.......
INFORMATIONS - CLIQUEZ ICI-
PROPRIÉTÉ DU NOMBRE #35:
SOURCE
-C'est au trente-cinquième jour de jeûne dans le désert que Jésus permit à Lucifer de s'approcher pour le tenter, selon les visions de Marie d'Agréda.
-Les mots éternité, croix, diadème et créateur sont employés 35 fois dans la Bible.
-Elohim, le nom de Dieu, revient 35 fois dans le récit de la Création de la Genèse.
-35 ans , Âge de l'Éveil du Bouddha (» 525 av. J.-C. ).Sa prédication commença par le Sermon de Bénarès et se poursuivit pendant 35 ans à travers l'Inde du Nord-Est.
-35 mm: largueur de la pellicule cinéma.Bobines de film de 35 millimètres.
GABRIEL POULIN - RÉALITÉ OU ILLUSION?
SITE OFFICIEL
Gabriel Poulin nous présente son petit livre qu'il a écrit après avoir cherché dans des mouvements ésotériques et du Nouvel-Âge et des expériences personnelles très particulières, le sens de la Vie. Sa vie il l'a menée comme un pèlerinage vers Soi. Ensuite, ayant acquis "la paix" il a donné sa recette dans un petit livre sans prétention, de 130 pages seulement.Gabriel Poulin nous offre des trucs et des expériences faciles à comprendre mais difficiles à appliquer au quotidien.C'est le défi qu'il nous lance, au-delà des enseignements de grands maîtres du Nouvel-Äge, de l'ésotérisme et de philosophies abstraites !
Si ça marche pour lui, pourquoi pas essayer pour soi ?Le lancement de Réalité ou illusion ? a lieu ce mercredi 12 juillet. Pour chaque livre vendu, une part des profits ira à trois organismes dont la mission est, eux aussi, d'aider les autres. La phrase suivante de l'auteur Wayne Dyer résume sa pensée : Si vous changez votre façon de regarder les choses, les choses que vous regardez changent.C'est d'ailleurs ce qui a été pour lui la bougie d'allumage. « Je suis devenu un observateur passif et j'ai écrit ma réflexion, mon analyse de la vie dans laquelle on vit. »
FACEBOOK
"Mes croyances sont que la vérité est une vérité jusqu'à ce que vous l'organisiez, ensuite elle devient un mensonge. Je ne pense pas que Jésus enseignait le christianisme. Jésus enseignait la bonté, l'amour, le souci de l'autre et la paix. Ce que je dis aux gens c'est de ne pas être chrétien, mais d'être comme le Christ. Ne soyez pas bouddhiste, soyez comme le Bouddha." "La religion est l'orthodoxie, les règles et les textes historiques entretenus par des personnes sur de longues périodes de temps. Généralement, les gens sont élevées pour obéir aux coutumes et pratiques de cette religion, sans se poser de questions. Ce sont des coutumes et attentes provenant de l'extérieur de la personne et qui ne correspondent pas à ma définition de spirituel."
Docteur en psychologie, psychothérapeute de renommée internationale, Wayne Dyer est l’auteur de nombreux best-sellers sur le développement personnel dont le Pouvoir de l'intention. Il a écrit plus de 40 livres dont 21 sont apparus dans la liste des Best Sellers du New York Times. Conférencier de renom il interviendra sur de nombreuses radios et chaines de télévision. Son objectif, aider les personnes à mieux se connaitre pour changer leur schémas comportementaux.
Il est décédé le 29 août 2015, paisiblement semble-t-il dans son sommeil a l'age de 75 Ans.Son dernier post du 28 août, assez émouvant au regard de la synchronicité, sur sa page Facebook :Il y écrivait : « J’ai un costume dans mon placard dont la poche est coupée. C’est un rappel pour me dire que je n’emporterai rien avec moi. Le dernier que je porterai n’aura besoin d’aucune poche.«
-LE POUVOIR DE L'INTENTION AUDIO- CLIQUEZ ICI-
-LE VIRAGE AUDIO - CLIQUEZ ICI-
-VIDEO CONFÉRENCE en FRANÇAIS -CLIQUEZ ICI-
LA VIE EST UN JEU -L’acteur et l’observateur -MÊME UN ENJEU(Ange Jeu)
SOURCE
Vivre en conscience c’est vivre en tant qu’acteur ET observateur de sa vie.Ceux qui ne conçoivent l’existence qu’avec la conscience du niveau physique / matériel en ont une compréhension limitée et n’en sont que les acteurs, ou pire, les marionnettes. Ils vivent dans l’inconscience, dépendants du système de croyances dans lequel ils se sont incarnés.L’observateur qui, dans la pénombre, guide nos pas sur la scène illuminée de notre vie n’est autre que l’âme que nous sommes, la partie spirituelle de notre être. Lorsque nous n’avons pas oublié ou lorsque nous sommes arrivés à reconnaître qui nous sommes, c’est-à-dire un être spirituel éternel incarné dans un corps physique mortel, nous sommes capables d’agir et de superviser nos pensées, paroles et actions simultanément. Mais il est fréquent que l’acteur soit tellement aveuglé par les feux des projecteurs qu’il en oublie son scénario et improvise, gaspillant ainsi sa vie.
