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VOR150801 VidéOrandia - 31 - Semaine du 1 août 2015

par panthère58, Monday 03 August 2015, 19:36 (il y a 3405 jours) @ Spyrale

:-) Le Réveil du Phénix

[image]
2010 Éd. Nouvelle Terre

http://www.antonparks.com/main.php?page=reveil_phenix

Préface
du
Réveil du Phénix

par James G. Rooms

Extrait : Une loi des cycles régissant l’ensemble de l’univers veut qu'après avoir atteint son sommet, un système décline, arrive à son point d'achèvement, puis est suivi de conditions nouvelles. Actuellement, nous semblons pris entre l’agonie d'un monde aux structures périmées et les douleurs de l’enfantement d'une ère nouvelle. Nous sommes entrés dans une période où tous les événements vont se précipiter : montée des fanatismes, conflits sociaux, pandémies, violences urbaines, crises économiques, pollutions, dérèglement climatique... Ces dernières années, un nombre record de catastrophes naturelles a été enregistré, ce qui a fait dire à certains que nous serions entrés dans une période post apocalyptique. Mais qu’est-ce au juste que l’Apocalypse ?

L’Apocalypse est un texte eschatologique majeur attribué à l’apôtre Jean. Il décrit la fin des temps et les catastrophes qui l'annonceront. Il fait état d’une révolte des éléments contre une humanité qui en a probablement trop joué. Il décrit une époque d’intervention divine dans les affaires humaines. Il y a jugement, sanction et actions directes de Dieu sur la terre. Les visions hallucinantes de Jean évoquent des frayeurs si puissantes qu'elles ont enflammé les esprits durant de nombreux siècles. Bien des artistes ont puisé à cette source inépuisable les thèmes de leurs œuvres maîtresses.

Mais si l'Apocalypse offre, en apparence, la vision symbolique d'une révélation ultime que certains ont interprétée comme étant la fin du monde, s’il n'évoque pour le public qu'une longue suite de cataclysmes, son véritable sens désigne bien autre chose. Le mot "apocalypse" provient du terme grec apocalupsis et signifie "lever le voile", "révéler". En Grèce, le terme désignait des ouvrages au langage chiffré. L’Apocalypse vise avant tout à rendre visible et compréhensible des éléments qui furent dissimulés au monde profane durant des millénaires. Le texte se présente comme la révélation de choses demeurées cachées. Il est question d’une connaissance, d’un savoir secret qui sera révélé aux hommes aptes à le comprendre. Il est clairement indiqué que le moment venu, ceux qui auront le "discernement" (l’intelligence) pénétreront le sens des prophéties… Il s’agit d’un éveil des consciences, d’un changement de vibration et de polarité, laissant augurer un bouleversement complet de nos systèmes de croyances.

Cette connaissance cachée est liée à l’antique serpent, car l’Apocalypse vient clairement faire obstacle au diable et à son emprise sur le monde. La prophétie raconte comment l’humanité sera délivrée du joug du grand reptile et révèle que la guerre opposant les forces de la Lumière à celle des Ténèbres sera enfin résolue. Elle décrit le jugement de Dieu dans les "derniers jours" pour tous ceux qui auront vénéré la "Bête". Et ses adorateurs seront nombreux : "Et ils adorèrent le dragon… Ils adorèrent la bête, en disant : « Qui est semblable à la bête et qui peut combattre contre elle ? » - Apocalypse. 13 :4. « Et tous les habitants de la terre l’adoreront…/… car le « grand serpent a séduit toute la terre »- Apocalypse. 12 :9.

Le serpent est au centre de l’Apocalypse et il est aussi au cœur de l’œuvre magistrale d’Anton Parks. En nous dévoilant le mystère de nos origines, Parks a brisé un sceau et ce sceau, une fois brisé, va certainement en entraîner quelques autres dans son sillage… Parks apparaît comme un éveilleur de consciences. Il est incontestablement l’un de ceux qui ouvrent la voie. C’est grâce à des chercheurs tels que lui que nous progressons dans notre quête de vérité. Et si certains esprits étriqués ou empreints de dogmatisme préfèrent ignorer ces signaux, s’en moquent ou n’y croient tout simplement pas, d’autres plus ouverts y voient l’annonce d’un changement radical de civilisation. Malgré la chape de plomb des tabous et des dogmes, nous sortons peu à peu de la léthargie dans laquelle l’Eglise, les religions, les gouvernements, le monde scientifique et les sociétés secrètes nous ont volontairement laissés.

