Bienvenue ce samedi soir le 30 juin autour du feu de camp pour discuter ensemble du plus récent film de Denys Arcand: La Chute de l'Empire Américain sorti jeudi le 28 juin en soirée.Évidemment qu'au VidéOrandia #26 nous éviterons de révéler les punchs du film tout en le prenant en référence pour analyser la situation actuelle du monde.
Après nous enregistrerons la suite de nos discussions sans retenue pour diffuser plus tard pour à nos abonnés dans le Club CRÉÉE à la salle de juin 2018 (1806).
Vous êtes les bienvenus! INFORMATIONS:
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PROPRIÉTÉ DU NOMBRE 26:
SOURCE
-Jésus était âgé de 26 ans lorsque mourut son père adoptif Joseph, selon les visions de Marie d'Agréda.
-Selon le Talmud, la Thora aurait été révélée à Israël à la 26e génération de l'histoire du monde, c'est-à-dire à partir d'Adam. C'est Moïse qui, à la 26e génération du monde, reçoit la Thora transmise par Dieu.
-Dans le bouddhisme, le Khuddaka-nikâya est la cinquième partie du Sûtra-Pitaka qui est composé de quinze «courtes» sous-parties dont l'une d'elle, nommée Dhammapada, est divisée en 26 chapitres.
-Les 26 ganglions du système sympathique du corps humains.
-Les 26 lettres de l'alphabet latin.
Les 26 os de la colonne vertébrale.
-Le nombre 26 se trouve entre deux nombres: l'un carré (25 = 5x5), l'autre cubique (27 = 3x3x3). Pierre de Fermat (mathématicien de la Renaissance) démontra qu'il n'existerait aucun autre nombre situé entre un carré et un cubique, ce qui lui fit dire: "Le nombre 26 est un nombre unique dans tout l'univers mathématique"
-Valeur numérique du mot hébreu "havaya", signifiant l'existence..
Le prénom Denys vient du grec dionusos, [/b]« fils de Dieu »[/b] ; Dionysos fut le dieu grec de la Vigne et du Vin, lui-même étant issu de Zeus et Sémélé ; son culte a contribué à l’élan des mystères, et les Romains l’ont assimilé à leur Bacchus.
Arcand pourrait être la transformation française d'archantec, mot du Finistère signifiant «argentier», «banquier» ; la racine archa signifiait «coffre».
Pourrait être un dérivé d'arquet signifiant «petit arc».
Pourrait être une transformation graphique de «arquant», participe présent du verbe arquer issu du latin arcuare signifiant «courber», «plier en arc».Pourrait aussi être une variante d'ercan signifiant «sincère».
« Il y a un peu de Robin des Bois dans le personnage de Pierre-Paul. -Alexandre Landry-
Dès la première (et longue) scène, le ton est donné. Assis dans un restaurant, sur fond de tribune téléphonique où il est question du salaire des joueurs du Canadien, Pierre-Paul (Alexandre Landry) et sa future ex (Florence Longpré) mettent cartes sur table.
Le jeune docteur en philosophie, devenu livreur coursier par dépit, expose à sa vis-à-vis son malaise à vivre dans une société axée sur les valeurs matérielles et à laquelle il se sent étranger. «L’intelligence, ce n’est pas un avantage, c’est un handicap.»
La suite des choses lui donnera l’occasion de confronter ses idéaux à la réalité. Au hasard d’une livraison et d’un hold-up raté, deux sacs de sport remplis de fric se retrouvent sous son nez, sans aucun témoin dans les environs.
À peine a-t-il le temps de réfléchir que la perspective de voir sa vie changer du tout au tout l’emporte sur ses scrupules, d’où l’idée de s’emparer du magot — point faible du scénario, considérant que les policiers ont quelque peu bâclé leur travail d’inspection de son camion, mais bon…Du coup, le jeune homme se retrouvera avec un magot dont il ne saura que faire.