Notre âme non seulement supervise nos pensées, paroles et actions mais elle nous guide également, à condition que nous soyons à l’écoute. Ainsi, l’observateur qu’est notre âme est aussi l’auteur de la pièce de théâtre que nous venons jouer sur Terre. L’acteur en chair et en os que nous sommes est, lui, en même temps le metteur en scène. La pièce est déjà écrite mais l’acteur-metteur en scène peut choisir de suivre ou de ne pas suivre les indications de l’observateur -auteur, selon qu’il est à l’écoute de son cœur, et donc en connexion avec l’âme, ou selon qu’il est à l’écoute du « faux-moi » qu’il aura fabriqué de toute pièce avec ses peurs. Si le faux-moi prend les rennes, il y a des chances que des tensions, souffrances, maladies, accidents et autres actes manqués apparaissent.
Nous devons arriver à « marcher entre les mondes » comme dit Gregg Braden.
Il est donc important d’avoir conscience d’être en même temps l’observateur et l’acteur de notre vie. Si nous ne sommes qu’observateurs de notre vie, nous ne vivons pas notre incarnation, nous ne sommes pas ancrés et ne réalisons donc pas ce que nous sommes venus faire sur cette Terre. Méditer ne sert à rien s’il n’y a pas d’impact dans les actions.
Si nous ne sommes qu’acteurs, nous nous laissons emporter par le mental, nos émotions, … eux-mêmes entraînés par l’inconscient collectif chargé de peurs.
EFFET D'OBSERVATION
SOURCE
La théorie quantique stipule qu’un phénomène a bien lieu que s’il est observé. On appelle ce principe l’effet d’observateur.
Les implications de cet effet invitent à une réflexion profonde. Puisque notre univers physique est une suite de manifestations, il a besoin d’un observateur pour rendre possible son dénouement. Qui a permis l’existence de l’observateur sinon une conscience capable de le produire ? Ce principe implique que notre univers est la conséquence directe d’une conscience.
En fait, les phénomènes du cosmos exigent un observateur pour être appris et compris par tous. L’observateur peut se présenter sous différentes formes :
Ø Un individu regardant une bactérie par le biais d’un microscope
Ø Une personne contemplant un coucher de soleil
Ø Quelqu’un qui se trouve dans une tour de contrôle en train de consulter les écrans d’ordinateur lui révélant la position d’un avion, d’un satellite ou d’une fusée.
L’observateur idéal serait celui qui ne causerait pas la moindre perturbation sur l’objet observé, donc qu’il soit sans idéal et sans aucune attente particulière.
En fait, l’observateur réel entraîne toujours une perturbation à l’expérience, car il est en attente de quelque chose. En physique quantique, l’observateur et l’objet observé sont mystérieusement liés de sorte que les résultats de l’observation semblent en partie déterminés par les choix de l’observateur. Cette situation est représentée par la fonction d’onde.
EXPÉRIENCE DES FENTES DE YOUNG
La nature d'une particule change si on l'observe
Les fentes de Young (ou interférences de Young) désignent en physique une expérience qui consiste à faire interférer deux faisceaux de lumière issus d'une même source, en les faisant passer par deux petits trous percés dans un plan opaque. Cette expérience fut réalisée pour la première fois par Thomas Young en 1801 et permit de comprendre le comportement et la nature de la lumière. Sur un écran disposé en face des fentes de Young, on observe un motif de diffraction qui est une zone où s'alternent des franges sombres et illuminées.Cette expérience permet alors de mettre en évidence la nature ondulatoire de la lumière. Elle a été également réalisée avec de la matière, comme les électrons, neutrons, atomes, molécules, avec lesquels on observe aussi des interférences. Cela illustre la dualité onde-particule : les interférences montrent que la matière présente un comportement ondulatoire, mais la façon dont ils sont détectés (impact sur un écran) montre leur comportement particulaire. la nature d'une particule dépend selon qu'on l'observe ou non : dans le premier cas elle se comporte comme une particule, et dans le second comme une onde. Ce phénomène étrange est connu sous le nom dualité onde-corpuscule.
Montréal a renoué, samedi soir, avec les grands spectacles sur le mont Royal, comme dans les années 70 et 80, avec «Montréal Symphonique», présenté dans le cadre du 375e anniversaire de la métropole.
L'impressionnante scène, installée au pied de la montagne, a réuni, pour une première fois, l’Orchestre symphonique de Montréal, l’Orchestre symphonique de McGill et l’Orchestre Métropolitain, soit près de 300 musiciens, placés sous la direction du chef Simon Leclerc, et accompagnés d’un chœur d’une centaine de choristes. Ils sont 80 000 Partout, à perte de vue, des chaises pliantes, dépliées. Des gens, de tous âges, confortablement installés, attendent l’heure.
