres en version originale en anglais, je crois que c'est désormais disponible en ligne.
Massey (qui est un auteur clé dans l'affaire) est un pseudo-égyptologue qui en a beurré très épais de son vivant, mais il utilise des données d'avant que Champollion ne trouve la clé de la langue des hiéroglyphes. Il a pourtant été débunké depuis fort longtemps et on s'étonne qu'il revienne en force dans la littérature conspirationiste. Acharya et Harpur copient simplement Massey.
Kersey Graves lui… Tu le connais ? On en parle moins maintenant, mais il est lui aussi mis à profit dans ces thèses mythistes-conspirationistes et il y a quelques années sur ce forum, certains le défendaient bec et ongle et basaient une grosse partie de leur conviction sur lui. Mais désormais, on ne nomme plus son nom et pour cause! Il a été débunké par les “Infidels”, ce groupe américain qui en faisaient la plus grande promotion! Mais le livre est toujours en ligne… Imprimé et vendu parce qu'il rapporte de l'argent. Je cherche à comprendre et je n'y arrive pas… Et les Acharya S et autres qui ont tiré des matériaux et des arguments dans les livres de Kersey Graves, n'ont pas corrigé le tir, même si on le nomme moins!
Lis ce que les “Infidels” eux-même disent désormais de Kersey Graves - mais ils laissent le livre en ligne et le vendent encore sous forme imprimée (et le jours où ils examineront Massey avec ouverture et objectivité - comme je l'ai fait, ils diront la même chose!)
ATTENTION: The scholarship of Kersey Graves has been questioned by numerous theists and nontheists alike; the inclusion of his The World's Sixteen Crucified Saviors in the Secular Web's Historical Library does not constitute endorsement by Internet Infidels, Inc. This document was included for historical purposes; readers should be extremely cautious in trusting anything in this book.
source : http://infidels.org/library/historical/kersey_graves/16/
Richard Carrier, tu sais qui il est ? (brève, trop brève notice sur wiki en français). De tous les mythistes, il est le plus sérieux. Il défend ses convictions “mythistes”, mais il a le mérite de faire de la vraie recherche. Lis ce qu'il pense désormais de Kersey Graves :
Kersey Graves and The World's Sixteen Crucified Saviors (2003)
Dommage parce qu'il y a quelques années, on avait beaucoup discuté de ça sur le forum et même aux conférences de Richard.
ROUND 6 : ANALOGIES ENTRE... Nassim Haramein en complément
Nassim Haramein en complément
Pour l'Égypte, Harpur se fie à trois auteurs du XIXe et du début du XXe siècle qu'il cite à pleines pages. Les noms de ces auteurs n'apparaissent pas dans le recueil officiel des égyptologues (M.L Bierbrier's Who Was Who , 1995). L'auteur ne donne presque jamais de références précises des livres égyptiens, et jamais dans des éditions savantes, en sorte qu'il est très difficile de vérifier ses dires. De toute manière, sa compréhension des religions égyptiennes contredit ce que disent les égyptologues, par exemple, sur la date des manuscrits, la nature du Dieu Horus, le type de monothéisme.
P(3)58 : Je ne connais pas les noms mentionnés et je n'ai pas fait de recherches sur eux. J'attends d'avoir en main le livre d'Harpur. Par contre, voici un bémol de Nassim Haramein en prendre en compte dans une réflexion sur cette aspect de la critique. Ça reflète mon approche.
2012
Extrait pp.93-94 : Je sais que vous avez entendu beaucoup d’histoires sur la façon dont on a construit les pyramides. Et l’on a insisté sur leur construction très particulière, c’est un fait établi. En fonction de la théorie, entre 20 000 et 100 000 esclaves ou agriculteurs, pendant les inondations du Nil, tous les ans, allaient construire des pyramides. Et ils les ont construites, toujours selon les différentes théories, durant une période variant entre 20 et 40 ans. C’est bien joli, mais ils enseignent cela comme un fait.
Par exemple, on peut lire dans les bouquins que les pyramides ont été « construites par » et non « peut-être construites par ». C’est décrit comme un fait. Et vous croyez que ça doit être ça. Mais quand on y pense, ces gens qui ont écrit ces faits ne sont ni des ingénieurs ni des physiciens, ils ne comprennent pas nécessairement ce qu’il faut pour construire, ils ne comprennent pas nécessairement le degré de difficulté à obtenir une grande précision lorsqu’on édifie à l’aide de pierres. Ils ne comprennent pas nécessairement que le cuivre ne coupe pas la pierre. Et que, jusqu’à présent, on n’a pas trouvé comment durcir le cuivre pour tailler la pierre. Alors, ils ont simplement balancé ce genre de choses et, parce qu’ils ont un doctorat, et qu’on est au XIXe siècle et qu’ils ne peuvent imaginer autre chose, alors tout le monde se range à leur opinion. Et je vous assure, si vous préparez un doctorat en égyptologie ou sur l’étude de l’Antiquité dans les civilisations anciennes et que vous écrivez une thèse relatant un autre mode de construction, vous n’allez probablement pas obtenir votre doctorat.
J’ai été vraiment étonné lorsque j’ai commencé à étudier ces choses parce que, d’après moi, j’avais résolu un grand nombre de ces questions, mais il y avait quelque chose qui ne cessait de me titiller. Peut-être que l’Histoire de la Terre, peut-être que l’Histoire de notre civilisation est tout à fait différente de ce que nous croyons. Et si c’était vrai, je veux savoir pourquoi. Parce qu’alors, je pourrais modifier mon point de vue sur l’évolution pour le faire correspondre à la vraie réalité, à ce qui s’est passé à Gizeh. Ça pourrait grandement altérer ma perception de moi, de mes ancêtres, de la genèse des choses et de ma place dans l’Univers.
P(3)58 : J'imagine que c'est ça que voulait signifier Kiwan dans le vidéorandia lorsqu'il parle du manque de « fantaisie ». [parce qu’ils ont un doctorat, et qu’on est au XIXe siècle et qu’ils ne peuvent imaginer autre chose] Et ça s'applique, je pense, dans l'interprétation des textes de l'Antiquité, selon les reproches formulés par ceux qui amènent d'autres possibilités, d'autres pistes.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
ANALOGIES ENTRE HORUS (ÉGYPTE ) ET AUTRES HÉROS 2
ANALOGIES ENTRE HORUS (ÉGYPTE) ET D’AUTRES HÉROS 2
N.B. Je reprends le terme analogie utilisé dans le vidéorandia.
En noir : résumé, explication, contexte...
En vert : extrait Serge Cazelais, JF, Kiwan
En or : extrait Anton Parks et autres
En bleu : commentaire personnel P(3)58
Pour en savoir plus sur Serge Cazelais : Complément Surprenant #1251 :
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67146
Son site : http://sergecazelais.com/
Club CRÉÉE : Septembre 2006 Salle 609 :
http://www.esoterisme-exp.com/ClubCREEE_pub/Activites2006/609/609-tradition.php#BAT
Source : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67145
Sur Viméo : https://vimeo.com/56182775#at=1933
N.B. Les propos tenus dans ce vidéorandia ont été tenus voilà trois ans. Quoiqu’il en soit, le forum permet la possibilité de rétroréagir pour rectifier, préciser, ajouter, bonifier, nuancer.
Ici, dans cette sixième partie, il est simplement question d’un débat d’opinion sur les analogies entre Horus (Égypte) et les autres héros dont Jésus, un des plus récents, sinon le plus récent d’entre eux.
Kiwan a sa propre opinion basée sur son cheminement, son savoir, ses contacts particuliers.
Serge Cazelais a sa propre opinion basée sur son cheminement, ses études, ses recherches, son travail.
Comme vous tous, j’ai moi aussi ma propre opinion basée sur un cheminement, mes propres réflexions, mes observations, mes questionnements ; basée aussi sur mon jugement et mon discernement à évaluer la cohérence et la vraisemblance de ce que l’on nous impose ou propose, dépendant. Cette opinion est en constante mouvance selon les sources qui se présentent à moi.
En bout de ligne, tout le monde est gagnant parce que chacun a sa propre vérité dans sa quête de la Vérité et / ou le jeu de la réalité. Bien que cette vérité peut nous avoir été imposée dès notre plus jeune âge, on a la liberté de se la réapproprier ou pas une fois adulte. Parfois, pour plusieurs, la Vie se charge de nous y pousser. Et la valeur du prix est directement lié à cette vérité qui nous transporte et qui nous amène à être à la bonne place, au bon moment et à faire la bonne chose dans ce que l’on est intrinsèquement, à ainsi créer notre quotidien, de nos choix liés à ses croyances. Et ce que l’on expérimentera si jamais les tribulations pressenties par plusieurs se concrétisent, est aussi lié à cette vérité que l’on entretient consciemment ou inconsciemment.
Je commence donc par présenter les points de vue exprimés dans ce vidéorandia par Serge Cazelais et Kiwan, parsemés de mes commentaires. Par la suite, j’exposerai les sources qui alimentent ma réflexion, qui soutiennent mes croyances. Et ça va certainement s’échelonner dans le temps. Libre aux inscrits du forum d’y participer ou d’y réagir.
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Petit Robert (1991) Dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française
Analogie : Ressemblance établie par l’imagination (souvent consacrée dans le langage par les diverses acceptions d’un même mot) entre deux ou plusieurs objets de pensée essentiellement différents. V. Association, correspondance, lien, parenté, rapport, relation.
Ici, il est question de possibles liens, ressemblances, correspondances entre des héros essentiellement différents, du moins, en apparence.
1. À 0 :33 :00 du vidéorandia :
Kiwan : Juste une parenthèse Serge, c’est que la dernière fois que l’on a fait affaire ensemble, on était dans la mouvance de Da Vinci Code, si tu te souviens. [Da Vinci Code : 2003]
Serge Cazelais : C’est ça. En fait, la dernière fois que j’ai donné une conférence, je dirais chez vous, Richard, dans l’une de tes activités, c’est au Cégep de Maisonneuve, et le deuxième invité nous parlait justement de cette question-là des analogies entre Jésus et de nombreux héros, que ce soit Krishna, Horus, Dionysos et plusieurs autres. Et l’autre conférencier nous parlait de manipulations. En fait, le cœur de son message c’était ça, de dire qu’on était manipulé depuis 2000 ans, que l’histoire de Jésus n’était que le plagiat de l’histoire d’Horus et de Krishna et d’autres héros. Puis on avait débattu un peu à la fin. [Conférence Septembre 2006, Salle #609 du Club CRÉÉE]
Kiwan : Et il y avait à la même époque, un livre écrit par un Torontois, je pense, un type de l’Ontario. [...] Il y avait aussi Acharya...
P(3)58 : Avant que Kiwan évoque les noms de Tom Harpur et de S. Acharya, je n’en avais jamais entendu parler. Dans la première partie, j’ai mis de l’information sur Harpur. Dans cette deuxième partie, je mets de l’information sur S. Acharya, dénommée D.M. Murdoch, à titre indicatif. Ce faisant, je me suis rendu compte qu’il y avait un lien entre le fameux Zeitgeist et Acharya. Ces infos sont là pour en savoir plus sur ces gens qui se copient les uns les autres. Je vais mettre des liens et des extraits. Il est question aussi de Gerald Massey sur son site, un nom souvent évoqué par Serge Cazelais, sur lequel s'appuierait de nombreuses sources. Quant à moi, je suis en mode exploratoire face à ces sources. Et il est sain d'investiguer sur elles, sur leur argumentation.
Acharya S/D.M. Murdock
Lien du site d’Acharya : http://truthbeknown.com/
Extrait : Welcome to the world of Acharya S/D.M. Murdock !
Truth Be Known was created in 1995 by independent scholar of comparative religion and mythology D.M. Murdock, also known as "Acharya S."
Acharya's work is designed to bring to light fascinating lost, hidden and destroyed religious, mythological and spiritual traditions that reveal an exciting core of knowledge dating back thousands of years.
Elle a des liens pour répondre à ses détracteurs :
• The Real ZEITGEIST Challenge, Part 1
Looking for the REAL "ZEITGEIST Challenge?" Here it is.
http://stellarhousepublishing.com/zeitgeist-challenge.html
• The Real ZEITGEIST Challenge, Part 2
Looking for the REAL "ZEITGEIST Challenge?" Here it is. (Part 2)
http://stellarhousepublishing.com/zeitgeist-challenge-2.html
• The Real ZEITGEIST Challenge, Part 3
Looking for the REAL "ZEITGEIST Challenge?" Here it is. (Part 3)
http://stellarhousepublishing.com/zeitgeist-challenge-3.html
• The Real ZEITGEIST Challenge, Part 4
Looking for the REAL "ZEITGEIST Challenge?" Here it is. (Part 4)
http://stellarhousepublishing.com/zeitgeist-challenge-4.html
• The Real ZEITGEIST Challenge, Part 5
Looking for the REAL "ZEITGEIST Challenge?" Here it is. (Part 5)
http://stellarhousepublishing.com/zeitgeist-challenge-2.html
• The Real ZEITGEIST Challenge, Part 6
Looking for the REAL "ZEITGEIST Challenge?" Here it is. (Part 6)
http://stellarhousepublishing.com/zeitgeist-challenge-2.html
Lien sur Gerald Massey : http://stellarhousepublishing.com/who-is-gerald-massey.html
(qui se retrouve sur son site)
Voici quelques vidéos anglais/français :
Publiée le 14 juil. 2014
http://StellarHousePublishing.com
"..there is nothing new under the sun." Ecclesiastes 1:9
The astrotheological origins of Christianity and the solar nature of Jesus Christ existed from the beginning and can be found in the Bible itself, continuing for centuries afterwards.
The story dawns...
"Because I am an astronomer and a student of the Bible, it is glaringly obvious to me that Jesus is merely another in a long line of Sun Gods. The evidence is right under the nose of anyone who takes the time and effort to read the Holy Bible. D M Murdock has just given everyone a cheat sheet. Use it !!!" Loren Ball
Publiée le 10 août 2014
http://DidMosesExist.com
- VOLUNTEER TRANSLATORS INVITED -
D.M. Murdock/Acharya S speaks with Aeon Byte radio host Miguel Conner about her book "Did Moses Exist?"
http://www.aeonbytegnosticradio.com
Miguel's writeup : Moses is widely considered a main patriarch for the Abrahamic religions. Although many today regard his existence as suspect, few understand the powerful mythological resonance of the Moses figure. Moses is actually a syncretic and composite godman reaching into many ancient cultures and faiths. He is part sun-god, part lawgiver archetype, and plenty hero of a thousand faces. We enter the Myth of Moses in order to discover the censored wisdom of ancient Gnosis and the fury of an angry volcanic deity that has ruled the West for thousands of years.
Infos : La figure du Christ décryptée à travers tous ses précédents avatars. Tout n'est qu’astrologie. Murdock, D.M. (as Acharya S) (1999). The Christ Conspiracy: The Greatest Story Ever Sold. Kempton, Illinois: Adventures Unlimited Press. ISBN 0-932813-74-7.
Date de publication : 10/10/2011
Durée : 25:31
Catégorie : Tech
Infos : Réaction de ACHARYA S. face aux sites qui réfutent la première partie de " ZEITGEIST ". Vidéo sous-titrée en Français.
Erreur de traduction à 09:30 J'ai traduit 'Astrologie' c'est en fait 'Astrothéologie' qui consiste en vénérer les Dieux de la Nature: Le Soleil, la Lune et tous les Corps Célestes.
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http://fr.youtube.com/user/spaceagebachelor
Date de publication : 20/08/2008
Durée : 09:57
Catégorie : News
Lien en français : http://www.truthbeknown.com/francais.htm
Extrait : Les origines du christianisme et la recherche du Jésus-Christ historique
par D.M. Murdock/Acharya S
Révision (2012)
Les origines du christianisme et la recherche du Jésus-Christ historiqueDans le monde, au cours des siècles passés, beaucoup ont écrit au sujet de la religion, de sa signification, de sa pertinence et de sa contribution à l'humanité. A l'ouest, en particulier, de nombreux volumes spéculent sur la nature et l'historicité de Jésus-Christ, personnage principal des religions occidentales. Beaucoup ont essayé de creuser les rares indices existants relatifs à son identité, et de proposer un croquis biographique qui renforce la foi ou révèle un côté plus humain de cet « homme-dieu ». Évidemment, vu le temps et l'énergie dépensés à leur sujet, le christianisme et son fondateur légendaire sont très importants pour l'esprit et la culture des occidentaux, mais également pour le reste du monde.
En dépit de toute cette littérature produite sans interruption et de l'importance du sujet, il y a chez le public un sérieux manque d'éducation formelle et étendue concernant la religion et la mythologie. La plupart des individus sont terriblement mal informés sur ce sujet. En ce qui concerne le christianisme, on enseigne dans la majorité des écoles et églises que Jésus-Christ est une figure historique et réelle. La seule polémique le concernant est que certains le disent fils de Dieu et Messie alors que d'autres le nient. Cependant, bien que cela soit le débat le plus évident, il n'est pas le plus important. Aussi choquant que cela puisse paraître au quidam, la polémique la plus profonde et la plus durable est de savoir si un individu appelé Jésus-Christ a réellement existé.
"La polémique la plus profonde et la plus durable est de savoir si un individu appelé Jésus-Christ a réellement existé."
Bien que cette controverse puisse ne pas être évidente au vu des publications habituellement disponibles dans les librairies populaires, et lorsque l'on examine cette question de manière plus approfondie, on trouve une énorme quantité de littérature qui démontre, logiquement et intelligemment, que Jésus-Christ est un personnage mythologique au même type que les hommes-dieux grecs, romains, égyptiens, sumériens, phéniciens ou indiens, tous actuellement perçus comme des mythes plutôt que comme personnages historiques. En fouillant plus en amont dans cette grande quantité de documents, l'on peut découvrir les preuves que le personnage de Jésus est né de mythes et de héros plus anciens du monde antique. On s'aperçoit alors que cette histoire n'est pas celle d'un charpentier juif et rebelle qui s'incarna physiquement au Levant il y a 2.000 ans. Autrement dit, on démontre continuellement depuis des siècles, et aujourd'hui encore, que le personnage de Jésus-Christ a été inventé, qu'il n'est pas une vraie personne, fils ou non de Dieu transformée par la suite en surhomme par ses disciples enthousiastes.
Table des matières
Scènes de la vie surnaturelle de Jésus-ChristIntroduction
La controverse
« Pieuse fraude »
La preuve
Les gnostiques
Sources bibliques
Sources non-bibliques
Les personnages
Les principaux protagonists :
Bouddha
La naissance de Bouddha
La crucifixion bouddhiste
Horus d’Egypte
Mithra, le dieu-soleil de Perse
Mithra « Vierge » de naissance ?
Mithra et les Douze
Krishna de l’Inde
Krishna né d'une ‘vierge’ ?
Les noms de Krishna et du Christ
La nature solaire de Krishna
Prométhée de Grèce
La création d’un mythe
Le « fils » (« son ») de Dieu est le « soleil » (« sun ») de Dieu
L’étymologie raconte l’histoire
Le livre de la Révélation est égyptien et zoroastrien
Les « patriarches » et « saints » sont les dieux d’autres cultures
Les « disciples » sont les signes du zodiaque
Jésus était-il un maître d’Essène?
Qumrân n’est pas une communauté essénienne
Le Nouveau Testament fut-il composé par les Thérapeutes?
Conclusion
Notes
Bibliographie
Extraits
Les personnages
De toute évidence, il semble qu’il n’y ait pas de personnage unique sur lequel la religion chrétienne se soit fondée, et que ce « Jésus-Christ » est une compilation de légendes, héros, dieux et hommes-dieux. La place manque ici pour entrer dans le détail au sujet de chaque dieu qui ait contribué peut-être à la formation du personnage de Jésus ; il y a abondance de documents pour prouver que ce sujet n’est pas une question de « foi » ou de « croyance ».
La vérité est que, à l’époque où ce personnage aurait vécu, il y avait une vaste bibliothèque à Alexandrie et un réseau souple de confréries qui s’étendait de l’Europe à la Chine ; ce réseau d’information a eu accès à de nombreux manuscrits et à des traditions orales qui racontaient un récit similaire à celui du Nouveau Testament, avec des noms de lieu et des caractères ethniques différents.
Pour ce qui concerne l'affirmation spécieuse que les analogies entre le mythe du Christ et les mythes suivants sont « inexistants » parce que ces similitudes ne se trouvent pas dans les « sources primaires », tournons-nous vers les paroles des Pères de l’Eglise. Ces derniers ont reconnu que d’importants aspects du caractère du Christ ont en effet été rencontrés chez des dieux païens antérieurs, mais ils ont affirmé que ces ressemblances venaient du fait que le diable évidemment prémonitoire « avait prévu » le Christ, et qu’il avait implanté « le présage » de son « arrivée » dans l’esprit des païens.
Justin MartyrDans sa Première Apologie (21), le Martyre Justin, père du christianisme, a reconnu les similarités entre les anciens dieux païens et la Chrétienté quand il a tenté de démontrer, de façon ridicule, que le christianisme n’était pas plus ridicule que les mythes antérieurs :
ANALOGIES DE L’HISTOIRE DU CHRIST. Quand nous disons que le Verbe, le premier né de Dieu, Jésus-Christ notre maître, a été engendré sans opération, charnelle, qu'il a été crucifié, qu'il est mort et qu'après être ressuscité, il est monté au ciel, nous n'admettons rien de plus étrange que l'histoire de ces êtres que vous appelez fils de Zeus. Vous n'ignorez pas en effet combien vos auteurs les plus estimés prêtent de fils à Zeus; Hermès est son verbe et son interprète, le maître universel; Asclépios, fut aussi médecin et ayant été frappé de la foudre, remonta au ciel; Dionysos fut mis en pièces; Héraclès se jeta au feu pour mettre fin à ses travaux; les Dioscures, fils de Léda, Persée, fils de Danaé, montèrent au ciel, et aussi, sur le cheval Pégase, Bellérophon, fils de mortels. Que dire d'Ariadne et de ceux qui, comme elle, furent changés en astres? Et vos empereurs, à peine sont-ils morts, que vous les mettez au rang des immortels, et vous trouvez toujours quelqu'un pour jurer qu'il a vu le César qu’on vient de brûler s'élever du bûcher vers le ciel.
"Quand nous disons que le Verbe, le premier né de Dieu, Jésus-Christ notre maître, a été engendré sans opération, charnelle, qu'il a été crucifié, qu'il est mort et qu'après être ressuscité, il est monté au ciel, nous n'admettons rien de plus étrange que l'histoire de ces êtres que vous appelez fils de Zeus."
L’histoire de Jésus a évidemment incorporé des éléments des contes d’autres divinités enregistrés dans une vaste région, comme beaucoup de «sauveurs du monde » et autres « fils de Dieu » qui leur ont succédé, pour la plupart antérieurs au mythe chrétien et, parmi d’autres similitudes avec l’histoire évangélique, un certain nombre d’entre eux ont été « crucifiés », exécutés ou ont souffert autrement.
• Adad d’Assyrie
• Adonis, Apollon, et Zeus en Grèce
• Agni de l’Inde
• Alcides/Hercules de Thèbes
• Attis de Phrygia
• Baal de Phénicie
• Bali d’Afghanistan
• Buddha en Inde, en Chine et au Japon
• Deva Tat (Bouddha) du Siam
• Hésus des druides et celtes
• Horus, Osiris et Sérapis d’Egypte
• Indra au Tibet/Inde
• Jao/Iao au Népal
• Krishna en Inde
• Mikado des Shintos
• Mithra en Perse
• Odin des Scandinaves
• Prométhée au Caucase et en Grèce
•Salivahana en Birmanie
•Tammuz de Syrie
•Thor en Gaule
•Monarque universel des Sibyles
•Wittoba des Bilingonèses
•Xamolxis/Zamolxis de Thrace
•Zarathustra/Zoroastre en Perse
La naissance de Bouddha
Bouddha né du côté d’une viergeSelon une ancienne légende bouddhiste, la mère du sage était « une femme chaste » en qui était entré miraculeusement le futur Bouddha sous la forme d’un éléphant blanc, qui ensuite sorti de son flanc droit. Le lettré en sanscrit Dr. Edward W. Hopkins déclare que cette histoire de naissance miraculeuse date sans doute du « IIIéme siècle avant J.-C. et peut-être plus tôt ». En effet, la miraculeuse naissance de Bouddha, ainsi que sa tentation, sont gravés sur des monuments datant de 150 avant J.-C.
Au quatrième siècle de l’ère commune, l’église du père St. Jérôme (Adversus Jovinianum 1.42) a discuté spécifiquement de Bouddha comme étant né du côté d’une vierge.
"L’église du père St. Jérôme a discuté spécifiquement de Bouddha comme étant né du côté d’une vierge."
Parmi les gymnosophistes de l'Inde, la croyance s'est transmise de génération en génération comme authentique qu'une vierge a donné naissance à Bouddha, le fondateur de leur religion, de son côté. Les paroles de Jérôme – « transmises de génération en génération » et « opiniosis autocritas traditur » – n’indiquent pas que cette idée fut copiée du christianisme par des moines indiens ou des prêtres, mais qu’il s’agissait d’une tradition ancestrale.
Horus d’Egypte
Les histoires de Jésus et d’Horus/Osiris sont très semblables, le dieu égyptien ayant éventuellement de plus contribué au titre de « Christ ». Horus et son « autrefois-et-futur » père, Osiris, sont fréquemment interchangeables dans le mythe, comme : « Moi et le Père, nous sommes un. » (Jean 10:30). Les légendes relatives à Horus (ou Osiris) datent de milliers d’années, et ils ont avec Jésus les points communs suivants :
• Christ in Egypt: The Horus-Jesus ConnectionHorus est né de la vierge Isis-Meri le 25 décembre dans une grotte/crèche ; sa naissance était annoncée par une étoile à l’est et attendue par des dignitaires ou « hommes sages ».
• Il était un enfant enseignant au Temple ou « Maison du Père », et fut baptisé à l’âge de trente ans.
• Horus a aussi été baptisé par « Anup le Baptiste » , qui devint « Jean le Baptiste ».
• Il a eu 12 compagnons, sujets ou « disciples ».
• Il effectua des miracles et ressuscita un homme, El-Azar-us, d’entre les morts.
• Le dieu égyptien marcha sur l’eau.
• Horus fut transfiguré sur une montagne.
• Le dieu égyptien a été tué, enterré dans un tombeau et ressuscité.
• Il était aussi la « Voie, la Vérité, la Lumière, le Messie, le Fils Oint de Dieu, le Fils de l’Homme, le Bon Pasteur, l’Agneau de Dieu, le Verbe », etc.
• Il était « le Pêcheur », et était associé à l’Agneau, au Lion, au Poisson (« Ichthys »)
• L’épithète personnelle d’Horus était « Iusa », « le fils éternel » de « Ptah », le « Père ».
• Le père d'Horus s’appelait le « KRST », longtemps avant que les chrétiens n’en reprennent l’histoire.
De nombreux objets anciens dépeignent Horus bébé tenu par sa mère, la vierge Isis – l’originale de la « Madone et l’Enfant ». Ces motifs peuvent être trouvés dans d’anciens textes égyptiens, ainsi que d’autres artefacts, comme détaillés dans mon livre Le Christ en Egypte : La connexion Horus-Jésus.
Krishna né d'une ‘vierge’ ?
Indian divine mother Devaki nursing KrishnaAu cours des siècles, il fut débattu pour savoir si oui ou non la mère de Krishna, Devaki, dite « chaste », pourrait aussi être appelée « vierge », principalement parce que, traditionnellement, elle avait donné naissance à sept enfants avant Krishna. Cependant, les preuves indiquent que Devaki – et Krishna – en tant que personnes mythiques, n’ont pas de parties génitales humaines. Ainsi, de nombreuses déesses sont dites à la fois mère et vierge, quel que soit le nombre d’enfants qu’elles aient mis au monde. Par exemple, selon le mythe, Devaki est une incarnation de la déesse de l’aube Aditi, qui fut la « vierge éternelle » ou « vierge céleste », malgré le fait qu’elle ait aussi a donné naissance à huit enfants.
"La mère de Krishna avait donné naissance plus tôt, comme adolescente nouvellement mariée et probablement virginale, après avoir mangé une demi-mangue."
En outre, la mère de Krishna avait donné naissance plus tôt, comme adolescente nouvellement mariée et probablement virginale, après avoir mangé une demi-mangue. Evidemment, la naissance virginale vis-à-vis de la mère de Krishna représente une véritable tradition indienne, même si elle n’est pas strictement applicable à sa nativité spécifique. En d’autres termes, à un moment donné avant la naissance de Krishna, Devaki était une mère-vierge, et l’hypothèse qu’elle demeurât ainsi tout au long du mythe est donc compréhensible.
Pour plus d'informations:
Les origines du christianisme et la recherche du Jésus-Christ historique
Traduit de l'anglais par les amis d'Acharya S en France, Suisse et Canada, et édité par Acharya S/D.M. Murdock
J'ai un autre lien en français : http://www.archive.choix-realite.org/?5431-acharya-s-zeitgeist-origines-du-christianism...
C'est un lien plus imposant que ce dernier mais qui remonte à 1998, donc antérieur à cette révision. Je n'en ferai pas une suite à ce billet. Ceux qui sont intéressés à poursuivre l'investigation, pourront toujours cliquer sur le lien.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
Petite précision
P(3)58 : Avant que Kiwan évoque les noms de Tom Harpur et de S. Acharya, je n’en avais jamais entendu parler. Dans la première partie, j’ai mis de l’information sur Harpur. Dans cette deuxième partie, je mets de l’information sur S. Acharya, dénommée D.M. Murdoch, à titre indicatif. Ce faisant, je me suis rendu compte qu’il y avait un lien entre le fameux Zeitgeist et Acharya. Ces infos sont là pour en savoir plus sur ces gens qui se copient les uns les autres. Je vais mettre des liens et des extraits. Il est question aussi de Gerald Massey sur son site, un nom souvent évoqué par Serge Cazelais, sur lequel s'appuieraient ces nombreuses sources qu'il dénonce. Quant à moi, je suis en mode exploratoire face à ces sources. Et il est sain d'investiguer sur elles, sur leur argumentation.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
ANALOGIES ENTRE HORUS (ÉGYPTE ) ET AUTRES HÉROS 3
ANALOGIES ENTRE HORUS (ÉGYPTE) ET D’AUTRES HÉROS 3
N.B. Je reprends le terme analogie utilisé dans le vidéorandia.
En noir : résumé, explication, contexte...
En vert : extrait Serge Cazelais, JF, Kiwan
En or : extrait Anton Parks et autres
En bleu : commentaire personnel P(3)58
Pour en savoir plus sur Serge Cazelais : Complément Surprenant #1251 :
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67146
Son site : http://sergecazelais.com/
Club CRÉÉE : Septembre 2006 Salle 609 :
http://www.esoterisme-exp.com/ClubCREEE_pub/Activites2006/609/609-tradition.php#BAT
Source : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67145
Sur Viméo : https://vimeo.com/56182775#at=1933
N.B. Les propos tenus dans ce vidéorandia ont été tenus voilà trois ans. Quoiqu’il en soit, le forum permet la possibilité de rétroagir pour rectifier, préciser, ajouter, bonifier, nuancer.
Ici, dans cette sixième partie, il est simplement question d’un débat d’opinion sur les analogies entre Horus (Égypte) et les autres héros dont Jésus, un des plus récents, sinon le plus récent d’entre eux.
Kiwan a sa propre opinion basée sur son cheminement, son savoir, ses contacts particuliers.
Serge Cazelais a sa propre opinion basée sur son cheminement, ses études, ses recherches, son travail.
Comme vous tous, j’ai moi aussi ma propre opinion basée sur un cheminement, mes propres réflexions, mes observations, mes questionnements ; basée aussi sur mon jugement et mon discernement à évaluer la cohérence et la vraisemblance de ce que l’on nous impose ou propose, dépendant. Cette opinion est en constante mouvance selon les sources qui se présentent à moi.
En bout de ligne, tout le monde est gagnant parce que chacun a ses propres croyances, c’est-à-dire sa propre vérité, dans sa quête de la Vérité et / ou dans le jeu de la réalité 3D. Et vous mériterez le prix qui sied à votre vérité.
Bien que cette vérité (croyances) peut nous avoir été imposée dès notre plus jeune âge, on a la liberté de se la réapproprier ou pas, une fois adulte. Parfois, pour plusieurs, la Vie se charge de nous y pousser.
Ce que l’on expérimente dans cette vie est lié à cette vérité qui est nôtre et qui nous transporte, qui nous amène à être à la bonne place, au bon moment, à faire la bonne chose dans ce que l’on est intrinsèquement, nos choix étant influencés par celle-ci. Et ce que l’on vivra, si jamais les tribulations pressenties par plusieurs se concrétisent, est aussi lié à cette vérité (nos croyances) que l’on entretient consciemment ou inconsciemment.
Je présente les points de vue exprimés dans ce vidéorandia par Serge Cazelais et Kiwan, parsemés de mes commentaires, d’extraits des deux premiers tomes d’Anton Parks. Par la suite, j’exposerai davantage les sources qui alimentent ma réflexion, qui soutiennent mes croyances. Et ça va certainement s’échelonner dans le temps.
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Petit Robert (1991) Dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française
Analogie : Ressemblance établie par l’imagination (souvent consacrée dans le langage par les diverses acceptions d’un même mot) entre deux ou plusieurs objets de pensée essentiellement différents. V. Association, correspondance, lien, parenté, rapport, relation.
Ici, il est question de possibles liens, ressemblances, correspondances entre des héros essentiellement différents, du moins, en apparence.
1. À 0:33:00 du vidéorandia :
Kiwan : Juste une parenthèse Serge, c’est que la dernière fois que l’on a fait affaire ensemble, on était dans la mouvance de Da Vinci Code, si tu te souviens. [Da Vinci Code : 2003]
Serge Cazelais : C’est ça. En fait, la dernière fois que j’ai donné une conférence, je dirais chez vous, Richard, dans l’une de tes activités, c’est au Cégep de Maisonneuve, et le deuxième invité nous parlait justement de cette question-là des analogies entre Jésus et de nombreux héros, que ce soit Krishna, Horus, Dionysos et plusieurs autres. Et l’autre conférencier nous parlait de manipulations. En fait, le cœur de son message c’était ça, de dire qu’on était manipulé depuis 2000 ans, que l’histoire de Jésus n’était que le plagiat de l’histoire d’Horus et de Krishna et d’autres héros. Puis on avait débattu un peu à la fin. [Conférence Septembre 2006, Salle #609 du Club CRÉÉE]
Kiwan : Et il y avait à la même époque, un livre écrit par un Torontois, je pense, un type de l’Ontario. [...] Il y avait aussi Acharya...
À 0:34:11 du vidéorandia :
Kiwan : Il y avait beaucoup de mouvance à ce moment-là qui remettait en question l’authenticité de Jésus, qui serait plutôt un mythe fondateur basé sur les autres mythologies, et que tout le monde tire la couverte chacun de son côté pour arriver en disant que « c’est nous autres [qui a] le vrai Jésus ou le vrai pouvoir, ou le vrai… Ben là… Alors, qu’est-ce que tu penses de ça maintenant qu’on parle de « Anton Parks » ; un autre de plus !
Serge Cazelais : Un autre de plus qui dit la même chose.
P(3)58 : Mais qu’est-ce que Parks dit au juste ? J’ai pris le temps de revisiter les deux livres que Serge Cazelais et Kiwan ont, ou ont eu en leur possession, soit les tome I et II des Chroniques du Ǧírkù. Et j’aimerais bien qu’on m’explique pourquoi on le qualifie « d’un autre de plus qui dit la même chose ». Que dit-il qui reprend le discours des autres, les Harper, Acharya ?
D’une façon générale, Parks dans son récit du tome I, s’en tient principalement à ce qui amène des extraterrestres à venir s’établir dans notre système solaire, particulièrement sur la Terre. Et la très longue introduction n’effleure pas les analogies entre héros de l’Antiquité.
Dans son deuxième tome, il relate, toujours dans sa partie récit, la chronologie des événements de l’arrivée de ces extraterrestres, qui remonterait à quelques centaines de milliers d’années, jusqu’au Déluge qu’il situe à environ 10 000 ans avant notre ère. Cette histoire nous donne un aperçu du comment ces extraterrestres seraient devenus nos « dieux » par création et manipulation génétique.
En parallèle au récit, il cherche à authentifier ce qu’il a reçu sous forme de jets de lumière. (N’est-ce pas ça, la descente du Saint Esprit, le phénomène que l’on dénomme la « Pentecôte » ?) Donc, les deux tomes contiennent de nombreuses références, de nombreuses notes de bas de page, de nombreuses figures avec explications, qui viennent soutenir ce récit sur nos origines et lui donner une cohérence, une vraisemblance, à mes yeux, en tout cas.
Ce faisant, son intérêt se porte principalement sur l’Égypte prédynastique avec les Osiris, Isis et Horus, ainsi que sur Sumer, la Mésopotamie. C’est dans sa section Archives et Décodages du tome II qu’il expose le fait que plusieurs mythologies, plusieurs cultures, semblent s’abreuver à la source égyptienne.
À savoir si Jésus est historique ou pas, Parks ne se prononce pas là-dessus. Ni sur la théorie qui voudrait que Jésus soit une copie d’Horus. Il se contente de présenter l’information qu'ils semblent partager. Comme pour les faits, pour l’information sur le 9/11, à chacun d’en tirer ses propres conclusions.
Les miennes n’engagent en rien l’auteur. Étant déjà engagé sur une voie du questionnement quant à la validité, l’authenticité, la véracité, la vraisemblance, la cohérence du christianisme, Parks n’a fait que me conforter dans cette avenue que j’ai empruntée dans les années 70.
TOME I : LE SECRET DES ÉTOILES SOMBRES
P(3)58 : Dans ce premier tome, il y a très peu en lien avec les propos tenus dans le vidéorandia sinon l’information concernant les Kirišti. Pourtant, à mes yeux, elle pose les premiers jalons pour une meilleure compréhension de nos origines à aujourd’hui. Voir l’extrait du lien à la fin pour comprendre d’où vient ce terme de Kirišti.
Section Récit
p.167 Note de bas de page No 37 Extrait : Quant au Christ, aussi très présent chez les gnostiques, il est bien entendu une sorte de sauveur, mais surtout un révélateur, il est celui qui révéla au monde le véritable Dieu mais aussi l’imposture du Démiurge et de ses Archontes qui dirigent le monde.
p.380 Récit : Il devint manifeste que les Gir de la Duat enfantaient par voie naturelle des êtres « élus » dont la réputation dépassait les frontières de l’Ubšu’ukkinna.
Chaque Gir est une Nindiğir susceptible d’engendrer un Kirišti, mais très peu d’entre elles eurent la possibilité de produire un tel événement par le passé.
p.380 Note de bas de page No 116 Kirišti : Terme formé des particules Gina’abul-sumériennes suivantes : KIR (poisson, fils), IŠ (étoile(s), montagne, brûlant, ardent), TI (vie). Il se traduit littéralement par « fils ardent de la vie » ou encore « poisson des étoiles ou de la vie ». Ce mot n’est pas sans rappeler le terme Christ tiré officiellement du grec Kristos « oint », mais aussi du terme Ichthys « poisson ». La décomposition de Kristos en KIR-IŠ-TUŠ apporte la définition suivante : « le fils qui réside dans les étoiles ». N’en déplaise à la religion judéo-chrétienne, le terme Christ est tiré de la langue des « dieux » ! Il n’est d’ailleurs pas étonnant que le symbole du christ soit un poisson et que l’emblème initial du christianisme fut également un poisson avant de se transformer en une croix. Le fait que la particule KIR, dont le signe cunéiforme archaïque en forme de poisson évoque à la fois un poisson et un fils, ne laisse aucun doute possible sur le bien-fondé de cette évidence ancestrale. Je précise tout de même que nous ne parlons pas ici de Jésus, dont l’avènement marqua, selon les textes bibliques, le début de l’ère du poisson, mais du terme KIR-IŠ-TI (Christ) bien plus ancien. De nombreuses traditions du monde évoquent des initiateurs ou des héros civilisateurs amphibiens, situés entre le poisson et le reptile. On trouve les Nommo chez les Dogons du Mali, Orejona sur le lac Titicaca en Amérique du Sud, les Abgal ou Oannès (Uanna) en Mésopotamie… Nous reparlerons des Kirišti dans les deux prochains ouvrages et vous verrez que ce terme est lié de près à l’Égypte antique.
p.381 Récit : Les Kirišti sont des fils des Étoiles, des émissaires Kadištu qui travaillent pour la Source. Ils ne dissocient jamais Gissu (l’Ombre) de Zalag (la lumière) et œuvrent sur des territoires où ces deux énergies sont désunies. Leur tâche n’est pas facile, il arrive souvent qu’ils soient confrontés directement à des êtres qui séparent Gissu de Zalag et qui ne vénèrent que l’obscurité.
p.382 Note de bas de page No 117 Extrait : La racine de Seker est à associer au verbe skr « offrir », « châtier » qui se prononcent pareillement. Le rapprochement entre Osiris/Seker/Sokaris est d’autant plus remarquable qu’Osiris fut lui-même châtié, offert… et ressuscité en Horus, « l’enfant de la lumière », un 25 décembre comme le Christ.
TOME II : ÁDAM GENISIŠ
P(3)58 : Ici aussi, il y a peu à dire dans le récit. Les informations sur les Kirišti y ont été répétées. Je ne les ai donc pas relevées. C’est dans sa section Archives et Décodages qu’il y a beaucoup matière à réflexion.
Section Récit
p.149 Récit : Nammu se méprend ! On ne devient pas Kirišti, mais on l’est dès sa naissance. Les Kirišti doivent habituellement être d’authentiques Abgal. Tu ne possèdes que ¼ de sang Abgal de par Nammu. Ta mère est Abgal à 2/4 – Tiamata, sa génétrice – n’étant absolument pas de Gagsisá (Sirius). C’est ta sœur Sé’et qui possède le plus de sang Abgal parmi vous, un taux qui avoisine les ¾. De plus, un Kirišti doit être procréé naturellement et exclusivement par une Gir.
p.277 Récit : Sé’et est une Gir véritable, une sainte accoucheuse de Kirišti (fils ardents de la vie)…
p.310 Récit : Je suis une Gir. Le fils de l’eau sortira de mon sein comme un Kirišti ("fils ardent de la vie"), il sera finalement ce que Nut (Nammu) voulait faire de lui.
p.312 Récit : Après l’éclipse de Septj (Sirius) – l’étoile des Kirišti – nous avons massé l’ensemble du corps d’Ašár avec l’huile royale afin de l’assouplir.
Section Archives et Décodages
p.318 La 3e partie de ce dossier établira qu’Enki et Osiris ne formaient qu’un seul et même personnage. Cette démonstration nous concèdera la possibilité d’authentifier les filiations amphibiennes d’Enki-Osiris (Sa’am) ainsi que sa consanguinité avec les planificateurs Abgal provenant de Sirius. Ces mêmes planificateurs étant considérés comme des KIR-IŠ-TI, terme en rapport avec le mot "Christ". Tous ces faits réunis, nous rapprocherons alors les Kirišti du Christ et de l’Étoile du Matin qui symbolise distinctement ce dernier dans des passages hermétiques de la Bible. Ceci nous permettra de commenter le sens des différentes croix que nous trouvons à travers le monde. Pour finir cette partie, nous explorerons la tradition des Dogons qui retrace la mort du Nommo, le "Christ" du Mali. En conséquence de ce sacrifice, l’univers entier fut bouleversé ainsi que le positionnement des étoiles. Cette étude nous donnera l’occasion d’assimiler pour la première fois le Nommo céleste sacrifié à un astre dont la destruction provoqua la naissance de la planète Vénus.
p.319 Horus le vengeur, le fils posthume d’Osiris, représente l’Étoile du Matin. Nous relèverons que les divers pharaons (images d’Horus) symbolisent tous Vénus.
p.330 Même si ces hymnes sont retirés de leur contexte, il apparaît clairement qu’Agni était un astre du ciel avant de symboliser le feu et le sacrifice. D’ailleurs les Vedas ne nous cachent pas sa double personnalité, à la fois terrestre et céleste. Certains éléments nous laissent penser qu’il pourrait s’agir d’une forme védique de Lucifer (Vénus).
p.333 Les analogies ne s’arrêtent pas là. Plusieurs passages du Rig-Veda associent clairement Agni à l’Horus égyptien. [Extraits du Rig-Veda] Nous savons qu’Agni a pour père "le maître du sacrifice" alors qu’Osiris est lui-même le grand sacrifié. Nous apprenons ici qu’Agni possède deux mères, tout comme Horus (Heru).
p.336 Le rituel de résurrection ne peut s’effectuer sans l’appui précieux de l’Étoile du Matin (Vénus). Le chapitre 13 du Livre des Morts égyptien rapproche nettement l’Étoile du Matin du phénix…
pp.336-337 En fait, les divers textes funéraires égyptiens dénomment essentiellement Vénus de deux façons : "Neter Duau" en tant qu’Étoile du Matin et "Benu" (le phénix) en tant qu’Étoile du Soir. Si on se réfère à l’extrait du chapitre 13, ceci sous-entend donc que Vénus en qualité d’Étoile du Matin est symbolisée par un faucon, et en tant qu’Étoile du Soir par un phénix. Tous les deux représentent le roi défunt, image d’Heru (Horus).
p.338 Les Purânas indiquent que le père terrestre de Vénus œuvrait pour l’humanité et qu’il était en relation avec les prêtres et les agriculteurs. N’était-ce pas les fonctions principales d’Enki en Mésopotamie et d’Osiris en Égypte ? Le Mahâbhârata indique que Jamadagni, le père terrestre de Vénus, fut assassiné par un roi et ses fils appartenant à une caste guerrière. Nous savons qu’Osiris (Enki) fut assassiné par Seth (Enlil) et ses partenaires orgueilleux (les guerriers Anunna).
p.345 Fig.4 Dans l’inscription archaïque sumérienne (à gauche), [Fig.4] on retrouve le signe de la croix, symbole des KIR-IŠ-TI, litt. "fils ardent de la vie" ou "poisson des étoiles et de la vie" qui sera repris par l’église chrétienne comme symbole de Jésus le Christ (voir plus loin la partie intitulée "Sous le signe de la croix"). Le signe de la croix est bien antérieur au christianisme et se retrouve sur bon nombre de monuments antiques, particulièrement sur ceux d’Amérique centrale, où il est identifié comme étant "la croix de Quetzalcoatl". Ce même Quetzalcoatl étant assimilé à l’Étoile du Matin et au Christ de la culture précolombienne. Nous verrons plus loin qu’il s’agit d’un double d’Heru (Horus).
p.349 Fig.9 Nous n’avons aucun mal à assimiler le poisson Abdju à un Horus symbolique ou plutôt un Osiris réincarné, alors que la contrepartie sumérienne d’Osiris est Enki qui possède lui-même le poisson comme symbole. Ce poisson qui précède la barque solaire évoque évidemment la planète Vénus qui devance aujourd’hui la course du soleil (Râ). Nous savons que le poisson figure également Sirius, l’autre astre sacré des Égyptiens, qui est le lieu où vivent les planificateurs amphibiens.
p.351 En Égypte, le poisson était consommé par le peuple, mais strictement interdit à la table royale du Pharaon ! Les pharaons connaissaient sans doute la véritable symbolique du poisson. C’est qu’ils se souvenaient avec certitude des origines "amphibiennes" de leur "dieu" Osiris, "massacré" par son ennemi Šeteš (Seth)… De manière étrange, Jésus le Christ fut sacrifié un vendredi, le jour où les chrétiens mangent du poisson. Décidément, l’église chrétienne se plaît à détourner les symboles…
pp.352-353 L’idée ancestrale d’un être amphibien – ou plus simplement en rapport avec des poissons - "détruit", "assassiné", pour ne pas dire "sacrifié", ressort ainsi nettement de nos découvertes. Cette notion nous évoque clairement le Christ Jésus, dont le symbole était aussi le poisson. L’Église primitive utilisa originellement cet emblème avant d’adopter définitivement la croix…
p.355 Nous trouvons ici plusieurs aspects extrêmement précis, qui sont en affinité évidente avec Osiris et Horus. Le terme grec "Christos" qui se dit "Messias" en latin, possède comme sens "oint, sacré par le seigneur".
p.357 En suivant notre pensée, nous n’aurons aucun mal à relever que le nom hébreu "Cohen", qui est extrêmement répandu, veut dire "prêtre". Si nous décomposons ce nom en sumérien, nous obtenons KÙ ("pur, saint, purifier") ; HÉ (abondant, abondance) ; EN ("seigneur, grand prêtre, ancêtre"), c’est-à-dire KÙ-EN : "saint grand prêtre" ou KÙ-HÉ-EN "celui qui purifie avec abondance pour le seigneur"… Comme pour Enki-Éa, Osiris-Horus, Jésus-Christ, nous retrouvons une fois encore l’idée d’une purification rattachée au seigneur.
p.359 La célébration égyptienne de la résurrection du roi défunt à travers son fils était opérée par des déesses-prêtresses qui portaient la croix ansée. Les deux KIR-IŠ-TI "fils ardent de la vie" Osiris et Jésus connurent la résurrection à laquelle participèrent activement des saintes, respectivement Isis et Nephtys ainsi que Marie et Marie-Madeleine. Ces êtres féminins représentent l’Esprit Saint, le Saint-Esprit des judéo-chrétiens.
p.360 Chez les chrétiens, le Christ est celui dont on attend le salut, il est le Messias (l’Oint), le messie transformé en "sauveur", en libérateur. Ces qualificatifs se rapprochent d’Horus en tant que justicier qui aura pour mission de venger son père, de libérer le peuple opprimé d’Osiris-Enki aux mains de Seth-Enlil et de laver le déshonneur de sa famille maternelle !
p.361 Grâce aux KIR-IŠ-TI comme Osiris et Jésus, la mort n’est plus considérée comme une destruction mais comme un passage. Ce passage effectué par l’âme était gravé dans l’argile par les anciens Sumériens sous la forme suivante…
p.370 Chez les Gnostiques, Jésus transmet, à l’instar de ses prédécesseurs KIR-IŠ-TI, un message en relation avec le culte de Sophia (la Sagesse), ce qui n’a sans doute guère réjoui la religion monarchique patriarcale qui administre ce monde. Les Gnostiques le voient comme un révélateur, comme un libérateur. Difficile de ne pas le rapprocher de son devancier Enki, le serpent gardien du jardin des "dieux" qui révéla la supercherie à l’esclave humain…
p.399 Chez les Égyptiens Neberu (Neb-Heru = le seigneur Horus), fils du maître de la royauté (Mulge = Osiris/Seker), succède à son père, il prend la royauté et porte le flambeau en se transformant en Vénus, le porteur de lumière, à savoir Lucifer chez les judéo-chrétiens. […] Les textes funéraires égyptiens sont explicites quant à l’assimilation d’Horus ou de ses suivants (les rois d’Égypte) à la planète Vénus.
p.410 Comme le souligne l’Évangile selon Philippe (Nag-Hammadi NH2, 15) : "Jésus est un nom caché, Christ est un nom révélé." Chaque Kirišti possédait manifestement un nom occulte. Avec un peu de perspicacité, nous n’aurons aucun mal à identifier le nom occulte d’Horus comme étant NEB-HERU "le Seigneur Horus", nom désignant le "Christ" égyptien qui personnifie à la fois le défunt roi et l’Étoile du Matin, c’est-à-dire le nouveau soleil…
p.436 La majorité des Gnostiques et occultistes considèrent Lucifer comme le Libérateur, celui qui a libéré l’humanité des chaînes de l’esclavage et de l’ignorance créées par le faux dieu qui gouverne ce monde malfaisant. Nous verrons dans le troisième volume des "Chroniques du Ǧírkù" que ce rôle incombera à Horus (Quetzalcoatl), le vengeur de son père, dont le but sera de récupérer le trône de son géniteur et de "sauver" l’humanité de l’oppression patriarcale des faux "dieux".
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Lien : http://www.antonparks.com/main.php?page=inter_sciences_sacrees
Extrait d’une entrevue :
Magazine : Depuis le début, notre revue a toujours soutenu l’idée que Enki, Lucifer et Jésus-Christ étaient liés par un lien d’essence. Il nous a paru évident qu’une même "énergie de lumière" avait animé tous ces bienfaiteurs de l’humanité, qu’ils étaient venus combattre le même ennemi, à savoir Enlil, Yahvé, Satan et que leur message avait été honteusement trahi. Ces alliés de la Source avaient prôné le culte de la Déesse-Mère, lutté contre le patriarcat imposé par Yahvé et tenté de donner à l’humanité les moyens de se libérer du joug de leur dictateur en se reliant directement au grand Dieu ineffable. Yahvé n’avait jamais été le père du Christ. Lucifer n’était en aucun cas Satan. Et jamais le Christ n’avait livré bataille contre Lucifer mais bien contre Yahvé. Qu’en pensez-vous ? Que pouvez-vous nous apprendre sur ceux ce que vous nommez les Kir-iš-ti, ces "fils des étoiles" ?
Anton Parks : Je ne pense que du bien de ce que vous m’exposez, car nous avons manifestement la même vision des événements. Effectivement, le dieu biblique Yahvé possédait comme sbire le fumeux Satan que l’on identifie facilement au Šàtam sumérien, c’est-à-dire à "l’administrateur territorial" de l’Edin (la plaine mésopotamienne) où les Ádam ("animaux") humains travaillaient pour nourrir les "dieux" du panthéon sumérien. Comme vous le voyez, le langage sumérien permet de déchiffrer de nombreux points obscurs volontairement détournés par les rédacteurs de la Bible…
Le véritable Eden biblique n’était pas le "Club-Med" contrairement aux déclarations propagées par les judéo-chrétiens qui nous le font croire encore aujourd’hui en vue de glorifier la gloire du tyran Yahvé (An) et d’attribuer la chute de l’humanité à la femme !! Quant à Lucifer, ce terme veut dire "porteur de lumière", il ne s’agit en aucun cas d’un diablotin au service du mal, mais plutôt d’un libérateur de l’humanité enchaînée par les soins de ce même Yahvé (An) et de son bras droit le grand Šàtam (Enlíl). Lucifer n’est autre qu’Heru (Horus), fils de Sa’am-Enki-Osiris (le serpent biblique) qui, comme vous le verrez dans le 3ème tome des Chroniques, Le Réveil du Phénix, devra utiliser la ruse et les armes pour faire face aux esclavagistes descendus du ciel et aux assassins de son père.
D’après ce que j’ai "reçu", le concept de Kirišti provient de Sirius. Ce terme se décompose en KIR-IŠ-TI ("fils ardent de la vie" ou "poisson des étoiles et de la vie") en sumérien. La particule sumérienne KIR voulant dire à la fois fils et poisson, nous ne serons pas étonnés de relever que Jésus, dit le Christ, possédait comme emblème le poisson et que ce même symbole fut utilisé par l’église chrétienne avant que ne soit définitivement adopté le signe de la croix. D’après ce que je sais, les Kirišti doivent posséder du sang Abgal, c’est-à-dire du sang d’amphibien originaire de Sirius. Ils ont un rapport certain avec l’élément liquide, comme l’indique d’ailleurs le terme latin Christus ("oint, qui a reçu l’onction")… La Terre a porté plusieurs Kirišti. Ils sont généralement au service de l’ancienne religion qui est celle de la Déesse-Mère. Tous ont eu pour mission de réveiller l’humanité et la plupart d’entre eux ont eu des fins tragiques parce que leurs messages remettaient en cause le système patriarcal et dictatorial du dieu unique. Tout Kirišti doit avoir été engendré par une GIR "Vache des temps intermédiaires" en sumérien. La décomposition de ce terme apporte plusieurs possibilités grâce au jeu de l'homophonie. GI6-ÍR "La sombre aux prières (ou aux lamentations)" ; GI7-IR10 "la noble qui porte (ou produit)" ou encore GI-IR7 "la colombe qui restaure"… Rappelons au lecteur que la colombe est le symbole que le christianisme utilise encore aujourd’hui pour désigner le Saint-esprit qui n’est autre qu’une représentation détournée de la Déesse-Mère...
À suivre…
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
ANALOGIES ENTRE HORUS (ÉGYPTE ) ET AUTRES HÉROS 3
voilà une excellente réflexion.
je suis intimement convaincu que tout est perfection (à méditer). Je n'en suis plus au questionnement, je préfère largement un essai philosophique plutôt que d'être arrêter à chercher des réponses qui ne cessent de se diversifier au vu des multi dimensionnalités bien à toi naudius.
ANALOGIES ENTRE HORUS (ÉGYPTE ) ET AUTRES HÉROS 3
TOME II : ÁDAM GENISIŠ
Section Récit
Section Archives et Décodages
p.318 La 3e partie de ce dossier établira qu’Enki et Osiris ne formaient qu’un seul et même personnage. Cette démonstration nous concèdera la possibilité d’authentifier les filiations amphibiennes d’Enki-Osiris (Sa’am) ainsi que sa consanguinité avec les planificateurs Abgal provenant de Sirius. Ces mêmes planificateurs étant considérés comme des KIR-IŠ-TI, terme en rapport avec le mot "Christ". Tous ces faits réunis, nous rapprocherons alors les Kirišti du Christ et de l’Étoile du Matin qui symbolise distinctement ce dernier dans des passages hermétiques de la Bible. Ceci nous permettra de commenter le sens des différentes croix que nous trouvons à travers le monde. Pour finir cette partie, nous explorerons la tradition des Dogons qui retrace la mort du Nommo, le "Christ" du Mali. En conséquence de ce sacrifice, l’univers entier fut bouleversé ainsi que le positionnement des étoiles. Cette étude nous donnera l’occasion d’assimiler pour la première fois le Nommo céleste sacrifié à un astre dont la destruction provoqua la naissance de la planète Vénus.
p.319 Horus le vengeur, le fils posthume d’Osiris, représente l’Étoile du Matin. Nous relèverons que les divers pharaons (images d’Horus) symbolisent tous Vénus.
p.330 Même si ces hymnes sont retirés de leur contexte, il apparaît clairement qu’Agni était un astre du ciel avant de symboliser le feu et le sacrifice. D’ailleurs les Vedas ne nous cachent pas sa double personnalité, à la fois terrestre et céleste. Certains éléments nous laissent penser qu’il pourrait s’agir d’une forme védique de Lucifer (Vénus).
p.333 Les analogies ne s’arrêtent pas là. Plusieurs passages du Rig-Veda associent clairement Agni à l’Horus égyptien. [Extraits du Rig-Veda] Nous savons qu’Agni a pour père "le maître du sacrifice" alors qu’Osiris est lui-même le grand sacrifié. Nous apprenons ici qu’Agni possède deux mères, tout comme Horus (Heru).
p.336 Le rituel de résurrection ne peut s’effectuer sans l’appui précieux de l’Étoile du Matin (Vénus). Le chapitre 13 du Livre des Morts égyptien rapproche nettement l’Étoile du Matin du phénix...
pp.336-337 En fait, les divers textes funéraires égyptiens dénomment essentiellement Vénus de deux façons : "Neter Duau" en tant qu’Étoile du Matin et "Benu" (le phénix) en tant qu’Étoile du Soir. Si on se réfère à l’extrait du chapitre 13, ceci sous-entend donc que Vénus en qualité d’Étoile du Matin est symbolisée par un faucon, et en tant qu’Étoile du Soir par un phénix. Tous les deux représentent le roi défunt, image d’Heru (Horus).
p.338 Les Purânas indiquent que le père terrestre de Vénus œuvrait pour l’humanité et qu’il était en relation avec les prêtres et les agriculteurs. N’était-ce pas les fonctions principales d’Enki en Mésopotamie et d’Osiris en Égypte ? Le Mahâbhârata indique que Jamadagni, le père terrestre de Vénus, fut assassiné par un roi et ses fils appartenant à une caste guerrière. Nous savons qu’Osiris (Enki) fut assassiné par Seth (Enlil) et ses partenaires orgueilleux (les guerriers Anunna).
p.345 Fig.4 Dans l’inscription archaïque sumérienne (à gauche), [Fig.4] on retrouve le signe de la croix, symbole des KIR-IŠ-TI, litt. "fils ardent de la vie" ou "poisson des étoiles et de la vie" qui sera repris par l’église chrétienne comme symbole de Jésus le Christ (voir plus loin la partie intitulée "Sous le signe de la croix"). Le signe de la croix est bien antérieur au christianisme et se retrouve sur bon nombre de monuments antiques, particulièrement sur ceux d’Amérique centrale, où il est identifié comme étant "la croix de Quetzalcoatl". Ce même Quetzalcoatl étant assimilé à l’Étoile du Matin et au Christ de la culture précolombienne. Nous verrons plus loin qu’il s’agit d’un double d’Heru (Horus).
p.349 Fig.9 Nous n’avons aucun mal à assimiler le poisson Abdju à un Horus symbolique ou plutôt un Osiris réincarné, alors que la contrepartie sumérienne d’Osiris est Enki qui possède lui-même le poisson comme symbole. Ce poisson qui précède la barque solaire évoque évidemment la planète Vénus qui devance aujourd’hui la course du soleil (Râ). Nous savons que le poisson figure également Sirius, l’autre astre sacré des Égyptiens, qui est le lieu où vivent les planificateurs amphibiens.
p.399 Chez les Égyptiens Neberu (Neb-Heru = le seigneur Horus), fils du maître de la royauté (Mulge = Osiris/Seker), succède à son père, il prend la royauté et porte le flambeau en se transformant en Vénus, le porteur de lumière, à savoir Lucifer chez les judéo-chrétiens. […] Les textes funéraires égyptiens sont explicites quant à l’assimilation d’Horus ou de ses suivants (les rois d’Égypte) à la planète Vénus.
p.410 Comme le souligne l’Évangile selon Philippe (Nag-Hammadi NH2, 15) : "Jésus est un nom caché, Christ est un nom révélé." Chaque Kirišti possédait manifestement un nom occulte. Avec un peu de perspicacité, nous n’aurons aucun mal à identifier le nom occulte d’Horus comme étant NEB-HERU "le Seigneur Horus", nom désignant le "Christ" égyptien qui personnifie à la fois le défunt roi et l’Étoile du Matin, c’est-à-dire le nouveau soleil…
p.436 La majorité des Gnostiques et occultistes considèrent Lucifer comme le Libérateur, celui qui a libéré l’humanité des chaînes de l’esclavage et de l’ignorance créées par le faux dieu qui gouverne ce monde malfaisant. Nous verrons dans le troisième volume des "Chroniques du Ǧírkù" que ce rôle incombera à Horus (Quetzalcoatl), le vengeur de son père, dont le but sera de récupérer le trône de son géniteur et de "sauver" l’humanité de l’oppression patriarcale des faux "dieux".
À 1:18:38 du vidéorandia : Vénus
Kiwan : On a parlé du Temple de Jérusalem qui a été bâti ou fait bâtir par Salomon. Mais ce n’est pas lui qui l’a fait, le Temple de Jérusalem. Ça l’a été Hiram, Hiram Abiff C’était des gens qui venaient de Tyr, qui arrivaient avec des techniques très proches d’une autre religion que la religion pour laquelle Salomon voulait avoir son Temple de Jérusalem, en hommage à Yahvé, Yod Hé Vav Hé le Tétragramme sacré. Mais en réalité, le fameux Temple de Salomon a été bâti sur les principes des temples de Baal, en hommage à Vénus, l’Étoile du Matin et l’Étoile du Soir. En passant, le chapelet en famille, ça commençait toujours à CKAC le soir en disant la chanson : « Étoile du Matin, Reine du Saint-Rosaire… » Bien oui. L’Étoile du Matin, c’est Vénus ! Et c’était directement reliée à la religion de Baal ! C’était loin d’être le Yahvisme… Jéhovah. Bon. En tout cas. C’est tout un autre monde. Et on est dans une grosse pièce de théâtre. J’allais presque dire comme Balzac, la comédie humaine. C’est comique. C’est beaucoup mieux d’en rire.
Non, au contraire. C'est très sérieux. Il n'y a pas d'erreur ou de hasard. Et ça vient drôlement soutenir le propos d'Anton Parks. Qui copie qui ?
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
ANALOGIES ENTRE HORUS (ÉGYPTE ) ET AUTRES HÉROS 4
ANALOGIES ENTRE HORUS (ÉGYPTE) ET D’AUTRES HÉROS 4
N.B. Je reprends le terme analogie utilisé dans le vidéorandia.
En noir : résumé, explication, contexte...
En vert : extrait Serge Cazelais, JF, Kiwan
En or : extrait Anton Parks et autres
En bleu : commentaire personnel P(3)58
Pour en savoir plus sur Serge Cazelais : Complément Surprenant #1251 :
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67146
Son site : http://sergecazelais.com/
Club CRÉÉE : Septembre 2006 Salle 609 :
http://www.esoterisme-exp.com/ClubCREEE_pub/Activites2006/609/609-tradition.php#BAT
Source : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67145
Sur Viméo : https://vimeo.com/56182775#at=1933
N.B. Les propos tenus dans ce vidéorandia ont été tenus voilà trois ans. Quoiqu’il en soit, le forum permet la possibilité de rétroagir pour rectifier, préciser, ajouter, bonifier, nuancer.
Ici, dans cette sixième partie, il est simplement question d’un débat d’opinion sur les analogies entre Horus (Égypte) et les autres héros dont Jésus, un des plus récents, sinon le plus récent d’entre eux.
Kiwan a sa propre opinion basée sur son cheminement, son savoir, ses contacts particuliers.
Serge Cazelais a sa propre opinion basée sur son cheminement, ses études, ses recherches, son travail.
Comme vous tous, j’ai moi aussi ma propre opinion basée sur un cheminement, mes propres réflexions, mes observations, mes questionnements ; basée aussi sur mon jugement et mon discernement à évaluer la cohérence et la vraisemblance de ce que l’on nous impose ou propose, dépendant. Cette opinion est en constante mouvance selon les sources qui se présentent à moi.
En bout de ligne, tout le monde est gagnant parce que chacun a ses propres croyances, c’est-à-dire sa propre vérité, dans sa quête de la Vérité et / ou dans le jeu de la réalité 3D. Et vous mériterez le prix qui sied à votre vérité.
Bien que cette vérité (croyances) peut nous avoir été imposée dès notre plus jeune âge, on a la liberté de se la réapproprier ou pas, une fois adulte. Parfois, pour plusieurs, la Vie se charge de nous y pousser.
Ce que l’on expérimente dans cette vie est lié à cette vérité qui est nôtre et qui nous transporte, qui nous amène à être à la bonne place, au bon moment, à faire la bonne chose dans ce que l’on est intrinsèquement, nos choix étant influencés par celle-ci. Et ce que l’on vivra, si jamais les tribulations pressenties par plusieurs se concrétisent, est aussi lié à cette vérité (nos croyances) que l’on entretient consciemment ou inconsciemment.
Je présente les points de vue exprimés dans ce vidéorandia par Serge Cazelais et Kiwan, parsemés de mes commentaires, d’extraits des deux premiers tomes d’Anton Parks. Par la suite, j’exposerai davantage les sources qui alimentent ma réflexion, qui soutiennent mes croyances. Et ça va certainement s’échelonner dans le temps.
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Petit Robert (1991) Dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française
Analogie : Ressemblance établie par l’imagination (souvent consacrée dans le langage par les diverses acceptions d’un même mot) entre deux ou plusieurs objets de pensée essentiellement différents. V. Association, correspondance, lien, parenté, rapport, relation.
Ici, il est question de possibles liens, ressemblances, correspondances entre des héros essentiellement différents, du moins, en apparence.
1. À 0:33:00 du vidéorandia :
Kiwan : Juste une parenthèse Serge, c’est que la dernière fois qu’on a fait affaire ensemble, on était dans la mouvance de Da Vinci Code, si tu te souviens. [Da Vinci Code : 2003]
Serge Cazelais : C’est ça. En fait, la dernière fois que j’ai donné une conférence, je dirais chez vous, Richard, dans l’une de tes activités, c’est au Cégep de Maisonneuve, et le deuxième invité nous parlait justement de cette question-là des analogies entre Jésus et de nombreux héros, que ce soit Krishna, Horus, Dionysos et plusieurs autres. Et l’autre conférencier nous parlait de manipulations. En fait, le cœur de son message c’était ça, de dire qu’on était manipulé depuis 2000 ans, que l’histoire de Jésus n’était que le plagiat de l’histoire d’Horus et de Krishna et de d’autres héros. Puis on avait débattu un peu à la fin. [Conférence Septembre 2006, Salle #609 du Club CRÉÉE]
Kiwan : Et il y avait à la même époque, un livre écrit par un Torontois, je pense, un type de l’Ontario. [...] Il y avait aussi Acharya...
[Tom Harpur et de S. Acharya]
À 0:34:11 du vidéorandia :
Kiwan : Il y avait beaucoup de mouvance à ce moment-là qui remettait en question l’authenticité de Jésus, qui serait plutôt un mythe fondateur basé sur les autres mythologies, et que tout le monde tire la couverte chacun de son côté pour arriver en disant que « c’est nous autres [qui a] le vrai Jésus ou le vrai pouvoir, ou le vrai… Ben là… Alors, qu’est-ce que tu penses de ça maintenant qu’on parle de « Anton Parks » ; un autre de plus !
Serge Cazelais : Un autre de plus qui dit la même chose.
