sur Actu QC : Legault et le Campement: Fermeté ou Dérapage ?
https://www.youtube.com/watch?v=cr4P9f2NyHI
Et le SPVM dans tout ça préfère-t-il étire la sauce le plus longtemps possible en temps supplémentaires ou se mouiller et oser démanteler des campements afin les risques de dérapages qui risquent de survenir...?
]]>
«On n’est pas comme ça au Québec»: Valérie Plante veut éviter les confrontations sur les campements
https://www.youtube.com/watch?v=gGJEROB1Cw4
Pendant que la KAQ persiste et signe en pensant que c'est possible retirer les campements sans créer des réactions houleuses et épîdermiques en théâtre opérantionnel....
eT un ministre de la sécurité publique qui se démarque par son immobilisme et son rôle de figuration en temps que ministre...un ministre qui fait très peu pour rassurer la population de plus en plus inquiète d'un sentiment d'insécurité grandissant dans la métropole et partout ailleurs au Kébec...
Ha ha ha...
Sauf si vous êtes pro Isralien dans le secteur vous allez être rapidement évincé....
TVRat...L'Université McGill dépose une nouvelle requête
]]>''on'' se semande bien pourquoi... deux poids deux mesures...
https://montrealgazette.com/news/local-news/montreal-police-remove-pro-israel-protester...
Montreal police remove pro-Israel protesters from McGill University campus
The protesters faced off with members of the pro-Palestinian encampment that has been on campus since April 27.
Author of the article:
Harry North • Special to Montreal Gazette
Published May 17, 2024 • Last updated 6 minutes ago • 3 minute read
Protestors hold up signs about the Israel-Hamas war on McGill University's campus.
Pro-Israel protesters outside the pro-Palestinian encampment on McGill's campus on Friday, May 17, 2024. Photo by Harry North
Article content
Tensions escalated at the McGill University campus on Friday as Montreal police intervened in a confrontation between pro-Palestinian and pro-Israeli protesters.
Pro-Palestinian protesters have been camping at the university since April 27, despite two attempts — one by students and one by McGill — to have a court order the removal of the encampment.
Article content
Two pro-Israeli protesters, holding signs reading “We witnessed Oct. 7. Ask us anything,” arrived on campus on Friday, accompanied by private security guards.
]]>Pro-Palestinian Protest
https://www.youtube.com/watch?v=bkcQszdu2Z8
Les fins observateurs remarqueront que le SPVM (police de Montréal) se tient à carreau (En temps supp$)...
Aucune idée pourquoi...
Mettons qu'avec Un Pm Lagaffe en Vrac, ça n'Aide pas la situation épineuse....
ça finit par coûter très cher dèjà que le budget de la police est plombé...
]]>https://twitter.com/fbonnardelCAQ/status/1790786310053183703
''Réaction au jugement McGill :
Nous prenons acte de la décision rendue aujourd’hui par la Cour supérieure. On va prendre le temps de l’analyser.
Notre position demeure la même et nous appuyons la demande de McGill.
Nous ne ferons pas d’autres commentaires pour le moment.''
On, on exclus la personne qui parle, un ministre en position d'autorité et un SPVM en pleine maîtrise du dossier (sarcasme évidemment)
Jouons à La Tentes Musicale, ça te tentes-tu...
]]>KAQ et MC Gill zéro
;0)
Allons célébrer ce soir la Victoire et la Défaite de la KAQ...
https://www.journaldemontreal.com/2024/05/15/capement-propalestinien-la-demande-dinjonc...
L'université a échoué à convaincre la Cour supérieure du Québec qu'il était urgent de démanteler le campement
Campement propalestinien: la demande d'injonction de McGill est rejetée - explications 11h
PARTAGE
Michael Nguyen
Mercredi, 15 mai 2024 11:31
MISE À JOUR Mercredi, 15 mai 2024 12:10
McGill a échoué dans sa tentative d’obtenir une injonction pour mettre fin au campement propalestinien installé sur son terrain du centre-ville de Montréal.
• À lire aussi: Campement propalestinien: front commun contre la demande d’injonction de McGill
• À lire aussi: Campement propalestinien: une dizaine de tentes érigées sur le site de l’Université de Sherbrooke
• À lire aussi: Campement à l’UQÀM: une enquête ouverte pour vol d’équipements
« Le tribunal rejette la demande », peut-on lire dans la décision du juge Marc St-Pierre, en affirmant que l’université ne remplit pas le critère d’urgence.
Il note par ailleurs que certaines ordonnances demandées par l’université sont « à leur face même mal fondées ».
C’est donc une victoire pour plusieurs organismes, qui s’opposaient à la demande en rappelant le droit de manifester.