En ouverture, les musiciens ont débuté avec un extrait du mouvement du printemps, tiré des «Quatre saisons» de Vivaldi. Premier artiste pop à fouler la scène, Daniel Bélanger a poursuivi avec «Les deux printemps», suivi de «Qanniuguma» par Elisapie Isaac, qui s'est terminé en chant de gorge traditionnel avec Béatrice Deer. Rufus Wainwright a enchainé avec «April Fools», avant que Marie-Josée Lord ne se lance dans «Frühling» (printemps), un extrait de «Vier letzte Lieder» de Strauss. Chacune des pièces musicales se déclinait également à travers des projections sur des tuyaux, disposés tout autour de la scène, donnant l'impression d'un gigantesque orgue. L'absence de lien entre les différents artistes est certainement le seul bémol de la soirée, un animateur aurait certainement donné un peu plus de chaleur à l'ensemble.
L'été s'est ensuite installé avec la magnifique interprétation de «L'été canadien» d'André Mathieu par Alain Lefèvre. Pierre Lapointe a ensuite livré une théâtrale version de «Deux par deux rassemblés», chaudement saluée par la foule.
La soirée était placée sous le thème des saisons qui rythment la vie de Montréal à travers une quarantaine de tableaux qui évoquaient autant la ville que son histoire, ou sa culture.
Tous les grands symboles montréalais ont été évoqués que l'on pense à l'expo de 1967 avec la musique de «Terre des hommes», l'île Sainte-Hélène avec le titre «Plage Doré» par DJ Champion et le slammeur Mo, accompagnés par Mélissa Lavergne et plus d'une quarantaine de tambours et tam-tams (du mont Royal?), ou encore Leonard Cohen avec l'interprétation de «Hallelujah» par Rufus Wainwright, la série «Les Belles Histoires des pays d'en haut» avec la musique du générique d'Alexandre Glazounov, jusqu'à la devise du Québec avec «J'ai souvenir encore», chantée par Isabelle Boulay.
En clôture, une cinquième saison imaginaire a même été rajoutée, comme une invitation à créer l’avenir de Montréal ensemble et en musique. Diane Dufresne devait d'ailleurs mettre un terme à ces deux heures de concert avec une interprétation de «L'hymne à la beauté du monde».
Le spectacle était retransmis en direct dans 18 parcs de la ville, alors qu’une version raccourcie sera diffusée, le 10 septembre prochain, à 19 h 30, sur ICI Radio-Canada Télé.
LA MERE DE RICHARD GLENN ÉTAIT UNE LECLERC
Richard Glenn est né de l'union de MARCELLE LECLERC et de René Glenn. Elle a obtenue le Grand Prix d'Europe au piano en 1939. Elle fut également organiste dans plusieurs églises catholiques. Dès l'âge de 12 ans elle accompagnait des mariages à l'orgue (quelques fois à l'Église Notre-Dame de Montréal). C'est par son amour de la musique qu'elle fit la rencontre René Glenn. Il dirigeait alors son orchestre de 20 musiciens, avant la deuxième guerre mondiale et ce, jusqu'en '48. À cette époque ils se marièrent.Sa mère, Marcelle, fut professeur d'école pour la mojorité de sa vie de famille..
Abandonné, barricadé et détruit du côté sud du canal Lachine, le tunnel Wellington offre en ce moment bien peu d'intérêt pour l'exploration urbaine.C'est en 1990 qu'il cesse définitivement ses activités avec l'ouverture officielle du pont Wellington situé juste à côté du défunt tunnel. Construit dans les années 1930 afin de faire travailler, entre autres, les milliers de chômeurs montréalais, le tunnel a rapidement posé problème.
Avec ses voies séparées pour les tramways, les voitures et les piétons, le tunnel a rapidement saturé. Jugeant l'agrandissement ou la rénovation du tunnel beaucoup trop coûteux, les urbanistes de la ville de Montréal en sont rapidement arrivés à la conclusion qu'un nouveau pont serait plus utile.
VIDEO - CLIQUEZ ICI-
DISTINGUER LA FOI, CROYANCE ou "FOYANCE"?
FOI : Du latin fides, « confiance », « croyance ».a) Adhésion ferme de l'esprit à une vérité révélée,ou à un ordre de choses dépassant le simple domaine de l'expérience. b) En morale: Fidélité à un engagement.
Mauvaise foi : Mensonge que l'homme se fait à lui-même, pour ne pas voir une vérité déplaisante.
LA FOI C'est le fruit dont le mental a besoin pour dépasser le doute. Il permet d'accéder à la liberté et à la clarté.
