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-DOSSIER COMPLET -SOURCE SITE GUY BOULIANNE
Un tribunal du Pérou a déclaré, dans une résolution basée sur les théories du complot, que le COVID-19 était une invention de “l’élite criminelle mondiale” composée, selon les juges de ce tribunal, de milliardaires comme George Soros, de la famille Rockefeller et de l’entrepreneur et co-fondateur de Microsoft, Bill Gates.
Pour justifier le retard de la décision, la Cour d’appel pénale de Chincha et Pisco a assuré que la pandémie était “imprévisible”, sauf pour ses créateurs, “qui l’ont gérée et continuent de la diriger avec un secret extrême au sein de leur environnement et des entreprises mondiales”.
Ainsi, ce tribunal collégial de la Cour supérieure de justice d’Ica, composé des juges Tito Gallegos, Luis Leguía et Tony Changaray, a tenté de s’excuser du retard pris pour assister à l’appel d’un prévenu qui demandait l’annulation de sa détention provisoire, mais dont la demande était ralentie par la pandémie.
Aucun gouvernement mondial, aucune personne physique ou morale, ni la défense des accusés ne peuvent soutenir que cette pandémie a la qualité de “prévisible”, sauf les créateurs du nouvel ordre mondial tels que Bill Gates, Soros, Rockefeller, etc.”, a déclaré la résolution, diffusée sur le portail LP Derecho.
Enquête auprès des juges
Après que le contenu de l’ordonnance du tribunal a été rendu public, l’Office décentralisé de contrôle de la magistrature (Odecma) d’Ica, situé à environ 400 kilomètres au sud de Lima, a ouvert une enquête préliminaire sur les juges qui ont signé l’ordonnance.
L’objectif de l’enquête est de rassembler des preuves pour aider à déterminer l’existence d’irrégularités présumées commises par les juges.
En affirmant que le coronavirus a été “créé par les élites criminelles qui dominent le monde”, la Cour d’appel pénale supérieure de Chincha et Pisco a fait écho à l’une des nombreuses théories de conspiration qui ont émergé l’année dernière au lendemain de la pandémie.
Le document cite en particulier l’investisseur financier George Soros, le co-fondateur de Microsoft, Bill Gates, et la famille Rockefeller, dont les revenus s’élèvent à plusieurs millions de dollars, qu’il accuse de “gérer” et de “continuer à diriger” le virus dans le “nouvel ordre mondial”.
Avec l’apparition de COVID-19, la quantité de désinformation est montée en flèche, et malgré le fait que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ait confirmé dès le mois de mai que le virus était d’origine animale et ait réfuté sa création en laboratoire, des origines prétendument alternatives ont continué à circuler.
Très tôt, ces théories alimentées par de fausses nouvelles ont inclus des discours sur sa création par des sociétés pharmaceutiques désireuses d’accroître leurs bénéfices économiques et même des complots de Gates ou Soros comme promoteurs d’un prétendu plan de contrôle de la population par le biais de vaccins et de 5G.
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Une cour d’appel au Portugal a décidé que le processus PCR n’est pas un test fiable pour le SARS-Cov-2, et par conséquent toute quarantaine forcée basée sur les résultats de ces tests est illégale.
En outre, le jugement a suggéré que toute quarantaine forcée appliquée à des personnes en bonne santé pourrait être une violation de leur droit fondamental à la liberté.Plus important encore, les juges ont décidé qu’un seul test PCR positif ne peut pas être utilisé comme un diagnostic efficace de l’infection.
Les particularités de cette affaire concernent quatre touristes entrant dans le pays en provenance d’Allemagne – qui sont tous anonymes dans la transcription de l’affaire – qui ont été mis en quarantaine par l’autorité sanitaire régionale. Sur les quatre, un seul avait été testé positif pour le virus, tandis que les trois autres étaient simplement considérés comme présentant un “risque élevé d’infection” en raison de leur proximité avec la personne positive. Tous les quatre avaient, au cours des 72 heures précédentes, été testés négatifs pour le virus avant de quitter l’Allemagne.
Dans leur décision, les juges Margarida Ramos de Almeida et Ana Paramés ont fait référence à plusieurs études scientifiques.Notamment l’étude de Jaafar et al, qui a révélé que – lors de tests PCR de 35 cycles ou plus – la précision tombait à 3 %, ce qui signifie que jusqu’à 97 % des résultats positifs pouvaient être des faux positifs.
La décision poursuit en concluant que, selon les données scientifiques qu’ils ont lues, tout test PCR utilisant plus de 25 cycles est totalement peu fiable.Les gouvernements et les laboratoires privés ont été très discrets sur le nombre exact de cycles qu’ils effectuent lors des tests PCR, mais on sait qu’il peut parfois aller jusqu’à 45. Même le chef Anthony Fauci a déclaré publiquement que tout ce qui dépasse 35 cycles est totalement inutilisable.
*La réaction des médias à cette affaire a été tout à fait prévisible – ils n’en ont pas parlé. Pas du tout. Nulle part. Jamais.Le jugement a été publié le 11 novembre et a été référencé par de nombreux sites d’information depuis… mais les principaux médias maintiennent un black-out complet sur cette affaire.
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En ce 26 janvier 2015, à Toronto (Ontario,Canada), dans le silence médiatique le plus complet, des citoyens canadiens regroupés au sein du Comité sur la réforme économique et monétaire (COMER) ont gagné le procès qui les oppose à la banque centrale du Canada, qu’ils accusent d’être contrôlée inconstitutionnellement par des banques privées depuis 1974.
Pourquoi les Canadiens permettent-ils aux banques privées de profiter de la dette publique alors que juridiquement, la Banque du Canada se doit de garantir des prêts sans intérêt.Trois juges de la cour fédérale du Canada leur ont donné raison le 26 janvier, réaffirmant que la banque devait pouvoir émettre sans intérêt de l’argent pour les besoins du gouvernement. Ce procès, parce que révolutionnaire, n’a évidemment été couvert par aucun média de masse ni au Canada, ni à l’international : « Il est évident que le gouvernement a demandé aux médias officiels de se taire, mais je ne peux révéler mes sources », a déclaré Rocco Galati, qui a qualifié de « dictature calme », la crise perpétuelle de la dette entretenue par le monopole des banques privées sur le prêt d’argent au gouvernement.
Entre 1939 et 1974, le gouvernement empruntait en effet à sa banque centrale. Ce qui, en fait, rendait sa dette dépourvue d'intérêt, dès lors que le gouvernement possédait la banque et en percevait les intérêts. La dette fédéral restait à un niveau peu élevé, n'évoluait quasiment pas et était parfaitement supportable durant ces années (voir graphique plus bas).
En décembre 2011, cette accusation a été répercutée dans un recours porté auprès de la Cour Fédérale Canadienne par deux citoyens et un think tank en économie canadiens. Le juge constitutionnel Rocco Galati a mené une action pour le compte de William Krehm, Ann Emmett, et COMER (le Comité pour une Réforme Monétaire et Economique) afin de revenir au rôle original de la Banque du Canada, y compris concéder des prêts sans intérêts aux structures municipales, régionales et fédérales pour des dépenses liées au "capital humain" (èducation, santé, et autres services sociaux) et aux infrastructures. La plainte stipule que, depuis 1974, la Banque du Canada et les politiques financières et monétaires du Canada ont été dictées par des banques privées étrangères et des intérêts financiers menés par la BRI, le Forum pour la Stabilité Financière (FSF) et le Fond Monétaire International (FMI), outrepassant la souverainité du Canada représentée par son parlement.
Pour un État, le droit d’emprunter sans intérêt c’est le droit de battre monnaie. Quand ce sont les banques privées qui fabriquent l’argent, au lieu que ce soit l’État, cela revient à une privatisation de l’argent. Et les propriétaires des banques font du fric sur le dos des citoyens grâce aux intérêts.
Voici le document du jugement en question :
http://www.lexisnexis.ca/documents/2014csc021.pdf
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Invoquant le manque de crédibilité et les propos mensongers de son client, l’avocat Guy Bertrand se retire de la poursuite intentée par un groupe de complotistes contre le gouvernement dans la foulée de la COVID-19.Au début du mois de juin, la Fondation pour la défense des droits et libertés du peuple (FDLP) entamait des procédures judiciaires envers le Procureur général du Québec et la Direction de la santé publique. Appuyée par Me Guy Bertrand, l’organisation dénonçait les mesures de confinement mises en place par Québec depuis le début de la pandémie.
''LES ÉVÈNEMENTS SUBSÉQUENTS ONT MONTRÉ QUE L'INTENTION RÉELLE N.ÉTAIT PAS DE LIBÉRER LES VICTIMES, MAIS D'UTILISER LA CRISE POUR CHANGER LA DONNE POLITIQUE EN FAVEUR D'INTÉRÊTS FINANCIERS DE HAUT NIVEAU.''