« Ça fait partie de la liberté d’expression, c’est particulièrement important car ça montre que les voix juives et palestiniennes peuvent être ensemble, qu’il n’y a pas deux solitudes », avait dit Me Julius Grey, qui représente l’Association des Palestiniens et Juifs unis.
Aucune violence
Installés dans des tentes depuis deux semaines, les manifestants ont déjà fait l’objet d’une demande d’injonction par deux étudiants, mais ces derniers avaient échoué à prouver qu’il était urgent que le tribunal agisse.
Et dans le cas présent, le juge a été du même avis, d’autant plus que « McGill ne peut faire état d’aucun incident sérieux ou violent depuis l’érection des premières tentes sur le campus le 27 avril 2014 ».
« Même une confrontation avec des contre-manifestants le 2 mai 2014, invoquée par McGill, s’est faite pacifiquement grâce notamment ou principalement à l’intervention de la police municipale et peut-être aussi à cause de la retenue des manifestants et des contre-manifestants », a indiqué le magistrat.
En fait, le seul événement qui aurait pu justifier une intervention urgente est la collation des grades prévue à la fin du mois, là où est érigé le campement.
« Toutefois, dans leurs propres allégations [...], l’université explique avoir trouvé une voie de sortie alternative pour tenir la cérémonie », note le juge en affirmant que cette « sage décision de relocalisation de l’événement » faisait en sorte que le critère d’urgence n’était plus du tout rempli.
Questions complexes
Le magistrat a toutefois noté que le dossier soulevait des « questions complexes », notamment la balance entre le droit de jouir de sa propriété et la liberté d’expression. Car même si les manifestants ont le droit de manifester, reste qu’ils le font sur une propriété privée, avait-il été dit lors de l’audience lundi.
« Une analyse plus approfondie que ce qui se fait normalement dans un contexte d’injonction provisoire est souhaitable », a indiqué le magistrat.
Mais d’ici à ce que débat se fasse, les manifestants pourraient rester sur le campus de l’université McGill, à moins d’événements qui justifieraient un démantèlement.
]]>MAis diantre c'est pas parce que vous préféré le Kébec malgré son bouton d'acné de la KAQ?
Conflit Israël-Hamas: une fête de l'indépendance sous très haute surveillance policière
Des manifestants pro-palestiniens font sentir leur présence en périphérie du rassemblement
Conflit Israël-Hamas: une fête de l'indépendance sous très haute surveillance policière
MAXIME DELAND/AGENCE QMI
PARTAGE
Jonathan Tremblay
Mardi, 14 mai 2024 13:43
MISE À JOUR Mardi, 14 mai 2024 13:43
Un rassemblement pour souligner le 76e anniversaire de la création de l'État d'Israël se déroule présentement sous très haute surveillance policière et sous le regard d’une centaine de manifestants palestiniens mécontents dans le centre-ville de Montréal.
«On a plusieurs effectifs sur le terrain pour la manifestation», a indiqué l’agent Jean-Pierre Brabant, du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), en fin d’avant-midi, mardi.
En effet, des dizaines de voitures de patrouille du SPVM, des autobus, des agents à vélo et des membres du groupe de support et interventions spécialisées sont présents non loin de la place du Canada où la foule est réunie, depuis tôt en matinée.
Conflit Israël-Hamas: une fête de l'indépendance sous très haute surveillance policière
Jonathan Tremblay/ JdeM
Cette manifestation annuelle se déroule cette année sur fond de tensions, alors que le conflit se poursuit entre Israël et le Hamas, à Gaza.
Du côté sud du boulevard René-Lévesque, des milliers de manifestants se sont réunis vers 11h pour célébrer la déclaration de l’indépendance d'Israël, le 14 mai 1948.
Conflit Israël-Hamas: une fête de l'indépendance sous très haute surveillance policière
Jonathan Tremblay/ JdeM
«Joyeux 76 ans», peut-on entendre au micro, alors que les gens tout sourire brandissent haut et fort leur drapeau blanc et bleu.
Conflit Israël-Hamas: une fête de l'indépendance sous très haute surveillance policière
Jonathan Tremblay/ JdeM
Du côté nord de l'artère, plus d’une centaine de manifestants palestiniens mécontents, certains cagoulés, aussi munis de drapeaux, scandent des slogans visant à culpabiliser ceux qui chantent et dansent en face d'eux.
Conflit Israël-Hamas: une fête de l'indépendance sous très haute surveillance policière
MAXIME DELAND/AGENCE QMI
On peut y entendre: «Tasse-toi, Israël, la Palestine n’est pas à toi!», ou encore: «Israël, terroriste, Canada, complice!», alors qu’ils font le décompte des dizaines de milliers de citoyens, dont des enfants, qui ont été tuées depuis le début du conflit israélo-palestinien.