À 0:44:08 du vidéorandia :
Serge Cazelais : Ou, dans des cas, si on revient à notre fameuse analogie entre Jésus et Horus, où on nous dit que, Horus aussi est né le 25 décembre, que des rois qui sont venus lui rendre hommage, qu’il est ressuscité le troisième jour, crucifié entre deux voleurs… Quand on voit ce genre d’affaire-là, et qu’on voit que d’un auteur à l’autre, ils se répètent les uns les autres, on peut alors facilement conclure que c’est simplement qu’ils se copient les uns les autres et qu’ils capitalisent sur des modes. Parce que ça ne correspond à rien. Il n’y aucun texte égyptien ancien, aucun hiéroglyphe qui nous parlent de ce genre d’affaire-là. Ou à un moment donné, Anton Parks, aussi, cite le Traité Isis et Osiris de Plutarque. Hors, il faut aller le lire, il est disponible en plus maintenant sur internet, dans une traduction du 19ième siècle. […] Vous pouvez le lire, vous allez voir, ça ne parle pas de ça du tout.
P(3)58 : Bon, ici il me semble évident que l’on fait référence à Zeitgeist et à Acharya. Honnêtement, moi aussi la première fois que j’ai écouté ces analogies dans Zeitgeist, j’ai trouvé ça « gros », surprenant, douteux. À part l’allusion à la date du 25 décembre, je n’ai rien lu dans les deux premiers tomes d’Anton Parks qui correspond à ce que Serge Cazelais avance ici. J’ai trouvé simpliste et gratuit que l’on associe Anton Parks à ça. Par contre, je saisis très bien que ces analogies ne sont pas littérales mais font référence à la course du Soleil, à des étoiles, à l’astronomie qu’incarnaient à divers degrés certains héros évoqués dont Jésus. Le plus drôle, c’est qu’on a anthropomorphisé trois étoiles pour en faire des Mages, etc…
À 0:46:18 :
Kiwan : Il y a une question de, j’appellerais ça la culture populaire, qui veut que des gens fassent des analogies entre des traditions égyptiennes, sumériennes, chrétiennes ou sémites ou juives, pour se dire, « ben écoute, leurs histoires se ressemblent », même si on ne trouve pas des racines dans les textes anciens. Ils avaient le nez sur l’arbre ; ils ne pouvaient pas voir la forêt. Maintenant qu’on a du recul de 2 000 ans, on se dit, écoute donc, est-ce que c’est un mythe fondateur, le Jésus, ou est-ce que c’est un être humain qui a réellement vécu et qui était original dans son vécu unique même si ça ressemble à celui de l’autre, ou de l’autre, ou de l’autre… C’est ça la grande question de notre époque où on remet tout en question en se disant, il y a eu des textes, on peut retomber dans les textes. Mais, au-delà de ça, sans être un spécialiste, on prend du recul au lieu d’avoir le nez sur l’arbre, ou on voit la forêt de loin en disant, ah, tiens, leurs histoires se ressemblent toutes. Peut-être que derrière tout ça il y a une manipulation sociale ou planétaire qui veut que, on embarque les gens dans un… On change le héros à toutes les générations, à toutes les 1 000 ans ou toutes les 2 000 ans, on change le héros. C’était Batman, c’était Jésus, c’était Moïse, c’était… Tu vois ce que je veux dire ? On n’a pas la rigueur intellectuelle.
Serge Cazelais : Si tel était le cas, ça serait intéressant. Mais c’est ça l’affaire, c’est tel n’est pas le cas. Tous ces héros-là ne se ressemblent pas. Ils sont tous originaux. Il n’y a pas de ressemblances
Kiwan : Ils sont tous nés d’une mère vierge, pour la plupart.
Serge Cazelais : Non. Ben non.
Jean-François Poulin : Horus, par exemple, décrit-nous un peu Horus dans sa différence, justement.
Serge Cazelais : Horus est né d’Isis. Isis qui, bon, son époux Osiris a été démembré par son frère qui était Seth. Isis est partie à la recherche des diverses parties du corps. Et elle a retrouvé toutes les parties sauf le phallus. Elle s’est fait alors un phallus en argile, puis elle s’est pénétrée avec ce phallus-là. […] C’est ça qui est la différence entre l’histoire de Jésus et l’histoire des autres héros. Dans l’histoire des autres héros, il y a toujours une manifestation sexuelle explicite. Alors que dans l’histoire de Jésus, il n’y a pas de manifestation sexuelle explicite. […]
Jean-François Poulin : Mais, l’analogie que tu faisais avec Horus quand même, un pénis d’argile, ça l’air d’un truc assez artificiel, comme une insémination artificielle, si on veut, quasiment, et à la limite.
Serge Cazelais : C’est quelque chose de ce genre-là. C’est ça.
Kiwan : Gabriel qui est venu annoncer à Marie…
P(3)58 : Oups ! C’est totalement faux de parler de manifestation sexuelle explicite. Il s’agit plutôt d’une symbolique sexuelle pour évoquer une procréation artificielle, ce qui est tout-à-fait appropriée pour la compréhension du phénomène en fonction du contexte, de la culture, des croyances de l’époque de ceux qui le rapportent.
Personnellement, et ici c’est une opinion, une réflexion bien personnelle, quand on dit que l’ange Gabriel « visite » Marie, ça ressemble drôlement plus à une relation sexuelle explicite que la symbolique de l’éléphant ou du dildo en argile. Est-ce que le Jésus des Évangiles pourrait être un Néphilim né de l’union entre Marie et l’ange Gabriel ? La question se pose. Elle est légitime mais éludée, occultée. La présence en soi de l’ange Gabriel est de loin beaucoup plus près d’une véritable manifestation sexuelle explicite parce que l’on met en présence deux entités qui peuvent s’accoupler réellement.
À 3:41 du vidéorandia du 31 mars 2012 : Henoch et les anges déchus
Kiwan : Alors on s’est aperçu que Enoch a été prévenu. Qu’à cause de l’intervention de certains anges, c’est la raison pourquoi vous voyez des anges en premier plan [dans le vidéo], qui sont venus sur Terre parce qu’ils ont trouvé les filles des hommes très, très belles, trop aguichantes, et les ont… ils les ont « visitées » ! C’est l’expression qu’on utilise dans la Bible. Après avoir rencontré les femmes des hommes, les trouvèrent belles, ils ont eu plusieurs enfants avec eux, avec elles plutôt, et ç’a donné des géants. Et ç’a été une race les Néphilim, les Anakim, qui sont devenus géants, et puis ceux-là ont dominé sur la Terre très, très longtemps.
Lien : http://www.cerbafaso.org/textes/bioethique/bible_de_jerusalem.pdf
Extrait : Luc 1, 26 Le sixième mois, l'ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, du nom de Nazareth,
Luc 1, 27 à une vierge fiancée à un homme du nom de Joseph, de la maison de David; et le nom de la vierge était Marie.
Lien : http://la-bible.info/2012/12/10/un-ange-visite-marie/
Extrait : Dieu envoya l’ange Gabriel pour visiter Marie
Luc 1:26-38
À 0:50:54 :
Serge Cazelais : Tout ce récit d’annonciation qui est dans l’Évangile de Luc, en fait, c’est un écho au récit du paradis d’Adam et Ève. Parce qu’Adam et Ève, c’est la même chose. Ève est née et il n’y a pas eu de relation sexuelle. Dieu a jeté un sommeil sur Adam et il a sorti Ève, qui signifie la vie, Hawwa(h), c’est le mot vie. Alors, dans Luc, c’est la même chose. L’esprit qui vient couvrir Marie de son ombre aussi, c’est la même chose. C’est juste avant le récit du paradis, l’esprit qui plane au-dessus des eaux. C’est pour signifier une nouvelle création. C’est ça que le récit de Luc nous raconte. Il n’y a pas d’allusion sexuelle. Comme dans le récit d’Adam et Ève, il n’y a pas d’allusion sexuelle. Ce que le récit raconte, dans Luc, c’est une nouvelle création. C’est ça que les autres auteurs bibliques comme Paul vont dire ensuite. Dans l’Évangile de Jean aussi, c’est très très explicite. Le Christ est présenté comme étant un nouvel Adam. Il représente une nouvelle lignée spirituelle, non plus un Adam physique, mais un Adam spirituel. C’est ça que le récit de Luc veut signifier.
P(3)58 : On doit juger les textes bibliques avec le même œil critique que l’on juge les autres récits d’héros antiques. Ainsi, quant à moi, un esprit qui plane et qui vient « couvrir » de son ombre Marie, je trouve ça encore plus explicite sexuellement ! Surtout quand un « ange » est dans les parages… Si on lisait un poème ainsi écrit dans une soirée où le thème de la sexualité serait à l’honneur, tout le monde en saisirait le sens d'une manifestation sexuelle explicite ! C’est implicite à défaut d’être écrit de façon explicite. Alors, si c’est ça l’argument qui différencie les « héros », je dirais que c’est un argumentaire qui ne tient qu’à un fil, mais pour rester dans le thème, je dirai plutôt qu’il ne tient qu’à un hymen… ! Quand un gars tombe amoureux d’une personne, ce qui implique du désir sexuel pour celle-ci, je vous garantis que son esprit plane sur cette personne. Autrement dit, ses pensées sont dirigées vers elle. Alors ici, je trouve qu’on se sert du récit de la Création pour tenter de camoufler cette allusion et manifestation sexuelles du récit de l’annonciation. Et quand on dit que « Dieu a jeté un sommeil sur Adam », Dieu fait-il usage de GHB… ?! À moins que ce soit une mauvaise traduction en français, les récits bibliques sont tellement incohérents et invraisemblables, que les interprétations qu’on en fait sont dignes des contorsionnistes du Cirque du Soleil !
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
ANALOGIES ENTRE HORUS (ÉGYPTE ) ET AUTRES HÉROS 4
AJOUT EN DATE DU 26 MARS 2016
À 0:46:18 :
Kiwan : Il y a une question de, j’appellerais ça la culture populaire, qui veut que des gens fassent des analogies entre des traditions égyptiennes, sumériennes, chrétiennes ou sémites ou juives, pour se dire, « ben écoute, leurs histoires se ressemblent », même si on ne trouve pas des racines dans les textes anciens. Ils avaient le nez sur l’arbre ; ils ne pouvaient pas voir la forêt. Maintenant qu’on a du recul de 2 000 ans, on se dit, écoute donc, est-ce que c’est un mythe fondateur, le Jésus, ou est-ce que c’est un être humain qui a réellement vécu et qui était original dans son vécu unique même si ça ressemble à celui de l’autre, ou de l’autre, ou de l’autre… C’est ça la grande question de notre époque où on remet tout en question en se disant, il y a eu des textes, on peut retomber dans les textes. Mais, au-delà de ça, sans être un spécialiste, on prend du recul au lieu d’avoir le nez sur l’arbre, ou on voit la forêt de loin en disant, ah, tiens, leurs histoires se ressemblent toutes. Peut-être que derrière tout ça il y a une manipulation sociale ou planétaire qui veut que, on embarque les gens dans un… On change le héros à toutes les générations, à toutes les 1 000 ans ou toutes les 2 000 ans, on change le héros. C’était Batman, c’était Jésus, c’était Moïse, c’était… Tu vois ce que je veux dire ? On n’a pas la rigueur intellectuelle.
Serge Cazelais : Si tel était le cas, ça serait intéressant. Mais c’est ça l’affaire, c’est tel n’est pas le cas. Tous ces héros-là ne se ressemblent pas. Ils sont tous originaux. Il n’y a pas de ressemblances
Kiwan : Ils sont tous nés d’une mère vierge, pour la plupart.
Serge Cazelais : Non. Ben non.
Jean-François Poulin : Horus, par exemple, décrit-nous un peu Horus dans sa différence, justement.
Serge Cazelais : Horus est né d’Isis. Isis qui, bon, son époux Osiris a été démembré par son frère qui était Seth. Isis est partie à la recherche des diverses parties du corps. Et elle a retrouvé toutes les parties sauf le phallus. Elle s’est fait alors un phallus en argile, puis elle s’est pénétrée avec ce phallus-là. […] C’est ça qui est la différence entre l’histoire de Jésus et l’histoire des autres héros. Dans l’histoire des autres héros, il y a toujours une manifestation sexuelle explicite. Alors que dans l’histoire de Jésus, il n’y a pas de manifestation sexuelle explicite. […]
Jean-François Poulin : Mais, l’analogie que tu faisais avec Horus quand même, un pénis d’argile, ça l’air d’un truc assez artificiel, comme une insémination artificielle, si on veut, quasiment, et à la limite.
Serge Cazelais : C’est quelque chose de ce genre-là. C’est ça.
Kiwan : Gabriel qui est venu annoncer à Marie…
P(3)58 : Oups ! C’est totalement faux de parler de manifestation sexuelle explicite. Il s’agit plutôt d’une symbolique sexuelle pour évoquer une procréation artificielle, ce qui est tout-à-fait appropriée pour la compréhension du phénomène en fonction du contexte, de la culture, des croyances de l’époque de ceux qui le rapportent.
Personnellement, et ici c’est une opinion, une réflexion bien personnelle, quand on dit que l’ange Gabriel « visite » Marie, ça ressemble drôlement plus à une relation sexuelle explicite que la symbolique de l’éléphant ou du dildo en argile. Est-ce que le Jésus des Évangiles pourrait être un Néphilim né de l’union entre Marie et l’ange Gabriel ? La question se pose. Elle est légitime mais éludée, occultée. La présence en soi de l’ange Gabriel est de loin beaucoup plus près d’une véritable manifestation sexuelle explicite parce que l’on met en présence deux entités qui peuvent s’accoupler réellement.
À 3:41 du vidéorandia du 31 mars 2012 : Henoch et les anges déchus
Kiwan : Alors on s’est aperçu que Enoch a été prévenu. Qu’à cause de l’intervention de certains anges, c’est la raison pourquoi vous voyez des anges en premier plan [dans le vidéo], qui sont venus sur Terre parce qu’ils ont trouvé les filles des hommes très, très belles, trop aguichantes, et les ont… ils les ont « visitées » ! C’est l’expression qu’on utilise dans la Bible. Après avoir rencontré les femmes des hommes, les trouvèrent belles, ils ont eu plusieurs enfants avec eux, avec elles plutôt, et ç’a donné des géants. Et ç’a été une race les Néphilim, les Anakim, qui sont devenus géants, et puis ceux-là ont dominé sur la Terre très, très longtemps.
Lien : http://www.cerbafaso.org/textes/bioethique/bible_de_jerusalem.pdf
Extrait : Luc 1, 26 Le sixième mois, l'ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, du nom de Nazareth,Luc 1, 27 à une vierge fiancée à un homme du nom de Joseph, de la maison de David; et le nom de la vierge était Marie.
Lien : http://la-bible.info/2012/12/10/un-ange-visite-marie/
Extrait : Dieu envoya l’ange Gabriel pour visiter Marie
Luc 1:26-38À 0:50:54 :
Serge Cazelais : Tout ce récit d’annonciation qui est dans l’Évangile de Luc, en fait, c’est un écho au récit du paradis d’Adam et Ève. Parce qu’Adam et Ève, c’est la même chose. Ève est née et il n’y a pas eu de relation sexuelle. Dieu a jeté un sommeil sur Adam et il a sorti Ève, qui signifie la vie, Hawwa(h), c’est le mot vie. Alors, dans Luc, c’est la même chose. L’esprit qui vient couvrir Marie de son ombre aussi, c’est la même chose. C’est juste avant le récit du paradis, l’esprit qui plane au-dessus des eaux. C’est pour signifier une nouvelle création. C’est ça que le récit de Luc nous raconte. Il n’y a pas d’allusion sexuelle. Comme dans le récit d’Adam et Ève, il n’y a pas d’allusion sexuelle. Ce que le récit raconte, dans Luc, c’est une nouvelle création. C’est ça que les autres auteurs bibliques comme Paul vont dire ensuite. Dans l’Évangile de Jean aussi, c’est très très explicite. Le Christ est présenté comme étant un nouvel Adam. Il représente une nouvelle lignée spirituelle, non plus un Adam physique, mais un Adam spirituel. C’est ça que le récit de Luc veut signifier.
P(3)58 : On doit juger les textes bibliques avec le même œil critique que l’on juge les autres récits d’héros antiques. Ainsi, quant à moi, un esprit qui plane et qui vient « couvrir » de son ombre Marie, je trouve ça encore plus explicite sexuellement ! Surtout quand un « ange » est dans les parages… Si on lisait un poème ainsi écrit dans une soirée où le thème de la sexualité serait à l’honneur, tout le monde en saisirait le sens d'une manifestation sexuelle explicite ! C’est implicite à défaut d’être écrit de façon explicite. Alors, si c’est ça l’argument qui différencie les « héros », je dirais que c’est un argumentaire qui ne tient qu’à un fil, mais pour rester dans le thème, je dirai plutôt qu’il ne tient qu’à un hymen… ! Quand un gars tombe amoureux d’une personne, ce qui implique du désir sexuel pour celle-ci, je vous garantis que son esprit plane sur cette personne. Autrement dit, ses pensées sont dirigées vers elle. Alors ici, je trouve qu’on se sert du récit de la Création pour tenter de camoufler cette allusion et manifestation sexuelles du récit de l’annonciation. Et quand on dit que « Dieu a jeté un sommeil sur Adam », Dieu fait-il usage de GHB… ?! À moins que ce soit une mauvaise traduction en français, les récits bibliques sont tellement incohérents et invraisemblables, que les interprétations qu’on en fait sont dignes des contorsionnistes du Cirque du Soleil !
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AJOUT DU 26 MARS 2016
Pour moi, c'est un argument de plus pour dire que l'allusion d'une relation sexuelle explicite est plus forte et présente dans l'épisode de l'Annonciation que chez les autres héros, contrairement à ce qu'avance Serge Cazelais.
Je viens de terminer l'écoute de la conférence d'André Moreau de la Salle du Club CRÉÉE 1307 sur le thème : Le génie est une fête ! C'est toujours un plaisir renouvelé que d'écouter une conférence du philosophe jovialiste.
Un passage m'a interpelé :
À 54:10 du vidéo : Sainte Thérèse de Lisieux
André Moreau : Mon père a été marié une première fois. Sa première femme était une enragée du sexe. Elle est morte en jouissant, à 24 ans. Incroyable, une véritable Sainte Thérèse de Lisieux. [rires] Non, non, mais c’était une grande jouisseuse Sainte Thérèse. C’était la source de ses extases.
Richard Glenn : Avec l’ange qui lui apparaissait dans sa chambre ? L’archange ?
André Moreau : Oui, oui. Quelque chose quoi, lui apparaissait, oui
Bon, j'ai fait ma petite recherche. Il s'agirait plutôt de Sainte Thérèse d'Avila. Et comme ça va dans le sens de mon argumentation ci-haut, je fais cet ajout :
Lien sur l'extase de Sainte Thérèse d'Avila :
https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Extase_de_sainte_Th%C3%A9r%C3%A8se
Extrait : Iconographie
Les deux personnages principaux de la sculpture tirent leur origine d'un passage écrit par Thérèse d'Avila dans son autobiographie publiée sous le titre la Vie de sainte Thérèse de Jésus (1515-1582), une mystique cloîtrée, carmélite déchaussée, réformatrice et religieuse (1622). On y trouve décrites des visions divines, y compris celle où elle a vu un ange jeune, beau et chatoyant debout à côté d'elle :
Visage de Thérèse d'Avila en extase.
« J'ai vu dans sa main une longue lance d'or, à la pointe de laquelle on aurait cru qu'il y avait un petit feu. Il m'a semblé qu'on la faisait entrer de temps en temps dans mon cœur et qu'elle me perçait jusqu'au fond des entrailles; quand il l'a retirée, il m'a semblé qu'elle les retirait aussi et me laissait toute en feu avec un grand amour de Dieu. La douleur était si grande qu'elle me faisait gémir; et pourtant la douceur de cette douleur excessive était telle, qu'il m'était impossible de vouloir en être débarrassée. L'âme n'est satisfaite en un tel moment que par Dieu et lui seul. La douleur n'est pas physique, mais spirituelle, même si le corps y a sa part. C'est une si douce caresse d'amour qui se fait alors entre l'âme et Dieu, que je prie Dieu dans Sa bonté de la faire éprouver à celui qui peut croire que je mens. ».
Certains critiques modernes expliquent les expériences religieuses proches de la syncope comme des phénomènes psychologiques qui relèvent de l'orgasme plutôt que comme des phénomènes spirituels.
Sur la sculpture, c'est la position du corps de sainte Thérèse et l'expression de son visage qui ont conduit certains à les expliquer comme le signe d'un moment d'extase sexuelle. Aussi séduisante que soit une telle théorie, les spécialistes du baroque la mettent en doute : comment le Bernin, qui avait suivi les exercices spirituels d'Ignace de Loyola, aurait-il eu des intentions aussi lubriques ?
Bon, on peut argumenter sur le fondement de la théorie d'une extase sexuelle. Mais, l'allusion sexuelle, elle, est très forte, très présente.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
ANALOGIES ENTRE HORUS (ÉGYPTE ) ET AUTRES HÉROS 4
J'ai de la difficulté à juger la vie des autres,
difficile d'oublié, mais le monde a toujours aimé caché des choses,
et le monde s'en moque ..
Joyeuse Pâques @ Tous !
ANALOGIES ENTRE HORUS (ÉGYPTE ) ET AUTRES HÉROS 4
J'aime mieux regarder ce qui se déroule dans ma vie, avant celle des autres..
Mais je remarque l’expression, Une éternité pour apprendre..
et il faut le vivre. Ainsi on comprend, on libère.
ANALOGIES ENTRE HORUS (ÉGYPTE ) ET AUTRES HÉROS 4
Quand ta mère cache la relation de son père et tous les enfants légitime et illégitime, et que tes neveux veulent sacrer une volé à tes ancêtres, bien des histoires demeureront cachés..
COMMENTAIRES PERSONNELS
COMMENTAIRES PERSONNELS
En noir : résumé, explication, contexte...
En vert : extrait Serge Cazelais, JF, Kiwan
En or : extrait Anton Parks et autres
En bleu : commentaire personnel P(3)58
Pour en savoir plus sur Serge Cazelais : Complément Surprenant #1251 :
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67146
Son site : http://sergecazelais.com/
Club CRÉÉE : Septembre 2006 Salle 609 :
http://www.esoterisme-exp.com/ClubCREEE_pub/Activites2006/609/609-tradition.php#BAT
Source : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67145
Sur Viméo : https://vimeo.com/56182775#at=1933
N.B. Les propos tenus dans ce vidéorandia ont été tenus voilà un peu plus de trois ans. Donc, il est possible qu’aujourd’hui ces propos aient évolué d’une façon ou d’une autre. Quoiqu’il en soit, le forum permet la possibilité de rétroagir pour rectifier, préciser, ajouter, bonifier, nuancer.
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COMMENTAIRES PERSONNELS :
J’en suis à la dernière étape avec ce vidéorandia. Ici, je précise qu’il s’agit simplement de mon opinion personnelle sur des questions qui ont été soulevées dans ce vidéorandia. Chacun peut avoir sa propre opinion. Moi, je recherche de la cohérence et de la vraisemblance concernant nos origines, notre genèse, pour mieux appréhender notre époque. Je n’ai pas l’expertise de Serge Cazelais ou de Kiwan dans leur sphère spécifique. Mais, j’ai mon jugement, mon discernement, mon ressenti, mes réflexions.
Serge Cazelais développe sur ces sujets. Vous avez les références pour l’écouter au besoin.
À 0:54:07 du vidéorandia : Jésus historique ou pas ?
À 0:56:39 du vidéorandia : Textes de l’antiquité et textes sacrés : message historique ou message spirituel ? Où est la vérité ?
À 1:01:20 du vidéorandia : Textes bibliques plagiats de textes sumériens ?
À 1:20:08 du vidéorandia : Textes apocryphes / Résurrection du Christ
P(3)58 : J’ai une opinion différente et divergente sur ces sujets. Pour moi, le « Jésus » tel que présenté dans les Évangiles n’est pas historique, ni authentique. Il a tout simplement été élaboré sur la base d’une histoire originelle, la même qui a inspiré les différentes mythologies et religions.
Plus je lis, plus je cumule d’information sur la question, et plus il devient évident pour moi que l’histoire des principaux personnages bibliques des Évangiles du Nouveau Testament, s’avère être l’histoire des dieux de l’Égypte prédynastique, soit environ 10 000 ans avant notre ère.
Et l’influence de l’Égypte et de Babylone est indéniable dans l’Ancien Testament des Hébreux qui ont côtoyé les deux civilisations.
Tout ramener ces écrits dits « sacrés » ou anthologiques de l’époque à la simple transmission d’un message spirituel, c’est pour moi la démonstration d’une reddition, d’une impuissance à pouvoir en expliquer les incohérences, les invraisemblances, les contradictions et le contenu souvent violent, sanglant, scabreux. Et comble du paradoxe, c’est dans ce contenu qu’on y trouve un véhicule pour transmettre un message spirituel. Ça peut être aussi la volonté d’enterrer l’Histoire pour mieux asseoir son pouvoir. Ou bien le déni d’une civilisation plus avancée et bien antérieure à ce que l’Histoire officielle reconnaît.
Moi, j’aimerais bien qu’on m’explique pourquoi ça prend des « bibles » pour transmettre un message spirituel.
Et l’histoire démontre bien qu’il y a eu presque continuellement des conflits, des guerres, des conquêtes dans l’Antiquité.
Antoine Gigal s’intéresse à l’Égypte antique. Et quand elle tente de remonter à l’origine des textes égyptiens, ça l’amène bien au-delà des premières dynasties. Alors, les textes bibliques et/ou apocryphes, remontent jusqu’à quand, eux ? Pour moi, il s’agit de la même source.
Je n’ai rien contre le fait de trouver un message spirituel dans ces textes. C’est l’exercice auquel on se livrait au pensionnat à partir de chansons populaires (ex. « Un gars ben ordinaire » – Charlebois) ou spirituelles (ex. « Gethsémanie » – John Littleton). Encore faut-il qu’il fasse sens, qu’il colle à la réalité, qu’il ne soit pas dogmatique et imposé.
Pour la suite des choses, je vais exposer les sources qui ont alimenté ma réflexion jusqu’à présent. Et l'Égypte est au cœur de ces sources.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
MES SOURCES DE RÉFLEXION 1
MES SOURCES DE RÉFLEXION 1
Cette partie est importante pour contextualiser, et sert d'introduction pour les autres parties à venir. Évidemment, pour celles et ceux que ça peut intéresser. Mon année de naissance est 1958.
Je le répète. C'est ce qui pour moi est présentement le plus cohérent, le plus vraisemblable, jusqu'à preuve du contraire.
De 1971 à 1974 : Prise de conscience / Sortie de la matrice
En préambule, déjà à cette période de ma vie, j’entrevoyais la possibilité que Jésus, Dieu soient des extraterrestres qui auraient juste une coche sur nous autres. Et qu’on adorait ces entités par naïveté, par ignorance.
Bien sûr, la première source qui m’a amené à tout remettre en question : la lecture de l’Ancien Testament au début de mon secondaire au pensionnat de Pointe-du-Lac, l’É.S.S.J. (école secondaire saint-joseph). Je trouvais le contenu violent à outrance.
Cette filiale du Vatican, soit les F.I.C. (frères de l’instruction chrétienne) a amplifié cette remise en question en Sec. III en nous imposant le mouvement charismatique, très à la mode, et qui faisait « concurrence » au film L’Exorcisme. Le frère directeur a même tenté d’exorciser un de mes amis. Plus ridicule que ça, tu meurs ! De plus, un frère me harcelait pour que je sois son « ami » et je me suis aperçu qu’il était « couvert » par d’autres.
A suivi la prise de conscience de mon orientation homosexuelle et par le fait même de la violente homophobie de la secte religieuse catholique romaine du Vatican, bien imprégnée dans la société. Aucune trace du message d’amour du Christ dans tout ça. Que du rejet. Contrairement à d’autres, je ne me suis pas obstiné. Bye bye boss !
Pourtant, le frère directeur de notre groupe de sec. III, celui qui couvrait le "harceleur", nous a dit lors d’un de ses sermons, une phrase qui n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd. Il a dit : « On ne fait pas sa pratique religieuse par émotion mais par conviction. » Ça été mon chemin de Damas. Je me suis aperçu que toute ma pratique religieuse avait été construite jusque-là pour faire plaisir aux autres dont mes parents, en particulier ma mère, et ainsi répondre à leurs attentes. Que c'était de plus en plus factice.
De 1980 à aujourd’hui : Autres sources divergentes et/ou différentes
À l’automne 80, je faisais semblant d’aller au cégep de Trois-Rivières en co-voiturage, pour compléter ma formation académique en techniques policières. J’avais abandonné mes cours mais ne l’avait pas dit à mes parents pour éviter la crise. J’étais accepté à Nicolet après les Fêtes, mais c’était évident pour moi que mon avenir n’était pas là.
Donc, en revenant un après-midi, une émission de Janette veut savoir se terminait avec le témoignage de quelques grand-mères sur leurs expériences de sorties conscientes dans l’astral. Elles ont mentionné le nom de Rampa. Je n’avais saisi que des bribes et pourtant, je me suis « garroché » vers la librairie la plus proche pour acheter un livre sur le sujet. Car je me sentais fortement interpelé. Même si c’était flou tout ça, et nouveau, ça me parlait. Une certitude intérieure inébranlable m’habitait. J’y ai adhéré spontanément. C’est ainsi que j’ai commencé la lecture des livres de Lobsang T. Rampa.
Depuis, il y a eu beaucoup de livres et d'autres sources diverses d’information jusqu’à Anton Parks aujourd’hui, en passant par Barbara Marciniak, par ésotérisme-expérimental, etc. En plus de l’actualité et de mes expériences paranormales. En plus d’être touché profondément par certains films comme La Guerre des Étoiles un samedi soir d’août 1977, Starman, The last starfighter… Évidemment, des téléséries comme X-Files, Smallville, Millennium, Supernaturel, Invasion planète terre…
Et aujourd’hui, le constat que je fais : tout pointe vers l’Égypte prédynastique : Osiris, Isis, Horus et leur entourage. Même dans les vidéorandias, dans les conférences du Club CRÉÉE, dans les compléments de Gilles Surprenant, les références à cette Égypte y sont récurrentes et importantes.
On ne s’étonne pas d’entendre dire que Jésus aurait été initié en Égypte. Que l’Égypte a été le refuge de la « sainte famille » pour échapper à Hérode. On ne sait rien sur sa vie personnelle à part sa vie publique relatée dans les Évangiles. Et quand on évoque la forte possibilité que Jésus soit en fait une copie d’Horus, on déchire sa chemise ! Paradoxal. Vraiment. Je me demande ce que ça va prendre pour ouvrir les yeux, je devrais dire « l’œil d’Horus » des gens. On préfère la « sécurité » de la matrice religieuse malgré toutes ses invraisemblances, ses incohérences et ses manipulations. Surtout sachant que les Hébreux viennent d'Égypte...
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
MES SOURCES DE RÉFLEXION 1 BIO MISE À JOUR
MES SOURCES DE RÉFLEXION 1 MISE À JOUR / AJOUT EN VERT
Cette partie est importante pour contextualiser, et sert d'introduction pour les autres parties à venir. Évidemment, pour celles et ceux que ça peut intéresser. Mon année de naissance est Septembre 1958. Donc Chien de Terre. En numérologie, 21/3. Donc, Chemin de Vie 3. 21 = 777 = 3 X 7. Voilà pourquoi j'affiche maintenant le P(3)58 dans le bas de mes billets à défaut de pouvoir modifier mon pseudonyme sur le forum. Je mets le 3 entre parenthèses pour signifier la coÎncidence avec la valeur numérique du Serpent biblique selon les Compléments Surprenant.
Je le répète. C'est ce qui pour moi est présentement le plus cohérent, le plus vraisemblable, jusqu'à preuve du contraire.
De 1971 à 1974 : Prise de conscience / Sortie de la matrice
En préambule, déjà à cette période de ma vie, j’entrevoyais la possibilité que Jésus, Dieu soient des extraterrestres qui auraient juste une coche sur nous autres. Et qu’on adorait ces entités par naïveté, par ignorance.
Bien sûr, la première source qui m’a amené à tout remettre en question : la lecture de l’Ancien Testament au début de mon secondaire au pensionnat de Pointe-du-Lac, l’É.S.S.J. (école secondaire saint-joseph). Je trouvais le contenu violent à outrance.
Cette filiale du Vatican, soit les F.I.C. (frères de l’instruction chrétienne) a amplifié cette remise en question en Sec. III en nous imposant le mouvement charismatique, très à la mode, et qui faisait « concurrence » au film L’Exorcisme. Le frère directeur a même tenté d’exorciser un de mes amis. Plus ridicule que ça, tu meurs ! De plus, un frère me harcelait pour que je sois son « ami » et je me suis aperçu qu’il était « couvert » par d’autres.
A suivi la prise de conscience de mon orientation homosexuelle et par le fait même de la violente homophobie de la secte religieuse catholique romaine du Vatican, bien imprégnée dans la société. Aucune trace du message d’amour du Christ dans tout ça. Que du rejet. Contrairement à d’autres, je ne me suis pas obstiné. Bye bye boss !
Pourtant, le frère directeur de notre groupe de sec. III, celui qui couvrait le "harceleur", nous a dit lors d’un de ses sermons, une phrase qui n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd. Il a dit : « On ne fait pas sa pratique religieuse par émotion mais par conviction. » Ça été mon chemin de Damas. Je me suis aperçu que toute ma pratique religieuse avait été construite jusque-là pour faire plaisir aux autres dont mes parents, en particulier ma mère, et ainsi répondre à leurs attentes. Que c'était de plus en plus factice.
De 1980 à aujourd’hui : Autres sources divergentes et/ou différentes
À l’automne 80, je faisais semblant d’aller au cégep de Trois-Rivières en co-voiturage, pour compléter ma formation académique en techniques policières. J’avais abandonné mes cours mais ne l’avait pas dit à mes parents pour éviter la crise. J’étais accepté à Nicolet après les Fêtes, mais c’était évident pour moi que mon avenir n’était pas là.
Donc, en revenant un après-midi, une émission de Janette veut savoir se terminait avec le témoignage de quelques grand-mères sur leurs expériences de sorties conscientes dans l’astral. Elles ont mentionné le nom de Rampa. Je n’avais saisi que des bribes et pourtant, je me suis « garroché » vers la librairie la plus proche pour acheter un livre sur le sujet. Car je me sentais fortement interpelé. Même si c’était flou tout ça, et nouveau, ça me parlait. Une certitude intérieure inébranlable m’habitait. J’y ai adhéré spontanément. C’est ainsi que j’ai commencé la lecture des livres de Lobsang T. Rampa.
Depuis, il y a eu beaucoup de livres et d'autres sources diverses d’information jusqu’à Anton Parks aujourd’hui, en passant par Barbara Marciniak, par ésotérisme-expérimental, etc. En plus de l’actualité et de mes expériences paranormales. En plus d’être touché profondément par certains films comme La Guerre des Étoiles un samedi soir d’août 1977, Starman, The last starfighter… Évidemment, des téléséries comme X-Files, Smallville, Millennium, Supernaturel, Invasion planète terre… J'ajouterais Roger Sabbah, le livre d'archéologie des Finkelstein et Silberman La Bible dévoilée, Mauro Biglino.
Lien vidéo Youtude : https://www.youtube.com/watch?v=dFb0xXvB99o
Et aujourd’hui, le constat que je fais : tout pointe vers l’Égypte prédynastique : Osiris, Isis, Horus et leur entourage. Même dans les vidéorandias, dans les conférences du Club CRÉÉE, dans les compléments de Gilles Surprenant, les références à cette Égypte y sont récurrentes et importantes.
On ne s’étonne pas d’entendre dire que Jésus aurait été initié en Égypte. Que l’Égypte a été le refuge de la « sainte famille » pour échapper à Hérode. On ne sait rien sur sa vie personnelle à part sa vie publique relatée dans les Évangiles. Et quand on évoque la forte possibilité que Jésus soit en fait une copie d’Horus, on déchire sa chemise ! Paradoxal. Vraiment. Je me demande ce que ça va prendre pour ouvrir les yeux, je devrais dire « l’œil d’Horus » des gens. On préfère la « sécurité » de la matrice religieuse malgré toutes ses invraisemblances, ses incohérences et ses manipulations. Surtout sachant que les Hébreux viennent d'Égypte...
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MES SOURCES DE RÉFLEXION 2
MES SOURCES DE RÉFLEXION 2
Sachant que Sirius et Vénus (l’Étoile du Matin/Lucifer) occupent une place prépondérante dans l’Égypte ancienne, et que le christianisme se les approprie, ce qui m’interpelle, c’est la partie astronomique du vidéo de Zeitgeist. On désigne ça sous l’appellation « astro-théologie ». Et quelle étoile brille dans le ciel le 25 décembre ? Sirius avec les Trois Rois !
Ici, la question de la date précise de la naissance de Jésus n’est pas importante. Ce qui est important, c’est qu’on ait décidé de le fêter le 25 décembre. Il n’y a pas de hasard. C’est sciemment qu’on a choisi cette date. Et quand on écoute cette partie du vidéo, à partir de 5:58 jusqu’à la fin, il est évident que l’empreinte de l’Égypte prédynastique (et aussi de Sumer) « plane » sur les écrits bibliques.
Je mentionne l’Égypte prédynastique car les divers pharaons des différentes dynasties égyptiennes n’ont fait qu’essayer de refléter cette Égypte encore plus ancienne, antédiluvienne et ce, avec plus ou moins de succès.
Là où je me distance du contenu de ce vidéo, c’est que pour moi, le christianisme serait une transposition ésotérique, symbolique de l’histoire originelle, plutôt que des références strictement mythiques, astro-théologiques. Je crois sincèrement que le christianisme est une version qui reflète la scission qui opposent les « dieux extraterrestres » : ceux de Sumer (Enlil/Seth/Satan) vs ceux d’Égypte/Atlantide (Enki/Osiris/Horus/Jésus).
Dans le fond, le message du Christ est un message d’amour qui origine de cette Égypte antédiluvienne.
Date de publication : 10/10/2011
Durée : 25:31
À 6 :51 du vidéo : Maison du Pain
La Constellation de la Vierge est également appelée « La Maison du Pain », et sa représentation est une vierge portant une gerbe de blé. Cette Maison du Pain et son symbole de blé représentent août et septembre, la saison de récolte. À son tour, Bethléem, en fait, se traduit littéralement par « maison du pain ». Bethléem fait donc référence à la constellation de la Vierge, un endroit dans le ciel et non sur terre.
Anton Parks
Ed. Nouvelle Terre, 2009
Extrait p.242, Bethléem : Cependant, la question se pose : le Christ biblique serait-il né, voici plus de 2000 ans, à Bethléem, près de Jérusalem ? C’est possible ; Jésus le Christ a peut-être vu le jour dans la ville palestinienne de Bethléem. Cependant, il est intéressant de constater que l’assemblage de différentes particules égyptiennes élémentaires peut apporter une toute autre réponse qui est en parfaite concordance avec nos différentes découvertes : Bit ou Bet (qualificatif de Hathor : "merveille", "prodige") ; Râ ou Rê ("soleil", "lumière") ; Hem ("le roi" [Heru], "majesté"). Vous le savez maintenant, le L n’existe pas en ancien égyptien, et il est généralement remplacé phonétiquement par un R, cela nous donnera :
Cartouche / Hiéroglyphe que je ne peux reproduire ici.
Bit-Râ-Hem, ou Bet-Rê-Hem, ou encore Bet-Lê-Hem (Bethléem),
"Hathor, lumière du roi Heru"
Cette découverte capitale nous confirme une fois encore qu’Isis-Hathor symbolisait bien la Grande Pyramide de Gizeh.
Ici, Anton Parks démontre, contrairement au segment du vidéo de Zeitgeist, que Bethléem est bel et bien sur terre, pas seulement au ciel, et qu'en fait, c'est la Grande Pyramide de Gizeh.
À 18:09 du vidéo : Moïse
« De plus, Moïse est connu comme « Le Porteur des Lois », « Le porteur des Dix Commandements », de la « Loi de Moïse ».
On a vu dans l’entrevue avec Antoine Gigal, que pharaon veut dire « porteur ».
Lien entrevue Antoine Gigal : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=133763
De 2H38:40 à 3H02:02 du vidéo : Roger Sabbah dévoile une clé : Moïse serait en fait un pharaon, soit Ramsès I !
---
L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
MES SOURCES DE RÉFLEXION 2 Astro-Théologie MAJ
En rouge : mise à jour à faire, précédée d'un *.
MES SOURCES DE RÉFLEXION 2
Sachant que Sirius et Vénus (l’Étoile du Matin/Lucifer) occupent une place prépondérante dans l’Égypte ancienne, et que le christianisme se les approprie, ce qui m’interpelle, c’est la partie astronomique du vidéo de Zeitgeist. On désigne ça sous l’appellation « astro-théologie ». Et quelle étoile brille dans le ciel le 25 décembre ? Sirius avec les Trois Rois !
Ici, la question de la date précise de la naissance de Jésus n’est pas importante. Ce qui est important, c’est qu’on ait décidé de le fêter le 25 décembre. Il n’y a pas de hasard. C’est sciemment qu’on a choisi cette date. Et quand on écoute cette partie du vidéo, à partir de 5:58 jusqu’à la fin, il est évident que l’empreinte de l’Égypte prédynastique (et aussi de Sumer) « plane » sur les écrits bibliques.
Je mentionne l’Égypte prédynastique car les divers pharaons des différentes dynasties égyptiennes n’ont fait qu’essayer de refléter cette Égypte encore plus ancienne, antédiluvienne et ce, avec plus ou moins de succès.
Là où je me distance du contenu de ce vidéo, c’est que pour moi, le christianisme serait une transposition ésotérique, symbolique de l’histoire originelle, plutôt que des références strictement mythiques, astro-théologiques. Je crois sincèrement que le christianisme est une version qui reflète la scission qui opposent les « dieux extraterrestres » : ceux de Sumer (Enlil/Seth/Satan) vs ceux d’Égypte/Atlantide (Enki/Osiris/Horus/Jésus).
Dans le fond, le message du Christ est un message d’amour qui origine de cette Égypte antédiluvienne.
* Lien vidéo sur Dailymotion : http://www.dailymotion.com/video/xlkwn9
Date de publication : 10/10/2011
Durée : 25:31
À 6 :51 du vidéo : Maison du Pain
La Constellation de la Vierge est également appelée « La Maison du Pain », et sa représentation est une vierge portant une gerbe de blé. Cette Maison du Pain et son symbole de blé représentent août et septembre, la saison de récolte. À son tour, Bethléem, en fait, se traduit littéralement par « maison du pain ». Bethléem fait donc référence à la constellation de la Vierge, un endroit dans le ciel et non sur terre.
Anton Parks
Ed. Nouvelle Terre, 2009
Extrait p.242, Bethléem : Cependant, la question se pose : le Christ biblique serait-il né, voici plus de 2000 ans, à Bethléem, près de Jérusalem ? C’est possible ; Jésus le Christ a peut-être vu le jour dans la ville palestinienne de Bethléem. Cependant, il est intéressant de constater que l’assemblage de différentes particules égyptiennes élémentaires peut apporter une toute autre réponse qui est en parfaite concordance avec nos différentes découvertes : Bit ou Bet (qualificatif de Hathor : "merveille", "prodige") ; Râ ou Rê ("soleil", "lumière") ; Hem ("le roi" [Heru], "majesté"). Vous le savez maintenant, le L n’existe pas en ancien égyptien, et il est généralement remplacé phonétiquement par un R, cela nous donnera :
Cartouche / Hiéroglyphe que je ne peux reproduire ici.
Bit-Râ-Hem, ou Bet-Rê-Hem, ou encore Bet-Lê-Hem (Bethléem),
"Hathor, lumière du roi Heru"
Cette découverte capitale nous confirme une fois encore qu’Isis-Hathor symbolisait bien la Grande Pyramide de Gizeh.
Ici, Anton Parks démontre, contrairement au segment du vidéo de Zeitgeist, que Bethléem est bel et bien sur terre, pas seulement au ciel, et qu'en fait, c'est la Grande Pyramide de Gizeh.
À 18:09 du vidéo : Moïse
« De plus, Moïse est connu comme « Le Porteur des Lois », « Le porteur des Dix Commandements », de la « Loi de Moïse ».
On a vu dans l’entrevue avec Antoine Gigal, que pharaon veut dire « porteur ».
Lien entrevue Antoine Gigal : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=133763
*
* Lien vidéo sur YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=_NZlWUIChs8
De 2H38:40 à 3H02:02 du vidéo : Roger Sabbah dévoile une clé : Moïse serait en fait un pharaon, soit Ramsès I !
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
MES SOURCES DE RÉFLEXION 3
MES SOURCES DE RÉFLEXION 3
PATRICK LAMBERT
Pour moi, Anton Parks débroussaille le chemin vers nos origines, notre genèse. Maintenant, on peut valider de diverses façons ses écrits, en évaluer leur vraisemblance et leur cohérence par d’autres sources. Et pour moi, la conférence de Patrick Lambert vient me conforter en démontrant qu’il y a beaucoup plus qu’il n’y paraît en Égypte.
Dans le fond, quand je jette un regard sur mon cheminement, c’est à petites doses que mon intérêt pour l’Égypte s’est construit au fil du temps. Et c’est en grande partie en sortant de la matrice religieuse qu’on arrive à jeter un regard plus sérieux et moins superficiel sur ce qui nous entoure. Que la lumière soit !
De même le vidéo de Zeitgeist du précédent billet prend plus de valeur après l’écoute de la conférence de Patrick Lambert. Ainsi, cette conférence de Patrick Lambert a de quoi alimenter sainement la controverse.
Conférence de Patrick Lambert sur ces étoiles et les pyramides.
Partie #2 : https://www.youtube.com/watch?v=x0WGbpOv6zs
Du début à 2:33
Patrick Lambert a mis en ligne sa conférence en plusieurs parties à partir de l’enregistrement d’ésotérisme-expériemental. Cette deuxième partie, est la plus importante. On voit qu’il y a un lien très fort entre le christianisme et l’Égypte prédynastique qui se répercute inoxérablement sur Jésus et Horus. On dit qu’il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Pour moi, l’histoire de Jésus, c’est l’histoire d’Horus qu’on raconte différemment et que l’on s’approprie à des fins intéressées.
SALLE 804 Club CRÉÉE : AVRIL 2008
Ici, en cherchant sur le net, j’ai trouvé ce vidéo mis en ligne et qui est complet. Le texte qui accompagne le vidéo est, je crois bien, d’ésotérisme-expérimental.
Conférence de Patrick Lambert : La porte des étoiles en Égypte
Lien : https://www.youtube.com/watch?v=-G_mDg2YC88
Hell-Mukmin -Dans L'Enfer Du Croyant
Publiée le 20 juin 2015
La Porte des Étoiles existe réellement !!!
Conférence de Patrick Lambert.
Ce qui déroute le plus ceux qui veulent nous contrôler, c’est qu’il arrive parfois qu’un chercheur autodidacte sortie de nulle part et n’appartenant à aucun groupe scientifique, religieux ou social connu, arrive à mettre le doigt sur une réalité sensible qu’ils s’efforçaient tant bien que mal de cacher. C’est un individu de ce genre que nous avons rencontré dans le cadre de la conférence du mois d’avril 2008.
Partie de la simple idée de représenter les chiffres d’une manière universelle en dehors de toute référence culturelle, Patrick Lambert c’est graduellement aventuré sur une piste qui l’a conduit à faire une incroyable découverte en Égypte d’aujourd’hui. Il ne s’agit pas ici de science de fusée. Seulement de simples observations à la portée de tous « branchés » sur beaucoup d’intuitions. Tout est là, devant nos yeux. Il suffit de regarder à la bonne place.
À 8:33 du vidéo(randia) : La science
Patrick Lambert : Il y a beaucoup de scientifiques qui n’acceptent pas cette thèse là parce qu’ils me disent « voilà 5 000 ans, les Égyptiens pouvaient pas connaître la position parfaite des planètes. Ça fait que c’est un gros hasard que ça lui ressemble beaucoup. »
Je lui ai dit : « ouais, ça, c’est ce que tu crois. Tu n’étais pas là voilà 5 000 ans. Tu ne peux pas vraiment juger de l’intelligence des gens voilà 5 000 ans. » Ça c’est l’être prétentieux. Parce qu’ils l’ont fait à reflet.
Si aujourd’hui, avec les technologies que l’on a, on veut dessiner la Terre, on ne peut pas faire mieux que les pyramides pour faire un dessin simple et universel. Ça fait que ça les frustre un petit peu.
À 10 :20 du vidéo : Porte des étoiles
Patrick Lambert : On se rend compte que tout le quartier de Mohandessin au Caire, est dessiné en forme de portes et fenêtres vue du ciel. Faut être dans le ciel pour voir que c’est une porte. Puis en plein milieu, c’est l’étoile la plus brillante qui serait Sirius. On va aller voir l’étoile la plus brillante dans le dessin d’une porte. On va voir à quoi ça ressemble. Là, l’objet qui est au milieu, un objet de six côtés par six, exactement comme l’étoile la plus brillante quand on la dessine. Hexagone par hexagone. C’est encore le même dessein au même endroit. Et cette fontaine-là est assez spéciale direct en partant parce que grâce aux pyramides, elle représente l’étoile la plus brillante dans le dessin d’une porte. […] Il y a même l’épaisseur du cadrage qui est identique. […] Exactement la même chose. L’étoile est à la même place. Ça c’est une église, celle de Berthierville qui date d’au moins 300 ans, minimum. Ça fait que c’est une architecture religieuse très vieille. Et on sait que la religion prône l’étoile la plus brillante par les Rois. Puis l’endroit de l’Égypte, très mentionné dans toutes les religions.
Lien : http://philippe-william-sinclair.com/entre-geometrie-sacree-du-kebek-et-pentacle-de-la-...
Une autre église qui arbore les caractéristiques évoquées par Patrick Lambert (porte des étoiles/Sirius) et Nassim Haramein (entrées des pyramides).
À 17 :07 du vidéo : La crèche !
Patrick Lambert : Les étoiles d’Orion, toutes les nuits descendent entre le 20 et le 31 décembre, arrivent très précisément comme ça. Et quand elles arrivent exactement au-dessus des pyramides, ça donne ça. La ligne droite arrive verticale…
P(3)58 : Les Trois Rois et Sirius, à la verticale au-dessus des pyramides… « Bethléem » ! J’ai une petite pensée pour les traditionnalistes…
Anton Parks
Ed. Nouvelle Terre, 2009
Extrait p.242, Bethléem : Cependant, la question se pose : le Christ biblique serait-il né, voici plus de 2000 ans, à Bethléem, près de Jérusalem ? C’est possible ; Jésus le Christ a peut-être vu le jour dans la ville palestinienne de Bethléem. Cependant, il est intéressant de constater que l’assemblage de différentes particules égyptiennes élémentaires peut apporter une toute autre réponse qui est en parfaite concordance avec nos différentes découvertes : Bit ou Bet (qualificatif de Hathor : "merveille", "prodige") ; Râ ou Rê ("soleil", "lumière") ; Hem ("le roi" [Heru], "majesté"). Vous le savez maintenant, le L n’existe pas en ancien égyptien, et il est généralement remplacé phonétiquement par un R, cela nous donnera :
Cartouche / Hiéroglyphe que je ne peux reproduire ici.
Bit-Râ-Hem, ou Bet-Rê-Hem, ou encore Bet-Lê-Hem (Bethléem),
"Hathor, lumière du roi Heru"
Cette découverte capitale nous confirme une fois encore qu’Isis-Hathor symbolisait bien la Grande Pyramide de Gizeh.
NASSIM HARAMEIN
2012
Extrait pp.93-94 : Je sais que vous avez entendu beaucoup d’histoires sur la façon dont on a construit les pyramides. Et l’on a insisté sur leur construction très particulière, c’est un fait établi. En fonction de la théorie, entre 20 000 et 100 000 esclaves ou agriculteurs, pendant les inondations du Nil, tous les ans, allaient construire des pyramides. Et ils les ont construites, toujours selon les différentes théories, durant une période variant entre 20 et 40 ans. C’est bien joli, mais ils enseignent cela comme un fait.
Par exemple, on peut lire dans les bouquins que les pyramides ont été « construites par » et non « peut-être construites par ». C’est décrit comme un fait. Et vous croyez que ça doit être ça. Mais quand on y pense, ces gens qui ont écrit ces faits ne sont ni des ingénieurs ni des physiciens, ils ne comprennent pas nécessairement ce qu’il faut pour construire, ils ne comprennent pas nécessairement le degré de difficulté à obtenir une grande précision lorsqu’on édifie à l’aide de pierres. Ils ne comprennent pas nécessairement que le cuivre ne coupe pas la pierre. Et que, jusqu’à présent, on n’a pas trouvé comment durcir le cuivre pour tailler la pierre. Alors, ils ont simplement balancé ce genre de choses et, parce qu’ils ont un doctorat, et qu’on est au XIXe siècle et qu’ils ne peuvent imaginer autre chose, alors tout le monde se range à leur opinion. Et je vous assure, si vous préparez un doctorat en égyptologie ou sur l’étude de l’Antiquité dans les civilisations anciennes et que vous écrivez une thèse relatant un autre mode de construction, vous n’allez probablement pas obtenir votre doctorat.
J’ai été vraiment étonné lorsque j’ai commencé à étudier ces choses parce que, d’après moi, j’avais résolu un grand nombre de ces questions, mais il y avait quelque chose qui ne cessait de me titiller. Peut-être que l’Histoire de la Terre, peut-être que l’Histoire de notre civilisation est tout à fait différente de ce que nous croyons. Et si c’était vrai, je veux savoir pourquoi. Parce qu’alors, je pourrais modifier mon point de vue sur l’évolution pour le faire correspondre à la vraie réalité, à ce qui s’est passé à Gizeh. Ça pourrait grandement altérer ma perception de moi, de mes ancêtres, de la genèse des choses et de ma place dans l’Univers.
UNE PHOTO VAUT MILLE MOTS !
BONNE RÉFLEXION
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
MES SOURCES DE RÉFLEXION 3
P(3)58 : Les Trois Rois et Sirius, à la verticale au-dessus des pyramides… « Bethléem » ! J’ai une petite pensée pour les traditionnalistes…
Le Trismégiste!!!
C'est fort les concordances de Patrick Lambert en parallèle!
Merci Panthère
MES SOURCES DE RÉFLEXION 3 Patrick Lambert / Portes Étoiles
MES SOURCES DE RÉFLEXION 3
Mise à jour ce mercredi 01 juin 2016
Comme l'utilisateur a supprimé le vidéo complet de la conférence de Patrick Lambert sur La Porte des Étoiles, je mets donc la même conférence en plusieurs parties exactement comme l'a mise Patrick Lambert lui-même sur Youtube.
Partie 1
À 8:25 du vidéo(randia) : La science
Patrick Lambert : Il y a beaucoup de scientifiques qui n’acceptent pas cette thèse là parce qu’ils me disent « voilà 5 000 ans, les Égyptiens pouvaient pas connaître la position parfaite des planètes. Ça fait que c’est un gros hasard que ça lui ressemble beaucoup. »
Je lui ai dit : « ouais, ça, c’est ce que tu crois. Tu n’étais pas là voilà 5 000 ans. Tu ne peux pas vraiment juger de l’intelligence des gens voilà 5 000 ans. » Ça c’est l’être prétentieux. Parce qu’ils l’ont fait à reflet.
[quote]Si aujourd’hui, avec les technologies que l’on a, on veut dessiner la Terre, on ne peut pas faire mieux que les pyramides pour faire un dessin simple et universel. Ça fait que ça les frustre un petit peu.[/quote]
Partie 2
Du début à 2:33
Patrick Lambert a mis en ligne sa conférence en plusieurs parties à partir de l’enregistrement d’ésotérisme-expériemental. Cette deuxième partie, est la plus importante. On voit qu’il y a un lien très fort entre le christianisme et l’Égypte prédynastique qui se répercute inoxérablement sur Jésus et Horus. On dit qu’il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Pour moi, l’histoire de Jésus, c’est l’histoire d’Horus qu’on raconte différemment et que l’on s’approprie à des fins intéressées.
À 1:12 du vidéo : Porte des étoiles
Patrick Lambert : On se rend compte que tout le quartier de Mohandessin au Caire, est dessiné en forme de portes et fenêtres vue du ciel. Faut être dans le ciel pour voir que c’est une porte. Puis en plein milieu, c’est l’étoile la plus brillante qui serait Sirius. On va aller voir l’étoile la plus brillante dans le dessin d’une porte. On va voir à quoi ça ressemble. Là, l’objet qui est au milieu, un objet de six côtés par six, exactement comme l’étoile la plus brillante quand on la dessine. Hexagone par hexagone. C’est encore le même dessein au même endroit. Et cette fontaine-là est assez spéciale direct en partant parce que grâce aux pyramides, elle représente l’étoile la plus brillante dans le dessin d’une porte. […] Il y a même l’épaisseur du cadrage qui est identique. […] Exactement la même chose. L’étoile est à la même place. Ça c’est une église, celle de Berthierville qui date d’au moins 300 ans, minimum. Ça fait que c’est une architecture religieuse très vieille. Et on sait que la religion prône l’étoile la plus brillante par les Rois. Puis l’endroit de l’Égypte, très mentionné dans toutes les religions.
Une autre église qui arbore les caractéristiques évoquées par Patrick Lambert (porte des étoiles/Sirius) et Nassim Haramein (entrées des pyramides).
À 7 :59 du vidéo : La crèche !
Patrick Lambert : Les étoiles d’Orion, toutes les nuits descendent entre le 20 et le 31 décembre, arrivent très précisément comme ça. Et quand elles arrivent exactement au-dessus des pyramides, ça donne ça. La ligne droite arrive verticale…
P(3)58 : Les Trois Rois et Sirius, à la verticale au-dessus des pyramides… « Bethléem » ! J’ai une petite pensée pour les traditionnalistes…
Partie 3
Partie 4
Partie 5
Partie 6
---
L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
MES SOURCES DE RÉFLEXION 3 P. Lambert Porte des Étoiles MAJ
MES SOURCES DE RÉFLEXION 3 Porte des Étoiles
En rouge : ajout / mise à jour, précédée d'un *
PATRICK LAMBERT
* Pour moi, Anton Parks débroussaille le chemin vers nos origines, notre genèse. Maintenant, on peut valider de diverses façons ses écrits, en évaluer leur vraisemblance et leur cohérence par d’autres sources. Et pour moi, la conférence de Patrick Lambert vient me conforter en démontrant qu’il y a beaucoup plus qu’il n’y paraît en Égypte.
Dans le fond, quand je jette un regard sur mon cheminement, c’est à petites doses que mon intérêt pour l’Égypte s’est construit au fil du temps. Et c’est en grande partie en sortant de la matrice religieuse qu’on arrive à jeter un regard plus sérieux et moins superficiel sur ce qui nous entoure. Que la lumière soit !
De même le vidéo de Zeitgeist du précédent billet prend plus de valeur après l’écoute de la conférence de Patrick Lambert. Ainsi, cette conférence de Patrick Lambert a de quoi alimenter sainement la controverse.
Conférence de Patrick Lambert sur ces étoiles et les pyramides.
Partie #2 : https://www.youtube.com/watch?v=x0WGbpOv6zs
*
Du début à 2:33
* Patrick Lambert a mis en ligne sa conférence en plusieurs parties à partir de l’enregistrement d’ésotérisme-expériemental. Cette deuxième partie, est la plus importante. On voit qu’il y a un lien très fort entre le christianisme et l’Égypte prédynastique qui se répercute inoxérablement sur Jésus et Horus. On dit qu’il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Pour moi, l’histoire de Jésus, c’est l’histoire d’Horus qu’on raconte différemment et que l’on s’approprie à des fins intéressées.
SALLE 804 Club CRÉÉE : AVRIL 2008
* Ici, en cherchant sur le net, j’ai trouvé ce vidéo mis en ligne et qui est complet. Le texte qui accompagne le vidéo est, je crois bien, d’ésotérisme-expérimental.
Conférence de Patrick Lambert : La porte des étoiles en Égypte
* Lien vidéo Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=tGM5JjUqUgo
*
* Comme le vidéo n'est plus accessible, j'ai trouvé un autre lien. Mais j'ai gardé la présentation de l'ancien lien puisque je pense que cette présentation est d'Orandia.
La Porte des Étoiles existe réellement !!!
Conférence de Patrick Lambert.
Ce qui déroute le plus ceux qui veulent nous contrôler, c’est qu’il arrive parfois qu’un chercheur autodidacte sortie de nulle part et n’appartenant à aucun groupe scientifique, religieux ou social connu, arrive à mettre le doigt sur une réalité sensible qu’ils s’efforçaient tant bien que mal de cacher. C’est un individu de ce genre que nous avons rencontré dans le cadre de la conférence du mois d’avril 2008.
Partie de la simple idée de représenter les chiffres d’une manière universelle en dehors de toute référence culturelle, Patrick Lambert c’est graduellement aventuré sur une piste qui l’a conduit à faire une incroyable découverte en Égypte d’aujourd’hui. Il ne s’agit pas ici de science de fusée. Seulement de simples observations à la portée de tous « branchés » sur beaucoup d’intuitions. Tout est là, devant nos yeux. Il suffit de regarder à la bonne place.
* À 8:24 du vidéo(randia) : La science
Patrick Lambert : Il y a beaucoup de scientifiques qui n’acceptent pas cette thèse là parce qu’ils me disent « voilà 5 000 ans, les Égyptiens pouvaient pas connaître la position parfaite des planètes. Ça fait que c’est un gros hasard que ça lui ressemble beaucoup. »
Je lui ai dit : « ouais, ça, c’est ce que tu crois. Tu n’étais pas là voilà 5 000 ans. Tu ne peux pas vraiment juger de l’intelligence des gens voilà 5 000 ans. » Ça c’est l’être prétentieux. Parce qu’ils l’ont fait à reflet.
Si aujourd’hui, avec les technologies que l’on a, on veut dessiner la Terre, on ne peut pas faire mieux que les pyramides pour faire un dessin simple et universel. Ça fait que ça les frustre un petit peu.
* À 10 :12 du vidéo : Porte des étoiles
Patrick Lambert : On se rend compte que tout le quartier de Mohandessin au Caire, est dessiné en forme de portes et fenêtres vue du ciel. Faut être dans le ciel pour voir que c’est une porte. Puis en plein milieu, c’est l’étoile la plus brillante qui serait Sirius. On va aller voir l’étoile la plus brillante dans le dessin d’une porte. On va voir à quoi ça ressemble. Là, l’objet qui est au milieu, un objet de six côtés par six, exactement comme l’étoile la plus brillante quand on la dessine. Hexagone par hexagone. C’est encore le même dessein au même endroit. Et cette fontaine-là est assez spéciale direct en partant parce que grâce aux pyramides, elle représente l’étoile la plus brillante dans le dessin d’une porte. […] Il y a même l’épaisseur du cadrage qui est identique. […] Exactement la même chose. L’étoile est à la même place. Ça c’est une église, celle de Berthierville qui date d’au moins 300 ans, minimum. Ça fait que c’est une architecture religieuse très vieille. Et on sait que la religion prône l’étoile la plus brillante par les Rois. Puis l’endroit de l’Égypte, très mentionné dans toutes les religions.
Lien : http://philippe-william-sinclair.com/entre-geometrie-sacree-du-kebek-et-pentacle-de-la-...
Une autre église qui arbore les caractéristiques évoquées par Patrick Lambert (porte des étoiles/Sirius) et Nassim Haramein (entrées des pyramides).
* À 16:59 du vidéo : La crèche !
* Patrick Lambert : Les étoiles d’Orion, toutes les nuits descendent entre le 20 et le 31 décembre, arrivent très précisément comme ça. Et quand elles arrivent exactement au-dessus des pyramides, ça donne ça. La ligne droite arrive verticale…
P(3)58 : Les Trois Rois et Sirius, à la verticale au-dessus des pyramides… « Bethléem » ! J’ai une petite pensée pour les traditionnalistes…
Anton Parks
Ed. Nouvelle Terre, 2009
Extrait p.242, Bethléem : Cependant, la question se pose : le Christ biblique serait-il né, voici plus de 2000 ans, à Bethléem, près de Jérusalem ? C’est possible ; Jésus le Christ a peut-être vu le jour dans la ville palestinienne de Bethléem. Cependant, il est intéressant de constater que l’assemblage de différentes particules égyptiennes élémentaires peut apporter une toute autre réponse qui est en parfaite concordance avec nos différentes découvertes : Bit ou Bet (qualificatif de Hathor : "merveille", "prodige") ; Râ ou Rê ("soleil", "lumière") ; Hem ("le roi" [Heru], "majesté"). Vous le savez maintenant, le L n’existe pas en ancien égyptien, et il est généralement remplacé phonétiquement par un R, cela nous donnera :
Cartouche / Hiéroglyphe que je ne peux reproduire ici.
Bit-Râ-Hem, ou Bet-Rê-Hem, ou encore Bet-Lê-Hem (Bethléem),
"Hathor, lumière du roi Heru"
Cette découverte capitale nous confirme une fois encore qu’Isis-Hathor symbolisait bien la Grande Pyramide de Gizeh.
NASSIM HARAMEIN
2012
Extrait pp.93-94 : Je sais que vous avez entendu beaucoup d’histoires sur la façon dont on a construit les pyramides. Et l’on a insisté sur leur construction très particulière, c’est un fait établi. En fonction de la théorie, entre 20 000 et 100 000 esclaves ou agriculteurs, pendant les inondations du Nil, tous les ans, allaient construire des pyramides. Et ils les ont construites, toujours selon les différentes théories, durant une période variant entre 20 et 40 ans. C’est bien joli, mais ils enseignent cela comme un fait.
Par exemple, on peut lire dans les bouquins que les pyramides ont été « construites par » et non « peut-être construites par ». C’est décrit comme un fait. Et vous croyez que ça doit être ça. Mais quand on y pense, ces gens qui ont écrit ces faits ne sont ni des ingénieurs ni des physiciens, ils ne comprennent pas nécessairement ce qu’il faut pour construire, ils ne comprennent pas nécessairement le degré de difficulté à obtenir une grande précision lorsqu’on édifie à l’aide de pierres. Ils ne comprennent pas nécessairement que le cuivre ne coupe pas la pierre. Et que, jusqu’à présent, on n’a pas trouvé comment durcir le cuivre pour tailler la pierre. Alors, ils ont simplement balancé ce genre de choses et, parce qu’ils ont un doctorat, et qu’on est au XIXe siècle et qu’ils ne peuvent imaginer autre chose, alors tout le monde se range à leur opinion. Et je vous assure, si vous préparez un doctorat en égyptologie ou sur l’étude de l’Antiquité dans les civilisations anciennes et que vous écrivez une thèse relatant un autre mode de construction, vous n’allez probablement pas obtenir votre doctorat.
J’ai été vraiment étonné lorsque j’ai commencé à étudier ces choses parce que, d’après moi, j’avais résolu un grand nombre de ces questions, mais il y avait quelque chose qui ne cessait de me titiller. Peut-être que l’Histoire de la Terre, peut-être que l’Histoire de notre civilisation est tout à fait différente de ce que nous croyons. Et si c’était vrai, je veux savoir pourquoi. Parce qu’alors, je pourrais modifier mon point de vue sur l’évolution pour le faire correspondre à la vraie réalité, à ce qui s’est passé à Gizeh. Ça pourrait grandement altérer ma perception de moi, de mes ancêtres, de la genèse des choses et de ma place dans l’Univers.
UNE PHOTO VAUT MILLE MOTS !
BONNE RÉFLEXION !
* Après on viendra me dire que le christianisme n'est pas une copie de l'Égypte d'Horus, d'Osiris et d'Isis. Les Évangiles du Nouveau Testament sont reliés à l'histoire de ces divinités égyptiennes. Mais, la résistance au changement est énorme à cause du formatage tous azimut.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
MES SOURCES DE RÉFLEXION 4
MES SOURCES DE RÉFLEXION 4
La science-fiction est un autre outil de réflexion parmi mes sources.
Dès l’apparition des dessins animés des Transformers dans les années 80, j’ai été fasciné et séduit par ceux-ci. Dans la vingtaine, je suis non seulement retombé en « enfance », d’une certaine façon, mais j’y voyais aussi un véhicule dont on se servait pour passer des messages que je qualifierais avec du recul, d’ésotériques, de spirituels. Quand les films sont sortis, j’étais un fan comblé.
Le deuxième film a été sévèrement touché par la critique. Pourtant, de mon point de vue, c’est le meilleur des quatre jusqu’à présent. Mais c’est sûr que je le regarde à un autre niveau que juste un divertissement. Et l’analogie avec Anton Parks et notre genèse y est troublante, voire fascinante tout au long du film.
L’histoire d’Optimus Prime est en lien avec celle d’Osiris ressuscité en Horus. Il va sacrifier sa vie pour sauver l’humanité comme Osiris a pris parti pour l’humanité, se mettant ainsi à dos les autres « dieux » qui le considéreront comme un traître à éliminer.
Optimus vient donc à la rescousse de Sam, qui représente l’humanité, car il possède des données engrammées dans sa mémoire que les Décepticons recherchent pour pouvoir transformer toute l’énergie du Soleil en énergon ce qui, du même coup, anéantirait toute vie sur la planète.