CROYANCE : C'est une opinion ("croyance qui a conscience d'être insuffisante aussi bien subjectivement qu'objectivement"),Si la croyance n'est que subjectivement suffisante, et si elle est en même temps tenue pour objectivement insuffisante, elle s'appelle: "la FOI",et "la SCIENCE" serait alors une croyance suffisante aussi bien subjectivement qu'objectivement.
La FOYANCE, Néologisme de Richard Glenn, c'est la révélation intérieure, personnelle qui émane de la complexité du vivant et devant son équilibre si improbable au regard des lois de l’univers. La FOYANCE est la conviction qu'un humain acquiert au regard du TOUT qui a conçu et maintient ce miracle de LA VIE.Appelons ça DIEU ou LA FORCE ou MIDICLORIENS ou L'ESPRIT, ça ne changera rien du TOUT.
LA CROYANCE LIMITE NOTRE CONSCIENCE
''L’ère du Poisson fut celle de la Croyance.
L’ère du Verseau sera celle de la Connaissance,L’ère du Poisson
fut celle de l’individualisme sans cohérence.L’ère du Verseau
sera celle de l’unicité dans la cohérence.''
Une croyance est une idée, une représentation, une valeur, une opinion, une conviction personnelle. Tout ce qui permet de nous définir en tant qu’individu constitue nos croyances. Toute idée, principe, pensée à laquelle nous adhérons consciemment ou non est une croyance.
Lorsque nous arrivons sur Terre, notre esprit est vierge. Nous n’avons pas d’idées préconçues, d’opinion ou de certitude. Nous apprenons tout. Dès que notre cerveau fonctionne, il commence à enregistrer des données. Nos toutes premières croyances sont celles inculquées par nos parents et notre entourage familial. Puis, viendront celles de notre milieu culturel et éducatif. Auxquelles vient s’ajouter l’influence de notre environnement social. Les croyances religieuses sont transmises par notre milieu familial, selon la place de la religion dans leurs vies.
Nos croyances proviennent également de l’interprétation que nous faisons de nos perceptions (subjectives) et de nos expériences.Nos croyances sont limitées par nos expériences ; nos expériences sont limitées par nos croyances.Pour vivre une expérience dans l’univers physique, nous allons limiter l’infini de l’univers physique.Pour vivre une expérience dans l’univers de la Conscience, nous allons limiter l’infini de la conscience
Par exemple, pour l’univers physique, nous délimitons l’espace par quatre murs et un toit et une réalité, nous avons une maison.
Et à l’intérieur de cette maison, cet espace limité est notre “chez nous”. À l'intérieur de cet espace, nous pouvons faire des expériences privées.
Cette maison, avec son espace limité, peut représenter la conscience humaine limitée, notre “chez nous” privé.
Une conscience humaine ressemble assez bien à une maison. Ses murs sont faits de croyances, de considérations, d’expériences...
Avoir des limites peut être considéré comme un désavantage ou un avantage. Cela dépend du point de vue que l’ont adopte.
Le désavantage d’une maison est d’être limité par ses quatre murs où parfois nous pouvons nous sentir à l’étroit.
Mais l’avantage des quatre murs d’une maison est sa protection nous permettant de réaliser de multiples expériences.
Et avez-vous déjà vu une maison sans limites ! Sans ses murs, sans ses limites, la maison n’existe pas, évidemment.
Le désavantage d’une conscience limitée est d’être limitée par ses croyances où parfois, là aussi nous pouvons nous sentir à l’étroit avec nos vieilles considérations et points de vue étriqués.
L’avantage des limites est la possibilité de faire des expériences a partir d’un espace privé et d’exister à travers ses expériences. Sans limites, il n’y a pas de réalité, il n’y a pas d’existence !Mais peut-être est-il possible de s’éveiller à sa véritable nature, de prendre conscience que nous sommes La Conscience sans contenu, sans forme et donc fondamentalement illimitée, et en même temps, prendre conscience que nous sommes une conscience limitée par nos réalités !
SOURCE
Nietzsche : « Quand on a la foi on peut se passer de la Vérité.»
La foi se vit dans le coeur et n'est en rien rattachée au mental. La foi, même si elle y est fréquemment associée, n'est bien évidemment pas exclusivement religieuse. La foi sommeille en chacun de nous et peut s'exprimer dans des registres spécifiques de nos vies, si nous lui en laissons la place. Elle émane du coeur. Lorsque la foi nous anime, la peur n'existe plus. C'est très simple. La foi naît de l'intérieur, elle est une force, une certitude profonde qui nous habite, sans que jamais personne n'ait eu à nous l'inculquer.
Puis Jésus dit au centenier: Va, qu’il te soit fait selon ta foi. Et à l’heure même le serviteur fut guéri.
La foi est là, depuis notre naissance, et sans doute même depuis bien plus longtemps, nous n'en héritons de personne, elle est intemporelle. Mais nous ne sommes pas habitués à lui laisser une place dans notre vie, puisque depuis notre plus tendre enfance, nous avons été programmés à rechercher toute vérité à l'extérieur. La société et les religions ont étouffé la foi pour imposer leurs croyances.