«Une semaine après les élections du 29 avril 1970, soit le 7 mai, le cabinet fédéral forma un comité spécial ayant pour tâche d'évaluer dans quelles circonstances un électrochoc pourrait être appliqué aux Québécois. Infiltré depuis un certain temps, le F.L.Q. servirait de détonateur. La bombe, cette fois, serait la promulgation en pleine nuit de la Loi des mesures de guerre. On verrait bien alors si les Québécois étaient prêts à « faire la guerre », s'il le fallait, pour conquérir leur indépendance, ou s'ils vomiraient plutôt le séparatisme sous l'effet du choc subi. »
Les média, quant à eux, serviraient à « brancher » l'ensemble de la population et à provoquer, au moment voulu, l'instantanéité dans le choc. Ainsi donc, sous le couvert d'une lutte à finir entre le F.L.Q. et "les autorités en place", la crise d'octobre serait pour Ottawa l'occasion d'opérer un vaste référendum électronique et de mesurer la force réelle du sentiment indépendantiste dans la population.McLuhan a qualifié la crise d'octobre de « première révolution électronique de l'histoire ». Son affirmation est juste si l'on entend par là que, pour la première fois, un gouvernement occidental utilisa l'électronique comme moyen privilégié d'affirmer sa force et d'éprouver celle de ses adversaires.
Le Comité du 7 mai 1970 n'était pas sans savoir que les péripéties de la crise seraient, de minute en minute, diffusées et dramatisées par les média et que cette retransmission instantanée des événements et des rumeurs créerait rapidement le climat de tension requis pour mener le plus loin possible "l'escalade organisée" de 1'électrocution collective. Bien sûr, il y aurait des distorsions de toutes sortes, car une société est un organisme vivant très complexe et, partant, vulnérable à ce type d'agression. Mais le jeu en valait la chandelle pour le gouvernement Trudeau. D'ailleurs, la surprise totale que provoquerait cet électrochoc empêcherait les adversaires de réagir efficacement et permettrait au gouvernement d'amplifier ou d'atténuer, en fonction de ses calculs, les effets cumulatifs de la crise.
La mise en application de cette opération inédite en Occident fut confiée au Centre des opérations stratégiques (le S.O.C.) qui avait ses quartiers généraux sur la rue Sparks à Ottawa. Le S.O.C. était formé, entre autres, de Jim Davey, Arnold Masters, Robin Bourne, Fernand Cadieux, Jean-Pierre Mongeau, Jean-Pierre Goyer, et des représentants de l'armée et de la G.R.C. Il relevait directement de Pierre Trudeau et de Marc Lalonde. L'existence du S.O.C. ne fut révélée que cinq ans plus tard dans une émission du réseau C.B.C. sur la crise d'octobre.
Le S.O.C. avait, depuis plusieurs mois, un portrait détaillé des felquistes qui formeraient plus tard les cellules Libération et Chénier. Il connaissait leurs projets. Il les laissa s'organiser. Parallèlement se déroulaient au collège militaire de Kingston des "war games" destinées aux officiers supérieurs de l'armée et à des représentants de l'escouade combinée anti-terroriste (C.A.T.). Le moment venu, il ne resterait plus qu'à mobiliser solidement l'attention générale sur les "exploits du F .L.Q.", puis, cela fait, à transformer cette attention soutenue en une tension de plus en plus vive qui, de l'enlèvement d'un « Anglais » à l'assassinat d'un "Canadien français", de la démagogie verbale à l'occupation militaire.
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Lors d’une session virtuelle du Forum économique mondial le 27 janvier 2021, le président russe a dressé un tableau sombre des perspectives de la planète si un nouvel ordre mondial n’était pas institué. Ses préconisations ne sont pas sans rappeler la nécessité d’un “grand redémarrage” prôné par de nombreuses voix en Occident, observe la presse russe.
Ce 27 janvier, pour sa première participation depuis onze ans au Forum économique mondial de Davos (plus précisément à une session préliminaire du sommet qui doit avoir lieu au mois de mai), “Vladimir Poutine a fait de bien sombres pronostics concernant l’avenir de l’humanité”, écrit le tabloïd Moskovski Komsomolets. Le monde, selon le président russe, est “menacé par la guerre de tous contre tous, et la raison fondamentale de cette instabilité réside dans l’accumulation de problèmes socio-économiques”.
La situation économique actuelle est comparable à celle des années 1930, estime-t-il, or les instruments traditionnels pour stimuler l’économie, telle la distribution de crédits bon marché aux entreprises et aux citoyens, ne fonctionnent plus : “La bulle enfle et les inégalités s’accroissent.”
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Ce personnage coloré a le mérite de défendre ses opinions politiques et mondialistes sans ménagement face à ceux dont les points de vue sont généralement fondés sur des médias populistes. Seuls ceux et celles qui savent lire entre les lignes, ou qui ont la patience d'attendre que le temps ait fait son oeuvre, peuvent apprécier à sa juste valeur les déclarations souvent intempestives de ce monsieur qui a atteint un âge respectable.De formation universitaire, (haut fonctionnaire scientifique au gouvernement fédéral, ayant gravité dans les milieux politico-ésotériques dès sa plus tendre jeunesse,dès sa plus tendre jeunesse dans l'Europe d'Hitler.
Je vous avais prévenu, le 11 septembre 2001 n'est que la pointe de l'iceberg. Le monde entier doit passer de gré ou de force à l'abolition des structures anciennes, culturelles et nationales qui divisent pour entrer, tous ensemble, dans un NOUVEAU MONDE.Aucun État ne doit avoir le dessus sur les autres. Les États-Unis vont vivre des moments encore plus difficiles parce qu'ils se croient les maîtres du monde.Ils vont devoir apprendre à partager leurs talents sans imposer leurs façons de penser aux autres nations.Monsieur Louis Lefebvre serait décédé le 5 avril 2019 au CHSLD Judith Jasmin.
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D'abord nommée "Overcast", c'est en février 1945 que le traité de l'opération est signé afin de préparer l'après-guerre, mais dans une violation flagrante et précoce des accords de Yalta. Ce traité, conclu par les chefs d'état anglais, américain et russe, est entre aures mené par la section T-2 pour identifier et mettre la main sur les scientifiques et ingénieurs nazis ayant travaillé sur les programmes aéronautiques du Reich, notamment les fusées : l'usine allemande des V-2 de Dora-Mittlebau est placée sous contrôle russe. Pourtant, les services secrets américains décident de faire main basse sur tout ce qui peut être pris dans l'usine.
Le 2 mai, peu après la nomination de Harry Truman comme président des Etats-Unis suite à la mort de Roosevelt, Wernher Von Braun et son équipe sont récupérés du site de Dora-Mittlebau par les alliés.Au total, près de 2000 nazis sont convertis (à l'aide de méthodes de contrôle programmé de l'esprit selon certains). Parmi eux, Von Braun et ses collègues qui vont être amenés à lancer dans le désert du Nouveau-Mexique des V-2 récupérés par les troupes américaines.
En septembre, 1946, convaincu que les scientifiques allemands pourraient aider aux efforts d'après-guerre américains, le président Truman donne son accord pour autoriser le "Projet Paperclip" ("Trombone", intitulé ainsi parce que les dossiers scientifiques étaient attachés avec à trombone aux dossiers d'immigration de ces scientifiques), un programme pour sélectionner des scientifiques allemands pour travailler pour le compte des Etats-Unis durant la "guerre froide".L'opération Paperclip sera déclassifiée en 1973.
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Pékin avait l’habitude d’envoyer de simples avions de reconnaissance dans l’espace aérien de Taïwan. Plus maintenant. Ces deux derniers jours, la Chine communiste a envoyé des bombardiers et des avions de chasse dans l’espace aérien taïwanais.Il faut dire que pour montrer son mécontentement à l’égard de la Chine communiste, Joe Biden avait invité la représentante de Taïwan aux États-Unis à son investiture. Pékin n’a pas apprécié.Depuis que le gouvernement de Xi Jinping a tordu le cou aux mouvements démocratiques de Hong Kong, en violation des accords passés entre la Chine et la Grande-Bretagne, tous les yeux se tournent vers Taïwan. La réunification est devenue la principale question de politique extérieure de la Chine continentale. Plus cette Chine devient totalitaire, moins les Taïwanais sont intéressés à troquer leur démocratie contre le joug du Parti communiste chinois.
La façon dont Hong Kong est traité par Pékin effraie à juste titre les Taïwanais.En théorie, Taïwan fait partie de la Chine. Seule une poignée de pays reconnaissent encore Taïwan comme État indépendant. Les autres États conservent dans l’île des délégations économiques qui, sans dire leur nom, possèdent le même statut que des ambassades normales.
Tout le monde vivait très bien avec cette fiction et il était entendu que la Chine continentale ne chercherait pas à reprendre Taïwan par la force. D’ailleurs, les États-Unis et d’autres pays ont conservé le droit de vendre à Taïwan de l’armement dit défensif, justement pour amoindrir la tentation de reprendre Taïwan par les armes.Mais voilà : la puissance militaire des États-Unis a diminué depuis 40 ans. Au point où il est douteux que l’armée américaine puisse remporter une victoire régionale contre la Chine avec de l’armement classique.