Et ce faisant, il est tué dans un endroit très symbolique qui représente la croix/l'arbre de Jésus.
Anton Parks
Ed. Nouvelle Terre, 2009
Extrait, p.114, Coffre : 4. Osiris enfermé dans le coffre : le coffre n’est rien d’autre que le réceptacle où l’on dépose un trésor matériel ou spirituel. Le coffre est l’instrument de la présence divine. Fermer un coffre et dissimuler son contenu revient à cacher un secret. Le coffre désigne aussi le tabernacle qui occupe le milieu de l’autel d’une église, lequel contient le ciboire (vase des hosties consacrées), ainsi que celle l’arche de la Nouvelle Alliance. Cette alliance n’est autre que celle établie entre Yahvé et l’humanité, celle qui passe par le sacrifice du Christ attaché sur la croix et se matérialise à travers le symbole de l’Eucharistie.
5. Le coffre se transforme en arbre : ce détail est sans doute là pour coïncider avec les versions datant d’avant le Nouvel Empire, lesquelles stipulent bien qu’Osiris aurait été attaché à un arbre (sycomore ou tamaris) ou aurait fusionné à un arbre sacré lors de sa mort (par ex. Textes des Pyramides, des Sarcophages, papyrus Louvre N 3129…) Ceci fait bien entendu penser à Jésus-Christ.
Comme pour Osiris, on récupère ses morceaux et on les ramène en Égypte près de la Grande Pyramide (Bethléem, la crèche…) pour y être ramené à la vie, ressuscité par l’énergie de la matrice.
On peut facilement identifier Mégatron à Seth, Enlil, Satan et les Décepticons aux Anunnaki. De même, on peut relier Optimus Prime à Osiris, Enki, serpent biblique, Horus, Jésus, et les Autobots aux Nungal (les Veilleurs, les anges « déchus »).
Et, dans le récit de Parks, le premier nom d’Osiris est Sa’am !
Le titre de « Prime » accolé à Optimus peut être associé à la notion de Kirišti d’Anton Parks.
En tout cas, à mes yeux c’est un film très symbolique et il met en vedette les étoiles et le terrain de jeu de Patrick Lambert de mon billet précédent.
J’ai retranscris les dialogues en anglais et en français d’une séquence en lien avec Patrick Lambert et Anton Parks.
Transformers 2 : The Revenge of The Fallen / La Revanche
Décepticons à la recherche d’énergon. (énergie vitale)
Anunnaki à la recherché d’or. (immortalité)
(La poussière d’or : À la Croisée des Mondes : La Boussole d’Or)
À 1H13:35 du vidéo : L’affrontement mortel
Pendant le combat, confronté à trois adversaires, Optimus va puiser en lui pour soudainement avoir les mains comme en « feu » pour espérer renverser la donne et gagner le combat. On peut penser ici au sabre laser des Jedi et au cristal d’Anton Parks.
À 1H53:40 du vidéo :
Jetfire : Only a Prime can defeat the Fallen.
Seul un Prime pourra vaincre le Fallen.
Sam : Optimus Prime ?
Jetfire : So, you’ve met a Prime ? Why, you must have met a great descendant. Is he alive, here on this planet ?
Tu aurais rencontré un Prime ? Ou bien, tu as dû rencontrer un lointain descendant. Est-il en vie, est-il ici sur cette planète ?
Sam : He sacrificed himself to save me.
En cherchant à me sauver, il s’est sacrifié.
Jetfire : So, he’s dead. Without a Prime, it’s impossible. No one else could stop the Fallen.
Donc, il est mort. Sans un Prime, c’est impossible. Personne d’autre ne peut arrêter le Fallen.
Sam : So, the same energy that’s gonna be used to reactivate the machine, could that energy somehow be used to reactivate Optimus and bring him back to life ?
Si selon toi cette énergie est capable de réactiver la machine, crois-tu qu’en utilisant cette énergie on serait capable de réactiver Optimus et de le ramener à la vie ?
Jetfire : It was never designed for that purpose, but it’s an energy like no other.
Elle n’a pas été conçue pour un tel emploi. Mais c’est vrai qu’elle est supérieure aux autres.
Sam : So, then how do you gets us to the Matrix before the Decepticons get to me ?
Dans ce cas, comment va-t-on trouver cette matrice avant que ce soit les Décepticons qui me trouvent ?
Jetfire : Follow your mind, your map, your symbols. What you carved in the sand, it’s your clue. When dawn alights the Dagger’s Tip, Three Kings will reveal the doorway ! Find the doorway ! Go now ! Go ! That was my mission. It’s your mission now. Go before the Decepticons find me and find you.
Suis ton esprit, la carte est en toi, dans les symboles que tu dessines dans le sable, se cache la solution. Quand la pointe de la dague sera éclairée par l’aube, trois chevaliers te révéleront l’entrée. Tu dois trouver l’entrée. Cours Sam, cours. C’était ma mission. C’est devenu la tienne. Cours Sam avant que les Décepticons me repèrent et qu’on te retrouve.
Simmons : Okay, here’s what my CIA contact says. Ancient Sumerians used to call the Gulf of Aqaba the « Dagger’s Tip ».
Ok, selon mes contacts à la CIA, les Anciens Sumériens avaient donné le nom de Pointe de la Dague au golfe d’Agoba.
Sam : That’s the Dagger’s Tip.
La Pointe de la Dague, j’ai compris.
Simmons : It’s part of the Red Sea. It divides Egypt and Jordan like the tip of a blade.
La mer Rouge à cet endroit sépare l’Égypte de la Jordanie comme la pointe d’une dague.
Sam : First thing we’ve got to do is get Optimus to the Dagger’s Tip.
Ce qu’il faut, c’est d’arriver à y amener Optimus.
À partir de 2H02:10 du vidéo : Sirius et les Trois Rois
Sam : Okay, you see these three stars ? You see how the last one touches the horizon ? That’s Orion’s belt, but it’s also called the Three Kings. And the reason for that is the three Egyptian kings who built the pyramids of Giza built them to mirror these stars. So, it’s like an arrow staring us straight in the face.
Ok, vous voyez ces trois étoiles ? Vous voyez comme la dernière touche l’horizon ? C’est la ceinture d’Orion. Mais on les appelle aussi les Trois Rois. Il y a une raison à cela. Les trois rois égyptiens qui ont fait bâtir les pyramides de Gizeh voulaient à tout prix représenter ces étoiles.
Au cas où le vidéo serait enlevé, ce qui arrive souvent, en voici un autre anglais/français qui met en scène l’affrontement mortel entre Optimus et les trois Décepticons dont leur chef Mégatron.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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ROIS MAGES : Mise à jour
MES SOURCES DE RÉFLEXION 4
À CAUSE DES LIENS VIDÉOS QUI ONT ÉTÉ MODIFIÉS, JE REPRENDS MES BILLETS POUR FAIRE LA MISE À JOUR. SI ON ME DONNAIT LA PERMISSION À LA PLACE DE MODIFIER MES BILLETS CE SERAIT PLUS SIMPLE. JE FAIS LA PROMESSE SOLENNELLE DE NE RIEN EFFACER. EN ATTENDANT, JE DOIS AJOUTER UN BILLET DE MISE À JOUR À CHAQUE BILLET QUI LE NÉCESSITE.
C'est étonnant comme on retrouve dans ce film toute la symbolique des origines de l'humanité. Optimus Prime (Enki, Osiris, ressuscité en Horus qui défend l'humanité) contre les Décepticons (Anunnaki d'Enlil / Seth). Et on y retrouve des éléments du Tome 0 des Chroniques du Girku d'Anton Parks.
La science-fiction est un autre outil de réflexion parmi mes sources.Dès l’apparition des dessins animés des Transformers dans les années 80, j’ai été fasciné et séduit par ceux-ci. Dans la vingtaine, je suis non seulement retombé en « enfance », d’une certaine façon, mais j’y voyais aussi un véhicule dont on se servait pour passer des messages que je qualifierais avec du recul, d’ésotériques, de spirituels. Quand les films sont sortis, j’étais un fan comblé.
Le deuxième film a été sévèrement touché par la critique. Pourtant, de mon point de vue, c’est le meilleur des quatre jusqu’à présent. Mais c’est sûr que je le regarde à un autre niveau que juste un divertissement. Et l’analogie avec Anton Parks et notre genèse y est troublante, voire fascinante tout au long du film.
OU LIEN VIDÉO SUR YOUTUBE : https://www.youtube.com/watch?v=u9uUVkYB6Aw
OU LIEN VIDÉO SUR YOUTUBE : https://www.youtube.com/watch?v=v9CtVUX_Haw
L’histoire d’Optimus Prime est en lien avec celle d’Osiris ressuscité en Horus. Il va sacrifier sa vie pour sauver l’humanité comme Osiris a pris parti pour l’humanité, se mettant ainsi à dos les autres « dieux » qui le considéreront comme un traître à éliminer.Optimus vient donc à la rescousse de Sam, qui représente l’humanité, car il possède des données engrammées dans sa mémoire que les Décepticons recherchent pour pouvoir transformer toute l’énergie du Soleil en énergon ce qui, du même coup, anéantirait toute vie sur la planète.
Et ce faisant, il est tué dans un endroit très symbolique qui représente la croix/l'arbre de Jésus.
Anton Parks
Ed. Nouvelle Terre, 2009Extrait, p.114, Coffre : 4. Osiris enfermé dans le coffre : le coffre n’est rien d’autre que le réceptacle où l’on dépose un trésor matériel ou spirituel. Le coffre est l’instrument de la présence divine. Fermer un coffre et dissimuler son contenu revient à cacher un secret. Le coffre désigne aussi le tabernacle qui occupe le milieu de l’autel d’une église, lequel contient le ciboire (vase des hosties consacrées), ainsi que celle l’arche de la Nouvelle Alliance. Cette alliance n’est autre que celle établie entre Yahvé et l’humanité, celle qui passe par le sacrifice du Christ attaché sur la croix et se matérialise à travers le symbole de l’Eucharistie.
5. Le coffre se transforme en arbre : ce détail est sans doute là pour coïncider avec les versions datant d’avant le Nouvel Empire, lesquelles stipulent bien qu’Osiris aurait été attaché à un arbre (sycomore ou tamaris) ou aurait fusionné à un arbre sacré lors de sa mort (par ex. Textes des Pyramides, des Sarcophages, papyrus Louvre N 3129…) Ceci fait bien entendu penser à Jésus-Christ.
Comme pour Osiris, on récupère ses morceaux et on les ramène en Égypte près de la Grande Pyramide (Bethléem, la crèche…) pour y être ramené à la vie, ressuscité par l’énergie de la matrice.
On peut facilement identifier Mégatron à Seth, Enlil, Satan et les Décepticons aux Anunnaki. De même, on peut relier Optimus Prime à Osiris, Enki, serpent biblique, Horus, Jésus, et les Autobots aux Nungal (les Veilleurs, les anges « déchus »).
Et, dans le récit de Parks, le premier nom d’Osiris est Sa’am !
Le titre de « Prime » accolé à Optimus peut être associé à la notion de Kirišti d’Anton Parks.
En tout cas, à mes yeux c’est un film très symbolique et il met en vedette les étoiles et le terrain de jeu de Patrick Lambert de mon billet précédent.
J’ai retranscris les dialogues en anglais et en français d’une séquence en lien avec Patrick Lambert et Anton Parks.
Transformers 2 : The Revenge of The Fallen / La Revanche
OU LIEN VIDÉO SUR YOUTUBE : https://www.youtube.com/watch?v=oYjqytno7mA
Décepticons à la recherche d’énergon. (énergie vitale)
Anunnaki à la recherché d’or. (immortalité)
(La poussière d’or : À la Croisée des Mondes : La Boussole d’Or)À 0H48:22 du vidéo : L’affrontement mortel
Pendant le combat, confronté à trois adversaires, Optimus va puiser en lui pour soudainement avoir les mains comme en « feu » pour espérer renverser la donne et gagner le combat. On peut penser ici au sabre laser des Jedi et au cristal d’Anton Parks.
À 1H12:06 du vidéo :
Jetfire : Only a Prime can defeat the Fallen.
Seul un Prime pourra vaincre le Fallen.
Sam : Optimus Prime ?
Jetfire : So, you’ve met a Prime ? Why, you must have met a great descendant. Is he alive, here on this planet ?
Tu aurais rencontré un Prime ? Ou bien, tu as dû rencontrer un lointain descendant. Est-il en vie, est-il ici sur cette planète ?
Sam : He sacrificed himself to save me.
En cherchant à me sauver, il s’est sacrifié.
Jetfire : So, he’s dead. Without a Prime, it’s impossible. No one else could stop the Fallen.
Donc, il est mort. Sans un Prime, c’est impossible. Personne d’autre ne peut arrêter le Fallen.
Sam : So, the same energy that’s gonna be used to reactivate the machine, could that energy somehow be used to reactivate Optimus and bring him back to life ?
Si selon toi cette énergie est capable de réactiver la machine, crois-tu qu’en utilisant cette énergie on serait capable de réactiver Optimus et de le ramener à la vie ?
Jetfire : It was never designed for that purpose, but it’s an energy like no other.
Elle n’a pas été conçue pour un tel emploi. Mais c’est vrai qu’elle est supérieure aux autres.
Sam : So, then how do you gets us to the Matrix before the Decepticons get to me ?
Dans ce cas, comment va-t-on trouver cette matrice avant que ce soit les Décepticons qui me trouvent ?
Jetfire : Follow your mind, your map, your symbols. What you carved in the sand, it’s your clue. When dawn alights the Dagger’s Tip, Three Kings will reveal the doorway ! Find the doorway ! Go now ! Go ! That was my mission. It’s your mission now. Go before the Decepticons find me and find you.
Suis ton esprit, la carte est en toi, dans les symboles que tu dessines dans le sable, se cache la solution. Quand la pointe de la dague sera éclairée par l’aube, trois chevaliers te révéleront l’entrée. Tu dois trouver l’entrée. Cours Sam, cours. C’était ma mission. C’est devenu la tienne. Cours Sam avant que les Décepticons me repèrent et qu’on te retrouve.
Simmons : Okay, here’s what my CIA contact says. Ancient Sumerians used to call the Gulf of Aqaba the « Dagger’s Tip ».
Ok, selon mes contacts à la CIA, les Anciens Sumériens avaient donné le nom de Pointe de la Dague au golfe d’Agoba.
Sam : That’s the Dagger’s Tip.
La Pointe de la Dague, j’ai compris.
Simmons : It’s part of the Red Sea. It divides Egypt and Jordan like the tip of a blade.
La mer Rouge à cet endroit sépare l’Égypte de la Jordanie comme la pointe d’une dague.
Sam : First thing we’ve got to do is get Optimus to the Dagger’s Tip.
Ce qu’il faut, c’est d’arriver à y amener Optimus.
À partir de 1H19:19 du vidéo : Sirius et les Trois Rois
Sam : Okay, you see these three stars ? You see how the last one touches the horizon ? That’s Orion’s belt, but it’s also called the Three Kings. And the reason for that is the three Egyptian kings who built the pyramids of Giza built them to mirror these stars. So, it’s like an arrow staring us straight in the face.
Ok, vous voyez ces trois étoiles ? Vous voyez comme la dernière touche l’horizon ? C’est la ceinture d’Orion. Mais on les appelle aussi les Trois Rois. Il y a une raison à cela. Les trois rois égyptiens qui ont fait bâtir les pyramides de Gizeh voulaient à tout prix représenter ces étoiles.
Au cas où le vidéo serait enlevé, ce qui arrive souvent, en voici un autre anglais/français qui met en scène l’affrontement mortel entre Optimus et les trois Décepticons dont leur chef Mégatron.
OU LIEN VIDÉO SUR YOUTUBE : https://www.youtube.com/watch?v=DgQHgy7Nmkk
OU LIEN VIDÉO SUR YOUTUBE : https://www.youtube.com/watch?v=BPcnR0e9gP4
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SirQriS - LES ROIS MAGES : Mise à jour 2018 K-LyS
BETHLÉEM et L'IDENTITIÉ VRAISEMBLABLE DES ROIS MAGES
Anton Parks
Ed. Nouvelle Terre, 2009
BETHLÉEM et L’IDENTITÉ DES ROIS MAGES
Et si la tradition ésotérique était fondée sur de fausses prémisses ou des prémisses incomplètes ?
Extrait p.242
Cependant, la question se pose : le Christ biblique serait-il né, voici plus de 2000 ans, à Bethléem, près de Jérusalem ? C’est possible ; Jésus le Christ a peut-être vu le jour dans la ville palestinienne de Bethléem. Cependant, il est intéressant de constater que l’assemblage de différentes particules égyptiennes élémentaires peut apporter une tout autre réponse qui est en parfaite concordance avec nos différentes découvertes : Bit ou Bet (qualificatif de Hathor : "merveille"), "prodige" ; Râ ou Rê ("soleil", "lumière") ; Hem ("le roi" [Heru], "majesté"). Vous le savez maintenant, le L n’existe pas en ancien égyptien, et il est généralement remplacé phonétiquement par R, cela nous donnera :
Bit-Râ-Hem, ou Bet-Rê-Hem, ou encore Bet-Lê-Hem (Bethléem), "Hathor, lumière du roi Heru"
Cette découverte capitale nous confirme une fois encore qu’Isis-Hathor symbolisait bien la Grande Pyramide de Gizeh.
Extrait p.251
Les trois mages, sœurs d’Hathor
L’histoire de la naissance du Christ Jésus, consignée en langue grecque dans l’Évangile de Matthieu, nous parle d’un astre, ou d’une étoile, qui aurait annoncé la naissance du Messie. Cette étoile – (Aster) en grec, ou Ashter en égyptien – rappelle l’œil du firmament qui a témoigné de la naissance d’Horus en tant que Phénix. Ne s’agit-il pas d’Ištar, la planète Vénus sous son nom akkadien ? La chute de Vénus-Lucifer est énoncée en Isaïe 14:12…
Dans la mythologie égyptienne, Horus est bien le fils de l’aurore. L’aurore étant incarnée en Isis et le crépuscule en Nephtys.
Extrait p.252
La naissance de Jésus est rattachée à la présence des rois mages. Le mot "mage" provient du grec Magoi (Magos au pluriel), lui-même étant tiré du persan Magi (Magus au pluriel) qui désigne une personne savante, experte dans l’observation des astres. C’est de ce terme que dérive le mot "magique". Nous ne manquerons pas de décomposer Magi en sumérien, à savoir MA-GI6, "attaché à la nuit", et MA-GI7, "noble qui place ou attache". Vous allez constater d’ici peu que ces deux décompositions nous apporteront la réponse quant à l’identité de ces rois mages.
Le terme hébreu utilisé dans la Bible judaïque pour évoquer les mages est généralement Chakam, qui signifie "intelligent", "sage" et "habile". Ce même mot se retrouve comme par hasard en égyptien sous la forme Sakam, qu’on traduit par "enfant" ou "fils de la déesse égyptienne Satkamt". Le nom Satkamt se décompose littéralement en Sat, "vache noire", et Kamt, "sombre-brillant". Dans ces conditions, ne faut-il pas plutôt voir ces Sakam comme des personnes qui n’observaient pas des astres, mais qui étaient plutôt assimilées à ces astres, ou étoiles ? En tant que représentant(e)s de la Déesse-Mère (Hathor, la Vache céleste), les Sakam égyptiens étaient bien "les enfants de la Vache noire, à la fois sombre et brillante". Un homophone égyptien, Kam, exprime également un "parachèvement" ou un "accomplissement", ce qui nous laisse à penser que les Satkam égyptiennes étaient initialement des "Vaches noires du parachèvement" du Yuef (corps) d’Osiris.
Extrait p.253
La tradition orale prétend que les mages qui sont venus à la rencontre du Christ étaient au nombre de trois. Les accoucheuses qui ont accompagné Isis lors de l’enfantement de Heru (Jésus ?) étaient également trois. La pensée judaïque affirme que ces trois Chakam, "habile(s)" ou Satkam, auraient apporté richesses et parfums, à savoir l’or (la royauté), l’encens (la divinité) et la myrrhe (la passion), à l’enfant Jésus. Les trois déesses pleureuses qui accompagnaient Isis lors du rituel de "la lumière de l’horizon", [lequel] avait pour objectif de ranimer l’âme de Sa’am, dit ("l’assassiné"), dans le corps d’Heru (Horus) sont assurément ces trois personnages qui se retrouvent aujourd’hui dans le Nouveau Testament sous la forme des rois mages. Dans la Bible, elles ne sont plus là pour assister Marie (Isis) lors de son accouchement, mais pour témoigner de la royauté du Christ Messie (Horus).
Dans la mythologie égyptienne, Isis-Hathor régit le Meskhenet, "la chambre des naissances". Elles et ses trois sœurs : Nephtys (Inanna-Ištar), Serkit (Ninmah) et Neith (Dim’mege ou Lilith), forment les quatre Meskhenut, les déesses de la naissance. On trouve symboliquement Isis et ses trois sœurs sur les quatre faces des colonnes des sanctuaires dédiés à Hathor. Cet ensemble de déesses forme les quatre faces cachés d’Hathor, à savoir : la mère des origines (Serkit-Ninmah), la mère et femme d’Horus (Isis-Sé’et ou Hathor elle-même), la mère initiatrice (Nephtys-Inanna) et la mère du monde abyssal (Neith-Dim’mege). Nous pouvons aussi ajouter que les trois déesses représentent, avec Isis, les quatre piliers osiriens qui entourent le tombeau d’Osiris – selon la tradition.
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MES SOURCES DE RÉFLEXION 5
MES SOURCES DE RÉFLEXION 5
N.B. On est toujours dans la foulée de mon argumentation à savoir que pour moi, l’histoire du « Jésus » des Évangiles, c’est l’histoire d’Osiris ressuscité en Horus.
Concernant Anton Parks, il y a d’autres infos dans le dossier : Les Secrets de la Bible
Lien : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=123255
. Entre parenthèses, [ ] soit que j’ai mis le mot qui convient mieux au niveau de la compréhension de la langue française, ou celui que je pense avoir entendu.
. Entre parenthèses avec trois petits points […], je saute une narration qui n’est pas vraiment utile au niveau du message pour principalement me simplifier la tâche dans sa retranscription narrative.
Comme d’habitude, dans mes billets :
En or : des extraits de différentes sources référées
BONNE RÉFLEXION !
En vert : interventions des participants au vidéo
En bleu : mes commentaires personnels
Normal : des explications, précisions
En gras : titre ou souligner l’importance
Émission d’Ésotérisme-Expérimental :
Table ronde sur Jésus à l’occasion de Noël 1993
P(3)58 : J’apprécie au plus haut point cette émission d’archives qu’Alliance Pure a mis en ligne. Je recoupe l’information de différentes sources allant de Noël 1993 à aujourd’hui. Avec mes réflexions, bien sûr. Et à chaque fois, tout pointe vers l’Égypte et le fait que l’histoire des Évangiles, de l’Ancien Testament, c’est l’histoire de l’Égypte, avant et après le Grand Déluge. Donc, pour moi, Jésus incarne l’histoire d’Horus.
Alors quand on dit que les livres d’Anton Parks c’est de la pure fiction, j’aimerais bien qu’on me fasse la démonstration que celle de Jésus n’en est pas une ! Les Évangiles sont encore plus fictifs que les chroniques d’Anton Parks et on est en pâmoison devant tout ce qui y est relié. Déjà que des épithètes de Jésus ont été empruntées à Horus… principalement « L’Étoile du Matin ». J’y reviendrai pour faire suite à ce billet.
Avec comme invités : Robert Domingue, Robert Saint-Onge, François Payotte, et bien sûr, l’animateur Richard Glenn.
À 05:27 du vidéo : Initiation de Jésus
Richard Glenn (RG) : Est-ce que toi, Robert Saint-Onge, t’as l’impression que ça se peut ça que Jésus ait été vraiment initié en Égypte ?
Robert Saint-Onge (RSO) : C’est sûr qu’il a été initié en Égypte. Je ne sais pas pour la fuite en Égypte, mais je sais qu’il a passé 40 jours dans le désert. Et si tu regardes le désert, à côté d’Israël, c’est l’Égypte. Tu te ramasses en Égypte automatiquement. Puis les initiations égyptiennes… D’ailleurs si, la [proximité ou la connexion] entre la religion judéo-chrétienne et l’Égypte [part] de loin, ça remonte à loin. On parle de Moïse, mais on peut remonter avant Moïse aussi. Il y a beaucoup, beaucoup de textes qui sont, mention à ça pour ceux qui veulent regarder l’Histoire, la chronologie, beaucoup de textes égyptiens, Textes des Pyramides, Textes des Sarcophages, le Livre des Morts, des textes comme ça qu’on va avoir, qui ont leur pendant directement dans la Bible, dans les Psaumes, les Proverbes. Autrement dit, la Bible, les Proverbes ont directement emprunter des textes à l’Égypte. Donc, c’est vraiment… Pour un peuple qui a été mis sous domination égyptienne pendant aussi longtemps, c’est tout-à-fait normal qu’il se soit imbu de la tradition égyptienne. Je veux dire, tu prends n’importe quel peuple, tu les amènes dans un lieu, il [va] automatiquement, le lieu va déteindre sur eux. Pour ce qui est du Christ, tous les miracles qu’il a faits sont tous des miracles qui étaient enseignés dans les temples des mystères, dans les écoles des mystères.
P(3)58 : C’est exactement ce que démontre Roger Sabbah (et son frère) ainsi qu’Anton Parks. Car les Hébreux ont aussi beaucoup emprunté à Babylone sous Nabuchodonosor II.
Extraits du livre d’Anton Parks, Le Testament de la Vierge, Éd. Nouvelle Terre, 2009
1. p.373 : Dans ses différents ouvrages, Roger Sabbah a commenté l’influence égyptienne et la codification des textes de la Bible. Il a très clairement expliqué que le peuple hébreu, en tant qu’ancienne population ayant fréquenté le sol égyptien, n’eut d’autre choix que de cacher ses origines aux envahisseurs assyriens et babyloniens. C’est pourquoi il y a tant d’éléments égyptiens qui transparaissent dans la Bible, malgré le vernis littéraire et délibéré des scribes qui, selon Roger Sabbah, appréciaient la métaphore en miroir et aimaient à inverser une partie des symboles…
2. À Babylone sous Nabuchodonosor II, p.377 : Chaque année, au Nouvel An, les Hébreux entendaient les grands poèmes : l’Enûma Eliš ("Épopée de la Création") ou l’Épopée de Gilgameš. Ils ont aussi dû entendre et lire ensuite les fameuses histoires d’Ereškigal et de Nergal, ou encore la descente d’Ištar dans le pays souterrain de sa sœur Ereškigal… Les prêtres hébreux ont franchement dû "glousser" en découvrant ces épisodes égyptiens, qu’ils connaissaient par cœur par l’intermédiaire de leurs ancêtres, les Yahouds, à l’époque où ils étaient au service des pharaons. C’est là une découverte que nous devons à Roger Sabbah, qui a démontré dans ses différents ouvrages que les anciens Hébreux étaient les prêtres égyptiens monothéistes Yahouds qui furent les prêtres d’Amon, et qui devinrent ensuite ceux d’Aton sous l’influence d’Akhenaton.
Situation de l’Égypte à la période qui précède Jésus jusqu’à son incarnation.
À 08:04 : L’Atlantide
RG : Là, j’en arrive avec une question fort intéressante pour tout le monde qui aime l’insolite, l’Égypte, est-ce que ce serait issue de ce que l’on a appelé l’Atlantide ?
RSO : Bien, selon les textes, selon les traductions de certains textes, oui. C’est directement issue de l’Atlantide. […] Mais si on prend l’hypothèse fondamentale, c’est que l’Atlantide se serait scindée en deux parties. [Un peu de chaque partie s’est [retrouvée] en Égypte, les fils de Bélial, les fils de la loi de Un, mais la plus grosse partie des fils de Bélial se serait [retrouvée] ici en Amérique centrale. Et l’autre partie des fils de loi de l’UN [s’est retrouvée] en Égypte. De là est arrivée la civilisation égyptienne.
Un lien sur les fils de Bélial et de l’UN :
http://messages.terrenouvelle.ca/isis-les-fils-de-lunite-et-les-fils-de-belial/
Extrait : La dernière grande guerre galactique entre le Matriarcat et le Patriarcat, il y a 500 000 ans, laissa de profondes séquelles sur votre jeune planète. Les rescapés de cette bataille s’installèrent progressivement sur Uraš (la Terre), à nos côtés. En ces temps lointains, nombreuses races interstellaires se côtoyaient. A cette époque atlante et lémurienne (Mu), nous étions deux peuples séparés. Vos textes sacrés vous relatent de manière erronée, dans votre génèse, l’histoire des deux frères Enki et Enlil. Ces deux êtres jouent entièrement le destin de votre humanité. Sauf que le gentil Enki a été transformé en être méchant et corrompu par l’Eglise. Encore aujourd’hui, vous en subissez les conséquences dans votre quotidien, où que vous vous situiez sur cette planète.
Mon nom était Sé’et qui signifie « présage de vie ». Ma descendance consanguine en incarnation et mon origine cosmique a toujours fait de moi une « sainte accoucheuse ». La grande Planificatrice en Chef de Uraš était ma mère, la sainte Mami/Damkina (Nout), une autre fille de l’Esprit Infini. Nous étions les seules saintes accoucheuses d’origine sirienne (Sirius) en mission terrestre.
Les pères élohim se sont rapidement imposés dans notre travail, nous réduisant à créer des races esclaves afin de servir la caste céleste. Ces dieux créateurs (ou émissaires de vie) démunis de coeur et de moral ont perpétré de génération en génération leur perversité sur cette planète. Ils ont largement abusé de leur pouvoir de créateur. N’adhérant pas à ce concept qui viole les lois universelles de la création, nous nous opposâmes rapidement à leurs politiques démoniaques. Nous formions le clan des « Fils de la loi du Un » et les patriarches en puissance, les « Fils de Bélial », dont Enlil/Seth, mieux connu pour symboliser le personnage de Satan dans la Bible. Ce nom est simplement dérivé du mot Satam, qui signifie « chef et administrateur territorial », en langage matrice suméro-akkadien, dont Enlil détenait pour titre (traduction de A. Parks).
Satan a été créé de toute pièce par vos religions. Les fils de l’Unité, perpétraient la spiritualité, dont l’objectif était de maintenir l’Equilibre dans les colonies. Nos actions et nos pensées se rapprochaient le plus possible de la grande sagesse du Créateur. L’équité, le respect, l’harmonie et la fraternité entre les peuples étaient notre raison de vivre. La caste patriarcale, en revanche n’avait absolument pas de morale, ni de conscience sinon la satisfaction de l’ego. C’est cette séparation de la Source qui a mené progressivement la chute des supers continents de Mu (Lémurie) et de l’Atlantide. Cette conscience s’est malheureusement enracinée dans le génome humain.
Environ 100 000 ans avant l’ère judéo-chrétienne, Enlil et ses administrateurs territoriaux détournèrent l’énergie du Feu solaire pour créer des explosifs. Parvenant à cristalliser la matière, à l’aide de la forme pyramidale, ils réussirent à détourner l’énergie de la grande pyramide atlante, qui prend naturellement sa source dans le réseau énergétique de la planète. Les Grecs ont appelé ce fils déchu de la lumière (obscurci dans la matière)
Prométhée.
Parallèlement, Enki/Asar donnera le Feu aux humains pour que ceux-là se retournent contre leurs dieux (Anu et Seth) corrompus. Il leur apprendra à fabriquer des armes pour se défendre. Prométhée est le personnage qui renie sa filiation divine. Il est incapable d’ouvrir son coeur christique. Ce n’est pas le cas de Enki/Osiris qui reconnaît être un fils de la loi du Un et qui fait tout en son pouvoir pour véhiculer l’équité, la con naissance, la justice et la paix entre les hommes.
Les pyramides, signifient Feu au milieu. Les pyramides ont le pouvoir de la cristallisation de la lumière, c’est à dire la matérialisation instantanée. Certaines sont des générateurs de technologie extraterrestre et ultraterrestre (voyageurs multidimensionnels et temporels), qui augmentent de manière unique et progressive la fréquence originelle des molécules et des atomes. Cette technologie interagit dans l’écoulement temporel de la structure atomique et subatomique. Elle permet de régénérer et de transmuter la matière tout comme elle permet également de la détruire. La technologie des pyramides donnait le pouvoir de longévité aux humains grâce aux ondes qui provoquaient un retournement temporel des cellules. Ces ondes que vos physiciens appellent « ondes longitudinales » permettent de traiter les cellules humaines et animales endommagées. Ces ondes ont un pouvoir de guérison instantanée.
Les travaux de l’ingénieur Antoine Priore démontrent clairement que les gouvernements ont occulté cette information d’intérêt public au détriment du cartel médical mondial. Vous pouvez retrouver une partie des travaux de ce brillant ingénieur sur ce lien :
http://www.bibliotecapleyades.net/scalar_tech/esp_scalarwar03.htm
Richard Glenn fait un lien entre la Basse et la Haute Égypte et le Bas et le Haut Canada. L’expression « passage étroit » du Kebek se retrouve dans l’étymologie hébraïque ancienne pour parler de l’Égypte, le passage emprunté pour évacuer l’Atlantide vers l’Égypte. Dans le livre La Dernière Marche des Dieux, selon Hérodote, il serait question d’une route terrestre, parmi plusieurs possibilités, qui partirait des Monts Atlas du Maroc pour se rendre à Thèbes en Égypte. Dans mon résumé de l’entrevue d’Antoine Gigal, elle effleure le sujet de l’Atlantide à partir de 2H15. Voir le vidéo de ladite entrevue plus bas.
À 10 :35 du vidéo : Le nom de l’Égypte
RSO : Tu me ramènes au nom justement, parce que si on prend le nom égyptien hiéroglyphique de l’Égypte c’est… veut dire « le cœur ressuscité de Dieu », Ptah étant Dieu. Alors que, on est en [droit] de se demander [d’où origine] le cœur unique, le cœur original. C’est A’amenptah qui veut dire le « cœur original, le cœur, le fils unique du Père ». Et A’amenptah a été [traduit] en grec [par] « Atlantide ». Juste au niveau de l’étymologie, le nom d’« Égypte » qui nous dit que le « cœur ressuscité de Dieu » qui… L’Égypte aurait apparue telle une colline primordiale. Et [de] là vient toute la signification des pyramides. Parce qu’on aurait vu resurgir une terre comme une colline, comme une pyramide avec les rayons du soleil qui faisaient une pyramide au-dessus. Et [de] là toute la signification des pyramides, en dehors de la notion énergétique des pyramides, toute la question symbolique des pyramides. Et c’est pour ça que les pyramides sont devenues [les] derniers temples initiatiques qu’il y avait là-bas. La dernière étape que l’initié passait, c’était à travers la barre, le double dans la pyramide.
Robert Saint-Onge parle ensuite des trois étapes d’initiation égyptienne dont le baptême, des épreuves à la Salomon et le dédoublement astral dans la Grande Pyramide font partie. Richard Glenn complète en expliquant les mystères mineurs, les mystères majeurs. L’initié doit faire face à son Dieu, « Osiris », dieu de l’agriculture.
P(3)58 : Est-ce que le Salomon de l’Ancien Testament serait un autre emprunt à l’Égypte ? Robert Saint-Onge a mentionné le « baptême » dans les rites initiatiques égyptiens. Dans un autre billet faisant suite à celui-ci, je mettrai plusieurs extraits des livres d’Anton Parks qui s’apparente de près d’avec les rituels chrétiens.
À 17:00 : Mythologie égyptienne
RG : Il y a des rapports à faire entre la mythologie égyptienne et l’enseignement chrétien.
RSO : Ah, absolument !
RG : La mère vierge, ça existe ?
RSO : La mère vierge, c’est Isis, qui a enfanté Horus sans avoir l’usage du membre génital d’Osiris qui avait été découpé en petits morceaux en Atlantide. Ça, [ce sont] tous des faits historiques. Si vous voulez vérifier.
RG : Le méchant s’appelle Seth.
RSO : Oui.
RG : Nous autres, on l’appelle Satan.
RSO : Satan, c’est ça. Les disciples de Seth qui étaient aussi les disciples des fils de Belial. Qui ont dégénéré avec les disciples de Baal, qu’on va retrouver en Mésopotamie.
À 18:45 : Moïse / Pharaon / Jésus
RG : Moïse fait la même chose. Parce que Moïse aussi a été initié en Égypte. Les pouvoirs étaient là.
RSO : Le pharaon, c’est le fils du Soleil. Donc, tout pharaon était initié par les prêtres d’Aton, les prêtres du Soleil. Aton, pas Amon. Amon, c’est la religion du peuple. On a donné ça à tout le monde. La religion d’Amon, on a donné ça à tout le monde. Priez ça, et vous êtes sûr que vous n’aurez pas de pouvoir. On va être correct, on va être tranquille. […] Pour revenir avec mon histoire, c’est que les pharaons étaient initiés des prêtres d’Aton. C’est eux qui avaient la véritable initiation. Le Christ a été initié de la même chose. Il est fils, fils du Soleil. On dit le « son » en anglais, « son / sun » ça revient au même, le Soleil et le Fils.
Puis Robert Saint-Onge enchaîne avec un conte égyptien de la bague, qui évoque la possibilité que l’histoire de Moïse qui sépare les eaux soit un concept emprunté aux Égyptiens. Réalité ou fiction ?
Puis, Richard interroge Robert Domingue par rapport à son domaine (acuponcture) sur les applications des connaissances égyptiennes. On retrouve en substance, des infos sur le solstice d’hiver du vidéo « Zeitgeist ».
À 31:40 du vidéo : Anubis Schenouda
RG : Robert Domingue nous a parlé de maître Anubis Schenouda. J’aimerais souligner ici, puisque, il est décédé maintenant, maître Anubis Schenouda, qui est venu passer les dernières années de son existence ici au Québec à diffuser l’information égyptienne, de la tradition égyptienne et initiatique. Il a publié un livre, maître Anubis Schenouda, et je l’ai ici, je vous le montre, c’est « La légende d’Osiris et la vie et la mort de Jésus ». Lui avait compris déjà, il y a longtemps, que, il y avait un lien direct entre la tradition égyptienne et la tradition chrétienne. On ne dira pas judéo-chrétienne parce qu’il y a une différence entre judéo et chrétienne. Parce que nous on reconnait le Christ alors que les Juifs l’attendent encore, le Messie.
P(3)58 : Anubis Schenouda était ma raison principale d’avoir choisi les six premières Salles du Club CRÉÉE de l’année 2008 dans mon présent abonnement. D’ici quelques semaines, je vais me mettre à la recherche de son livre publié aux Éd. Ésotériques (1980) : « La Légende d’Osiris et la vie et la mort de Jésus ». D’ici là, si quelqu’un a une information sur comment et où se le procurer, et à quel prix, vous êtes le bienvenu. Dans un marché aux puces près de chez vous peut-être ?! Ou dans un coin perdu de votre bibliothèque… Je suis acheteur mais à un prix raisonnable en fonction aussi de son état.
Puis Richard fait la transition entre les Rois Mages et le Grand Monarque pour ensuite donner la parole à François Payotte qui évoque que les premières civilisations avancées se mettent en place dès l’après Grand Déluge par une migration des connaissances. « On ne sortait pas des cavernes ! »
P(3)58 : Anton Parks fait mention des Rois Mages dans son essai Le Testament de la Vierge. Mais ce sera pour une autre occasion.
Sans se dire un spécialiste, François Payotte parle ensuite des manuscrits de Nag-Hammadi. Il nous réfère aux trois universités qui ont fait de ces textes une spécialité. Il nous réfère aussi à la traduction d’André Wauthier (sérieuse mise en garde de Serge Cazelais sur cette source à prendre en considération).
P(3)58 : Donc, difficile de blâmer ouvertement Anton Parks qui a lui aussi cette référence dans ses sources, comme l’a fait Serge, d’autant plus que Wautier n’est pas sa seule référence en la matière et qu’il ne fait que pratiquement juste mettre de simples extraits pour introduire certains chapîtres de ses livres à titre de sensibilisation. Sont-ils de Wautier ou de son autre source ? Et ça, Serge l’a éludé dans sa critique de cette source de Parks parmi des dizaines. De même, ce n’est pas parce que François Payotte cite Wautier qu’il faille « démolir » tout ce qu’il énonce. Il faut juste faire la part des choses et de dire autant ce qui est que ce qui n’est pas, selon les mises à jour des spécialistes comme Serge, dans ce domaine d’études exhaustives de textes anciens.
François Payotte parle aussi des différentes branches esséniennes, particulièrement celle des Thérapeutes qui aurait été bien implantée en Égypte et qui aurait contribué pour une bonne part à l’initiation du Christ.
Voici la référence de François Payotte : Traduction d’André Wautier « Paroles gnostiques du Christ Jésus ».
À 46:05 du vidéo : Jésus Fils de Dieu ?
RG : Robert (Saint-Onge), qu’est-ce qui te fait dire que Jésus est Dieu et peut-être le fils unique de Dieu ? Est-ce que tu vas faire ici un acte de foi ou au contraire un blasphême ?
RSO : Disons qu’au départ, il ne s’est jamais dit Fils de Dieu. Il s’est toujours dit Fils de l’Homme, en partant. Mais on pourrait très bien avoir Fils de Dieu puisque pharaon est fils de Dieu, fils du Soleil. Étant initié égyptien, il était, étant plus qu’initié égyptien, étant maître égyptien, il était automatiquement fils du Soleil, fils de Dieu. Et fils unique, parce que rendu à ce niveau-là, t’as juste une conscience, donc t’as juste un fils.
P(3)58 : On aime discourir sur le fait que Jésus ait été initié en Égypte et un peu partout autour du Moyen Orient. Mais, à ce que je sache, les principaux initiés étaient les pharaons. Alors, pour que Moïse et Jésus y soient initiés, ils devaient avoir un statut qui s’apparente à celui du pharaon ou d’un grand prêtre. N’est pas initié n’importe qui quand même. Comme chaque pharaon incarne « l’Étoile du Matin » en mémoire d’Horus, et que c’est une épithète que l’on attribue à Jésus, si Jésus était en fait un pharaon, lequel serait-il ? Il m’apparaît clairement, hors de tout doute, que Jésus, de par les faits d’arme qu’on lui attribue dans les Évangiles, incarnerait le premier pharaon d’Égypte : HORUS ! soit Osiris ressuscité.
Robert Saint-Onge spécifie qu’à titre de Fils du Soleil, le pharaon est donc Fils de Dieu. Et qu’il est plus qu’initié, il est Maître égyptien. Et Fils unique. Difficile de ne pas associer les Évangiles du Nouveau Testament à Horus et les pharaons qui lui ont succédé. Donc, si blasphème il y a, il ne vient pas de Robert Saint-Onge mais de ceux qui prétendent que Jésus est historique. Et le Christ (Jésus) est Fils du Soleil, comme le mentionne celui-ci. De plus, il relève que l’Ancien Testament emprunte beaucoup aux livres égyptiens. Ça commence à faire beaucoup pour continuer de fermer les yeux sur cette évidence, cette vraisemblance. Alors, qui copie qui ? À mes yeux, les évangélistes s’en sont payé une traite à se copier les uns les autres. Ils ont fait pire que les « S. Acharya » de ce monde. Faut croire que c’était encore plus une mode voilà près de 2000 ans.
Alors, pour être initié, Jésus devait obligatoirement répondre à des critères spécifiques comme Moïse. Si Moïse est pharaon, il ne fait aucun doute que Jésus l’est d’autant plus. Pour moi, c’est encore un indice que les Évangiles ont été écrits sur l’histoire d’Osiris (prénommé Enki à Sumer, le fameux Serpent biblique, Nahash 358).
Moïse a été initié car il aurait été pharaon :
Extrait : À 18:09 du vidéo : Moïse
« De plus, Moïse est connu comme « Le Porteur des Lois », « Le porteur des Dix Commandements », de la « Loi de Moïse ».
P(3)58 : On a vu dans l’entrevue avec Antoine Gigal, que pharaon veut dire « porteur ».
À 2H26:36 du vidéo :
P(3)58 : Elle parle de l'étymologie du mot pharaon qui voudrait dire le « porteur ». Au Québec, il y a le « porteur d’eau » ! Sachant que l’eau est très importante pour Enki/Osiris… Il n’y a qu’un pas pour parler de la descendance du Christ égyptien au Kebek ! Alors, Antoine Gigal vient ainsi appuyer mon point de vue "ésotérique" sur la question de la génétique du Grand Monarque, si Grand Monarque il y a.
Et dans l’entrevue de Roger Sabbah, de 2H38:40 à 3H02:02 du vidéo : Roger Sabbah dévoile une clé : Moïse serait en fait un pharaon, soit Ramsès I !
Et finalement, à 47:32 du vidéo : Le Grand Monarque
François Payotte : Absolument ! Le Grand Monarque est le paraclet annoncé par Jésus. Et le paraclet, le messie royal, celui qui instaurera l’ère de paix, l’ère de justice sur la Terre, est né. Il est actuellement sur la planète Terre. Alors c’est l’heureuse et bonne nouvelle de Nostradamus aux hommes de la fin du vingtième siècle. Une fois n’est pas coutume. Ah, pour une fois qu’il a une bonne nouvelle à nous annoncer, j’en ai fait tout un ouvrage.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
MES SOURCES DE RÉFLEXION 5
Les Chrétiens doivent commencer à envisager la très forte possibilité que leur Christ Jésus soit en fait Horus, un mélange d'Abgal (Osiris/Enki/Serpent biblique et Isis) et de Kingu-Babbar (gènes de guerrier qui s'apparente je crois aux grands blonds royaux) de la grande famille reptilienne des Gina'abul, qui inclu aussi les Yahvé, Satan, Jean le Baptiste... !
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
MES SOURCES DE RÉFLEXION 5
Voici que le complément Surprenant du vidéorandia 1308, sur l'analogie entre le poisson et les papes, amène un autre lien entre l'Église chrétienne et l'Égypte :
Lien Complément Surprenant : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=74228
Extrait :
POISSON POURRI PAR LA TÊTE
SYMBOLE DE LA CHRÉTIENTÉ. SAVIEZ-VOUS QU'UN POISSON LORSQU'IL MEURT POURRI TOUJOURS PAR LA TÊTE EN PREMIER ? ET QUI EST A LA TÊTE DE L'ÉGLISE,LE PAPE.
LES PAPES ONT UN CHAPEAU QUI RESSEMBLE A LA TÊTE D'UN POISSON.La tête du POISSON avec sa gueule ouverte existait également dans la culte de MITHRA (la religion catholique fut largement inspiré par le mithraïsme) sous forme d’un chapeau, aussi il n’est pas étonnant de trouver ce couvre-chef sur la tête des évêques avec le nom « MITRE » qui provient directement du nom de « MITHRA ».
Qui est Dagon ? Selon un lien wikipedia, Dagon, forme ancienne Dagan, est un important dieu des populations sémitiques du Nord-Ouest. Il est le dieu des semences et de l'agriculture et fut révéré par les anciens Amorrites, les habitants d'Ebla, d'Ougarit et fut un des dieux principaux des Philistins. Très tardivement dans son histoire, à partir du IVe siècle ap. J.-C., on le trouve représenté sous la forme d'un poisson (dag en hébreu).
Osiris n'est-il pas décrit comme celui qui a apporté l'agriculture à l'humanité ? Osiris, l'Enki sumérien, l'amphibien Abgal, le Nommo des Dogons, qui figure comme Kiristi ! Le terme Kiristi étant défini par Anton Parks comme un "poisson des étoiles et de la vie" !
Anton Parks
Éd. Nouvelle Terre, 2006-2007
Extrait pp.349-350
Le terme égyptien Abdju (Abydos) possède un homophone dont le sens est "poisson". Ce poisson sacré servait de pilote à la barque solaire de Râ. Il devait prévenir les passagers de la barque à propos des ennemis envoyés par Seth. Nous n'avons aucun mal à assimiler le poisson Abdju à un Horus symbolique ou plutôt un Osiris réincarné, alors que la contrepartie sumérienne d'Osiris est Enki qui possède lui-même le poisson comme symbole. Ce poisson qui précède la barque solaire évoque évidemment la planète Vénus qui devance aujourd'hui la course du soleil (Râ).
Nous savons que le poisson figure également Sirius, l'autre astre sacré des Égyptiens, qui est le lieu où vivent les planificateurs amphibiens. Nous pensons bien entendu aux êtres aquatiques appelés "Nommos" dont nous avons parlé à plusieurs reprises dans cet ouvrage. Les Dogons affirment que les Nommos ont restauré le monde plusieurs fois et qu'ils possédaient la parole et le grain qu'ils transmirent à l'humanité. Chez les Sumériens les Nommos sont les fameux Abgal soumis aux directives d'Enki. Le terme "Abgal" se décline en "Apkallû" en akkadien. Cette dénomination servait à désigner un sage et par la suite un prêtre.
Et comme le souligne Robert Saint-Onge à 19:26 dans l'émission d'ésotérisme-expérimental sur "la table ronde sur Jésus" de 1993 : les Égyptiens étaient en avance sur leur temps avec leur symbolique de l'ère du taureau, du bélier et des "poissons".
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P(3)58
MES SOURCES DE RÉFLEXION 6
P(3)58 : Voici deux liens qui viennent soutenir ma réflexion présente : à savoir, d'une part, que les Évangiles et l'Ancien Testament raconte l'histoire d'Osiris, d'Isis et d'Horus et, d'autre part, que le Grand Monarque, si GM il y a, viendrait de l'Égypte via l'Atlantide.
Alors dans ce premier lien, on fait des rapprochements entre Versailles et l'Atlantide. Curieux quand même que le "petit trésor" origine d'une famille qui s'inspire de l'Atlantide... Et des références à l'Égypte y sont très présentes.
Dans les livres d'Anton Parks, le sumérien Enki a un point de vue divergent sur l'humanité. Il se crée donc un schisme parmi les "dieux". Enki fondera l'Atlantide et l'Égypte. Se faisant, pour se distinguer des autres dieux sumériens qui veulent lui faire payer sa trahison suite à la rébellion de l'humanité, il change son dialecte et se dénommera maintenant Asar (Osiris en grec).
1. Lien entre Versailles et l'Atlantide
Lien : http://www.elishean.fr/?p=54406
Source : Didier Coilhac et son site –> Les révélations du passé
Vu sur http://www.lesavoirperdudesanciens.com/
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Extraits : 1. Le domaine de Versailles doit essentiellement son existence à la volonté persistante de Louis XIV qui veilla à la construction du château et à l’aménagement des jardins tout au long de son règne. Ses successeurs ne firent que des ajustements somme toute assez modestes en respectant son œuvre. Versailles s’inscrit dans la continuité de Chambord en tant que palais symbolique de la grandeur de la Monarchie française.
Par Didier Coilhac
2. Le philosophe grec Platon est quasiment la seule source d’information concernant l’Atlantide, dans ses livres « Timée » et « Critias », écrits vers 358 avant JC.
Une petite disgression pour mettre en évidence la coïncidence du "358" Nahash, serpent biblique.
3. Le portrait de Louis XIV exprime l’idée que le savoir de Platon a été transmis à l’époque de Louis XIV. Dans une variante, c’est un écrit de Platon qui est posé sur la tête du vieil homme et qui inspire l’ange dessinant le portrait royal. Ainsi, le mythe de l’Atlantide narré par le philosophe trouverait-il une extension à l’époque du Roi-soleil.
4. La position prééminente de cet ensemble s’explique habituellement par le choix de Louis XIV de s’identifier à ce dieu solaire. Le soleil n’est-il pas le centre de l’univers, faisant rayonner chaleur et lumière sur chacune des planètes qu’il vivifie ?
Le Soleil si présent en Égypte (Râ) l'est autant avec Louis XIV.
5. Les jardins de Versailles codent de multiples façons la fin de l’Atlantide. Une telle insistance donne à croire que la Royauté possédait des objets, des preuves de l’existence d’une civilisation originelle.
6. La chapelle royale est la dernière création de Louis XIV. C’est un lieu où planent le secret et le mystère. Il ne s’agit pas d’une église banale:à l’intérieur, pas de statue de Jésus crucifié ou de Marie ou d’un quelconque Saint. Même parmi les 28 statues du pourtour extérieur, pas de Jésus ni de Marie. Il n’y a pas plus de grande croix apparente dans la chapelle.
Les deux grands panneaux du choeur, les plus grands de la décoration, sembleraient plus à leur place dans un temple israélite que dans une église catholique !
N'est-ce pas suspect l'absence de Jésus, Marie ?! Et les Israélites venaient d'Égypte.
7. Le château de Fontainebleau, palais de multiples Rois de France, comporte des exemples qui ne laissent aucun doute à ce sujet. Ces créatures hybrides sont inspirées des Sphinx de l’Égypte ancienne dont le plus connu est le grand Sphinx de Guizeh.
8. Pour le public informé, il est hautement plausible que l’Atlantide ait vraiment existé en tant que civilisation hautement évoluée qui aurait pu accéder à la technologie aéronautique ou spatiale. Tous mes travaux visent à démontrer qu’il existe des dépôts culturels sur le sol de France, dépôts par rapport auquel les sites des grands monuments ont été choisis. Contrairement à ce qu’on pourrait croire, de tels complexes souterrains pourraient tout à fait contenir la Science de nos prédécesseurs, notre héritage, une science que l’on a pas égalé depuis sur la terre.
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2. Jésus-Christ et Marie Madeleine
Lien : http://www.elishean.fr/?p=54449
En parcourant ce lien, une parole de Jésus a retenu mon attention. Et j'ai donc fait la recherche dans la Bible de Jérusalem.
Comme Horus est la réincarnation d'Osiris, on comprend mieux cette assertion si on remplace Jésus par Horus :
Lien : http://www.cerbafaso.org/textes/bioethique/bible_de_jerusalem.pdf
Extraits :
Jean 10, 25 Jésus leur répondit: "Je vous l'ai dit, et vous ne croyez pas. Les oeuvres que je fais au nom de mon Père témoignent de moi;
Jean 10, 30 Moi et le Père nous sommes un."
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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MES SOURCES DE RÉFLEXION 6 : De Chambord à Versailles
En prémisse de la rencontre à venir avec MKUltra à la Saint Jean le Baptiste. Et aussi, en complément de mon billet "Mes sources de réflexion 6".
Le chiffre 8, Thot (Hermès/Mercure), François 1er, Roi de France (peut-être la raison ésotérique du choix de "dernier pape" actuel en prévision du Grand Monarque... de descendance égyptienne ! (Voir à 32:45 du vidéo.)
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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MES SOURCES DE RÉFLEXION 6 : De Chambord à Versailles
En prémisse de la rencontre à venir avec MKUltra à la Saint Jean le Baptiste. Et aussi, en complément de mon billet "Mes sources de réflexion 6".
Le chiffre 8, Thot (Hermès/Mercure), François 1er, Roi de France (peut-être la raison ésotérique du choix de "dernier pape" actuel en prévision du Grand Monarque... de descendance égyptienne ! (Voir à 32:45 du vidéo.)
EN COMPLÉMENT
Je mets ce complément de billet aujourd'hui parce que j'ai pris une petite pause de trois mois cet été 2016. En lien avec JPII qui semblerait avoir évoqué un "François" selon la bande sonore de son discours lors de son passage au Québec (je n'exclu pas la possibilité qu'il s'agisse plutôt de "en soi"; allez savoir) ; en lien évidemment avec le nom du Pape actuel (ce qui nous met sur une piste fort intéressante pour expliquer ce choix) et en lien avec le roi François 1er de France, en lien avec l'Égypte. Et on nous apprend finalement, à valider cette info journalistique, que le mérite de l'avènement du drapeau québécois ne reviendrait pas à Mauricie Duplessis.
Source : Journal de Montréal du vendredi 24 juin 2016 et la chronique "En cinq minutes" sur la Saint-Jean en page 19
Extraits : 1534 : Jacques Cartier est le premier à introduire le symbole de la fleur de lys en Nouvelle-France, en honneur du roi François 1er.
1948 : Le premier ministre Maurice Duplessis se plie à la pression populaire et officialise par décret le drapeau officiel du Québec, tel qu'on le connaît aujourd'hui.
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MES SOURCES DE RÉFLEXION 6 : Le mètre comme unité de mesure
La France adopte le mètre comme unité de mesure en 1793. Et cette unité de mesure se retrouve dans la Grande Pyramide de Gizeh ! Ça s'additionne les liens entre la France et l'Égypte.
À 1H02:07 du vidéo, Patrice Pooyard : Parce que, ce n'est pas simplement d'obtenir pi et le nombre d'or, c'est aussi la présence du mètre. Et ça, ça pose problème parce que tout le monde sait bien que le mètre a été adopté en 1793. (en France)
Lien : https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A8tre
Extrait : Il faudra cependant attendre plus d'un siècle pour que le mètre soit adopté et son usage généralisé par l'esprit des Lumières et de la Révolution française. Auparavant, les longueurs étaient mesurées en référence à l'humain (le pouce, le pied, la toise) ; comme chaque être humain est différent, on prenait souvent comme référence le roi, ce qui était un symbole monarchique fort. En pleine période révolutionnaire, en France, il fut donc décidé, afin de supprimer toute référence à un homme particulier et pour faciliter la diffusion du savoir, de choisir un étalon non humain unique et d'utiliser des multiples et sous-multiples de 10. Fini ainsi le pied qui valait 12 pouces.
Une longue série de tentatives va ainsi être concrétisée par l'adoption à l'Assemblée nationale, le 8 mai 1790, de deux décrets (signés par le roi Louis XVI, le 22 août) relatifs au projet d'unification des poids et mesures, proposé par Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, permettant le début des travaux d'une commission de l'Académie française des sciences.
En 1793, à Montjuïc près de Barcelone, Méchain détecta une incohérence entre les longueurs relevées et le relevé astronomique de la position des étoiles. La guerre franco-espagnole l'empêcha de réitérer ses mesures. Cet écart, qui n'était en fait pas dû à une erreur de manipulation mais à l'incertitude des instruments utilisés, le plongea dans un profond trouble et il mit tout en œuvre pour éviter de devoir rendre compte de ses travaux à Paris. (...) En août 1793, la Convention nationale décréta que le système nouveau des poids et mesures se substituerait à l'ancien pour toute la République française.
C’est finalement la mesure de Delambre qui fut adoptée par la France le 7 avril 1795 comme mesure de longueur officielle.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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MES SOURCES DE RÉFLEXION 6 : Égypte Pharaon / France Rois
Entretien avec Jacques Grimault / Nurea TV / Tarot
24/05/16 "La philosophie des Anciens, apprentissage à travers les emblèmes et le jeu de Tarot" avec Jacques Grimault NURÉA TV
À 0H39:44 du vidéo : Lys / Isis / France
Jacques Grimault : Donc, avant la Genèse, il y a le vide. Et si c’est lisse, c’est que le lys c’est une plante qui est utilisée dans toutes les anciennes représentations, c’est le vêtement. Dans la Bible on dit que Jésus était vêtu de blanc comme un lys, etc. Il y a de nombreuses allusions à cela. C’est en même temps une plante qui est issue des [mares… ?] et c’est la plante peu connue mais d’Isis, qui a donné beaucoup de choses dans l’histoire de France, notamment les emblèmes royaux.
À 1H25:02 du vidéo : Les trolls
Jacques Grimault : Et ce que je souhaiterais faire, c’est non seulement agréger, c’est le cas de le dire, pour les universitaires, une très grande quantité de personnes [et qu’elles] échagent. Mais je [le ferais] à titre privé. Sinon vous allez vous faire assaillir par les trolls et aussi par une autre forme de trolls de nos jours, les universitaires. Parce qu’eux, ils gardent leur trait[tré]-carré et ne veulent pas que leur culture soit effacée puisqu’ils ont beaucoup, beaucoup d’années de travail. Mais à quoi sert d’étudier des choses fausses, ça c’est la question que je leur poserais volontiers.
En complément à 2H10:52 du vidéo : On préfère ne pas en parler. Surtout, on ne veut pas en parler de la manière des sots, des pontifiants, des orgueilleux du savoir, ceux qui mettent un mur entre l’ignorance et le savoir. Il vaut mieux ne pas savoir que savoir mal. Je dis ça à tous nos universitaires. Il y en a qui commencent à sortir du bourbier, qui ont du courage. Je pense à…
À 1H26:27 du vidéo : Hébreu / Français
Jacques Grimault : Et de la même manière que François 1er, Fran/choix 1er, si je devais le dessiner, a été obligé d’interdire les ouvrages non-religieux. Il a dû ouvrir le Collège de France avec l’enseignement de trois langues : le latin, le grec et l’hébreu. C’est assez curieux d’avoir, comment dire, l’hébreu, puisque ça ne correspond à rien, en apparence, à la langue française. Or l’hébreu et le français, ce sont des langues très, très proches. Et contrairement à ce qu’on imagine, l’hébreu vient du français, chers amis. Tombés de vos chaises, c’est le moment.
À 1H46:53 du vidéo : Hébreu / Égyptien
J.G. : Pourquoi cette écriture, parce qu’en réalité on parle plutôt araméen qu’hébreu, pourquoi cette écriture a été rendue indispensable à une époque ? C’est que ça se perdait tellement rapidement avec le métissage des races, comme disent certains, mais des ethnies comme disent d’autres, que, il a bien fallu composer quelque chose de très claire. Le caractère hermétique, il est absolu dans l’écriture hébreu. D’abord, ça s’écrit comme du cunéiforme, et ça se lit comme de l’hiéroglyphique. […] Salomon, c’est « Soleil montant », à tout hasard. On voit d’où le Soleil peut venir ; plutôt d’Égypte.
À 2H01:19 du vidéo : Arcane 6
J.G. : Maintenant, comment on peut voir l’avenir ? C’est d’une facilité déconcertante. Que s’il y a une loi unique qui est figurée par l’amour, dans l’arcane 6. Pourquoi l’amour ? Parce que l’arcane 6, c’est 1 + 2 + 3 en même temps que 1 multiplié par 2, multiplié par 3. Ça fait des opérations qui sont les mêmes alors qu’elles sont différentes. Cherchez le problème ! Donc, cette loi, elle permet de reconstruire un triangle double, …était abusivement emprunté qu’on appelle maghen de David, ou bouclier de Salomon. Toutes ces choses-là, ce sont des emprunts. Vous allez en Indes, si vous ne voyagez pas, vous ne saurez jamais rien. En Indes du Sud, dans le Coromandel, vous avez des svastikas et des boucliers de David qu’on peut… en quantités industrielles. Donc, il ne faut pas se mélanger avec la pseudo histoire moderne et la vraie histoire des Anciens. Eux, elle est vraie parce qu’ils l’ont taillé la pierre environ à 1500 ans av. notre ère, pour les plus anciennes, et très probablement davantage ailleurs.
Lien : https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89toile_de_David
Extrait : L’étoile de David ✡ (en hébreu : מגן דוד : maguen David ou maghen Dawid, littéralement « bouclier de David », en latin scutum Davidis) est le symbole du judaïsme. Elle se compose de deux triangles équilatéraux superposés : l’un dirigé vers le haut, l’autre vers le bas. Aujourd’hui, on le trouve notamment sur le drapeau de l’État d’Israël, mais aussi dans les façades des synagogues du monde entier. On rencontre également les appellations de Sceau de Salomon (latin : sigillum Salomonis), double triangle, triangle de Salomon, étoile de Sion. Elle représente, selon la tradition juive, l’emblème du roi David et serait aussi bien symbole du Messie (de lignée davidique).
À 2H18:10 du vidéo : L’Or
J.G. : Donc, ils se sont mis à rechercher les principes naturels et n’ont trouvé qu’un matériau qui était pérenne, c’est l’or. Ils ont constaté qu’il était trop lumineux. Ils ont pensé que cette chose-là venait de la lumière. Or, il y a le Christ, bien longtemps, bien longtemps après qui dit : « Je suis la lumière et je suis la vie ; je suis le chemin ». Et je dis qu’en bas de la cheminée, il y a le feu. Donc, les Anciens, très savants, ont déguisé les choses de manière à ce que seuls les vertueux les comprennent. Alors le feu, c’est ce que représente la Grande Pyramide et c’est le cycle du feu qui est donné dans le Jeu des Tarots. […] Donc, le tarot est une des formes de la magie et il est utilisé parce que, chez les Anciens, chez les Égyptiens, on mettait la magie, se connaître soi-même d’abord, l’astrologie, se connaître encore mieux, ensuite l’alchimie pour se transformer et s’améliorer. Et à la fin, la somme des trois ça s’appelle la théurgie. […] Et ça, ça figure Maât, la déesse de la Justice, de la justesse, de l’équilibre, de l’harmonie, etc. qui est dite la parèdre de Thot. Parce que, ça dit également à sa manière, si ce que l’on apprend ne sert à rien, comme à l’université, c’est un poids et c’est une écaille devant les yeux.
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J'aime relire. Et souvent cette relecture ouvre des pistes. Voici donc un complément de réflexion sur l'attitude à adopter face au combat des forces de l'Ombre :
Lien :
http://etoileenincarnationjournaldebord.blogvie.com/files/2014/03/le_langage_de_la_lumi...
Extrait d'Isis Blue Nebadonia pp.77-78 : Vous êtes née volontairement en France, ce pays est-il la terre d’une nouvelle vengeance ?
Nous avons eu plusieurs fins de cycle depuis la construction de cette matrice falsifiée, il y a des centaines de milliers d’années et nous n’avons jamais pu sortir l’humanité de son emprise, au détriment de nos vies. Pourquoi ? Parce que nous étions dans l’illusion du pouvoir et du contrôle. J’exerçais une certaine autorité sur mes terres, bien qu’on tenta de me les voler à maintes reprises. Je savais que Heru allait changer les choses, mais en ce temps là, nous devions nous battre pour notre propre survie et pour conserver nos territoires. Nous n’étions pas prêts pour l’ascension. C’était trop tôt pour l’évolution de cette humanité. Certains monarques et chefs politiques ont tenté de suivre notre exemple par la suite. Les 2 guerres mondiales que vous connaissez étaient tout simplement un prolongement de nos affronts passés entre l’Atlantide et Sumer. Nous étions plongés dans nos rôles de leaders mondiaux afin de ramener la paix et l’équité pour nos peuples. Croyez-vous toujours qu’une paix est durable par la force ou par la guerre ? Croyez-vous être en paix lorsque vous éliminez vos ennemis ? Croyez-vous que la vengeance est une solution pour éradiquer les problèmes ? Bien sûr que non ; le boomerang vous revient en pleine figure, tôt ou tard.
La France est mon pays emblématique. Elle est la terre des Francs ! Ces êtres étaient des sangs mêlés avec les Fils de la loi du Un, autrement dit, les Atlantes. Mon culte se retrouve dans de nombreuses villes, comme vous le découvrirez. Ce pays a une fréquence particulière car le cœur cristallin de la planète est situé dans ses montagnes. La France contient à elle seule le nœud karmique de la planète. C’est un pays dans lequel les humains ont versé le plus de sang. La fréquence de l’amour permet aujourd’hui de désagréger ce nœud karmique en vous rappelant vos origines galactiques et des vérités jusqu’à présent voilées. Vous voyez bien que nous ne sommes plus dans la course au Pouvoir. Par contre, nous assistons en direct à la chute de ceux qui sont au pouvoir. Percevez-vous la subtilité des énergies ?
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
MES SOURCES DE RÉFLEXION 7
MES SOURCES DE RÉFLEXION 7
N.B. On est toujours dans la foulée de mon argumentation à savoir que pour moi, l’histoire du « Jésus » des Évangiles, c’est l’histoire d’Osiris ressuscité en Horus.
Concernant Anton Parks, il y a d’autres infos dans le dossier :
"Les Secrets de la Bible"
Lien : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=123255
. Entre parenthèses, [ ] soit que j’ai mis le mot qui convient mieux au niveau de la compréhension de la langue française, ou celui que je pense avoir entendu.
. Entre parenthèses avec trois petits points […], je saute une narration qui n’est pas vraiment utile au niveau du message pour principalement me simplifier la tâche dans sa retranscription narrative.