Alors Jésus lui dit: Femme, ta foi est grande; qu’il te soit fait comme tu veux. Et, à l’heure même, sa fille fut guérie."
Il convient donc tant que possible de faire le ménage et d'engager un travail introspectif, permettant de dissocier notre foi de nos croyances. La peur est le baromètre infaillible nous indiquant si nous sommes dans le mental ou dans le coeur. Prendre conscience de nos croyances nous allège déjà d'un grand poids et nous aide à nous en libérer au fil du temps. La foi quant à elle ne peut être dissoute puisqu'elle fait partie intégrante de nous. Elle est cette partie intime de nous qui sait et qui nous guide dans l'inspiration sur le chemin de la vie.
«Je vous le dis en vérité, si vous aviez de la foi comme un grain de sénevé, vous diriez à cette montagne: Transporte-toi d’ici là, et elle se transporterait; rien ne vous serait impossible.»
Quand on la sème en terre, elle est la plus petite de toutes les semences du monde; mais quand on l'a semée, elle monte et devient plus grande que toutes les plantes potagères, et elle pousse de grandes branches,
si bien que les oiseaux du ciel peuvent faire leurs nids à son ombre».Elle est à peine plus grosse que le point que nous mettons à la fin d’une phrase. Mais une fois semée, elle devient un grand arbre.
Et voici maintenant l'arbre qui est issu de la toute petite graine - dans le rectangle rouge, ce n'est pas une main, c'est une personne toute entière !!!Malgré sa taille ridiculement petite au début, le grain de sénevé pousse, sans se préoccuper des circonstances, et devient un arbre gigantesque. Si nous avons ce genre de foi-là, ce genre de confiance-là en ce que nous pouvons devenir, même si nous nous sentons tous minuscules, car après tout, nous avons Christ en nous.
_____________________________________________________________________________
LA CROYANCE SELON BERNARD DE MONTRÉAL
SOURCE
Croire est une attitude intellectuelle psychologique de l’être humain qui fait partie de l’intellect de l’être humain et qui s’assied sur les données antérieures de l’évolution de l’intelligence de l’être humain, et un être humain qui croit à quelque chose ne peut pas s’affranchir de cette croyance sur le plan émotif et automatiquement se barre la porte à l’infinité de son esprit.
Croire en quelque chose c’est déjà freiner l’intelligence Universelle en soi.
Mais croire à quelque chose, fait partie de l’évolution spirituelle de l’être humain et c’est nécessaire.Jusqu’à temps que l’être humain change de plan vibratoire, pour entrer dans le supramental où on ne croit à rien puisqu’il n’y a rien à croire, il n’y a rien à penser. Pour croire en quelque chose, il faut penser à quelque chose, si tu ne penses à rien, comment veux-tu croire en quelque chose ?Mais je fais remarquer que ne pas croire en quelque chose ne veut pas dire nier quelque chose ! Ce n’est pas parce que l’on ne peut pas croire… exemple, suivez ma pensée : ce n’est pas parce que l’on ne peut pas croire à Dieu que Dieu n’existe pas…On sait ! Quand on sait ! On est en dehors de la croyance, mais on n’est pas en dehors de la réalité.Mais lorsqu’on est dans la croyance et qu’on croit à Dieu, on le rapetisse, et si on le rapetisse, on ne le comprend pas bien, on le comprend émotivement et à ce moment-là on crée en soi des formes, et ces formes retardent notre intelligence.
PLACEBO ET AUTOGUÉRISON
REVUE NEXUS
Du latin « je plairai », l’effet placebo renvoie aux ressources extraordinaires de notre conscience dans le processus de guérison.
La croyance a le pouvoir de guérir ou de tuer. C’est l’effet placebo/nocebo. L’auteur nous apporte un exemple particulièrement évocateur : un patient en train de mourir d’un cancer très avancé, apprenant l’apparition d’un nouveau médicament, le réclame et, après l’injection, connaît une guérison spectaculaire. Deux mois après, il apprend, en lisant un journal, que ce médicament a été jugé inefficace. Il rechute. Le médecin adopte un stratagème. En lui affirmant que son information est inexacte, il lui injecte de l’eau distillée. Et, à nouveau, les effets sont étonnants puisque très rapidement, la tumeur disparaît. Hélas, lisant à nouveau dans la presse la confirmation de l’inefficacité de ce médicament, il est réadmis à l’hôpital et meurt au bout de deux jours.L’auteur ne mentionne pas seulement des cas surprenants, mais bien établis. Il nous fait part également de nombreuses recherches. Des traitements fictifs et même des opérations fictives remportent de grands succès lorsque les patients croient à leur efficacité. Mais on a vu que des croyances négatives ont parallèlement des effets néfastes. Ainsi, « A travers nos croyances, nous détenons une puissance de vie et de mort entre nos mains… La science a démontré, mainte et mainte fois, que ce que nous croyons influence significativement notre expérience de la souffrance, la réussite d’une opération, même l’issue d’une maladie. Nos attentes peuvent inciter nos corps à effectuer un travail de régulation de nos conditions physiques et émotionnelles.»Selon Mario Beauregard, l’effet placebo ne doit pas être confondu avec les processus naturels de guérison : « Il repose spécifiquement sur la croyance et la conviction mentale qu’un remède particulier sera efficace. » Mais ce qu’il met en jeu, ce qu’il mobilise, relève bien d’une extraordinaire capacité d’autoguérison. Parmi les cas les plus spectaculaires, Mario Beauregard cite celui d’une personne invalide en raison d’atroces douleurs aux genoux, qui se retrouve guérie après une intervention chirurgicale « simulée ». On a pratiqué trois petites incisions au niveau du genou, immédiatement recousues… Lève-toi et marche !