Le gouvernement américain irait-il pour défendre Taïwan jusqu’à mettre en danger ses propres territoires avec de l’armement nucléaire ? Probablement pas. Une attaque militaire contre Taïwan coûterait très cher à la Chine communiste, économiquement, matériellement et diplomatiquement.
Mais le gouvernement de Xi Jinping oriente son pays dans une voie de plus en plus autarcique. La puissance militaire de Pékin augmente chaque année. Il y a 40 ans, la Chine communiste possédait environ la 25e armée au monde, en forces classiques. Cette armée est à présent la deuxième plus puissante. Et les investissements internationaux chinois incitent bien des États à se taire, comme le montrent les très faibles protestations des pays musulmans à l’égard de la politique de la Chine face aux Ouïgours.Dans ces conditions, le temps est compté pour Taïwan, qui ne peut espérer qu’un effritement à long terme du régime communiste. Pékin, de son côté, n’a qu’à être patient et Taïwan tombera comme un fruit mûr. Xi Jinping, qui s’accroche au pouvoir par tous les moyens, aura-t-il cette patience ? Croit-il qu’envahir Taïwan servirait son ambition dévorante ?
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Une édition du journal The Epoch Times, a été distribuée à plusieurs endroits dans les provinces au canada ces derniers jours.Mis sur pied en 2000 aux États-Unis par des Sino-Américains affiliés au mouvement spirituel Falun Gong (ou Falun Dafa), le journal The Epoch Times est très critique du Parti communiste chinois, qu’il accuse notamment de persécuter les adhérents, en Chine, de ce qui est parfois décrit comme une secte religieuse.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Falun_Gong
«The Epoch Times est une organisation de presse résolument indépendante qui se consacre à un travail éditorial sincère», clame la publication sur son site Internet. «Nous ne sommes influencés par aucun gouvernement, entreprise ou parti politique, ce qui nous autorise à vous apporter des informations factuelles, précises, engagées, en vous laissant vous faire votre propre opinion.»The Epoch Times est présent dans 25 pays et ses éditions se déclinent maintenant en 25 langues.
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Les Japonais ne veulent plus des Jeux olympiques. C'est ce que confirme un récent sondage réalisé par les agences de presse japonaise Kyodo et Asahi ces derniers jours. 80% des personnes interrogées seraient opposés à l'organisation des JO de Tokyo en 2021, qui doivent se tenir dans la capitale du Japon à partir du 23 juillet 2021.
Force est de constater que l'opinion des habitants de l'agglomération de Tokyo par rapport à la tenue des JO dans leur ville s'est encore nettement dégradée. En même temps que la propagation du virus s'accélère dans le pays. En effet, depuis plusieurs jours, les autorités sanitaires nippones enregistrent des records de nouveaux cas de contamination, et le spectre du Covid-19 refait surface dans la péninsule. D'autant plus que l'apparition d'une nouvelle souche du coronavirus n'arrange en rien la situation. D'ailleurs, le Premier ministre a décrété l'état d'urgence au Japon.
Le premier ministre japonais et les organisateurs des Jeux olympiques de Tokyo 2020, reportés l'an dernier en raison de la pandémie, ont réaffirmé vendredi leur intention de les tenir cet été, en dépit des informations du quotidien britannique The Times selon lesquelles le gouvernement y aurait secrètement renoncé.
"Je suis déterminé à accueillir des Jeux olympiques sûrs" à Tokyo, en signe de "victoire de l'humanité sur le nouveau coronavirus", a notamment déclaré le premier ministre Yoshihide Suga lors d'une séance parlementaire.Dans un communiqué, le comité organisateur a aussi rappelé vendredi qu'il était "entièrement concentré sur les préparatifs pour accueillir les Jeux cet été, à l'unisson avec le gouvernement japonais et la Ville de Tokyo, le Comité international olympique (CIO) et le Comité international paralympique (CIP)".
Le CIO a aussi déclaré par communiqué que la rumeur de l’annulation des Jeux est "complètement fausse" et que toutes les parties impliquées travaillent à l’organisation de Jeux sécuritaires.Selon The Times, le gouvernement japonais aurait conclu en privé que les JO devront être annulés à cause de la crise de la COVID-19, citant une source au sein de la coalition gouvernementale.Le Japon se concentrerait maintenant sur l'attribution des Jeux d'été de 2032 pour accueillir le rendez-vous olympique à Tokyo, fait savoir le quotidien britannique.
Le mensuel, à la fois revue de vulgarisation scientifique et magazine d’actualité technologique, se veut désormais plus éclectique, avec une multitude de sujets et de contenus.Dans le dernier numéro, consacré au décryptage du monde des hackers, on retrouve un dossier de 14 pages sur la cyberguerre, avec des actualités scientifiques, des questions de lecteurs, des interviews de spécialistes, des infographies qui aident à comprendre un phénomène. « Nos journalistes passent au crible nature, techno, histoire, espace et science pour offrir un maximum de savoirs aux lecteurs », détaille le groupe, qui espère ainsi séduire de nouveaux lecteurs.
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Si dans l’esprit collectif – le cinéma y ayant largement participé–, une attaque informatique est l’acte d’un petit génie malveillant de la programmation, la démocratisation de certains outils a rendu les choses enfantines. Aujourd’hui, la simple installation d’un logiciel sur son ordinateur (comme le programme LOIC, surtout utilisé par les Anonymous), permet à n’importe qui de participer à une cyber-attaque avec des milliers d’autres internautes. Ensemble, ils constituent une « ruche » et procèdent facilement aux cyber-assauts les plus courants sur Internet : les attaques par déni de service.
[img]https://www.zupimages.net/up/21/05/
« L’idée d’une attaque par déni de service est de rendre inaccessible un site internet en envoyant un très grand nombre de requêtes à son serveur. C’est un peu ce qui se produit quand un million de personnes veulent commander des billets de concerts qui viennent d’être mis en vente : le site internet lâche »,Même si elle ne représente qu’une infime partie de l’ensemble des attaques qui ont lieu, la carte permet d’apercevoir, entre autres, que la majorité des conflits implique les États-Unis et la Chine.
-CARTE EN TEMPS RÉELLE
SOURCE
http://www.profession-gendarme.com/the-american-journal-of-medecine-admet-discretement-...
SOURCE
http://voxday.blogspot.com/2021/02/never-trust-science.html
[…] L’hydroxychloroquine (HCQ) est un médicament antipaludéen/anti-inflammatoire qui entrave le transfert endosomal des virions dans les cellules humaines. La HCQ est également un ionophore de zinc qui transporte le zinc à l’intérieur des cellules pour bloquer l’ARN polymérase dépendante de l’ARN du SRAS-CoV-2, qui est l’enzyme centrale de la réplication du virus.Les études rétrospectives et les essais randomisés actuellement achevés ont généralement permis de découvrir que
:1 – Lorsqu’ils sont administrés tardivement à l’hôpital et pendant de courtes périodes, les antipaludiques semblent inefficaces
2 – Lorsqu’ils sont administrés tôt à l’hôpital, pendant des périodes progressivement plus longues et en ambulatoire, les antipaludiques peuvent réduire la progression de la maladie, prévenir l’hospitalisation et sont associés à une réduction de la mortalité.
SITE de JEAN DE FLOR avec les LIENS
https://gab.com/jeandeflor
GAB TV
https://www.youtube.com/channel/UCikmzIO-nA0jeQ_1ELGregg
Liste des Vidéorandias de 2013 à 2020
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=161981
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Afin d'assurer la sécurité lors de la cérémonie, le Pentagone a autorisé le déploiement de entre 15 et 20.000 soldats dans la capitale fédérale. Des militaires de la Garde nationale sont déjà sur place, 6.200 selon plusieurs médias, portant l'effectif de soldats mobilisés à plus de 20.000 hommes le Jour J.
Le recours à ce corps de réserve de l'armée américaine, demandé par le gouvernement de Washington et la police du Capitole, a entraîné la mobilisation de réservistes venus du Minnesota, la Caroline du Nord, la Pennsylvanie, et l'Illinois.L'United States Marshals, agence de police du gouvernement fédéral avait demander au Département de la Justice d'assermenter entre 3.000 et 4.000 agents, venus de tout le pays à la demande de la police locale, pour aider lors de l'investiture.Un effectif hors-norme. Selon plusieurs journalistes américains, notamment la correspondante sur la sécurité intérieur de la chaîne Fox News Jennifer Griffin, il y aurait plus de troupes américaines déployées à Washington à ce jour qu'en Irak (environ 3.000 soldats sur le terrain) ou en Afghanistan (environ 4.500 soldats).
Mobilisés pour la protection du Congrès, de nombreux réservistes ont investi le Capitole. Des images surréalistes de soldats allongés sous la coupole, se reposant entre deux tours de garde, ou déambulant au milieu des pièces du bâtiment.
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A 8h17, ce 20 janvier 2021, dans le matin glacial de Washington, le 45e président des Etats-Unis a décollé avec son épouse, Melania, toute de noir vêtue, de la pelouse sud de la Maison Blanche à bord du Marine One, l’hélicoptère présidentiel.