Comme d’habitude, dans mes billets :
En or : des extraits de différentes sources référées
En vert : interventions des participants au vidéo
En bleu : mes commentaires personnels
Normal : des explications, précisions
En gras : titre ou souligner l’importance
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Lien : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=133401
TOME II : ÁDAM GENISIŠ
Section Récit
Section Archives et Décodages
p.318 La 3e partie de ce dossier établira qu’Enki et Osiris ne formaient qu’un seul et même personnage. Cette démonstration nous concèdera la possibilité d’authentifier les filiations amphibiennes d’Enki-Osiris (Sa’am) ainsi que sa consanguinité avec les planificateurs Abgal provenant de Sirius. Ces mêmes planificateurs étant considérés comme des KIR-IŠ-TI, terme en rapport avec le mot "Christ". Tous ces faits réunis, nous rapprocherons alors les Kirišti du Christ et de l’Étoile du Matin qui symbolise distinctement ce dernier dans des passages hermétiques de la Bible. Ceci nous permettra de commenter le sens des différentes croix que nous trouvons à travers le monde. Pour finir cette partie, nous explorerons la tradition des Dogons qui retrace la mort du Nommo, le "Christ" du Mali. En conséquence de ce sacrifice, l’univers entier fut bouleversé ainsi que le positionnement des étoiles. Cette étude nous donnera l’occasion d’assimiler pour la première fois le Nommo céleste sacrifié à un astre dont la destruction provoqua la naissance de la planète Vénus.
p.319 Horus le vengeur, le fils posthume d’Osiris, représente l’Étoile du Matin. Nous relèverons que les divers pharaons (images d’Horus) symbolisent tous Vénus.
p.330 Même si ces hymnes sont retirés de leur contexte, il apparaît clairement qu’Agni était un astre du ciel avant de symboliser le feu et le sacrifice. D’ailleurs les Vedas ne nous cachent pas sa double personnalité, à la fois terrestre et céleste. Certains éléments nous laissent penser qu’il pourrait s’agir d’une forme védique de Lucifer (Vénus).
p.333 Les analogies ne s’arrêtent pas là. Plusieurs passages du Rig-Veda associent clairement Agni à l’Horus égyptien. [Extraits du Rig-Veda] Nous savons qu’Agni a pour père "le maître du sacrifice" alors qu’Osiris est lui-même le grand sacrifié. Nous apprenons ici qu’Agni possède deux mères, tout comme Horus (Heru).
p.336 Le rituel de résurrection ne peut s’effectuer sans l’appui précieux de l’Étoile du Matin (Vénus). Le chapitre 13 du Livre des Morts égyptien rapproche nettement l’Étoile du Matin du phénix...
pp.336-337 En fait, les divers textes funéraires égyptiens dénomment essentiellement Vénus de deux façons : "Neter Duau" en tant qu’Étoile du Matin et "Benu" (le phénix) en tant qu’Étoile du Soir. Si on se réfère à l’extrait du chapitre 13, ceci sous-entend donc que Vénus en qualité d’Étoile du Matin est symbolisée par un faucon, et en tant qu’Étoile du Soir par un phénix. Tous les deux représentent le roi défunt, image d’Heru (Horus).
p.338 Les Purânas indiquent que le père terrestre de Vénus œuvrait pour l’humanité et qu’il était en relation avec les prêtres et les agriculteurs. N’était-ce pas les fonctions principales d’Enki en Mésopotamie et d’Osiris en Égypte ? Le Mahâbhârata indique que Jamadagni, le père terrestre de Vénus, fut assassiné par un roi et ses fils appartenant à une caste guerrière. Nous savons qu’Osiris (Enki) fut assassiné par Seth (Enlil) et ses partenaires orgueilleux (les guerriers Anunna).
p.345 Fig.4 Dans l’inscription archaïque sumérienne (à gauche), [Fig.4] on retrouve le signe de la croix, symbole des KIR-IŠ-TI, litt. "fils ardent de la vie" ou "poisson des étoiles et de la vie" qui sera repris par l’église chrétienne comme symbole de Jésus le Christ (voir plus loin la partie intitulée "Sous le signe de la croix"). Le signe de la croix est bien antérieur au christianisme et se retrouve sur bon nombre de monuments antiques, particulièrement sur ceux d’Amérique centrale, où il est identifié comme étant "la croix de Quetzalcoatl". Ce même Quetzalcoatl étant assimilé à l’Étoile du Matin et au Christ de la culture précolombienne. Nous verrons plus loin qu’il s’agit d’un double d’Heru (Horus).
p.349 Fig.9 Nous n’avons aucun mal à assimiler le poisson Abdju à un Horus symbolique ou plutôt un Osiris réincarné, alors que la contrepartie sumérienne d’Osiris est Enki qui possède lui-même le poisson comme symbole. Ce poisson qui précède la barque solaire évoque évidemment la planète Vénus qui devance aujourd’hui la course du soleil (Râ). Nous savons que le poisson figure également Sirius, l’autre astre sacré des Égyptiens, qui est le lieu où vivent les planificateurs amphibiens.
p.399 Chez les Égyptiens Neberu (Neb-Heru = le seigneur Horus), fils du maître de la royauté (Mulge = Osiris/Seker), succède à son père, il prend la royauté et porte le flambeau en se transformant en Vénus, le porteur de lumière, à savoir Lucifer chez les judéo-chrétiens. […] Les textes funéraires égyptiens sont explicites quant à l’assimilation d’Horus ou de ses suivants (les rois d’Égypte) à la planète Vénus.
p.410 Comme le souligne l’Évangile selon Philippe (Nag-Hammadi NH2, 15) : "Jésus est un nom caché, Christ est un nom révélé." Chaque Kirišti possédait manifestement un nom occulte. Avec un peu de perspicacité, nous n’aurons aucun mal à identifier le nom occulte d’Horus comme étant NEB-HERU "le Seigneur Horus", nom désignant le "Christ" égyptien qui personnifie à la fois le défunt roi et l’Étoile du Matin, c’est-à-dire le nouveau soleil…
p.436 La majorité des Gnostiques et occultistes considèrent Lucifer comme le Libérateur, celui qui a libéré l’humanité des chaînes de l’esclavage et de l’ignorance créées par le faux dieu qui gouverne ce monde malfaisant. Nous verrons dans le troisième volume des "Chroniques du Ǧírkù" que ce rôle incombera à Horus (Quetzalcoatl), le vengeur de son père, dont le but sera de récupérer le trône de son géniteur et de "sauver" l’humanité de l’oppression patriarcale des faux "dieux".
À 1:18:38 du vidéorandia : Vénus
Kiwan : On a parlé du Temple de Jérusalem qui a été bâti ou fait bâtir par Salomon. Mais ce n’est pas lui qui l’a fait, le Temple de Jérusalem. Ça l’a été Hiram, Hiram Abiff C’était des gens qui venaient de Tyr, qui arrivaient avec des techniques très proches d’une autre religion que la religion pour laquelle Salomon voulait avoir son Temple de Jérusalem, en hommage à Yahvé, Yod Hé Vav Hé le Tétragramme sacré. Mais en réalité, le fameux Temple de Salomon a été bâti sur les principes des temples de Baal, en hommage à Vénus, l’Étoile du Matin et l’Étoile du Soir. En passant, le chapelet en famille, ça commençait toujours à CKAC le soir en disant la chanson : « Étoile du Matin, Reine du Saint-Rosaire… » Bien oui. L’Étoile du Matin, c’est Vénus ! Et c’était directement reliée à la religion de Baal ! C’était loin d’être le Yahvisme… Jéhovah. Bon. En tout cas. C’est tout un autre monde. Et on est dans une grosse pièce de théâtre. J’allais presque dire comme Balzac, la comédie humaine. C’est comique. C’est beaucoup mieux d’en rire.
Non, au contraire. C'est très sérieux. Il n'y a pas d'erreur ou de hasard. Et ça vient drôlement soutenir le propos d'Anton Parks. Qui copie qui ?
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P(3)58 : L'Étoile du Matin est associée à Horus et les pharaons qui vont suivre. Curieusement, on l'associe à Jésus... bien après Horus ! Qui copie qui ?!
Lien complément Surprenant : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67146
COMPLÉMENT SURPRENANT #51 - Mise a Jour 23 Déc-
par gilles surprenant, dimanche 23 décembre 2012, 06:20
édité par gilles surprenant, dimanche 23 décembre 2012, 23:56
Extrait :
LUCIFER EST UN TITRE DU CHRIST
SOURCE
Il ne faut pas trop s'inquiéter avec Lucifer! Si on passe outre les
contresens modernes autour de ce nom, si on met à la corbeille ce que les
évangéliques disent, ainsi que les récupérations du New Age et des
mouvements aux prétentions occultes, ésotéristes, néo-païennes,
lucifériennes et sataniques, il ne reste qu'une seule chose : Un titre du
Christ!
Lucifer est en effet un des plus anciens titres du Christ qui a été perverti.
En effet, j'ai souvent expliqué ça à plusieurs personnes. Dans la
littérature chrétienne ancienne, avant le quatrième siècle, ainsi que dans
le Nouveau Testament, Lucifer est un titre du Christ comme dans 2 Pierre
1.19 (“phosphoros” en grec et “Lucifer” dans toutes les traductions
latines pré-vulgate et Vulgate, traduit la plupart du temps en français
par “étoile du matin”). Pierre écrit donc qu'il espère que Lucifer se lève
dans le coeur de ses lecteurs! Ainsi, “Lucifer”, l'étoile du matin, celle
qui s'illumine la première, représente symboliquement le Christ (tu as ça
aussi dans l'Apocalypse à deux reprises en 2.28 et 22.16.) En 2.28,
l'étoile du matin est donnée en récompense à celui qui a vaincu! En 22.16,
Jésus s'attribue à lui-même ce titre!
Ainsi en s'inspirant de ces versets, le titre de “Lucifer” est omniprésent
dans la liturgie chrétienne ancienne, dans les anciens recueils de chants
chrétiens, dans des anciennes prières qui ont été conservées et notamment
dans la liturgie latine catholique qui en garde des traces, bien que dans
les liturgies plus récentes on a souvent remplacé “Lucifer” par “stella
matutina”.
Deuxième point : Lucifer était aussi un prénom extrêmement commun chez lesromains. On y revient dans un instant...
D'où ça vient alors Lucifer comme nom du prince des ténèbres? Ça vient
d'une mauvaise joke plate de St-Jérôme. À l'époque de St-Jérôme, une
controverse existait à savoir s'il fallait ou non réhabiliter les
disciples d'Arius si ceux-ci acceptaient le crédo de Nicée. La majorité
des évêques disaient oui, mais un groupe plus radicaux refusait. Ce groupe
se rattachait à l'évêque de Cagliari en Sardaigne qui avait pour prénom...
Lucifer! Ses disciples portaient ainsi le nom de lucifériens! Mais ça
n'avait rien à voir avec le diable, c'était qu'ils refusaient de
réintégrer les disciples d'Arius dans la communion de l'Église et surtout
de leurs confier des charges ministérielles. St-Jérôme les trouvant
radicaux décida de donner le nom de Lucifer au roi de Babylone dans sa
traduction d'Esaïe 14 afin de se moquer d'eux! Peu à peu, luciférien
devint synonyme de « celui qui manque de charité», parce que les disciples
de l'évêque Lucifer de Cagliari avaient manqué de charité en ne voulant
pas admettre les anciens hérétiques dans la communion de l'Église.
Ainsi, le prince des ténèbres porte le nom d'une joke!
Je te fais une histoire courte. C'est la traduction King James qui fut la
première version moderne à donner le nom de Lucifer au diable. Et c'est
bien là une des preuves (et il y en a d'autres) qui montre clairement que
cette traduction, et toutes celles qui s'en sont inspirées ne traduisent
pas à partir des originaux, mais qu'elles se sont souvent librement
inspirées de la Vulgate latine! (Ne dis pas ça à certains évangéliques -
comme ceux qui dénoncent sans savoir de quoi ils parlent les «manuscrits
d'Alexandrie» - parce qu'ils vont te lapider!) Au 20e siècle le Livre
d'Urantia et un peu avant ce livre, la Société de théosophie se sont
construits toute une mythologie autour d'un ange déchu nommé Lucifer qui
n'est pas attesté dans la Bible autrement que dans la traduction (et
j'insiste) King James et dans un seul passage de la Vulgate dont on sait
que ce fut intentionnel de la part de St-Jerôme que de vouloir faire une
blague en visant l'évêque de Cagliari. Le reste, c'est de la mythologie
populaire. Madame Blavatsky qui connaissait un peu le latin avait bien vu
que Lucifer signifiait porteur de lumière. Comme dans la traduction King
James, c'est le nom du diable, elle a imaginé cette affaire d'ange déchu
(s'inspirant d'Ésaie 14) en assimilant sa nouvelle innovation avec le dieu
grec Prométhée qui dans la mythologie grecque avait dérobé le feu à Zeus
pour le donner aux hommes. Son succès fut immédiat et même les chrétiens
se sont laissés entraîner par la vague.
En fait, la Bible ne connait pas cette légende d'un ange (ou d'un
archange) rebelle et déchu qui aurait pour nom Lucifer. C'est la culture
populaire qui s'est inventée ça afin de suivre la Société de théosophie,
tout comme elle s'invente un paquet d'histoires subversives afin ou bien
de se faire des peurs ou bien de s'inventer ses propres voies de salut.
J'ai essayé de trouver des traces d'un ange déchu qui ressemblerait à
Lucifer dans la littérature juive pré-chrétienne et je n'ai rien trouvé.
Satan n'est pas un ange déchu, c'est un être qui s'oppose, qui se place
devant Dieu et qui lui résiste et rien n'indique qu'il ait été un ange. Le
livre de Job lui donne accès à la cours divine, mais ne lui donne pas le
statu d'ancien ange déchu, et encore moins le nom de Lucifer. S'il est
vrai qu'il entraîne à sa suite une partie des anges (selon l'Apocalypse)
et que des anges désobéissants se joignent finalement à sa cause selon ce
qu'on peut interpréter du livre éthiopien d'Hénoch, nulle part il n'est
mentionné que l'un d'eux porte le nom de Lucifer (sauf dans la culture
populaire.)
Que faire alors des satanistes lucifériens modernes et que penser de ceux
qui invoquent le nom de Lucifer et qui font apparaître des bibites
astrales? Ce qu'il faut en penser, c'est que c'est leurs affaires et c'est
dommage pour eux et qu'ils se font niaiser par ces entités astrales (des
démons) au même titre que lorsque ces entités se présentent en disant
qu'elles sont le Comte de Saint-Germain ou la reine de Saba ou Hénoch ou
les Anges Xedas. Une grosse menterie et une joke auxquelles on ajoute
d'autres mensonges et supercheries ne donnent pas au total un vrai
personnage. Autrement dit, ce n'est pas parce qu'une entité leur apparaît
et qu'elle dit être Lucifer et qu'eux croient en leur
“Lucifer-le-déchu-porteur-de-lumière” et que Dieu l'aurait mis à la porte
du Paradis parce qu'il voulait apporter la lumière aux hommes et qu'ils
l'identifient à Prométhée qu'il faut que les chrétiens aussi y croient!
Mais malheureusement, notre monde chrétien s'est coupé de ses fondements.
Plus personne n'étudie la Bible dans le texte original et encore moins de
monde n'étudie l'histoire. La place est ainsi libre pour cette légions
d'écrivains, de gourous et d'appentis sorciers du Nouvel âge. Ils
composent donc des sagas extraordinaires (comme celles d'Anton Park dont
tu as peut-être entendu parler) en prétendant s'inspirer des tablettes
anciennes de Sumer ou de manuscrits non trafiqués de la Bible et y mettre
Lucifer - mais celui de la théosophie - comme pivot de leurs histoires.
Conclusion : C'est normal d'assimiler le Christ au symbole que représente
l'Étoile du Matin. Bien entendu, pour nos oreilles modernes, d'entendre le
mot Lucifer dans cette liturgie fait immédiatement penser à une alliance
entre le Vatican et les lucifériens, mais il n'en est rien. L'Église de
Rome est dans la brume spirituelle, comme le sont aussi les églises
évangéliques et comme le sont la majorité des chrétiens. Le Vatican n'est
ni mieux, ni pire que les USA. Pour revenir à cette liturgie (Exsultet), à
l'époque où elle fut composée, le nom “Lucifer” n'avait pas encore cette
connotation satanique qu'il a aujourd'hui. La joke de Jérôme était certes
connues, mais comme la Vulgate n'était pas encore pleinement répandue,
c'était marginal. J'ai plein de textes à la maison qui datent des premiers
siècles et le nom de Lucifer comme titre du Christ est omniprésent.
Malheureusement, la plupart du temps, lorsqu'on essaie d'expliquer ça, on
se fait taxer de satanique! C'est donc assez difficile que de chercher à
débroussailler tout ça, d'inciter les chrétiens à réapprendre à lire leur
propre texte source et de ne pas se laisser embrouiller la vue et
l'esprit. En fait, je ne considère pas que c'est important d'expliquer ça,
sauf si quelqu'un pose explicitement la question comme tu viens de le
faire.
Si on résume : Lucifer est le nom de l'Étoile du Matin et déjà dans le
Nouveau Testament c'est un titre donné au Christ. C'est ce bon vieux
St-Jérôme qui a voulu faire du sarcasme avec le nom d'un évêque qui a
allumé l'affaire. La confusion s'est définitivement installée lorsqu'on a
publié la traduction anglaise King James qui est devenue une véritable
idole dans certains milieux évangéliques (parce que certaines de leurs
doctrines propres ne fonctionnent plus si on lit le Nouveau Testament en
grec!) Cette traduction a inspiré Madame Blavatsky et le livre d'Urantia
et les groupuscules pseudo-occultistes ont ensuite forgé de leur
imagination fertile la légende de Lucifer, l'ange déchu qui voulait
apporter la lumière aux hommes. La suite, tu la connais.
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P(3)58 : Le lien suivant était dans le complément Surprenant ci-haut. La date est antérieure au vidéorandia qui est associé à ce complément.
Lien Conscience du Peuple : http://conscience-du-peuple.blogspot.ca/2012/04/une-hymne-lucifer-lors-de-la-veillee.html
Extrait :
Conscience du peuple
mardi 10 avril 2012
Une hymne à Lucifer lors de la veillée pascale sur la Place St-Pierre samedi dernier ?
* Lire l'explication de Serge Cazelais, en bas de page,
expert du christiannisme et des langues anciennes.
Le pape Benoît XVI a célébré, le 7 avril dernier, la veillée pascale dans la Basilique St-Pierre au Vatican. Dans son homélie, le Pape parle combien l'humanité se trouve dans les ténèbres et combien la lumière du Christ est nécessaire aux hommes pour faire la différence entre le bien et le mal. La procession du Pape à travers la Basilique s'est faite dans une obscurité silencieuse pour ensuite laisser jaillir la lumière du cierge pascal, pour symboliser Jésus "lumière du monde".
Jusque là, rien de nouveau sous le soleil!
Sauf que...
À 18:30 de la vidéo ci-bas, le diacre commence "l'Exsultet", un chant liturgique qui symbolise l'irruption de la lumière dans les ténèbres. À 27:35, le chant arrive à un passage, toujours en latin, où est invoqué le nom de Lucifer:
Flammas eius lúcifer matutínus invéniat:
ille, inquam, Lúcifer, qui nescit occásum.
Christus Fílius tuus,
qui, regréssus ab ínferis, humáno géneri serénus illúxit,
et vivit et regnat in sæcula sæculórum.
Traduction en anglais:
May the Morning Star which never sets
find this flame still burning:
Christ, that Morning Star,
who came back from the dead,
and shed his peaceful light on all mankind,
your Son, who lives and reigns for ever and ever.
Amen.
Traduction en français:
Qu'il brûle encore quand se lèvera l'astre du matin,
celui qui ne connaît pas de couchant,
le Christ ressuscité revenu des enfers,
qui répand sur les hommes sa lumière et sa paix.
Garde ton peuple, nous t'en prions, ô notre Père,
dans la joie de ces fêtes pascales.
Par Jésus Christ, ton Fils notre Seigneur,
qui par la puissance de l'Esprit s'est relevé d'entre les morts
et qui règne près de toi pour les siècles des siècles.
Dans la Bible, Jésus est appelé "l'étoile brillante du matin", en français, et "the bright Morning star", en anglais. (Apocalypse 22:16). Lucifer est appelé "l'astre brillant, fils de l'aurore", en français, et "Morning star" / "Shining star" / "Star of the morning" (Esaïe 14:12).
Avant de crier au scandale, j'attends l'explication d'un ami qui enseigne dans le domaine des langues anciennes et qui a fait des études universitaires sur la Vulgate et plusieurs autres versions de Bible. Je vais donc publier sa réponse dans les prochains jours.
Voici la vidéo de la cérémonie pascale:
[flash width=800 height=500]//www.youtube-nocookie.com/v/?v=fjgIiUkb45Y[/flash]
* Commentaire de Serge Cazelais ( http://sergecazelais.com/ )
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
MES SOURCES DE RÉFLEXION 7 (la vidéo)
En mettant de la couleur or à l'extrait, incluant le lien vidéo, celui-ci n'est pas effectif. Alors je corrige ici.
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P(3)58 : Le lien suivant était dans le complément Surprenant ci-haut. La date est antérieure au vidéorandia qui est associé à ce complément.
Lien Conscience du Peuple : http://conscience-du-peuple.blogspot.ca/2012/04/une-hymne-lucifer-lors-de-la-veillee.html
Extrait :
Conscience du peuple
mardi 10 avril 2012
Une hymne à Lucifer lors de la veillée pascale sur la Place St-Pierre samedi dernier ?
* Lire l'explication de Serge Cazelais, en bas de page,
expert du christiannisme et des langues anciennes.Le pape Benoît XVI a célébré, le 7 avril dernier, la veillée pascale dans la Basilique St-Pierre au Vatican. Dans son homélie, le Pape parle combien l'humanité se trouve dans les ténèbres et combien la lumière du Christ est nécessaire aux hommes pour faire la différence entre le bien et le mal. La procession du Pape à travers la Basilique s'est faite dans une obscurité silencieuse pour ensuite laisser jaillir la lumière du cierge pascal, pour symboliser Jésus "lumière du monde".
Jusque là, rien de nouveau sous le soleil!
Sauf que...
À 18:30 de la vidéo ci-bas, le diacre commence "l'Exsultet", un chant liturgique qui symbolise l'irruption de la lumière dans les ténèbres. À 27:35, le chant arrive à un passage, toujours en latin, où est invoqué le nom de Lucifer:
Flammas eius lúcifer matutínus invéniat:
ille, inquam, Lúcifer, qui nescit occásum.
Christus Fílius tuus,
qui, regréssus ab ínferis, humáno géneri serénus illúxit,
et vivit et regnat in sæcula sæculórum.Traduction en anglais:
May the Morning Star which never sets
find this flame still burning:
Christ, that Morning Star,
who came back from the dead,
and shed his peaceful light on all mankind,
your Son, who lives and reigns for ever and ever.
Amen.Traduction en français:
Qu'il brûle encore quand se lèvera l'astre du matin,
celui qui ne connaît pas de couchant,
le Christ ressuscité revenu des enfers,
qui répand sur les hommes sa lumière et sa paix.
Garde ton peuple, nous t'en prions, ô notre Père,
dans la joie de ces fêtes pascales.
Par Jésus Christ, ton Fils notre Seigneur,
qui par la puissance de l'Esprit s'est relevé d'entre les morts
et qui règne près de toi pour les siècles des siècles.Dans la Bible, Jésus est appelé "l'étoile brillante du matin", en français, et "the bright Morning star", en anglais. (Apocalypse 22:16). Lucifer est appelé "l'astre brillant, fils de l'aurore", en français, et "Morning star" / "Shining star" / "Star of the morning" (Esaïe 14:12).
Avant de crier au scandale, j'attends l'explication d'un ami qui enseigne dans le domaine des langues anciennes et qui a fait des études universitaires sur la Vulgate et plusieurs autres versions de Bible. Je vais donc publier sa réponse dans les prochains jours.
Voici la vidéo de la cérémonie pascale:)
* Commentaire de Serge Cazelais ( http://sergecazelais.com/ )
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
MES SOURCES DE RÉFLEXION 8 : Le Baptême
MES SOURCES DE RÉFLEXION 8 : LE BAPTÊME
Le christianisme est-il né avec Jésus comme on veut nous le faire croire depuis 2000 ans, ou en Égypte avec Horus voilà 12 000 ? Évidemment, dans mes sources de réflexion, Anton Parks occupe une grande place.
Concernant Anton Parks, il y a d’autres infos dans le dossier :
"Les Secrets de la Bible"
Lien : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=123255
. Entre parenthèses, [ ] soit que j’ai mis le mot qui convient mieux au niveau de la compréhension de la langue française, ou celui que je pense avoir entendu.
. Entre parenthèses avec trois petits points […], je saute une narration qui n’est pas vraiment utile au niveau du message pour principalement me simplifier la tâche dans sa retranscription narrative.
Comme d’habitude, dans mes billets :
En or : des extraits de différentes sources référées
En vert : interventions des participants au vidéo
En bleu : mes commentaires personnels
Normal : des explications, précisions
En gras : titre ou souligner l’importance
N.B. On est toujours dans la foulée de mon argumentation à savoir que pour moi, l’histoire du « Jésus » des Évangiles, c’est l’histoire d’Osiris ressuscité en Horus.
Concernant Anton Parks, il y a d’autres infos dans le dossier : Les Secrets de la Bible
Lien : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=123255
. Entre parenthèses, [ ] soit que j’ai mis le mot qui convient mieux au niveau de la compréhension de la langue française, ou celui que je pense avoir entendu.
. Entre parenthèses avec trois petits points […], je saute une narration qui n’est pas vraiment utile au niveau du message pour principalement me simplifier la tâche dans sa retranscription narrative
Voici donc, à partir des livres d’Anton Parks, des sujets ou des thèmes de l’Égypte que j’ai relevés et qui, selon mon jugement, s’apparentent au christianisme.
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LE BAPTÊME
À 1H30:30 il nous parle du baptême, de l'onction qui nous différencie d'avec les Protestants. Il parle aussi des signes royaux et monarchistes. Le fleur-de-lys, les abeilles, ça vient d’Égypte !
Et, drôle de hasard, si hasard il y a..., dans ma nouvelle séquence de réécoute des vidéorandias, où j'en suis rendu, M. Lefebvre fait de même à partir de 0H50:21 du vidéorandia de janvier 2014. Et au-delà de la 56 ième minute, M. Lefebvre nous parle des pouvoirs « psioniques » des évêques. Un peu comme les pouvoirs évoqués chez les Québécois par MKultra.
Il y a un parallèle intéressant entre le discours de M. Lefebvre et les propos de MKultra sur le baptême, la confirmation, des pouvoirs.
ÁDAM GENISIŠ
À noter que ces extraits font partie de la section essai du livre, non du récit.
Anton Parks, Éd. Nouvelle Terre, 2006-2007
Extrait #1 p.355 :
Dans le chapitre 22 de l’Apocalypse, Jésus se présente comme celui qui vient. En tant qu’Alpha et Omega, il apparaît comme le premier et le dernier. Il est le roi, la source, l’Oint de l’Éternel. Son rôle de Messie est clairement défini.
Nous trouvons ici plusieurs aspects extrêmement précis, qui sont en affinité évidente avec Osiris et Horus. Le terme grec "Christos" qui se dit "Messias" en latin, possède comme sens "oint, sacré par le Seigneur". On dit d’une personne qu’elle a été ointe [du latin "unctum" ("onguent")] lorsqu’elle a été consacrée par une onction liturgique. C’était précisément ce en quoi consistait le rituel initiatique dans le cénotaphe d’Osiris à Abdju (Abydos) d’où découle le baptême chrétien. L’initié, mais aussi le futur roi, se présentait dans la piscine après un long parcours initiatique. Il montait les marches pour accéder à l’île primordiale où se trouvait la tête d’Osiris et renaissait tel un jeune soleil. Nous venons de relever que le terme "Messie" proviendrait du vocable latin "Messias", mais nous ne manquerons cependant pas de souligner que le terme égyptien "Mesi" se traduit par "naître" ou "enfanter".
Référence : papyrus égyptien de Leiden (T32-4, lignes 9 à 21), de "Les initiés et les rites initiatiques en Égypte ancienne", Max Guilmot, éditions Arista, 1991.
Extrait #2 p.356 :
Après s’être enfoncé dans la terre (le tunnel qui mène à l’Osireion souterrain), l’initié doit s’immerger dans l’eau sacrée avant de monter sur l’île sainte (la plate-forme) et rejoindre le sarcophage et le reliquaire contenant la tête d’Osiris. L’immersion totale occasionne une sorte de programmation qui a pour effet que l’initié exulte dans le miracle de la résurrection.
En Abzu ou en Abdju, l’initié fait face à l’oint, au Messie, c’est-à-dire au sauveur, le libérateur qui va l’absoudre de ses péchés. C’est bien le rôle qu’entrediendra symboliquement Osiris après sa mort, il deviendra le grand juge, le maître de l’éternité. Dans le judaïsme, Jésus est l’envoyé de Dieu qui rétablira Israël dans ses droits et inaugurera l’ère de la justice. Chez les Égyptiens, la justice est une déesse qui se nomme Maât, elle accompagne Osiris lors du jugement osirien qui se déroule dans le monde obscur des morts. Maât (la justice) juge l’âme des Humains en procédant à la pesée du cœur dont Horus est la forme divine tandis qu’Osiris prononce le jugement. Une fois encore, la Bible compilée par les prêtres hébreux ne manque pas cette occasion de se calquer sur l’idéologie ésotérique égyptienne.
"Vous faites bien de la regarder (la parole prophétique) comme une lampe qui brille dans un lieu obscur, jusqu’à ce que le jour commence à poindre et que l’Astre du Matin (le Christ) se lève dans vos cœurs." – 2 Pierre 1.19
LE TESTAMENT DE LA VIERGE
À noter que ce livre est un essai. Il n’est pas un récit.
Anton Parks, Éd. Nouvelle Terre, 2009
Extrait #3 pp.155-156 :
Le terme Messie proviendrait du vocable latin Messias qui se dit Christos en grec et dont les définitions sont "oint" et "sacré par le Seigneur". L’onction divine joue un rôle considérable dans la définition d’une personne importante, parfois annoncée comme rédemptrice. L’onction qui se pratiquait à Abydos (Abdju), la ville sainte d’Osiris, relevait d’une forme de baptême pour l’initié, qui devait se plonger dans l’eau du temple de l’Osireion avant de rencontrer l’effigie du dieu, elle-même dénommée Mesi par les prêtres :
Ici, dans le livre, on retrouve des dessins égyptiens en lien avec « Mesi » que je ne peux reproduire. Je n’ai pas d’appareil-photo numérique, malheureusement.
De son côté, l’onction que l’on retrouve dans les rituels judéo-chrétiens relève plutôt d’un geste liturgique qui consiste à appliquer de l’eau bénite sur la tête d’une personne ou d’un objet. Dans la Bible, un être oint est une personne qui a reçu l’onction des prêtres pour être roi, prophète ou libérateur. Jésus-Christ revendique d’ailleurs le titre d’"oint", comme en témoigne Luc 4:18 : "L’Esprit du Seigneur est sur moi, parce qu’il m’a consacré par l’onction". Il s’agit ni plus ni moins de l’onction du Saint-Esprit, dont nous savons qu’il symbolise la Mère divine.
À plusieurs reprises, nous avons relevé dans cette enquête que le vocable Mesi trouve une valeur toute particulière dans le langage égyptien et que ce mot est en rapport avec le fait de "naître", "d’enfanter", et d’avoir été "fait à la ressemblance de". À la ressemblance de qui, nous n’en savons rien, mais sans doute du père, si ce n’est celle du dieu Osiris dont chaque Égyptien voulait se rapprocher. Nous avons également relevé que l’épithète Mesi-temu-em-whem était un nom donné à Osiris en tant que "celui qui donne naissance aux mortels une seconde fois".
La mère, comme l’image du père et comme son propre fils, pouvait porter le titre de Mesi. La mère, l’enfant, et la divine statue du dieu mort, sont indissociables, car ces trois acteurs symbolisent la divine triade : la mère, le fils et le père, précisément "recyclée" en Sainte Trinité par les judéo-chrétiens.
Extrait #4 p.236 :
L’élément liquide (l’eau) s’exprime de plusieurs façons en égyptien. Le terme le plus courant est Net. Par ailleurs, nous avons vu plus haut que le fleuve de Râ se nomme Net-Râ. De ce terme provient très probablement le Netra (la "chambre de l’eau"), la source de purification baptismale dont nous parlerons plus loin lorsque nous étudierons les chambres de la Grande Pyramide. Le Netra est la "salle" ou "chambre de l’eau" qui fait partie de l’hypogée royal égyptien et qui est reproduite dans la majorité des temples égyptiens.
LE RÉVEIL DU PHÉNIX
À noter que cet extrait fait partie du récit, information reçue sous forme d’impulsions lumineuses et qu’il retransmet le plus fidèlement possible. Il concerne le baptême d’Horus (Heru). C’est lui-même qui en fait la description, consignée dans son cristal.
Bit-Râ-Hem est la Grande Pyramide.
Amašutum est la dénomination des femelles Gina’abul.
Her-Râ est Horus l'Aîné, le Jean Baptiste judéo-chrétien, l’archange Michel.
Anton Parks, Ed. Nouvelle Terre, 2010
Extrait #5 p.212 :
On m’avait préparé à ce rite étrange. Ma mère m’en avait parlé plusieurs fois. Il s’agit d’une métamorphose corporelle et spirituelle qui nécessite un passage par l’eau des abîmes, en vue d’effacer les souillures de ses anciennes vies et de la présente. L’eau de la fosse de Bit-Râ-Hem pouvait tout à fait jouer le rôle du Nun (l’océan primordial). Tout futur souverain doit se soumettre à cet usage du bain sacré dans une eau qui figure celle des origines. Il s’agit d’un ancien rite Amašutum que plusieurs branches Gina’abul ont adopté depuis la nuit des temps. Mon père avait connu une forme de purification lorsqu’il était devenu l’époux de la grande Nut (Nammu), mais ce rite se pratiquait à deux, en couple. Comme je n’avais pas encore trouvé ma reine parmi mes trois concubines, je devais effectuer ce rituel plutôt que l’autre.
Rien de très compliqué ne m’attendait, juste une purification par immersion qui devait finir par une confirmation solennelle agrémentée d’une onction sacrée. Plusieurs officiants devaient m’attendre en bas, dont mon aîné Her-Râ.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
MES SOURCES DE RÉFLEXION 9 : TOUJOURS L'ÉGYPTE !
MES SOURCES DE RÉFLEXION 9 : L’Égypte
N.B. On est toujours dans la foulée de mon argumentation à savoir que pour moi, l’histoire du « Jésus » des Évangiles, c’est l’histoire d’Osiris ressuscité en Horus.
Le christianisme est-il né avec Jésus comme on veut nous le faire croire depuis 2000 ans, ou en Égypte avec Horus voilà 12 000 ? Évidemment, dans mes sources de réflexion, Anton Parks occupe une grande place.
Concernant Anton Parks, il y a d’autres infos dans le dossier :
"Les Secrets de la Bible"
Lien : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=123255
. Entre parenthèses, [ ] soit que j’ai mis le mot qui convient mieux au niveau de la compréhension de la langue française, ou celui que je pense avoir entendu.
. Entre parenthèses avec trois petits points […], je saute une narration qui n’est pas vraiment utile au niveau du message pour principalement me simplifier la tâche dans sa retranscription narrative.
Comme d’habitude, dans mes billets :
En or : des extraits de différentes sources référées
En vert : interventions des participants au vidéo
En bleu : mes commentaires personnels
Normal : des explications, précisions
En gras : titre ou souligner l’importance
N.B. On est toujours dans la foulée de mon argumentation à savoir que pour moi, l’histoire du « Jésus » des Évangiles, c’est l’histoire d’Osiris ressuscité en Horus.
Concernant Anton Parks, il y a d’autres infos dans le dossier : Les Secrets de la Bible
Lien : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=123255
. Entre parenthèses, [ ] soit que j’ai mis le mot qui convient mieux au niveau de la compréhension de la langue française, ou celui que je pense avoir entendu.
. Entre parenthèses avec trois petits points […], je saute une narration qui n’est pas vraiment utile au niveau du message pour principalement me simplifier la tâche dans sa retranscription narrative
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L’ÉGYPTE
P(3)58 : Voici donc d’autres sources qui se tournent vers l’Égypte ancienne. Pour moi, c’est une preuve circonstantielle qui vient conforter ma réflexion à savoir que l’Égypte ancienne pré-dynastique joue un rôle de premier plan, particulièrement pour la compréhension des textes bibliques, précisément les Évangiles.
1. Jacques Grimault et le jeu de cartes
Durée : 10:19
. Le noir et le rouge des cartes le sont sur un fond blanc. En Égypte ancienne, on écrivait avec ces trois couleurs. En Égypte ancienne, on fonctionne avec des hiéroglyphes. Et on retrouve aussi des glyphes sur les cartes.
. Avec ces cartes, il y trouve une leçon de polarité qu’on retrouve avec notamment les pyramides de Gizeh.
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P(3)58 : Encore une fois, l’Égypte est dans le portrait. Il semblerait que l’histoire de Salomon soit l’histoire de Thot, dit Hermès Trismégiste, dit ange Gabriel, dit Enoch. Quand on sait que l’archange Michael serait en fait Horus l’aîné, dit le Jean Baptiste…
2. Revue : Questions d’Histoire
Graphik Éditions
Rédacteur en chef : Philippe Ilial
No 19 Mai/Juin/Juillet 2015
Sujet : LE SCEAU DE SALOMON
Par : Jean-Roch Cousinier, auteur
Extraits
1. p.78 Avant de s’attacher à décrire le sceau de Salomon, il convient de rappeler qui il fut, peut-être. Les sources religieuses ne sont pas forcément en phase avec la science et l’archéologie. Si la Bible reste très précise sur le règne de ce roi antique, les chercheurs n’ont rien trouvé qui atteste de son existence. Un peu comme le roi Arthur, Salomon est un personnage semi-légendaire s’appuyant sur une réalité culturelle en relation avec un mythe, mais qu’on ne peut prouver par des traces, ou des inscriptions. […] Si la culture israélite est attestée à l’âge de fer, l’existence d’un tel royaume ne l’est pas par les archéologues. […] Si pour les religieux Salomon est réel, pour les archéologues il n’est qu’une légende…
2. p.81 L’étoile de David ou hexagramme n’est pas spécifiquement judaïque. […] Roi d’un petit peuple, on prête à Salomon des pouvoirs surnaturels, ceux-là mêmes qui lui permirent de réaliser ses grandes œuvres, et de soutenir, dans le cadre légendaire, la comparaison avec des Pharaons ou des empereurs.
3. pp.81-82 Dans un texte apocryphe chrétien appelé Testament de Salomon, on raconte comment l’archange Michael remit à Salomon un anneau magique…
4. p.82 Le testament de Salomon fait de ce dernier l’égal d’Hermès Trismégiste, le fondateur légendaire de l’alchimie antique. On pourrait même s’interroger sur le fait que ces deux légendes, parmi les chercheurs de pierres philosophales, pourraient se confondre.
P(3)58 : Curieusement, il se fait subtiliser son anneau qui sera finalement jeté en mer et il est question d’un poisson qui finira par l’avaler un peu comme le phallus d’Osiris l’aurait été lui aussi ! Et, oh miracle, ce « poisson » se retrouvera dans l’assiette de Salomon.
Bibliographie :
1. Michel Cazenave [dir.], Encyclopédie des symboles, Le livre de poche, coll. « La pochothèque », 1989
2. Ernest-Marie Laperrousaz, Salomon, roi d’Israël, Hachette Éducation, 2000
3. Claude Lichtert, Dany Nocquet [dir.], Le Roi Salomon. Un héritage en question, Bruxelles, Lessius [coll. Le livre et le rouleau 33], 2008
4. Israel Finkelstein, Neil Asher Silberman, La Bible dévoilée, Paris, Bayard, Folio histoire, 2002
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Revue : Questions d’Histoire
Graphik Éditions
Rédacteur en chef : Philippe Ilial
No 19 Mai/Juin/Juillet 2015
Sujet : ARTÉFACTS TESTAMENTAIRES
Par : Max Gubbio, chercheur
Extraits
1. p.88 L’Arche d’Alliance « Dans la Bible, on la décrit comme le coffre sacré qui abritait les Tables de la Loi, l’Ourim et Thoummim (des pierres magiques), avec les chérubins ailés sur le couvercle. Ses dimensions (basées sur la coudée royale égyptienne) étaient approximativement 1,30 m de long, avec une hauteur et profondeur de 76 cm. »
2. p.89 Comme nous le constatons, bien des points en rapport avec l’Égypte renvoient à Babylone. La rédaction définitive du livre de l’Exode coïncide également avec le retour d’exil du peuple juif, au VIe siècle avant J.-C. L’hypothèse que l’on peut avancer est que les Hébreux, finalement, n’ont jamais été en Égypte ! En effet, il n’y a pas plus de preuves circonstanciées de leur présence au pays des pharaons, que de traces physiques de leur passage dans le Sinaï.
Bibliographie :
1. Patrick Boussel, Des reliques et de leur bon usage, Ed. Baland, 1971.
2. Victor Klagsbald, À l’ombre de Dieu : dix essais sur la symbolique dans l’art juif, Éd. Peeters, 1997.
3. Gérard Lucotte, Le linceul de Turin et la tunique d’Argenteuil : le point sur l’enquête, Presse de la Renaissance, 2006.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
MES SOURCES DE RÉFLEXION 10 : L'Égypte et la Bible
MES SOURCES DE RÉFLEXION 10 : L’Égypte
N.B. On est toujours dans la foulée de mon argumentation à savoir que pour moi, l’histoire du « Jésus » des Évangiles, c’est l’histoire d’Osiris ressuscité en Horus.
Le christianisme est-il né avec Jésus comme on veut nous le faire croire depuis 2000 ans, ou en Égypte avec l’assassinat d’Osiris/Enki, ressuscité en Horus voilà 12 000 ? Évidemment, dans mes sources de réflexion, Anton Parks occupe une grande place.
Concernant Anton Parks, il y a d’autres infos dans le dossier :
"Les Secrets de la Bible"
Lien : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=123255
. Entre parenthèses, [ ] soit que j’ai mis le mot qui convient mieux au niveau de la compréhension de la langue française, ou celui que je pense avoir entendu.
. Entre parenthèses avec trois petits points […], je saute une narration qui n’est pas vraiment utile au niveau du message pour principalement me simplifier la tâche dans sa retranscription narrative.
Comme d’habitude, dans mes billets :
En or : des extraits de différentes sources référées
En vert : interventions des participants au vidéo
En bleu : mes commentaires personnels
Normal : des explications, précisions
En gras : titre ou souligner l’importance
. Entre parenthèses, [ ] soit que j’ai mis le mot qui convient mieux au niveau de la compréhension de la langue française, ou celui que je pense avoir entendu. Ou encore, j’ai corrigé une coquille apparente du texte.
. Entre parenthèses avec trois petits points […], je saute une narration qui n’est pas vraiment utile au niveau du message pour principalement me simplifier la tâche dans sa retranscription narrative
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L’ÉGYPTE
P(3)58 : Voici donc d’autres sources qui se tournent vers l’Égypte ancienne. Pour moi, c’est une preuve circonstantielle qui vient conforter ma réflexion à savoir que l’Égypte ancienne pré-dynastique joue un rôle de premier plan, particulièrement pour la compréhension des textes bibliques, précisément les Évangiles.
L’ÉGYPTE ET LA BIBLE
Publiée le 21 sept. 2014
Avec cette émission, La Foi prise au mot inaugure un nouveau partenariat avec la revue Le Monde de la Bible. A raison d'une fois par trimestre, suivant le rythme de publication de cette belle revue éditée par Bayard, Régis Burnet nous propose d'entrer plus en profondeur dans les Écritures. Pour cette première émission consacrée à " L'Égypte et la Bible ", Benoît de Sagazan, rédacteur en chef du Monde la Bible, et Pierre Grandet, égyptologue et historien, nous instruisent sur les liens historiques et spirituels unissant Israël et l'Égypte au travers des multiples références qui y sont faites dans la Bible.
La Foi prise au Mot du 21/09/2014.
P(3)58 : Information fort intéressante et pertinente sur l’Exode, la terre de Canaan, sur le terme Apirou qui serait à l’origine du mot hébreu et sa désignation sociologique avant de devenir une désignation ethnique. Ici, je ne relève que les passages où l’Égypte est directement en relation d’avec les textes bibliques. Parce qu’on souligne les influences indirectes de l’Égypte dans le vidéo. On souligne aussi les Shasou (le Yahvé, le tétragramme, y serait associé) et les Hyksôs qui pourraient être associés aux Hébreux. Et finalement, le rôle joué par les Juifs grecs en Alexandrie.
Roger Sabbah (et son frère Messod), Anton Parks, Nassim Haramein, pour ne nommer que ceux-là, tentent eux aussi d’éclaircir le mystère de l’Exode, de sa réalité historique, du réalisme de l’événement tel qu’il nous est raconté, de l’authenticité des Hébreux, des Israélites, des Juifs.
Lien Roger Sabbah : Les Secrets de la Bible
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=123255
Anton Parks, Éd. Nouvelle Terre, 2009
Extrait pp.24-25 : L’influence égyptienne sur les Hébreux n’est pas nouvelle. Déjà en 1977, le grand anthropologue et historien sénégalais Cheikh Anta Diop criait haut et fort les répercussions que l’Égypte a eues sur le récit biblique : "Si comme le dit la Bible, les Hébreux sont entrés en Égypte au nombre de 72 individus groupés en 12 familles (clans) et en sont sortis 400 ans plus tard au nombre de 600 000 en tant que minorité brimée, il est certain qu’ils ont puisé tous les éléments de leur culture en Égypte même. La Nation israélienne n’existera que par réaction contre la Nation égyptienne, la culture égyptienne résonne à travers l’Ancien et le Nouveau Testament". (16)
Nous n’épiloguerons [pas] sur l’origine du peuple hébreu qui ne concerne pas notre étude, ni des dates annoncées par ces différents auteurs. Nous garderons simplement en mémoire que les ancêtres du peuple juif sont restés en terre égyptienne suffisamment longtemps pour s’imprégner des textes et traditions de ce pays. Qu’ils aient été à l’origine égyptiens ou un peuple adopté par l’Égypte ne change rien aux données qui vont être exposées dans cet ouvrage.
(16) Anta Diop, Sheikh, Parenté Génétique de l’Égyptien Pharaonique et des Langues Négro-africaines, les Nouvelles Éditions Africaines, 1977.
À 4:07 du vidéo / Pierre Grandet : Il y a des spécialistes, par exemple, qui considèrent que l’idée des rois choisis par, les rois fils de Dieu, les rois d’Israël fils de Dieu ou quelque chose comme ça, c’est, il y en a qui considèrent que c’est une influence égyptienne.
À 5:47 du vidéo / Benoît de Sagazan : La Bible a fait de nous des héritiers de l’Égypte aussi. Parce que si la mention de l’Égypte n’a jamais quitté même l’Occident, je pense que, par la Bible, et par Alexandrie aussi mais pour d’autres raisons, on évoquera sûrement tout à l’heure, nous sommes, nous Occidentaux, des héritiers de l’Égypte aussi. Et je pense que c’est quelque chose qui est très fort. Autant l’Égypte, le discours égyptien imprègne la Bible, autant nous en sommes aussi nous forcément des héritiers.
À 15:08 du vidéo / Pierre Grandet : On ne voit pas comment expliquer autrement le nom de Moïse que comme une forme abrégée d’un nom propre égyptien, très fréquent à l’époque. Ce qui ne nous permet pas de dire que c’est telle ou telle personne.
À 28:45 du vidéo / Pierre Grandet : Si on nous avait représenté ça au Moyen Âge, et on nous représente au Moyen Âge, n’est-ce pas, le pharaon qui poursuit les Hébreux. On représente pharaon comme un roi de France…
P(3)58 : Cette assertion est intéressante de mon point de vue sachant le lien établit par entre Versailles, Louis XIV et l’Atlantide, l’Égypte.
Lien entre Versailles et l’Atlantide (Égypte) : Mes sources de réflexion 6
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=134610
À 29:40 du vidéo / Benoît de Sagazan : Bien, je pense qu’il y a quand même une connaissance des us et coutumes égyptiens, quand même. Les rédacteurs de la Bible n’ignoraient pas tout. C’était le référent culturel. (L’histoire de Joseph, du collier, de certaines cérémonies, les actions, les récompenses, les grades, les fonctions le démontrent.)
À 30 :19 du vidéo / Régis Burnet : Pourquoi, à votre avis, dans cette reconstruction idéologique ou cette constitution d’une identité, l’Égypte va jouer ce rôle un peu de miroir d’Israël ? Parce que souvent quand on parle de l’Égypte dans la Bible, on pense que c’est toujours négatif. Pas toujours. Et souvent, comme vous l’avez dit justement, le salut vient de l’Égypte quelquefois. Et les prophètes en sont très conscients. Il y a même certains comme Isaïe disent clairement qu’il n’aurait pas fallu rompre cette alliance avec l’Égypte parce que, d’ailleurs avec raison, ça s’est mal fini. Pourquoi cette construction avec l’Égypte un peu en miroir, fascination ?
À 31 :47 du vidéo / Benoît de Sagazan : La Bible est un formidable métissage. Je vous expliquais tout à l’heure, on n’hésite pas même à mêler des sources de deux civilisations. Moïse trouvé des eaux, c’est un mythe babylonien, mythe mésopotamien. Ce passage par l’Égypte, il est capital et il se répète après.
Anton Parks, Éd. Nouvelle Terre, 2009
Extrait p.153 : Après avoir relevé dans mes deux ouvrages précédents l’influence manifeste des écrits mésopotamiens sur les rédacteurs de l’Ancien Testament, nous découvrons peu à peu à quel point des pans entiers du Nouveau Testament, voir la Bible elle-même, trouvent leur source dans les chroniques égyptiennes, aussi bien celles de la plus haute antiquité que celles des 18 et 19e dynasties. Les ombres cumulées d’Isis, Osiris et Horus déchirent enfin le voile des mystères de nos origines.
À 32:54 du vidéo / Pierre Grandet : Tout à l’heure, Benoît de Sagazan nous parlait, nous disait que nous sommes des héritiers de l’Égypte à travers la religion. Nous sommes aussi les héritiers de l’Égypte à travers l’anti-religion. (Discours à la Renaissance, aux Lumières, ésotériques et rationnels. La franc-maçonnerie. En 1789 en France et l’expédition de Napoléon Bonaparte en Égypte.)
À 36:23 du vidéo / Régis Burnet : Il n’y a aucune raison pour que Jésus aille en Égypte. Soyons clairs. Pourquoi est-ce qu’on tient à ce qu’il aille quand même en Égypte ?
À 36:57 du vidéo / Benoït de Sagazan : Et ce qui est intéressant, c’est qu’on sent que les auteurs ont saisi ce prétexte de la fuite en Égypte pour inscrire Jésus à la fois dans une prophétie, qui est peut-être celle d’Isaïe, je crois qu’Isaïe dit : « il y avait sur un nuage léger, vient en Égypte et les dieux chancellent devant lui ». Donc, Jésus étant la nouvelle manifestation de Dieu, devait apparaître en Égypte, répondre à la prophétie. Les auteurs évangélistes sont très soucieux d’inscrire Jésus dans les prophéties. Et ensuite, Jésus apparaît comme l’auteur, le créateur de la nouvelle alliance. Donc, il fallait qu’il apparaisse aussi comme un nouveau Moïse, qu’il sorte d’Égypte et qu’il revienne à Canaan, ou ce qui était plutôt la Judée de l’époque.
Lien citation d’Isaïe : http://www.cerbafaso.org/textes/bioethique/bible_de_jerusalem.pdf
Extrait : Isaïe 19, 1 Oracle sur l'Egypte. Voici que Yahvé, monté sur un nuage léger, vient en Egypte. Les faux dieux d'Egypte chancellent devant lui et le coeur de l'Egypte défaille en elle.
Régis Burnet : L’idée d’un roi oint, donc d’une messie, [messiah/mashiak] ça veut dire oint, ça aussi c’est une idée égyptienne, modifiée bien entendu, enfin, je veux dire, mais.
Pierre Grandet : […] Il ne faut pas oublier également le fait que Jésus ait été en Égypte, ça reflète une coutume bien établie. C’est-à-dire, lorsque Nabuchodonosor a pris Jérusalem, une partie de la population a fui en Égypte. C’était un refuge aussi. C’était un exode à l’envers. Ce n’est pas pour rien qu’après la principale communauté juive du Proche Orient se trouve à Alexandrie. Il y a une tradition d’aller se réfugier en Égypte devant les aléas.
Oui donc, comme je le disais, beaucoup d’universitaires, et non les moindres, considèrent que l’idée de rois fils de Dieu, de rois choisis par Dieu et oints par le Seigneur, est une idée qui a été hérité au pays de Canaan des siècles d’occupation égyptienne. Malheureusement, il n’y a pas de traces formelles si vous voulez de cette transmission. […] Il faut comprendre que dans la définition théologique du roi d’Égypte, théologique au sens de la théologie égyptienne elle-même, le roi est le messie des Égyptiens. Il est placé justement par Dieu sur Terre pour annuler les effets du péché originel, pour les sauver. […] Et c’est cette définition qui est reprise par les rois d’Israël, en fait.
À 42:16 du vidéo / Benoît de Sagazan : Si la Bible est devenue universelle, c’est grâce au rôle qu’ont joué les auteurs juifs grecs à Alexandrie, en la traduisant et qu’elle soit disponible, y compris pour le monde grec. Dans ce foyer-là, donc, le christianisme est né. Et ensuite, pour qu’il se diffuse en dehors d’Alexandrie, il a fallu qu’il soit traduit en copte Le copte, la langue copte, c’est une langue égyptienne dont l’écriture, finalement, l’alphabet grec, a remplacé plus ou moins l’hiéroglyphe.
Anton Parks, Éd. Nouvelle Terre, 2009
Extrait p.191 : Le peuple hébreu ayant vécu de nombreuses années sur le sol égyptien, nous avons largement démontré qu’un nombre infini de termes égyptiens trouve de multiples correspondances dans le vocabulaire hébreu et araméen. C’est pour cette raison que la Bible contient tellement de mots égyptiens et de similitudes historiques.
En même temps que ce christianisme se développe, on travaille aussi les textes. On traduit de plus en plus de textes. À travers ces textes naissent de nouveaux mouvements, les mouvements gnostiques, notamment toute la littérature apocryphe. Et parmi cette littérature apocryphe, il y a l’Évangile du pseudo Matthieu qui raconte même l’itinéraire de la Sainte Famille en Égypte. […] Il y a tout un foisonnement spécifiquement égyptien au christianisme qui est très, très fort. Ensuite, toute cette littérature donc, bien sûr, a été traduite en copte. […] La naissance du monachisme s’est faite en Égypte. Les Pères du désert se sont éloignés des villes et ont bâti leurs monastères dans le désert égyptien. Et ces moines nous ont donné des sagesses, des livres, enfin des textes fabuleux.
À 43:57 du vidéo : Il y avait une image dont on a parlé tout à l’heure. Parce que ça montre aussi l’acculturation de ce christianisme égyptien. […]
Image de la revue où on confronte l’image d’Isis allaitant Horus avec celle de la Vierge Marie faisant de même avec Jésus.
[…] On utilise un vocabulaire et des images qui existent déjà chez les Égyptiens de l’époque pour les amener vers le christianisme…
Pierre Grandet : C’est un témoignage de l’influence de l’Égypte justement dans tout le Proche Orient, une influence culturelle. Puisque, effectivement, ce n’est pas un hasard si vous avez la représentation d’Isis [lactence] comme on l’appelle et de la vierge qui sont... D’ailleurs, pourquoi les vierges noires sont-elles noires aussi ? Une des théories, ce serait parce qu’elles viennent d’Égypte. C’est une manifestation justement d’un emprunt iconographique. […] Donc, ce n’est pas tout à fait par hasard que cette image a été mise en évidence. On pourrait citer d’ailleurs l’image de la crèche. Vous avez vraiment des thèmes iconographiques égyptiens qui ont inspiré fortement par exemple l’image de la crèche avec… […] Je ne veux pas dire que ce soit une idée qui soit transmise à travers ça. Par contre, il y a une iconographie qui s’est adaptée, qui était parfaite pour véhiculer un nouveau message. Peut-être que les messages ne sont pas si loin finalement, d’ailleurs. Après tout…
Anton Parks, Éd. Nouvelle Terre, 2009
Extrait p.97 : Dans l’iconographie chrétienne, Joseph est régulièrement représenté avec des fleurs de lys blanches (symboles de royauté), accompagné d’un enfant qu’il porte à son côté et qui figure Jésus. Notons pour l’anecdote que le lys est également un symbole de royauté en Égypte et que le nom égyptien Fai-Heru était donné à Osiris en tant que "porteur d’Horus". Encore deux malencontreuses coïncidences.
À 49:12 du vidéo / Pierre Grandet : Comprenez-moi bien, lorsque je dis, lorsqu’on me demande : y a-t-il des traces archéologiques de la présence des Hébreux en Égypte ? Non. On m’a demandé d’écrire un article sur les traces archéologiques de la conquête de Canaan, j’ai dit aux gens qui m’avaient demandé ça, gardez votre argent. En une phrase, il n’y en a pas. Bon, ça ne veut pas dire que je rejette la Bible. Moi, comme source historique, je la revendique comme source historique.
Anton Parks, Éd. Nouvelle Terre, 2009
Extrait p.377 : Roger Sabbah se révolte dans son ouvrage, Le Pharaon Juif, contre Christiane Desroches-Noblecourt qui désigne les Hébreux comme des "emprunteurs" séduits par la religion égyptienne, tel qu’elle l’indique dans son livre, Le fabuleux héritage de l’Égypte. Nous comprenons l’irritation de R. Sabbah, mais la remarque de C. Desroches-Noblecourt a le mérite de réaffirmer l’étrange similitude qui existe entre la religion juive et celle de l’ancienne Égypte.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
MES SOURCES DE RÉFLEXION 11 : L'Égypte et...
MES SOURCES DE RÉFLEXION 11 : L’Égypte
N.B. On est toujours dans la foulée de mon argumentation à savoir que pour moi, l’histoire du « Jésus » des Évangiles, c’est l’histoire d’Osiris ressuscité en Horus.
Le christianisme est-il né avec Jésus comme on veut nous le faire croire depuis 2000 ans, ou en Égypte avec l’assassinat d’Osiris/Enki, ressuscité en Horus voilà 12 000 ? Évidemment, dans mes sources de réflexion, Anton Parks occupe une grande place.
Concernant Anton Parks, il y a d’autres infos dans le dossier :
"Les Secrets de la Bible"
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. Entre parenthèses, [ ] soit que j’ai mis le mot qui convient mieux au niveau de la compréhension de la langue française, ou celui que je pense avoir entendu.
. Entre parenthèses avec trois petits points […], je saute une narration qui n’est pas vraiment utile au niveau du message pour principalement me simplifier la tâche dans sa retranscription narrative.
Comme d’habitude, dans mes billets :
En or : des extraits de différentes sources référées
En vert : interventions des participants au vidéo
En bleu : mes commentaires personnels
Normal : des explications, précisions
En gras : titre ou souligner l’importance
. Entre parenthèses, [ ] soit que j’ai mis le mot qui convient mieux au niveau de la compréhension de la langue française, ou celui que je pense avoir entendu. Ou encore, j’ai corrigé une coquille apparente du texte.
. Entre parenthèses avec trois petits points […], je saute une narration qui n’est pas vraiment utile au niveau du message pour principalement me simplifier la tâche dans sa retranscription narrative
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L’ÉGYPTE
P(3)58 : Voici donc quelques extraits parmi d’autres sources qui se tournent vers l’Égypte ancienne. Pour moi, c’est une preuve circonstantielle qui vient conforter ma réflexion à savoir que l’Égypte ancienne pré-dynastique joue un rôle de premier plan, particulièrement pour la compréhension des textes bibliques, précisément les Évangiles.
Revue : Les Énigmes de l’Histoire
Graphik Éditions
Rédacteur en chef : Philippe Ilial
No 23 Juillet/Août/Septembre 2014
1. LE TAROT
Par : Pascal Balmès, Rédacteur
Extrait p.41 : En son huitième volume du « Monde Primitif » édité en 1781, le Pasteur Franc-Maçon Antoine Court de Gebelin a travaillé sur les significations du Tarot. Il a été le premier à donner à ce jeu une origine provenant de l’Égypte. Il n’y a pas de preuves tangibles de ce fait, mais l’idée est charmeuse. […] Selon Gebelin, le premier Tarot aurait échappé à l’incendie de la Bibliothèque d’Alexandrie et l’érudit nous décrit comment le Tarot a dérivé d’une religion égyptienne antique.
2. L’ARCHE ARME DE GUERRE et moyen de communication AVEC LE DIVIN
Par : Frank Bourg, Rédacteur
Extrait p.80 : Plusieurs hypothèses estiment que l’Arche constituerait une arme électrique d’une grande puissance, construite en se fondant sur d’anciennes connaissances perdues et gardées seulement par les Initiés Égyptiens…
3. Le ROI SALOMON son TEMPLE et son FABULEUX TRÉSOR
Par : Richard Bessière, Écrivain
Extrait p.88 : Chartres est un livre de pierres qu’il faut savoir lire, mais, hélas, nous avons perdu cette notion, et ces livres de pierres venus du Moyen Âge nous tiennent un langage que nous ne comprenons plus. Nous découvrons toutefois que le monument est construit selon le nombre d’or, une proportion magique pour l’étude de l’équilibre et de l’harmonie. On y retrouve aussi bon nombre de figures géométriques qui proviennent de la pyramide de Gizeh, du temple de Salomon et de plusieurs monuments de l’antiquité grecque ; tous ces trésors architecturaux étant liés par les mêmes règles sacrées, les mêmes lois de la Perfection totale.
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Revue : Les Énigmes de l’Histoire
Graphik Éditions
Rédacteur en chef : Philippe Ilial
No 24 Octobre/Novembre/Décembre 2014
1. Les CITÉS D’OR des INCAS
Par : Charles Riatour, Rédacteur
Extrait p.56 : Moctezuma II, l’empereur des Aztèques, est terrifié par l’apparence de ces « blancs barbus » et se persuade vite que Cortés est le dieu Quetzalcóatl de retour sur la terre indienne comme le veut une prophétie ancienne. Il l’accueille en grandes pompes…
P(3)58 : D’une façon globale, on sait que plusieurs tribus autochtones sont en liens avec des entités ou phénomènes extraterrestres. (Voir Salle 1010 du Club CRÉÉE et le livre Le Réveil du Phénix d’Anton Parks.) Ça donne de la crédibilité au fait que le Quetzalcóatl serait en fait une autre appellation pour désigner Osiris/Horus qui aurait instruit l’humanité. (Voir le livre ÁDAM GENISIŠ, section archives et décodages, d’Anton Parks.)
Et comme on attend le Grand Monarque, ils attendent Quetzalcóatl. Leur méprise face aux Espagnols leur a coûté cher. Espérons qu’on ne fera pas la même erreur ! Parce que des Cortés, il y en a à chaque époque. Moi, je me méfie des Cortés extraterrestres et/ou intraterrestres... qui se plaisent à dénigrer l'humanité à la moindre occasion et ce, sans jugment ni discernement. Leurs sommations lors du COP15 et après, ainsi que leur comparaison qualifiant la Terre de "Zoo avec des singes humains"... alors qu'ils font possiblement partie du problème ! Et ils ont des "solution"... ("Jupiter Ascending")
Il y en a qui opte pour une descendance juive/hébraïque pour le GM. Moi, je persiste à croire qu’il sera de descendance d’Enki/Osiris/Horus ! Et la récente découverte du jeune Québécois William Gadoury vient aussi confirmer une présence d’entités évoluées voilà plusieurs millénaires. Parce que c’est plus qu’observer les étoiles. C’est reproduire sur Terre des cités sans boussole ni GPS, sans les technologies humaines d’aujourd’hui. Patrick Lambert en a fait aussi une étonnante démonstration avec les pyramides de Gizeh.
Extrait p.58 : La prophétie ancestrale de Quetzalcóatl joue une fois de plus en faveur des hidalgos ; les Incas se prosternent vite devant les « dieux blancs barbus », et Pizarro s’empare – au prix d’un grand massacre – d’un butin mirifique en en pillant le palais de l’Inca Atahualpa, après l’avoir fait prisonnier en novembre 1532.
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Revue : Les Énigmes de l’Histoire
Graphik Éditions
Coordination : Philippe Ilial
No 25 Janvier/Février/Mars 2015
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1. Le TEMPLE de SALOMON à la recherche du TEMPLE PERDU
Par : Vincent Willaime
Extrait p.57 : La parodie est peut-être facile, mais elle n’en demeure pas moins pertinente. Construit sous le règne du roi Salomon, un roi que l’Histoire ne connaît pas, à la tête d’un grand royaume prospère dont personne n’a entendu parler, c’est un magnifique sanctuaire dont on n’a jamais pu retrouver la moindre trace archéologique, conçu pour abriter une arche dite « d’Alliance », qui elle aussi semble bien perdue à jamais, si toutefois elle a réellement existé. Mais le temple de Salomon évoque un ensemble de choses qui dépasse de loin la réalité archéologique. Construit pour être la demeure permanente de Yahvé au sein de son peuple à l’emplacement où Abraham a voulu sacrifier Isaac, qu’il soit mythique ou réel, il fait de Jérusalem la Ville sainte éternelle pour le peuple juif.
P(3)58 : Si Salomon est en fait Hermès Trismégiste, soit le Thot égyptien, on peut donner un peu plus de cohérence et de vraisemblance à ce fameux Temple de Salomon.
2. LE PREMIER TEMPLE
Par : Vincent Willaime
Extrait p.60 : L’histoire des Hébreux commence officiellement aux alentours de 1900/1800 av. J.-C. avec le patriarche Abraham, qui migre avec tout son clan du nord de la Mésopotamie vers le pays de Canaan : c’est là que Yahvé lui a promis une terre pour sa descendance. Malgré cela, son petit-fils Jacob se rend en Égypte avec ses fils dans l’espoir d’une vie meilleure et l’un d’eux, Joseph, parvient même à devenir l’homme le plus puissant d’Égypte après Pharaon.
P(3)58 : Il aurait pu rajouter qu’on n’est pas plus sûr de l’existence historique d’Abraham. Ici, c’est invraisemblable qu’un « nobody » devienne l’homme le plus puissant d’Égypte après Pharaon à moins d’être un prétendant légitime comme le prétend Roger Sabbah. Comme il m’apparaît invraisemblable que Jésus soit initié en Égypte s’il n’est pas lui-même un prétendant légitime au trône. Ce qui revient à dire que les textes bibliques sont une transposition de chroniques égyptiennes et, bien entendu, sumériennes.
Dans ma réflexion, l’épisode de l’Exode est un événement ou un non-événement clé pour décoder les textes bibliques. Bien que les Sabbah, Parks et autres ont une opinion/thèse sur la question, le mystère n’est pas encore entièrement résolu à ce jour. C’est une énorme zone grise, une énorme mystification. De même pour la question des Hébreux, de Moïse. Et puis viendra l’épisode de Nabuchodonosor II en 597 av. notre ère, avec l’exil en Babylonie et un nouvel « exode », le retour en Canaan.
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Revue : Les Énigmes de l’Histoire
Graphik Éditions
Rédacteur en chef : Philippe Ilial
Hors série No 6
Septembre/Octobre 2014
www.boutiquedelhistoire.fr
1. Bibliothèque de Nag Hammadi : Jésus et le Christianisme primitive
Par : Géraldine Buse, rédactrice
Extrait p.54 « L’Évangile de Thomas » : À la lecture de ce manuscrit unique… il convient de remarquer qu’aucun de ces enseignements ne met Jésus en situation par des références de temps et de lieu, contrairement aux écrits canoniques, qui utilisent de longs segments de matériel narratif. […] Mais nombreux sont les experts à aller encore plus loin dans leur analyse, en estimant que les doctrines inscrites dans ce manuscrit étaient issues d’une mystérieuse Tradition indépendante très ancienne, dont la source originelle reste à être dévoilée.
P(3)58 : Et si cette source originelle venait d’Osiris, Isis, Horus, Thot ?
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Revue : Ça M’Intéresse HISTOIRE
Éd. Groupe Prisma Media
www.primashop.caminteresse.fr
Rédacteur en chef : Olivier Carpentier
Hors série No 1
Juillet/Août 2015
1. Tout ce qu’on doit aux Égyptiens
Par : Karine Madrigal, prof. de civilisation égyptienne à l’université inter-âges du Dauphiné (UIAD), Grenoble
Extrait p.91 : « Nous autres Occidentaux sommes les héritiers de la civilisation égyptienne. Dans nos églises, les scènes de la Vierge à l’Enfant ne rappellent-elles pas celles d’Isis allaitant Horus ? Le dogme chrétien de la Sainte-Trinité (le Père, le Fils et le Saint-Esprit) nous renvoie aussi aux triades égyptiennes. En effet, certaines villes étaient sous le parrainage d’une triade divine (un dieu, sa parèdre et leur fils). À Abydos, on vénérait celle formée d’Osiris, son épouse Isis et leur enfant Horus. À Thèbes, c’était Amon, Mout et Khonsou… Dans un autre registre, les images chrétiennes de saint George sur son cheval transperçant de sa lance le dragon empruntent beaucoup aux représentations des pharaons, comme la statuette du jeune roi Toutankhamon debout sur une nacelle, brandissant un harpon pour maîtriser un hippopotame dans les eaux du Nil. »
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
MES SOURCES DE RÉFLEXION 12 : L'Égypte et...
MES SOURCES DE RÉFLEXION 11 : L’Égypte
N.B. On est toujours dans la foulée de mon argumentation à savoir que pour moi, l’histoire du « Jésus » des Évangiles, c’est l’histoire d’Osiris ressuscité en Horus.
Le christianisme est-il né avec Jésus comme on veut nous le faire croire depuis 2000 ans, ou en Égypte avec l’assassinat d’Osiris/Enki, ressuscité en Horus voilà 12 000 ? Évidemment, dans mes sources de réflexion, Anton Parks occupe une grande place.
Concernant Anton Parks, il y a d’autres infos dans le dossier :
"Les Secrets de la Bible"
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Comme d’habitude, dans mes billets :
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En vert : interventions des participants au vidéo
En bleu : mes commentaires personnels
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L’ÉGYPTE
P(3)58 : Voici donc quelques extraits parmi d’autres sources qui se tournent vers l’Égypte ancienne. Pour moi, c’est une preuve circonstantielle qui vient conforter ma réflexion à savoir que l’Égypte ancienne pré-dynastique joue un rôle de premier plan, particulièrement pour la compréhension des textes bibliques, précisément les Évangiles.