Sa première (et unique) folie sera de faire venir chez lui l’escorte la plus en demande à Montréal, donc la plus chère au jeu de l’offre et de la demande (Maripier Morin), dont il s’amourachera et qu’il finira par mettre au parfum de son délit.
Cherchant une façon de blanchir cet argent sale, que police et brigands recherchent activement, Pierre-Paul fera appel aux services d’un ancien motard (Rémy Girard). Repenti, l’homme a profité de sorties pendant son incarcération pour compléter un bac en administration à l’université. «J’ai besoin d’aide, j’ai vraiment trop d’argent», lui dira-t-il pour le convaincre.
À une époque où le Dieu dollar défraie les manchettes et conduit aux pires comportements vénaux, La chute de l’empire américain arrive à point nommé.
Le personnage principal s’inscrit en droite ligne avec les personnages du Déclin. Aussi timoré qu’érudit, il cite Épicure, Aristote ou Racine pour essayer de se sortir d’un dilemme moral aliénant qui l’oblige, lui issu d’une famille pauvre et qui s’est endetté pour étudier, à faire appel à un homme d’affaires en apparence respectable (Pierre Curzi) pour faire voyager son magot, en toute discrétion et par un jeu complexe de transactions, jusque dans les paradis fiscaux.
Mais qu’en est-il de la morale si cet argent mal acquis peut servir aux plus démunis? Peut-on avoir la main sur le cœur et l’autre sur son porte-monnaie? Au fond, ne fait-on pas de l’argent ce qu’on en veut bien? Autant de questions auxquelles le film invite à réfléchir.
Au sein d’une distribution chorale formée de plusieurs visages connus, Arcand ramène deux vieux collaborateurs, Girard et Curzi, dont c’est la cinquième collaboration avec lui, mais il met surtout à l’avant-plan le jeu inspiré d’Alexandre Landry, et celui, fort respectable pour une première expérience au grand écran, de Maripier Morin. La caméra, visiblement amoureuse d’elle, filme souvent et au plus près son beau minois.
En somme, un Arcand solide qui démontre que le réalisateur n’a rien perdu de son mordant.
«La plupart du temps, l’argent est un problème, explique Alexandre Landry,Mais l’argent qu’on peut donner est une solution, il devient utile. C’est l’envie de donner qu’on montre beaucoup dans le film. C’est là la vraie richesse, l’intérêt de l’argent.»
La chute de l’empire américain n’est pas une œuvre sur le roi dollar. Il y est plutôt question de charité, d’amour et de compassion. Dans cette leçon d’humanité, des êtres marginalisés – une prostituée (Maripier Morin), un ancien malfrat (Rémy Girard) – forment une véritable famille de reconstitution afin d’aider les moins nantis, notamment les personnes itinérantes.
Denys Arcand s’intéresse cette fois au fonctionnement et aux ramifications et subtilités parfois insoupçonnées du capitalisme. Il met en lumière ses turpitudes, oui, mais également son potentiel positif. De fait, la variante notable ici est que l’argent n’est plus foncièrement corrupteur : c’est ce qu’on en fait qui est bien ou mal. Dans le cœur humain, l’auteur cherche la bonté et non plus la seule cupidité.
Aspasie,l'escorte la plus chère en ville joué par Maripier Morin née à Milet (Asie mineure) vers -470 était une hétaïre grecque et fut la compagne de Périclès. Courtisane cultivée, elle s'attira le respect de la plupart des grands hommes de son temps, en premier lieu Périclès ou encore Socrate, et acquit une grande influence sur la politique athénienne de son époque. Les écrits de Platon, Aristophane et Xénophon, entre autres, mentionnent son existence.