Avant de rejoindre la base aérienne d’Andrews, l’appareil s’est offert un dernier tour au-dessus de la capitale, contournant le Washington Monument, survolant le National Mall puis le Capitole, où vers midi se déroulera en petit comité et sous très haute surveillance l’investiture de Joe Biden, à laquelle il n’a pas voulu assister. Par la fenêtre, Donald Trump a pu observer les derniers préparatifs dans une ville fortifiée, quadrillée par la police et les soldats de la Garde nationale.Peu avant 9 heures, Air Force One a décollé vers Palm Beach. Sur le tarmac, à l’instant précis où le Boeing 747 s’arrachait au sol, les enceintes crachaient les dernières notes de My Way.
«L’histoire retient que j’ai encaissé les coups et que je l’ai fait à ma façon. Oui, je l’ai fait à ma façon…» chante Frank Sinatra. Stupéfiant bouquet final d’une série écrite, réalisée, produite et jouée par Donald Trump himself. Y aura-t-il une saison 2 ? «Nous vous aimons. Nous reviendrons, d’une manière ou d’une autre», a promis l’intéressé.
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-VIDÉO CLIQUEZ ICI-ROCH SAUQUERE - L'ÉTRANGE CODE VESTIMENTAIRE DE MELANIA TRUMP-
Pour faire ses adieux à la vie de First lady, l'épouse de Donald Trump avait une fois de plus choisi de laisser parler ses vêtements pour elle.Melania Trump quitte la Maison-Blanche façon "veuve noire".Une allure aux tons funéraires - l'image de la veuve est chère à la griffe italienne - qui suggère que la First Lady a fait ses adieux à la Maison Blanche, en utilisant une nouvelle fois le vêtement pour communiquer.En Psychologie Les vêtements noir sont une bonne manière de se protéger des autres.C'est donc l’armure parfaite qui sert de bouclier lorsque vous aurez envie de créer une distance entre vous et certaines personnes.Le port du noir peut aussi signaler un besoin d’être respecté.L’idée de porter une couleur monochrome peu distrayante est aussi un outil pour faciliter la concentration.Les gens qui préfèrent le noir auraient un penchant pour le prestige et le pouvoir. C’est une manière pour eux d’être pris au sérieux.Selon une étude, le noir est perçu par les autres comme étant un signe de sérieux et d'intelligence.
-VIDÉO CLIQUEZ ICI-LA ROUTE DE LA SOI 1-
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-VIDÉO CLIQUEZ ICI-Henry Kissinger admits to the "New World Order"-
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-VIDÉO CLIQUEZ ICI-Henry Kissinger Barack Obama et le -Nouvel Ordre Mondial-
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-VIDÉO CLIQUEZ ICI-Les crimes de Kissinger S/T (25 Mars 2014)-
Henry Kissinger, né Heinz Alfred Kissinger le 27 mai 1923 à Fürth en Allemagne, est un diplomate américain, politologue et consultant en géopolitique. Allemand de naissance, de confession juive, il émigre aux États-Unis en 1938 pour fuir les persécutions nazies et est naturalisé en 1943. Interprète pour les services secrets américains durant la Seconde Guerre mondiale en Europe, il devient pour une courte période administrateur de la ville de Krefeld.De retour aux États-Unis en 1946, il étudie à Harvard avant de se lancer en politique. D'abord conseiller à la sécurité nationale américaine, il devient secrétaire d'État du gouvernement républicain de Richard Nixon, poste qu'il occupe ensuite sous Gerald Ford. Promoteur de la Realpolitik, il joue un rôle important dans la diplomatie américaine au cours de la guerre froide de 1968 à 1977, en étant notamment, en 1973, l'un des artisans de la signature des accords de paix de Paris. Il inspire la politique de la Détente avec l’Union soviétique et joue un rôle crucial dans le rapprochement avec la Chine à partir de 1971.Kissinger reçoit le prix Nobel de la paix en 1973 pour son action dans la résolution de la guerre du Viêt Nam. Ce prix est notamment marqué par la démission de deux membres du comité, en guise de protestation.Il est fondateur de Kissinger Associates et en assure la présidence. Entreprise de conseil en relations internationales, elle a pour clients des firmes multinationales qu'elle assiste dans leurs négociations de contrats commerciaux avec des États. Il a par ailleurs écrit une douzaine d'ouvrages sur l'histoire diplomatique et les relations internationales.
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Inquiet des répercussions du Covid-19 sur l’ordre mondial, le prix Nobel controversé a tancé l’« anachronisme, faisant renaître la ville fortifiée ». Il appelle les dirigeants à s’entendre sur un « nouvel ordre de l’après-coronavirus ».L’ex-chef de la diplomatie américaine Henry Kissinger prédit une longue crise et un bouleversement de l’ordre mondial après la fin de la pandémie. Il appelle à une collaboration mondiale.L’ancien secrétaire d’État américain Henry Kissinger estime dans une tribune publiée dans le Wall Street Journal que le chaos politique et économique engendré par la pandémie du coronavirus va durer sur des générations.L’ex-fonctionnaire de 96 ans souligne « l’atmosphère surréaliste de la pandémie de Covid-19 » qui donne, selon lui, « Un sentiment de danger imminent ».Par ailleurs, il ajoute que l’urgence réside dans le lancement d’une transition vers un ordre mondial « post-coronavirus », car « le monde ne sera plus jamais le même après ». « Lorsque la pandémie de Covid-19 sera terminée, les institutions de nombreux pays seront perçues comme ayant échoué. », présage M.Kissinger.Aucun pays, d’après lui, ne peut vaincre le virus dans un effort purement national : « Une vision et un programme de collaboration mondiale sont nécessaires ».« Le défi historique pour les dirigeants est de gérer la crise tout en construisant l’avenir. Un échec pourrait enflammer le monde. », conclut Henry Kissinger.
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-WIKIPÉDIA -LA VIRGINIA COMPAGNY
Les États-Unis ne sont pas un pays :c´est une compagnie dont le propriétaire est des lignées qui possédaient la Virginia Company, parce que les états unis sont la Virginia company.La « Virginia company » possédait la plupart des terres de ce que nous appelons NOW les États-Unis, ainsi que toutes les terres situées jusqu´a 1400 km des cotes (Caraïbes, Bermudes). La Virginia company (la couronne britannique et les familles de la lignée) avait 50% des droits de tout le minerai d´or et d´argent qui était exploité sur ses terres, en plus d´un % des autres minerais et matériaux brut, et 5 % de tous les profits des autres entreprises. Les terres de la Virginia company étaient accordées aux colonies selon un acte de location et par conséquent, les colons ne pouvaient pas se proclamer propriétaires des terres.
Ils pouvaient transférer à leurs héritiers le droit d´utiliser la terre, mais ne pouvaient jamais en être propriétaire. Après que les colonies d´origine eurent acquis leur « indépendance » et âpres avoir créé un pays « indépendant », la Virginia company après 1783, a tout simplement changé son nom pour États-Unis ! Il y a 2 États-Unis, ou plutôt un E-U et un é-u. les états- unis d´Amérique avec le « é » et le « u » en lettre minuscules sont les terres des différents états, donc de la couronne britannique en tant que dirigeant de l´ancienne Virginia company. Et il y a les États-Unis, avec les majuscules, qui sont en fait, 175 KM carrés de terrain à l´ouest du fleuve Potomac, ou est située la capitale fédérale Washington D.C. et le district de Columbia.Le 24 janvier 1791, le président des États-Unis, George Washington, rédige une proclamation officielle pour consacrer l’existence du District fédéral. Dans cette proclamation, il décrit les limites de ce District en évoquant des côtés qui mesurent 10 miles (environ 16 km). La forme retenue est celle d’un losange, « a diamond-shaped area », pour reprendre l’expression américaine. Assurément, cette expression est d’ailleurs beaucoup plus riche de sens puisqu’elle fait référence à un diamant, allusion qui disparaît dans la traduction française.Aujourd’hui, les habitants du District de Columbia, c’est-à-dire entre autres de Washington, n’ont pas le droit de voter pour des représentants ou des sénateurs qui agiraient politiquement en leur nom.Cette exception qui fait sortir les habitants du District du corps électoral américain soulève à l’évidence un problème juridique et démocratique majeur. Si on s’en tient à cette approche, des citoyens américains se trouvent soumis à des règles juridiques sur lesquelles ils n’ont aucun pouvoir…
Lorsque les américains sont d´accord pour avoir un numéro d´identification social, ils renoncent à leur souveraineté et accepte de devenir des franchisés des États-Unis. Il n´y n’a aucune loi qui dit que les américains doivent payer de l´impôt fédéral.Le « Fédéral Reserve Board » est la propriété des mêmes familles de la fraternité en Grande Bretagne et en Espagne, qui possèdent le reste de l´Amérique.Mais qui possède les actifs de la virginia company ?: LE VATICAN. ….le 03 octobre 1213, le roi Jean en tant que « roi d´Angleterre compagnie unique » a proclamé l´autonomie pour tous les droits souverains de l´Angleterre et les a assignés au pape, qui le pape a accordé le pouvoir exécutif sur tous les territoires à la Couronne britannique.Les cours criminelles sur les terres de la virginia company devaient être soumises à la loi maritime, la loi de la mer, donc celle de la couronne britannique. Lorsqu´une cours est dirigée par la loi maritime, le drapeau dans le tribunal doit avoir une bordure dorée.