Revue : ÉGYPTE ANCIENNE
DIVERTI Éditions
Rédacteur en chef : Philippe Ilial
No 15 Février/Mars/Avril 2015
N.B. La photo couverture du numéro 15 n’y était pas.
1. LA MOMIFICATION ET LE TRIBUNAL D’OSIRIS
L’accès à la vie éternelle
Par : William Cevenit
Extrait p.82 : À l’instar de Caïn et Abel ou de Romulus et Remus, le fratricide d’Osiris par Seth est un archétype commun à la plupart des cultures de l’Antiquité. Mais l’impact du myhte d’Osiris dépasse de loin le cadre de l’Égypte pharaonique et on peut observer dans le thème du dieu trahit qui subit un martyre, meurt puis ressuscite pour vivre éternellement au « royaume des morts », ainsi que dans celui de l’enfant né d’une union miraculeuse, une lointaine préfiguration du christianisme.
Extrait p.84 : Même si les membres de la famille royale et les hauts dignitaires se font aussi embaumer et inhumer dans des tombeaux richement décorés, seul Pharaon peut se réclamer des dieux : vivants, il est Horus, mort il est Osiris. C’est aussi, on l’aura compris, une affaire de politique, où il s’agit de légitimer le pouvoir de Pharaon par quelque chose qui est incontestable et qui dépasse l’homme, et pour cela, une entité de nature céleste est idéale. Du moins tant qu’on y croit. Les rois de France prétendaient bien détenir leur pouvoir de Dieu, donc le moins qu’on puisse dire est que l’idée a perduré.
Revue : ÉGYPTE ANCIENNE
DIVERTI Éditions
Rédacteur en chef : Philippe Ilial
No 11 Février/Mars/Avril 2014
1. AKHÉNATON a-t-il INVENTÉ le MONOTHÉISME ?
Par : Umberto Vasco
Extrait p.31 : Akhenaton aurait donc tenté de balayer le polythéisme plutôt encombré de la religion traditionnelle égyptienne et sa réforme religieuse aurait été le premier monothéisme de l’histoire. La chronologie retenue à l’époque de ces découvertes situant la jeunesse de Moïse au 13ième siècle av. J.-C., soit environ un siècle après Akhenaton, la tentation était trop forte pour ne pas essayer de faire d’Aton le prototype du dieu d’Israël, Yahvé, postulant une forme de filiation directe entre les deux religions, dont Akhenaton et Moïse auraient été les prophètes respectifs.
Thèse de Sigmund Freud qui veut que le savoir d’Akhenaton aurait été transmis aux Israélites par Moïse.
P(3)58 : Voici ma réflexion : si dans les faits, ce n’est pas Moïse mais Akhenaton qui se serait enfui d’Égypte avec ses fidèles et certains artéfacts égyptiens suite à l’échec de sa réforme religieuse ?! D’où l’empressement à effacer toutes traces de son passage dans l’Égypte. Mais la faiblesse de cette possibilité est que la description faite d’Amon correspondrait plus à Yahvé que celle d’Aton.
Extrait p.35 : Les seuls textes religieux connus sont les deux « hymnes » à Aton : le Grand Hymne à Aton, gravé dans la tombe du pharaon Ay. […] C’est la ressemblance entre certains passages du Grand Hymne avec le Psaume 104 de l’Ancien Testament qui a alimenté bien des spéculations. […] Ils ne sont pas totalement nouveaux dans la mesure où ils s’inspirent de textes antérieurs à la gloire d’Osiris ou même d’Amon. […] Aton, Akhenaton et Néfertiti forment la nouvelle triade divine et la seule offerte à l’adoration du peuple.
2. AMENEMHAT IV pourrait-il être MOÏSE ?
Par : Vincent Willaime
Extrait p.62 : Dans le récit biblique, le pharaon de l’Exode n’est pas nommé et diverses hypothèses ont été explores en cherchant des points communs entre le récit mythique et le contexte historique, dans le cadre de ce que l’archéologie peut mettre en lumière. […] Mais une autre hypothèse, plus originale, pour ne pas dire plus, situe l’Exode à la fin du Moyen Empire et avance que Néférousobek était la princesse qui a trouvé Moïse dans un panier d’osier flottant sur le Nil. Fille ou sœur d’Amenemhat III, ne pouvant avoir d’enfants, elle l’aurait adopté et élevé comme son propre fils ; c’est lui qui aurait régné à la mort du pharaon, sous le nom d’Amenemhat IV.
P(3)58 : Quand on aura élucidé le mystère de l’Exode, on aura plus de recul pour mieux analyser les textes bibliques et les événements depuis cette période.
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Hermétisme : La Cabbale mère égyptienne
Par Elishean - mai 22, 2016
Source : http://www.cabbale.org
Vu sur : http://www.unisson06.org/
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Copyright les Hathor © Elishean/2009-2015/ Elishean mag
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P(3)58 : J’aime bien ce lien avec les trois chiffres : 3, 5 et 8 !
Extrait 1 : Chez les juifs, la cabbale provenait des Kaldéens par Daniel et Esdras.
Chez les Israélites antérieurs à la disparition des dix tribus non juives, la Cabbale provenait des Egyptiens, par Moïse.
Chez les Kaldéens comme chez les Egyptiens, la cabbale faisait partie de ce que toutes les Universités métropolitaines appelaient la Sagesse, c’est-à-dire la synthèse des sciences et des arts ramenés à leur principe commun. Ce Principe était la Parole ou le Verbe.
Un précieux témoin de l’antiquité patriarcale prémoïsiaque déclare cette sagesse perdue ou bouleversée 3.000 ans environ avant Notre-Seigneur. Ce témoin est Job et l’antiquité de ce livre est autologiquement signé par la position des constellations qu’il mentionne : « Qu’est devenue la Sagesse, où donc est-elle ? » dit ce saint patriarche.
Dans Moïse, la perte de l’unité antérieure, le démembrement de la Sagesse patriarcale, sont indiqués sous le nom de division des Langues et d’Ere de Nimrod.
Cette époque Kaldéenne correspond à celle de Job.
P(3)58 : Alain Nyala a évoqué récemment dans un vidéorandia que la « Tradition » était fragmentée :
Extrait 2 : Depuis ce temps babélique, aucun peuple, aucune race, aucune Université, n’a plus possédé qu’à l’état de débris fragmentaires l’ancienne Universalité des connaissances divines, humaines et naturelles, ramenées à leur Principe : le Verbe-Jésus. Saint Augustin désigne sous le nom de Religio vera cette Synthèse primordiale du verbe.
Extrait 3 : Jésus, dans Sa dernière prière si mystérieuse, jette en cela comme en tout, une lumière décisive sur le mystère historique qui nous occupe ici :
« O Père ! Couronne-moi de la Gloire que j’ai eue avant que ce Monde ne fût ! »
Le Verbe incarné fait allusion en cela à Son oeuvre, à Sa création directe comme Verbe créateur, Création désignée sous le nom de Monde divin et éternel de la Gloire prototype du Monde astral et temporel, créé par les Alahim sur ce modèle incorruptible.
Que le Principe créateur soit le Verbe, l’Antiquité n’a sur ce point qu’une voix unanime. Parler est créer y sont synonymes dans toutes les langues.
Chez les Brahmes, les documents antérieurs au culte de Brahma représentent ISOu-Ra, Jésus-Roi, comme le Verbe créateur.
Chez les Egyptiens, les livres d’Hermès-Trismégistes disent la même chose ; et OShI-Ri est Jésus-Roi lu de droite à gauche.
Chez les Thraces, Orphée, initié aux Mystères d’Egypte vers la même époque que Moïse, avait écrit un livre intitulé : le Verbe divin.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
COMMENTAIRES PERSONNELS : INTRO MISE À JOUR
COMMENTAIRES PERSONNELS
En noir : résumé, explication, contexte...
En vert : extrait Serge Cazelais, JF, Kiwan
En or : extrait Anton Parks et autres
En bleu : commentaire personnel P(3)58
En rouge : ajout lors de la mise à jour
Pour en savoir plus sur Serge Cazelais : Complément Surprenant #1251 :
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67146
Son site : http://sergecazelais.com/
Club CRÉÉE : Septembre 2006 Salle 609 :
http://www.esoterisme-exp.com/ClubCREEE_pub/Activites2006/609/609-tradition.php#BAT
Source : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67145
Sur Viméo : https://vimeo.com/56182775#at=1933
N.B. Les propos tenus dans ce vidéorandia ont été tenus voilà un peu plus de trois ans. Donc, il est possible qu’aujourd’hui ces propos aient évolué d’une façon ou d’une autre. Quoiqu’il en soit, le forum permet la possibilité de rétroagir pour rectifier, préciser, ajouter, bonifier, nuancer.
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On devrait plutôt lire : Désolé Cette vidéo n'existe plus. Après vérification dans mon dossier vidéorandias, plusieurs vidéorandias chez VIMÉO ont été retirés, dont celui-ci.
COMMENTAIRES PERSONNELS :
J’en suis à la dernière étape avec ce vidéorandia. Ici, je précise qu’il s’agit simplement de mon opinion personnelle sur des questions qui ont été soulevées dans ce vidéorandia. Chacun peut avoir sa propre opinion. Moi, je recherche de la cohérence et de la vraisemblance concernant nos origines, notre genèse, pour mieux appréhender notre époque. Je n’ai pas l’expertise de Serge Cazelais ou de Kiwan dans leur sphère spécifique. Mais, j’ai mon jugement, mon discernement, mon ressenti, mes réflexions.
Serge Cazelais développe sur ces sujets. Vous avez les références pour l’écouter au besoin.
À 0:54:07 du vidéorandia : Jésus historique ou pas ?
À 0:56:39 du vidéorandia : Textes de l’antiquité et textes sacrés : message historique ou message spirituel ? Où est la vérité ?
À 1:01:20 du vidéorandia : Textes bibliques plagiats de textes sumériens ?
À 1:20:08 du vidéorandia : Textes apocryphes / Résurrection du Christ
P(3)58 : J’ai une opinion différente et divergente sur ces sujets. Pour moi, le « Jésus » tel que présenté dans les Évangiles n’est pas historique, ni authentique. Il a tout simplement été élaboré sur la base d’une histoire originelle, la même qui a inspiré les différentes mythologies et religions.
Plus je lis, plus je cumule d’information sur la question, et plus il devient évident pour moi que l’histoire des principaux personnages bibliques des Évangiles du Nouveau Testament, s’avère être l’histoire des dieux de l’Égypte prédynastique, soit environ 10 000 ans avant notre ère.
Et l’influence de l’Égypte et de Babylone est indéniable dans l’Ancien Testament des Hébreux qui ont côtoyé les deux civilisations.
Tout ramener ces écrits dits « sacrés » ou anthologiques de l’époque à la simple transmission d’un message spirituel, c’est pour moi la démonstration d’une reddition, d’une impuissance à pouvoir en expliquer les incohérences, les invraisemblances, les contradictions et le contenu souvent violent, sanglant, scabreux. Et comble du paradoxe, c’est dans ce contenu qu’on y trouve un véhicule pour transmettre un message spirituel. Ça peut être aussi la volonté d’enterrer l’Histoire pour mieux asseoir son pouvoir. Ou bien le déni d’une civilisation plus avancée et bien antérieure à ce que l’Histoire officielle reconnaît.
Moi, j’aimerais bien qu’on m’explique pourquoi ça prend des « bibles » pour transmettre un message spirituel.
Et l’histoire démontre bien qu’il y a eu presque continuellement des conflits, des guerres, des conquêtes dans l’Antiquité.
Antoine Gigal s’intéresse à l’Égypte antique. Et quand elle tente de remonter à l’origine des textes égyptiens, ça l’amène bien au-delà des premières dynasties. Alors, les textes bibliques et/ou apocryphes, remontent jusqu’à quand, eux ? Pour moi, il s’agit de la même source.
Je n’ai rien contre le fait de trouver un message spirituel dans ces textes. C’est l’exercice auquel on se livrait au pensionnat à partir de chansons populaires (ex. « Un gars ben ordinaire » – Charlebois) ou spirituelles (ex. « Gethsémanie » – John Littleton). Encore faut-il qu’il fasse sens, qu’il colle à la réalité, qu’il ne soit pas dogmatique et imposé.
Lien vidéo YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=9SMJNAzanc0
Pour la suite des choses, je vais exposer les sources qui ont alimenté ma réflexion jusqu’à présent. Et l'Égypte est au cœur de ces sources.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Onnouscachetout.com Partie 1
La Dernière Marche des Dieux
En or : des extraits des liens ou livres
En bleu : mes commentaires personnels
Ordinaire : info, précision,...
Je présente cette entrevue à titre indicatif, question d'alimenter une saine réflexion sur ces sujets évoqués.
Extrait lié au vidéo : « Il y a plus de 10.000 ans, la grande citerne atlante, Bu-Henem, est détruite lors du Grand Cataclysme signalé par Platon dans son Critias. Le dieu Thot évoque l’existence de ce sanctuaire sacré et retrace ainsi l’histoire de l’Atlantide dans une longue composition gravée sur les murs du temple d’Edfu en Haute-Égypte. L’archéologue français Auguste Mariette désensabla cet édifice à partir de 1860.
Pour les Égyptiens de l’antiquité, la seule façon de conserver en mémoire leur véritable passé fut de le consigner par écrit d’une façon cryptée. Ainsi, ces textes, incompréhensibles au commun des mortels, purent défier le temps et échapper à la destruction des profanateurs pour parvenir jusqu’à nous.
Notre conception du culte ne peut envisager la pratique de croyances millénaires accompagnées d’une telle dévotion. Nos convictions et nos idéaux sont régulièrement remis en question par manque d’informations solides sur notre passé. Cette situation inconfortable permet l’ensemencement des religions et des dogmes qui parsèment la planète depuis des temps lointains.
Dans les textes de Thot traduits par Anton Parks, les forces du mal détruisirent plusieurs fois le monde des anciens dieux par l’acte guerrier. Les luttes armées entrainent la destruction de la culture et de la mémoire, ainsi que toute trace de civilisation.
Anton Parks nous livre ici une page importante de notre histoire par le biais de documents historiques et archéologiques de première main. Les doctrines atlantes codifiées par les rites et inscrites sur les murs du temple d’Edfu contribuent aujourd’hui à la reconstitution de notre passé ; un passé qui dépasse bien souvent notre entendement. La Dernière Marche des Dieux rassemble pour la première fois ces documents oubliés à travers les âges. Ils forment certainement la source primordiale de Platon. Les portes de l’Atlantide nous sont de nouveau ouvertes. »
Lien : http://www.elishean.fr/?p=41044
Extrait : Anton Parks: Interview Web 2014
Par Elishean - juil 16, 2014
Surpris. Nous le sommes de nouveau avec ce dernier opus de l’auteur des Chroniques du Ğírkù. Il confirme une fois de plus qu’aucun de ses bouquins ne se ressemble. Son premier essai, Le Testament de la Vierge, nous avait démontré dans un travail pointu de mythologie comparée que les premiers auteurs des religions du Livre avaient plagié les mythes de Sumer et de l’Égypte antique. Eden, le second essai, avait prolongé ces recherches par le décryptage des tablettes de Nippur (ville de l’ancienne Mésopotamie) qui décrivent ni plus ni moins que les premiers chapitres de la Genèse et la vie de l’humanité primordiale selon la cosmogonie sumérienne.
Avec un style assez léger bien que déployant une trame narrative parfois grave, Anton Parks nous entraîne avec La Dernière Marche des Dieux sur les pas des survivants de l’archipel atlante. Ensemble d’îles qui, selon toute vraisemblance, se seraient situées exactement là où Platon les avaient localisées il y a près de 2500 ans dans ses célèbres textes du Timée et du Critias. Il n’en demeurerait guère aujourd’hui que les Canaries et les Açores. Ce troisième essai n’aurait pu contenir que les traductions égyptiennes de la première partie qu’il n’en aurait pas été moins fameux. Mais l’auteur est allé plus loin, pour notre plus grand plaisir. Son récit se développe de manière chronologique en évoquant tour à tour :
les plus anciens textes relatant l’Amenti ou A’amenptah (nom égyptiens de l’Atlantide),
la découverte et les recherches autour de la route préhistorique reconnue qui a conduit les suivants d’Horus à travers le désert du Sahara jusqu’à Abydos,
la découverte et les fouilles archéologiques (entreprises dans cette citée) du temple de Sethy 1er, menées notamment par Emile Amélineau,
l’excavation du puits de Strabon, le Saint des Saints de l’Égypte antique, appelé aussi l’Osireion – jusque là relégué au rang de mythe – , soit le cénotaphe de l’ancien grand dieu de la terre noire,
la biographie de Dorothy Eady (plus tard renommée Omm Sethy), une enfant britannique aux rêves étranges qui la mèneront une fois devenue adulte jusqu’au lieu où sa précédente incarnation avait connu l’Amour puis la mort : la fameuse Abydos…
Que dire de la traduction des textes évoqués plus haut ? Ils sont reconnus, d’une part, puisque visibles à qui le souhaite sur les murs du temple d’Edfu (dédié au souverain Horus) et réputés être de la main même du dieu de la Sagesse, Thot. Ce qui nous fascine, d’autre part, est la capacité de Parks à s’accaparer une langue antique afin de nous fournir des traductions souvent inédites de ces innombrables textes – dont la traduction définitive ne sera terminée par l’archéologie officielle que d’ici plusieurs années. Travail monumental, pour ne pas dire mégalithique – et d’une rare honnêteté intellectuelle –, qui en rebuterait plus d’un, mais pas notre spécialiste de l’Orient ancien ! Que disent donc ces hiéroglyphes ? Pas moins que ce que l’auteur a déjà évoqué dans sa série des Chroniques du Ğírkù (notamment le Tome 3, le Réveil du Phénix), à l’exception près que ce n’est plus là l’évocation de souvenirs mais bien des récits « palpables » et gravés dans la roche. Une validation de plus qui va dans le sens des informations apportées par Parks depuis 2005. Les écrits de Thot évoquent la vie en Amenti, les conflits qui opposent les clans des dieux Horus et Seth, les passages de l’Oeil du Son destructeur (Vénus) et les reconstructions qui en découlent ainsi que la marche qui conduira les rescapés de l’archipel mythique vers Abydos, la ville sacrée d’Osiris qui illuminera l’Égypte entière. Ces traductions ne sont pas livrées telles quelles mais encore une fois complétées par des preuves géologiques, anthropologiques, archéologiques et linguistiques qui valident ce scénario historique.
Dans la seconde partie de l’ouvrage, des tranches de vie de personnages associés aux découvertes réalisées à Abydos (débutant au 18ème siècle et se prolongeant jusqu’à nous), s’entrecroisent dans une mécanique dont seul le Destin a le secret. L’engagement et la persévérance de l’archéologue Emile Amélineau, persuadé de l’existence historique d’Osiris, sont exaltants. La vie entière de Dorothy Eady, réincarnation supposée d’une prêtresse d’Isis aux temps de Sethy 1er, est un hymne à l’Amour éternel. Les mots d’Anton Parks ont su rendre un vibrant hommage à cette grande dame. Autodidacte qui a su, non seulement, s’imposer à l’Égyptologie par ses divers talents (linguistiques, artistiques, …) et son abnégation à sortir la brillante Abydos de sa torpeur millénaire, mais qui nous touche aussi de par son renoncement à la vie matérielle occidentale et son dévouement quasi sacrificiel à la ville d’Osiris et à ses habitants.
L’essai se conclut en toute beauté avec la révélation de l’identité de Moïse, qui, à l’époque d’Akhenaton planifia son propre exil du royaume d’Égypte accompagné de sa caste cléricale. Il poussa la trahison envers son pharaon jusqu’à lui dérober notamment de saintes reliques du dieu Osiris. Artéfacts aux propriétés « surnaturelles » (pour ne pas dire technologiques) qui lui permirent d’assoir son pouvoir sur sa communauté et s’assurer d’écrire le mythe fondateur pour tout un peuple en devenir…
Dans la Dernière Marche des Dieux, nous sommes donc transportés à une époque finalement pas si lointaine où les dieux foulaient encore la Terre. Ici, celle de l’Égypte antique, contrée dont les mystères s’évaporent à mesure qu’Anton Parks rédige ses ouvrages. Et dans ce dernier, comme dans les cinq précédents, vous obtiendrez nombre de révélations une fois de plus inédites impliquant des répercussions considérables sur notre connaissance du passé.
Nous vous laissons à présent la parole, chers lecteurs, puisque les questions de l’interview qui suivent ne sont ni plus ni moins que les vôtres!
Dans la Partie 2 de ce billet.
Anton et Nora Parks en 2008, lors de leur dernier voyage en Égypte, © 2013 antonparks.com, La Dernière Marche des Dieux
Anton et Nora Parks en 2008, lors de leur dernier voyage en Égypte, © 2013 antonparks.com, La Dernière Marche des Dieux
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De Nassim Haramein dans son livre L'Univers Décodé
Louise Courteau Éditrice, 2012
Extrait p.138 : Et en prenant les dimensions de l'intérieur, vous obtenez la moitié des dimensions extérieures. Ainsi, vous obtenez des caisses de résonance de fréquences écartées d'une octave à l'intérieur du sarcophage. Alors, j'ai commencé à penser que cet objet n'était peut-être pas hébraïque.
Peut-être qu'en fait Moïse l'avait apporté quand il a quitté l'Égypte avec les Israéliens. C'est ce qui pourrait expliquer le changement d'avis du pharaon d'Égypte : après avoir permis à Moïse de partir, il aurait soudain compris qu'il était parti avec la source d'alimentation. [Arche d'alliance] Il l'aurait donc poursuivi. C'est très intéressant, je commence à avoir une meilleure idée de ce qui s'est passé. J'ai essayé d'extrapoler et j'ai obtenu quelques données pour m'appuyer. J'ai entrepris l'étude des textes égyptiens anciens afin d'y dénicher des preuves.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Onnouscachetout.com Partie 2
Suite de la Partie 1
Interview Web 2013 d’Anton Parks
Petit Rappel de la rédaction d’Onnouscachetout.com : les interviews que nous réalisons sont ouvertes et collaboratives. La majorité des questions sont donc le fait d’internautes de tous horizons ayant le point commun d’avoir lu les ouvrages de l’auteur ! Notre travail n’a donc consisté qu’à synthétiser l’ensemble des questions pour rendre l’interview plus cohérente et lisible.
Nous reprenons ici la partie de notre interview de 2012 présentant dans les grandes lignes La Dernière Marche des Dieux. L’auteur y a apporté des informations complémentaires et répond ensuite à nos nouvelles questions :
ONCT : Parlons de votre nouvel essai (le troisième) : « La Dernière Marche des Dieux ». Le sous-titre « de l’Atlantide à Abydos », laisse à croire qu’une partie des dieux Gina’abul a vécu en Atlantide avant de venir en Egypte (La présence des Gina’abul en Atlantide est confirmée dans le « Réveil du Phénix », le Tome 3 des « Chroniques du Ğírkù »). Rappelez-nous où vous situez cette « île mythique », quel rôle elle a joué dans votre récit et pourquoi celle-ci n’existe plus aujourd’hui ?
Anton Parks : Effectivement, le type Gina’abul-Anunna a vécu dans cette partie du monde, mais il n’était pas le seul. Les Nungal, donc les veilleurs de la Bible, ont aussi séjourné longtemps en Atlantide. D’autres encore étaient présents dans l’archipel en des temps reculés. Ces groupes divins, et même humains, sont mentionnés dans les textes d’Edfu en Haute-Egypte. Je situe les fragments principaux de l’Atlantide aux Canaries. Les Canaries formeraient la portion sud d’un ensemble d’îles de l’Atlantique, aujourd’hui en partie engloutie. On retrouve les Canaries sous le nom Anrutef à Edfu, elles sont désignées comme les îles du Sud. On repère aussi un des noms égyptiens de l’Atlantide : Mertit-Amenti, soit les îles de l’Atlantide (ou de l’Ouest) sur les murs de ce même temple. L’Allemand Heinrich Brugsch qui travailla sur une partie de ces textes en 1870, traduit Mertit en « SeeLand », c’est-à-dire « pays marin » alors que dans la version anglaise de Wallis Budge, datée de 1912, Mertit est interprété en « l’eau du nord ». Pourtant, la traduction stricte de ce mot ne pose aucun problème, elle évoque littéralement des « morceaux de terre ». Comme il s’agit de morceaux de terres émergés dans l’océan atlantique, j’ai tout naturellement traduit ce mot en « îles ». La situation géographique de Mertit-Amenti (« les îles de l’Atlantide ») se trouve par exemple dans le registre EVI, 118, lignes 1 à 9. Ce texte provient de la légende dénommée « Le Livre du Disque Ailé ».
Pour cette nouvelle étude, j’ai repris l’enquête entamée dans LE TESTAMENT DE LA VIERGE et j’ai apporté de nombreux éléments inédits et complémentaires, ayant été aux Canaries depuis la sortie du TESTAMENT. J’explique dans ce livre par quels effets possibles l’Atlantide encore présente vers 10.000 av. J.-C. s’effondra rapidement sous les flots. Comme je l’ai signalé, je suis d’avis que les Canaries formaient autrefois les cimes des anciennes montagnes du sud de l’archipel atlante. Les Guanches des Canaries ont édifié des complexes pyramidaux sur au moins deux îles différentes. Les pyramides sont alignées sur la marche du soleil. La science n’explique pas d’où leur venait ce savoir en relation avec l’alignement du soleil ni par exemple d’où ils tiraient leur connaissance de la momification.
Complexe pyramidal de Güimar sur l’île de Ténériffe (Cannaries), © Anton Parks, La Dernière Marche des Dieux, 2013
Les anciens depuis Hérodote jusqu’à Bory de Saint-Vincent qui, en 1803 séjourna plus de six mois aux Canaries et laissa une étude approfondie sur la population de l’archipel, considèrent que les Guanches seraient des survivants des Atlantes, restés sur ces sommets volcaniques après l’effondrement de la dernière île. Cette île, nommée Routa, faisait face à Gibraltar et au Maroc, et serait celle dont parle Platon dans le Critias et le Timée. Le reste de l’Atlantide, composé de plusieurs grosses îles, avait disparu bien des millénaires avant. Cet ensemble formait sans doute, en des temps plus reculés encore, une île volumineuse fragmentée par le temps et les différents bouleversements terrestres et cosmiques.
ONCT : Sur quel(s) texte(s) basez-vous les recherches effectuées dans cet ouvrage ? Allez-vous encore une fois nous surprendre avec des découvertes inédites ?
Anton Parks : Pour LA DERNIERE MARCHE DES DIEUX, j’ai traduit de nombreux passages des textes d’Edfu, ces derniers forment la version égyptienne et primitive de l’Atlantide. J’ai pu reconstituer les registres inscrits sur les parois I’O, I’N et I’E du temple d’Edfu. J’ai eu souvent recours à la transcription originale d’Émile Chassinat, datée de 1933, afin de disséquer certains mots et de traduire de nombreux passages à la source. Cet ensemble est tiré d’une vielle légende copiée et recopiée de nombreuses fois sur d’anciens papyrus aujourd’hui perdus. La section E.VI d’Edfu reprend en partie ces anciennes chroniques dont il est dit que Thot lui-même les rédigea en des temps inconnus. Les prêtres d’Edfu gardaient secrètement ces documents avant qu’ils ne soient finalement gravés sur les murs du temple à l’époque des derniers rois de l’Egypte antique, les Ptolémées.
Ces écrits de Thot décrivent le monde primitif des dieux qui précéda celui des hommes en des temps insondables. Le début de cette épopée démarre sur la reconstruction d’un monde détruit pour une raison non précisée. Mais ce monde sombre dans un nouveau chaos, analogue à celui qui avait précédé la création des premiers dieux. Cet univers aquatique se recrée une nouvelle fois à partir de terrains émergés, des îles, spécialement destinées à fournir aux dieux rescapés un lieu où se poser pour leur œuvre. Cette nouvelle création est engloutie à son tour par un reptile monstrueux et une troisième ou quatrième création fut nécessaire pour donner au monde une stabilité et une organisation relativement stable… En lignes 184,1-2, le texte évoque MESPER, un pays circulaire et une grande montagne à ses côtés, comme mentionnés dans la version de Platon. C’est tout à fait extraordinaire. Voici un extrait du passage hiéroglyphique :[/color]
IMAGE MANQUANTE
Il y eut la Grande Montagne et Mesper, le pays circulaire, la Grande Place qui verdoie au lever du soleil. Et « la Grande Place » devint le nom de Mesper, le Lieu où se réfugia le Monde.
Mesper se compose de : MES (« enfant(s) ») + P (« siège ») + R (« bouche » ou « parole ») + le hiéroglyphe de la terre ou de la région + le déterminatif en forme de trait qui indique ce que les idéogrammes du dessus représentent. Il s’agit d’une petite phrase à prédicat nominal où l’objet à nommer se trouve en seconde position. Mesper se traduit donc en « la région des enfants du Siège de la Parole ». Ptah-Osiris et les siens possédaient la connaissance de la parole divine et de l’encodage des langages, conformément aux découvertes réalisées dans mes précédents ouvrages. Le nom de cette cité atlante l’atteste formellement.
Malheureusement, même si elles sont volumineuses, les archives d’Edfu sont incomplètes en raison du manque de place disponible sur les murs ! Construit sous le règne de treize pharaons ptolémaïques, l’édification du temple d’Edfu (Haute-Égypte) nécessita 180 années, de 237 à 57 av. J.-C. Édifié sur un temple plus ancien inconnu à ce jour, sa construction fut initiée par Ptolémée III. Ceux qui ont lu LE TESTAMENT DE LA VIERGE seront ravis de constater que ma thèse sur les piliers d’énergie et l’électromagnétisme est confirmée sur les murs de ce temple. Par exemple, lorsque Seth attaque l’archipel, des sages font apparaître le souffle de Ptah-Osiris afin de protéger le domaine. Ils emploient une énergie tirée de piliers Djed dont la force peut déplacer des quantités d’eau pour en faire des colonnes de protection, des murs de liquide infranchissables. Moïse semble avoir employé cette même énergie, raison pour laquelle le livre se termine sur une nouvelle interprétation de cette histoire. Selon mes découvertes, il aurait volé cette connaissance des dieux avant son départ d’Egypte. Sa fonction de grand vizir du roi lui permit d’accéder à ce genre de secret ; j’ajouterais même qu’il en avait la responsabilité en qualité de bras droit du pharaon.
IMAGE MANQUANTE
Une grande partie du livre concerne aussi l’Osireion d’Osiris à Abydos. J’ai plusieurs fois travaillé sur ce sujet, mais le thème est ici abordé à la lumière de la version égyptienne de l’Atlantide. L’Osireion est selon moi la copie d’un ancien temple sacré atlante décrit comme une citerne renfermant des pierres puissantes, sans doute des cristaux. En 2009, donc bien avant ma découverte des textes d’Edfu, j’ai fait réaliser des images où l’on voit les eaux de l’Osireion éclairées par de puissants cristaux à l’époque d’Osiris, il y a plus de 10.000 ans.
Dernièrement, Frantz Lasvignes a réalisé plusieurs images du temple aquatique, mais à l’époque plus récente de Sethy 1er, ainsi que la magnifique vidéo promotionnelle de LA DERNIERE MARCHE DES DIEUX pour laquelle il a reconstitué l’intérieur de l’Osireion en 3D. Dans ces nouvelles images, j’ai demandé à l’artiste de placer les deux objets de culte de l’époque des 18e et 19e dynasties égyptiennes. Il s’agit du lit osirien et du reliquaire d’Osiris, à savoir sa tête. Abydos fut la Mecque de l’antiquité, tous voulaient voir l’ancien domaine d’Osiris et apporter des offrandes sur la tombe du dieu retirée dans le cimetière d’Umm el-Qaab. Seuls quelques initiés furent autorisés à pénétrer dans l’Osireion et à contempler ses reliques sacrées. L’archéologue Auguste Mariette chercha pendant longtemps l’Osireion qu’il nommait le puits de Strabon, mais en effectuant ses fouilles et le déblaiement du temple de Sethy 1er, il entassa des montagnes de gravas juste au-dessus, ce qui l’empêcha de le trouver. Beaucoup de sujets sont traités dans cette étude.
Reconstitution de l’Osireion à l’époque pharaonique par Frantz Lasvignes, © 2013 Lasvignes-Parks, La Dernière Marche des Dieux, 2013.
J’ai souhaité réaliser un ouvrage traitant à la fois d’archéologie, de mythologie, d’égyptologie, de mystères non résolus comme ceux de l’Atlantide et de Moïse, le tout restitué en une enquête accessible à tous. C’était une volonté à laquelle je me suis tenue. On me reproche parfois une forme de complexité dans mes ouvrages, en raison des sujets traités. J’ai voulu me débarrasser ici des multiples décompositions linguistiques qui n’avaient de toute façon aucune raison d’être dans un tel essai. J’ai travaillé sur le langage égyptien et ce dernier n’est pas aussi complexe que le sumérien. J’ai eu beaucoup de plaisir à rédiger ce livre. Ce travail n’en reste pas moins très sérieux et ma démarche est identique à mes précédents ouvrages.
ONCT : Dans ce 3ème essai, vous abordez également la question du Karma. Qu’est-ce qui vous amène à traiter le sujet du Karma aujourd’hui dans vos recherches ?
Anton Parks : À l’origine, je souhaitais faire une étude sur Abydos où se trouve l’Osireion d’Osiris. L’Osireion est sans doute l’un des plus anciens monuments au monde ; il a plus de 10.000 ans. De ce fait, il était nécessaire de parler de l’égyptologue Omm Sethy (1904-1981) qui a côtoyé de près ce sanctuaire. Mon livre devait discuter essentiellement de cette personne et de son expérience. J’avais d’ailleurs réalisé un dossier sur cette égyptologue pour le magazine l’Egypte n°19 en novembre 2010. L’étude s’est étoffée au fil des mois pour devenir une partie de LA DERNIERE MARCHE DES DIEUX. Le sujet initial était l’origine de l’Egypte et celle de notre civilisation, raison pour laquelle j’ai intégré depuis le thème de l’Atlantide, version égyptienne, et sans doute primitive.
Omm Sethy entre dans le temple de Sethy 1er, photographie datant de la fin des années 1970.
Omm Sethy séjourna plus de trente ans à Abydos et on lui doit des découvertes et des travaux importants sur ce site. L’occident doit énormément à l’Egypte, tous les égyptologues le savent. Abydos est le berceau de la civilisation égyptienne et par conséquent celui de la civilisation occidentale. L’histoire d’Omm Sethy est parsemée d’informations fondamentales sur les thèmes de l’invisible et du Karma. Pour ces raisons, j’ai consacré du temps à chercher et à trouver des éléments inédits sur ce sujet. La ligne de vie d’Omm Sethy était tracée à l’avance et l’on s’en rend bien compte à la fin de la partie qui lui est consacrée. Le témoignage de cette égyptologue, basé sur son expérience « paranormale » et ses visions d’une autre vie qu’elle aurait vécue à l’époque du roi Sethy 1er, est très important pour le dossier que je traite dans LA DERNIERE MARCHE DES DIEUX. Elle signale, en effet, la présence d’un gisant étendu sur un lit en pierre au beau milieu de l’île de L’Osireion. Je pense avoir identifié ce gisant comme étant le lit d’Osiris retrouvé par Emile Amélineau dans la tombe du roi Djer (n° O-326) qui appartient au complexe funéraire des premiers souverains d’Egypte situé dans le désert d’Abydos, à deux kilomètres de l’Osireion. Cette tombe serait probablement celle d’Osiris, recyclée par la suite en tombe royale par un des tous premiers souverains d’Égypte. C’est pourquoi le lien effectué dans cette étude entre les découvertes archéologiques autours d’Abydos et Omm Sethy est très important. Très clairement, Omm Sethy explique grâce à sa vision et son ancienne vie égyptienne, le rôle de cet objet de culte retrouvé dans la tombe d’Osiris… C’est fascinant !
ONCT : Les traductions depuis l’égyptien ancien des temples d’Edfu a du vous prendre un temps considérable ! Avez-vous eu un retour d’une institution archéologique, d’un quelconque égyptologue voire d’une simple revue spécialisée concernant votre travail inédit ? De manière générale, comment est accueilli cet essai auprès du public ?
Anton Parks : Je suis totalement épuisé. Mes traductions des tablettes sumériennes de l’Eden et ces traductions égyptiennes de la partie E.VI du temple d’Edfu m’ont demandé un effort considérable au niveau concentration. Depuis, je suis comme vidé. Travailler sur de tels textes antiques représente une grande responsabilité et sollicite beaucoup d’énergie. Cela demande aussi de se placer dans un état d’esprit totalement décalé par rapport à notre réalité d’aujourd’hui et notre façon de fonctionner. Les anciens ne raisonnaient pas comme nous. Dans les deux cas, je pense avoir fourni un travail de qualité. Traduire la partie E.VI n’était pas chose facile, surtout que plusieurs sections furent déjà interprétées par d’éminents spécialistes, comme Wallis Budge, Heinrich Brugsch, Maurice Alliot, Eva A. E. Raymond…
On se sent très seul dans ce genre de travail. On a besoin de beaucoup de calme et de concentration pour mener à bien un tel challenge. Ma vie actuelle, avec tous ses besoins matériels pour avancer et ses contraintes quotidiennes, n’est pas très propice à cela. J’ai besoin de m’isoler régulièrement pour mener à terme ma recherche. C’est une bataille contre le temps et contre ce qu’il est humainement possible de réaliser avec peu de moyens. Beaucoup auraient abandonné depuis longtemps… Nombreux lecteurs pensent que je suis entouré d’une équipe et très soutenu. C’était un peu le cas il y a quelques années, à l’époque du forum sur antonparks.com, depuis les choses ont beaucoup changées. Ma femme et moi avons tout sacrifié pour me donner la possibilité d’écrire, mais nous vivons actuellement dans l’incertitude complète quant à la suite de mon travail. Mes droits d’auteur actuels ne permettent absolument pas de nourrir ma famille et nous vivons chaque mois avec le doute de pouvoir poursuivre dans ces conditions. Je me suis totalement endetté pour éviter de me retrouver à l’usine et de devoir tout abandonner. Je fais tout ce qui est possible pour poursuivre ma rédaction et mes recherches. Je travaille en ce moment activement sur le prochain volume des Chroniques en restant positif et en évitant de penser à la situation dans laquelle nous nous trouverons dans quelques mois lorsque cet ouvrage sortira, si tout va bien d’ici là, entre septembre et décembre 2014, j’espère même avant. Il était important que je signale ce fait ici, car mes lecteurs sont très loin d’imaginer cette situation qui normalement ne les concerne pas. Mais il y a un tel décalage entre les mails que nous recevons et la réalité, qu’il me semblait utile de l’indiquer ici. Je précise que cette situation est celle d’aujourd’hui, début 2014, au moment où j’effectue cette interview, cela changera sans doute avec le temps car mon combat est juste et honnête. Il l’a toujours été.
En ce qui concerne l’accueil du livre, je ne saurais le dire précisément, je le pense bon dans l’ensemble. J’ai le sentiment que beaucoup de lecteurs attendent plutôt un nouvel opus des Chroniques. Comme je viens de le dire, j’y travaille activement en ce moment, avec mes modestes possibilités. Aucune institution archéologique ou égyptologique ne s’est manifestée. Côté Presse, LA DERNIERE MARCHE DES DIEUX a totalement été boudé. Je commence à m’y habituer, même si je trouve cela injuste, car le travail fourni est colossal, surtout pour les traductions d’Edfu. J’ai souvent l’impression de fournir une connaissance à une minorité en clin à faire l’effort de s’instruire et de s’interroger sur nos origines. Ils ne sont pas nombreux et c’est assez décourageant !
ONCT : Une équipe allemande est aujourd’hui à l’œuvre pour la traduction des hiéroglyphes du temple d’Edfu. Savez-vous quand cette tâche sera achevée ? Pensez-vous que leurs traductions s’accorderont aux vôtres ?
Anton Parks : En 2017. Il n’y a aucune raison que ma version soit très différente de celle-ci. Ce n’est pas du vieux sumérien comme pour EDEN, mais simplement de l’égyptien. Mon interprétation n’est pas très éloignée des passages déjà traduits par mes prédécesseurs cités plus haut. C’est la compréhension de certains mots clés qui créé une différence importante entre les versions. Je les commente dans le livre et explique les raisons qui éloigne ma version des autres déjà réalisées avant moi. Je précise que l’ensemble disponible dans LA DERNIERE MARCHE DES DIEUX est aussi inédit de part son volume disponible dans un même ouvrage. Les traductions et publications de mes prédécesseurs ne formant que des fragments de ce registre E.VI. mis à disposition ici d’une manière beaucoup plus étendue.
ONCT : En quoi ces textes de Thot disponibles dans le temple d’Edfu sont importants par rapport au mythe platonicien de l’Atlantide ? Y-a-t-il des éléments concrets à Edfu qui accréditent la version de Platon ?
Anton Parks : Oui, plusieurs passages, particulièrement ceux du Livre du Disque Ailé (E.VI, 109 à 130), apportent des informations géographiques spectaculaires quant à la situation de Mertit Amenti (les îles de l’Atlantide ou de l’Ouest), demeure maritime des dieux jusqu’ici non localisée. J’ai réalisé une carte dans l’ouvrage afin d’illustrer l’ensemble.
Dans le Livre du Disque Ailé, Horus doit poursuivre et massacrer les ennemis de sa mère Isis et de son père défunt Ptah-Osiris. Une longue description y est disponible où apparaissent de nombreux termes géographiques nous permettant de situer clairement l’action et de suivre ainsi la chasse effectuée par Horus. L’épopée démarre à Khenn (la Nubie). Horus et ses Suivants poursuivent leurs adversaires et remontent le Nil en bateaux où plusieurs villes sont nommées. Parfois Horus utilise un disque ailé aux reflets sombres pour observer de haut, d’où le titre donné à cette histoire. Arrivés à Djanet (Tanis), ils doivent naviguer dans la mer Uatch-Ur (la Méditerranée) où les complices de Seth tentent de se dissimuler. Mais Horus les aperçoit et en élimine quelques-uns, ce qui les oblige à reprendre le large vers une mer étrange dénommée Meh (la mer encombrée). Le texte précise la situation géographique de cette mer Meh en E.VI, 118, 2 : « entre la région maritime (l’Atlantique) et Uatch-Ur (la Méditerranée) », donc au large des colonnes d’Hercule (le détroit de Gibraltar) que le récit dénomme plus loin Hat (litt. « l’embouchure »). Au large de la mer Meh se situe ensuite le domaine de Mertit Amenti (les îles de l’Ouest) où les ennemis tentent encore de se dissimuler. C’est précisément l’emplacement où Platon situe l’île atlante de Poséidon. Platon donne une précision à propos de cette localité en 26b-27b de son Timée : « C’est pourquoi, aujourd’hui encore, on ne peut ni parcourir ni explorer cette mer, la navigation trouvant un insurmontable obstacle en raison de l’épaisseur de la vase issue du naufrage de l’île. »
E.VI, 118, lignes 1 à 9. Ce passage important mentionne à quatre reprises la présence de MERTIT, les îles atlantes et trois fois les eaux Meh. La première apparition de Mertit en ligne 2 est d’ailleurs suivie du hiéroglyphe Amenti (l’Atlantide) que les égyptologues traduisent systématiquement en « l’Ouest ».
L’ingénieur Otto Muck s’est penché sur cette question de « vase » et de navigation difficile entre la fin des années 1970 et le début des années 1980. Il existe plus d’une dizaine de volcans entre les îles Canaries et les Açores. Muck signale que les éléments les plus solides des éjections volcaniques se transforment en pierre ponce. Lorsqu’elles retombent dans la mer, l’air que contiennent leurs pores leur permet de flotter assez longtemps à la surface des eaux, jusqu’au moment où leur totale imbibition les amène à s’enfoncer lentement dans les eaux et la vase. Si l’on prend en compte les différents volcans situés dans la zone en question, on imagine aisément l’étendue des pierres ponces éparpillées sur l’Atlantique Nord après le cataclysme qui engloutit une grande partie de l’archipel atlante. D’après ses calculs, l’ingénieur Otto Muck prévoit une épaisseur d’environ 60 mètres après le cataclysme ! C’est pourquoi le texte d’Edfu nomme ces eaux « la mer encombrée » ou « le détroit encombré ». Il est fort probable que toutes les pierres volcaniques s’accumulèrent dans cette région en raison de la présence du détroit. Les manuscrits de Thot confirment l’hypothèse d’Otto Muck. Mais il faut le souligner, ce « détail » confirme aussi la version de Platon. Ce passage nouvellement traduit relance le débat sur l’authenticité du récit de Platon et aussi son origine égyptienne. Nous sommes en présence d’un moment historique.
ONCT : En effet ! Vous l’a-t-on déjà signalé ? Avez-vous eu des réactions dans ce sens ?
Anton Parks : Non, pas à ma connaissance.
ONCT : Pour revenir sur le contenu de votre traduction et le mythe platonicien, une question se pose portant : les textes gravés sur les murs d’enceinte d’Edfu sont plus récents que le récit de Platon, n’est-ce pas ?
Anton Parks : C’est tout à fait exact. Mais comme je l’ai indiqué, il s’agit d’anciens papyrus inconnus appartenant aux prêtres d’Edfu. L’ancienneté de leur contenu est totalement impossible à déterminer. Les prêtres voulurent sauvegarder cette antique connaissance et la graver dans la pierre à l’époque des Ptolémées. Ce fut sans doute le seul moyen pour eux de lui faire passer les âges et de nous la transmettre. Je suis convaincu de l’extrême ancienneté de ces documents en raison du style très archaïque de la narration. Les passages sont souvent très poignants et utilisent des termes anciens, parfois même quasi inconnus dans la littérature égyptienne. Il est question de disques volants, de puissances qui soulèvent les eaux, d’armes de destruction massives…
ONCT : Justement, certains passages de vos traductions posent question à nos lecteurs : vaisseau serpent, disque ailé ou encore piste d’atterrissage… quelle est la part interprétative de votre travail ?
Anton Parks : Eva. A. E. Reymond a déjà interprété le passage que vous évoqué avant moi. Elle parle aussi de « disque ailé » (nom donné au Livre du même nom) et de « piste d’atterrissage » (« landing stage ») dans son essai The Mythological Origin of the Egyptian Temple, Manchester University Press, 1969. Son travail sur les textes d’Edfu est reconnu par les plus grands égyptologues. Rien de nouveau sous le soleil d’Egypte ! Je viens d’ouvrir pour vous le fac-similé d’Emile Chassinat, cette piste ou plateau d’atterrissage est indiquée formellement sur le mur d’enceinte, face interne, au registre E.VI, 329, au début de la ligne 3. Ce terme composé d’un « lézard culminant la consonne « t » en forme de butte » se prononce « Ashait » en ancien égyptien, tout égyptologue peut le vérifier :
E.VI, 329, ligne 3, hiéroglyphe Ashait : « piste ou plateau d’atterrissage »
Voici deux passages où il est question du vaisseau d’Horus :
« Une fois la place Djeba créée, le chef-sanctifié apparut au loin en planant. Ses ailes sombres créaient l’obscurité. (…) ‘Regardez’ s’écrièrent les deux compagnons ainsi que les Shebitiu. ‘Il vient de la Duat (du monde souterrain)’ ajoutèrent les Shebitiu. La place de la Duat du Ba (de l’âme) était sa demeure. Le timbre de son sifflement portait très loin (…). Il se déplaçait avec la capacité de voler comme un Ba (une âme). (…) Le Seigneur aux ailes déployées se dirigea vers l’île où l’attendait sa bénédiction. Une fois ses ailes stabilisées, il aperçut les Premiers, ses compagnons, alors que l’Herminette (la constellation de la Petite Ourse) était pleinement visible. Lorsque le vol d’Horus s’acheva, le disque volant du seigneur du vol-plané (Horus l’aîné) apporta des offrandes au seigneur de Djeba élevé comme Faucon-Seja de la-place-de-l’unité ».
Extrs. E.VI, 182,4-8
« Du haut du ciel, dans le Disque Ailé, il (Horus) vit les ennemis et s’approcha d’eux par derrière. Ainsi, il lâcha sur eux une telle force terrifiante, si bien que leurs yeux ne purent voir, ni leurs oreilles entendre. En un instant, il amena la mort sur chacun : pas un ne survécut ! ».
E.VI, 111,3-5
Les sceptiques pourront retourner le problème dans tous les sens, nous trouvons aussi des représentations de serpents volants sur plusieurs murs d’Edfu. Ces scènes illustrent les passages en question. Il suffit de les repérer et de les analyser, comme ici :
ONCT : Dans ce nouvelle essai, il est aussi beaucoup question des découvertes réalisées à Abydos. Pouvez-vous rappeler aux lecteurs l’importance de ce site et pourquoi vous évoquez aussi longuement les extraordinaires découvertes de l’archéologue Emile Amélineau pourtant largement critiqué par ses collègues de l’époque et d’aujourd’hui encore ?
Anton Parks : A cet endroit géographique se côtoient les plus anciennes traces historiques de civilisation au Proche-Orient et le début de la royauté. De nombreux textes et formules indiquent qu’Abydos formait la demeure d’Osiris, même avant sa mort. Lors du grand cataclysme, les rescapés des îles atlantes se dirigèrent vers Abydos pour recréer leur civilisation détruite et répandre leur savoir dans toute l’Egypte. Ces chemins parcourus par les rescapés sur toute l’Afrique du Nord, du Maroc à l’Egypte, sont connus par quelques égyptologues comme René Lachaud ou encore le regretté Albert Slosman.
Le site d’Abydos est aussi d’une importance capitale pour l’histoire de l’humanité, parce qu’il renferme plusieurs monuments très anciens dont un des plus vieux et énigmatique au monde. Il s’agit de l’Osireion, le temple aquatique et souterrain d’Osiris créé par ce dernier avant le cataclysme de 10.000 ans av. J.-C et peu avant son assassinat. Alors qu’à Sumer, Osiris se nomme Enki (« le seigneur de la terre »), sa demeure aquatique se dit Abzu en sumérien. Par coïncidence, le véritable nom d’Abydos est Abdju en égyptien et l’on trouve bien un temple aquatique au même endroit ! J’ai découvert des traces de coquillages marins fossilisés sur une des pierres du monument, or l’Osireion n’a officiellement jamais été engloutie par la mer, ni même par le Nil… Cette découverte démontre son extrême ancienneté, car il faut remonter à près de 10.000 ans en arrière pour trouver des traces d’eau de mer à cet endroit.
La légende dit que Seth assassina Osiris à Abydos. Comme le Christ, il fut attaché à un arbre et supplicié. Les textes funéraires rapportent ce fait de nombreuses fois et prétendent aussi que sa femme Isis retrouva le corps de son bien aimé, toujours au même endroit. La légende dit encore que son corps fut enseveli par la suite dans cette même localité quelque part dans le désert, sans doute dans le cimetière royal d’Abydos. Umm el-Qaab, le cimetière royal d’Abydos est la plus ancienne de toutes les nécropoles connues au monde et renferme les tombes des premiers rois d’Egypte dont les règnes démarrent vers 3300 av. J.-C., juste après ceux des dieux et demi-dieux. Le temple dit « de Sethy 1er » figure l’autre monument énigmatique d’Abydos. Or ce temple magnifique se trouve sur les fondations d’un ancien monument totalement inconnu que je pense être l’ancienne demeure de la garde rapprochée d’Osiris lorsque ce dernier séjournait à Abydos.
On doit la découverte du temple de Sethy 1er à Auguste Mariette aux alentours de 1860. Ce dernier consacra un temps phénoménal à le déblayer. Il tenta à la même époque de retrouver « le puis de Strabon » (l’Osireion), mais les gravas qu’il généra en dégageant le temple de Sethy se retrouvèrent au-dessus de l’Osireion… En parallèle, il tenta de trouver la nécropole royale en suivant les dires des légendes et des bédouins, sans succès non plus. Mariette usa sa santé sur ce site, c’est pourquoi, lorsqu’il mourut, personne ne voulut reprendre son travail à Abydos. On préféra envoyer un débutant afin de ne pas salir la réputation des archéologues en vogue à l’époque. Malheureusement pour ces derniers, Emile Amélineau, trouva en quelques jours le cimetière tant espéré… Les découvertes du « novice » Amélineau, au nez et à la barbe des plus grands, déclenchèrent l’ire du microcosme égyptologique. La tempête déclenchée par sa découverte majeure se nourrissait non seulement du dépit d’être doublé par un débutant, mais aussi d’un désaccord fondamental sur la nature d’Osiris. Le milieu de l’égyptologie « académique » considérait les personnages du panthéon égyptien comme des entités mythiques tandis qu’Émile Amélineau était convaincu de l’existence historique de personnages fait de chaire et de sang. Cette différence de conception perdure toujours malgré les découvertes d’Amélineau et celles entreprises après lui. Les découvertes d’Amélineau ne s’arrêtèrent pas là puisqu’il mit à jour la tombe d’Osiris enfouie sous une grande colline recouverte de plusieurs millions de fragments de vases et de poteries. A cet endroit, les récipients apportés en hommage à Osiris lors des grandes festivités annuelles par les masses de pèlerins s’accumulèrent sur plusieurs millénaires. On attribue souvent cette tombe au roi Djer (3e roi de la 1ère dynastie égyptienne, vers 3100-3040 av. J.-C.). Un débat perdure encore aujourd’hui pour savoir si ce tombeau fut bien celui d’Osiris recyclé par le roi Djer ou bien une tombe fabriquée par Djer en l’honneur d’Osiris. Je penche pour la première possibilité pour des raisons que j’explique dans le livre. C’est dans ce tombeau qu’Amélineau trouva le lit d’Osiris qui représente pour moi un objet de culte fabriqué pour remplacer une des deux Arches, celle d’Osiris, subtilisée par Moïse alias Râmosé, grand vizir au service Amenhotep III et son fils Akhenaton…
Tombe n° O-326, de Djer / Osiris dans le cimetière royal d’Umm El-Qaab d’Abydos. Émile Amélineau déterra ici, près du lit osirien, un nombre impressionnant d’outils civilisateurs enfouis en l’honneur du dieu assassiné. Leur présence marque sans doute la gratitude que l’homme portait à Osiris pour l’industrie qu’il offrit à l’humanité.
ONCT : Avez-vous eu des retours négatifs surtout en ce qui concerne les révélations sur Moïse ? Pensez-vous développer plus profondément l’histoire de Râmosé ? Parlez-nous de Râmosé et de votre thèse…
Anton Parks : Non, pas particulièrement de retours négatifs à ma connaissance. Concernant votre seconde question, je n’ai rien à ajouter de plus à propos de Moïse. J’ai été au bout de cette enquête avec le peu d’éléments dont nous disposons. Il s’agit d’une nouvelle hypothèse sur Moïse, basée sur plusieurs éléments historiques validés par la science et l’archéologie. Nous connaissons partiellement la vie de Râmosé grâce à quelques archives et surtout grâce à son tombeau situé dans la vallée des Nobles. Sa tombe (n° TT55) se trouve au cœur du village de Cheikh Abd el-Gournah, en face de Luxor. Sa seconde tombe se situe dans la ville d’Akhenaton, à El-Amarna, elle est répertoriée sous le numéro TA11. Ces deux tombes sont parfaitement inachevées, or, autant que je sache, on n’enterre jamais un défunt dans une tombe inachevée en Egypte, car il s’agit d’un déshonneur. Cela traduit que le corps de Râmosé n’a jamais été déposé dans une d’entre elles ! Râmosé est mort ailleurs et personne ne s’emble s’être posé la question avant moi.
Cet illustre personnage vécu pendant la dernière partie du règne d’Amenhotep III et le commencement du règne d’Akhenaton. Râmosé, grand vizir au service Amenhotep III depuis trente ans, dut poursuivre son œuvre auprès de son jeune fils. On ne lui donna sans doute pas le choix.
Hiéroglyphes Râ-Mosé. Nom du grand vizir de Thèbes sous Amenhotep III et son fils Akhenaton. Son nom signifie « fils de Râ » ou « grand fils », donc l’aîné, comme l’était Moïse.
Dès la troisième année de du règne d’Amenhotep IV (Akhenaton), ce dernier entreprend d’introduire des modifications importantes dans l’iconographie cultuelle en adoptant des figures tout à fait inhabituelles qu’il place dans tout le pays. Petit à petit, le jeune roi voue un culte fervent au soleil Iten (Aton). En un premier temps, le culte des anciens dieux n’est pas remis en cause, mais plutôt son fonctionnement et celui du clergé d’Amon. La crise éclate véritablement en l’an V de son règne, lorsque Aménophis IV remplace son nom en Akhenaton (« celui qui plaît à Aton »). A la même époque, il choisit de construire sa nouvelle capitale consacrée à Aton, située à 450 km au Nord de Thèbes, en plein désert.
J’apporte de nombreux indices pouvant expliquer l’incompréhensible disparition de Râmosé peu après l’avènement d’Akhenaton sur le trône d’Egypte. J’explique également pourquoi Akhenaton serait « le pharaon de l’oppression » et non Ramsès contrairement à la thèse officielle. En 2007, l’anthropologue Jerry Rose (Université d’Arkansas) et son équipe, effectuèrent des tests sur des squelettes déterrés à Amarna par l’archéologue Barry Kemp (Université de Cambridge). Les tombes d’Amarna et leurs squelettes révélèrent des conditions de vie très difficiles pour les ouvriers d’Akhenaton.
Jerry Rose effectua des tests à l’Université d’Arkansas sur plusieurs squelettes d’Amarna et releva de forts taux d’anémie sur les ouvriers d’Akhenaton, signe d’une population malade. Ces découvertes consolident la thèse d’Anton Parks qui identifie le pharaon de l’oppression comme étant Akhenaton et son vizir Râmosé comme Moïse.
Tandis que le temple d’Aton croule sous les offrandes divines, la population est malade. Dans de nombreux cas, des lésions dans les os trahissent des activités physiques pénibles. Nombre de squelettes portent surtout des signes évidents d’anémie avec la présence de protubérances au niveau des globes oculaires, près de 60% des cas sont concernés. Ceci prouve que les conditions de vie à Amarna étaient pires qu’ailleurs en Egypte ! Ce fort taux d’anémie associé à un taux de mortalité important repéré entre les 12 à 20 ans, forment les signes évidents d’une population malade. Les chiffres ne trompent pas. Ces malades d’Akhenaton, ces reclus, portent un nom en égyptien : les Ubru. Ce terme tire ses racines de Ubri (désastre, maladie). Ubri ou Ubru (au pluriel) ressemble étrangement au terme « hébreu ». Si l’hypothèse de Gerry Rose se confirme, elle authentifie en tout cas la présence des Ubru (Hébreux) en Égypte et leur calvaire mentionné dans l’Ancien Testament.
Hiéroglyphe UBR, « Ubri » ou « Ubru » au pluriel. Nom donné vraisemblablement aux ouvriers malades de El-Amarna. UBRU se transforma probablement en « hébreu ».
Les changements soudains effectués par Akhenaton génèrent des répercussions sur la géopolitique de tout le Proche-Orient. C’est pourquoi Akhenaton représente le « pharaon de l’oppression » dans la Bible. Les prêtres d’Amon étaient conservateurs à l’extrême ; le véritable pouvoir leur appartenait. Leurs privilèges furent subitement remis en question. De nombreuses offrandes furent détournées, sous leurs yeux, des temples classiques vers les nouveaux temples d’Aton. Très rapidement, Akhenaton entreprit l’abandon total du culte d’Amon. Les temples fermèrent un à un et le nom d’Amon fut systématiquement effacé sur les inscriptions. C’est le plus grand bouleversement religieux de toute l’histoire égyptienne ! En quelques mois, Akhenaton diminua la vénération de plusieurs centaines de dieux à un seul ! Dans ce contexte, Râmosé, garant des traditions millénaires, se retrouva, bien malgré lui, complice de cette situation. Chaque jour, il observa en silence le rejet de la religion de ses ancêtres. Ses prêtres perdaient leurs privilèges tandis que le peuple d’Amarna, affamé et malade, travaillait durement pour édifier la cité solaire.
De nombreux prêtres voulurent préserver la connaissance des anciens et « l’esprit d’Osiris ». Pendant qu’Akhenaton martelait le nom d’Amon dans les temples des Deux Terres d’Égypte et qu’il révélait les Grands Mystères au cœur de sa cité, Râmosé et son ancien clergé préparaient la fuite de la science cachée vers des terres annexées. Il y eut de graves bouleversements. La situation politique et sociale étant sous tension extrême, le jeune pharaon pacifiste voulut sûrement éviter toute répression sanglante avec le clergé d’Amon. Il finit donc par accepter de laisser partir les principaux insoumis à la religion d’Aton, tout du moins les plus agressifs. Il n’eut pas d’autre choix. Les prêtres de Râmosé souffraient dans leur chair et les habitants de la cité solaire, en mal nutrition, contractaient des maladies. Dans cette alternative conforme à la Bible, le vizir proposa de mener lui-même les réfractaires vers une nouvelle région : une Terre Promise ! Il offrit même de prendre avec lui les Ubru invalides. Son choix stratégique lui apporta un maximum de partisans et la possibilité de provoquer des troubles. Râmosé souhaitait sans doute soulever les foules pour influencer le roi et la population. Ce moment historique se situe sans doute à partir de l’an VII du règne d’Akhenaton, soit deux ans après le commencement des travaux d’El-Amarna et le gros œuvre achevé. Toutefois, sous couvert de préparer le départ des incorruptibles vers des terres annexées à l’Égypte, le clergé d’Amon et Râmosé élaborent la fuite de la connaissance hors de l’Égypte d’Akhenaton. C’est à partir de cet instant que le mythe de Mosé (Moïse) entre dans la légende…
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Onnouscachetout.com Partie 3
Partie 3
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ONCT : Qu’est devenu selon vous la technologie divine dont a « hérité » fallacieusement Moïse ? Son bâton et l’arche ont-ils disparu ? Ont-ils été volés ou détruits ?
Anton Parks : Il n’y eut pas une arche, mais deux ! Deux objets volés juste avant le départ des premiers exilés. Les deux trous forés dans l’île centrale de l’Osireion servaient, selon moi, d’assises à ces deux objets sacrés. Les traditions rabbiniques comme le Zohar parlent de ces deux arches divines. Ces deux objets sont :
un coffre contenant de nombreux écrits sacrés appartenant à l’Égypte et ses pays annexés (les paroles divines ou Tables de la Loi) ; la majorité venant de El-Amarna. Deux « chérubins » ailés surmontent le coffre. Il s’agit simplement des représentations d’Isis et Nephtys, les protectrices des grands secrets.
Le sarcophage contenant le corps d’Osiris, fondement de la religion égyptienne (le corps du dieu). Le cercueil est aussi surmonté d’Isis et Nephtys, les protectrices ailées du roi.
La seconde arche transporte Joseph, selon la tradition hébraïque. En fait, il s’agit d’un jeu de mot avec le terme égyptien Yuef (le corps) pour signaler la dépouille d’Osiris.
Le bâton de Moïse fait également partie des objets volés à la couronne d’Egypte. Les pouvoirs du bâton de Moïse sont identiques à ceux attribués au bâton de Ptah-Osiris signalé dans les textes d’Edfu que j’ai traduis pour ce même ouvrage. Dans ces textes, Horus, fils de Ptah-Osiris se voit attribué le bâton souverain de son père signalé comme une perche de pouvoir. Ce bâton de pouvoir figure un petit pilier d’énergie (Djed) qui maitrise les forces de la nature. La Bible nomme cette perche « bâton de Dieu » en Ex 4:20. L’ancien vizir du pharaon s’en sert pour ouvrir les flots, faire tomber la grêle ou frapper un rocher pour en sortir de l’eau. On attribue également à cet objet les fameuses « plaies » d’Égypte. On sait aujourd’hui que ces fléaux correspondent à des catastrophes naturelles. Ce genre de fléaux serait possible grâce à des changements subits et prolongés des conditions climatiques, donc grâce à la maitrise des éléments. Ces mêmes phénomènes furent produits par l’ingénieur et inventeur Nicolas Tesla (1856-1943). Nous sommes en présence d’une technologie liée à l’électromagnétisme. J’explique ces phénomènes dans ce dossier consacré à Moïse et apporte des éléments concrets à cette nouvelle hypothèse.
Le destin de l’Arche n° 1, à savoir celle contenant les archives de El-Amarna, fera l’objet d’un sujet traité dans un prochain dossier, donc je ne peux en discuter pour l’instant. Il est en tout cas certain, et je l’explique dans LA DERNIERE MARCHE DES DIEUX, que ces archives permirent à Râmosé (Moïse) de composer à la fois ses textes de la Loi ainsi qu’une partie de la Genèse. Depuis l’analyse de tous ces éléments, je suis totalement convaincu que l’ancien vizir Râmosé fut le personnage biblique de Moïse. C’est indéniable.
Ptah-Osiris et son bâton de pouvoir. Statue datant du règne du père d’Akhenaton, Amenhotep III. Musée égyptien de Turin, Italie.
ONCT : Quid d’Abraham ? En savez-vous certaines choses ? N’est-il qu’une figure humaine d’un personnage analogue plus ancien ?
Anton Parks : Absolument aucune idée sur Abraham. Peut-être qu’un jour j’aborderai ce sujet, je ne sais pas du tout.
ONCT : Vous relevez en fin d’ouvrage la symbolique du chiffre 14, mis en analogie avec la carte « Tempérance » du jeu de Tarot. Pourquoi un tel parti pris ? En effet, le Tarot n’est numéroté ainsi que depuis le XVIIe siècle. Avant cela, les cartes avaient – en fonction de leur provenance – une numérotation bien différente, voire aucune numérotation du tout. Ce chiffre 14 aurait très bien pu faire ainsi allusion au Diable, puisque ce dernier était numéroté de la sorte sur des Tarots du XVe siècle !
Anton Parks : Dans cette partie, mon propos est de relever certaines analogies entre le nombre 14 et son lien avec Osiris. Sur la 14e lame du Tarot, le Tempérance, un ange tient une urne dans chaque main et transfère le contenu de l’une dans l’autre. L’arcane 14 symbolise la transmutation de l’eau en eau de vie. Je fais remarquer que, dans l’antiquité, les nombreux pèlerins venaient offrir à Osiris de l’eau sacrée du Nil dans des pots qui recouvrent aujourd’hui encore le cimetière royal d’Abydos. S’agit-il d’une coïncidence ? En Egypte, le chiffre 14 renvoie aux 14 morceaux du corps d’Osiris découpés par Seth lorsqu’il effectua le second assassinat d’Osiris en profanant sa momie. Or, son tombeau probable où fut retrouvé le fameux lit qui remplaça sans doute l’Arche n°2 (le corps d’Osiris subtilisé par Moïse), donc ce tombeau possède 14 chambres funéraires et 14 marches, ce qui renvoie sans l’ombre d’un doute à Osiris. Maintenant, je ne fais que rapporté des faits. Je ne sais pas qui a changé la numérotation du Tarot, ni à quel moment. Je sais juste que son origine est très discutée et que son symbolisme le rapproche étroitement avec l’Egypte ancienne. Pour l’ecclésiastique et occultiste Eliphas Levi, le tarot serait le Livre de Thot et proviendrait d’Egypte.
ONCT : Il existe des sépultures (ou tombeau ou tumulus) particulières dans le désert du Sahara datées de 10 000 ans (voir les images ici). Celles-ci rappellent fortement la structure géométrique de l’Atlantide. Votre avis ?
Anton Parks: Ces images sont exceptionnelles ! En effet, on retrouve bien l’idée d’un temple central, ici le tumulus, entouré de cercles concentriques. Cette forme rappelle la version de l’Atlantide détaillée par Platon et même celle des textes d’Edfu (E.VI, 184,1) où le texte indique un pays circulaire traduit en « la région des enfants du Siège de la Parole ». Je ne connaissais pas ces sites d’Algérie, mais plutôt ceux où l’on trouve des gravures d’hommes-chiens (les Suivants d’Osiris).
Tous ces sites – dont ceux que vous évoquez – passent par une piste largement empruntée à l’époque du Paléolithique Supérieur jusqu’au Badarien. Il s’agit de l’ancienne « Route des Morts », située entre le couchant et l’Égypte. D’ouest en est, elle démarrait du cap Soloéïs (face au îles Canaries), en passant par le Hoggar algérien, le désert libyque, les quatre oasis égyptien du désert blanc pour finir en Egypte même, à Abydos, résidence d’Osiris et lieu où il fut tué et enterré. Cette très longue piste préhistorique, qui est également nommée « voie royale » par les Berbères, s’illustre d’art rupestre de même type d’un bout à l’autre du trajet et des anciens oueds. Ces dessins sont datés du début de l’Holocène (vers 10.000 av. J.-C.), donc à la même période que vos sites du désert algérien. J’explique dans le livre que cette ancienne route fut empruntée par les survivants de l’Atlantide au moment où ils voulurent rejoindre le pays d’Osiris pour reconstruire leur civilisation. Hérodote évoque cette piste dans ses écrits et des cartes furent reproduites en suivant ses données. L’anthropologue polonaise Marcelle Weissen-Szumlanska effectua ce voyage à la fin des années 1950 pour vérifier les propos d’Hérodote. Après un long séjour aux îles Canaries, Mme Weissen-Szumlanska entreprit une pénible exploration de six semaines, seule et mal équipée, allant à pied, en jeep, à cheval et à chameau… Elle retrouva ainsi le tronçon inexploré de près de 4.000 km de long, signalé par Hérodote comme l’aboutissement de la route royale sillonnée par les anciens Égyptiens à travers le nord du continent africain…
ONCT : La tentation n’a-t-elle pas été grande de combler les interstices avec les indices glanés dans vos incursions mentales ?