Les sceptiques ont beau jeu d’attribuer à l’effet placebo toutes les guérisons inexpliquées, mais le problème est seulement déplacé, car encore faut-il comprendre comment il fonctionne et la réalité qu’il recouvre.
DÉCRIRE L'UNIVERS A DIFFÉRENTES ÉCHELLES
-VIDEO -CLIQUEZ ICI-
-DE L'INFINIMENT PETIT A L'INNIMENT GRAND
voici une petite vidéo qui vous montre une vue impressionnante, passant de l’infiniment petit à l’infiniment grand. De quoi donner le vertige, mais aussi de relativiser sur la place que l’on prend dans ce bas monde..
VIDEO - CLIQUEZ ICI-
Leonard Susskind, né le 1er janvier 1940, est un physicien américain qui occupe la chaire Felix Bloch de physique théorique à l'université Stanford, et qui est directeur du Stanford Institute for Theoretical Physics. Ses domaines de recherche incluent la théorie des cordes, la théorie quantique des champs, la mécanique quantique statistique et la cosmologie quantique.Susskind est considéré comme l'un des pères de la théorie des cordes.Certains physiciens de renom sont aujourd'hui convaincus que l’univers dans lequel nous vivons pourrait être un hologramme géant. L’idée n’est pas que l’univers soit une sorte de simulation et de tromperie dans la logique de The Matrix, mais plutôt que ce qui apparaît comme un univers à trois dimensions a en fait seulement deux dimensions.
Le raisonnement est le suivant: des surfaces à deux dimensions lointaines contiennent toutes les données nécessaires pour totalement décrire notre monde et un peu comme dans un hologramme ces données sont projetées et apparaissent en trois dimensions. Comme les personnages sur les écrans de télévision, nous vivons sur une surface plane qui donne l’impression d’avoir une profondeur.
Cela peut sembler absurde. Mais si les physiciens partent du principe que cette hypothèse est la bonne les plus grands problèmes de la physique -comme la nature des trous noirs ou réconcilier la gravité et la mécanique quantique- deviennent soudain bien plus simples à résoudre. En clair, les lois de la physique telles que nous les comprenons semblent plus adaptées à un univers à deux dimensions qu’à trois.«Ce n’est pas considéré comme un absurdité par la plupart des physiciens théoriques», explique Leonard Susskind, le physicien de l’Université de Stanford qui le premier a formellement décrit cette théorie il y a déjà plusieurs décennies. «C’est devenu un outil quotidien efficace pour régler des problèmes en physique».
Le principe holographique prédit qu’il y a une limite à la quantité d’informations contenues dans l’espace temps car notre univers apparemment en 3D serait en fait encodé par une quantité limitée d’informations en 2D.Mais admettons que l’on apporte la preuve un jour que nous vivons bien dans un hologramme, qu’est-ce que cela changerait à notre vie? Rien ou presque. Les lois de la physique que nous connaissons et qui régissent notre vie quotidienne ne seraient pas changées. Votre maison, votre chien, votre corps seraient toujours en apparence en trois dimensions. Cela changerait simplement notre point de vue sur ce qu’est l’univers et notre place dans le cosmos. De la même façon que la découverte que l’univers est né il y a 13,8 milliards d’années d’une soudaine explosion n’a aucune conséquence sur notre vie de tous les jours mais en a une sur notre compréhension de ce que nous sommes dans cette réalité.En d’autres termes, notre monde est une projection d’infinies petites cordes vibrantes qui donnent lieu à l’aspect visuel du monde physique. Notre monde est une ombre du monde réel où l’activité a effectivement lieu.
LA PHYSIQUE QUANTIQUE AVEC LE PR. EMMANUEL RANSFORD
LIEN AUDIO L'ÉQUILIBRE DE VIE
Ransford s’inscrit ainsi dans la lignée des rares scientifiques français assez cohérents pour prendre en compte les facteurs « conscience » et « psyché » dans leur tentative de comprendre et d’expliquer la physique quantique.* le concept d'Holomatière a été imaginé par Emmanuel Ransford. Selon lui, la matière recèlerait un extraordinaire secret : chacune de ses particules contiendrait une « gouttelette » d'une substance immatérielle qu'il nomme le "psi". Ce "psi" invisible et immatériel voire psychique, serait inhérent à l'electron et à toute particule élémentaire. Cette « super-matière », Emmanuel Ransford la baptise "holomatière".