Le serpent est incontestablement lié à un ou plusieurs événements traumatisants, profondément enracinés dans notre passé. Animal sacré et fabuleux, gardien des trésors enfouis, détenteur de la connaissance secrète, initiateur, figure de l’inconscient collectif, emblème phallique, tour à tour angélique et diabolique, créateur et destructeur, il pose la question fondamentale des rapports duels existant entre l’homme et l’univers, la matière et la spiritualité, les forces psychiques et la raison, la Lumière et les Ténèbres. Déifié dans toutes les cultures et les civilisations, il est porteur d’un grand nombre de messages contradictoires. Né des profondeurs de la terre et du domaine aquatique, il détient le secret de nos origines. Des divinités humano reptiliennes figurent dans les théogonies du monde entier en tant que précurseurs des hommes. Elles participent activement aux premières énergies créatrices. Et si une majorité de savants préfère penser que les êtres étranges peuplant nos mythes ne sont que des grands archétypes universels, des images fabuleuses, des figures emblématiques, des chercheurs audacieux comme Anton Parks, naviguant à contre-courant de la pensée unique, estiment que ces légendes non expurgées dissimulent l’énigme de nos origines.

Que savons-nous au juste de notre genèse ? Existe-t-il une vision objective et impartiale de l'état actuel de nos connaissances sur les origines de l’humanité et une ultime réponse convaincante quant à savoir comment et pourquoi la vie est apparue sur la terre, il y a environ 3, 8 milliards d’années ? L'homme actuel (l'homo sapiens) qui a connu une explosion démographique il y a seulement 200.000 ans est toujours à la recherche désespérée de ses origines. Il demeure, comme au premier jour, un éternel curieux qui tente de comprendre le sens de la vie en général, et surtout le pourquoi et le comment de sa création. Ses questions existentielles n’ont toujours pas trouvé de réponse…

Le fossé est immense entre les millions d’individus qui continuent à croire obstinément aux principes de la théorie de l’évolution de Darwin, et les millions de créationnistes qui s’accrochent désespérément à leurs dogmes surannés. Les travaux de Darwin présentent de nombreuses lacunes et incohérences, notamment au niveau de l’existence (supposée) d’espèces intermédiaires. Il s’avère impossible, au départ d’une poignée d’ossements parfois frauduleux, d’édifier une science exacte. C’est en Afrique australe que fut découvert le crâne de l’Australopithèque censé définitivement représenter aux yeux du monde entier, le précieux "chaînon manquant". Prouver à tout prix la filiation directe entre l’homme et le singe, est devenu une telle nécessité pour les paléontologues et les scientifiques, que le débat principal portant sur d’autres découvertes tout aussi importantes mais déstabilisantes, a été censuré. Contre toute objectivité, la théorie de l'évolution continue à jouir d'une acceptation quasi unanime de la part des savants. Son statut est semblable à celui dont jouissait autrefois le récit de la création de la Bible !

Face aux esprits puristes et pompeux de la science, face aux croyants rivés à leurs dogmes inébranlables, il existera toujours des chercheurs rebelles prêts à tout pour faire jaillir une autre vérité. Ils continueront à rassembler un nombre impressionnant de faits, d'éléments insolites, de manifestations extraordinaires constituant autant de "pièces à conviction" à verser dans l'énorme dossier des énigmes de l’histoire humaine. Toutes les grandes révolutions furent portées par des esprits brillants, indépendants et novateurs. Ces visionnaires téméraires eurent le courage de braver les courants où régnaient en maître l’obscurantisme et la pensée unique. Parks est de ceux-là.