Anton Parks : Tous mes essais et dossiers sont orientés par mes visions, c’est un bon outil pour démarrer ma recherche. Bon nombre de mystères étudiés jusqu’à présent ont comme point de départ ce que j’ai vu. Maintenant, mes enquêtes vont aussi loin que possible, mes pistes de départ me mènent toujours vers des éléments concrets prouvés par la science, la linguistique ou par des vérifications réelles, lorsque j’ai la possibilité d’examiner un monument ou un document.
ONCT : Nos connaissances d’Abydos en seraient-elles là où elles en sont aujourd’hui si Dorothy Eady n’avait jamais existé ?
Anton Parks : Nous en saurions beaucoup moins sur le temple de Sethy 1er, c’est certain, et même sur l’Osireion d’Osiris. Je l’ai signalé plus haut, l’élément majeur qui m’a incité à réaliser une analogie entre son expérience et les découvertes archéologique à Abydos est son témoignage à propos du lit d’Osiris qu’elle situe dans l’Osireion à l’époque de Sethy 1er et le fait que cet objet de culte fut retrouvé dans l’ancienne tombe d’Osiris à deux kilomètres plus loin. Grâce à cette information majeure, j’ai pu reconstituer le trajet du lit vers son lieu de culte annuel dans le cimetière d’Abydos. Autrefois, avant la confection de ce lit osirien, c’était probablement l’Arche n° 2 (le corps d’Osiris) qui effectuait ce trajet. Lorsque Râmosé (Moïse) le subtilisa avec l’Arche d’Alliance pour se réfugier dans le désert, les prêtres égyptiens restés en Egypte, durent confectionner un autre objet pour remplacer l’Arche contenant les reste momifiés d’Osiris et afin perdurer le rite royal de la résurrection du dieu.
ONCT : Avez-vous prévu d’écrire d’autres essais ? Si oui, quand et sur quel(s) sujet(s) ?
Anton Parks : J’ai beaucoup de projets en tête, mais tant que notre situation financière n’est pas stabilisée, il m’est impossible de me projeter dans les trois prochaines années par exemple. J’ai plutôt la tête dans les Chroniques en ce moment.
ONCT : Quelles sont les différences remarquables entre la dernière version du Tome 1 des Chroniques éditée par « Nouvelle Terre », et celle présente aujourd’hui au format poche ? A quand les T2 et T3 version livres de Poche ?
Anton Parks : La version poche du tome 2 des Chroniques est sortie en fin d’année 2013 et le tome 3 sera sans doute disponible au printemps 2014. Nous sommes partis sur ma version d’origine, non corrigées par les Editions Nenki ou Nouvelle Terre et avons supprimé les dossiers à la fin qui semblent barber la majorité des lecteurs.
ONCT : Quelle est à présent la suite des aventures ? Inutile de vous dire que la suite des Chroniques du Ğírkù est plus qu’attendu et que de nombreuses questions les concerne.
Anton Parks : Et bien je vous annonce que le prochain ouvrage des Chroniques du Ğírkù prévu vers le dernier trimestre 2014 se nommera LE LIVRE DE NURÉA, il s’agit du tome 0 des Chroniques. Pahana Books l’éditera en même temps que le récit intégral du SECRET DES ÉTOILES SOMBRES. Des chapitres supplémentaires seront disponibles dans chacun des ouvrages des Chroniques programmés pour la réédition au fil des mois jusqu’à la sortie du tome 4. Maintenant que la genèse des Gina’abul est beaucoup plus claire pour moi, j’ai ressorti mes anciennes notes des années 80 afin de les intégrer dans les prochaines éditions. Il s’agit plutôt d’éléments en rapport avec le contenu du tome 0 dont il me manquait la compréhension il y a encore un an.
ONCT : Là, il va falloir nous en dire un peu plus sur ce tome 0 et les rééditions inédites des trois autres tomes…
Anton Parks : Ces dernières années, j’ai annoncé plusieurs fois que je n’avais pas tout placé dans les Chroniques parce certaines scènes me semblaient totalement incompréhensibles. En 2012, dans ma précédente interview pour votre site, j’ai dit posséder des informations sur les origines de la Terre et des Gina’abul, ainsi que sur le travail de Nammu avant les évènements rapportés dans le tome 1. J’ai aussi indiqué qu’il y aurait de quoi éditer un tome 0, mais malheureusement, ces informations étant incomplètes, je ne pouvais rien en faire jusqu’à présent. Or, au printemps 2013, j’ai reçu les éléments qu’il me manquait sur ces sujets. Depuis septembre dernier, j’effectue la rédaction du LIVRE DE NURÉA. Cet ouvrage est très important, car il forme le pilier de la série et il dispose d’informations capitales pouvant expliquer certains aspects clés de notre histoire passée, mais aussi actuelle.
ONCT : Quels sont vos engagements avec J’ai Lu ? prévoyez-vous les publications des prochains tomes des Chroniques en format poche ?
Anton Parks : J’ai signé pour les tomes 1, 2 et 3 avec J’ai Lu (Flammarion). Les autres ouvrages des Chroniques à venir ainsi que les versions augmentées ne sont pas prévues pour une publication au format poche. Je pense que Pahana Books fera des prix promos pour l’achat de plusieurs livres de la série : tomes 0 & 1 / tomes 2 & 3.
ONCT : Après la publication du LIVRE DE NURÉA, prévoyez-vous un nouvel essai ou bien le tome 4 intitulé L’ORACLE ?
Anton Parks : Je rassure les lecteurs de Chroniques, je reprendrai la rédaction de L’ORACLE aussi vite que possible.
ONCT : A mesure que nous nous rapprochons de notre époque historique via les Chroniques et vos essais, certains lecteurs se demandent si vous allez aborder l’étude mythologique de peuples plus proches de nous comme les Celtes ou les Grecs Anciens ? Une forme d’étude de mythologie comparée à la manière du Testament de la Vierge en quelque sorte.
Anton Parks : Pour les Grecs, je ne sais pas, mais pour la mythologie celte, la réponse est affirmative. Je l’ai signalé plusieurs fois ces dernières années, le tome 5 des Chroniques discutera de ce sujet et du Graal. J’ai vraiment hâte d’y être.
ONCT : À combien de Chroniques prévoyez-vous de finir la série ? Les événements que vous avez captés vont-ils sortir du cadre de la mythologie pour celui « admis » de l’Histoire ?
Anton Parks : Difficile à évaluer. Au début, je n’avais pas vraiment prévu de discuter du cycle celtique, mais quelques proches m’ont signalé qu’il serait dommage de ne rien écrire là-dessus étant sonné que je possède beaucoup d’informations sur ce sujet. A l’origine, j’avais plutôt prévu de réaliser 3 volumes qui se sont transformés en 4, voir maintenant en 5 puisqu’un tome 0 sortira avant le tome 4. Il est encore difficile d’évaluer la place que prendra l’ensemble en nombre d’ouvrages. Même un seul volume est difficile à estimer d’avance en nombre de pages. La place que cela prend dans ma tête n’est pas quantifiable en nombre de pages. Je pense que le cycle du Graal devrait s’étendre sur 2 ou 3 livres, ce qui donnerait en tout 7 ou 8 volumes des Chroniques… Je ne préfère pas trop m’avancer sinon certains risquent de polémiquer inutilement.
Concernant votre dernière question, les propos développés des les prochains volumes des Chroniques seront de même nature que dans les précédents tomes : entre mythologie, histoire et archéologie. Les faits historiques se sont transformés en mythes et légendes avec le temps, mais aussi en raison des successives transformations des traditions et des textes réalisées par les différentes religions. Nous sommes en pleine confusion depuis plusieurs millénaires et à mille lieux de nos origines.
ONCT : Serait-il possible que les souvenirs que vous avez captés aient pu être parfois « piratés », détournés et que de fausses informations aient pu être mêlées aux vraies. Ou bien que votre inconscient n’ait pas supporté certains détails et les aient maquillés ?
Anton Parks : Je ne le pense pas étant donné que mes essais ne cessent de compléter mes propos disponibles dans les Chroniques. Mes recherches et traductions me démontrent que je suis sur la bonne voie. Pour ce qui est du « maquillage de certains détails », ce n’est pas comme cela qu’il faut le comprendre. J’ai effectivement reçu des éléments inexplicables parce qu’il me manquait des « scènes » ou « épisodes » ainsi qu’une compréhension globale, particulièrement à propos de certains sujets. Le LIVRE DE NURÉA apporte ces éléments complémentaires et me permet de comprendre certaines scènes entières restées sous forme de notes ou de textes rédigés à la main dans les années 80. Cela ne change rien au fond de l’histoire telle que nous la connaissons déjà, mais ces éléments apportent une dimension beaucoup plus large et tout à fait inattendue à propos des origines des Gina’abul et de l’humanité. Je ne peux en dire plus pour l’instant.
ONCT : Aurons-nous un jour la chance de vous entendre en direct pour une interview radio, ou mieux, de vous voir dans une émission télé ? Récemment, un odieux personnage s’est fait passer pour vous afin d’extorquer de l’argent à une station de radio. Ne pensez-vous pas que sortir de l’ombre lèverait toute possibilité d’ambiguïté de ce genre à l’avenir ?
Anton Parks : C’est la question piège qui revient chaque année. J’ai téléphoné à cette radio pour qu’ils effectuent un démenti et je n’ai pas l’impression d’avoir été entendu. Je les ai trouvé très flou la dernière fois que je suis entré en contact avec eux pour savoir s’ils avaient rectifié leur erreur. J’aurai apprécié cette rectification vu la virulence exercée à l’antenne par le présentateur lors de sa bévue. Peut-être attendent-ils que je vienne rétablir la vérité sur leurs ondes à leur place ? Tout ça n’est pas très sérieux.
Bref, je ne passerai pas à la radio, ni même à la télé avant d’avoir rencontré mes lecteurs à l’occasion de dédicaces par exemple. J’ai prévu de le faire dans les deux prochaines années. Peut-être avant, je ne sais pas encore. En tout cas, je pense que ce sera une véritable joie de rencontrer mon public et inversement. Je lui dois beaucoup et le remercie ici, particulièrement en ces temps difficiles. Je terminerai en ajoutant que je prends beaucoup de plaisir à rédiger LE LIVRE DE NURÉA malgré l’intensité de son contenu qui nous renvoie à des concepts spatio-temporels, métaphysiques, cosmologiques ethnologiques et biologiques totalement singuliers.
ONCT : Une interview de Gerry Zeitlin vient d’apparaître dernièrement sur le Web français : https://www.youtube.com/watch?v=MmZO8Z2HEn4. Il est beaucoup question de vous et de votre collaboration avec M. Zeitlin. D’emblée, l’interview démarre en annonçant que M. Zeitlin aurait participé à l’écriture des premiers tomes des Chroniques…
Anton Parks : Oui, j’ai écouté cette interview. Il n’a pas dû être facile à Gerry de répondre à ma place à des questions concernant les Chronique du Girkù. Gerry rectifie cette erreur plus loin en annonçant qu’il a réalisé certains graphiques et images qu’il s’était proposé de créer pour le tome 2 et ensuite pour la réédition du tome 1, ainsi que l’excellent site où il étudie en profondeur le contenu des deux premiers tomes des Chroniques avec sa propre compréhension à la lecture de celles-ci.
ONCT : Plus loin dans l’interview, M. Zeitlin prétend que vous n’êtes pas clair à propos de votre collaboration puisque vous indiquez sur votre site qu’il serait l’auteur des deux premiers tomes.
Anton Parks : C’est parfaitement ridicule. Lorsque le tome 1 est sorti en 2005, je ne connaissais pas encore Gerry et c’est quelques mois avant la sortie du tome 2 que Gerry a commencé à étudier les Chroniques. Dans le passage en question de cette interview, Gerry évoque le lien sur antonparks.com qui pointe sur son site consacré aux Chroniques où il commente les deux premiers volumes de ma série. Il est indiqué : « Les tomes 1 et 2 par Gerry Zeitlin ». Ce qui veut dire « Les tomes 1 et 2 étudiés par Gerry Zeitlin ». On a écourté parce que l’intitulé ne rentrait pas en entier. Je pensais que tout le monde l’avait compris, surtout Gerry. Je vais devoir changer ce titre… ou même le supprimer.
ONCT : Nous trouvons quelques éléments inédits tournant autour des deux premiers tomes sur le site de M. Zeitlin. D’où proviennent-ils ?
Anton Parks : Tout simplement de communications que Gerry et moi avions pratiquement tous les jours pendant près de 3 ans. Gerry me bombardait de questions quotidiennement et je passais entre une et deux heures par jour pour lui répondre, des fois plus. Cela a beaucoup occupé mon temps. Gerry souhaitait que ce travail de synthèse forme une approche parallèle aux livres. Il a énormément travaillé sur cette page Web.
ONCT : Dans cette interview, Gerry n’a pas toujours des mots tendres à propos de votre femme Nora et de vous-même. Il est dit que votre femme souhaitait vous faire passer pour le Christ et elle, la réincarnation d’Isis…
Anton Parks : Ma femme et moi n’avons jamais prétendu de telles énormités à propos d’Osiris, Isis, Horus, le Christ, etc. Je me dois de rectifier ces propos parfaitement erronés. Je n’ai jamais eu la prétention de penser, ni même ma femme, que je serais le Christ réincarné, quelle bonne blague, c’est tout bonnement de la discrimination. J’ai toujours dit me moquer royalement de savoir qui j’aurais pu être dans une autre vie que cela soit en interview et même en privé. Ce qui compte, c’est cette vie et l’instant présent. Nora est du même avis que moi. Si nous pensions avoir été de tels personnages, nous aurions pu créer « un mouvement ésotérique » et récolter de l’argent en demandant des droits d’auteur ! Imaginez : « Isis et Osiris vous invitent à un voyage en Egypte. Ils vont feront parcourir les pistes secrètes des dieux et vous dévoileront l’énergie des anciens et le fonctionnement de la Grande Pyramide pour la modique somme de… Venez nombreux ». C’est certain, cela aurait marché du tonnerre !
Trêve de plaisanterie, il y a eu une rupture entre Gerry et moi à partir de 2009, lorsque j’ai décidé de réaliser des essais et de quitter ponctuellement les Chroniques. Je pense qu’il y a eu beaucoup d’incompréhensions chez les Zeitlin lors de la sortie du TESTAMENT DE LA VIERGE. Déjà concernant la couverture du livre : c’est ma femme Nora qui pose pour cette occasion, Gerry le sait très bien et c’est l’ une des rares personnes à avoir été dans la confidence. J’avais besoin d’un modèle représentant une prêtresse d’Isis (et non d’Isis en personne), une vierge isiaque se tenant dans le temple de Dendérah et qui tient en mains une page du Livre des Morts égyptien. Tout est résumé dans cette couverture qui est avant tout une œuvre artistique. Idem pour la couverture du T3, LE REVEIL DU PHENIX exécutée longtemps avant la sortie du livre. Il s’agit de Nora et de moi-même ! Nous avons posé pour ce projet et le dessinateur a peint sur nos visages pour nous transformer en Isis et Horus. Je dois dire que cela nous a beaucoup amusé, mais jusqu’ici personne ne le savait, sauf les Zeitlin et quelques proches. J’avais besoin de modèles et je n’allais pas payer des figurants pour faire cela alors que je gagne une misère en droit d’auteur et qu’il fallait payer l’artiste peintre de ma poche… Deux modèles pour jouer Heru (et non Jésus) et sa mère Meri (et non Marie). Heru veut dire Horus et Meri « bien-aimé(e) » en égyptien. C’est écrit noir sur blanc dans LE TESTAMENT DE LA VIERGE et dans LE REVEIL DU PHENIX. Je suppose que ces incompréhensions proviennent du fait que beaucoup de lecteurs nous associent à ces personnages parce que nous avons reçu des éléments concernant leur histoire. Comme je l’ai déjà indiqué dans d’autres interviews, nous sommes à mille lieux de ce genre de préoccupations pour lesquelles nous ne discutons d’ailleurs jamais.
Vient ensuite s’ajouter à tout cela le fait d’avoir suggéré à ma femme de rédiger un dossier à la fin du T3 des Chroniques (version Nouvelle Terre) puisqu’elle a reçu, elle aussi, des visions par le passé et qu’elle avait des éléments à apporter sur la séquestration de Sé’et (la future Isis) sur la planète Mars. Nora possède d’autres informations, elle est loin d’avoir tout raconté. Les Zeitlin ont vu d’un très mauvais œil que Nora ait pu recevoir des visions bien avant notre rencontre, ce fait n’est jamais passé chez eux.
A cette même époque s’ajoute encore un autre événement mal interprété autour de nous : ma femme et moi avons effectué un mariage chrétien à l’Eglise. Pourquoi ? Parce que cette religion nous a permis de nous construire durant notre jeunesse, c’est celle dans laquelle nous nous retrouvons sur certains points, encore aujourd’hui. Notre prêtre était africain et nous avons réussi à faire lire des passages gnostiques lors de la célébration à l’église… Ce n’est pas parce que j’attaque la religion judéo-chrétienne dans certaines parties de mes ouvrages, que je dois pour autant la renier totalement. Celui qui pense cela n’a rien compris à mon travail. Vous savez, il existe des gens très bien chez les chrétiens, j’en connais quelques-uns et ils me semblent bien plus équilibrés que certaines personnes se prétendants fièrement agnostiques. La religion judéo-chrétienne n’est que le prolongement de la pensée égyptienne qui prône la paix et la non violence. C’est un sujet que j’ai déjà développé plusieurs fois.
ONCT : Il est dit également que vous auriez dédié un de vos livres à votre femme.
Anton Parks : Oui, j’ai dédié le T3 des Chroniques à Nora. Je lui devais bien cela en vue de son implication dans ma vie et des efforts qu’elle effectue au quotidien pour me permettre de poursuivre mon travail.
ONCT : Gerry se plaint que ses graphiques ne sont plus présents dans les dernières éditions et que se soient celles de votre femme Nora qui les remplace.
Anton Parks : C’est exact. J’ai proposé à ma femme de refaire l’intégralité des graphiques lorsque nous avons découvert que les versions réalisées par Gerry en 2007 (T2 et réédition du T1) comportaient plusieurs erreurs au niveau des descendances de certaines lignées et personnages, des problèmes de datation, ainsi que des erreurs sur les manipulations génétiques. Il y avait des contradictions entre ses graphiques et le contenu des Chroniques. Plusieurs personnes de l’ancien forum antonparks.com l’avaient d’ailleurs remarqué. Durant les années 2007-2008, j’étais sur la fin de la rédaction du T2 et sur LE TESTAMENT DE LA VIERGE, j’aurais dû vérifier un peu mieux ces graphiques avant publication, mais j’ai manqué de temps. J’ai survolé le travail de Gerry, sans me poser de question, et ce fut une erreur de ma part. De toute façon, il est facile de vérifier les modifications effectuées à partir de 2010 en les comparant avec les précédentes versions. Les voici :
VOIR LES LIENS SUR LE SITE DE L'ENTREVUE CI-HAUT : les images sont trop petites pour les mettre ici.
ONCT : Gerry Zeitlin laisse sous-entendre que depuis le T3 des Chroniques, votre travail est médiocre et que vous faites de la science-fiction.
Anton Parks : C’est parfaitement son droit de penser cela, particulièrement depuis que je ne suis plus en contact avec lui. Gerry n’est pas spécialisé en Egypte ancienne et possède plutôt des notions concernant Sumer, sujet des deux premiers tomes des Chroniques. Dans ces conditions, je ne suis pas étonné que les ouvrages édités ensuite ne lui évoquent rien et qu’il les regarde comme de la SF. J’ai effectué depuis des traductions en sumérien (EDEN) qui confirment mon récit du T2. Gerry devrait s’en réjouir, car cela prouve qu’il n’a pas travaillé sur sa page des Chroniques pour rien ! Et comme vous le savez, j’ai aussi traduit de larges passages de la section E.VI à Edfu et ces traductions confirment ma thèse sur l’électromagnétisme (LE TESTAMENT DE LA VIERGE) et sur les combats aériens d’Horus à l’aide de machines volantes (LE REVEIL DU PHENIX). Prétendre que rien n’est bon depuis 2009 est un cliché de mauvais goût.
ONCT : Selon M. Zeitlin, le tome 3 ne proviendrait pas de vos visions et serait inventé de toutes pièces…
Anton Parks : Gerry oublie que j’ai reçu à nouveau des visions lors de mes deux voyages en Egypte de 2007 et 2008. Cela a suffisamment frappé les proches qui m’entouraient surtout que je leur avais expliqué quelques passages interceptés à cette époque. Par exemple, les formes définitives des deux objets volants (« Oiseau Bleu » et « Oiseau Noir ») sur lesquels Gerry a passé de nombreuses heures de modélisation proviennent de ces visions. Je pense surtout que Gerry est amer depuis 2009. Je ne lui en veux pas, car il lui manque des éléments pour comprendre ce qu’il s’est réellement passé.
ONCT : Justement, Gerry Zeitlin déplore que vous ne communiquiez plus ensemble depuis plusieurs années. Que s’est-il passé ?
Anton Parks : Nos rapports se sont terriblement dégradés lors de la sortie du TESTAMENT DE LA VIERGE, sans doute pour les raisons évoquées plus haut. L’arrivée de Nora dans ma vie a sûrement aussi posé quelques problèmes dans l’organisation du temps que j’avais à consacrer pour le site de Gerry dédié aux Chroniques. Je n’étais plus seul. Pourtant, je consacrais encore du temps à lui répondre afin de fournir du matériel pour son site, au détriment d’un temps consacré à ma vie de famille.
A l’époque, j’ai tenté de savoir quel était le problème à propos du TESTAMENT DE LA VIERGE, mais en vain. Je n’ai jamais eu de réponse claire. Je rappelle que j’avais dédié ce livre initialement à Gerry et à sa femme en gage d’amitié. Lorsque j’ai constaté leur réaction face à ce livre « qu’il fallait brûler » et au mutisme qui l’accompagnait, je n’ai pas insisté et j’ai rapidement changé la dédicace lors de la nouvelle édition quelques mois plus tard. A cette même époque Gerry travaillait également sur des images de vaisseaux spatiaux initialement prévues pour LE REVEIL DU PHENIX. Ouvrage dont j’entends dire dans cette interview que Gerry assimilerait à de la science-fiction. Je doute que Gerry Zeitlin aurait travaillé sur ces vaisseaux si c’était pour lui de la science-fiction, il a autre chose à faire de bien plus intéressant surtout avec ses connaissances en astrophysique. Je n’ai pas non plus le souvenir d’avoir lu un message de Gerry me disant : « Mon cher Anton, je dois te dire que si nous ne sommes plus d’accord toi et moi, c’est que ton dernier livre ne repose sur rien de concret, c’est tout bonnement de la SF ». Combien même, s’il m’avait dit cela, j’aurais accepté sa remarque, car j’ai entendu des réflexions bien pires venant de ma propre famille. Mais non, rien. Ceci dit, le problème ne vient pas de là. Je suis heureux de me libérer aujourd’hui et de pouvoir dire la vérité. Gerry Zeitlin en fera ce qu’il voudra, cela ne me concerne plus, j’ai de toute façon tiré un trait définitif sur tout ça depuis bien longtemps.
Très concrètement, j’ai rompu tout contact avec Gerry Zeitlin vers la rentrée 2009, parce que ma femme et moi avons reçu de graves menaces provenant d’une personne très proche de lui. Gerry a passé beaucoup de temps sur son site et sur les images qu’il effectuait. Tout a commencé le 8 janvier 2009, j’ai reçu un mail de cette personne s’inquiétant pour la santé de Gerry qui travaillait jour et nuit et dont les efforts lui créaient des saignements de nez réguliers. Gerry est un acharné, rien ne pouvait l’arrêter, surtout qu’il voulait souvent en faire bien plus qu’il ne pouvait. Gerry n’a cessé de se créer des challenges de sa propre initiative et souhaitait aller au bout de ses possibilités physiques et techniques. Ainsi, cette personne me demanda d’envoyer un mail à Gerry pour lui annoncer l’arrêt de notre collaboration artistique. J’étais inquiet pour la santé de Gerry et j’ai fait l’erreur de devoir lui mentir pour satisfaire cette requête. J’ai dû invoquer qu’il n’y avait plus de place pour ses images dans le prochain volume, c’était d’ailleurs une idée de cette même personne… C’était à moi de faire le sale travail et c’était le seul moyen trouvé dans l’urgence pour freiner Gerry et l’empêcher de mettre sa santé en péril.
Ce dernier a eu beaucoup de mal à le comprendre surtout après le temps passé à réaliser tout ce travail. Il lui a fallut tout de même plusieurs mois et ses incompréhensions autour du TESTAMENT DE LA VIERGE pour qu’il réagisse et m’en fasse finalement le reproche. J’ai donc recontacté discrètement cette personne en été 2009 pour lui dire qu’il serait préférable de dire la vérité à Gerry, et je me proposai de le faire tout naturellement sans l’impliquer. Malheureusement, cette personne a subitement changé de ton et nous a menacé avec une extrême brutalité, le mot est faible !!
En gros, si nous révélions la vérité à Gerry, elle dévoilerait alors nos noms, adresse, nom de la société de ma femme, etc. C’est ce qu’elle a largement sous-entendu. Tout serait divulgué sur le Net en un clic et elle s’en sortirait sans vague, comme toujours. Elle avait un dossier complet sur nous, selon ses propos. A cette époque, ma femme était à la tête d’une petite entreprise de fabrication de produits bio. Elle était très connue dans le milieu surtout qu’elle avait conçue des machines spéciales et un procédé de fabrication inédit. Nous n’avons pas voulu prendre de risque face à cette personne et sa méchanceté, ainsi que ses menaces qui auraient pu compromettre le travail de ma femme, sa carrière et mon travail par la même occasion. En effet, durant cette période, nous vivions dans un appartement au sein des locaux de l’entreprise et cette proximité était déjà assez difficile à gérer. Cette personne voulait également dévoiler d’autres faits strictement privés qui ne regardent que mes proches et moi-même.
J’ai bien sur gardé tous ses messages de chantages et ses réflexions désobligeantes. Je sais de quoi je parle, on ne rigole pas avec une personne qui a travaillé pour le gouvernement américain ! Après ces menaces, j’ai rompu tout contact avec Gerry et j’ai changé petit à petit ses images dans mes ouvrages pour les remplacer par d’autres. Tout était fini une bonne fois pour toute et je ne souhaitais plus entendre parler de tout ça ! Je n’en voulais pas à cette personne de s’être inquiétée de la santé de Gerry, mais de nous avoir menacés de la sorte. Cette personne a tenté ensuite de nous recontacter, comme si de rien n’était, mais voyant que nous avions coupé toute relation, elle nous envoya régulièrement des réflexions déplacées jusqu’en 2010 pour me dire tout le mal qu’elle pensait de mon travail depuis LE TESTAMENT DE LA VIERGE et depuis l’implication de ma femme dans certains travaux.
Aujourd’hui, je me sens totalement libre d’évoquer ces épisodes, car ma femme et moi-même, nous nous trouvons dans une situation qui ne pourra jamais être pire qu’aujourd’hui ! Je me suis préparé depuis longtemps à voir un jour nos véritables identités dévoilées et à entendre des mensonges sur nous. Et alors ? Maintenant, si des fuites se rependent sur le Net, nous serons tous d’où cela provient. Pour clôturer cet épisode, je dois ajouter que peu de temps après, ma femme, épuisée et malade de devoir assumer pour deux (mon travail n’étant pas gratifiant au niveau salaire, aujourd’hui je gagne moins de 600€ par mois en droit d’auteur pour 6 livres !), ma femme donc, a vendu son entreprise, arrêté son métier et nous avons déménagé.
Par la suite, lors de la publication d’EDEN, nous avons reçu des menaces provenant d’autres individus. Durant la période 2009-2012, nous avons eu également de gros problèmes relationnels avec une personne qui a effectué ponctuellement des images pour l’un de mes livres et avec un de nos traducteurs ; deux personnes rémunérées pour leur travail. Elles étaient en relation avec les Zeitlin. Je retiens de ces épisodes que lorsque l’on est un peu connu, il est vraiment difficile d’avoir de véritables amis. Ce n’est pas une légende, c’est un fait vérifié. Depuis, nous vivons isolés et à l’écart de tout, travaillant sans relâche. Pendant que j’écris LE LIVRE DE NURÉA, ma femme rédige actuellement un ouvrage important sur le fonctionnement du monde avec des approches poussées au niveau génétique et sociologie. Nous espérons pouvoir éditer ces deux ouvrages en même temps.
Avant de nous quitter, nous avons interrogé Anton Parks sur un tout autre sujet :
ONCT : Vous vouliez finir cette interview sur la disparition de votre ami le journaliste Alain Gossens, en juillet 2010…
Anton Parks : Oui, c’est un sujet qui nous tient à cœur ma femme et moi. Nous avons gardé le silence pendant plus de 3 ans malgré les ragots abjects colportés sur le Net à propos de son suicide. J’ai connu Alain en été 2005, alors qu’il venait de lire le T1 des Chroniques récemment acheté lors d’une conférence de Nenki, mon premier éditeur. On s’est beaucoup téléphoné et envoyé des mails. Nous avons fini par nous rencontrer chez lui quelques semaines plus tard avec mon ami Mahdi et un de ses contacts de Belgique, que je nommerai « Michel », qui allait devenir malgré lui un acteur indirect dans la disparition d’Alain. Alain Gossens et moi sommes devenus de véritables amis au fil des semaines et des mois. Nous nous téléphonions au moins deux fois par semaine sans parler de nos boîtes mail saturées de messages pendant près de 5 ans. Nous nous connaissions par cœur. Nous nous arrangions toujours pour nous rencontrer tous les 3 à 4 mois sur Paris ou chez lui en Belgique, rue Drève du Duc à Boitsfort. Lorsque Nora a rencontré Alain, le feeling est tout de suite bien passé, Alain et Nora sont également devenus de très bons amis et se téléphonaient très souvent. La disparition d’Alain est pour nous un véritable suicide contrairement aux ragots répandus et disponibles sur Internet par des personnes qui veulent encore y voir un meurtre maquillé et qui évoquent des thèses conspirationnistes. Je dois dire que nous sommes outrés par ce genre de propos.
Alain Gossens pose devant la maison de son enfance. Photo de l’auteur.
ONCT : Avez-vous des éléments à apporter à ce dossier?
Anton Parks : Alain n’était pas bien les derniers mois avant sa disparition. Il se remettait radicalement en question et tentait de changer complètement son mode de vie en modifiant ses habitudes journalières, ses dépendances en tout genre, même son métier. Il ne voulait plus entendre parler de journalisme et tentait de changer de vie. A mon avis, impossible d’aller contre sa nature ! Il s’est fait violence pendant 2 à 3 mois pour tout changer d’un coup, ce fut sans doute trop pour lui. Alain avait fait de nombreux voyages dans sa jeunesse, il avait expérimenté différentes drogues et vécu des « expériences » comme beaucoup le font actuellement avec diverses substances. La prise d’héroïne lui fut fatale. Il me l’avait expliqué plusieurs fois. Depuis de nombreuses années, il était sous méthadone, Nora et moi l’avons vu des centaines de fois ingurgiter ses cachets, bien qu’il essayait maladroitement de le cacher lors des repas. Dès qu’il oubliait de les prendre, il transpirait à grosses gouttes et tremblait.
En effet, les médicaments contenant de la méthadone (où dérivés) sont toujours donnés avec une molécule supplémentaire, pour contrecarrer les effets secondaires. Alain, nous avait expliqué que dans son cas, il devait alors aller à la pharmacie régulièrement pour chercher ses médicaments, car il ne supportait pas l’autre molécule. Ce genre de prescriptions nécessite des explications sur son utilisation qui sont à la fois données par un médecin et un herboriste parce que les deux sont complémentaires, car il faut toujours avoir deux avis différents, et qu’il y a des précautions d’emplois pour ces produits.
Lorsque nous nous déplacions, Alain vérifiait systématiquement avoir avec lui son traitement de substitution. Idem, lorsqu’il venait en France, son séjour était toujours limité dans le temps (au plus, une petite semaine) parce qu’il devait retourner voir son médecin pour la prescription de sa méthadone. Nous étions très triste de le voir ainsi, et nous l’avons soutenu continuellement. Il était malheureux, très fragile, il vivait seul, bien trop seul enfoui dans ses dossiers, dans la conspiration, etc. Alain avait très peur de l’avenir et nous parlait souvent de son appréhension pour 2012. Il se posait beaucoup de questions. Les quelques personnes qu’il côtoyait lui parlaient continuellement de tous ces sujets et des changements de l’an 2012. De toute façon la méthadone le plaçait continuellement dans des peurs existentielles sans fond. Combien de fois, l’avons-nous eu au téléphone, alors qu’il n’en pouvait plus…
Lorsqu’il voulut tout changer en été 2010, il s’était un peu écarté de tous. Nous nous parlions moins au téléphone, et il s’en excusait dans un mail envoyé fin mai. Tout changer pour lui impliquait aussi de réduire sa méthadone ! Ce n’est pas seulement la méthadone qu’il diminua radicalement, mais aussi son régime alimentaire et il cherchait un nouveau boulot, car Alain n’en pouvait plus des dossiers et de la merde qu’il remuait continuellement pour des magazines sur le mystère, le symbolisme, l’histoire occulte, l’horreur de la guerre, la pédophilie… Il avait rédigé un énorme ouvrage sur le contrôle occulte, je devais en faire la préface. J’ai uniquement un ou deux petits extraits. Alain nous a dit plusieurs fois qu’il ne souhaitait plus faire éditer cet ouvrage, tant il représentait tout ce qu’il avait en horreur, mais aussi tout ce qui l’avait tant fasciné par le passé. Son ancien éditeur avec qui il collabora pendant 3 ou 4 ans possède le manuscrit en question et il s’était arrangé pour en récupérer les droits au moment de la mort d’Alain. Il souhaitait l’éditer, mais comme il a subit de nombreuses menaces depuis, et qu’il a même été malmené physiquement et moralement, je doute que ce livre sortira un jour…
Concernant la mort de notre ami, je passerai outre le fait qu’Alain Gossens fut observé par un témoin au moment de son suicide, le mercredi 7 juillet à 10h du matin, sur le clocher de l’église Saint-Hubert de Boitsfort, située un peu plus haut de chez lui (article dans Le Soir du vendredi 9 juillet 2010 visible ici). Certains diront que ce témoignage pourrait être un faux. Je passerai aussi la lettre d’adieu retrouvée sur son ordinateur, car les mauvaises langues diront que c’est également un faux (je n’y crois pas pour avoir une copie de cette lettre et y retrouver son style et l’état d’esprit dans lequel il était en été 2010). Outre, ces deux éléments « discutés » ou « discutables », ma femme et moi connaissons deux faits indéniables et certains. Le premier se situe en décembre 2009, lorsqu’Alain est venu passé Noël chez nous, en France. Nous avons eu un soir une discussion sur la mort et le suicide (je ne pourrais dire pour quelle raison), et Alain nous a clairement indiqué, ce soir-là, que s’il devait un jour se donner la mort, il n’hésiterait pas et se suiciderait en sautant du haut d’une tour !
Je me souviens que ma femme et moi avions trouvé cette idée choquante et tellement brutale… Autre fait indiscutable, la veille de son suicide (soit le mardi 6 juillet), Michel téléphona à Alain vers 13h. Selon Michel qui m’a rapporté les faits par mail le 9 juillet, ils se seraient parlé pendant près de 6 mins où Alain lui aurait annoncé qu’il souhaitait vraiment se donner la mort. Michel aurait tenté de l’en dissuader… Je ne saurais dire pourquoi Michel n’a prévenu personne par mail ou par téléphone ce jour-là, préférant m’indiquer dans son message du 9 juillet : » Il n’y avait pas d’autre issue (que le suicide). Que son âme repose en paix ». Pour moi une personne voulant se suicider ne l’indique jamais à qui que ce soit, sinon, c’est un appel au secours ! Je laisse Michel et sa conscience. En tout cas, preuve est faite aujourd’hui par ces deux éléments qu’Alain s’est bien donné la mort et que personne ne l’a poussé du haut de ce clocher !
Nora et moi pensons souvent à lui et je sais que nous nous retrouverons, car il est un véritable frère. Il me parla 2 ou 3 fois d’un rêve qu’il avait fait plusieurs fois. Nous étions frères et nous étions desantennistes sur cette Terre. Notre rôle était de maintenir la communication entre la terre et le Ciel. Nous avions aussi en commun le fait d’être chacun séparé de son double féminin et nous en souffrions beaucoup. Depuis, j’ai trouvé le mien, mais lui ne l’a pas trouvé. Il souffrait terriblement de la solitude. Il en est mort.
Un grand merci à Anton Parks pour cette interview !
Bibliographie de l’auteur :
Les chroniques du Ğírkù, Tome 1 : Le Secret des Étoiles Sombres (2005), Nouvelle Terre, 2007 (édition corrigée et augmentée).
Les chroniques du Ğírkù, Tome 2. : Adam Genisis, Nouvelle Terre, 2007.
Le Testament de la Vierge, Nouvelle Terre, 2009.
Les chroniques du Ğírkù, Tome 3 : Le Réveil du Phénix, Nouvelle Terre, 2010.
Eden, Nouvelle Terre, 2011.
La Dernière Marche des dieux, Pahana Books, 2013.
Les chroniques du Ğírkù, Tome 0 : Le Livre de Nuréa, Pahana Books, (prévision 2014)
Les chroniques du Ğírkù, Tome 1 : Le Secret des Étoiles Sombres (récit intégral et inédit), Pahana Books, (prévision 2014)
http://www.onnouscachetout.com/anton-parks-interview-web-2014
Vu sur http://www.arcturius.org
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908
P(3)58
DES TEXTES HISTORIQUES POUR panthère58
Salut panthère58 Je t'envoies des références et des liens, [que tu connais peut-etre ?] qui vont surement t'intéresser et qui remettent en questions des plagiats ( de Sumer ) retrouvés dans la bible juive.
http://www.chretien.at/-La%20v%E9ritable%20origine%20des%20%E9vangiles%20des%20%E9glise...
https://fr.wikipedia.org/wiki/Friedrich_Delitzsch
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''les con-(sciences)-sonnes-voyelles (quantiques) vibrantes (verbe-Source) générées par le mouvement de l’énergie-sombre ( 73% ) issues de la matière-noire ( 22% )créent les bigs-bangs de lumières-univers ( 5% )'' et les mondes spiralés et circulaires.
DOSSIER ANTON PARKS : TSELEM et AFAR (argile/forme)
TSELEM
Source fournit par Brigitte, merci pour ce lien.
Publiée le 15 mars 2014
Conférence traduite de Mauro Biglino sur ses livres. Traducteur de l'Ancien Testament pour le Vatican, Biglino offre une nouvelle traduction de la Bible dévoilant l'existence d'extraterrestres créateurs de l'humanité. Voir "la Bible comme vous ne l'avez jamais lue".
À 15 :28 du vidéo : TSELEM
Transcription : Officiellement, nous sommes donc créés à l’image de Dieu. En réalité, la Bible dit que nous sommes daits d’après sa ressemblance mais avec quelque chose qui contient l’image des Elohims. Les dictionnaires publiés par le Rabbis va plus loin. Ils affirment que TSELEM vient du verbe TSALAM qui signifie « la séparation de ».
En fait, la Bible dit que nous avons été créés en utilisant une certaine quantité de matériel qui contient l’image des Elohims et qui a été séparée. Aujourd’hui, tout le monde comprend immédiatement à quoi on se réfère quand on dit que l’on prend quelque chose qui contient l’image de quelqu’un… c’est de l’ADN !
Il est probable que ce récit biblique soit le résumé de tablettes sumériennes, en particulier dans le « Enula Elish », quand les Sumériens racontent les origines mais de façon bien plus précise que ce qui est raconté dans la Bible.
À 20:27 du vidéo : AFAR (argile/forme)
À l’évidence, ils nous ont dit ces choses bien évidemment avec les outils linguistiques, conceptuels et culturels qui étaient les leurs. Mais ils ont raconté des faits de la façon dont ils se sont sans doute produits. La Bible en fait le résumé. Et mieux, on a un double résumé. Car vous savez que pour la création de l’homme, disons plutôt « fabrication », car création n’est vraiment pas le bon mot, à propos de la fabrication de l’homme, il y a cette histoire en particulier dans laquelle Dieu est décrit comme un potier, n’est-ce pas, qui sculpte l’argile. Bien, j’ignore si nous avons ici des généticiens ou des biologistes. Tout le monde connaît l’importance de l’argile comme catalyseur pour les processus de combinaisons des acides nucléiques, donc l’ADN et l’ARN.
Et donc, le second récit, dont la tradition dit que c’est le récit de Dieu qui sculpte comme un potier, n’est pas un récit métaphorique du tout ! C’est la même histoire vue du point de vue opposé !
Alors que le premier récit nous dit que nous avons été fabriqués à partir du TSELEM des Elohims, donc avec leur ADN, la seconde histoire raconte que les Elohims ont agi sur AFAR, c’est-à-dire sur la poussière, sur l’argile qui était présent sur la Terre. Et cela a une double signification car AFAR vient de l’akkadien TIKIT qui indique à la fois l’argile et ce qui contient la forme, car l’argile est une matière solide qui peut contenir une forme. Cela signifie que le second récit est vu du point de vue de l’ADN des hommes qui étaient présents sur Terre.
Donc, nous avons été conçus avec le TSELEM des Elohims qui a été inséré dans l’AFAR, qui est ce qui contient la forme et qui était déjà présent sur Terre, donc l’ADN de l’hominidé.
Les deux récits étaient traditionnellement considérés séparément car ils sont difficilement explicables du point de vue de la théologie et de la spiritualité.
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Traduction de TSELEM par Anton Parks :
Extrait 1, du récit, pp.28-29 : Peu avant l’arrivée de nos Nin (prêtresses), les Kadištu (planificateurs) créèrent le nouveau prototype Namlú’u avec l’ensemble du patrimoine génétique des planificateurs. Le Namlú’u est aujourd’hui un sang-mêlé remarquable. Les Kadištu lui ont attribué un corps éthérique multidimensionnel.#5 L’ancienne version avait affronté les pires dangers que représentent nos royaux, il était important que ce nouveau modèle possède la capacité de se mouvoir dans les étages supérieurs, là où son ennemi principal ne peut se transporter.
Extrait 2, note de bas de page #5, p.29 : Il est dit en Genèse 1.26, lorsque Elohim (l’autorité planificatrice) veut créer l’homme (la 1re humanité) : "faisons l’homme à notre Tsélem (image)". Pourtant le mot hébreu "Tsélem" ne semble pas être convenablement traduit, car il est formé du vocable Tsél qui veut dire "ombre" et du "Mem" final qui symbolise de façon hermétique l’eau, l’élément vital (la semence). Lorsqu’il est dit qu’Elohim va former l’homme primordial à partir de son Tsélem, cela veut donc dire qu’il va le former à partir de ses gènes, de son "ombre-liquide", c’est-à-dire de la semence d’Elohim ! Il est tout à fait intéressant de noter que le terme hébreu "Tsélem" décomposé en suméro-akkadien donne TÉŠ ("sexualité", "force vitale"); EL ou ÍL ("élevé", "être haut"), EM ou IM ("argile", "boue") ; soit TÉŠ-EL-EM "la force vitale élevée de l’argile". Nous démontrerons plus loin dans cet ouvrage que le terme "argile" évoque l’élément principal de la vie : le sang. Notre démonstration est d’autant plus évidente que le "MEM" hébreu final ("l’eau-semence") possède une valeur numérique de 40 et que nous savons que l’embryon met 40 jours pour se transformer en fœtus !
Extrait 3, du récit, pp.203-204 ; Enki : An a approuvé mon idée et m’a prié de spécifier le matériel génétique que je souhaitais utiliser pour créer ces Ádam (animaux). Je lui ai répondu que je comptais me servir de gènes Ukubi’im (Homo Neanderthalensis) mélangés à du matériel Gina’abul. Mon créateur était soucieux : "Ces spécimens ne sont-ils pas en affinité génétique avec ces fâcheux Namlú’u des Kadištu (planificateurs) ?" Je ne pus répondre affirmativement, car les sources concernant l’origine des différents types d’Ukubi (genre Homo) étaient nébuleuses. Nammu et Dim’mege ne m’ont jamais mis dans la confidence. Pour une fois, j’ai scruté mon cristal de fond en comble à la recherche de cette réponse, mais en vain. Il semblerait effectivement que nos femelles aient utilisé des gènes Namlú’u pour améliorer le genre Ukubi (Homo). Nammu et ses Ninti (prêtresses de la vie) avaient progressivement modifié la lignée Ukuki’im (Homo Neanderthalensis) des émissaires de la Source, alors que les Ama’argi avaient manifestement transformé le type Ukubi-Ádam (genre Homo Erectus) à l’insu des royaux.
Lien : http://www.karmapolis.be/pipeline/anton_parks2.htm
Extrait 4, entrevue : L'existence sur Terre de divinités à polarité féminine est antérieure à la présence du dieu mâle telle que nous la rapporte la religion judéo-chrétienne et qui n'apparaît qu'en Genèse 2.7, c'est-à-dire lors de la seconde création répertoriée dans la Bible. Une grande majorité des légendes de la Terre témoignent de la présence de divinités à polarité féminine. La Genèse l'a fait également, il suffit de lire attentivement le texte de la création. En Genèse 1.26, les Elohim ("les divinités"), terme pluriel féminin, créent l'Homme "à leur image"… Pourquoi ce terme, pourtant féminin pluriel, est-il traduit le plus souvent en "Dieu" ? J'explique dans mes ouvrages que le terme Elohim se décompose en suméro-akkadien en EL-Ú-HI-IM "les puissants élevés qui ont mélangé l'argile (ou l’argileux : l’Homme). Ces Elohim forment une association multiethnique et culturelle planificatrice qui travaille pour la Source de toute chose qui figure plutôt une énergie féminine, celle de la Déesse-Mère. Les êtres féminins dont il a été question plus haut et qui sont en conflit avec l'autorité mâle des textes sumériens, font partie du groupe des Elohim que je nomme Kadištu dans mes écrits.
En Genèse 1.26, lorsque les Elohim souhaitent créer l'Homme primordial, il est dit : "faisons l’homme à notre Tsélem (image)". Pourtant le mot hébreu Tsélem ne semble pas être convenablement traduit, car il est formé du vocable Tsél qui veut dire "ombre" et du Mem final qui symbolise de façon hermétique l’eau, l’élément vital, c'est-à-dire la semence. Lorsqu’il est stipulé qu’Elohim va former l’homme primordial à partir de son Tsélem, cela veut traduire qu’il va le former à partir de ses gènes, de son "ombre-liquide", c’est-à-dire de la semence d’Elohim !
"[…] Ils (les créateurs) façonnèrent une créature en associant leurs pouvoirs les uns des autres, ceux dont ils avaient été gratifiés. Chaque puissance fournit une qualité conforme à l'image qu'elle s'en était faite psychologiquement. Ainsi créèrent-elles un être en tant que Homme primordial parfait…".
Manuscrit de Nag-Hammadi, "Le Livre Secret de Jean", Codex NH2-1 ; 28
Il est tout à fait intéressant de noter que le terme hébreu Tsélem (traduit en image?!) décomposé en suméro-akkadien donne TÉŠ ("sexualité", "force vitale") ; EL ou ÍL ("élevé", "être haut") ; EM ou IM ("argile", "boue"), soit TÉŠ-EL-EM "la force vitale élevée de l’argile" ou "la haute force vitale élevée de l'argile". L'argile biblique représentant généralement le sang ou encore les gènes, nous pouvons donc traduire le passage en question en "faisons l’homme à notre (avec) notre haute force vitale élevée ou tirée de l'argile (c'est-à-dire avec notre sang ou nos gènes)"… Cette traduction est parfaitement en accord avec le texte apocryphe de Jean mentionné juste au-dessus.
Karmaone
© Karmapolis - mai 2007
© Novembre 2007 Anton Parks, pour les décompositions, traductions et interprétations suméro-akkadiennes
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Antoine Gigal / Égypte
Antoine Gigal : Égypte et pyramides
Anton Parks cite souvent Antoine Gigal dans son essai Le Testament de la Vierge. Au lieu de simplement vous balancer le vidéo de trois heures, j'ai pris le temps de l'écouter et de vous le résumer. Vous n'avez qu'à aller écouter la partie qui vous intéresse, s'il y a lieu.
Lien site internet : http://gigalresearch.com/index-fr.php
Lien video : https://www.youtube.com/watch?v=7kGBJd1AKJo
Publiée le 30 déc. 2014
Descriptif META TV (13/12/2014) : Antoine Gigal égyptologue spécialiste de l'ancien empire et qui vit en Égypte depuis plus de vingt ans nous révèle les secrets de l’Égypte ancienne et tout ce qu'elle a pu comprendre en visitant les nombreux sites et rencontres au cours de ses travaux. Elle n’hésite pas à nous évoquer la situation actuelle du pays en nous donnant un témoignage rare sur les événements qui ont secoué la région ces dernières années. Une émission pour les passionnés d'histoire antique et de science. La libre antenne du lundi au vendredi de 21h à minuit sur www.metatv.org
À 2H26:36 du vidéo :
Elle parle de l'étymologie du mot pharaon qui voudrait dire le « porteur ». Au Québec, il y a le « porteur d’eau » ! Sachant que l’eau est très importante pour Enki/Osiris… Il n’y a qu’un pas pour parler de la descendance du Christ égyptien au Kebek ! Alors, Antoine Gigal vient ainsi appuyer mon point de vue "ésotérique" sur la question de la génétique du Grand Monarque, si Grand Monarque il y a.
MON RÉSUMÉ DE L'ENTREVUE
De 0H00 à 0H15 :
- Sur le terrain en Égypte depuis plus de 20 ans.
- Parle l’arabe égyptien et des langues orientales.
- Pour comprendre l’Égypte, il faut parler plusieurs langues.
- Elle se concentre sur l’Égypte du début et les dysnasties, dont la 18e, qui ont ramené à l’avant-plan les textes d’origine.
- Elle fait des rapports aux autorités gouvernementales sur des restaurations effectuées.
- Elle explique son prénom masculin.
- Les textes trouvés des premières dynasties venaient de milliers d’années avant ! (Gaston Maspero, 1912)
- Menes Marner ne serait pas le premier pharaon. Les archéologues trouvent des choses plus anciennes que l’histoire officielle qui, elle, commencerait aux environs de 3 700 ans av. notre ère. En 2009, une équipe belge trouve des squelettes datant de 30 à 33 000 ans ! Plus ancien que Sumer !
- L’Égyptologie n’en est qu’à ses débuts. Elle a commencé avec Napoléon. Tous les jours, on découvre des choses. Il y a des milliers de sites archéologiques en Égypte. Le sable et le vent viennent perturber les recherches.
De 0H15 à 0H30 :
- Découverte de l’écriture en Égypte plutôt qu’à Sumer.
- Elle parle d’un institut anglais qui, dans les années 1930, cachait les découvertes trop anciennes qui remettaient en cause des croyances religieuses.
- Procédé de datation des pyramides erroné qui touche à des restaurations au lieu de l’édifice parce qu’on ne voulait pas admettre que les dynasties restauraient leurs monuments.
- Découvertes de souterrains.
- Pyramides construites pour résister à un Grand Déluge, selon des sources arabes qui parlent des origines des origines, des sources grecques, romaines et des sources égyptiennes anciennes dont certaines se basent sur des notions astronomiques.
De 0H30 à 0H45 :
- Ce ne serait pas Akhenaton qui a amené le monothéisme. Les anciens Égyptiens ont toujours été monothéistes. D’ailleurs, il n’aurait pas une réputation aussi bonne qu’on aime le dire.
- Mauvaise traduction pour le « Livre des Morts égyptien » qui serait plutôt « Le Livre de la Sortie au Jour ». Le seul chapître d’origine est le chapître 64, plus ancien que la première dynastie. Les autres trucs funéraires ont été ajoutés avec la 18e dynastie et après. Dans ce chapître 64, il est question du Grand Déluge.
- Osiris est un personnage historique selon le chapître 64.
- La connaissance a été mise dans les pyramides pour sa préservation.
De 0H45 à 1H00 :
- Textes et photos qui démontrent l’érosion marine des pyramides à Gizeh.
- Pyramides construites avant le Grand Déluge.
- Plusieurs tunnels souterrains sous Gizeh.
- Plateau de Gizeh, plus que des pyramides et le Sphinx : 88 kms de long, du nord au sud avec des îlots de pyramides. En tout, près de 74 pyramides.
- Tenir compte des inondations annuelles du Nil, des tremblements de terre avec la plaque tectonique asiatique et la faille dans la mer Rouge.
- Une pyramide encore plus grosse que Khéops à Abou Rawash, rarement ouverte au public.
- Ce sont les cartes de Napoléon qui la guide dans ses recherches en Égypte et qui lui indiquent les temples perdus, ce que les cartes actuelles ne possèdent pas.
- Des millions de souterrains (tunnels) sous le plateau de Gizeh.
- Le génie des anciens Égyptiens avec des systèmes hydrauliques pour l’irrigation.
De 1H00 à 1H15 :
- Faux la réputation de cruauté des pharaons dans les films de science-fiction sauf peut-être pour les dernières dynasties.
- L’eau aurait perdurée à la surface pendant 3 à 4 ans sur la surface après le Grand Déluge, selon des scientifiques.
- Il y a des cités souterraines pour y vivre le temps que le déluge se passe. Selon des anciens textes.
- Procédé chimique avancé, outillage de l’ancienne Égypte, écluses pour déplacer des blocs de pierre.
- Il y a des pierres dites « molles » pour certaines rangées. (Joseph Davidovits / polymère)
- Dans les souterrains, il y a une multitude de vases en pierre dure. Comment ont-ils été travaillés ?
- Elle retourne plusieurs fois sur un même site car la mémoire des lieux parle. Il faut réfléchir et écouter les gens du coin car la tradition orale existe encore même si elle est minime.
- Brevet d’une technique spéciale pour couper les pierres dures.
De 1H15 à 1H30 :
- Les extraterrestres : elle convient qu’ils existent mais s’en servir pour enlever le crédit aux premiers Égyptiens est une imposture dans sa perception des choses.
- Les Égyptiens d’avant le Déluge, et les Égyptiens d’après le Déluge. Osiris est historique selon des fouilles à Abydos. Osiris était à la tête des Anu, rien à voir avec les Anunnaki. Il serait d’origine nubienne, le Soudan actuel. (Émile Amélineau) Et c’est là aussi où on a trouvé de l’écriture datant d’avant Sumer.
- Il y avait toutes les races en Égypte, même asiatiques. Donc, des pharaons avec des traits asiatiques, d’autres noirs, d’autres à la peau rouge et des blancs.
- Kemet ne serait pas le premier nom de l’Égypte mais Ta mery (TA mry) . La terre de l’harmonie pour tous les humains. Une terre d’accueil.
- Ses chroniques de Gizeh démontent plusieurs faussetés.
- Elle est d’origine africaine.
- Le Nil aurait été détourné à différentes époques par les Égyptiens. Le tracé étrange du Nil en témoignerait.
- Ils avaient l’énergie de l’eau, du vent et du soleil à défaut de pouvoir confirmer d’autres énergies. Un rapport extraordinaire avec la nature.
De 1H30 à 1H45 :
- Deux immenses roues à eau faites de bois avec de la cire d’abeilles à Faiyum. Et ça charrient des tonnes d’eau. Ça date des anciens Égyptiens.
- Sa source principale de revenu vient de ses articles en anglais. Elle a tout quitté pour l’Égyptologie.
- Les pyramides alignées sur les étoiles d’Orion : comme des villages en Corse ou ailleurs dans le monde. Et le ciel a changé depuis.
- D’autres constructions sur la planète, d’autres pyramides. En Égypte, elles servent d’observatoires astronomiques, de pyramides à eau, de protection pour des entrées souterraines.
- Système de protection à la Indiana Jones.
- L’Égypte actuelle : un projet pharaonique, un deuxième canal de Suez. Population égyptienne de 98 millions dont 65 % en bas de 30 ans.
- Mohamed Morsi : une catastrophe ! (privatisation du canal de Suez) Non à l’exploitation minière publique. Historique de la Fraternité (la Société des Frères Musulmans avec Hassan el-Banna) depuis 1926. Elle était très riche.
De 1H45 à 2H00 :
- Le musulman de base est très pacifique et accueillant contrairement aux Frères. Morsi a vendu son pays. Les médias occidentaux n’en parlaient pas.
- Elle a assisté aux premiers jours de la révolution de 2011. Des infos sur Moubarak.
- Les dessous du printemps arabe avec les Frères Musulmans. Et des élections frauduleuses par la suite et des kidnappings, toujours selon le témoignage d’Antoine Gigal qui était sur place.
- Elle donne des détails sur la deuxième révolution des jeunes après deux années du régime de Morsi. Morsi était une marionnette de l’étranger. Il aurait vécu les ¾ de sa vie aux États-Unis, sa femme étant américaine.
- La deuxième révolution était une vraie du peuple égyptien, avec femmes et enfants.
De 2H00 à 2H15 :
- Anecdotes avec les Frères Musulmans.
- Les récentes guerres en Égypte et le rôle de l’armée.
- L’énergie solaire est priorisée. Révolution énergétique, écologique.
Questions du public :
- Sur Pi et le nombre d’or très présent parce que la très très ancienne Égypte était en harmonie avec la nature. Et la perfection est dans la nature.
- Sur le nez brisé du Sphinx : un Égyptien à l’époque de Napoléon, un espèce de Frère Musulman avant le temps, car on ne fait pas de représentation humaine pour éviter les mauvais esprits.
- Sur l’espérance de vie des anciens Égyptiens : la même que la nôtre. Il y avait des chirurgies. De grands médecins. Les plus grands cardialogues américains sont Égyptiens.
- Sur le documentaire La Révélation des Pyramides : ça mérite d’exister. Il ne cite pas toutes les sources dont elle-même. Mais on ne répond pas aux questions.
De 2H15 à 2H30 :
- Sur l’Atlantide : il y a des théories mais pas de preuve sur sa localisation. Platon en parle à partir des connaissances de ses ancêtres qui seraient tous d’Égypte ! Et les pyramides sont sur un plateau en Égypte qui étaient en fait des îles.
- L’origine du mot : d’Atlantique et des canaux souterrains entre l’Égypte et le Maroc (Atlas).
- Le monothéisme a toujours existé en Égypte. La confusion viendrait d’une mauvaise traduction du 19 ième siècle.
- Elle discourt sur l’invasion des Hyksôs et leur influence sur l’Égypte. Sur les taureaux sacrés.
- Sur l’esclavage des Juifs : le peu qu’elle sait, il n’y avait pas d’esclavage. Mais elle n’est pas spécialiste de cette période.
- Sur Thot et le Maât : philosophie. Il y aurait eu plusieurs Thot.
- Elle parle de la couronne d’Osiris qui n’a jamais été retrouvée.
- L’étymologie est très important pour comprendre l’Égypte ancien : le grec ancien, le latin, mais surtout le grec d’Orient, celui des Spartiates, et des peu de gens le connaissent. Il contiendrait 45 % d’Égyptien. Une connection.
- Elle parle de différents pyramidion.
De 2H30 à 2H45 :
- En haut sur la pointe de la pyramide, de l’électrome, : un phénomène électrique vécu par un industriel allemand du 19 ième siècle. Un éclair. Aujourd’hui, c’est interdit de monter en haut de la pyramide.
- Sur Cléopâtre : sa dernière résidence. Ses amours. Suicide ou suicidée ? Pas de tombe trouvée jusqu’à maintenant.
- Sur la cavité secrète du cœur : les anciens Égyptiens plaçaient le cerveau dans le cœur. Très attachés au ressenti, aux émotions. Ce que tu amenais au Ciel, c’était le cœur, ses connaissances. Beaucoup de tribues amazoniennes, indiennes, dans les Védas aussi, une place où se réfugier en méditation, un endroit où est l’étincelle de vie. Des textes en parlent. C’est physique.
- Il y avait un service au Temple obligatoire à une certaine époque pour les garçons et les filles.
- Sur les prêtres et le pouvoir.
- Sur le Temple d’Amon où sont venus Alexandre le Grand et Napoléon.
- ISIS : récupération, détournement des valeurs, des mystères égyptiens, dont le culte solaire. Comme une certaine église détourne les principes du Christ, de Jésus.
De 2H45 à la fin :
- Sur un possible lien génétique entre la monarchie anglaise, l’élite mondiale et les anciens Égyptiens. Des femmes celtes, et non anglo-saxonnes, auraient épousé des pharaons.
- Sur les géants : on en parle dans des textes arabes mentionnés au début de l’entrevue. On en parle partout.
- Un lien entre l’Égypte ancienne et les Berbères. Le culte d’Isis se retrouve même dans le cœur de l’Afrique noire, notamment au Congo, le long du fleuve qui serait le même fleuve que le Nil. La tradition orale en témoigne de même qu’en Europe de l’Est.
- Toutânkhamon : causes de sa mort ? Histoire de la malédiction ? Une prière pour éviter les mauvais esprits.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Antoine Gigal / Égypte
...Cette antique sagesse avait fleuri d'abord à l'époque postatlantéenne dans l'Inde antique, puis chez les Perses et chez les Chaldéens et les derniers restes en subsistaient chez les trois Mages.
Mais ces deux facultés nous les avons perdues au cours de la cinquième période postatlantéenne...
...Notre cinquième époque a dépassé le milieu de cette évolution, et c'est pourquoi elle doit découvrir des horizons nouveaux. Mais d'abord le Christ doit être compris par notre temps.
Nous verrons comment le retour de l'ère Égyptienne à notre époque va être le point de repère qui nous permettra de voir comment nous pouvons acquérir la conscience de l'avenir...
...La force christique surmonte aussi la tendance à s'unir à travers le temps à l'âme-groupe des générations. Isis est l'âme du peuple Égyptien. Pharaon est le fils d'Isis et d'Osiris. Les ancêtres rassemblent et dispensent les trésors spitituels et sont les 42 juges des morts : ce qui est dû à l'hérédité doit être cultivé dans le monde physique. Réapparition dans notre temps de ce que l'âme a vécu autrefois entre la mort et une nouvelle naissance....
Rudolph Steiner - Mythes et mystères égyptiens - conférences à Leipzig, septembre 1908
DOSSIER ANTON PARKS : Les Dieux d'Égypte
Ben oui, je me suis lâché lousse et je suis allé au cinéma en fin d'après-midi voir le film Les Dieux d'Égypte. C'était un incontournable, comme pour Star Wars avant les Fêtes. Sinon, je vais rarement au cinéma.
Bon. Il faut critiquer un film pour ce qu'il est et non pas sur ce qu'on voudrait qu'il soit. Et je l'ai aimé pour ce qu'il est. Car il n'est pas ce que j'aurais aimé qu'il soit. Mais je m'y attendais.
Le film a le mérite d'amener à l'avant-scène les personnages de l'Égypte prédynastique. Je pense que c'est une première. Ça fait différent des héros du panthéon grec qu'on a vu ad nauseam jusqu'ici. De toute façon, de mon point de vue, ce sont les mêmes « dieux » mais sous d'autres appellations. C'était donc intéressant pour une fois de voir les « originels » en action. Somme toute un bon divertissement avec de l'action et des effets spéciaux. Alors on a pris les grands moyens pour attirer le regard des jeunes vers l'Égypte.
À un certain niveau, serait-ce un présage du retour des « dieux » ? Je suis surpris de cette production. Je ne m'y attendais pas du tout. Quand le teaser, la bande annonce avait sorti, j'avais été un peu sous le choc, mais agréablement surpris. Un film d'Égypte qui ne parle pas des pharaons ou de momies, faut le faire ! En espérant que d'autres productions suivront, un peu plus relevées et consistants.
Quoi qu'il en soit, au début du film, j'ai eu l'impression de me retrouver davantage en Atlantide qu'en Égypte. Curieuse d'impression...
Les « dieux » sont disproportionnés par rapport aux humains comme Gandalf l'est avec les Hobbits. Alors, ça donne des scènes surréalistes, un peu comme dans Le Seigneur des Anneaux.
Malheureusement, on a priorisé le côté mythique plutôt que le côté historico-religieux malgré ce que l'on sait aujourd'hui de l'Égypte et de l'archéologie interdite. Donc. l'œil d'Horus, Apophis, le Sphynx, la Grande Pyramide, ne sont que prétexte à effets spéciaux.
En ce sens, le film La Porte des Étoiles avait évité de tomber dans cette facette. C'est intéressant de pouvoir embarquer dans le film jusqu'à la fin et d'y croire sans que certaines scènes viennent dégonfler le gâteau en train de cuire et de prendre forme sous nos yeux.
Mais je suis heureux d'y avoir été et je vais me procurer le DVD lorsqu'il sera en spécial d'ici quelques années.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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DOSSIER ANTON PARKS : La Dernière Marche des Dieux
J'ai reçu ce matin mes deux livres commandés par internet voilà une dizaine de jours. Très heureux et très satisfait de pouvoir poursuivre ma lecture des livres d'Anton Parks. Car, en créant sa propre maison d'édition, ces deux livres ne pouvaient être commandés à partir d'une librairie québécoise n'étant pas distribué au Québec/Kebek.
J'entame donc la lecture de son troisième essai :
LA DERNIÈRE MARCHE DES DIEUX
de l'Atlantide à Abydos
Lien : http://www.antonparks.com/main.php?page=dernieremarche
Extraits :
Extrait #1. Surpris. Nous le sommes de nouveau avec ce dernier opus de l'auteur des Chroniques du Girku. Il confirme une fois de plus qu'aucun de ses bouquins ne se ressemble... Avec un style assez léger bien que déployant une trame narrative parfois grave, Anton Parks nous entraîne avec La Dernière Marche des Dieux sur les pas des survivants de l'archipel atlante. Ensemble d'îles qui, selon toute vraisemblance, se seraient situées exactement là où Platon les avaient localisées il y a près de 2500 ans dans ses célèbres textes du Timée et du Critias. Il n'en demeurerait guère aujourd'hui que les Canaries et les Açores. Ce troisième essai n'aurait pu contenir que les traductions égyptiennes de la première partie qu'il n'en aurait pas été moins fameux. Mais l'auteur est allé plus loin, pour notre plus grand plaisir...
Que dire de la traduction de ces textes ? Ils sont reconnus, d'une part, puisque visibles à qui le souhaite sur les murs du temple d'Edfu (dédié au souverain Horus) et réputés être de la main même du dieu de la Sagesse, Thot. Ce qui nous fascine, d'autre part, est la capacité de Parks à s'accaparer une langue antique afin de nous fournir des traductions souvent inédites de ces innombrables textes - dont la traduction définitive ne sera terminée par l'archéologie officielle que d'ici plusieurs années. Travail monumental, pour ne pas dire mégalithique - et d'une rare honnêteté intellectuelle -, qui en rebuterait plus d'un, mais pas notre spécialiste de l'Orient ancien ! Que disent donc ces hiéroglyphes ? Pas moins que ce que l'auteur a déjà évoqué dans sa série des Chroniques du Girku (notamment le Tome 3, le Réveil du Phénix), à l'exception près que ce n'est plus là l'évocation de souvenirs mais bien des récits « palpables » et gravés dans la roche. Une validation de plus qui va dans le sens des informations apportées par Parks depuis 2005. Les écrits de Thot évoquent la vie en Amenti, les conflits qui opposent les clans des dieux Horus et Seth, les passages de l'Oeil du Son destructeur (Vénus) et les reconstructions qui en découlent ainsi que la marche qui conduira les rescapés de l'archipel mythique vers Abydos, la ville sacrée d'Osiris qui illuminera l'Égypte entière. Ces traductions ne sont pas livrées telles quelles mais encore une fois complétées par des preuves géologiques, anthropologiques, archéologiques et linguistiques qui valident ce scénario historique.
Dans la seconde partie de l'ouvrage, des tranches de vie de personnages associés aux découvertes réalisées à Abydos (débutant au 18ème siècle et se prolongeant jusqu'à nous), s'entrecroisent dans une mécanique dont seul le Destin a le secret. L'engagement et la persévérance de l'archéologue Emile Amélineau, persuadé de l'existence historique d'Osiris, sont exaltants. La vie entière de Dorothy Eady, réincarnation supposée d'une prêtresse d'Isis aux temps de Sethy 1er, est un hymne à l'Amour éternel. Les mots d'Anton Parks ont su rendre un vibrant hommage à cette grande dame. Autodidacte qui a su, non seulement, s'imposer à l'Égyptologie par ses divers talents (linguistiques, artistiques, ...) et son abnégation à sortir la brillante Abydos de sa torpeur millénaire, mais qui nous touche aussi de par son renoncement à la vie matérielle occidentale et son dévouement quasi sacrificiel à la ville d'Osiris et à ses habitants.