Conflit Israël-Hamas: une fête de l'indépendance sous très haute surveillance policière
MAXIME DELAND/AGENCE QMI
Pendant ce temps, les forces policières s’assurent que tous les manifestants demeurent derrière les rubans orange installés pour délimiter leurs périmètres respectifs de manifestation.
«À date, on ne rapporte aucun débordement», a affirmé l’agent Brabant.
Conflit Israël-Hamas: une fête de l'indépendance sous très haute surveillance policière
Jonathan Tremblay/ JdeM
La fête israélienne est prévue jusqu’à environ 15h.
Par ailleurs, des manifestants propalestiniens font toujours campement à l’Université McGill et à l’Université du Québec à Montréal, depuis la fin avril.
https://www.journaldemontreal.com/2024/05/14/conflit-israel-hamas-une-fete-de-lindepend...
à force de ''Branler dans le manche'' et laver son linge sale en publique, les campements font tâches d'encre.... mais jusque où ça va s'Arrêter...?
Salut Jeromec,
1er amendement : Liberté d'expression et de protestation
Évoqué par M. Wayne Lich lors du Convoi de la Liberté.
C'est pas rien!
« Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous ayez le droit de le dire »
- VolTàTaire...
Mon Dieu, gardez-moi de mes amis. Quant à mes ennemis, je m'en charge !" Voltaire · -
Voltaire...
Bon, quelle belle occasion de bondir dans la mêlée pour faire savoir aux superviseurs du SPVM qui en a qui n'ont pas digéré les amendes délirantes de 1550$ pour ceux qui ont marché dans la rue pas de masques(alors que les élus et la police eux-mêmes ont transgressés ad nauséam cette règle salvatrice...)
Je me magasine une Tente Snoopy
Let's Go La CAQ...
https://www.journaldemontreal.com/2024/05/14/conflit-israel-hamas-une-fete-de-lindepend...
Conflit Israël-Hamas: une fête de l'indépendance sous très haute surveillance policière
Des manifestants pro-palestiniens font sentir leur présence en périphérie du rassemblement
Conflit Israël-Hamas: une fête de l'indépendance sous très haute surveillance policière
MAXIME DELAND/AGENCE QMI
PARTAGE
Jonathan Tremblay
Mardi, 14 mai 2024 13:43
MISE À JOUR Mardi, 14 mai 2024 13:43
Un rassemblement pour souligner le 76e anniversaire de la création de l'État d'Israël se déroule présentement sous très haute surveillance policière et sous le regard d’une centaine de manifestants palestiniens mécontents dans le centre-ville de Montréal.
«On a plusieurs effectifs sur le terrain pour la manifestation», a indiqué l’agent Jean-Pierre Brabant, du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), en fin d’avant-midi, mardi.
En effet, des dizaines de voitures de patrouille du SPVM, des autobus, des agents à vélo et des membres du groupe de support et interventions spécialisées sont présents non loin de la place du Canada où la foule est réunie, depuis tôt en matinée.
Conflit Israël-Hamas: une fête de l'indépendance sous très haute surveillance policière
Jonathan Tremblay/ JdeM
Cette manifestation annuelle se déroule cette année sur fond de tensions, alors que le conflit se poursuit entre Israël et le Hamas, à Gaza.
Du côté sud du boulevard René-Lévesque, des milliers de manifestants se sont réunis vers 11h pour célébrer la déclaration de l’indépendance d'Israël, le 14 mai 1948.
Conflit Israël-Hamas: une fête de l'indépendance sous très haute surveillance policière
Jonathan Tremblay/ JdeM
«Joyeux 76 ans», peut-on entendre au micro, alors que les gens tout sourire brandissent haut et fort leur drapeau blanc et bleu.
Conflit Israël-Hamas: une fête de l'indépendance sous très haute surveillance policière
Jonathan Tremblay/ JdeM
Du côté nord de l'artère, plus d’une centaine de manifestants palestiniens mécontents, certains cagoulés, aussi munis de drapeaux, scandent des slogans visant à culpabiliser ceux qui chantent et dansent en face d'eux.
Conflit Israël-Hamas: une fête de l'indépendance sous très haute surveillance policière
MAXIME DELAND/AGENCE QMI
On peut y entendre: «Tasse-toi, Israël, la Palestine n’est pas à toi!», ou encore: «Israël, terroriste, Canada, complice!», alors qu’ils font le décompte des dizaines de milliers de citoyens, dont des enfants, qui ont été tuées depuis le début du conflit israélo-palestinien.
