S'il n'y a pas d'argent,il faudrait revenir au troc?Je t'échange 100 poules contre 5 vaches...mais je n'ai pas de poches assez grosses pour les mettre...laisse faire..
????Ce n'est pas réaliste.Dans la vie toutes choses et tout le monde a une valeur.Qu'est-ce qui détermine la valeur d'une chose ou de quelqu'un?La loi universelle de l'offre et de la demande!(Cour d'économie 101!)
Personnellement,j'aime avoir de l'argent pour pouvoir m'acheter ce que je veux ou ce que j'aime.C'est platte ne pas avoir assez d'argent pour pouvoir se payer un "gugus".Mais que voulez-vous,c'est la vie!
De plus,il y aura toujours une "élite"!Ou si vous préférez,des prvilégiés au top de la pyramide.Si les considérations pour en faire parti n'est pas l'argent,alors se sera autre chose.Par exemple,le niveau académique,le niveau intélectuel,le niveau d'ancienneté dans le club,etc.
Si on est exclus,cela ne veux pas dire que l'on soit condamné à être malheureu.Matériellement,il y a des gens qui se contentent de peu et parviennent quand même à être heureux.Tout est dans la façon de voir les choses.Actuellement,il y a des gens qui sont très bien dans leur peau tout en vivant parmis nous,dans le même système que nous,dans le même environnement que nous.Et ils ne se plaignent de rien,ils acceptent la vie tel qu'elle se présente avec sérénité.Ils savent s'adapter à toutes sortes de situations impossibles.Ils les prennent comme un défis ou un jeu.Ils se conditionnent le mental pour relever toutes sortes de défis et ils en redemandent!Ils ne souffrent pas,n'ont pas de peines ni de frustrations.Ils sont biens et les problèmes n'existent pas car ce sont des défis et jeux que la vie leur apportent et sinon eux-même les provoquent pour rendre leur vie encore plus palpitante.Eux c'est tout le monde.Pas besoin de personne,la lourdeur de la vie est une envie,le cerveau et les pensées se conditionnent pour rendre l'indigeste agréable en bouche.Bientôt de nouvelles percées scientifiques,technologiques,médicales,pharmacologiques,thérapeutiques feront de nous des B.R.E.S.S.S.(Bons Robots Esclaves Soldats Serviteurs Soumis) et nous serons heureux ainsi car nous serons programmés pour l'être.
![[image]](images/uploaded/2013071116582351df1c6fbdfc0.jpg)
tel est notre destin
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C'est exactement le projet du Paradisme.
UN MONDE SANS ARGENT
Quand toute la production et les services seront donnés aux robots et mis à la disposition de tous, il n'y aura plus besoin d'argent. Les ressources seront partagées et utilisées avec sagesse afin de donner à tous le confort, la santé et les loisirs auxquels nous avons droit.
Plus rien ne s’achètera pour un prix. Toute création ou contribution sera offerte aux autres. L’amour sera la nouvelle monnaie d’échange.
C'est bien moins compliqué que ça. Juste à aller chercher l'argent où elle est et la redistribuer. Mais pour ça, il faut une volonté politiqyue et surtout de la population qui ne veut rien savoir de ça. Le chacun pour soi et le tout pour moi est maître et pour longtemps.
]]>UN MONDE SANS ARGENT
Quand toute la production et les services seront donnés aux robots et mis à la disposition de tous, il n'y aura plus besoin d'argent. Les ressources seront partagées et utilisées avec sagesse afin de donner à tous le confort, la santé et les loisirs auxquels nous avons droit.
Plus rien ne s’achètera pour un prix. Toute création ou contribution sera offerte aux autres. L’amour sera la nouvelle monnaie d’échange.
C'est on ne peut pas plus exacte aiki, car je sais très bien ce que vous voulez dire dans cette courte phrase, qui pour moi résonne au-delà de mes sens comme un message qui se situe dans les sphères quantiques.
Il faut avoir vécu ce genre d'expérience pour comprendre que le verbe « comprendre » est très loin du verbe « saisir ». Car dans le verbe saisir existe la présence de l'essentiel où le TOUT est en UN qui et est bien au-dessus de tous les verbes typiquement rationnels de notre langage courant.
Bref, je vous comprends, vous me comprenez, et nous nous comprenons sans avoir recourt à des mots limitatifs qui n'expliquent finalement rien de très profond, sinon qu'un vide que nous nous efforçons à combler avec des mots, qui trop souvent nous créent des maux.
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