L'essai se conclut en toute beauté avec la révélation de l'identité de Moïse, qui, à l'époque d'Akhenaton planifia son propre exil du royaume d'Égypte accompagné de sa caste cléricale. Il poussa la trahison envers son pharaon jusqu'à lui dérober notamment de saintes reliques du dieu Osiris. Artéfacts aux propriétés « surnaturelles » (pour ne pas dire technologiques) qui lui permirent d'assoir son pouvoir sur sa communauté et s'assurer d'écrire le mythe fondateur pour tout un peuple en devenir...
Dans la Dernière Marche des Dieux, nous sommes donc transportés à une époque finalement pas si lointaine où les dieux foulaient encore la Terre. Ici, celle de l'Égypte antique, contrée dont les mystères s'évaporent à mesure qu'Anton Parks rédige ses ouvrages. Et dans ce dernier, comme dans les cinq précédents, vous obtiendrez nombre de révélations une fois de plus inédites impliquant des répercussions considérables sur notre connaissance du passé.
onnouscachetout.com, mars 2014
Extrait #2. L'Égypte a fortement influencé l'Europe et le monde occidental par le truchement de l'empire gréco-romain. Notre passé puise naturellement ses sources dans sa culture et sa religion. Parmi les religions orientales, l'égyptienne était la plus répandue auprès des peuples de l'Occident, notamment des Grecs. Une connivence évidente existe entre l'Égypte et la Grèce depuis l'antiquité. A partir de l'époque hellénistique, un mariage spirituel s'installa entre les deux nations, dont Alexandrie fut le foyer idéologique indéniable. Dans sa grande bibliothèque (de 288 av. J.-C. à 642 de notre ère), devaient se trouver les écrits de Plutarque, de Strabon et même de l'antique Platon. La majorité de ces textes, comme Isis et Osiris, Géographie XVII ainsi que le Timée et le Critias, tirent leur inspiration de la pensée égyptienne ; dès lors, on imagine avec quelle simplicité les concepts égyptiens ont pu se diffuser grâce à la culture grecque et se répandre dans le monde occidental via Alexandrie.
Lorsque l'on évoque l'Atlantide, les plus attentifs d'entre nous se souviennent que la légende grecque attribue cette version à un prêtre de l'Égypte antique. De nombreux spécialistes et admirateurs de l'Égypte ancienne évoquent ici et là l'existence d'une Atlantide égyptienne - ainsi que la "véritable histoire de l'Atlantide" - sans pour autant nommer la source de cette information, ni même son contenu. Inutile de faire durer le suspens plus longtemps, cette version se trouve simplement et exclusivement sur les murs du temple d'Edfu en Haute-Égypte.
Extrait #3. Platon tirait son histoire de l'Atlantide du récit de son élève Critias, lequel la découvrit dans un manuscrit inédit de son ancêtre Solon, le grand légiste et fondateur de la constitution athénienne. Critias rapportait que la légende avait été ramenée en Grèce après la visite de Solon en Égypte du Nord, et particulièrement à Saïs dans le delta du Nil. Cela se passait entre 593 et 583 avant J.-C.
Platon racontait que le conte traduit de l'égyptien par Solon trouvait son origine dans le langage primitif des Atlantes. Crantor, le premier commentateur de Platon, rapporta que l'histoire de l'Atlantide, version égyptienne, était présentée à ses contemporains grecs par les prêtres égyptiens. Ces derniers affirmaient que la légende était inscrite sur les murs de plusieurs temples, comme celui d'Edfu construit plus tardivement. Si cette information est exacte, il semble bien que seule la version du temple d'Edfu ait survécu dans toute l'Égypte ! Cette dernière est récente de plus de 450 années comparativement aux textes de Platon. Cependant, cette variante d'Edfu est à la fois si différente et si archaïque dans son style, qu'elle semble clairement plus ancienne que la traduction égyptienne hellénisée et romancée par Platon.
Le récit gravé à Edfu est attribué au dieu Thot en personne (cf. E.VI, 181,10) et reproduit sur les murs du temple à partir d'anciens papyrus manifestement perdus. Il s'agit incontestablement des mythiques tablettes ou registres de Thot. Lorsque l'on évoque les textes de Thot, on pense généralement aux Tablettes d'Émeraude ou autres écrits, dont nous ne connaissons aucunement la provenance, ni même l'authenticité. En revanche on ne peut douter du sérieux de ces gravures que chacun peut observer sur les murs de ce temple.
Cette composition prestigieuse, répartie en plusieurs copies plus ou moins complètes sur les murs du temple d'Horus, est communément intitulée La Cosmogonie ou la Genèse d'Edfu ou tout simplement Les Textes des Bâtisseurs. Plusieurs registres (section E.VI) composent cette cosmogonie de l'Égypte essentiellement gravée sur les faces internes des deux murs d'enceinte (parois est, nord et ouest) et sur l'encadrement des portes du passage I'J1. Une étude remarquable sur ce sujet fut éditée en 1969 par l'égyptologue Eva Anne Elyzabeth Reymond. Son ouvrage s'intitule : The Mythological Origin of the Egyptian Temple.
Extrait #4. Nous allons tenter d'y voir plus clair avec les quelques éléments malheureusement fragmentaires décryptés à ce jour. La traduction complète de la genèse d'Edfu effectuée par Mme Reymond n'apparaît pas dans son étude et n'a jamais été publiée. En page 11 de son ouvrage, elle explique : "Traductions et commentaires des sources principales de notre étude ne sont pas inclus dans le présent travail parce qu'une étude philologique proprement dite de ces textes demanderait un volume considérable et un prix élevé. Vu l'importance de ces textes, il a été cependant jugé utile, pour le moment, de réaliser un résumé détaillé des documents principaux de la cosmogonie d'Edfu".
L'unique et le remarquable de ces documents résident dans le fait qu'ils sont parfaitement inédits. On ne les retrouve qu'à Edfu. Ainsi les précieuses inscriptions de ce temple nous permettent plus ou moins la reconstitution de manuscrits, peut-être à jamais perdus, telle cette Description des Monticules Sacrés au Commencement de l'Âge Primordial. Ils étaient probablement archivés parmi les rouleaux de la grande Bibliothèque d'Alexandrie dont on connaît la funeste disparition.
Il n'existe pour l'heure aucune traduction complète et fidèle de la section E.VI du temple d'Edfu. L'université d'Hambourg (Archäologisches Institut der Universität Hamburg) se charge du projet de traduction depuis de nombreuses années pour le compte de "Das Edfu Projekt". Alors que je rédige ces lignes, la traduction des sections E.V et E.VI se poursuit encore. Ce travail s'étend sur une durée de 12 années (de 2004 à 2016).
A défaut d'une interprétation intégrale de ces textes, nous tenterons de recomposer cette histoire avec les éléments préalablement décryptés, ajoutés à ceux que j'ai modestement déchiffrés et interprétés. Par ordre d'importance, les documents traitant de ce sujet et qui m'ont servi de base, sont les suivants :
Le Livre du Commencement de l'Âge Primordial des Dieux et Le Livre de la Description des Monticules Sacrés au Commencement de l'Âge Primordial :
- Émile Chassinat, Le Temple d'Edfou - tome sixième, le Caire, Institut français d'archéologie orientale, 1931. (Transcription complète de la section E.VI en hiéroglyphes) + extraits du quatrième tome pour les passages E.IV, 358,9 à 359,3.
- Eva. A. E. Reymond, The Mythological Origin of the Egyptian Temple, Manchester University Press, 1969. (Etude quasi complète du Livre du Commencement de l'Âge Primordial des Dieux et du Livre de la Description des Monticules Sacrés au Commencement de l'Âge Primordial, mais sans la traduction).
- Maurice Alliot, et André Barucq, Les textes cosmogoniques d'Edfou d'après les manuscrits laissés par Maurice Alliot, BIFAO 64, 1966. Traduction partielle du Livre du Commencement de l'Âge Primordial des Dieux. Parties traduites de 181,10s à 185,2, soit 17 registres sur les 21 que compte ce livre cosmogonique.
- Sylvie Cauville, Essai sur la théologie du temple d'Horus à Edfou, volumes 1 et 2, Institut français d'archéologie orientale, 1987. (Etude sur l'ensemble des textes).
- Nathalie Baum, Le temple d'Edfou, éditions du Rocher, 2007. (Etude sur le temple et ses textes).
- Jon, D. Singer, La filière égyptienne aux sources de l'Atlantide de Platon (1980) in magazine Khadath n°62, 1986. (Etude sur le livre de Reymond).
- François Dumas, E. A. E. Reymond. The Mythological Origin of the Egyptian Temple, In Revue de l'histoire des religions, tome 198, n°2, 1981. (Petite étude sur le livre de Reymond).
Le Livre du Disque Ailé :
- Émile Chassinat, Le Temple d'Edfou - tome sixième, le Caire, Institut français d'archéologie orientale, 1931. (Transcription complète de la section E.VI en hiéroglyphes).
- Henrich Brugsch, Die Sage von der Geflügelten Sonnenscheibe nach altägyptischen Quellen, Göttingen, in der Dieterichschen Bruchhandlung 1870.
- Wallis Budge, Legends of the Gods, (The Egyptian Texts, edited with translations), Kegan Paul, Trench, Trübner & Company, Limited, London.
Grâce à ces différents documents, j'ai pu reconstituer les registres de Thot inscrits sur les parois I'O, I'N et I'E du temple d'Edfu. J'ai eu recours à la transcription originale d'Émile Chassinat, datée de 1931, afin de traduire à la source et de vérifier les passages déjà interprétés par mes prédécesseurs. La difficulté majeure à laquelle je me suis heurté est l'orthographe de certains hiéroglyphes dont l'interprétation peut porter à confusion. Ces textes possèdent, en effet, différents niveaux de lecture. Seuls des "initiés" pouvaient les déchiffrer convenablement.
Extrait #5. "Copie de l'oeuvre de Thot, selon les Sages de Uâret : on l'appelle le Livre du Commencement de l'Âge Primordial des Dieux".
E.VI, 181,10-11
"L'oeil du Son tomba [et s'étendit] sur les flots. Issu d'un désastre, il créa le déluge et la vague du combat. Lorsque la lumière apparut de nouveau et que les eaux primordiales Uâret resplendirent, Wa et A'â, les deux créatures divines et compagnons du Coeur Divin, émergèrent des flots stabilisés. Elles se dirigèrent vers l'île obscure Yu-Titi (l'île du piétinement), à laquelle étaient adjointes deux autres îles principales : Yu-Hetep (l'île de la paix) et Yu-He (l'île du Combat). Les deux compagnons étaient les chefs du groupe dénommé les Shebitiu. A leur arrivée, les deux compagnons découvrirent des roseaux aux abords des eaux primordiales et la lance plantée du dieu Heter-Her (Horus l'ancien). A cette place, ils fabriquèrent leur demeure Ges-Uâret (la frontière des eaux primordiales), à l'emplacement de celle du dieu Bon (Ptah-Osiris) qui était désormais à l'instant du midi [dans le ciel]".
E.VI, 181,11-15
Extrait #6. "Une île merveilleuse apparut ; 'Horus sanctifié' est le nom de sa cité. Il est notre seigneur Neb-Heru. (Il) vint pour formuler le mot [créateur] et le nom fut prononcé [...]. 'Le nom est celui-qui-créa-la-région, le nom est Râ, le nom est Horus-Râ', dirent les Shebitiu. Le soleil toucha de nouveau les eaux et la butte sacrée - l'endroit du massacre des ennemis. Parmi les terres ressurgirent trois domaines. Ces trois terres appartenaient au grand mont primordial sorti des flots. De hauts monticules dénommés "la place où les ennemis furent réduis à néant", "le territoire de l'Ancêtre" et "le pays de celui qui est grand en arme". Tels furent leurs noms donnés à cette époque".
E.VI, 182,11-15
Extrait #7. "En l'an 363 de sa Majesté Râ, le Sacré, - le Faucon de l'Horizon - l'Immortel Éternellement Vivant, s'en fut allé dans le pays de Khenn (la Nubie). Il était accompagné de ses guerriers, car les ennemis avaient comploté contre leur Seigneur dans la région que l'on nomme depuis Ua-Ua (un domaine au nord de la Nubie).
Râ s'était mis en route dans son vaisseau avec ses Suivants. Il débarqua dans la région du Lieu du Trône d'Horus (Edfu), dans la partie occidentale de la région, à l'est de la Maison de Khennu, la royale ainsi nommée depuis ce temps-là. Horus-Behutet, vint sur le bateau de Râ. Il dit à son ancêtre : 'Ô Faucon de l'Horizon, j'ai vu l'ennemi conspirer contre ta Seigneurie (pour s'emparer) de ta Couronne de Lumière'.
Alors Râ, l'Auguste, le Faucon de l'Horizon, dit à Horus-Behutet : 'Noble descendant du Soleil, mon enfant : Presse-toi, renverse l'ennemi que tu as vu'. Alors Horus-Behutet, s'envola haut vers le soleil dans le Disque Ailé : voilà pourquoi, depuis ce jour, on le nomme "Grand Dieu, Seigneur des Cieux".
Du haut du ciel, dans le Disque Ailé, il vit les ennemis et s'approcha d'eux par derrière. Ainsi, il lâcha sur eux une telle force terrifiante, si bien que leurs yeux ne purent voir, ni leurs oreilles entendre. En un instant, il amena la mort sur chacun : pas un ne survécut !
Alors Horus-Behutet, apparut dans le Disque Ailé brillant [multicolore], et il revint au vaisseau de Râ, le Faucon de l'Horizon. Et Thot dit à Râ : 'Ô Seigneur des dieux ! Horus-Behutet est revenu dans le grand Disque Ailé brillant'. C'est pourquoi, depuis ce jour, on l'appelle 'Behutet'. Et depuis cette journée aussi, on appela la cité de Hut-Behutet, à cause d'Horus-Behutet.
Râ enlaça son 'double'. Râ formula à Horus-Behutet : 'Tu as projeté les gouttes de sang dans l'eau. Que ton coeur soit satisfait pour cela'. Pour cette raison, le canal de Horus-Behutet fut nommé [...] depuis ce jour. Et Horus dit : 'Avance, ô Râ ! Vois tes ennemis couchés en bas, sur terre !'. Alors Râ, le Sacré, fit route vers l'avant : la planète Vénus l'accompagnait."
E.VI, 109,9 - 112,4
"Ensuite les ennemis se dressèrent devant lui au bord de le détroit encombré. Leurs visages étaient tournés vers la région maritime et la mer arrière de Uatch-ur (la Méditerranée). Ils voulaient l'atteindre à la voile, mais le dieu frappa leurs coeurs et ils s'enfuirent et disparurent dans les eaux de la région des îles de l'Amenti (l'Atlantide). Ils se rassemblèrent dans les eaux des îles afin de retrouver les ennemis (qui servaient) Seth et qui se trouvaient dans cette région. Horus-Behutet, équipé de toutes ses armes de guerre pour la lutte, les poursuivait sur le détroit encombré."
E.VI, 118,1-4
Extrait #8. Extrait du chapitre 2 de la 6e partie : -3114 / 2012, le début et la fin :
Aux alentours de 3200 et 3000 ans av. J.-C., sans aucune raison apparente, le monde se réveille d'un long chaos et l'histoire marque ses premiers pas d'une empreinte indélébile encore visible dans le sol. Cette époque manifeste les premiers arts et les premières civilisations historiques. Au-delà, nos livres d'histoire ne mentionnent rien, si ce n'est cette éternelle et énigmatique préhistoire qui débuta avec la naissance de l'homme dont les experts ont toujours beaucoup de mal à définir la date d'apparition. Ainsi, entre 3200 et 3000 ans av. J.-C., sous une énigmatique impulsion d'une durée de deux à trois siècles seulement, et sans aucune logique explicable scientifiquement, le monde se réveille de nulle part et les premiers rois historiques commencent à régenter le genre humain d'Égypte à Sumer...
Si l'on en croit les manuels d'histoire, des arts et des techniques totalement révolutionnaires et inédits apparaissent déjà formés "à partir de rien". Parmi les nombreuses révolutions culturelles et civilisatrices de cette époque-clé, nous pouvons noter l'apparition de la roue qui fait franchir à l'humanité un pas de géant. Elle révolutionne les transports, les déplacements et l'art du combat. Sans conteste, elle ouvre la voie au développement des communications et des échanges. Sa mise en service semble commencer en Ancien Orient. Sa plus ancienne représentation parvenue jusqu'à nous provient de la gravure d'une tablette du temple d'Inanna à Erech (Sumer) où l'on voit un chariot à deux roues. On date cet objet entre 3200 et 3100 avant notre ère.
A la même époque, apparaissent entre l'Égypte et Sumer, le clou, la scie et la soudure. Les premiers hiéroglyphes officiellement retrouvés datent de cette même période. L'archéologue allemand Günter Dreyer les découvre en 1988 dans la tombe Uj d'Umm el-Qaab. Près de 190 artéfacts en os, en bois et en ivoire sont mis au jour. Ils forment les premiers hiéroglyphes connus. L'écriture cunéiforme sumérienne fait son apparition sensiblement au même moment. Toujours vers 3100 av. J.-C., apparaissent également les plus anciens instruments de musique comme la flûte et la harpe. La poterie était déjà présente, au moins depuis le huitième millénaire avant notre ère, mais le tour du potier ne se manifeste que vers -3000 en Égypte.
A cette époque, l'humanité passe de la hutte à la cité et aux transactions commerciales dans l'Ancien Orient. Les premiers vignobles entretenus par l'homme se retrouvent encore dans cette tranche d'âge ainsi que le parfum. La domestication des abeilles en Égypte date également de cette période. La mesure du temps apparaît avec les premiers outils sophistiqués et les villes. En ces temps incroyables, nous pouvons également mentionner l'utilisation de l'araire et de la charrue, l'utilisation intensive des premiers instruments en cuivre et en bronze, l'invention du savon, de l'épingle, du miroir... Que s'est-il passé ?
***
Située à 1,7 km au nord d'Umm el-Qaab, se dressent les restes d'enceintes en briques crues des enclos funéraires de Kom el-Sultan (la colline du Sultan) découvertes par Mariette dans les années 1860. Émile Amélineau les associait très justement à Osiris. Ces structures sont aujourd'hui encore énigmatiques en raison de leur mauvais état de conservation. Le site fut ensuite fouillé par Flinders Petrie et T. Eric Peet au début du siècle dernier. Depuis 1986, le Pensylvania-Yale-Institute of Fine Arts l'étudie sous la direction de David O'Connor.
En 1991, David O'Connor fait la fantastique découverte de 12 énormes bateaux ancrés dans le désert, le long du mastaba ouest et de l'enceinte du roi Khasekhemwy. Depuis cette date, on trouva deux autres navires, ce qui rallonge la liste à 14 bateaux, soit le nombre sacré d'Osiris. La découverte d'embarcations n'est pas inédite en Égypte, de grandes barques se trouvent à Saqqarah, près des tombes fictives des premiers rois historiques, et aussi dans les cimetières d'Helwan. Ces navires forment généralement des barques funéraires prêtes à embarquer les âmes des souverains pour les aider à traverser l'éternité lors de leur dernier voyage. La grande différence entre les embarcations d'Abydos et les barques funéraires déjà connues, se trouve dans leurs tailles plus imposantes. Leurs proues et leurs poupes démesurées créaient également la grande distinction avec les traditionnels navires funéraires. De plus, les barques d'Abydos ne sont aucunement associées à des rois. En fait, leur utilisation reste, à ce jour, un mystère complet.
Les barques d'Abydos s'étalent sur le sable de façon régulière, les unes à côté des autres le long du mur de l'enceinte du roi Khasekhemwy. David O'Connor note que d'un point de vue stratigraphique, les navires abydiens sont plus anciens que l'enceinte elle-même ; découverte d'ailleurs confirmée lors de la datation des embarcations. Les longueurs des embarcations varient entre 18 et 24 m et chacune d'entre elles se cale dans une tranchée en brique d'une moyenne de 26,25 m de long, revêtue d'une épaisse couche de plâtre et blanchie à la chaux. Quoi que mal conservées et leurs bordages endommagés par les termites, nous savons que les coques, d'une soixantaine de centimètres de profondeur, s'enfilent en mortaise par des cordages tandis que les planches en bois sont tapissées de roseaux. Il s'agit d'une technique totalement inconnue pour les navires égyptiens.
La fabrication de ces embarcations ne relèvent pas de simples maquettes ou de barques fictives puisqu'elles pouvaient naviguer et contenir jusqu'à trente rameurs. Les derniers relevés nous indiquent une datation vers 3000 av. J.-C., ce qui accorde à ces bateaux la place de plus anciens navires au monde retrouvés à ce jour. Pourquoi ces 14 embarcations furent-elles ancrées à Abydos, domaine sacré de Khentamentiu-Osiris, précisément vers -3000, donc à l'époque où la civilisation se réveilla un peu partout, et particulièrement dans l'Ancien Orient ? Le fameux calendrier maya va nous donner la réponse. [...]
Extrait #9. Extrait des chapitres 1 et 3 de la 6e partie : Moïse, voleur et parjure :
1. La documentation en cunéiforme d'Amenhotep III et d'Akhenaton
On a retrouvé nombre de documents importants dans le sol amarnien. L'ancienne cité d'Akhenaton renfermait des correspondances royales inscrites sur des tablettes rédigées en cunéiformes akkadiens, langue diplomatique et commerciale de cette époque. En 1887, après la découverte des premières tablettes, des fouilles clandestines envahirent le site. En un an, on estime à près de 200 tablettes vendues sur le marché noir au Caire. Par chance pour l'histoire, quelques-unes parvinrent à des musées étrangers.
Ces tablettes d'argile, rédigées en cunéiformes, se composent principalement en missives échangées entre la cour royale égyptienne et leurs vassaux du Proche-Orient ainsi que leurs alliés de Babylonie et d'Assyrie. Elles ne représentent qu'une partie des archives royales, le reste étant perdu ou détruit depuis longtemps. Malheureusement, les réponses du côté égyptien ayant pratiquement toutes disparues, nous ne disposons que des correspondances envoyées à l'attention d'Akhenaton et son père Amenhotep III par leurs différents sujets ou alliés des nations voisines.
Extrait #10. La plupart de ces lettres illustrent la situation politique de cette époque, alors que les Hittites menaçaient les villes-états de la Syrie. Ces derniers font appel aux renforts de l'Égypte, en vain. Concernant la documentation sur la Palestine, les tablettes font état de conflits locaux au cours desquels les différentes parties sollicitent l'intervention des Égyptiens. Il semble qu'Amenhotep III soit resté sourd aux diverses requêtes de ses vassaux. Sans doute ne se soucia-t-il guère de prendre parti pour des gens qui continuaient de toute façon à reconnaître la souveraineté et le protectorat égyptien. La situation était très grave et marqua le début d'un déclin incontestable du prestige égyptien. Les négligences d'Amenhotep III laisseront à son fils un empire où le désordre régnait déjà. L'histoire et les archives de El-Amarna nous apprennent qu'Akhenaton ne fera guère mieux par la suite.
Les archives sur argile de la cité du soleil se divisent de cette façon : 350 documents constituent la correspondance royale et une trentaine d'autres textes forment un type littéraire où se mêlent documents historiques et mythologiques. Dans cette dernière catégorie se trouvaient des fragments du mythe de Nergal et Ereshkigal, une version de la légende d'Adapa (fragment B) et une copie du texte historique "Sargon, roi de la bataille". Ce dernier document relate une campagne menée par Sargon en Anatolie, contre la ville de Purushanda. La naissance de Sargon d'Akkad possède plusieurs points communs avec celle de Moïse, Nombre de lecteurs et chercheurs le savent.
Akhenaton était une personne très cultivée. Nous pouvons prévoir que d'autres textes fondamentaux de l'ancienne Mésopotamie se trouvaient dans sa capitale. Les documents trouvés à El-Amarna ne forment que des miettes appartenant à l'ancienne bibliothèque royale.
3. El-Amarna
La transition entre Amenhotep III et Amenhotep IV (Akhenaton) crée aujourd'hui encore un fossé entre les historiens. Y a-t-il eu corégence entre le père et le fils ou bien Tiyi, la femme du pharaon, se chargea-t-elle de régner le temps de transmettre à son fils la science de l'autorité royale ? Un bas-relief du troisième pylône du temple d'Amon-Râ (Luxor) représente le père et le fils couronnés, participant aux fêtes jubilaires. La seconde possibilité semble très probable également. Plusieurs documents le suggèrent, comme par exemple une lettre du roi Tushratta du Mitanni (Haute Mésopotamie) adressée à la reine égyptienne. Un début de corégence eut probablement lieu lorsque Tiyi prit la relève après la disparition d'Amenhotep III. Tiyi connaissait tous les secrets d'état et elle seule pouvait diriger le pays ; elle transmit certainement tout son savoir au jeune roi.
La transition se fait donc à la cour royale de Memphis. Râmosé, au service Amenhotep III depuis trente ans, doit poursuivre son oeuvre auprès du jeune fils. On ne lui donne sans doute pas le choix. Dès la troisième année de son règne, le futur Akhenaton entreprend d'introduire des modifications importantes dans l'iconographie cultuelle en adoptant des figures tout à fait inhabituelles qu'il place dans tout le pays. Ces transformations apparaissent de façon publique à l'occasion de la célébration de son jubilé Heb-Seb. Traditionnellement, un tel jubilé se célèbre après 30 ans de règne, mais Amenhotep IV en décrète autrement, nous n'en connaissons pas les raisons.
Lors de cette fête, le roi doit redresser symboliquement le pilier Djed renversé par Seth lors de l'assassina de Ptah-Osiris. Le Djed assure l'équilibre d'où son nom Djed ("stabilité" et "durée"). Ce rituel très ancien renouvelle l'acte d'Horus signalé dans les textes de Thot à Edfu. On se souvient que la destruction des piliers Djed dans l'ancienne Amenti (Atlantide) provoqua sa destruction. En redressant ou restaurant le pilier originel, le roi assure ainsi la prospérité et la protection au pays tout entier. Par ce geste, le souverain reproduit aussi un rite millénaire très sacré. Lorsque le roi Akhenaton effectue ce rituel réalisé quelques années à peine après son père, il ne se doute pas un seul instant que son geste va marquer le début de sa propre perte [...].
Extrait #11. A partir de ce jubilé, le jeune roi voue un culte fervent au soleil Iten (Aton). En un premier temps, le culte des anciens dieux n'est pas remis en cause, mais plutôt son fonctionnement et celui du clergé d'Amon. La crise éclate véritablement en l'an V de son règne, lorsque Aménophis IV remplace son nom en Akhenaton ("celui qui plaît à Aton"). A la même époque, il choisit de construire sa nouvelle capitale consacrée à Aton, située à 450 km au Nord de Thèbes, en plein désert.
El-Amarna, plus simplement, Akhetaton ("l'Horizon d'Aton"), forme une cité du Soleil édifiée au milieu de nulle part. Akhenaton souhaite créer un nouveau culte où tous les Grands Mystères anciens doivent se dévoiler à la lumière. Les temples à ciel ouvert de sa capitale proclament la lumière naissante de chaque jour. L'ensemble du site ne dispose d'aucune muraille. Sur pratiquement tout le domaine, les habitations des riches et des pauvres partagent le même sol. En fait, toutes les classes de la société amarnienne résident côte à côte. La cité d'Akhenaton abrite une multitude d'ouvriers, de marchands, de notables et de courtisans.
En à peine plus de deux années seulement, le gros oeuvre de cette gigantesque métropole de 9 km de long sur 1 km de largeur s'élève à l'écart de tout. Dès lors, cet ouvrage titanesque plonge l'Égypte et son clergé dans la confusion la plus totale. Akhenaton s'y installe avec sa famille et tous les nobles en l'an VI de son règne, soit un an après le commencement des travaux. Trois ou quatre ans après sa fondation, El-Amarna fourmille déjà d'une population que l'on estime à 20.000 personnes au minimum. L'égyptologue et chercheur Joseph Davidovits pense qu'Akhenaton utilisa l'ancienne technique de la pierre agglomérée (Biat-inir) pour effectuer ce prodige. 700 ans avant Akhenaton, cette méthode est mentionnée sur la stèle C14 du Musée du Louvre, par les paroles d'un sculpteur dénommé Irtysen : "Je connais les parties appartenant à la technique du moulage (à l'aide) d'un fluide qui durcit (de pierre coulée)... Je connais comment fabriquer des moules pour faire des reproductions d'objets coulés dans un matériau qui n'est pas brulé par le feu ni dissout par l'eau...". Akhenaton utilise un procédé millénaire depuis longtemps négligé par les ouvriers et les prêtres d'Amon. Son père Amenhotep III avait toutefois réintroduit le concept, mais de façon modérée. Les textes sacrés attribuent cette méthode au dieu Khnum, double de Ptah-Osiris, créateur, artisan et potier du monde et de l'humanité. En abandonnant le granit au profit de la pierre quartzite agglomérée, Akhenaton réintroduit le culte de la pierre miraculeuse des constructeurs de pyramides. Il souhaite un retour à l'incarnation divine dans l'aggloméré. Selon Davidovits, le granit taillé dans le corps d'Amon ne représentait que la division de l'Égypte et le polythéisme. L'ancienne technique de la pierre agglomérée provenait du Nord, alors que celle de la pierre taillée venait du Sud. Akhenaton tenta de briser cette bivalence en installant sa nouvelle capitale El-Amarna juste au milieu du territoire afin de rapprocher les deux peuples.
Dans sa cité du soleil, les offrandes au dieu Aton débordent de nourritures. Les fresques amarniennes dépeignent l'abondance par l'accumulation d'aliments offerts à Aton. On ignore ce que devenaient ces offrandes. Etaient-elles détruites ou pourrissaient-elles sur place selon un rituel précis ? Les nombreuses tables d'offrandes retrouvées sur le site témoignent de la présence de ces donations journalières. On imagine que le peuple entier, au service d'Aton profitait de cette abondance... Pourtant, un facteur important vient ternir ce tableau idyllique. En 2007, l'équipe du professeur d'anthropologie de l'Université d'Arkansas, Jerry Rose, effectue des tests sur des squelettes déterrés par l'archéologue Barry Kemp de l'Université de Cambridge. Les tombes d'Amarna et leurs squelettes révèlent les conditions de vie des ouvriers d'Akhenaton. Tandis que le temple d'Aton croule sous les offrandes divines, la population n'est pas aussi bien favorisée. Dans de nombreux cas, des lésions dans les os trahissent des activités physiques pénibles. Nombre de squelettes portent surtout des signes évidents d'anémie avec la présence de protubérances au niveau des globes oculaires. Le fort taux d'anémie des enfants nés à Amarna surprend toute l'équipe, près de 60% des cas sont concernés. Ce facteur prouve que les conditions de vie à Amarna étaient pires qu'ailleurs ! Ce fort taux d'anémie associé à un taux de mortalité important repéré entre les 12 à 20 ans, forment les signes évidents d'une population malade. Après ses nombreuses analyses, Jerry Rose se demande si la population de El-Amarna ne contracta pas une nouvelle maladie ou même des épidémies. Le brassage des populations dans la ville royale créa-t-il un nouveau virus meurtrier ? L'hypothèse de l'anthropologue Gerry Rose repose sur l'importante mortalité recensée chez les habitants les plus jeunes et les plus robustes. Les chiffres ne trompent pas.
Ces malades d'Akhenaton, ces reclus, portent un nom en égyptien, il s'agit des Ubru. Ce terme tire ses racines de Ubri (désastre, maladie). Ubri ou Ubru (au pluriel) ressemble étrangement au terme "hébreu". Si l'hypothèse de Gerry Rose se confirme, elle authentifie en tout cas la présence des Ubru (Hébreux) en Égypte et leur calvaire mentionné dans l'Ancien Testament. Il est toutefois difficile de dire si Akhenaton réalisa vraiment la situation improbable dans laquelle il plongea son peuple et l'Égypte toute entière. Son obsession pour Aton le rendit inévitablement léger et insensé sur plusieurs points majeurs. Il le paya très cher... [...].
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : CORPUS DEAE
Des nouvelles sur son prochain livre
Lien : http://www.antonparks.com/main.php?page=corpusdeae
Date de sortie prévue entre le dernier trimestre 2016 et le premier semestre 2017
Chers lectrices et lecteurs,
Cette année encore, je vous propose de soutenir mon travail afin de m'aider à mener à terme ce nouveau projet qui explore les thèmes du Graal primitif et des Templiers.
Le monde de l'édition traverse une crise difficile depuis plusieurs années déjà. Ma maison d'édition Pahana Books - éditeur indépendant - n'échappe pas à ce grave problème économique et a besoin de votre soutien financier pour lancer ce projet de publication.
En effectuant cette précommande dès à présent, vous m'aiderez à financer et à poursuivre ma recherche ainsi qu'à évaluer le nombre d'exemplaires que Pahana Books devra éditer le moment venu.
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Ce nouveau livre de recherche s'inscrit dans ma série d'essais et fait suite à La Dernière Marche des Dieux publié en 2013. Mon enquête reprend précisément là où elle s'achevait avec mes recherches sur le Moíse historique.
Initialement prévu comme une enquête placée en annexe du futur tome 4 des Chroniques du Gírkù, cette étude sur le Graal primitif et les Templiers s'est étoffée au fil des années pour devenir un ouvrage unique intitulé Corpus Deae ("le Corps de la Déesse").
Que découvrirent les Templiers à Jérusalem qui leur procura puissance et respect ? Le Graal ? L'Arche de Moíse ? Ou bien avaient-ils réellement la mission initiale de protéger les pèlerins chrétiens en quête d'exaltations et de libération du Saint-Sépulcre ? Vaste sujet mainte fois abordé dans d'autres études, mais limité par l'ivresse d'un mystère sans cesse renouvelé et surtout réduit à un symbolisme souvent mal interprété.
Très concrètement, je ne propose pas un énième ouvrage sur les Templiers, ni même une recherche sur leurs meurs et coutumes. Beaucoup d'études très sérieuses répondent admirablement à ces questions.
Corpus Deae ne va pas non plus se perdre dans des recherches infinies sur le "contenant" et "contenu" d'un Graal énigmatique et inaccessible au commun des mortels, ni même s'égarer dans les sillages légendaires de Joseph d'Arimathie ou de Marie-Madeleine...
Non, j'invite plutôt le lecteur à me suivre sur des sentiers jusque-là inexplorés, mais très concrets, grâce à la mise en lumière de textes sacrés tirés du Proche-Orient ancien. Ces documents contemporains d'Akhenaton faisaient très certainement partie de sa grande bibliothèque d'el-Amarna. À la fois égyptiens et akkadiens, donc rédigés dans la langue diplomatique de cette époque, ces papyrus et tablettes d'argile racontent une même histoire connue des scribes d'Égypte et de Babylonie : celle du Graal primitif et du Mystère de la déesse des Origines, source de puissance et de pouvoir.
Le voile d'Isis va-t-il enfin se lever et divulguer aux yeux du profane le Secret le plus inavouable au monde ? Dissimulé à tout prix par les Templiers, au sacrifice même de leur vie, ce fameux Secret aurait pu ébranler les trois grandes religions monothéistes...
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Comme pour les précédentes années, les 300 premiers livres précommandés seront numérotés et signés par moi-même (selon les dates de réception), l'ordre des envois se réalisera de la même façon et tous les livres précommandés seront livrés avant les librairies.
A regard de la forte augmentation 2016 des tarifs de la Poste française et dans l'intention de garantir l'acheminement de votre commande, Pahana Books propose de faire un geste commercial en vous faisant payer le prix normal d'envoi, mais de prendre à sa charge le prix d'un suivi.
Soyez nombreux au rendez-vous, votre aide très précieuse me permettra une fois encore d'avancer au nom de la vérité et de la libre expression.
D'avance merci pour votre soutien !
Anton Parks
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Tradition et arbre sephiroth
LA TRADITION PRIMORDIALE ET L'ARBRE DE VIE
P(3)58 : Dans mon esprit, il ne fait aucun doute que la tradition primordiale, d'où originent les diverses traditions qu'elles soient juives, hébraïques, asiatiques, Dogons, et autres, est issue des reptiliens qui ont quitté Sumer pour s'établir en Atlantide et en Égypte, c'est-à-dire Enki (le Serpent biblique) dénommé Asar (Osiris) en Égypte, ressuscité en Horus / Lucifer et sa gang de dieux. C'est antédiluvien. Ils ont eu le temps d'essaimer partout sur la planète incluant les Asiatiques.
Anton Parks, 2010
Extrait schéma p.63 :
Chapitre 3 L'ARBRE ROYAL ET LE SECOND MEURTRE D'ASAR
Extrait de l'introduction au chapitre p.54 : "Le monde des Sephiroth est celui du langage caché et des noms divins, leur rôle est de manifester l'activité descendante de Dieu, en remonter le flux c'est réintégrer la divine origine. Le principe des Sephiroth est né du fait que la lumière divine, ne pouvant être perçue dans sa totalité, se voile et se densifie en dix étapes successives, se cristallise en dix énergies divines, dix aspects de Dieu, dix archétypes..."
SPIRITUALITÉ DE LA KABBALE, Vedhas Virya, éditions Présence, 1986
Extrait du récit où Horus se confie au cristal d'Osiris pp.54-55 : Uatch (nom du girku/cristal en Égypte mais qui était Ugur à Sumer), ne t'attends pas à de la poésie ou de la rêverie de ma part, je ne suis pas Asar ! Je n'aurai jamais la patience de consigner mes impressions comme il l'a fait. La réquisition légitime de mes fonctions royales et de l'ensemble de mes domaines en terre sainte ne s'est pas amorcée comme l'avait envisagé la majorité des membres de la grande Assemblée (15) du Pays de Lumière. D'après ce qu'on m'a rapporté, c'est mon grand-père Itemu-Râ (Atum-Râ) qui semble contrarier le programme. Le grand conseil est composé de membres qui n'appartiennent pas tous à l'histoire de notre terre bienheureuse, Kemet (l'Égypte). L'ordre hiérarchique n'est déterminé par aucun décret précis, mais je le rapporte ici tel que me l'a enseigné Djehuti (Thot) et tel qu'il apparaît dans l'Assemblée :
Extrait note de bas de page No 15 en p.55 : Il s'agit normalement du Pesedjet ("groupe de neuf") ou Enneade ("assemblée divine"), composant le parlement divin qui gère les affaires de la terre égyptienne et du monde. Il existe différentes versions de cette assemblée, nous en restituons ici l'authentique, la primordiale, d'où découleront toutes les autres, à l'instar de celles vénérées plus tard à Heliopolis ou encore à Abydos.
Cette assemblée forme l'arbre de vie de la Kabbale ou l'arbre des Sephiroth de la culture juive. Les 10 Sephiroth (+ 1 cachée) de la Kabbale sont les 10 nombres primordiaux avec lesquels Dieu aurait créé le monde. L'arbre des Sephiroth représenterait en quelque sorte le processus d'émanation et de création de la vie. Chaque Sephiroth serait un peu une partie de Dieu, un puissant archétype qui engloberait des attributs divins, des qualités, des défauts, des niveaux de conscience, des perceptions, etc.
Dans l'Assemblée égyptienne, il y aurait 8 ou 9 dieux, alors que dans l'arbre de la Kabbale, se manifeste 10 archétypes ou aspects (+ 1 caché). Nous allons expliquer cette écart et, pour la première fois, démystifier cet arbre. Vous allez constater que tous les termes qui composent cet arbre ne sont pas hébreux, mais égyptiens.
01. Itemu-Râ qui se prénomme An chez les fils des ténèbres et désigné comme Khet-Her au Conseil.
Extrait pp.55-56 : Itemu-Râ est le grand usurpateur du trône du Pays de Lumière. Après la mort de son fils Asar, il s'est glissé à la tête de l'Assemblée en prétendant pouvoir garantir une paix durable entre les deux adversaires consanguins, Kalam (Sumer) et Kemet (l'Égypte) une revendication qu'il n'a jamais pu tenir.
02. Asar (Osiris) désigné comme Skh'Mâa au Conseil.
Extrait p.56 : Depuis son trépas, mon géniteur règne symboliquement sur le grand bas. Certains disent qu'il envoie toujours sa lumière à son double féminin, ma mère Meri-Aset. Ce point de vue diverge selon les deux clergés : celui qui suit encore la parole de mon père, et celui qui écoute les volontés de Itemu-Râ-Khet-Her (An).
03. Meri-Aset (Isis) désignée comme Bi-Na au Conseil.
04. Serkit (Ninmah) désignée comme Seshedj au Conseil.
05. Šeteš (Seth-Enlil) désigné comme Gep-Ura'a au Conseil.
Extrait p.58 : Šeteš est présent dans l'Assemblée uniquement grâce au bon vouloir d'Itemu-Râ (An) qui est manifestement sensible à la flatterie de ce vaurien et aux multiples services qu'il a rendu à Kalam (Sumer) depuis des millénaires ! Šeteš a été momentanément expulsé de l'Assemblée en raison de l'offense qu'il a perpétré contre nous tous.
P(3)58 : Šeteš = Satan ; Itemu-Râ = Yahvé et Her-Râ = Michel l'archange/Jean le Baptiste
06. Her-Râ (Horus l'aîné, fils de Nut) désigné comme Tih'Reth au Conseil.
Extrait p.59 : Tih'Reth est le point central autour duquel la totalité de l'assemblée s'organise. Ses éléments et attributs sont : le soleil, le feu, le roi, le fils, le cœur et l'équilibre. En tant que Grand Monarque, Râ-Tih'Reth doit me consacrer au sommet de la Mer (pyramide) d'Aset, la montagne artificielle qui m'a mis au monde.
07. Nebet-Hut (Nephtys-Ninanna) désignée comme Nedja au Conseil.
08. Djehuti (Thot) désigné comme Hut au Conseil.
Extrait p.60 : Nous lui devons beaucoup. Sans le soutien qu'il a apporté à mes parents, Kemet (Égypte) serait sans doute une terre annexée à Kalam (Sumer). [...] Les symboles et les attributs de Djehuti sont : les sciences, particulièrement les mathématiques et la médecine. [...] Djehuti est honnête et intègre, il est le fier défenseur de la mémoire de mon père. Les lois, les droits et la magie rituelle le personnifient très bien. Son nom véritable en Emenita (langage mâle), ZE-HU-TI, "le souffle (ou l'esprit) de l'oiseau de vie", fait de lui l'ingénieur et contremaître du plan de ma mère qui était de m'apporter la vie au cœur de la montagne sacrée. Son génie en fait le premier des suivants de la lumière et du principe féminin.
09. Neret (Neith-Dim'mege) désignée comme Ysut au Conseil.
10. Nut (Nammu) désignée comme Mal-Khut au Conseil.
Extrait p.57 : Dans l'Assemblée, on devrait ensuite trouver mon siège, juste après celui de mes ascendants. Mais la place qui m'est destinée est pour l'instant inexistante et invisible, c'est pourquoi elle n'est pas comptabilisée. Il est prévu que Her-Râ me concède son siège dans la grande Assemblée lorsque j'aurai définitivement été installé dans mes fonctions, car notre conseil ne peut comporter plus de dix places - à moins que je ne prenne celui de mon père ? Mais rien n'est clair à ce sujet.
Mon siège est "Dat", "l'autre monde", comme le nomme ironiquement le clergé d'Itemu-Râ (An). Ayant été engendré par la magie et le souffle de ma mère, et étant regardé par certains comme la réincarnation d'Asar, je suis vu comme provenant du monde de l'invisible. Tous me craignent, car je suis supposé posséder la connaissance de ma mère et la sagesse de mon père. Je suis la flamme transcendante et la voix de l'autre monde, celui de nos ancêtres.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue avec l'illustrateur de Parks
Entrevue intéressante avec des illustrations et des explications. Ça commence tranquillement.
Diffusé en direct le 17 mars 2016
Animateur : Mohamed
Intervenant : Frantz Lasvignes (Illustrateur d'Anton Parks)
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
Et comme conclusion ?
Après toute cette recherche synthétique et énorme, quel serais ta conclusion panthère58 ?
Qu'est-ce qui ressort et quel est ton ressentit d'une manière générale ?
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Croire c'est bien, mais savoir sait encore mieux !
Et comme conclusion ?
Allez quoi ! Un petit mot !
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Croire c'est bien, mais savoir sait encore mieux !
Et comme conclusion ?
Après toute cette recherche synthétique et énorme, quel serais ta conclusion panthère58 ?
Qu'est-ce qui ressort et quel est ton ressentit d'une manière générale ?
C'est un dossier toujours actif. Donc, je ne peux conclure. D'ailleurs, je viens sur ce dossier que pour y faire un suivi, une mise à jour, ce que je vais faire après t'avoir répondu. Je viens donc tout juste de prendre connaissance de ton intervention.
Il y a deux chemins qu'empruntent Anton Parks : d'abord, celui des informations qu'il reçoit d'une façon tout à fait singulière. Il ne s'en tiendrait qu'à nous transmettre cette information et ça me comblerait. Parce que ça donne de la cohérence, du sens à ce qui n'en a pas à première vue et que l'on tente de nous convaincre, en particulier sur notre genèse, notre Histoire. Que ce soit par exemple le domaine scientifique (théorie de l'évolution) ou le domaine religieux (textes bibliques). Pour moi, c'est ce qui est le plus vraisemblable présentement jusqu'à preuve du contraire. Et ça me sert de filtre par rapport aux infos que je glane ici sur les différentes plate-formes d'Orandia (forum, Club CRÉÉE, vidéorandias...), ou ailleurs.
Je suis le propos de Richard Glenn depuis les années 80. Avec le temps, grâce notamment à Parks, j'ai plus de recul pour être critique face à ce propos et prendre certaines distances que je n'avais pas auparavant. Car je trouve ce propos un peu sclérosé face aux nouvelles informations qui nous parviennent depuis notamment le nouveau siècle. Et ça me sert de filtre aussi pour jauger ce qui se passe sur la planète et y donner un sens. Ce qui ne veut pas dire ici que ça y donne une justification (comme ce qui se passe en Syrie et que tu suis en nous partageant plusieurs liens). Loin de là.
L'autre chemin qu'il a décidé d'emprunter est celui de la recherche linguistique, archéologique et mythologique pour essayer de valider toute cette information reçue par jets de lumière. Pour quelqu'un qui est parti de zéro, sauf pour la compréhension linguistique qui accompagne la transmission des informations qu'il a reçues, je lui lève mon chapeau. Je considère tout à fait normal que l'académicien qu'est Serge Cazelais remette en question certaines sources et / ou certaines interprétations. N'oublions pas que les Universités sont très dogmatiques sur bien des sujets, notamment dans le domaine de la Santé. Et quand on s'éloigne des lignes directrices, on est rapidement mis au pas. Le Collège des médecins au Québec le démontre très bien. Et Nassim Haramein le souligne dans son livre édité chez Louise Courteau.
Et j'ai confiance qu'avec le temps, le travail de Parks sera reconnu à sa juste valeur.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS
Mise à jour.
Je sais que pour le documentaire, quelqu'un l'a déjà mis sur le forum voilà quelques semaines. Mais je me dois de le mettre ici pour faire suite au dossier.
Je ferai ultérieurement un petit résumé de son livre Le livre de Nuréa que j'ai lu l'été dernier et que je vais bientôt relire.
Lien : http://www.pahanabooks.com/book.php?lang=fr&book=chaosdesorigines
Extraits : Êtres de l'En-bas, enfermés dans votre sommeil, réveillez-vous ! Parmi vous, certains ont converti l'Obscurité en Lumière et l'Amertume en Douceur avant de se retrouver ici.
Extrait du Zohar, 4a.
Si cette œuvre portait un message, ce serait celui-ci.
Anton Parks nous offre, par une fidèle retranscription de l’intégralité des textes de la Création, une porte de sortie et une clé essentielle pour comprendre les versions de la Genèse rendues incohérentes au fil de leurs réécritures et altérations.
Pour la première fois, vous découvrirez successivement dans ces pages, toutes les versions rabbinique, gnostique, apocryphe et intertestamentaire ainsi que les descriptions restituées de figures mythiques telles que Lilith et son jumeau Samaël, Lucifer, l’Adam primordial et les multiples Eve, le Serpent et ses Anges Veilleurs…
Vous ne manquerez pas non plus de constater la présence de la Déesse-Mère auprès des Elohim : insupportable déni des bibles officielles. Tout cela, dans un climat de conflit perpétuel entre un YHVH, guerrier destructeur, et les ELOHIM.
Un seul livre pour une seule grande Histoire : celle de la Création.
Préface
Quelle que soit la voie empruntée par Anton Parks pour nous transmettre ses incroyables connaissances, elle nous mène implacablement vers l’Origine de l’humanité.
Cette fois-ci, Anton nous offre une recomposition unique au monde des éléments oubliés, censurés ou maladroitement interprétés, des versions rabbinique et gnostique de la Genèse.
En supprimant les récits antérieurs au Jardin de l’Arbre de la Connaissance du Bien et du Mal, les théologiens responsables de la compilation des textes bibliques nous ont coupés de nos racines avec l’objectif, conscient ou non, d’enfouir profondément le thème de la Déesse-Mère.
Qui d’autre qu’un chercheur aussi passionné, aussi déterminé qu’Anton Parks aurait eu la patience infinie de reconstituer le grand puzzle de la Création de l’Univers durant près de 30 ans ? Qui aurait eu le courage de prendre la défense de celui qui libéra les humains du joug de faux dieux usurpateurs et de rendre à Lucifer ce qui appartient à Lucifer ?
Tel un détective observant avec acuité, Anton Parks, sans n'avoir jamais tenté d’en retirer aucune gloire, recherche avec minutie des preuves irréfutables de vérités nécessaires au réveil de l’humanité.
Il fouille et met en lumière des écrits comme le Zohar validant ses traductions des tablettes sumériennes que certains journalistes ont réfutées en attendant qu’un spécialiste vienne les confirmer. De la même façon, Anton Parks tire de l’oubli les textes révélant la véritable physionomie hybride des anges de YHWH-ELOHIM.
Si les Templiers avaient découvert ce genre d’informations, les révéler à leur époque auraient conduit ces guerriers de Lumière directement au bûcher ! Qui sait, d’ailleurs, si ce n’était pas le cas ? ....
Ce présent ouvrage a nécessité de longues heures de fouilles de la part d'Anton Parks afin d'acquérir les œuvres, parfois coûteuses, dans lesquelles le plus petit indice aura eu valeur à ses yeux ; je peux en témoigner. De même, lui a-t-il fallu prendre sur ses congés pour sélectionner ne serait-ce qu’une seule ligne se rapportant à la Création dans les œuvres antiques dont il n’omet jamais de rappeler la référence.
Je peux attester de son obstination à ne rien laisser au hasard, tant M. Parks, lorsqu’il écrit parfois jusqu’à épuisement, souhaite combler ses fidèles lecteurs, qui l’ont soutenu depuis toutes ces années dans cette mission hors du commun.
Cette version complète de la Genèse, dont les sources ne peuvent être remises en cause, confirme formellement les traductions sumériennes et égyptiennes de l’auteur dans ses précédents essais tels qu’EDEN et LA DERNIERE MARCHE DES DIEUX, mais aussi ses récits retranscrits dans les Chroniques du Gírkù.
Christine Miller
Chargée de Communication – Pahana Books
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Satoshi Nasura
J'imagine qu'il pourrait être disponible par Skype pour un vidéorandia et pour faire l'objet du Club CRÉÉE.
Une table ronde avec Yann Vadnais et Marc Saint-Germain qui se sont aussi intéressés à la mythologie serait potentiellement fort intéressante.
Extrait du Facebook d'Anton Parks :
Anton Parks a partagé la page Page.
10 h ·
Aujourd'hui sort le premier E-book de Satoshi Nasura intitulé "Quand les dieux foulaient la Terre". Cet essai préfacé par Anton Parks, fait partie d'une série d'enquêtes complémentaires aux travaux de l'auteur des Chroniques du Girkù. Au croisement des domaines de l'anthropologie, de l'Histoire, de l'archéologie, de la linguistique et du symbolisme ; avec en leur cœur la mythologie comparée, ces essais suivent le fil conducteur de la mythologie grecque. Cette dernière est mise en exergue puis très souvent comparée au fond des Chroniques du Girkù, ainsi qu'aux mythologies égyptiennes, mésopotamiennes mais également celtes, scandinaves, méso-américaines ou encore asiatiques.
Cette recherche minutieuse nous démontre que les axes développés par Anton Parks, non seulement trouvent écho dans nos mythes et légendes, mais elle nous offre également une voie parallèle pour en comprendre le sens profond. Cette étude s'étale sur 3 tomes contenant plus de centaine d'illustrations et tableaux, près de 1000 notes de bas de pages et des centaines de décompositions phonétiques et de décodages de termes antiques via le suméro-akkadien et l'égyptien ! Pour exécuter ce travail fouillé, l'auteur suit le principe de décomposition suméro-akkadien découvert et révélé par Anton Parks en 2005.
Nous souhaitons le meilleur accueil au travail de Satoshi Nasura.
Le lien Facebook de "Quand les dieux foulaient la Terre" :
https://www.facebook.com/quandlesdieux/
Le lien vers le Facebook de l'auteur : https://www.facebook.com/profile.php?id=100012855881229
Extrait du lien suivant :
Les Chroniques du Ğírkù à l'épreuve de la mythologie comparée
Dans le Tome 1 nous étudions le contexte historique de la Grèce antique, la nature du mythe et sa généalogie. De récentes découvertes permettent notamment de prouver la transmission orale millénaire des mythes. Nous effectuons bien sûr une rétrospective sur les Chroniques d'Anton Parks. Nous enchaînons sur l'étude des cosmo-théogonies grecques, égyptiennes, sumériennes et hourro-hittites que nous rapprochons avec les généalogies Gina'abul. Enfin nous résumons les principaux conflits divins des mythes antiques de Grèce, de Mésopotamie, des Indes et d'Europe du Nord et de l'Ouest. Nous les mettrons sans mal en relation avec les guerres intestines de nos ancêtres célestes.
Tome 2
Les Douze Dieux de l'Olympe
Tome le plus riche et imposant decrivant la biographie et les interactions des résidents de l'Olympe mais aussi de leurs rejetons terrestres. Nous retrouverons ici tous les protagonistes des Chroniques. Nous détaillons leurs généalogies, leurs filiations, leurs oppositions, leurs armes mais également certains de leurs histoires les plus pertinentes au regard de notre étude. Nous verrons que nombre de récits sont des redites de mythes et légendes antérieurs à la Grèce antique mais également que des récits propre à la Grèce ont parcouru la planète pour se retrouver en des lieux parfaitement inattendus ! Nous découvrons à travers nos décryptages les parcours légendaires d'Enki-Osiris, de Sé'et-Isis, de Nergal-Horus ou encore d'Enlíl-Seth. Nous apprendrons également ce qu'il en est de leur passage de vie à trépas ainsi que sur leurs héritiers.
Tome 3
Les Témoins de l'Éternité
Les hommes ont été à plusieurs reprises créés puis détruits par les dieux. Ce n'est pas seulement Parks qui l'affirme mais l'intégralité des mythes de la planète. Le Tome 3 débute ainsi par un florilège, des compilations et des rapprochements surprenants. Lassés de leurs conflits, les dieux léguèrent la souveraineté de la Terre aux hommes, à commencer par leurs rejetons hybrides : les demi-dieux, premiers des héros. Premiers héros, vraiment ? Nous verrons qu'il en est tout autre chose... Enfin, nous tentons de répondre à des questions essentielles comme : Pourquoi tous les mythes du monde racontent la même histoire ? Pourquoi les épreuves initiatiques d'un point à l'autre de la planète sont-elles à ce point semblables ou encore que des symboles et concepts semblent avoir "sauté" un continent ? Quels sont nos véritables héritages ?
Préface d'Anton Parks.
28 premières pages du Tome 1
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Maurice Poulin / Le Grand Monarque
Extrait de sa conférence sur "Le Grand Monarque à l'Ère du Verseau" de la Salle 811 du Club CRÉÉE. Encore une fois, l'Égypte, Isis est en évidence...
Extrait :
Sujet : Isis et le Saint-Esprit
Passage d’un texte rapporté par Nostradamus de par sa beauté
Maurice Poulin : C’est un texte qui est un hommage au principe féminin à l’état pur. Il associe à ce principe féminin des concepts qui sont directement associés à la Vierge Marie du christianisme. Et ça va même juste qu’à dire qu’il y a un principe de sagesse éternelle associé à cette déesse féminine, Isis, qui était une préfiguration de la Vierge Marie, qui était en quelque sorte un prototype de ce qui est devenu éventuellement le Saint-Esprit [affectué] de l’Église catholique romaine.
Richard Glenn : Oui, parce que t’as le père, Dieu le Père, Dieu le Fils, le Jésus, mais le Saint-Esprit a remplacé Dieu la Mère.
Maurice Poulin : Et ça, ç’a été une trahison qui est survenue probablement au Concile de Constantinople… Malgré que dans l’Évangile, le proto-évangile de Thomas, on parlait de la mère céleste, carrément, noir sur blanc. Et sachant que la mère céleste était finalement reliée à la déesse Isis, j’ai regardé la mythologie d’Isis, et je me suis aperçu que, finalement, ça rejoignait le principe du Saint-Esprit, ça rejoignait le principe de la bonne mère associée à la Vierge Marie, mais aussi et surtout, à toute une série d’énergies qui sont bleues, c’est-à-dire, tous les soleils bleus de l’univers ou qui tendent vers le bleu, ont un lien avec cette énergie subtile qui est l’énergie de l’Esprit. Et de concert avec l’énergie du Seigneur des Seigneurs, qui est la couleur jaune, ça donne quoi le bleu et le jaune, ça donne la couleur verte du Saint-Esprit. Autrement dit, on pourrait dire que l’Esprit pur, bleu, évidemment pour nous ici sur la Terre est indissociable du jaune. Donc, c’est pour ça qu’on va dire que l’Esprit est vert. Mais, en réalité, cosmiquement, il est bleu. […] …mais l’espérance associée à une sincérité totale et surtout, c’est un message de la déesse Isis de la tradition égyptienne, elle était reliée à l’unité de la famille, tant biologique qu’humaine, la non-violence et un esprit de participation à la nature.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : La langue basque / Isi
La langue basque et Anton Parks
Diffusé en direct le 3 déc. 2016
COMPLÉMENT SURPRENANT pour ce VidéOrandia:
http://www.orandia.com/forum/index.ph...
Mariethé et Jean-Jacques; blog de transcriptions du supramentaliste BdM: Hommage à Bernard de Montréal: http://hommageabdm.canalblog.com/ et Hélène.
Pour vous abonner au Club CRÉÉE (Club de Recherche et d'Études en Ésotérisme Expérimental) formulaire d'abonnement en rouge: http://www.esoterisme-exp.com/ClubCRE...
Pour vous procurer le congrès UFO601 informations (sous la 3e image): http://www.esoterisme-exp.com/Section...
ÉSOTÉRISME EXPÉRIMENTAL: http://www.esoterisme-exp.com
À 0H09:06 du vidéorandia : Le peuple et la langue basques
Jean-Jacques : Mais pour en revenir à la région basque, parce qu’il y a beaucoup de particularités au pays basque, sans faire de tourisme. Le pays basque est l’un des plus anciens peuples d’Europe, puisqu’il remonte au néolithique. Les historiens, les paléontologues disent que c’est peut-être même un des plus anciens peuples d’Europe. Et au contraire de tous les peuples et de toutes les nations qui ont forgé l’identité de leur peuple et de leur nation sur une notion de territoire et de géographie, ça n’a jamais été le cas ici. Les Basques ont forgé l’identité du peuple et de la nation sur la langue. Et ceci, c’est rare. Et ce qui est intéressant aussi, c’est que cette langue basque n’est toujours pas élucidée quant à ses origines. On a cherché des similitudes avec toutes les langues latines dites analytiques, français, espagnol, italien, allemands, on ne trouve pas de similitudes. Ils ont cherché au niveau des langues aryennes, indo-européennes, pas de similitudes. [ni les langues celtes] Par contre, Hélène, il y a quelques mois, en parcourant un ouvrage d’Anton Parks, qui décomposait le sumérien…
Hélène : En fait, toutes les traductions qu’il donne [elle donne quelques exemples de mots], j’aurais donné exactement les mêmes traductions sans savoir que ça venait du sumérien. Après, je fais juste un constat. C’est un constat que je fais en lisant. Aujourd’hui, voilà.
Jean-Jacques : Certains mots basques sont rigoureusement identiques au sumérien. C’est très intéressant parce que Parks, ou d’autres, disent qu’il y avait à l’origine, donc à l’époque de Sumer, une langue mère… […] Alors c’est intéressant parce que les Amašutum donc, qui seraient créatrices, cette civilisation extraterrestre a lancé qu’elle serait les créatrices des humains, avaient une langue mère, d’après Parks. Et on retrouve le même vocabulaire chez les Basques. Peut-être auraient-ils conservé de manière intact certains mots de cette langue.
À 0H25:21 du vidéorandia : Les vierges noires découvertes sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle, chemin en rapport avec les étoiles, ces vierges noires intra-terrestres seraient associées au culte d’Isis.
À 0H39:21 du vidéorandia : En lisant Anton Parks... Hélène a fait des découvertes intéressantes sur la langue basque.
À 0H42:55 du vidéorandia : D'autres précisions sur la langue basque et sa construction.
Par la suite, Jean-Jacques nous parle de la fuite du Graal, du Grand Monarque, des Amašutum...
Dans mon livre, si GM il y a, il est de descendance égyptienne pré-dynastique, avec un bagage génétique qui le lierait au serpent du jardin dit Enki en Mésopotamie, dit Asar (Osiris en grec) en Égypte, ressuscité en Horus. L'intérêt des rois de France pour l'Égypte témoignerait de ce lien : François, et le Roi Soleil.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : La langue basque / Isi
Merci pour ce complément panthère58
En sumérien AMA signifie Mère, et AMASUTUM signifie Mère lézard, en basque également Mère se dit AMA...
La Déesse Mère des Basques bien avant l'apparition du judaïsme et du christianisme (et donc des religions judéo reptilienne) se prénomme MARI... et son Mari est un... Serpent !
C'était bien avant que les religions monothéistes ne tranforment la Sagesse en diable, et interdisent et empêchent de fait, les humains d'y avoir accès...
Xalbat
DOSSIER ANTON PARKS : Infos de Pahana Books
Toujours de mon fil d'actualité Facebook :
5 h ·
Avertissement :
Nous sommes au regret d'annoncer à nos lecteurs que la maison d'édition d'Anton Parks, Pahana Books, ne fournit plus le réseau Fnac depuis la mi-septembre 2016. Réseau comprenant à la fois les magasins et le site de ventes en ligne de la Fnac.
En effet, Alize-SFL, diffuseur exclusif de la Fnac dans "le secteur livres", ne nous règle plus les proformas depuis cette date.
Depuis le départ précipité de leur directrice des achats en septembre 2016, nous n'avons reçu aucun mail en retour à nos différentes relances ni même d'explication.
Pour comprendre par nous-même leur incapacité totale à régler les commandes générées par le réseau Fnac, nous avons interrogé Infogreffe : effectivement, leurs pertes se chiffrent à plusieurs millions d'euros depuis quelques années. Par prudence comptable, une jeune maison d'édition comme la nôtre ne peut prendre le risque d'honorer des commandes sans être payée.
Ce problème lourd de conséquence a même obligé la Fnac des Halles (Paris) à annuler une séance de dédicace d'Anton Parks au rayon sciences humaines en décembre 2016 pour la sortie de l'ouvrage Le Chaos des Origines ; la Fnac n'ayant aucun livre à proposer à leurs clients ! C'est une perte sèche au regard du succès obtenu le 7 février 2015 lors du premier passage de l'auteur et des nombreuses ventes réalisées dans ce même magasin.
Face à ce mutisme, et tant que de sérieuses relations de travail ne seront pas rétablies avec Alize-SFL, vous ne trouverez à la Fnac aucun ouvrage édité chez Pahana Books. Nous vous invitons à commander directement sur le site Pahana Books, en librairies ou chez Amazon.
D'avance merci pour votre compréhension et soutien.
Pahana Books
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Coup d'oeil sur Le Livre de Nuréa
Coup d'œil sur Le Livre de Nuréa
Éditions Pahana Books
2014
P.S. Anton Parks se réapproprie ses droits d'auteurs et en réorganisant ses livres, modifie leur présentation et contenu. Ainsi, on retrouve une bonne partie de l'intro du Tome 1 dans la première partie de ce Tome 0 des Chroniques. Elle est toutefois amputée d'une bonne partie des infos que probablement l'éditeur Nenki avait intégré au Tome 1 en 2005.
Infos :
Un peu comme Richard lors de sa période anniversaire, Anton Parks voit lui aussi les réceptions d’informations, les visions, se concentrer, se multiplier, se renforcer, s’intensifier à cette période.
Ce qu’il reçoit est en ancien sumérien.
Résumé :
Avant-propos de l’auteur
. Les visions qu’il a reçues de 1981 à 1991 vont jusqu’à la période celtique.
. De 1991 à 2007, il a réussi à endiguer ces visions. Mais son voyage en Égypte les a réactivées.
. Les visions du livre Nuréa ont été téléchargées en 2 heures le 12 mai 2013.
Extrait p.19 : Les multiples incarnations d’une lignée déchirée d’humanoïdes reptiliens et d’une famille d’âmes en quête d’absolu se succèdent dans un monde figé par le rêve d’éternité. La technologie Mušidim permet l’impensable : elle repousse la barrière de la lumière et donne accès au voyage temporel grâce à la déformation de l’espace-temps, ou plus exactement, grâce à son inflexion. […] Tout ce que je reçois n’est pas en français, mais en ancien sumérien. C’est au moment de rechercher l’information dans ma tête, lors de la rédaction, que la traduction s’effectue d’une façon inexplicable.
P(3)58 : Nous serions donc la résultante, dans l’arbre généalogique reptilien. Les Mušidim ont engendré les Gina’abul. Une partie de ceux-ci a engendré les Kingu Babbar qui, à leur tour, ont engendré les Ušumgal qui, à leur tour, ont engendré les Anunnaki et les Nungal. En se déplaçant dans notre système solaire, suite à un conflit, ils nous ont créé à partir des gènes humains déjà existants, qui étaient un mélange de planificateurs et de Gina'abul.
« Le Livre de Nuréa » nous ramène donc des millions d’années en arrière. Ce récit vient établir les origines de la famille galactique des Gina´abul venue s’établir dans notre système solaire, sur la Terre, et au creux de celle-ci ainsi que sur sa surface dont les pyramides en témoigneraient. La surprise est de taille : sans le savoir, c’est un retour à la source de leur origine. Et nous, êtres humains, serions, en partie, les derniers-nés de cette famille reptilienne.
Ça fait drôle d’en faire un résumé alors qu’en même temps j’avance mon dossier vidéorandia qui, vers les dernières semaines de l’année 2014, touche à la physique quantique, aux élus, au Grand Monarque, à la fête de Noël, au mythe de Jésus, du Père Noël, aux Grands Blonds, à la magie, aux pouvoirs psioniques, au film « Interstellaire ».
Extrait p.199 : Tu sais, leur implication dans notre histoire est plus complexe que tu ne le penses et je vais te révéler leur secret. Les Kingalàm sont des Mušidim provenant du futur. Ils sont les descendants de nos pilotes disparus entre la Vallée des Tempêtes et la zone ombrageuse de Sipazianna (Orion). Leurs voyages effectués à travers les distorsions temporelles irradiées de l’Ombre Ga’anzír détériorèrent gravement leur physionomie en leur infligeant des mutations irréversibles.
Extrait p.201 : Nous ne pouvons prétendre remonter le temps pour changer le destin des Faiseurs de Vie et de leurs descendants, puisque les Kingalàm n’y parviennent pas. J’ai moi-même rencontré un mur infranchissable : à chaque fois que je me risque à changer quoi que ce soit, comme t’éliminer par exemple, le chaos des formes entre en scène pour rééquilibrer le vide que je tente de créer. Notre action reste très limitée. […] Il existe un phénomène clé qui interfère sur notre passé et donc sur le futur. Il bloque toute lumière dans la Maison-Mère et semble alimenter ton fils du chaos. Tant que cette erreur ne sera pas rectifiée, les Kingú-Babbar, progéniture de Ía’aldabaut, tenteront de copier les structures abyssales d’un monde inversé, dénommé le chaos des formes, au lieu de construire un monde de lumière. […] Je sais où se trouve le Roi Éa’am et sa machine Zida.
D'où la raison que le titre du livre en page couverture est inversé aussi, en miroir.
Extrait p.230 : Je vais te révéler leur secret : les Kingalàm sont les ancêtres des Mušidim, nous sommes leurs enfants ! Ils mutèrent en voyageant dans les distorsions temporelles qu’ils créèrent par le passé…
Extrait p.231 : Pourquoi se sont-ils perdus au point d’oublier qu’ils venaient de Mulmuš, la Maison-Mère ?
P(3)58 : Mulmuš est notre système solaire.
Lien Complément Surprenant : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=114075
Extrait :
INTERSTELLAIRE un FILM de CHRISTOPHER NOLAN
Interstellaire est le film le plus attendu de l’automne, en raison de sa démesure et de son réalisateur. Christopher Nolan a fait sa marque de cinéaste indépendant avant de poser sa griffe d’auteur sur sa trilogie de Batman. Cette fois, Nolan propose une sidérante odyssée sidérale, qui conjugue autant l’infiniment grand que l’infiniment petit de nos sentiments. Un film qui prend aux tripes autant qu’il fait réfléchir sur ce qu’est l’humanité.