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Le conflit qui opposa le Canada et les États-Unis de 1812 à 1815. Cette guerre scelle le sort de l'Amérique du Nord. Elle transforme le Canada en nation et brise le rêve d'un État indien autonome.
REMARQUE:On passe sous silence l'attaque et la destruction de la ville de Washington ainsi qu'en grande partie la Maison Blanche et le Capitol, en riposte. Le traité de paix qui a été signé en Europe, dans le plus grand secret, a permis à l'Angleterre de demeurer propriétaire du territoire du "District of Colombia" pour gérer les états qui se sont unifiés et faire croire au monde entier que c'est un pays et dont les habitants ne porteront pas de nationalité propre.
Cette guerre est aussi connue sous les noms de guerre de 1812, de seconde guerre d’indépendance, voire plus rarement de guerre américano-britannique.Les historiens militaires ont tendance à le décrire comme un match nul.
https://www.youtube.com/watch?v=90KOyAd0FE8
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-JUIN 2020-La Chambre des représentants a approuvé vendredi un projet de loi pour donner le statut d'État à la capitale fédérale Washington, une première historique saluée par les démocrates, mais qui ne devrait pas aboutir au Sénat républicain.
Faire de Washington un État, c'est "montrer notre respect pour la démocratie", a affirmé la présidente démocrate de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi.Bien qu'ils payent des impôts et servent dans l'armée, "pendant plus de deux siècles, on a privé les habitants de Washington de leur plein droit à participer à notre démocratie", a-t-elle dénoncé.
Approuvé par 232 voix contre 180, avec le seul soutien des démocrates, c'est la première fois de l'histoire américaine qu'un tel texte est adopté par l'une des chambres du Congrès américain, et la première fois depuis 1993 qu'un vote était organisé sur le statut de Washington.Un manque de représentation qui est au cœur des débats, inscrit même sur les plaques d'immatriculation de Washington avec la mention "taxation without representation" (les impôts sans les élus).
Lors de la création des États-Unis au 18e siècle, les pères fondateurs avaient souhaité établir le siège du gouvernement fédéral en dehors des 13 premiers États pour éviter les conflits. La Constitution a donc prévu la création d'un "district", en 1790, directement rattaché au pouvoir central.
C'est en raison de ce statut unique que les résidents de "Washington DC", soit "le District de Columbia", n'ont pas d'élus qui votent au Congrès.
"Le district paye plus d'impôts par personne que tout autre État américain"."DC devrait être un État", a tweeté le candidat démocrate à la Maison-Blanche, Joe Biden.Un amendement constitutionnel, en 1977, avait prévu de donner des élus au Congrès à ses habitants. Malgré son adoption il n'a jamais été ratifié.
-PÉTITION TEXAS RÉFÉRENDUM
Le représentant Kyle Biedermann (R-Fredericksburg) a déposé le House Bill 1359, ou Texas Independence Referendum Act. autrement connu sous le nom de Texas Independence Referendum Act. S’il est adopté, il permettrait aux Texans de voter sur la question de savoir si la législature du Texas devrait créer un comité intérimaire conjoint pour élaborer un plan pour obtenir l’indépendance du Texas.
Selon Biedermann, le projet de loi n’est pas une résolution permettant une indépendance immédiate. Au lieu de cela, il donnerait le pouvoir au peuple par référendum pour lui donner le droit de discuter, de débattre et de voter sur la création d’une voie vers l’indépendance.
“Cet acte permet simplement aux Texans de voter”, a déclaré le représentant du Texas. “Cette décision est trop importante pour être monopolisée uniquement par les courtiers du pouvoir dans notre Capitole. Nous devons faire entendre la voix des Texans! Les électeurs de toutes tendances politiques au Texas peuvent s’entendre sur une chose, Washington, DC, est et a été brisée. Notre gouvernement fédéral laisse continuellement tomber nos familles de travailleurs, nos aînés, nos contribuables, nos anciens combattants et nos propriétaires de petites entreprises. Pendant des décennies, les promesses de l’Amérique et nos libertés individuelles s’érodent. Il est maintenant temps que les habitants du Texas aient le droit de décider de leur propre avenir. Ce n’est pas une question politique de gauche ou de droite. Laissez les Texans voter! “
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La république du Texas est le nom que porta l'État texan qui fit sécession du Mexique, de 1836 à 1845, avant son annexion par les États-Unis.À l'automne 1835, le Texas fait partie du département de Coahuila y Texas de la république du Mexique (ce n'est plus un État dans le sens de la Constitution de 1824 mais un département, le Mexique étant devenu « centraliste » et non « fédéraliste »).Les États-Unis, intéressés par d'autres territoires, aident ou fomentent d'autres vocations séparatistes telles celles des éphémères république du Yucatán et république du Rio Grande. Cependant, ces tentatives se heurtent notamment aux intérêts britanniques au Yucatán.Le Texas, alors peuplé majoritairement de colons anglo-américains, se révolte contre l'État central mexicain
-VIDÉO CLIQUEZ ICI-DOCUMENTAIRE: Guerre Américano-Mexicaine --
Elle est aussi indispensable au fonctionnement du corps social que le sang l'est au fonctionnement du corps humain. "La monnaie est dans l'Etat ce que le sang est au corps humain : sans l'un, on ne saurait vivre, sans l'autre, on ne saurait agir".La circulation des richesses est vitale pour la mécanique sociale : "Quand le sang ne circule plus dans toutes les parties, le corps languit ; de même quand la monnaie ne circule pas dans notre société, le corps social languit et s'affaiblit".la nocivité de la thésaurisation qui "enlève d'importants capitaux à l'action reproductive et fécondante de l'industrie" et qui met ainsi en péril toute l'activité économique en bloquant la circulation des richesses.Fondateur de la première véritable école d’économistes,François Quesnay est le premier à avoir véritablement fait de l’économie au sens moderne du terme,celle des physiocrates, Quesnay a donné, avec son " Tableau économique ", un premier modèle macroéconomique.N’oublions pas que François Quesnay(1694-1774) est d’abord un médecin, et que la circulation sanguine, dont la (re)découverte date d’un peu plus d’un siècle, n’est sans doute pas pour rien dans la vision du système économique qu’il élabore. Organes et circulation sanguine dans le corps humain/classes, circulation des richesses dans la société ; le parallèle est trop beau pour être éludé.Dans les années 1750, il forme l’école des Physiocrates.Ce terme a pour base du grec Phusis, nature et kratos, pouvoir, autorité : gouvernement de la nature. François Quesnay est souvent considéré comme le premier à découper la société selon des classes économiques.Enfin, pour que les richesses circulent bien dans la société, que l’ordre naturel soit respecté, il ne faut pas se créer des caillots, des barrières. François Quesnay, comme tous les physiocrates, est un promoteur du « laissez faire, laissez passer »afin de ne pas gêner « l’ordre naturel » du circuit économique entre les différentes classes.Les analogies anatomiques étaient aussi fréquemment utilisées dans les textes du XVIIIe siècle. Après la découverte de la circulation sanguine par William Harvey, plusieurs auteurs économiques ont décrit le commerce en termes anatomiques. L’argent circule dans l’économie comme le sang dans les veines. Thomas Hobbes(1588-1679) a été l’un des premiers à le faire; John Pollexfen, Jacob Vanderlint, Philip Cantillon et d’autres l’ont suivi en qualifiant le trésor public de « coeur » de l’État et la monnaie du « sang » qui permet à ses « organes » d’atteindre d’autres États – par exemple en finançant une armée. Ces analogies anatomiques étaient valides dans les deux sens dans la mesure où la notion d’équilibre a été aussi habituellement utilisée par des traités médicaux lorsqu’on parlait de l’économie du corps et de son équilibre naturel. Les maladies étaient définies selon leur divergence de cet équilibre, de sorte que l’équilibre prenne une signification de modération et absence d’excès.
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L'étrange analogie entre la finance et le sang.Sous l'aspect ésotérique Richard Glenn nous avaient proposé en 2014 une vision originale du mode d'échange dans l'organisme humain biologique et sociologique.Les groupes sanguins A, B, AB, O sont comme les différentes devises monétaires des pays sur Terre. La monnaie sert d'échange entre des services, des biens pour maintenir la santé dans la société tout comme le sang sert à échanger le gaz carbonique par de l'oxygène dans les poumons de tout être humain. Actuellement le sang noir de la terre (le pétrole) circule dans les pipelines pour "nourrir" les véhicules comme le sang rouge circule dans les artères et les veines pour nourrir les cellules du corps humains.