Conflit Israël-Hamas: une fête de l'indépendance sous très haute surveillance policière
MAXIME DELAND/AGENCE QMI
Pendant ce temps, les forces policières s’assurent que tous les manifestants demeurent derrière les rubans orange installés pour délimiter leurs périmètres respectifs de manifestation.
«À date, on ne rapporte aucun débordement», a affirmé l’agent Brabant.
Conflit Israël-Hamas: une fête de l'indépendance sous très haute surveillance policière
Jonathan Tremblay/ JdeM
La fête israélienne est prévue jusqu’à environ 15h.
Par ailleurs, des manifestants propalestiniens font toujours campement à l’Université McGill et à l’Université du Québec à Montréal, depuis la fin avril.
]]>à force de ''Branler dans le manche'' et laver son linge sale en publique, les campements font tâches d'encre.... mais jusque où ça va s'Arrêter...?
Salut Jeromec,
1er amendement : Liberté d'expression et de protestation
Évoqué par M. Wayne Lich lors du Convoi de la Liberté.
C'est pas rien!
ET des rumeurs de source généralement sûres affirment que le mouvement pourrait s'étendre davantage....
LE Québec, société distincte au Kanada semble la province la moins bien gérer le l'épineux dossier...
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2072478/universite-sherbrooke-campement-propalesti...
Un campement propalestinien est dressé à l’Université de Sherbrooke
Faisant écho à des manifestants installés à l’Université McGill depuis quelques semaines, à l’UQAM depuis quelques jours et à de nombreuses universités américaines, un groupe d’une quinzaine de personnes a dressé un campement pacifique à l’Université de Sherbrooke, où il compte passer la nuit pour montrer son soutien à la Palestine.
Lundi en début de soirée, une dizaine de tentes étaient érigées à proximité du pavillon multifonctionnel du campus. Un drapeau palestinien ainsi que plusieurs affiches portant des slogans tels que "Canada complice" pouvaient être aperçus sur les lieux.
Lors du passage de Radio-Canada, une rencontre du groupe majoritairement composé d’étudiants de l’Université de Sherbrooke, mais aussi du Cégep et de l’Université Bishop's était en cours pour élire démocratiquement un porte-parole. Les revendications exactes des manifestants devraient être communiquées sous peu.
Des gens qui discutent, assis sous une toile.
Une rencontre était en cours lors du passage de Radio-Canada, notamment pour élire un porte-parole.
Photo : Radio-Canada / Emy Lafortune
Dans un courriel, l’Université de Sherbrooke indique qu’elle "respecte et valorise la liberté d’expression et la liberté académique des membres de sa communauté universitaire, dans la mesure où ces actions se déroulent dans un environnement sécuritaire, qu’elles respectent les règles et qu’elles n’entravent pas la continuité des activités de l’institution d’enseignement et de recherche ainsi que les activités de ses partenaires. "
L'Université dit également être en train d'évaluer "la conformité réglementaire et sécuritaire de l'installation."
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Ce n’est pas le premier mouvement propalestinien à être organisé sur le campus sherbrookois. La semaine dernière, des dizaines de personnes se sont rassemblées pour montrer leur solidarité envers le peuple palestinien. L’Université de Sherbrooke avait confirmé avoir approuvé ce rassemblement.
De nombreuses marches ont aussi été organisées à Sherbrooke au cours des derniers mois.
Rappelons que des avocats de l’Université McGill demandent présentement une injonction pour forcer le démantèlement du campement situé sur son campus.
]]>Nos panélistes Hélène Buzzetti, Emilie Nicolas et Michel C. Auger analysent l’actualité politique des derniers jours.
Au menu :
- Salaire des gestionnaires et élus québécois
- Demande d’injonction de l’université McGill
- Un campement propalestinien voit le jour à l'UQAM
- QS : des appuis à la démarche de Nadeau-Dubois
Voici le panel du 13 mai 2024
https://www.youtube.com/watch?v=3AFbnSLmir0
Si le campement est démantelé, Pot de Problème, nous irons camper à RAdioCAdenas, qui réside en territoire Mohawk non cédé... c'Est pas moi qui le dit, C'est la mairesse elle-même...Terrain qui est d'Ailleurs LOUÉ par RAdio-Canada à...;0)
]]>Arriveront-ils à protéger l'Univerité de l'Uqam des vandales... à suivre...
Malgré tout, Mc Gill persiste et signe en voulant le démantelement du camp... bonne chance.....
https://www.tvanouvelles.ca/2024/05/12/conflit-israel-hamas-des-graffitis-sur-un-batime...