Aspasie serait devenue hétaïre et aurait géré une maison close à son arrivée à Athènes. Courtisane de haut rang, recherchée autant pour ses talents intellectuels que pour ses attraits physiques, Aspasie porterait un nom professionnel : ἀσπάσια / aspásia signifiant « la bienvenue ». elle tient une maison close de haut vol, formant de jeunes courtisanes au métier et attirant chez elle, grâce à sa grande culture, hommes politiques et philosophes. En société, Aspasie est réputée davantage pour sa conversation et les conseils qu'elle prodigue que pour sa seule beauté physique.
Selon Plutarque, sa maison est peu à peu devenue l'un des centres de la vie culturelle athénienne, accueillant les hommes de science les plus éminents, tels que Socrate ; ses disciples s'y rendaient fréquemment. Il ajoute qu'en dépit de l'immoralité de sa conduite, des hommes conduisaient leurs femmes, pourtant assignées à résidence, à la demeure d'Aspasie: elle enseigne ainsi l'art oratoire et politique à un auditoire composé d'importantes personnalités de la cité.
L'ESCORTE DE LUXE,DANS LE FILM LA CHUTE DE L'EMPIRE AMÉRICAIN S'APPELLE CAMILLE;une espèce de dame aux camélias des temps modernes(Maripier Morin)--Le nom Camille prend son origine dans le latin camillus, signifiant « serviteur de l'autel ou enfant de chœur ».
Il est, à l'origine, le dérivé de camillus, un terme désignant les gardiens dans les cérémonies religieuses romaines. ... On les choisissait parmi les enfants des familles nobles. le camillus était l'assistant du prêtre romain pendant que ce dernier effectuait le sacrifice, comme la camilla était une jeune fille qui assistait la femme du prêtre. On les choisissait parmi les enfants des familles nobles. On les représente fréquemment, dans les œuvres de l'art ancien, debout à côté du prêtre ou de la prêtresse et portant dans leurs mains les vases employés aux cérémonies, d'après le rite consacré.
LE FRERE SPIRITUEL ET SOPHISTIQUÉ DE JOYEUX CALVAIRE (1996), OU LE CINÉASTE S’INTÉRESSAIT AU DESTIN DE DEUX SANS-ABRI INTERPRÉTÉS PAR GASTON LEPAGE et BENOÎT BRIERE (QUI FONT UNE APPARITION CLIN D’OEIL dans le film LA CHUTE DE L'EMPIRE AMÉRICAIN).
La rue est le théâtre de cette sympathique comédie qui marque le retour de Denys Arcand. L’un des premiers rôles marquants pour le comédien Benoît Brière.Réalisé par Denys Arcand trois ans après son évasion anglophone de Love and human remains, Joyeux calvaire nous raconte l’histoire de l’amitié naissante entre Marcel et Joseph, deux itinérants partis à la recherche d’un ami en difficulté. À travers le portrait touchant et plein d’humour de ces deux marcheurs infatigables, philosophes et libres, Arcand pose un regard attendri sur le Montréal des laissés pour compte et dresse un portrait peu reluisant de notre société moderne.
À ce titre, la ville est filmée de façon plutôt inusitée et la photographie de Guy Dufaux donne un côté à la fois irréel et étrange à la métropole québécoise. Une réussite.
Tourné à l’origine en 16mm, Joyeux calvaire était à l’origine produit pour la télévision. Il gagna trois Prix Gémeaux en 1997 (Meilleure émission dramatique, Meilleure réalisation: émission dramatique, Meilleur texte émission dramatique (Claire Richard). Par la suite, le film a été gonflé en 35mm pour une sortie en salles.