Le flux de la vie n'est rien d'autre que l'interaction harmonieuse des éléments et des forces qui structurent le champ de l'existence. Cette harmonie opère dans votre vie en tant que Loi du Don. Votre corps, comme votre esprit, fait partie d'un échange actif et constant; c'est pourquoi bloquer la circulation de l'énergie équivaut à entraver celle du sang. Quand le sang ne circule plus, il commence à stagner, à se coaguler, à cailler. Vous devez donc donner et recevoir pour que la richesse et l'abondance - ou les bienfaits que vous désirez - puissent circuler dans votre vie.
Le mot affluence vient de la racine latine << affluere >> qui signifie << couler vers >>. Il a le sens de << couler en abondance >>. L'argent est en effet le symbole de l'échange d'une énergie de vie. Il est le résultat utilisable d'un service que nous offrons à l'univers. comme l'argent est énergie de vie, si nous bloquons sa circulation - si notre seule intention est de garder notre argent et de l'accumuler - nous empêchons l'énergie d'affluer dans notre vie. Pour que celle-ci continue à affluer vers nous, nous devons donc en favoriser la circulation. Comme une rivière, l'argent doit continuer à couler. À défaut, il commencera à stagner, à coaguler, à suffoquer et à étrangler sa propre énergie de vie.Le fait de circuler, en revanche, lui offre vie et dynamisme.Dans chaque graine dort la promesse de milliers de forêts. Mais la graine ne doit pas être gardée. Elle doit donner son intelligence au sol fertile. À travers ce don, son énergie invisible s'épanouit en une manifestation matérielle."Dans le système de correspondance des métaux et des planètes, l'argent est en rapport avec la Lune,tandis que l'or, dont la couleur est le jaune, est en rapport avec le Soleil.
-LIEN--LE PRIX DU BITCOIN POURRAIT ALER À 100,000 en 2021-
Le prix du bitcoin a dépassé 40 000 dollars jeudi pour la première fois de son histoire, profitant de l’optimisme des marchés lié à la certification de l’élection de Joe Biden aux États-Unis, et poursuivant sa spectaculaire envolée des dernières semaines.Vers 19h50, la principale cryptomonnaie cotait 38 950 dollars, en hausse de 6,52% sur la séance, après être montée peu avant à environ 40 380 dollars, d’après des prix compilés par Factset, sur un marché extrêmement volatile depuis deux mois.
"Un seuil important de prix a été atteint et le bitcoin", décentralisé et non dépendant des banques centrales, "a fait ses preuves en tant qu’actif", estime Naem Aslam, analyste d’Ava Trade."Maintenant tout le monde connaît le bitcoin et tout le monde en veut un bout", ajoute-t-il, sachant que les particuliers peuvent en acheter une portion. Il précise cependant que "bien entendu, ce sont les investisseurs institutionnels qui mènent cette envolée".Le prix du bitcoin a battu record sur record fin 2020, et n’avait atteint la barre des 30 000 dollars que samedi, et 35 000 mercredi, poussant de nombreux observateurs à conseiller la prudence aux investisseurs individuels face à une envolée qui pourrait faire craindre une bulle avec une correction à la clé.
"Les investisseurs continuent à monter dans le train des cryptomonnaies qui semble gagner de plus en plus d’intérêt maintenant que l’économie américaine est bien partie pour bénéficier d’un plan de relance budgétaire de l’administration Biden lors de ses 100 premiers jours".Les analystes de JPMorgan estiment que le bitcoin pourrait atteindre 146 000 dollars, à condition que sa volatilité s’apaise pour attirer des investisseurs qui préfèrent pour l’instant l’or, plus stable.
[link=Les grandes dates de Bitcoin]-LES GRANDES DATES DU BITCOIN[/link]
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-Publié le 01 février 2021-L'Inde aimerait se doter d'une roupie numérique qui sera chapeautée par la banque centrale du pays, d'après une proposition de loi actuellement en discussion devant la chambre basse du Parlement. Le texte prévoit également une interdiction des cryptomonnaies, alors que la Cour suprême avait levé une prohibition similaire en mars 2020.L'Assemblée nationale indienne travaille sur une proposition de loi visant à interdire les cryptomonnaies, comme le Bitcoin ou Ethereum, et lancer une monnaie numérique émise par la Banque de Réserve de l'Inde (RBI), la banque centrale du pays, d'après Reuters.
Le texte, actuellement en discussion devant le Parlement, prévoit des exceptions à cette interdiction lorsque l'objectif de promouvoir la technologie sous-jacente est rempli.Cette prohibition est née à la mi-2019 d'un groupe de travail rattaché au gouvernement indien qui a recommandé d'interdire toutes les cryptomonnaies privées. Cette interdiction est accompagnée d'une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à 10 ans et de lourdes amendes pour tout individu traitant des devises numériques.
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Le Japon annonce la création d'une cryptomonnaie souveraine pour 2021
https://www.usine-digitale.fr/article/le-japon-annonce-la-creation-d-une-cryptomonnaie-...
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L'euro numérique sera disponible d'ici 5 ans, d'après la Banque centrale européenne
https://www.usine-digitale.fr/article/l-euro-numerique-sera-disponible-d-ici-5-ans-d-ap...
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L'OCDE veut un cadre transparent pour taxer les cryptos au sein de ses pays membres
https://fr.cryptonews.com/news/the-oecd-wants-to-tax-your-crypto-to-pay-for-covid-19-re...
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Videorandia de d'AVRIL 2013 de la Présence de Jean de floride Spécialiste en Finance,déjà,en 2013 il nous parlait du Bitcoin...
SAMEDI 6 AVRIL 2013
VIDÉO NON DISPONIBLE
COMPLÉMENT SURPRENANT
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=77927
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SAMEDI 7 AVRIL 2018
-VIDÉO CLIQUEZ ICI
COMPLÉMENT SURPRENANT
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=151851
-SOURCE
Les chercheurs à l’origine de Meltdown et Spectre l’avaient expliqué : plus que de simples failles, c’était toute une nouvelle catégorie de vulnérabilité qu’ils avaient découverte. Pas étonnant donc que depuis, les failles reposant sur l’exécution spéculative se multiplient.Aujourd’hui, c’est au tour des chercheurs de Bitdefender de présenter leurs vulnérabilités à l’occasion d’une conférence donnée à la Black Hat, qui se déroule cette semaine à Las Vegas. La faille a reçu l’identifiant CVE-2019-1125, la vulnérabilité est également baptisée SWAPGSAttack par certains chercheurs du fait de son fonctionnement.Les chercheurs de Bitdefender ont présenté cette vulnérabilité à l’occasion de la Defcon, mais travaillent avec Intel depuis plus d’un an afin de corriger celle-ci. Intel a d’ailleurs communiqué au sujet de cette vulnérabilité, mais précise dans son message que les correctifs pour cette faille interviendront plutôt au niveau logiciel, principalement du côté des concepteurs de systèmes d’exploitation....SUITE CLIQUEZ ICI
-SITE OFFICIEL
DEF CON est la convention hacker la plus connue à travers le monde. Elle est tenue chaque année à Las Vegas, Nevada aux États-Unis. La première convention DEF CON s'est déroulée en juin 1993.Le public de cette convention est pour la plupart composé de professionnels de la sécurité des systèmes d'information, de crackers, hackers, journalistes, avocats et employés du gouvernement fédéral intéressés par la programmation, l'architecture, le phreaking, la modification de matériel informatique et tout ce qui peut être hacké. L’événement consiste en de multiples discours à propos de sujets liés aux ordinateurs ou au piratage informatique.DEF CON a été également dépeint dans l'épisode "Three of a Kind" de X-Files : Aux frontières du réel (The X-Files), avec une apparition de The Lone Gunmen. DEF CON était décrite comme une convention parrainée par le gouvernement américain au lieu d'une convention civile.
-Enregistrements vidéo des présentations de ces dernières années
-SOURCE
Le géant des paiements en ligne coté au NASDAQ PayPal va permettre à ses clients d'acheter, de vendre et de conserver du Bitcoin (BTC) et d'autres crypto-actifs pour les possesseurs de comptes américains au cours des prochaines semaines dans un premier temps, a rapporté Reuters, citant le président et directeur général Dan Schulman. L'option sera rendue disponible dans d'autres pays au cours du premier semestre 2021.Paypal souhaite rendre possible l'utilisation des cryptomonnaies sur Venmo, son service de paiement mobile qui traitait 12 milliards de dollars de transactions au premier trimestre de 2018.Les clients de PayPal pourront également utiliser des cryptomonnaies pour faire des achats chez les 26 millions de commerçants de son réseau à partir du début de 2021, ajoute l'article.
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Les Khazars sont un peuple d'origine turque, dont la vie et l'histoire sont très proches du développement de l'histoire juive en Russie. Venant de Turquie, ils étaient des nomades des steppes, gui vivaient de rapines et de pillages. Au milieu du 6ème siècle ils s'établirent au sud de la Russie, bien avant la monarchie des Varègues. Le royaume khazar était à son apogée et menait constamment la guerre. Il n'y eut pas de moments pendant lesquels ils ne faisaient pas la guerre. Ils dominaient de grands territoires de la mer Noire à la mer Caspienne, et du Caucase à la Volga.