Conflit Israël-Hamas: des graffitis sur un bâtiment de l’Université McGill
TVA Nouvelles
| Publié le 12 mai 2024 à 18 h 34
Des graffitis sur un bâtiment de l’Université McGill: explications 15h
Des graffitis ont été faits sur un bâtiment de l’Université McGill, à Montréal, dans la nuit de samedi à dimanche.
• À lire aussi: Un nouveau campement propalestinien à l’UQAM
• À lire aussi: McGill demande le démantèlement du campement propalestinien sur son campus
Certaines des inscriptions dénoncent l’opération israélienne dans la bande de Gaza et réclament la libération de la Palestine.
«Free Palestine (Libérez la Palestine)», «F*** your Injunction (F*** votre injonction)», «Blood on your hands (Du sang sur vos mains)», sont quelques-uns des messages haineux qui ont été peints sur les murs de l’établissement scolaire.
De la peinture a aussi été lancée sur plusieurs colonnes du bâtiment de la rue Sherbrooke Ouest.
L’Université McGill a déposé, vendredi, une demande d’injonction pour démanteler le campement de manifestants propalestiniens installé sur son terrain depuis le 26 avril.
]]>;0)
Allez vous interdire la vente de tente de camping au détail et prendre quelques semaines avant de réaliser que l'on peut les acheter en ligne..
Campements dans les universités: des militants s'installent à l'UQAM - Explications, 17h TVA
]]>Le SVPM semble vraiment pas pressé ni enthousiaste de démanteler un camp... pourquoi le faire alors qu'on peut se prélasser à l'air climatisée à temps suplémentaire pour s'assoupir dans un véhicule moteur de patrouille payé par les contribuables de Montréal....? La même chose devrait arriver à l'UQam, une belle occasion de patrouiller sur place les yeux rivées sur leurs Ifun...
https://www.cbc.ca/news/canada/montreal/uqam-pro-palestinian-encampment-1.7202119
A second pro-Palestinian encampment was set up by Montreal university students, this time at a Université du Québec à Montréal (UQAM) campus.
Tents started going up by the science building downtown Montreal on Sunday afternoon — one day before the injunction request filed by McGill University to have the encampment on its lawn dismantled will be heard in court. It also comes a few days before the 76th anniversary of the Nakba — "catastrophe" in Arabic — Israel's declaration of independence in 1948, when hundreds of thousands of Palestinian people were forced from their homes or fled.
The group behind the encampment, Solidarité pour les droits Humains des Palestiniennes et Palestiniens (SDHPP-UQAM), demands the withdrawal of McGill's injunction request, an academic boycott against Israel from all Quebec universities, the public disclosure of all UQAM's collaborations and links with Israel, full divestment from companies with ties to Israel and the abolition of the Quebec-Israel office.
Over the last week, Israel ramped up its military operations in Gaza's southern city of Rafah, considered the last refuge in Gaza for more than a million civilians. Some 300,000 people have fled the city following evacuation orders from Israel, which says it must invade to dismantle Hamas and return about 100 hostages taken on Oct. 7. More than 35,000 Palestinians have been killed by Israel's retaliatory strikes.
Israeli forces push deeper into Rafah, battle regrouped Hamas in north Gaza
Analysis
How rallying around divestments helped unify Canada's pro-Palestinian movement
"As the occupying forces intensify their murderous aggression against Rafah, we, students and workers, refuse to remain silent in the face of the apartheid, genocide and colonial crimes of the State of Israel," said Leila Khaled, a spokesperson for the encampment in a news release.
"We are addressing UQAM, but also the Quebec state and the Canadian state to take action to end their collaboration and complicity with the rogue state."
On Friday Canada abstained from voting on a United Nations General Assembly motion granting new rights and privileges to Palestinian representatives. Prime Minister Justin Trudeau said the country refrained from voting because of its commitment to reaching a two-state solution — a Palestinian state in the occupied West Bank and in Gaza alongside Israel.
At least nine other pro-Palestinian camps have been set up on Canadian university campuses over the last two weeks, including the one at McGill, inspired by a similar movement in the United States.
]]>Éditeur vidéo pour team Rebel News Quebec.
https://twitter.com/guillaum3roy/status/1789675139921052108
McGill University ''FUCK UR INJUNCTION'' ''
Les Ostrogoths en vacances ont réussis à vandaliser l'Université Mc Gill, et ce avec la surveillance permanente du site avec le prestigieux SPVM de Montréal...
Nous attendons des réactions ''Des autorités'' pour règler le tout du haut de leur compte twitter (X) la mauvaise façon de faire de la politique en 2024...
à suirrre...
Et c'est peut-être pas le meilleur ''timing'' pour le faire...
Gérer le Kébec à coup de Tweet(!)
PS : Avis de recherche, si vous voyez un policier dans le métro de Montréal, à part ceux qui contrôle les billets de métro, prenez un billet de loto, c'est peut-être votre jour chanceux...