Pour La chute de l’empire américain, Vincent Leclerc (Séraphin Poudrier des Pays d’en haut) est passé d’avare à sans le sou. Barbe rousse épaissie, le comédien incarne un sans-abri, Jean-Claude, qui s’est lié d’amitié avec le protagoniste, Pierre-Paul Daoust (campé par Alexandre Landry), un docteur en philo qui est passé à côté de ses ambitions, mais qui a trouvé sa place en occupant son temps libre à aider les itinérants.Le personnage d’itinérant tout à la fois « rêveur » et terre-à-terre, « on ne voulait pas en faire un personnage sombre et crasseux, parce qu’il y a beaucoup de lumière chez ces gens-là »Bref,le contraire de Séraphin... Avec sa foi en la Providence, cet émouvant barbu pourrait être le vrai JÉSUS DE MONTRÉAL.La scène touchante, qui met en vedette le personnage de sans-abri interprété par Vincent Leclerc, ne devait pas se trouver à la toute fin du film initialement. L'équipe a été tellement renversée par l'émotion de cette scène qu'elle a décidé de la placer en conclusion. « Cette scène-là nous bouleversait tellement chaque fois qu'on la voyait, qu'on ne suivait plus le récit. On restait avec cette émotion-là. Denys l'a essayée à la fin et ça marchait vraiment bien », mentionne Denise Robert.
Le titre de travail du film était «Le triomphe de l’argent». Mais au fur et à mesure qu’il progressait, il dit s’être rendu compte, avec la prestation et la présence de Vincent Leclerc — qui joue Jean-Claude, un itinérant sympathique et au grand coeur — que ce titre ne donnait pas une image juste du film.Denise Robert explique pourquoi : « Le premier titre amenait à focuser que le film était simplement sur l'argent. L'argent c'est plus une excuse, mais ce n'est pas l'ensemble du film.
«C’était trop réducteur.»
«C’est plutôt le triomphe de la compassion, le triomphe de la charité, de l’amour, et de toutes sortes d’autres choses comme ça».Et il trouvait que la situation politique ne s’est pas améliorée depuis ce temps-là (celui du Déclin de l’empire américain, sorti il y a plus de 30 ans, en 1986).
S’inspirant alors de l’ouvrage historique «Le déclin et la chute de l’Empire romain», le titre actuel s’est imposé.«Pour moi, ce que ça veut dire, c’est cette époque dans laquelle nous vivons. Le déclin et la chute. Tout le monde le vit».
l’affiche du film est inspirée d’une affiche italienne du film Le déclin de l’empire américain, qui utilisait la statue de la Liberté. L’idée italienne est revenue pour réaliser l’affiche de La chute de l’empire américain, mais cette fois, elle tient une arme dans une main et fait flamber de l’argent dans l’autre.
« Il était très tôt le matin, sur la rue Bleury. On allait tourner le lever du soleil et on a vu soudainement des Inuits couchés par terre qui dormaient. On a donc décidé sur le champ de tourner bien candidement, en style documentaire, la rue qui se réveille et c’est là qu’on a vu la jeune fille qui s’apprête à ouvrir son resto et qui demande gentiment à ces gens de bien vouloir se lever et quitter. Après avoir tourné cela, on est allé voir ces personnes pour savoir si on pouvait faire leur portrait et utiliser cette séquence dans le film. On allait les rémunérer comme des comédiens. Ils ont dit oui et ce sont leurs visages que l’on voit à la toute fin du film. On a tenu à intégrer tout cela dans le montage du film. On voulait parler d’itinérance et des gens dans la rue et ceci nous a permis de le faire en étant encore plus proches de la réalité et en toute humanité.»
«Le premier montage du film faisait 2 h 40. Mais au final, on en a retranché 40 minutes.La raison est simple, pour avoir un film de 2 h 40, il faut beaucoup d’action pour soutenir l’attention du public. Et je crois que 2 h c’était suffisant pour mon film. J’ai enlevé des petites choses accessoires, qui étaient moins dans l’histoire. Par exemple, lorsqu’ils sont au musée des Beaux-arts et qu’ils font le plan avec Rémy, Pierre, Alexandre et MariePier, il y avait une dame un peu folle qui arrivait d’une exposition dans une autre salle et elle pense que Rémy est un artiste conceptuel qui tient une exposition. Et elle prend Pierre Curzi pour un collectionneur et tente de l’inciter à acheter une œuvre de Rémy. C’est un quiproquo drôle et complet, et très bien joué par l’actrice Violette Chauveau. Mais c’était trop long et on perdait le fil de l’action principale. Aussi, le fait qu’on ait filmé des Inuits itinérants, cela a pris une telle puissance sur l’image qu’il fallait qu’on l’inclut dans le film et cela n’était pas prévu du tout. Le reste du scénario a été filmé tel quel, comme je l’avais pensé au départ.»