Au 8ème siècle le Chagan, le roi des Khazars, se convertit au judaïsme, ainsi que sa cour et une grande partie du peuple. La raison principale de leur acte était due à leur position géographique précaire entre l'empire romain d'Orient et les partisans victorieux de Mahomet. Les deux exigeaient des Khazars qu'ils se convertissent, les uns au Christianisme, les autres à l'Islam. Les Khazars choisirent le judaïsme, refusant les deux autres. Au cours des deux siècles qui suivirent, la plupart des Khazars se convertirent, et à la fin du 9ème siècle tous les Khazars étaient de religion juive.
Dans l'édition de 1960 de l'Encyclopedia Judaica on trouve ces faits : " En 1960 il y a 500. 000 juifs d'origine hébraïque dans le monde."Les Ashkenazim ou juifs Khazars sont au nombre de 11 millions. Les juifs d'origine Khazar les plus connus aujourd'hui sont les Rothschild. Leur nom vient de l'enseigne (Schild en allemand) rouge (Rot), le blason des Khazars, qui se trouvait sur le magasin de Mayer Amschel Bauer, dans la rue des Juifs à Francfort. "Les juifs d'aujourd'hui n'ont aucun rapport avec les hébreux (ils viennent des Khazars). Il y a plus de juifs à New York qu'à Jérusalem."
{Livre, Livre Jaune N° 5 (Le), Collectif d'auteurs, Ed. Félix}
Autres liens intéressants:
http://www.sefarad.org/publication/lm/039/2.html
http://www.basile-y.com/historiettes/h2.html
http://www.cclj.be/regards/web/dossiers/khazar.htm
Selon ce que nous a raconté Jean-Jacques Dubois, tous les juifs exterminés par Hitler auraient été des Ashkenazims. L'extermination des juifs par Hitler aurait été une sorte de règlement de compte (inconscient, bien sur) des européens (massacrés par les Khazars) et des vrai juifs (offusqué par la présence des Ashkenazims dans leur communauté) contre les Khazars[/b].
J'insiste sur le point suivant: C'est inconsciemment, par le jeu des forces de l'ombre, que les Sépharades auraient utilisé Hitler comme leur bras vengeur. Hitler aurait été un médium possédé par l'esprit (égrégore) des vrai juifs. Les allemands (particulièrement éprouvé par les Khazars) auraient adhérés (encore une fois, inconsciemment) facilement à cette médiumnité, car, il voyait là une possibilité de revanche contre les Khazars.
Si les humains se laissent si facilement manipuler par les forces des ténèbres c'est que ces derniers utilisent notre plus grande faiblesse, l'inconscient. Dans la mesure ou l'on prend conscience de ce "pattern" il disparaît de lui même. Il n'y a pas a avoir de pardon. Dès l'instant ou un être est conscient les forces des ténèbres ne peuvent plus le manipuler.
https://levigilant.com/Khazars_Israel/khazars_israel.htm
SITE OFFICIEL
Overstock (anciennement O.co) (NASDAQ : OSTK [archive]) est une entreprise de commerce électronique américaine basée à Cottonwood Heights, Utah Créée par Robert Brazell en 1997, sur le nom D2: Discounts Direct, c'était un vendeur de pionnier en ligne de marchandises en surplus qui, après son échec en 1999, a été acquis par Patrick Byrne et relancé comme Overstock.com
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Sidney Powell, femme de loi américaine droite dans ses bottes, reconnue par ses pairs comme une superlawyer, sera-t-elle la justicière qui rassemblera les preuves ? Elle s’attelle avec Rudy Giuliani, avocat du Président Donald Trump et son équipe, à démontrer la fraude électorale massive intervenue dans plusieurs états clés durant l’élection présidentielle américaine de 2020. La fraude électorale n’est pas nouvelle dans une Amérique ultra moderne et connectée, où dans certains états, on peut aller voter sans pièce d’identité ni vérification de signature, ou voter sur une machine sans obtenir un reçu papier attestant de son choix… Souvenons-nous de l’élection présidentielle de l’an 2000 : Al Gore était donné gagnant le 7 novembre, alors qu’une fois effectué le recompte des voix en Floride, en définitive George Bush l’emporta.
Sidney Powell en sait quelque chose. Auteur du best-seller « Licensed to lie » ou « Permis de mentir », publié en 2014 sous la mandature d’Obama, cette avocate très respectée qui a été procureur fédéral pendant 10 ans dans plusieurs juridictions, a traité plus de 500 affaires face aux cours fédérales. Spécialiste des cas complexes impliquant acteurs politiques, dirigeants d’entreprises et représentants de la justice, elle dénonce les abus de pouvoir, les collusions d’intérêt au plus haut niveau, la manipulation des faits, les pots de vins dans certains cas devenus célèbres comme l’affaire Enron, Arthur Andersen etc... Dans ce livre très documenté écrit comme un cri du cœur face au niveau de corruption du Département de la Justice, et qui se lit comme un thriller, l’auteur démontre preuves à l’appui comment des procureurs fédéraux déloyaux ont condamné des innocents alors que les coupables ont échappé à la justice et occupent encore aujourd’hui des postes de pouvoir au plus haut de l’Etat.
Sidney Powell évoque l’officier d’investigation Elliot Ness qui durant la prohibition, a rassemblé autour de lui une équipe d’agents fiables pour poursuivre Al Capone dans le Chicago des années 30, gangréné par la pègre et la corruption. Cette équipe d’agents fédéraux parviendra à faire arrêter le célèbre gangster pour fraude fiscale, et passera à la postérité sous le nom des incorruptibles.L’avocate Sidney Powell est de cette trempe ; le visage allongé, les yeux perçants, la voix légèrement tremblante, cette patriote est animée par la foi en la justice et croit en la puissance de la constitution. En pervertissant le système judiciaire au profit de leurs objectifs et de leur avidité pour le pouvoir, ceux qui ont orchestré cette fraude doivent être poursuivis et inculpés pour restaurer le bon fonctionnement des institutions. Elle en est convaincue.
Sidney Powell a démontré sa résilience dans la défense du Général Flynn, ancien conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump, accusé d’avoir menti au FBI concernant ses échanges téléphoniques avec un diplomate russe. L’avocate a réussi à obtenir les notes montrant comment les officiers du FBI ont attiré Flynn dans un entretien informel, et utilisé cette conversation pour alimenter la cabale russe contre Trump, transformant Mike Flynn en bouc émissaire. Le rapport du procureur Mueller a fait un flop, révélant que cette cabale avait été montée de toutes pièces par les adversaires de Trump. Après la plaidoirie de défense de Sidney Powell, le Département de la Justice a abandonné les charges contre le Général Flynn. Fin octobre pourtant, le juge fédéral fait appel de cette décision, situation tout à fait inédite après une décision du Département de la Justice.
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-VIDÉO CLIQUEZ ICI-Documentaire: City de Londres, la finance en eaux troubles-
La Cité de Londres (« City of London » appelée plus communément « The City »)dont l'emblème est le griffon, est le cœur historique de la ville de Londres, englobant largement en son sein le périmètre du mur de Londres, ancienne enceinte ceinturant l'antique cité romaine de Londinium. C'est aussi la plus petite des circonscriptions administratives du Grand Londres, qui la distingue cependant des 32 autres districts londoniens, de par un statut sui generis lui conférant à la fois le titre de « cité » et de comté cérémonial, dont le mode d'administration est unique en Angleterre.
Troisième place financière mondiale après New York et Tokyo, Londres possède dans son centre historique un célèbre quartier d’affaires, la City.les rues du quartier portent les noms des métiers d'autrefois et la City compte encore 108 guildes appelées ou Worshipful Company (dont celles des orfèvres, des tanneurs et des poissonniers).Jules César débarque en Angleterre en 55 avant J.-C et fait construire un port sur la rive gauche de la Tamise. Ce port sera nommé Londinium, nom dérivé du breton Llyn-Din (signifiant « Fort du Lac »), du nom du village de pêcheurs qui s’y trouvait à l’origine. C’est la naissance de Londres.Londinium se développe rapidement et devient le lieu de commerce et de transit le plus important de cette partie du monde romain.À l'époque de sa construction (entre 1671 et 1677), c'était la plus grande colonne de pierre du monde.La City, la finance en eaux troubles,550 banques et la moitié des plus grands assureurs se nichent dans ce quartier au pied de la cathédrale Saint-Paul. Le volume d'affaires qui se brasse ici est cinq fois supérieur au PNB du pays. Pas étonnant que le griffon, gardien du trésor, soit l'emblème de la City of London.Une cité médiévale qui a toujours occupé une situation particulière dans le royaume. Depuis presque 1 000 ans, elle est totalement indépendante de la Couronne. Elle s'est dotée d'un Parlement bien avant que la monarchie ne devienne parlementaire. Cet État dans l'État a permis au Royaume-Uni de rayonner dans le monde ; en retour, ce grand argentier a pu jouir d'un pouvoir sans précédent.