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2072003/manifestation-palestine-nakba-montreal
Radio-Canada
Publié hier à 15 h 06 HAEMis à jour hier à 19 h 08 HAE
Des manifestants venus de partout au Québec se sont rassemblés samedi devant le consulat général d'Israël à Montréal avant de descendre dans la rue pour souligner les 76 ans de la Nakba, soit l'exode forcé des Palestiniens après la création d'Israël, et ce, dans un contexte de crise humanitaire dans la bande de Gaza.
Une fois de plus, ils ont exigé un cessez-le-feu et le retrait de l'armée israélienne dans la bande de Gaza.
Les commémorations de la Nakba se déroulent cette année alors qu'Israël force le déplacement de Palestiniens pour mener son assaut contre le Hamas dans l'enclave. Chaque jour, plus de 30 000 personnes fuient la ville de Rafah, dans le sud de la bande, menacée d'un assaut à grande échelle par les troupes israéliennes.
Une foule de manifestants devant le consulat israélien à Montréal.
Des discours en signe de soutien aux Palestiniens ont ponctué la manifestation, qui a débuté devant le consulat israélien à Montréal.
Photo : Radio-Canada / Fanny Samson
Les manifestants interrogés par Radio-Canada n'ont pas manqué de sonner l'alarme en ce qui concerne une "nouvelle Nakba".
"Il y a plus de 1,2 million de personnes à Rafah qui, d'habitude, n'a que 150 000 personnes, alors elles sont toutes entassées dans des endroits très très étroits. Elles sont maintenant en train de se faire dire par Israël qu'elles doivent évacuer, mais la question est celle-ci : "Où vont-elles évacuer si tout a été détruit?"" a déploré Sarah Shamy, organisatrice pour le Palestinian Youth Movement, l'organisme à l'origine de la manifestation de samedi.
La situation est en train de se reproduire. Ce qu'on est en train de voir, c'est que des centaines de milliers de personnes ont été déplacées de leur maison.
Une citation de Sarah Shamy, organisatrice du Palestinian Youth Movement
"Les gens se déplacent, on parle de génocide. La Nakba, c’est le déplacement d’une population, et c’est ce qui arrive actuellement, les gens sont déplacés", a souligné un autre manifestant.
On peut lire sur leur pancarte : « Exister, résister, retourner » et « Libérez Gaza ».
Des manifestants propalestiniens montrent les pancartes qu'ils ont préparées à l'occasion de la manifestation du 11 mai 2024 à Montréal.
Photo : Radio-Canada / Fanny Samson
Un manifestant tient une pancarte sur laquelle on peut lire : « Génocide en Palestine, notre silence est complice ».
Les manifestants soulignent les 76 ans de la Nakba devant le consulat général d'Israël à Montréal, le 11 mai 2024.
Photo : Radio-Canada / Fanny Samson
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Des manifestants propalestiniens montrent les pancartes qu'ils ont préparées à l'occasion de la manifestation du 11 mai 2024 à Montréal.
Photo : Radio-Canada / Fanny Samson
Des manifestants propalestiniens montrent les pancartes qu'ils ont préparées à l'occasion de la manifestation du 11 mai 2024 à Montréal.
Photo : Radio-Canada / Fanny Samson
"Je pense que c’est important de faire du bruit, parce que je veux que le récit diffusé par la propagande de guerre israélienne finisse par changer et qu’on se rende compte une fois pour toutes que c’est un massacre, que c’est un génocide", a affirmé un autre.
Le mot "Nakba", littéralement "catastrophe", en arabe, désigne le déplacement forcé d'environ 750 000 Palestiniens à la suite de la création de l’État d’Israël en 1948.
Le cortège de manifestants a marché jusqu'à l'Université McGill en entonnant des slogans pour le soutien envers les Palestiniens.
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Au total, quelques 3000 manifestants ont marché dans les rues du centre-ville, selon un porte-parole du Service de police de la Ville de Montréal, qui n'a signalé aucun débordement.
La manifestation s'est dispersée devant le campus de l'Université.
Des étudiants maintiennent la pression sur les campus
Des étudiants, notamment de l'Université McGill, ont aussi pris part à la manifestation. Rappelons que, fin avril, des sympathisants de la cause palestinienne ont établi un campement sur le campus de cette université pour demander aux établissements d'enseignement supérieur de revoir certains partenariats financiers et universitaires avec Israël.
Des tentes sur le campus de l'université.
Les occupants du campement propalestinien sur le campus de l'Université McGill ont indiqué ne pas avoir l’intention de mettre fin à leur action.
Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers
Après qu'une demande d'injonction de deux étudiants en vue du démantèlement du campement eut été refusée, une nouvelle demande, celle-ci de l'Université McGill, va être déposée lundi.
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Parallèlement, la police d’Edmonton a expulsé samedi matin un groupe de manifestants qui avaient établi un campement sur le terrain de l’Université de l’Alberta pour exiger que cet établissement coupe tout lien financier avec des intérêts israéliens.
D'autres campements et initiatives propalestiniennes ont été créés sur les terrains d'autres universités canadiennes, comme à l’Université du Manitoba, à l’Université de Windsor et à l'Université de Sherbrooke.
Des groupes de défense des droits LGBTQ+ et de lutte anticapitaliste comme le Pink Bloc, Clash Mtl et Résistance Montréal ont aussi déclaré qu'ils allaient être présents à la manifestation de samedi.
La manifestation s'est déroulé dans un contexte de grave crise humanitaire dans la bande de Gaza, où Israël a déployé son armée après l'attaque de commandos du Hamas le 7 octobre 2023.''
Under a Giant Palestinian Flag in a Montreal Demonstration Marking the Anniversary of the Nakba
]]>
Pro-Palestinian protesters gather at Israeli Consulate in Montreal to mark Nakba anniversary
https://www.youtube.com/watch?v=TS3Y-HEMkqs
Imaginez si le camp de Mc Gill est démantelé...les réactions vives et épidermiques que ça pourrait susciter...
Pendant une manif, y a quelqu'un qui a foutu le feu à un drapeau Israelien juste à côté de l'Anti émeute qui ont brillé par leur inaction...faut croire qu'ils préfèrent s'en prendre juste aux gens inoffensifs et pacifiques, plus facile à menotter et mettre à l'amende$$$..
]]>sur ActuQuébec Legault espère que les policiers vont démanteler le campement de McGill
]]>Fin de non recevoir
McGill a fait une demande en ce sens, fin de non recevoir...
La police 'Choke'' avec raison à l'idée de démanteler le campement, qui donnerait lieu à des dizaines de milliers de manifestants par la suite...
Et lors de ces si sympahtiques manifestations, la police est pas mal plus préoccupé à SE protéger que de protéger les manifestants et-ou les lieux publiques...
Un groupuscule lors d'une autre manif à réussit à vandaliser une Banque sans se fairer arrêter.... imaginez policer un manif de 50 -100 000 personnes... la police fait tellement pas sa job, que c'Est les organisateurs de la manif qui ont leurs propres agent de sécurité bénévoles pour assurer la sécurité de tout ce beau monde..
Donc petit message à Mc Gill et au PM... AVANT de démanteler un campement innoffensif, pensez donc un peu aux conséquences possible d'une telle intervention...
La police de Montréal est a bout de souffle d'une pandémie qui a pousser à donner des amendes aussi débiles qu'Abusives, d'arrêter du monde inoffensif, des femmes et des personnes âgées avec les menottes et des amendes 1550$ pour avoir marché dans la rue, d'Avoir donner des amendes aux sans abris pour le crime de ne pas voir d'endroits ou se loger la nuit!
Personne ne peut prévoir exactement ce qui peut se passer... mais chose sûre ça serait donner un coup de pied dans un nid de guêpes...
Mais ceci étant dit... ça serait juste assez comique de voir le campement démantelé et que le lendemain il soit encore juste beaucoup plus nombreux et médiatisé à l'international...
En souhaitant une bonne bouteille de (pot) de vin rouge au PM et au député de ''l'opposition'' si on peut appeler ça de même....;0)
https://montreal.ctvnews.ca/articles-by-amy-luft/mcgill-requests-police-assistance-over...
McGill requests 'police assistance' over pro-Palestinian encampment
McGill University has requested police 'assistance' over the encampment of pro-Palestinian protesters calling on the university to divest.
02:33
McGill requests police over encampment
McGill requests police assistance over pro-Palestinian rallies on campus, but protesters say they plan to stay put. Matt Grillo reports.
04:32
McGill calls for police assistance amid protests
McGill professor Michelle Hartman, who supports the encampment, explains the four demands made by protesters on campus.
00:30
These are the students' demands: McGill prof
McGill University says it will try to de-escalate its standoff with a camp that's been set up on campus by pro-Palestinian activists.
02:52
McGill to try to de-escalate standoff with camp
Adrian Ghobrial provides an update as pro-Palestinian protesters camp out on university campuses across the country.
02:20
CTV National News: Canadian university encampments
Pro-Palestinian protest spokesperson Sara Rasikh discusses why they have created an encampment at the University of Toronto.