On a remarqué dans le film que chaque fois qu’une personne déposait de la monnaie dans un gobelet d’itinérant, le bruit de la monnaie qui tombait dans le verre était plus fort que normalement, comme pour mettre l’emphase sur cette monnaie. C’était voulu? « Oui, C’est la conceptrice de son, Marie-Claude Gagné, qui conçoit tout l’environnement sonore du film. Elle a donc voulu ajouter de l’écho à l’argent qui tombe, et le mixeur aussi a mis sa touche. Donc, c’était voulu. Tout comme c’était voulu qu’il y ait parfois une note de piano tout seul pour accentuer un moment. Par exemple au début du film, à la fin du hold-up, la musique très forte diminue et juste comme le personnage joué par Alexandre se tourne pour regarder la poche d’argent, la musique s’arrête avec la petite note de piano. Presque comme le son de l’argent dans un verre. Et on a le même phénomène à un autre endroit aussi. »
Denys Arcand s’est souvenu, en riant, avoir surpris Alexandre Landry« pendant le tournage, à lire L’éthique de Spinoza !
le Réalisateur ARCAND avait rencontré Maripier Morin par hasard, ne sachant pas précisément qui elle était (eh non, il ne regardait pas Occupation double!) Il était porte-parole lors de la Coupe Rogers et, pendant une rencontre avec les médias, Maripier Morin s’est trouvée face à lui. Morin étant face au soleil, Arcand a pu remarquer la lumière qui passait dans ses yeux et il s’est dit que cette femme serait incroyable au cinéma, sur grand écran (d’ailleurs, la scène où Morin va demander un service à Pierre Curzi est inspirée de ce moment de leur rencontre).
Le réalisateur de «L’âge des ténèbres» et des «Invasions barbares» a été inspiré par un braquage survenu à Montréal au Flawnego en 2010.
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On s’étonnera de voir la sensation québécoise sur les réseaux sociaux PO Beaudoin et l’ancien hockeyeur du Tricolore Brandon Prust faire une apparition éclair dans le long-métrage.Brandon Prust, l'époux de Maripier Morin. Ouvrez les yeux, il incarne un bénévole du Refuge. Même la productrice (et femme du réalisateur), Denise Robert, y joue brièvement une bénévole d’un organisme à but non lucratif. En conférence de presse, elle explique avec humour comment elle a décroché le rôle: «J’ai auditionné à la maison. Denys et moi avons fait un casting "couch"!»Tout comme la fille du couple Robert-Arcand, Mingxia Arcand. Elle interprète l'employée du Bazar.