Aujourd'hui, la City a conservé un certain nombre de privilèges dont celui de disposer de son propre gouvernement avec à sa tête un puissant lord-maire. Avec la bénédiction du pouvoir politique, la City a créé des centres offshore partout dans le monde (îles Caïmans, Bermudes...) qui pratiquent le secret bancaire et l'absence d'imposition. Ces paradis fiscaux sont utilisés par les multinationales pour échapper à l'impôt mais aussi par les milieux mafieux pour blanchir l'argent du crime ou de la drogue.
Devenue un état souverain en 1694 lorsque le roi William III d’Orange privatisa et retourna la Banque d’Angleterre à des banquiers privés. En 1812, Nathan Rothschild torpilla le marché boursier anglais et prît alors un contrôle frauduleux de la Banque d’Angleterre.Aujourd’hui, la ville état de Londres (City) est le centre financier mondial et le kilomètre et demi carré le plus riche de la planète.
ELLE ABRITE;
▪ La Banque d’Angleterre contrôlée par Rothschild
▪ Lloyds of London
▪ Le London Stock Exchange
▪ Toutes les banques britanniques
▪ Les succursales de 384 banques étrangères
▪ 70 banques américaines
▪ Journaux de Fleet Streets et Publishing Monopolies
▪ Le QG mondial de la franc-maçonnerie
▪ Le QG pour le cartel mondial monnétaire connu sous le nom de “la couronne” ou “the Crown”
*Elle ne fait pas partie de la ville de Londres ou de l’Angleterre ou du Commonwealth britannique.
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En 2016, Trump avait mené campagne sur une plate-forme explicitement anti-interventionniste. Les États-Unis, a-t-il répété, devaient cesser de gaspiller de l’argent à essayer de résoudre les problèmes du monde.-Trump a accusé l’administration Bush de mentir à propos de l’Irak et a déclaré que l’invasion de l’Irak « a lancé Daech, a lancé (le chaos en) Libye, a lancé la (guerre en) Syrie… tout ce qui se passe a commencé avec notre entrée stupide dans la guerre en Irak. » Il a même suggéré que Saddam Hussein aurait pu être un allié utile contre le terrorisme.Les partisans de Trump et de nombreux commentateurs –qui ne sont en aucun cas des défenseurs de Trump– soulignent que TRUMP,CONTRAIREMENT À SES RÉCENTS PRÉDÉCESSEURS, N’A DÉCLENCHÉ AUCUNE NOUVELLE GUERRE. « Pour être juste envers » Trump, le journaliste Bob Woodward a fait valoir qu’«il n’a pas déclenché de nouvelle guerre. »Trump, insistent ses partisans, est un anti-interventionniste dans l’âme Oui, Trump a attaqué la Syrie avec des missiles balistiques ; mais il n’est pas allé plus loin, bien que de nombreux néo-conservateurs l’ont exhorté à intensifier son action. Oui, Trump a menacé l’Iran et même assassiné l’un de ses hauts dirigeants ; mais il a refusé l’escalade lorsque l’Iran a riposté en lançant une attaque de missiles balistiques sur la base aérienne d’Al-Assad. Trump n’a rien fait non plus lorsque l’Iran a abattu un drone américain. D’ailleurs, regardez son accord avec les Talibans, engageant les États-Unis à retirer toutes les forces d’Afghanistan dans les 14 mois !
Jusqu’en 1933, l’assermentation avait toujours eu lieu le 4 mars. Puis, la date a été devancée en janvier. Pourquoi?La cérémonie d’assermentation des présidents des États-Unis n’a pas toujours eu lieu le 20 janvier. En fait, jusqu’en 1933, elle se déroulait plutôt le 4 mars, pour coïncider avec la date d’entrée en vigueur de la Constitution de 1789. À l’époque, les quatre mois qui séparaient l’élection (en novembre) de l’assermentation (en mars) donnaient la chance au président désigné de constituer son équipe. Après tout, bien des présidents américains ont vécu avant l’invention du téléphone et de l’automobile!
Cette longue période de transition avait tout de même ses inconvénients. Par exemple, entre l’élection d’Abraham Lincoln et son assermentation (le 4 mars 1861), des Américains en ont profité pour faire mousser leurs appuis en faveur de la guerre de Sécession.
Les Américains ont changé la date de prestation de serment des présidents pour le 20 janvier en 1933. Non seulement en raison des nouvelles technologies qui facilitaient les communications, mais aussi parce que le pays était plongé dans la Grande Dépression. Attendre jusqu’en mars pour que Roosevelt soit assermenté signifiait six semaines de plus sans que rien ne soit fait pour régler la crise.
Depuis, l’assermentation a lieu le 20 janvier, à midi. C’est désormais inscrit dans le 20e amendement de la Constitution américaine. Pourquoi à midi? Simplement parce que cette heure a été choisie et inscrite dans la Constitution comme étant le point final du mandat du président sortant. Ce qui signifie que la dernière seconde du mandat de Donald Trump était à 11 h 59 min 59 s le 20 janvier. La seconde suivante, l’ère BIDEN commença.
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https://www.france24.com/fr/am%C3%A9riques/20201016-les-emails-compromettants-de-joe-bi...
Les “révélations” controversées du New York Post au sujet du candidat démocrate Joe Biden doivent beaucoup à un réparateur d’ordinateurs pro-Trump adepte de théories du complot.Pour remonter à l’origine de cet emballement politico-médiatique de grande ampleur, il faut chercher du côté de Wilmington, commune de 70 000 habitants entre Philadelphie et Baltimore - et fief de Joe Biden. C’est là, dans un petit magasin de réparation d’ordinateurs, que tout a commencé.
John Paul Mac Isaac, patron de l’enseigne, aurait remis les e-mails compromettants au New York Post.John Paul Mac Isaac, dont l’identité a été révélée par une indiscrétion du New York Post, affirme que c’est Hunter Biden en personne qui lui aurait apporté l’ordinateur contenant de quoi incriminer son père.Il se serait présenté en avril 2019 au Mac Shop de Wilmington avec, sous le bras, trois MacBook Pro qui auraient pris l’eau. Finalement, Hunter Biden n’en aurait laissé qu’un seul à réparer. Celui-là même sur lequel John Paul Mac Isaac a découvert le “Saint Graal” du camp pro-fouillant dans le disque dur de cet ordinateur portable, il a découvert des courriels qui attesteraient que Joe Biden a usé de son influence politique pour aider Burisma, une entreprise ukrainienne pour laquelle Hunter Biden travaillait depuis 2014. Du pain bénit pour le camp Trump, qui essaie, sans succès, depuis plus d’un an de relier l'adversaire démocrate aux affaires ukrainiennes de son fils. Cet effort pour déstabiliser Joe Biden était déjà au cœur du désormais célèbre coup de téléphone que Donald Trump a passé au président ukrainien en août 2019 et qui a valu une procédure de destitution au locataire de la Maison Blanche.Conscient d’avoir une “bombe” politique entre les mains, le réparateur d’ordinateurs de Wilmington a affirmé avoir contacté le FBI fin 2019. Mais avant de remettre le précieux MacBook Pro à l’agence fédérale, John Paul Mac Isaac a fait une copie du disque dur au cas où…
Une précaution qui s’est avérée payante pour ce farouche sympathisant de la cause trumpienne. Sans nouvelles du FBI, il a décidé, en septembre 2020, de remettre l’intégralité des données à l’avocat de Rudy Giuliani, l’ancien maire de New York devenu l’homme à tout faire de Donald Trump. C’est ce proche du président américain qui a fait parvenir les informations au New York Post.Cette version des faits avancée par John Paul Mac Isaac, et relayée par le New York Post, n’a pas convaincu une partie des médias américains. Plusieurs d’entre eux sont allés rendre visite, mercredi, au réparateur de Wilmington pour préciser certains points. L’entretien, enregistré et publié par le Daily Beast, a ajouté un peu plus de confusion a une histoire déjà suffisamment alambiquée par ailleurs. La “source” des “révélations” du New York Post s’y montre, par moments, contradictoire dans ses explications, refuse parfois simplement de répondre et n’hésite pas à avancer des théories du complot chères au camp pro-Trump pour se justifier.John Paul Mac Isaac n’a ainsi pas pu confirmer l’identité de la personne venue remettre l’ordinateur à réparer, arguant d’un handicap visuel qui l’aurait empêché de reconnaître à coup sûr Hunter . Sa conviction repose, essentiellement, sur un sticker de la Fondation Beau Biden (du nom d’un autre fils, décédé, de Joe Biden) sur le MacBook Pro.Il a, en outre, refusé d’expliquer pourquoi il avait exploré de fond en comble le disque dur d’un ordinateur qu’il était simplement chargé de réparer. Il n’a pas non plus justifié le fait de ne pas avoir relancé l’illustre client qui tardait à venir rechercher son bien, affirmant simplement que "ce sont des choses qui arrivent souvent”.Le propriétaire du Mac Shop a aussi donné des versions contradictoires de ses interactions avec Rudy Giuliani. Dans un premier temps, il a affirmé que c’était le conseiller de Donald Trump qui lui avait demandé de lui remettre le disque dur, avant de rectifier le tir en racontant que c’était, en réalité, lui qui avait pris l’initiative de contacter l’avocat de l’ex-maire de New York.
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