Grâce à son "psi" chaque « holoparticule » (particule d'holomatière posséderait une faculté rudimentaire d'initiative et de choix (que l'auteur nomme "l'endo-causalité").La matière ordinaire, que l'on croyait inerte, deviendrait ainsi vivante et animée ! Ransford pose d’emblée la présence de la psyché au cœur de la matière et de l’énergie : dans n’importe quel quantum. La conscience est donc l’agent créateur de la matière.Ransford appelle « ‘ psi ‘ » cette force ou ce principe existant en chaque électron, chaque photon, etc., et qui permet aux quanta à l’état étalé ou dispersé (état modélisé comme fonction d’ondes) de prendre un état précis ou ponctuel (état corpusculaire et physique). Cette faculté induit que chaque quantum est conscient (qu’il a une conscience), et inversement, que la conscience (ou une conscience) imprègne et relie chaque quantum de l’Univers. La matière, de ce point de vue, est « holomatière ». Le préfixe est aussi clair que nécessaire : l’holomatière est la substance de tout ; la substance universelle et quantique qui constitue la totalité de l’Univers physique.Et c’est un principe psychique, le ‘psi’, c’est-à-dire une impulsion de l’âme, qui agence et organise le tout, au moins jusqu’à un certain point.Ransford invente encore un mot pour désigner et caractériser le lien qui unifie toutes les particules de l’holomatière (qu’il appelle d’ailleurs, du coup, des « holoparticules ») : la « supralité ». Celle-ci, donc, en tant que lien quantique, échappe évidemment à l’espace et au temps.
Peut-on unifier matière et psychisme dans une vision scientifique globale pour expliquer les zones d'ombre des quantas et les phénomènes paranormaux ? Emmanuel Ransford, physicien, émet l'hypothèse d'une supermatière qu’il appelle psychomatière, c'est à dire la possibilité que la matière physique soit également dotée d'une composante psychique.
Si notre univers est composé de psychomatière, alors nous pouvons entrer en contact avec la totalité du monde et ses infinies ressources grâce à l'intuition. Emmanuel Ransford distingue ainsi deux types d’intuitions, une ordinaire et l’autre qu’il appelle « suprale ».
LA PSYCHOMATIERE EN 5 POINTS:
Personne aujourd’hui ne comprend vraiment ce qu’est la matière à son niveau le plus fondamental, celui des particules élémentaires, subatomiques ou quantiques. Pas même les spécialistes quoi prétendent le contraire. Cette difficulté contient peut-être un message, ou une invitation à saisir que nos croyances ordinaires sont peut-être fausses. Dans ce cas, soyons prêts à accepter de repenser notre vision de la matière, même si cela est inconfortable et déstabilisant.
Il se pourrait en effet que la matière dite inanimée soit plus riche qu’il n’y paraît. Son apparence de substance morte, passive et inerte n’en serait que la face visible. Trompeuse, elle dissimulerait une substance autre, dotée d’un contenu caché. (C’est lui, par ses effets tangibles, qui nous rendrait le monde quantique inintelligible, aussi longtemps que nous persistons à ignorer son existence.)
Telle est mon hypothèse. Je baptise alors psychomatière cette super-matière riche et vivante dont nous n’aurions pas encore perçu la vraie nature. Plus précisément, la psychomatière peut être définie par les cinq points ci-dessous :
EMMANUEL RANSFORD -:La conscience quantique
VIDEO - CLIQUEZ ICI-
Emmanuel Ransford, physicien, épistémologue est écrivain et conférencier. Il s’est toujours questionné sur le sens et la possibilité d’une explication profonde des choses. Insatisfait du matérialisme et surtout, peu convaincu par lui, il a élaboré au fil du temps un modèle de la réalité qui s’en démarque.
UN OBJET SE SERAIT DÉSINTÉGRÉ
DANS LA RÉGION DE COWANSVILLE
La Voix de l'Est, 29 avril 1966
SOURCE
Cowansville - Trois hommes, placés en des points différents, ont affirmé avoir vu un objet en flammes se désintégrer au-dessus d'un champ, à seulement quelques centaines de pieds d'eux, aux environs de 8h15 lundi soir, en bordure de la route reliant Brôme ouest et Sutton, à Sutton-nord.
Les trois témoins sont M M. Howard Jones, de Gilmore Conner; John Manuel et J. Grieg, de Sutton-nord, dont les dires se recoupent avec exactitude.
Premier témoin: M. Jones se rendait à Sutton en automobile lundi soir, lorsqu'il aperçut un objet en flammes "de 100 pieds de long" qui se déplaçait lentement du sud au nord, à l'inverse de lui, en se rapprochant de plus en plus du sol et rasant le faîte des arbres.