Les rôles de criminels à des acteurs noirs-Questionné sur le fait de choisir des comédiens noirs pour jouer des rôles de criminels, notamment le personnage qu’interprète Eddy King, le cinéaste a invoqué le réalisme de son film pour justifier ses choix. « Mon maître, c’est Shakespeare : "Je tends un miroir à la nature” », affirme Denys Arcand. Pour renforcer son argument, il raconte sa visite à la prison de Bordeaux pendant la préparation du film. « Quand je suis allé à Bordeaux, [...] je suis rentré dans une salle [...], il y avait dix-neuf Noirs, quatre Arabes et un Québécois, ajoute-t-il. L’image que je vous montre, elle est vraie. »
La Phrase dite au début du Film:«L’intelligence, ce n’est pas un avantage, c’est un handicap.»« Ça vient d’une phrase qui m’a été dite par Bernard Arnault, p.-d.g. de Moët Chandon, de Louis Vuitton, 7e fortune du monde. Lors d’un dîner où je me trouvais par hasard et lui aussi, un convive s’est étonné de la faillite retentissante d’un type connu : “Mais c’est pourtant quelqu’un d’intelligent ?” Ce à quoi M. Arnault a répondu : “Vous savez, en affaires, je ne crois pas que l’intelligence soit un énorme avantage. Je crois même que c’est un handicap.” C’est tout ce qu’il a dit, et ça me hante depuis ce jour. Je pense à tous ces jeunes intelligents que je connais… Et je pense aux crétins qui nous gouvernent, et je me dis que oui, l’intelligence est un handicap. »
La statue représente la Diane antique l'ISIS égyptienne ou l'Isthar Babylonienne, couronnée, brandissant une torche,
porteuse de lumière. représentée avec une coupe ou avec une torche en main, une couronne sur la tête car elle était " reine des cieux ", chargée de bijoux et vêtue de pourpre et d'écarlate.La statue de la liberté est un cadeau de la France aux Etats Unis pour le centenaire de leur indépendance. Son concepteur, Frédéric Gustave Bartholdi, (né à Colmar en 1834) était Franc-maçon, tout comme Gustave Eiffel qui en a conçu l'ossature en fer de l'édifice. Edward Laboulaye fût à l'origine du concept de cette statue et de la levée de fonds pour la faire construire.
Frédéric Gustave BARTHOLDI est un homme du XIXè siècle, héritier du siècle des lumières. Il partageait l'esprit de rationalité et de raison scientifique de ses contemporains (Jules Verne) qui va de pair avec l'anticléricalisme qui débouchera sur la séparation de l'Eglise et de l'Etat avec les lois de 1901,1903 et 1905.
Elle a été construite en 1876, un siècle après la création du sceau Américain de 1776 ( visible sur le billet de 1 dollar ). La statue repose sur un socle pyramidal à trois niveaux correspondant au trois degrés maçonniques: apprenti, compagnon, maître. Elle tient une table de la loi, celle des constitutionnalistes américains.
-Agrandissement de L'image-
Le nom de baptême de la statue est: "Liberty enlightening the World" ou "Liberté" éclairant le Monde".La statue de la Liberté possède une couronne avec sept pointes. Les 7 pointes se déploient sur un demi-cercle, une forme d'"arc en ciel" de 180° ou [60° + 60° + 60°] permettant de construire un " sceau de Salomon " à 6 pointes. Le nom de Salomon est lié à plusieurs reprises à celui d'Astarté dans les Ecritures. Les sept pointes de la couronne représentent les sept continents (dont Nemrod, roi de Babylone, éclairé par l'enseignement des anges déchus, connaissait l'existence. Chacune des 7 pointes correspond à l'illumination de chacun des sept continents par le Dieu Soleil.
Dans le port de New York la statue de la liberté trône comme la " Vierge Marie " trône au-dessus d'autres villes. Le nom de la statue " liberté éclairant le monde " s'applique aussi à la liberté économique et la libre entreprise qui a permis au dollar de devenir l'étalon hégémonique mondial, la devise incontournable. C'est la plus grande statue du monde et elle ést aussi appelée la " mère des Immigrants ".La Statue fait dos a New-York et face aux nouveaux immigrants vers le Nouveau Monde.
G. Bartholdi comptait lui donner " une coupe " et l'habiller de " pourpre " . (Apocalypse 17). La déesse de babylone ISHTAR était représentée avec une coupe ou avec une torche en main, une couronne sur la tête car elle était " reine des cieux ", chargée de bijoux et vêtue de pourpre et d'écarlate comme le relatent les versets Johanniques. La coupe existe et serait en Russie. II a même été question pour la Russie de la vendre.La statue a d'autres noms comme " EUROPE " et. " LIBERTAS " (Libertas était vénérée par les esclaves).