Il n’est pas aisé de résumer un long métrage comme celui-ci sans gâcher le plaisir de la découverte du spectateur. Allons-y comme ça : dans un futur rapproché, la population terrestre est éprouvée par la famine et l’épuisement des ressources. Cooper (Matthew McConaughey), un ancien pilote émérite devenu veuf et père de deux enfants, se fait proposer de prendre la tête d’un quatuor à la recherche d’un nouveau monde.
Les explorateurs peuvent profiter d’une perturbation de l’espace-temps, proche de Saturne, pour se propulser dans une autre galaxie. Mais les voyages dans l’espace prennent beaucoup de temps. Cooper fait face à un dilemme cornélien : vieillir avec ses enfants ou assurer la survie de l’humanité. D’abord drame — devoir, courage, sens du sacrifice et instinct de survie sont constamment ramenés à l’avant-plan —, le film se met ensuite en mode science-fiction, teinté d’un certain mysticisme (de bon aloi).
D’autant que, on s’en doute, tout ne se passe pas comme prévu. Les explorateurs font face à des défis titanesques, qui tiennent à la fois de l’inconnu et de la nature humaine.Interstellaire navigue dans le même espace (infini) que 2001, l’odyssée de l’espace, le chef-d’œuvre de Kubrick.Nolan se bat pour que les réalisateurs puissent continuer à utiliser la pellicule. Pour Interstellaire, il a utilisé la 70 mm (le format habituel est 35 mm) pour magnifier l’image. Il a aussi tourné plus du tiers du (très) long métrage avec des caméras IMAX — qui ont la plus grande résolution au monde. Le réalisateur a conçu ce film pour être vu sur le plus grand écran possible — et non pas à la maison, encore moins sur un téléphone!
Interstellaire est un véritable tour de force, un enchantement pur et une ode à la démesure.
Pour bien comprendre l’intrigue générale du film, ainsi que le dénouement final, je pense qu’il est tout d’abord indispensable d’avoir une parfaite vision chronologique des événements marquants de l’histoire. Cela peut sembler quelque peu superflu à première vue, mais étant donné que le temps fait partie intégrante du récit, et qu’il varie continuellement en fonction du lieu où les personnages se trouvent, cela me semble assez important de dresser, pour commencer, un bref résumé du voyage extraordinaire auquel on assiste pendant près de 3 heures.
LIGNE DU TEMPS DES GRANDS ÉVENEMENT DU FILM
« Le Livre de Nuréa », un peu comme pour « Rogue One » versus la première trilogie de « Star Wars », est antérieur au trois premiers volets des Chroniques du Ǧírkù. C’est pour ça qu’il devient le numéro « 0 ». On tombe vraiment dans la physique quantique, la création par la pensée, et les voyages spatio-temporels.
À ma grande surprise, ce récit vient donner du sens à l’assertion qui veut que nous serions le centre de l’Univers. C’est dans notre système solaire que tout a commencé. Et il semblerait que les mêmes âmes /esprits se soient réincarnés à chaque étape de l’évolution de notre ascendance. Donc, il serait vraisemblable que le Grand Monarque soit une réincarnation d’un ancien roi de notre ascendance, et que la race humaine, à son tour, supplanterait celle de ses ascendants malgré les bâtons qu’on lui met dans les pattes. La notion de royauté est omniprésente dans les Chroniques.
Lien Complément Surprenant : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=115285
Extrait :
ÉLU LE GRAND MONARQUE
La filiation est aussi importante dans l'histoire du Grand Monarque. Pour accomplir sa mission il doit absolument posséder cette génétique (sorte de programme biologique). Il est l'élu d'abord parce que c'est dans sa nature (innée). Probablement qu'il existe des centaines d'individus sur la Terre qui ont cette génétique (filiation) particulière. Alors lequel sera le Grand Monarque ?La réponse se trouve peut-être en partie dans le deuxième aspect de la théorie de Lorenz; le phénomène de l'empreinte. Peut-être que les êtres qui ont le potentiel (filiation) d'être des Grands Monarques sont mis en contact en très bas âge avec une culture particulière (par exemple extraterrestre) afin qu'ils s'y identifient et développent (ou activent) leurs capacités innées qui leur vient de leur nature. Pour milles raisons plusieurs ne parviennent pas à développer leur plein potentiel. Beaucoup d'appelés mais, un seul élu... Le Grand Monarque.
Un peu comme le film « La belle Histoire » de Claude Lelouch, les mêmes protagonistes, antagonistes, se retrouvent sur des millions d’années.
Ce récit trouve écho dans les récits des textes gnostiques.
Plus que jamais, il n’y a rien à ma connaissance qui soit plus vraisemblable et cohérent que les récits des Chroniques du Ǧírkù pour donner un sens à nos origines, à notre réalité humaine, à nos mythologies et nos croyances religieuses.
Extrait p.256 : Tout d’abord, les différentes planètes et le système solaire portaient un autre nom depuis l’époque lointaine des Mušidim. Dubkù devint Uraš (la Terre) et la Maison-Mère Mulmuš portait désormais le nom de ma mère. Je venais d’apprendre que nous provenions tous de Ti-ama-te (le système solaire) alors qu’aucun Gina´abul ne semblait le savoir à part les Kingú [les Grands Blonds] restés sur place, A´a, Wa et sans doute ma mère Tiamata. Je ressentis soudainement le poids de leur profonde solitude ainsi que la nécessité de préserver ce lourd secret qui ne devait à aucun prix être divulgué à la nouvelle dynastie conquérante Gina´abul. [les Ušumgal]
La création des femelles Ama´argi (Amašutum)
(Celles-ci sont évoquées dans le vidéorandia #1649/VOR161203 à 0H10:14)
Extrait p.237 : Les Ama´argi se présentèrent à Barbélú en se définissant comme filiation directe de Pištéš qui les mirent au monde grâce à la Triple Puissance (parthénogenèse) des Mušidim, peu avant que Šuhia ne l’intercepte et ne l’élimine.
Extrait p.238 : Les Gina´abul s’étaient largement multipliés sur le sol de Dubkù grâce au couple originel Muš´šagtar et Emesir.
Extrait p.239 : À cette époque, les Babbar d’Ía’aldabaut organisaient des rapts sauvages pour récolter un maximum de spécimens Gina´abul et d’Hušmuš (reptiles sauvages). […] Mère dut prendre la douloureuse décision d’évacuer en urgence ses enfants vers d’anciennes colonies Mušidim, bien au-delà de la Maison-Mère. […] La transaction se réalisa grâce à l’intervention inattendue d’êtres silencieux dissimulés derrière des cloisons Mara au métal dense. Ces individus rendirent possible le départ des Gina´abul à la condition non négociable que plusieurs groupes de Babbar de nature non belliqueuse accompagnent les fugitifs.
P(3)58 : Alors, contrairement aux prétentions des Grands Blonds (Babbar), les Ama´argi, toujours présentes sur Terre selon le Tome 2, les précèderaient et auraient préséance sur ceux-ci concernant les droits de propriété sur la planète Dubkù (la Terre).
Lien de merlin : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=125954
À 2H21:08 du vidéo de Jean Michel Raoux : Le Livre de Nuréa
P(3)58 : Dans ma réflexion, méditation, prière créative quotidienne, entre autre chose, je visualise la Terre devenir comme un espèce de gros village Valcartier, un lieu de villégiature gigantesque où règne paix, harmonie, spiritualité et d’où nous pourrions partir vers les étoiles de différentes façons. La Terre serait notre port d’attache. Alors, à ce titre, il y a un passage du livre d’Anton Parks qui parle de la Terre (Dubkù) voilà quelques millions d’années, à la page 94, et qui m’interpelle drôlement :
Se situait ensuite Dubkù, la sainte planète où les Mušidim enseignaient à leurs enfants les arts universels. Cet astre se composait d’un continent unique, très volumineux, entouré d’un vaste océan parsemé de récifs et de hauts-fonds. Dubkù possédait quelques écoles fameuses où l’on inculquait le concept de la Source. Tout le monde pouvait prétendre entrer à l’École de la Source, sans distinction de sexe, à la seule condition d’être âgé d’au moins 10 Muanna de Hul et d’avoir suivi préalablement une formation réussie à l’École des Sciences. Aucune agglomération ne s’y trouvait, juste quelques regroupements de logis légers. Ce havre de paix, où chaque Faiseurs de Vie pouvait se ressourcer à l’abri de toute préoccupation matérielle, offrait à la Maison-Mère des individus d’un niveau de compétences exceptionnel et de haute élévation de conscience, capables de sillonner l’espace. Ce lieu idyllique perdit peu à peu de son calme à partir de l’époque lointaine de la Matriarche Šuhia après la décision d’introduire des millions d’espèces vivantes pour créer un vivier exceptionnel en Anriba. On y implanta également des êtres à la stature colossale chargés de superviser la réserve naturelle.
Comment interpréter ce passage qui correspond à mes pensées quotidiennes depuis des années ? Dans ma réflexion personnelle, j’y vois une possibilité d’avoir vécu à cette période parmi le peuple des Mušidim, les ancêtres d’une partie de notre patrimoine génétique d’aujourd’hui. Je crois que c’est le cas pour nombre d’humains aussi.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Civilisation chinoise, Égypte et Maya
Tout semble se recouper, pas juste les différentes mythologies
Lien : http://www.elishean.fr/la-civilisation-chinoise-serait-nee-de-lancienne-egypte/
Extrait : La civilisation chinoise serait née de l’ancienne Égypte…
Selon le géochimiste chinois Sun Weidong, la civilisation chinoise pourrait être née en Égypte. Pour alimenter sa théorie, le professeur a examiné en outre de nombreux textes classiques chinois datant de la supposée première dynastie chinoise connue sous le nom de dynastie Xia. Ses recherches sont compilées dans un essai de 93 000 caractères, publié en ligne en septembre 2015.
Selon Sun Weidong, l’une des preuves confirmant sa thèse provient d’un texte de l’historien Sima Qian (145 av. J.-C.-86 av. J.-C.) décrivant la topographie de l’empire Xia, traditionnellement reconnu comme étant la dynastie fondatrice de la Chine (2070 av. J.-C. à 1600 av. J.-C.). Dans celui-ci, on peut lire en substance qu’un grand fleuve coule du sud vers le nord, se divisant en neuf bras, avant de se jeter dans la mer. Selon la croyance populaire, la dysnastie Xia est née de l’Empereur Jaune et a vécu essentiellement autour du Fleuve Jaune, cependant le fleuve en question dans le texte n’est pas celui cité puisqu’il coule d’ouest en est ; en réalité il n’y a qu’un fleuve majeur au monde qui coule vers le nord et il s’agit du Nil, en Égypte.
Sun Weidong, scientifique émérite et plusieurs fois décoré, assure depuis des années que les fondateurs de la civilisation chinoise n’étaient dans aucun sens du terme Chinois mais des migrants venus d’Égypte. Sa certitude remonte aux années 90 alors qu’il effectuait la datation radiométrique de bronzes chinois anciens. À sa grande surprise, leur composition chimique ressemblait d’avantage à des bronzes égyptiens que ceux issus de minerais chinois indigènes.
Il affirme que, contrairement aux idées largement répandues, la technologie de l’âge de bronze en Chine ne viendrait pas du nord-ouest du pays par la Route de la soie préhistorique, mais de la mer. Elle aurait été apportée par les Hyksos, des Asiatiques occidentaux qui ont régné dans une partie du nord de l’Égypte en tant qu’étrangers, entre les 17e et 16e siècles av.- J.-C., jusqu’à leur supposée expulsion du pays. Le chercheur note également que les Hyksos possédaient à une date antérieure presque les mêmes technologies et façon de vivre (métallurgie du bronze, chars, alphabétisation, plantes, animaux domestiques) que la dynastie Shang, deuxième dynastie chinoise ayant régné entre 1300 et 1046 av. J.-C. C’est en tout cas ce que révèlent des fouilles archéologiques effectuées dans l’ancienne ville de Yin, capitale de cette dernière dynastie.
« Cela peut paraitre ridicule aux yeux de certains parce que les historiens ont longtemps déclaré : ‘Nous sommes les enfants du Yan et de l’Empereur Jaune’. L’historien Sima Qian a pris ces figures légendaires comme les ancêtres des chinois Han et l’arrière-petit-fils de l’Empereur Jaune, Yu le Grand, comme le fondateur de la dynastie Xia […] Ainsi, même les figures les plus iconoclastes de la nation comme Sun Yat-Sen, Chiang Kai-Shek et Mao Zedong ont à un moment ou un autre ressenti le besoin de rendre hommage à la tombe de l’empereur Jaune. La revendication même qui prône que la civilisation chinoise serait âgée d’environ 5 000 ans, prend comme point de départ le règne supposé de cet empereur légendaire », écrit-il.
Ce n’est pas la première théorie à placer l’origine de la civilisation chinoise sur le continent africain.
Le philologue français Albert Étienne Jean Baptiste Terrien de Lacouperie qui a publié en 1892 « Western Origin of the Early Chinese Civilization from 2300 B.C. to 200 A.D. » (soit « L’origine occidentale des débuts la civilisation chinoise de 2300 av. J.-C. à 200 apr. J.-C. » en français), a déduit que la civilisation chinoise serait née à Babylone, d’après sa comparaison des hexagrammes du « Livre des Mutations » et de l’écriture cunéiforme de Mésopotamie. Il ira même plus loin en associant L’Empereur Jaune à un roi Nakhunte.
Liu Shipei, le professeur d’histoire de l’Université de Pékin, qui est le véritable auteur derrière la pseudo-chronologie de l’Empereur Jaune, a été parmi les premiers à promouvoir l’origine babylonienne des Chinois, dans des livres tels que « Histoire de la nation chinoise », publié en 1903.
Sun Yat-Sen, fondateur de la République de Chine, a quant à lui déclaré dans ses « Trois Principes du Peuple » publié en 1924 : « la croissance de la civilisation chinoise peut […] être expliquée par le fait que les colons qui ont migré d’un autre endroit dans cette vallée, possédaient déjà une civilisation très élevée. »
Cependant, entre les années 1920 et 1930, la théorie a été abandonnée après les agressions japonaises. La Chine a alors commencé à se fermer et à rejeter toute influence occidentale et a adopté sa théorie semi-mythologique sur l’origine de sa civilisation. Après 1949, Mao Zedong met en place un anti-impérialisme qui se transformera en anti-occidentalisme et affectera inévitablement l’archéologie et les recherches historiques.
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Extrait : Comment j’ai déchiffré un codex maya…
(Revue Question De. No 26. Septembre-Octobre 1978)
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Paul Arnold
Après dix-sept années de recherches, Paul Arnold a réussi le déchiffrement de l’écriture hiéroglyphique des anciens Maya, dont la clef a été perdue peu après le début de la colonisation espagnole.
Paul Arnold a pu ainsi traduire celui des quatre manuscrits maya parvenus jusqu’à nous qui, depuis Champollion, restait lettre morte à la Bibliothèque nationale. Il publia le texte et la traduction avec d’amples commentaires sous le titre « le Livre des Morts maya » (Editions Robert Laffont). Il raconte ici cette aventure extraordinaire qui renouvelle totalement notre connaissance de la religion et de la mentalité maya.
En 1864, le franciscain Brasseur de Bourbourg publiait le texte d’un long manuscrit laissé par le premier évêque du Yucatan, Diego de Landa, contemporain de la conquête du Mexique : Relations des choses du Yucatan. Après avoir livré aux flammes des charretées entières de livres maya, qu’il avait tenus pour œuvre satanique, ce prélat espagnol s’était avisé bien tardivement de recueillir, entre autres traditions, les notations maya des divisions du temps, des directions cardinales, du ciel, de la terre, et ce qu’il prenait pour l’alphabet des Maya précolombiens, au total une quarantaine de signes ou groupes de signes qui donnaient la clef des datations, mais ne permettaient pas la lecture de la moindre phrase ou même de la plus courte des inscriptions.
La question n’a guère évoluée depuis. Sur les sept cents signes sculptés, sur les deux cents signes figurant dans les quatre seuls manuscrits (codices) préservés, pas un seul n’a livré son secret avec quelque certitude. Chaque américaniste se vante de prêter un sens à tel ou tel glyphe ; l’alphabet prétendu ne fait qu’ajouter à la confusion ; et l’on se querelle savamment sur la signification de textes dont tous les éléments échappent, faute de la moindre inscription bilingue.
On n’en a pas moins échafaudé des théories plus nocives encore que l’aveu de l’ignorance, puisqu’elles ont induit les chercheurs sur de faux chemins. La plus funeste, qui a fait prime jusqu’à l’année dernière, 1977, fut d’affirmer que l’Amérique en général et les Maya en particulier ne doivent rien à d’autres continents, singulièrement à l’Asie, et que toute comparaison entre les arts, les idées, l’histoire de peuples séparés par le Pacifique doit être rigoureusement proscrite. Bel exemple d’aveuglement, car la clef était en Chine.
Comparaison avec la langue chinoise
Dès mon premier séjour au Mexique, je fus frappé par des analogies entre la langue des Maya toujours parlée au Yucatan et la langue chinoise. Avec l’aide d’un jeune sinologue, Wataru Okubo, je me suis attaché d’abord à une étude comparée des deux groupes de langues, monosyllabiques en leur essence, dotées de règles grammaticales absolument uniques au monde et se superposant jusque dans le détail de leurs particularités, celle par exemple de l’utilisation du même mot tantôt comme verbe tantôt comme substantif, selon sa place ou son rôle dans la phrase, ou la nécessité inéluctable de faire précéder un nom de nombre d’un spécificatif selon la catégorie des choses dénombrées.
Je fis des sondages lexicologiques qui, dans la démonstration d’une parenté de langues, ne doivent venir qu’en second lieu, la structure étant primordiale alors que le vocabulaire peut être emprunté en tout ou en partie. A ma propre stupeur, nombre de mots d’usage très courant sont identiques dans les deux groupes, ou, avec une sémantique (signification) d’une rarissime stabilité, ont connu des mutations dont les règles, dites règles phonétiques, sont généralement aisées à déduire et illustrées par des séries entières. Il est même rare qu’on rencontre deux idiomes différents aussi étroitement apparentés ; je me demande par quel manque de curiosité cette relation n’a pas été révélée depuis fort longtemps.
Hiéroglyphes chinois et hiéroglyphes maya
Une fois cet apparentement établi, je me suis demandé si, d’aventure car ce n’était pas l’objet de mon ambition, les hiéroglyphes maya n’avaient pas quelque affinité avec les hiéroglyphes archaïques chinois dont sont issus, au second millénaire avant notre ère, les caractères actuels, abstraits en apparence (les Orientaux y décèlent du premier coup le dessin concret, chien, porc, herbe, maison, que circonscrit la « lettre » ou idéogramme).
Les signes chinois archaïques, encore presque des hiéroglyphes, nous sont parvenus par milliers, inscrits, gravés sur des écailles de tortue où les devins écrivaient la question proposée et la réponse de l’oracle. On a dénombré ainsi trois mille signes semi-hiéroglyphiques au dessin le plus souvent clairement reconnaissable : le croquis d’une femme au ventre tout rond contenant le dessin d’un enfant se lit « être enceinte ». Mille cinq cents de ces glyphes résistent encore à l’interprétation, l’autre moitié me donnait un ample champ de comparaison.
Je commençai par mettre en parallèle les très rares signes maya au sens connu, grâce à Landa, et les homologues chinois : les dessins, manifestement, étaient apparentés, relevaient d’un même symbolisme. Car ni l’écriture chinoise originelle, ni, je puis l’assurer aujourd’hui, l’écriture maya classique ne sont purement pictographiques, mais elles recourent à un symbolisme souvent fort élaboré : ainsi le signe « nuage » s’écrit en chinois archaïque par le dessin d’un récipient suspendu au ciel, censé contenir l’eau de pluie ; une ligne courbe, sans doute l’éclair de l’orage qui apporte la pluie, rejoint le bas, la terre.
Le signe maya correspondant dessine deux ou trois rangées de récipients suspendus au ciel, d’où descend une ligne verticale s’achevant par une sorte de croix, l’éclair. La clef était trouvée. Il n’y avait plus qu’à poursuivre les parallèles, bien souvent excitants, tel celui d’un arc avec une boule comme projectile : les américanistes avaient lu « arc » ; il fallait lire « exorcisme », car, dit le Chinois — et, du reste, le Maya —, de même que l’arc projette au loin la balle, de même le sorcier projette hors du corps le mauvais esprit, proprement exorcise.
Première difficulté : établir un alphabet
Une fois constituée une « grille » sûre, je pouvais m’attaquer au texte du Codex de Paris, le manuscrit maya déposé à la Bibliothèque nationale et jadis présenté à Champollion en vain, bien sûr. Les récurrences, les variantes, le contexte permettaient peu à peu de déceler le sens des signes dont l’homologue chinois fait encore défaut ou fera toujours défaut, car les Maya ont complété en Amérique le fond commun évidemment rapporté de leur ancien habitat asien. Tel signe, par exemple, qu’on devra lire « flocons de coton prêts à être filés » et, par extension, « protection », a été imaginé en Amérique, car le coton, répandu au Nouveau Monde, était, à l’époque, inconnu en Asie.
Une fois tout cela au net, je pus faire table rase des théories élaborées à l’aveuglette par les américanistes : ils prétendaient diviser en deux groupes les signes dont le sens leur échappait. Nombre de signes maya sont entourés d’un cartouche, d’autres présentent un dessin nu. Les spécialistes ont décrété que les premiers sont des racines, les seconds — près de la moitié — devant être des affixes, suffixes ou préfixes, en effet nombreux dans la langue. Imagination pure, qui inspirait un classement des signes aujourd’hui aberrant et auquel je substitue un premier essai de classification selon la méthode chinoise qui recourt à des « clefs », signes de base qui, par des adjonctions, émettent toute une famille de glyphes.
Le pseudo-alphabet de Landa
Je pus de surcroît tirer parti, enfin, du pseudo-alphabet de Landa. Il s’était adressé à d’authentiques érudits, deux rois maya déchus ; ils ne parlaient guère l’espagnol, lui ne parlait pas le maya. Il leur demanda de transcrire l’alphabet ; cela ne voulait rien dire, ou si peu, pour un Maya. Ils inscrivirent sur ses notes des dessins-idéogrammes commençant par un phonème proche de la lettre espagnole ; ils en mentionnèrent même tout de suite trois différents pour « a », deux pour « b » ce qui aurait dû éveiller l’attention.
Dans le corps de ses explications confuses, Landa nous apprend à demi-mot que les glyphes peuvent aussi bien servir syllabiquement et que tel dessin, par exemple, se lit « ha » ce qui signifie « eau ». Il est vrai que, comme en chinois, les signes peuvent, dans certains cas, se lire phonétiquement. Ainsi, j’ai décelé que le dessin de « l’escargot », « ul » en maya, peut aussi se lire « -ul » en clytique, le possessif suffixé de la grammaire maya « son, sa, leur ». Il est même probable qu’à l’instar du Chinois d’aujourd’hui qui transcrit vaille que vaille les noms propres étrangers à l’aide d’une suite d’idéogrammes commençant chacun par le phonème voulu, les derniers Maya, selon l’exemple mentionné par Landa, aient fait usage parfois d’une transcription alphabétique.
Mais « l’alphabet » de Landa m’a servi d’autre façon. Livrant le premier phonème de l’idéogramme, il m’aidait à en découvrir le symbolisme. Tel le « pouma », à l’œil souligné par une courbe et surmonté d’une flamme : il notait « p » et se lira pacat « voir, regarder ».
Seconde difficulté : reconstruire les phrases
La seconde difficulté qu’affrontera le traducteur, même une fois déchiffrés les glyphes, sera de reconstruire les phrases. Faute de la moindre ponctuation, il faut se laisser guider par le sens, quelques signes de liaison, les répétitions, l’espacement de quelques groupes, l’agencement de ceux-ci selon les principes de la grammaire : en syntaxe maya, le déterminant vient avant le déterminé ; en écriture au résultat de mon décryptage le déterminant surmonte le déterminé.
La difficulté n’est pas moindre en chinois ancien dépourvu de ponctuation : aussi discute-t-on parfois le sens du Tao-To-king aux traductions fort divergentes. Les récurrences aidant, j’ai pu, dans la majeure partie des cas, trancher sans trop d’hésitation. L’avenir précisera bien des points et rectifiera des erreurs. Nous corrigeons encore les incertitudes des premiers égyptologues. Mais la voie est ouverte ; la meilleure preuve en est que j’ai pu décrypter tout le Codex de Paris et commencer le décryptage du Codex de Dresde et de celui de Madrid.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Mise à jour
Mise à jour des infos sur Anton Parks
Lien : http://pahanabooks.com/bio.php?lang=fr
Extrait : Anton Parks est un écrivain franco-allemand, spécialisé dans les cultures de l'Orient ancien. Sa série "Les Chroniques du Gírkù" retrace, sous forme de récit et d'un minutieux travail de recherche, les origines de l'humanité à travers le regard des dieux de nos mythologies.
À l'âge de 14 ans, Anton Parks reçoit spontanément une multitude d'informations cohérentes sur notre passé et sur les origines extraterrestres des "dieux" de nos traditions. Précisément vingt ans plus tard, Anton se décide à écrire sa série des Chroniques dont le contenu expose l'histoire de la civilisation la plus ancienne qui aurait accouché de notre société actuelle.
Anton Parks est le créateur d'une thèse révolutionnaire sur le codage de la langue sumérienne - étude exposée dans sa série des Chroniques où l'on retrouve tout le processus qui l'a conduit à ses découvertes inédites. Fin 2005, peu après la première édition du "Secret des Étoiles Sombres", l'auteur est approché par l'équipe de Marcello G. Martorelli et Steve Currey afin de faire partie de l'expédition vers le Pôle Nord en qualité de linguiste spécialisé dans le langage Gina'abul (proto-sumérien) ; expédition avortée en raison de la disparition prématurée de Steve Currey.
Dès 2006, l'oeuvre d'Anton Parks intéresse sérieusement le scientifique Gerry Zeitlin (ingénieur en énergie et intervenant dans le Projet SETI) qui consacrera, jusqu'à sa disparition fin 2014, une bonne partie de son temps à la réalisation d'une étude poussée sur les premiers volumes des Chroniques du Gírkù. Gerry et sa femme Malou, elle-même issue des services secrets américains et ayant travaillé pour l'aérospatial - proche de Georges H. W. Bush (président des Etats-Unis entre 1989 et 1993) - trouvent tous deux dans les Chroniques du Gírkù des renseignements qu'ils connaissent parfaitement et souhaitent promouvoir sur leur ancien Web site Open Seti.
Anton Parks est aussi l'auteur de nombreux essais à succès. En 2009, il réalise "Le Testament de la Vierge", ouvrage de recherche où il révèle les sources égyptiennes du Nouveau Testament et dans lequel il développe une nouvelle théorie sur le fonctionnement hydroélectrique et électromagnétique de la Grande Pyramide de Gizeh. L'auteur reprend cette thèse dans son ouvrage "La Dernière Marche des Dieux" grâce à ses traductions des textes du temple d'Edfu situé en Haute-Égypte.
En 2011, Anton Parks se penche sur l'étude de fac-similés de Georges Barton datant de 1918, eux-mêmes tirés de documents sumériens considérés comme les plus anciens de l'humanité. En traduisant une dizaine de tablettes d'argile ornées de signes cunéiformes ayant échappé à la plupart des spécialistes (tablettes de Kharsag, exhumées il y a plus d'un siècle sur le site de Nipur, en Irak), Parks peut non seulement retracer l'histoire de nos origines et celle du jardin biblique, mais également démontrer que la Genèse ne forme qu'une copie malheureuse et déformée d'un tel événement. Pahana Books publiera une version augmentée de cet ouvrage majeur dénommé "Eden" en 2017. Cette nouvelle publication contiendra des tablettes inédites, disponibles dans des bibliothèques universitaires et jamais traduites jusqu'à ce jour.
En 2012, Anton Parks crée sa maison d'éditions PAHANA BOOKS afin d'éditer ses nouveaux ouvrages et publier en versions intégrales ses anciens titres. Ceci lui permet de bénéficier d'un contrôle total sur ses travaux.
Fin 2012, Anton Parks est approché par la maison d'édition Flammarion qui décide de publier les tomes 1, 2 et 3 des Chroniques du Gírkù en format poche dans la collection J'ai Lu.
Entre 2012 et 2013, Anton Parks traduit des textes égyptiens gravés sur les murs du temple d'Edfu (dédiés au souverain Horus) et réputés pour avoir été composés par le dieu de la Sagesse, Thot. Pour ce travail monumental, Parks a recours à la transcription originale d'Émile Chassinat, datant de 1933, afin de traduire de nombreux passages à la source.
Cet ensemble est tiré d'une vielle légende copiée et recopiée de nombreuses fois sur d'anciens papyrus aujourd'hui perdus. La section E.VI d'Edfu reprend en partie ces anciennes chroniques dont on prétend que Thot lui-même les rédigea de sa main en des temps inconnus. Les prêtres d'Edfu gardaient secrètement ces documents avant qu'ils ne soient finalement gravés sur les murs du temple à l'époque des derniers rois de l'Égypte antique, les Ptolémées. Ces textes apportent à la fois des informations géographiques essentielles sur l'ancienne Atlantide d'Osiris, ils confirment également les propos de Platon et la thèse hydroélectrique de la Grande Pyramide publiée en 2009 dans "Le Testament de la Vierge".
Début 2015, soit 10 ans après la sortie de son premier ouvrage, Anton Parks publie le "Livre de Nuréa" (tome 0 des Chroniques du Gírkù). À travers le regard des anciens dieux des textes gnostiques d'Égypte, l'auteur nous propose une nouvelle compréhension sur la genèse de l'Univers, de notre Système Solaire et des divinités de nos traditions. La structure cosmique de l'Univers, exposée dans le "Livre de Nuréa", concilie les théories fondatrices de la relativité et celles de la mécanique quantique. Ces informations donnent un sens nouveau à l'origine des temps et au fonctionnement des trous noirs, accoucheurs de mondes.
À partir de 2016, Anton Parks entame, à son propre compte, les publications de ses premiers ouvrages en démarrant avec son Best Seller "Le Secret des Étoiles Sombres" en version intégrale et complétée. Cette version inédite est la seule à faire le lien avec le "Livre de Nuréa". Fin 2016, Anton Parks publie "le Chaos des Origines". Ce livre de recherche en cours depuis 2002, offre une recomposition unique au monde des éléments oubliés, censurés ou maladroitement interprétés, des versions rabbinique et gnostique de la Genèse. Grâce à une fidèle retranscription de l'intégralité des textes de la Création, "Le Chaos des Origines" procure une clé essentielle pour comprendre les versions de la Genèse rendues incohérentes au fil de leurs réécritures et altérations.
Entre 2016 et 2017, l'auteur se consacre à la rédaction de son nouvel essai sur le Graal primitif et les Templiers. Ouvrage très important sur la véritable découverte des Templiers et les raisons de leurs pouvoirs sur l'Eglise du Moyen Âge.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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DOSSIER ANTON PARKS : Vidéo promotionnel
LE CHAOS DES ORIGINES
Dossier VidéOrandias :
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Dossier Secrets de la Bible :
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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DOSSIER ANTON PARKS : Vidéo promotionnel
je me permets un ajout
Êtres de l'En-bas, enfermés dans votre sommeil, réveillez-vous ! Parmi vous, certains ont converti l'Obscurité en Lumière et l'Amertume en Douceur avant de se retrouver ici. Extrait du Zohar, 4a.
Si cette œuvre portait un message, ce serait celui-ci.
Anton Parks nous offre, par une fidèle retranscription de l’intégralité des textes de la Création, une porte de sortie et une clé essentielle pour comprendre les versions de la Genèse rendues incohérentes au fil de leurs réécritures et altérations.
Pour la première fois, vous découvrirez successivement dans ces pages, toutes les versions rabbinique, gnostique, apocryphe et intertestamentaire ainsi que les descriptions restituées de figures mythiques telles que Lilith et son jumeau Samaël, Lucifer, l’Adam primordial et les multiples Eve, le Serpent et ses Anges Veilleurs…
Vous ne manquerez pas non plus de constater la présence de la Déesse-Mère auprès des Elohim : insupportable déni des bibles officielles. Tout cela, dans un climat de conflit perpétuel entre un YHVH, guerrier destructeur, et les ELOHIM.
Un seul livre pour une seule grande Histoire : celle de la Création.
- Préface de Christine Miller de Pahana Books
- LE CHAOS DES TEXTES
1. Controverses à El-Amarna : les origines de Nefertiti et les conditions de vie des ouvriers d'Akhenaton
2. L'embarras des textes de la Mer Morte : Qumran sans Esséniens ou la véritable provenance des textes
3. Polémique sur la Bible d'Alexandrie (les Septante - LXX) : mensonges sur ses origines !
1ère partie : VERSION RABBINIQUE ET TEXTES INTERTESTAMENTAIRES
GENÈSE - Chapitre 1
1. La Création de l'Univers
2. La terraformation des Elohim
3. Les dinosaures et l'Adam Primordial
GENÈSE 2 - Chapitre 2
1. YHWH, guerrier et destructeur
2. Installation des Anges de YHWH-Elohim sur la Terre
3. La création de la Lilith terrestre
4. Le Serpent Samaël en Eden
GENÈSE - Chapitre 3
1. L'approche et le discours du Serpent
2. Le réveil d'Adam et Eve
GENÈSE - Chapitre 4
1. Caïn et Abel
2. Arqa
GENÈSE - Chapitres 5 et 6 (extraits)
1. Enoch
2. Les Anges Veilleurs
3. Lucifer
2ème partie : VERSION GNOSTIQUE ET TEXTES APOCRYPHES
La Création gnostique - Introduction et résumé
1. Introduction sur la gnose
2. Résumé de l'histoire gnostique de la Création
3ème partie : VERSION GNOSTIQUE ET TEXTES APOCRYPHES
La Création gnostique - Les textes originaux
GENÈSE - Chapitre 1
1. La puissance des Éons et Adamas
2. Pistis-Sophia
3. Yaldabaôth
GENÈSE - Chapitre 2
1. Noréa, l'Instructrice de la Vie ou Eve de la Vie
2. La Création
GENÈSE - Chapitre 3
1. Le Serpent Instructeur
2. Le véritable visage des dieux
GENÈSE - Chapitre 4
1. Abel et Caïn
GENÈSE - Chapitres 5 et 6 (extraits)
1. Les dernières passions de Sophia
2. Christ et Sauveur
- Bibliographie
Préface
Quelle que soit la voie empruntée par Anton Parks pour nous transmettre ses incroyables connaissances, elle nous mène implacablement vers l’Origine de l’humanité.
Cette fois-ci, Anton nous offre une recomposition unique au monde des éléments oubliés, censurés ou maladroitement interprétés, des versions rabbinique et gnostique de la Genèse.
En supprimant les récits antérieurs au Jardin de l’Arbre de la Connaissance du Bien et du Mal, les théologiens responsables de la compilation des textes bibliques nous ont coupés de nos racines avec l’objectif, conscient ou non, d’enfouir profondément le thème de la Déesse-Mère.
Qui d’autre qu’un chercheur aussi passionné, aussi déterminé qu’Anton Parks aurait eu la patience infinie de reconstituer le grand puzzle de la Création de l’Univers durant près de 30 ans ? Qui aurait eu le courage de prendre la défense de celui qui libéra les humains du joug de faux dieux usurpateurs et de rendre à Lucifer ce qui appartient à Lucifer ?
Tel un détective observant avec acuité, Anton Parks, sans n'avoir jamais tenté d’en retirer aucune gloire, recherche avec minutie des preuves irréfutables de vérités nécessaires au réveil de l’humanité.
Il fouille et met en lumière des écrits comme le Zohar validant ses traductions des tablettes sumériennes que certains journalistes ont réfutées en attendant qu’un spécialiste vienne les confirmer. De la même façon, Anton Parks tire de l’oubli les textes révélant la véritable physionomie hybride des anges de YHWH-ELOHIM.
Si les Templiers avaient découvert ce genre d’informations, les révéler à leur époque auraient conduit ces guerriers de Lumière directement au bûcher ! Qui sait, d’ailleurs, si ce n’était pas le cas ? ....
Ce présent ouvrage a nécessité de longues heures de fouilles de la part d'Anton Parks afin d'acquérir les œuvres, parfois coûteuses, dans lesquelles le plus petit indice aura eu valeur à ses yeux ; je peux en témoigner. De même, lui a-t-il fallu prendre sur ses congés pour sélectionner ne serait-ce qu’une seule ligne se rapportant à la Création dans les œuvres antiques dont il n’omet jamais de rappeler la référence.
Je peux attester de son obstination à ne rien laisser au hasard, tant M. Parks, lorsqu’il écrit parfois jusqu’à épuisement, souhaite combler ses fidèles lecteurs, qui l’ont soutenu depuis toutes ces années dans cette mission hors du commun.
Cette version complète de la Genèse, dont les sources ne peuvent être remises en cause, confirme formellement les traductions sumériennes et égyptiennes de l’auteur dans ses précédents essais tels qu’EDEN et LA DERNIERE MARCHE DES DIEUX, mais aussi ses récits retranscrits dans les Chroniques du Gírkù.
Christine Miller
Chargée de Communication – Pahana Books
DOSSIER ANTON PARKS : La Bible dévoilée
LA BIBLE DÉVOILÉE
Je suis en train de lire ce livre d'Israêl Finkelstein et de Neil Asher Silberman. Une brique de 500 pages publiée en 2001. Je vais en faire un résumé dans mon dossier « Les Secrets de la Bible ». J'ai presque 400 pages de lues et jusqu'ici l'archéologie démontre que le Pentateuque se compare à la version officielle du « 9/11 » !!! Et le Christianisme s'est associé à ça. Donc, que vaut le Nouveau Testament ? Et on continue d'en parler et d'élever ça au niveau du sacré !? Je le répète : on a le « sacré » facile sur les diverses plates-formes d'Orandia... Donc, ce livre est une preuve circonstancielle qui vient soutenir le propos d'ANTON PARKS.
P.S. RÉTROACTIONS À VENIR en 2017 : J'ai aussi acheté la suite d'Israël Finkelstein : UN ARCHÉOLOGUE AU PAYS DE LA BIBLE, et aussi le livre QUESTIONS CONTROVERSÉES SUR LA BIBLE avec la participation de Serge Cazelais. Et éventuellement, je vais acheter les livres de Mauro Biglino et la Bible ! Je suis donc dans l'ambiance de l'année chinoise du COQ et je vais chanter plus de trois fois cette année.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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Wow, le rêve !
Il faudrait peut-être rester dans la romance, car il s'agit bien de romans ici et rien d'autre !
Le fait de vouloir faire a croire que tout ceci découlerait d'une véritable histoire de la genèse n'est juste que pour faire vente plus de bouquin au illuminé !
Qu'on se le dise ...
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Croire c'est bien, mais savoir sait encore mieux !
Wow, le rêve !
Il faudrait peut-être rester dans la romance, car il s'agit bien de romans ici et rien d'autre !
Le fait de vouloir faire a croire que tout ceci découlerait d'une véritable histoire de la genèse n'est juste que pour faire vente plus de bouquin au illuminé !
Qu'on se le dise ...
Si tu as lu ses livres, je vais respecter ton opinion.
Sinon, ce n'est même pas un argument, ce n'est qu'une opinion basée sur des croyances personnelles du genre "mon père est plus fort que le tien". Ça ne peut pas être plus stérile comme rétroaction. Mets ton énergie ailleurs.
Sinon, ton intervention est digne des trolls que vous vous plaisez à décrier sur le forum toi, et ta gang.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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Wow, le rêve !
Sinon, ce n'est même pas un argument, ce n'est qu'une opinion basée sur des croyances personnelles du genre "mon père est plus fort que le tien". Ça ne peut pas être plus stérile comme rétroaction. Mets ton énergie ailleurs.
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Croire c'est bien, mais savoir sait encore mieux !
DOSSIER ANTON PARKS : NURÉA
Voici une page au début du livre LE LIVRE DE NURÉA d'Anton Parks qui introduit son livre.
N.B. J'ai fait de mon mieux pour ne pas faire d'erreur de transcription.
Éditions Pahana Books
2014
NURÉA
Selon l’ancienne doctrine gnostique présente dans les textes de Nag Hammadi (Haute Égypte), Noréa figure la fille de l’Ève du Grand Haut, l’archétype même de la femme spirituelle qui porte le pouvoir non corrompu de la Mère des Origines. En tant que telle, Noréa émane directement de la Sagesse Sophia. Elle symbolise en quelque sorte la Sophia inférieure qui sépare le monde visible du monde invisible. Son activité défie les âges de la Terre. Elle est présente "avant le jour où le monde fut" (NH IX, 2 – 28,16-17), alors que dans l’Hypostase des Archontes (NH II, 4), elle s’implique auprès de l’humanité, donc plus tardivement dans l’histoire du monde. Noréa combat les forces obscures (les Archontes) pour instruire les êtres vivants et leur transmettre les premiers enseignements. Sa mission consiste à parachever l’œuvre de sa mère. Dans ce sens, les pouvoirs de Noréa découlent de Barbélo, la Mère des Origines et principe féminin de plusieurs mouvements gnostiques.
L’évêque et théologien du IVe siècle, Épiphane de Salamine, fait référence à un document gnostique dénommé Le Livre de Noréa. Dans ce manuscrit, aujourd’hui disparu, Noréa révèlerait le moyen de rendre à Barbélo son intégrité. Elle expliquerait comment "les dépouilles arrachées à la Mère d’en haut par l’Archonte qui fit le monde" et par les autres dieux, anges ou démons qui l’accompagnent, doivent être rassemblées à partir de la puissance contenue dans les corps et qui s’écoulent
lors des rapports sexuels.(1) Le Zohar (Bereshit 1, 19b) mentionne Noréa sous le nom de Naama. Cette dernière se serait unie à Azaël pour donner naissance à des succubes. Naama s’identifie à Nammu dans la culture sumérienne et à Nut en Égypte ancienne. Le savant Hippolyte de Rome la nomme Noa et l’évêque Irénée de Lyon, Noréa.
Noréa personnifie également la révélation, l’instructrice ou Noéma en grec (la pensée, l’intelligence). À ce titre elle combat la corruption matérielle dénoncée par les sectes gnostiques.
Une autre croyance gnostique, diffusée par la secte séthienne, transforme Noréa en fille de l’Ève terrestre et en fait l’épouse de Seth (3e fils d’Adam et Ève) ou de Noé. Selon cette version plus récente, elle serait responsable de la lignée sacrée des prophètes avant la venue de Jésus-Christ.
La décomposition de son nom en proto-sumérien nous donne NUR-É-A(2) : "la très élevée de la maison d’eau" ou "la distinguée de la maison d’eau" ou encore "l’assistante de la maison d’eau".
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1. Le Panarion d’Épiphane de Salamine, 26, I,7-9.
2. Le "o" n’existe pas en sumérien. NUR (ancienne particule suméro-akkadienne - M.E.A. entrée 325), évoque une personne "élevée", "distinguée", "supérieure", "une aide" ou "une assistante".
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Dossier VidéOrandias :
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Dossier Secrets de la Bible :
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Correction
:- Désolé. Je me relis plusieurs fois, et cette coquille m'avait échappée. Lire Nora au lieu de Noa.
Le Zohar (Bereshit 1, 19b) mentionne Noréa sous le nom de Naama. Cette dernière se serait unie à Azaël pour donner naissance à des succubes. Naama s’identifie à Nammu dans la culture sumérienne et à Nut en Égypte ancienne. Le savant Hippolyte de Rome la nomme Nora et l’évêque Irénée de Lyon, Noréa.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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DOSSIER ANTON PARKS : NURÉA / ARCHONTES Partie 1
Au début de chaque chapitre, Parks met un extrait en lien avec les « archontes » et son récit. Les voici donc en partage en vue du Congrès ESO701.
N.B. J'ai fait de mon mieux pour ne pas faire d'erreur de transcription.
Éditions Pahana Books
2014
LE LIVRE DE NURÉA
2me PARTIE : FONDATIONS
Chapitre 1 : OUTRAGE
"Les archontes vinrent à sa rencontre désireux de la tromper. Leur chef suprême lui dit : ‘Ta mère Ève est venue vers nous’. Mais Noréa se tourna vers eux et leur dit : ‘Vous êtes les Archontes des ténèbres, vous êtes maudits. Vous n’avez pas connu ma mère. C’est votre co-ressemblance que vous avez connue. Car moi, ce n’est pas de vous que je suis issue, mais du monde céleste que je suis venue’".
NH II,4 - L’Hypostase des Archontes, 92,19 – 92,27
Chapitre 2 : LE DESTIN DE NURÉA
"La Mère Originelle conçut et enfanta Nuréa. Elle dit : ‘L’esprit m’a engendré une Vierge qui sera un soutien pour de nombreuses générations humaines. C’est la Vierge que les Puissances n’ont pas souillée.’"
NH II,4 - L’Hypostase des Archontes, 91,30 – 92,4
Chapitre 3 : LES MUŠIDIM
"Il n’est pas concevable de [concevoir Dieu] comme (on conçoit) les dieux ou en des termes similaires. Il est en effet plus qu’un dieu car nul n’existe au-dessus de lui, parce que nul ne le domine. [Il n’existe] pas dans quelque chose qui lui soit inférieur, [puisque tout] existe en lui seul. [Il est éternel] puisqu’il n’a besoin de [rien], puisqu’il est la perfection complète. [Rien] ne [lui] a manqué pour pouvoir être accompli par [lui-même]. Il est [au contraire] totalement parfait en tout temps dans la lu[mière]."
NH II,1 – Le Livre Secret de Jean, 2,33 - 3,7
Chapitre 4 : LE MYSTÈRE DE LA MAISON-MÈRE
"Quant à notre sœur Sophia", elle est celle qui descendit en innocence afin de corriger sa propre déficience. C’est pour cela qu’on l’appela "Vie", c’est-à-dire ‘la Mère des Vivants’".
NH II,1 – Le Livre Secret de Jean, 23,21 - 23,24
Chapitre 5 : L’OMBRE GA’ANZÍR
"[… Alors apparut] un avortement sans conscience. Telle une ombre, il se forma dans une vaste substance aqueuse. La colère issue de l’ombre fut ainsi expulsée dans une partie du chaos. À cette époque, apparut une (nouvelle) substance aqueuse et ce qui avait pénétré en elle s’écoula, apparaissant dans le chaos. De même que chez celle qui accouche prématurément, tous ses surplus sont rejetés, ainsi en était-il de la substance [aqueuse] issue de l’ombre et expulsée à part. La substance ne fut donc pas sortie du chaos, mais elle était plutôt dans le chaos, dans une région de celui-ci".
NH II,1 – De l’origine du Monde, 99,9 - 99,22
Chapitre 6 : LE RÊVE DE L’ÉTERNEL RETOUR
"[Elle est] la puissance parfaite qui est l’image de l’invisible Esprit virginal (lui-même) parfait. Elle est la [première] puissance, la gloire parfaite des éons, Barbélô, gloire de la manifestation… Elle est Matrice de tout car elle existe en toutes choses. Mère-Père, Homme Primordial, Esprit Saint, trois fois mâle, aux trois puissances, au triple nom androgyne, l’Éon éternel entre les invisibles et la première à avoir surgi".
NH II,1 – Le Livre des Secrets de Jean, 4,34 - 5,10
Chapitre 7 : VERS LA FRONTIÈRE DES CONVERGENCES
"Certains d’entre eux (les Simoniens) posent à la base de leur système un Éon, étranger à tout vieillissement, dans un Esprit virginal qu’ils nomment Barbélo : car en cet Esprit existait, disent-ils, un Père innommable. […] Celle-ci, voyant que tous les autres avaient leur conjoint, tandis qu’elle-même était privée de conjoint, chercha à qui elle pourrait s’unir ; comme elle ne trouvait personne, elle faisait effort et s’étendait, regardant vers les régions inférieures dans l’espoir d’y trouver un conjoint ; n’en trouvant point, elle bondit, mais elle fut accablée de dégoût parce qu’elle s’était élancée sans l’agrément du Père…"
Irénée de Lyon, Contre les Hérésies, extr. I,2
"Après que cela se fut produit, Pistis (Foi) arriva et apparut au-dessus de la matière du chaos qui fut rejetée comme un avortement car elle ne contenait pas d’esprit. Ce chaos-là, en effet, est ténèbres illimitées et substance aqueuse insondable. Et lorsque Pistis (Foi) eut aperçu ce qu’elle avait créé (par le passé) à cause de sa négligence, elle se troubla et ce bouleversement se révéla être un produit redoutable. Mais il s’enfuit pour errer dans le chaos. Elle, en revanche, se tourna vers lui et souffla sur son visage dans l’abîme qui est au-dessus des cieux… Un Archonte apparut alors hors des substances aqueuses, ressemblant à un Lion androgyne, portant un grand pouvoir, mais ne sachant pas d’où il était issu".
NH II,5 – De l’origine du Monde, 99,23 - 99,32 / 100,5 - 100,10
"[Pistis Sophia] sortit de sa propre place à la 13e région des Éons et elle descendit des douze Éons. Les régisseurs des Éons l’aperçurent et s’emportèrent contre elle parce qu’elle avait pensé à la grandeur… Elle pénétra dans les lieux du chaos, et s’avança vers le pouvoir de la lumière à face de lion pour le dévorer… Tous les défenseurs de la matière l’environnèrent… Ils la jetèrent dans le chaos, dont la moitié est de flamme et l’autre moitié de ténèbres".
Extr. Du Codex de Londres – Pistis Sophia
Chapitre 8 : DERRIÈRE LA LUMIÈRE DES APPARENCES
"La raison pour laquelle la Vierge (Barbélô) devint mâle : c’est parce qu’elle se sépara du mâle. La connaissance se tint en dehors de lui, mais elle relevait de lui. Or, elle qui existe, elle qui cherchait, elle la possède de la même manière que le [Triple-]Puissant. Elle se retira de ces deux [puissances] du fait qu’elle est [en dehors de] ce Grand Unique".
NH X – Marsane, 9,1 - 9,11
"Les Éons n’ont pas été faits à cause de la création, mais c’est la création qui a été faite à cause d’eux ; ils ne sont pas les images des choses d’ici-bas, mais ce sont les choses d’ici-bas qui sont leurs images. Ils rendent compte des images en disant que le mois a trente jours à cause des trente Éons du Plérôme, que le jour a douze heures et l’année douze mois à cause de la Dodécade, et ainsi de suite".
Irénée de Lyon, Contre les hérésies, extr. 2,2;3
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Dossier VidéOrandias :
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Dossier Secrets de la Bible :
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Panthère58, voir sur la page autant de dossiers m’exaspère…
Salut panthère58,
Le titre de mon message semble sévère, mais ce n’est pas le cas, il est dans le but simple d’un commentaire! Je commence par les fleurs et finir par le pot!
Tout d’abord je vous dois mes s’insère félicitations car, il faut avoir une grande passion et d’énormes jours de recherches, d’étude qui représente un travail de moines afin de compiler tous ces dossiers. Vos dossiers sont bien présentés et facile comme choix. Pour les gens du forum à qui les dossiers intéresses sont une mine d’or et bien compilé comme information.
Mais tous ce gigantisme peut devenir agaçant sur la répétition accrue de ce qui est représenté sur la page du forum. Je donne comme exemple : ‘’Dossier Anton Park de 2015 à avril 2017 représente une liste de 46 dossiers’’, Dossier Les Secrets de la bible # 2 de 2015 à avril 2017 représente 48 dossiers.
Alors ceci prend un grand nombre d’espace sur la page du forum, ce qui devient contraignant quand on veut lire ou répondre à un poste d’une autre personne, obligeant ainsi à descendre ou d’aller sur la page suivante etc. Sur tout après quelques heures ou après une journée ou deux. Ceci oblige en temps, une patience quand pour une personne qui a un temps limite autre. Ceci ne doit pas être un travail, mais une forme de loisir. Quand il faut chercher un sujet qui intéresse sur un poste d’un forumien qui semblait être pas si loin et que par inadvertance ou négligence en rapport au titre, fut oublier
Il se peut que vous trouviez cet exemple abusif, mais dans le cas, il existe quand même un fait. Mais comme j’affirme dès le début, ce travail de moines dois son mérite. Je me demande, s’il ne serait pas possible, faire autrement comme présentation et de pouvoir lire cette richesses d’une autre forme ou emplacement…
En ce qui me concerne, ceci est un point de vue et non, une critique!
A12
Panthère58, voir sur la page autant de dossiers m’exaspère…
J'ai procédé ainsi suite à l'exaspération de certains forumiens de voir apparaître en première page tous mes billets sur des dossiers précis qui, en plus, ne les interpellent pas et qu'ils se plaisent à dénigrer. En particulier ce qui concerne l'oeuvre d'Anton Parks.
Donc, c'est plus discret et je ne monopolise ainsi aucunement la bonne marche du forum puisque que ces billets n'apparaissent pas en première ligne, mais que temporairement dans le palmarès à droite, et disparaissent au fur et à mesure selon le débit de billets que les forumiens mettent sur le forum. Ceux qui s'y intéressent, savent où trouver mes dossiers.
Maintenant, ces pages sont bien antérieures et à peu près les seules personnes qui s'y intéressent sont celles qui sont extérieures au forum, qui font des recherches google ou bing, et tombent sur des liens du forum. Alors, si tu remarques le nombre de visites sur ces liens, ça donne une bonne indication. Et ces personnes arrivent sur un lien où les billets ne sont pas éparpillés mais regroupés. Donc, ils ont tout à la portée de la main.
Donc ces sujets attirent à Orandia nombre de nouveaux visiteurs, ce qui est un plus. Maintenant, ce n'est pas à moi que tu dois faire part de tes doléances, mais aux responsables du forum qui jugeront de la pertinence de disposer autrement si nécessaire.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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DOSSIER ANTON PARKS : NURÉA / ARCHONTES Partie 2
LE LIVRE DE NURÉA
Au début de chaque chapitre, Parks met un extrait en lien avec les « archontes » et son récit. Les voici donc en partage en vue du Congrès ESO701.
Éditions Pahana Books
2014
N.B. Il pourrait y avoir des erreurs de transcription de ma part.
3me PARTIE : TERRAFORMATIONS
Chapitre 1 : LE PREMIER JOUR DES GINA’ABUL
"On l’appelle Barbélô en vertu d’[une] pensée, la Vierge Mâle [p]arfaite à la triple ra[ce]. Quant à sa propre connaissance, c’est par son entremise qu’elle vint, pour qu’on ne l’[e]ntraînât point vers le bas et qu’elle ne s’éloigna pas davantage à cause de ceux qui existeraient par elle et ceux qui allaient suivre. Mais elle est simplement unique pour être [c]apable de connaître le Dieu préexistant, parce qu’elle était supérieure (à tous)… "
NH VIII,1 – Zostrien, 83,9 - 83,20
Chapitre 2 : LA MISE AU MONDE DE ÍA’ALDABAUT
"C’est alors qu’apparut venant d’elle une œuvre imparfaite et différente de sa propre forme, parce qu’elle l’avait créée sans son conjoint. (Cette œuvre) ne ressemblait en rien à l’aspect de sa mère, étant elle-même d’une autre forme. Lorsqu’elle se rendit compte que l’objet de son désir avait pris la forme contrefaite d’un serpent à face de lion, aux yeux flamboyants et étincelants, elle le repoussa loin d’elle hors de ces lieux…"
NH II,1 – Le Livre des Secrets de Jean, 10,4 - 10,12
Chapitre 3 : DESCENTE VERS LE CHAOS DES FORMES
"Mais maintenant, moi, je suis descendue et j’ai atteint le Chaos. Et j’étais [auprès] de ceux qui sont miens, qui sont en ce lieu-là, alors que [j’étais ca]chée en eux, [leur] donnant puissance. [Et] je leur [ai] donné image… J’ai parlé, moi, aux Archontes et aux Autorités. Je suis en effet descendue jusqu’au plus profond de leur langage et j’ai dit mes mystères à ceux qui sont miens, un mystère caché, (ainsi) les chaînes et l’oubli éternel furent anéantis. Et j’ai donné en eux du fruit, c’est-à-dire le souvenir de l’Éo[n] immuable et (celui de) ma demeure…"
NH XIII,1 – La Pensée Première à la Triple Forme, 40,29 - 40,33 / 41,24 - 41,31
"Le mystère de l’Ineffable connaît pourquoi a été faite la sévérité et pourquoi a été faite la miséricorde ; il connaît pourquoi ont été faits les reptiles et pourquoi ils doivent être détruits, il connaît pourquoi ont été créés les animaux et pourquoi ils doivent être détruits…"
Extr. Du Codex de Londres – Pistis Sophia
Chapitre 4 : FACE AUX TÉNÈBRES DU TEMPS
"En se connaissant [elle-même], [Barbélô] connut celui-là et elle devint (le) Ca[ch]é, [parce qu’]elle agit en ceux qu’elle [con]naît… […C’est dans] la eauté et l’[au]be de quiétude, de silence, de calme et de grandeur dont on ne peut retrouver la trace, qu’il est apparu. Il n’a pas besoin du temps ni n’est issu de l’éternité, mais il découle de lui-même, de sorte qu’on ne puisse aucunement en retrouver la trace. Il n’exerce aucune activité non plus sur lui-même, pour être dans un état de quiétude, il n’est pas non plus une Existence pour ne pas subir de privation. Il est, d’une part, un corps quand il est dans un lieu, d’autre part, il est incorporel quand il est dans ce qui lui est propre, étant une Existence sans être, alors qu’il existe pour tous, n’ayant aucun désir, mais il est un sommet de grandeur et il est supérieur à son immobilité…"
NH XI,3 - Allogène, 45,29 - 45,33 / 65,17 – 65,39
Chapitre 5 : LE SECRET DE L’INFORMATION FOSSILE
"Il est le premier Archonte, celui qui prit une grande puissance à sa mère. Puis, il s’écarta d’elle et partit à l’écart des liens où il fut enfanté. Il devint fort et se créa d’autres Éons flamboyants avec un feu lumineux qui existe (encore) maintenant. Et il s’unit à sa propre déraison et engendra pour lui-même des Autorités".
NH II,1 – Le Livre des Secrets de Jean, 10,21 – 10,28
"Et au-dessus de ce trône, il créa d’autres anges à forme de dragon appelés Séraphins, qui lui rendent gloire en tout temps. Puis il créa une Assemblée angélique, des milliers et des myriades sans nombre, semblable à l’Assemblée qui est dans l’Ogdoade…"
NH II,5 – L’Écrit sans titre, 105,18 – 105,23
"L’impudent (Archonte) déroba donc une puissance à sa mère. Mais il était ignorant, et pensait que nul autre n’existait si ce n’est sa mère seule. Voyant donc la foule des anges qu’il avait créés, il s’exalta au-dessus d’eux. Mais, lorsque la mère comprit que l’avorton des ténèbres était imparfait, elle comprit du même coup que son conjoint n’avait pas parlé d’une seule voix avec elle. Elle se repentit d’abondantes larmes".
NH II,1 – Le Livre des Secrets de Jean, 13,27 - 14,1
Chapitre 6 : L’HÉRITIÈRE DU CHAOS
"Ne pouvant donc franchir la Limite, parce qu’elle était mêlée de passion, et se voyant abandonnée, seule, au dehors, elle fut accablée sous tous les éléments de cette passion qui était multiple et diverse : elle éprouva de la tristesse, pour n’avoir pas saisi la Lumière ; de la crainte, à la perspective de voir la vie lui échapper de la même manière que la Lumière ; de l’angoisse, par-dessus cela ; et le tout, dans l’ignorance. À la différence de sa mère – la première Sagesse, qui était un Eon –, Achamoth, au milieu de ces passions, n’éprouva pas une simple altération, mais une opposition des contraires. Survint alors en elle une autre disposition, celle de la conversion vers celui qui l’avait vivifiée. C’est ainsi que s’expliquent, disent-ils, l’origine et l’essence de la matière dont est formé ce monde…"
Irénée de Lyon, Contre les Hérésies, extr. I,3
Chapitre 7 : LA MÈRE DU TONNERRE
"Et la prière de sa repentance fut entendue. Et le plérôme tout entier de l’invisible Esprit virginal intercéda en sa faveur. Et l’Esprit invisible fit un signe d’assentiment et ayant fait ce signe, l’Esprit Saint répandit sur elle ce qui provient du plérôme tout entier. En effet, ce n’est pas son conjoint qui est venu vers elle mais vint alors vers elle (ce) qui provient du plérôme afin de redresser sa déficience. Et elle fut enlevée non pas jusqu’à son propre (éon), mais au-dessus de son fils, de sorte qu’elle est dans le neuvième éon, jusqu’à ce qu’elle ait redressé sa déficience".
NH II,1 – Le Livre des Secrets de Jean, 14,2 – 14,9
"La Puissance venue d’en haut (Barbélô / Prounikos), en montrant sa beauté aux Archontes qui ont créé le monde les a amenés à un désir furieux d’elle-même, et c’est bien pour cela qu’elle avait été envoyée en vue de spolier ; à cause d’elle, en effet, ces mêmes Anges en arrivèrent à se faire la guerre ; elle-même n’en pâtit pas, mais elle les amena à s’entre-tuer à cause du désir d’elle qu’elle leur avait inoculé. Alors, la retenant pour l’empêcher de remonter au ciel, ils avaient commerce avec elle, chacun s’accouplant à un corps d’apparence féminine ou femelle, alors qu’elle-même passait de corps féminins dans divers corps de nature humaine, bestiale ou autre, afin que, par leurs propres actes, en tuant et en étant tués, ils fassent diminuer leur nombre par effusion du sang, et qu’ensuite, concentrant sa puissance, elle puisse de nouveau monter au ciel."
Saint Epiphane, Hérésie 21, 2, 5-6
Chapitre 8 : LE RÉVEIL DE NURÉA
"Ils entendirent (Noréa) et ils la reçurent au Lieu qui est sien en tout temps. Ils lui donnèrent le Père, l’esprit-image, ainsi que les deux voix des êtres saints… afin que [Noréa] put hériter du Premier esprit qu’elle avait reçu, et reposer dans l’Autogène divin, et s’engendrer d’elle-même dans la mesure où elle hérita aussi du soleil vivant, et se joindre à tous les Impérissables, et demeurer dans l’esprit du Père, et (aussi) afin de parler avec les paroles de la vie, et demeurer en présence de celui qui est élevé, en détenant ce qu’elle reçut avant le jour où le monde fut ".
NH IX, 2 – Noréa, 27,22 – 29,18
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
DOSSIER ANTON PARKS : Transformers 5 / Corpus Dea
Bande annonce Transformers 5 : Le Dernier Chevalier / The Last Knight
Sortie en salles : Été 2017
Anton Parks : Corpus Dea
Le Livre est en phase de finitions. Les précommandes numérotées et dédicacées par l'auteur sont de nouveau disponibles.
Prévision de publication entre fin juin et juillet 2017.
Chers lectrices et lecteurs,
Ce nouveau livre de recherche s'inscrit dans ma série d'essais et fait suite à La Dernière Marche des Dieux publiée en 2013. Mon enquête reprend précisément là où elle s'achevait avec mes recherches sur le Moïse historique.
Initialement prévu comme une enquête placée en annexe du futur tome 4 des Chroniques du Gírkù, cette étude sur le Graal primitif et les Templiers s'est étoffée au fil des années pour devenir un ouvrage unique intitulé Corpus Deae ("le Corps de la Déesse").
Que découvrirent les Templiers à Jérusalem qui leur procura puissance et respect ? Le Graal ? L'Arche de Moïse ? Ou bien avaient-ils réellement la mission initiale de protéger les pèlerins chrétiens en quête d'exaltations et de libération du Saint-Sépulcre ? Vaste sujet maintes fois abordé dans d'autres études, mais limité par l'ivresse d'un mystère sans cesse renouvelé et surtout réduit à un symbolisme souvent mal interprété.
Très concrètement, je ne propose pas un énième ouvrage sur les Templiers, ni même une recherche sur leurs meurs et coutumes. Beaucoup d'études très sérieuses répondent admirablement à ces questions.
Corpus Deae ne va pas non plus se perdre dans des recherches infinies sur le "contenant" et "contenu" d'un Graal énigmatique et inaccessible au commun des mortels, ni même s'égarer dans les sillages légendaires de Joseph d'Arimathie ou de Marie-Madeleine...
Non, j'invite plutôt le lecteur à me suivre sur des sentiers jusque-là inexplorés, mais très concrets, grâce à la mise en lumière de textes sacrés tirés du Proche-Orient ancien. Ces documents contemporains d'Akhenaton faisaient très certainement partie de sa grande bibliothèque d'el-Amarna. À la fois égyptiens et akkadiens, donc rédigés dans la langue diplomatique de cette époque, ces papyrus et tablettes d'argile racontent une même histoire connue des scribes d'Égypte et de Babylonie : celle du Graal primitif et du Mystère de la déesse des Origines, source de puissance et de pouvoir.
Le voile d'Isis va-t-il enfin se lever et divulguer aux yeux du profane le Secret le plus inavouable au monde ? Dissimulé à tout prix par les Templiers, au sacrifice même de leur vie, ce fameux Secret aurait pu ébranler les trois grandes religions monothéistes...
D'avance merci pour votre soutien !
Anton Parks
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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DOSSIER ANTON PARKS : Transformers 5 / Corpus Dea
les Templiers n'ont pas fait plus de sacrifices de leurs vies que les autres..!!!
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équilibre, harmonie.
DOSSIER ANTON PARKS : Transformers 5 / Corpus Dea
les Templiers n'ont pas fait plus de sacrifices de leurs vies que les autres..!!!
Salut! Gédéon et bon retour!
De quels autres tu parles? En général ou quoi? En tant que templiers ils étaient quand même plus exposés, si on peut dire...
DOSSIER ANTON PARKS : Transformers 5 / Corpus Dea
les Templiers n'ont pas fait plus de sacrifices de leurs vies que les autres..!!!
Ce qui est important ici, ce n'est pas la voix post synchro d'Anthony Hopkins qui parlent de « sacrifice » dans la bande-annonce, mais la synchronicité entre la sortie du livre de Parks et la sortie en salle du film des Transformers. J'ai toujours signifié que la symbolique des Transformers était très forte concernant les origines de l'Humanité. Ici, le thème abordé est de plus sensiblement le même sur le fond, du moins en apparence. J'ai juste hâte de voir le film pour voir le traitement du sujet sur la forme, ainsi que de lire le livre.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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TAU ELÉAZAR : Nouvel auteur chez PAHANA BOOKS
Bonjour à tous,
Nous avons le plaisir de vous annoncer l’ouverture des Editions Pahana Books à de nouveaux auteurs sur les thèmes de l’histoire des civilisations anciennes, les origines de l’humanité, ésotérisme, science-fiction et mémoires du passé...
N’hésitez pas à nous faire parvenir vos manuscrits que nous étudierons avec attention et vous en ferons le retour sous 30 jours après réception.
Pahana Books est un éditeur libre publiant depuis 2012 les œuvres d’Anton Parks :
* La dernière marche des Dieux
* Le livre de Nuréa
* Le secret des étoiles sombres – version revue et corrigée 2016
* Le chaos des Origines
* Corpus Deae
Pour envoyer votre manuscrit :
* par courrier : Editions Pahana Books – 5 rue des Ormes – 68170 Rixheim
* par mail : media@pahanabooks.com
Nous avons sélectionné pour vous notre tout premier auteur après Anton Parks : TAU ELEAZAR et son manuscrit LA MAGIE DU GRAND NORD – Illustrations d’Emmanuel Schaal - sortie début mars 2018
De la magie du Grand Nord, nous avons à peu près tous entendu parler de ses symboles divinatoires que sont les runes.
Mais connaissez-vous Mjöllnir le marteau de Thor?
Aeghisjalmur le sceau qui procurait la terreur aux ennemis, Vegvisir, Ginfaxi, l’arbre mystique Yggdrasil, le rituel des dragons ?
Beaucoup moins n’est ce pas?
Tau Eléazar nous permet ici d’accéder aux secrets des symboles, que seuls les initiés détenaient et gardaient précieusement pour eux jusqu’ à ce jour.
Pourtant féru d’ésotérisme, nulle part encore je n’avais trouvé de manuscrit recueillant autant d’éléments sur la manière d’utiliser et de comprendre les symboles Vikings.
Savez-vous comment lire un symbole au-delà de son graphisme?
Connaissez-vous la force d’un rituel pour les interpréter au-delà des mots?
Car ce ne sont pas des Talismans que l’on jette au hasard sur une table en espérant qu’ils nous révèlent leur mystère
sans que nous soyons préparés et ouverts à leur énergie.
Il convient de savoir communiquer avec eux, de les intégrer en nous ou mieux, d’entrer dans leur monde pour ne faire qu’un avec leur message.
Tau Eléazar a réussi par son discours épuré à créer une approche de cette connaissance et le pouvoir de la Magie du Grand Nord.
Les précommandes sont lancées sur notre site http://www.pahanabooks.com/book.php?lang=fr&book=lamagiedugrandnord
Bien entendu tout livre précommandé sera numéroté et dédicacé par l’auteur.
Bien cordialement
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
TAU ELÉAZAR : Nouvel auteur chez PAHANA BOOKS
A voir ce lourd dossier, le comprend votre requête spéciale…