Soudain, M. Jones vit l'objet s'éparpiller en une multitude d'étincelles incandescentes, à moins de 200 pieds de lui. Il descendit de voiture rapidement mais ne vit plus rien, n'entendit rien.
Second témoin: M. Manuel se trouvait dans une chambre d'une maison dont plusieurs fenêtres s'ouvrent vers l'est. Tout à coup, il aperçut comme une explosion, des débris lumineux étant projetés dans tous les sens.
M. Manuel s'approcha rapidement de la fenêtre, croyant à prime abord voir un garage, situé à environ 500 pieds de chez lui, prendre feu brusquement. Mais il ne vit plus rien lui non plus, et n'entendit rien.
Il a toutefois déclaré après coup: "C'est la plus maudite affaire que j'ai jamais vu de ma vie."
Troisième témoin : M. Grieg était à fermer les portes de son garage, celui-là même que M. Manuel a cru voir exploser, lorsqu'il aperçut un objet en flammes voler en plusieurs éclats enflammés qui ont été projetés dans toutes les directions, au-dessus d'un champ situé à environ 300 pieds de l'endroit où il se trouvait. Il n'entendit aucun bruit, et tout retomba dans l'ordre. Il a toutefois avoué n'avoir jamais vu une chose pareille de sa vie auparavant.
Recherche : Notre reporter, accompagné de quatre autres personnes, s'est rendu sur les lieux dans l'espoir de découvrir quelques fragments révélateurs. Toutefois, après avoir parcouru le champ en tout sens ils n'ont relevé aucune trace pouvant s'apparenter au phénomène.
MOUCHARD -BOULE DE LUMIERE
A Gauche, le Livre de Jimmy Guieu avec un Ovni de Lumiere avec des Mouchards en dessous...A Droite, une Photo d'une Boule de Lumiere avec un Mouchard dessous prise par un Technicien du Téléroman l'Heure Bleue le 7 JUILLET 2017 au-Dessus du Mont St-Hilaire..
TÉMOINS D'OVNIS A ST-HILAIRE
MERCREDI 26 DÉCEMBRE 2012 VERS 21H
VIDEO - CLIQUEZ ICI-
NOTRE TÉMOINS ET SA COPINE ONT VU 15 BOULE DE LUMIERES,LE TÉMOIN A FILMER L'UN DES OBJETS,LA CONJOINTE DU TÉMOIN A VU UN DES OBJETS AU-DESSUS DE SA MAISON.
VIDEORANDIA TÉMOIGNAGE 58 Min 15 sec-
-SIMULATION-CLIQUEZ ICI-
-TRAJET USA - CLIQUEZ ICI-
Une éclipse totale de Soleil aura lieu le 21 août 2017.C'est la 11e éclipse totale du XXIe siècle, mais le 13e passage de l'ombre de la Lune sur Terre en ce siècle.Elle est la première éclipse totale de Soleil à passer aux États-Unis au XXIe siècle.Le 21 août, il y aura une Éclipse du Soleil qui sera en visible en partie au Québec. Au Québec l'éclipse est visible à environ 65%, elle débute à 13:21, le milieu de l'éclipse est à 14:36 et se termine à 15:50.
L'éclipse totale de soleil sera visible dans 14 états américains :
Oregon, Idaho, (Montana), Wyoming, Nebraska, Kansas, (Iowa), Missouri, Illinois, Kentucky, Tennessee, Géorgie, Caroline du Nord, Caroline du Sud.
PHOTOS DE L'ÉCLIPSE
50 Min de Fait sur 1H20..Suite Mardi.
]]>Détails de Richard Glenn sur son facebook Richard Glenn.
Lien direct: VOR170819 Voyage Dimensionnel selon Votre Nature avec Gabriel Poulin
Vous pouviez vous rendre pour l'avant-dernière fois sur place à la salle EspaceUniSanté, en haut de Chocolats Favoris à la sortie du pont Beloeil/Mont-Saint-Hilaire au 77 Boul. Sir Wilfrid-Laurier pour nous joindre et assister à l'enregistrement du VidéOrandia suivi d'un feu de camp avec vos interactions. (Autobus #200 à partir de la Station de Métro de Longueuil) Après l'enregistrement, c'est la soirée feu de camp si la météo le permet et vous y serez transportés. INFORMATIONS: Salle, Rencontres-jardin et Feu de Camp
Congrès ÉSO 701 billet VIRTUEL (diffusion par internet): ICI pour payer soit par PayPal, par chèque ou mandat postal
Pour vous abonner au Club CRÉÉE (Club de Recherche et d'Études en Ésotérisme Expérimental):
FORMULAIRE D'ABONNEMENT
et pour ceux qui voudraient le télécharger pour écoute sur ITUNES ou autre lecteur MP3 voici le lien
]]>