04:55
'This is our campus': U of T protest organizer
U of Toronto Assistant Prof. Grace Karram Stephenson says administrators have to get ahead of student currents and lend a real listening ear
01:06
U of T prof. on pro-Palestinian protests on campus
King's College Circle at the University of Toronto has become the site of an encampment by pro-Palestinian demonstrators.
03:13
Fence doesn't stop encampment on U of T campus
Genevieve Beauchemin has the details of a court order by a Que. judge who denied an injunction on McGill students protesting the war in Gaza
01:49
CTV National News: Court sides with protesters
A request for an injunction against the encampment protest at McGill University has been rejected. Genevieve Beauchemin has reaction.
03:28
Injunction against McGill encampment rejected
Dana Tareq, from Solidarity for Palestinian Human Rights McGill, says that demonstrators have made clear demands to the university.
03:41
Here's what protesters want from McGill
Pro-Palestinian protesters at McGill university are standing their ground despite threats from the school. Genevieve Beauchemin reports.
02:24
CTV National News: McGill students stand firm
Genevieve Beauchemin reports on growing protests on university campuses as students stand against Israel's attack on Gaza.
02:44
CTV National News: Pro-Palestinian encampments
Pro-Palestinian demonstrators set up an encampment at UBC Monday morning, similar to protests at campuses across North America.
01:46
Pro-Palestinian encampment held at UBC
Pro-Palestinian demonstrators have set up an encampment at McGill University in Montreal.
03:56
Pro-Palestinian encampment set up at McGill
Matthew Molinaro, a journalist at McGill University's student-run newspaper, The Tribune, describes the scene on campus amid protests.
05:55
Encampment at McGill University expands
McGill's Michelle Hartman offers her opinion on the protests and encampments in support of Palestinians on the university campus.
04:14
McGill professor on campus protests
An encampment of protesters at McGill University in Montreal has entered its second day. Jeremie Charron has the details.
02:26
CTV National News: Protests erupt at McGill
Several students launched an encampment at McGill University as they call on the institution to cut financial ties with Israel.
02:31
Students launch encampment at McGill University
Rachel Lau
CTVNewsMontreal.ca Digital Reporter
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Amy Luft
CTVNewsMontreal.ca Supervising Producer, Digital Content
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Updated April 30, 2024 7:10 p.m. EDT
Published April 30, 2024 8:41 a.m. EDT
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McGill University says it has "requested police assistance" about the pro-Palestinian encampment on its lower field.
"We informed participants that this encampment was not authorized and gave them time to gather their belongings and leave the premises," McGill said Tuesday. "However, most have chosen to remain. As we worked through the steps, we also engaged in dialogue with representatives of McGill students."
The university says it failed to reach a resolution with the student demonstrators and "decided to take the final step in our protocol."
The scene did not appear to be tense Tuesday morning while CTV reporters were on the ground.
"If McGill wants to find solutions to divest, they can. They're not wanting to. They're not having a dialogue right now and if they want to, there's always solutions to be had and I'm sure folks here would be more than happy for McGill to start moving on divestment," said one protester.
In an email addressed to the McGill community Tuesday morning, McGill President Deep Saini called the encampment a "difficult and complex situation.
"Having to resort to police authority is a gut-wrenching decision for any university president. It is, by no means, a decision that I take lightly or quickly. In the present circumstances, however, I judged it necessary," he wrote.
Saini said the school requested police assistance late Monday afternoon.
In its statement, McGill went on to say, "the safety and wellbeing of all our students and staff is our paramount concern."
Lawyer Neil Oberman has filed an injunction on behalf of students, arguing that they need a safe place to study during exams. A judge is expected to decide on the injunction Wednesday.
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Michelle Hartman, a McGill professor who teaches Arabic literature at the Institute of Islamic Studies, said she's concerned about any possible police involvement.
"Whenever we involve police, it's a concern. I don't see a lot of escalation, I see a peaceful protest full of people. But why should we even think that we have to be peaceful when there is a horrific genocide unfolding? In fact, the main escalation is threatening to call the police on students. Why would we call the police on students? To me, that's really the escalation. It's not a de-escalation to call the cops on your students, is what I'm saying," she said.
This comes after demonstrators started camping out on the school's grounds last weekend to demand the university divest from funds they claim are connected to Israel.
READ MORE: A look at the divestment demands by McGill University protesters
They say they want McGill to divest from Israeli companies it says are "complicit in the occupation of Palestine."
They say they also want the school to cut academic ties with Israeli institutions and denounce Israel's offensive in Gaza that followed the Oct. 7 Hamas attack. The Israeli offensive has led to more than 34,000 Palestinian deaths, according to the local health ministry.
The encampment in Montreal is one of a wave of similar protests across university campuses in the United States linked to the Israel-Hamas war.
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