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LA GUERRE DES BOUTONS-Dire que La Guerre des boutons, la comédie enfantine d'Yves Robert n'est entrée au Panthéon du cinéma français que via l'une de ses répliques serait caricatural et désobligeant pour le cinéaste. Pourtant, elle figure en bonne place dans ce qu'on retiendra du film.Cette réplique, "Si j'aurais su, j'aurais pas venu" est prononcée par le bambin Petit Gibus, interprété par Martin Lartigue, 9 ans au moment du tournage, petit-fils du photographe Jacques-Henri Lartigue, auteur notamment de la photo officielle du président Valéry Giscard d'Estaing, lui-même ex-chef d'état le plus coûteux de la Vème République.La réplique de 1962 remonte... au 19ème siècle !...
SOURCE
Claude F. Archambault est un avocat québécois controversé. Il a fait l'objet de nombreuses plaintes de clients et a dû en répondre le 23 avril 2010 lorsqu'il a été radié du Barreau du Québec.Par le passé, il a été l’avocat de vedettes dont Marcel Béliveau, Guy Cloutier, Jean-François Harrisson, Alex Hilton, Gilles Proulx et Michèle Richard.Il payait d’ailleurs des sommes dans les six chiffres pour être bien en vue sur l’annuaire des Pages jaunes.
Le mur, c’est avant tout, la marque d’une limite.
Protective : halte là, on ne passe pas. Propriété privée, accès interdit.
Défensive : au-delà de cette frontière, tu es en terrain ennemi. Sache que tu entres chez moi, au-delà du mur.Le mur, c’est aussi un objet symbolique, qui délimite l’espace, sacralise le lieu qu’il entoure.Par extension, il représente la vie intérieure de l’individu, son « jardin secret », son intériorité.
-La providence chrétienne a pris le nom de Grâce-
La Providence désigne, selon la métaphysique, l'action du Créateur sur le monde en tant que volonté conduisant les évènements à des fins. Le mot vient du latin providentia : « prévoyance » (néologisme créé par Cicéron, de pro- « en avant » et videre « voir »). La providence divine ou la providence naturelle s'opposent au hasard. Lorsqu'on parcourt la Bible, on fait une constatation étonnante : le mot "providence" ne s'y rencontre nulle part. Pour désigner Dieu, on l'appelle l'Éternel, le Seigneur, le Puissant, le Saint, le Père, etc. Jamais, on ne le nomme providence. Ce terme ne vient pas de l'Ancien ni du Nouveau Testament, mais de la philosophie grecque. Plus précisément, il appartient au vocabulaire du stoïcisme. Les philosophes stoïciens pensent qu'une nécessité ou un déterminisme universel modèle, dirige, détermine le monde dans les plus petits détails. Selon eux, rien de ce qui arrive n'est l'effet du hasard ni ne résulte d'une décision des êtres humains. Ils estiment qu'une puissance surnaturelle, qu'on nomme souvent le fatum, règle totalement les choses et les événements. On ne peut pas lui échapper et nul ne peut infléchir le cours de sa destinée : ce qui doit arriver arrivera quoi qu'on fasse.
Le Comédien Vincent Leclerc incarne un sans Abri nommé Jean-Claude, il dit au Philosophe(Alexandre Landry) que la providence finit toujours par récompenser les juste avant qu'il trouve les 2 Sacs d'Argents.
La chute de l'empire américain suit le parcours de deux sacs de sport contenant plusieurs millions de dollars.Dès la première (et longue) scène, le ton est donné. Assis dans un restaurant, sur fond de tribune téléphonique où il est question du SALAIRE DES JOUEURS DU CANADIEN,Pierre-Paul (Alexandre Landry) et sa future ex (Florence Longpré) mettent cartes sur table.Le jeune docteur en philosophie, devenu livreur coursier par dépit, expose à sa vis-à-vis son malaise à vivre dans une société axée sur les valeurs matérielles et à laquelle il se sent étranger. «L’intelligence, ce n’est pas un avantage, c’est un handicap.»