Au travers de ses propres découvertes, de son étonnante expérience personnelle et avec la complicité de son épouse Nora, Anton Parks nous fait découvrir une toute autre genèse. N’hésitant pas à franchir le cap de la critique et des deux thèses habituellement exposées, l’auteur parvient à synthétiser la nouvelle hypothèse qui remporte actuellement de plus en plus de suffrages, celle de l’origine extraterrestre (exogène) de la vie. Récemment, une équipe de savants chinois a affirmé avoir découvert des gênes extraterrestres dans l’ADN humain ! Ce groupe de chercheurs pense que les 97% des séquences non codantes de l’ADN humain représentent un code génétique de formes de vie extraterrestres… Et ces séquences seraient communes à toute la matière organique présente sur terre ! Toutefois, dans l’ADN humain, elles constitueraient la plus grande partie du génome, a déclaré le professeur Sam Chang qui supervise les travaux, de quoi déstabiliser plus d’un mandarin de la science officielle !

Relier les anciens textes sacrés à l’exogenèse de l’humanité et aux témoignages contemporains de rencontres du 3ème type, est une envie à laquelle de moins en moins d’auteurs résistent. Avant Parks, des pionniers avaient établi cette relation à travers la Bible puis, plus récemment, avec les écrits sumériens et les parchemins gnostiques de Nag Hammadi. Cette vision originale des mythes fondateurs de l’humanité a le mérite de donner une cohérence à des récits anciens faisant état d’entités venues des étoiles qui furent considérées comme des dieux par les peuples anciens. Le décodage particulier des écrits religieux portant sur la genèse du monde met en relief des informations très précises sur la nature de ces créatures probablement d’origine extraterrestre qui revendiquèrent le rôle de pères créateurs.

Anton Parks confronte ses lecteurs à une quantité d’informations cohérentes à propos d’une civilisation que bon nombre d’historiens et de chercheurs qualifient, à juste titre, de "berceau de l’humanité". La culture religieuse sumérienne fait amplement allusion à la colonisation de notre planète par des créatures que les Sumériens appelaient les "Anunnaki" ou fils d’Anu (An), le Dieu suprême. La grande majorité des tablettes d’argile retrouvées relatent les aventures des guerriers Anunna. Elles racontent leur arrivée sur terre, leur colonisation et la création de la créature humaine qu’ils transforment en bétail et réduisent en esclavage. Alors que d’autres chercheurs présentent les Anunna comme une race monolithique composée de plusieurs clans d’une même famille qui s’opposent, Anton Parks évoque de nombreuses entités provenant d’autres dimensions de l’espace appartenant à la race des Gina’abul, mot signifiant "lézard" en sumérien.

Selon lui, les dieux reptiliens de l’antique Sumer ont fait main basse sur une partie de la banque génétique du vivant, l’ont prise en otage pour la détourner et servir leurs propres ambitions : le pouvoir. Ses chroniques évoquent une longue suite de combats et de rivalités entre différents clans, ceux défendant le culte de la déesse mère et les intérêts de la "Source" d’une part, et les mâles arrogants désirant imposer leur domination dans l’univers d’autre part. Ces derniers ont dérobé et détourné les caractéristiques du génome humain afin de fabriquer une sorte de chimère hybride qui devait leur servir d’esclave et accessoirement de nourriture.

Suite à l’intervention d’un "Dieu rebelle", le serpent instructeur de la genèse, le Lucifer chrétien, le Dieu Ea-Enki sumérien, l’Osiris des Égyptiens, un autre modèle humain, plus autonome que prévu, doté du discernement entre le bien et le mal et d’une intelligence, a vu le jour. Cette création fut perçue comme une insulte par les dieux jaloux. C’est de cette étrange histoire largement déformée que s’est inspirée la Bible pour construire la doctrine judéo-chrétienne. La terre n’est qu’un vaste laboratoire et nous sommes le fruit d’une expérience génétique. A l’origine, nous avons été créés pour servir. C’est l’un des secrets bien gardés, sous le voile des dogmes, un secret qui peu à peu est dévoilé au public grâce à des auteurs courageux comme Anton Parks. Pour lui, il ne fait plus aucun doute que les diverses manipulations génétiques entreprises par les "dieux" extraterrestres aboutirent à la création de "l’Homo sapiens".

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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908

P(3)58

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