David Pastrnak a conclu une entente de 40 millions $ pour six ans avec les Bruins de Boston, de 2017 a 2023. L'attaquant âgé de 21 ans touchera un salaire annuel moyen de 6,666 millions $.
Il faut constater que ce n'est surement pas par Hasard si L'ARGENT DU HOLD-UP EST DANS DES SACS DE HOCKEY...faisant ainsi le lien avec les commentaires sur les Salaires exagérés dans les Sports Professionnels.
PIERRE-PAUL -Deux Apôtres du Christ.
MARIEPIER - MARIE pour Marie Madeleine la Prostitué ou Marie la Mere de Jésus et Pierre l'Apôtre.
JEAN-CLAUDE - Jean est un autre apôtre ou peut être le Jean de l'Apocalypse et Claude via le latin Claudius, et signifiant « boiteux » comme la plupart des itinérants et Claude (1er août 10 av. J.-C. - 13 octobre 54), était un empereur romain.
Entre Rome et les États-Unis, aucun observateur de l’actuelle situation politique mondiale ne peut manquer d’établir une certaine analogie. Nul autre pays que les États-Unis n’a été aussi dominant dans l’histoire que Rome il y a deux millénaires. -les États-Unis, au cœur de la « civilisation » occidentale moderne, jouent un rôle similaire à celui de Rome dans la « civilisation » gréco-latine.
Les lois de l’histoire sont encore plus précises : non seulement les États-Unis auraient une position équivalente à celle de Rome, mais il y aurait également une répétition d’événements analogues suivant des cycles historiques bien définis. Chaque événement important de l’histoire romaine aurait ainsi son équivalent dans l’histoire états-unienne à 2160 ans de distance. Pour être sensible à de telles comparaisons, il faut toutefois être prêt à accepter une vision quelque peu ésotérique du monde…
Fanny Couture, une jeune adolescente de 16 ans, habitant la banlieu de la rive de Montréal qui rêve d'indépendance, projette d'aller à New York avec ses amis. Par contre, elle a de la difficulté à gérer ses dépenses et ses émotions envers sa famille et son copain, Fred.
Un jour, elle rencontre Natacha, en réalité une recruteuse de jeunes filles pour un réseau dirigé par des proxénètes. Natacha, qui comprend bien Fanny, lui propose d'aller à une fête au centre-ville. Lors de cette fugue, elle rencontre Damien Stone (Antoine Tremblay de nom réel nom), son prince charmant qui est entre-temps un musicien.
Damien profite de la naïveté de Fanny pour l'exploiter et faire une somme importante d'argent en la poussant à offrir des services sexuels. Il manipule Fanny en lui disant qu'il a besoin d'argent pour tourner un vidéoclip à Miami. Malgré un viol collectif de celle-ci, elle continue à être fidèle face son proxinète.Fanny fera tout pour ce faux projet et s'enfonce ainsi dans l'univers sombre de la prostitution, de la drogue et du trafic d'humains.
Le seul personnage clairement affiché comme un méchant est le proxénète Carlo, qui sert à dédramatiser le personnage de Damien.Carlo est l’amoureux – et proxénète – de Natacha. C’est lui qui a initié Damien au monde de la prostitution et il joue le rôle de « coach » auprès de lui. Il a aussi beaucoup de pouvoir sur Damien puisque celui-ci lui doit de l’argent. Il utilise ce prétexte pour le contrôler.
«LA PLUPART DU TEMPS, L'ARGENT EST UN PROBLEME,MAIS L'ARGENT QU’ON PEUT DONNER EST UNE SOLUTION, IL DEVIENT UTILE. C’EST L’ENVIE DE DONNER QU’ON MONTRE BEAUCOUP DANS LE FILM. C’EST LA LA VRAIE RICHESSE, L'INTERÊT DE L'ARGENT.»
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