A écouté jusqu'à la fin :
Francis Cousin - Traduction des évangiles
https://www.youtube.com/watch?v=V4z6cjbOJHY
Maintenant, ce que mon étude des textes dits “mythologiques” sumériens me montrent (et avec eux, je n'en suis qu'à des balbutiements), c'est que la aussi il y a une dimension multiples - j'en vois trois facilement - de sens : Un sens littéral selon la matérialité du récit, puis un sens plus psychologique (avec réserve afin de ne pas commettre d'anachronisme) et un sens qui s'intéresse à l'esprit.
On y reviendra.
Le sujet m'intéresse grandement effectivement, je vais ouvrir une autre discussion pour en jasé !
]]>Lisez ça sur mon site web, ça date de 2013
http://sergecazelais.com/premiers-temps-chretiente-hiver2013/
Lisez aussi un de mes article qui date de 2008.
http://www.academia.edu/1489802/Sens_corporel_et_sens_spirituel_de_l_%C3%89criture_selo...
Je le sais que les textes dit “sacrés” et “mytholigiques” manifestent plusieurs niveau de sens. C,est mon travail au quotidien.
Je suis incroyablement déçu de voir à quel point quelqu'un qui me semblait lucide comme vous pouvez être rapide sur la gachette pour radicaliser et faire des procès d'intention à quelqu'un!
Vous savez, ce forum a déjà été vivant et grouillant et ce sont des attitude comme la vôtre qui l'ont tué.
]]>allez ...on continue.!...chacun selon sa route....
mon invitation tient toujours si tu viens en France ! parole de Gédéon.....
]]>
On y reviendra.
tiens donc...! ............
les diverses lectures de textes dits sacrés? de textes dits mythologiques etc......... pas nouveau! ........c'est su depuis ... longtemps.........
Désolé xalbat, mais votre énergie sent le souffre.
Tu as décidé que j'étais un intégriste alors qu'il en soit ainsi! Relis-toi un brin, tu vas voir à quel point tu me cherches des poux et tu es impoli.
Un vrai beau manipulé auto-suffisant comme il y en a plusieurs sur les réseaux de conspirationeux!
]]>Mais en fait je n'en suis pas surpris, c'est en effet la façon la plus confortable de leur faire dire ce que l'on veut... et de poursuivre l'oeuvre d'enfumage séculaire.
C'est ce que les religions monothéistes ont toujours fait... et vous êtes un bon serviteur de leur cause.
On peut cependant, ne vous en déplaise, envisager une cause unique au Tout, sans la teinter d'une influence religieuse, spirituelle ou ésotérique, et sans être esclave de la conception machiste, patriarcale et passéiste d'un Dieu le Père...
Cordialement
Xalbat
Qui se pose cette question ?
L'égo forcément insécure ? l'âme ? la personnalité ? bref ce que tu penses être toi... ou ce que nous pensons être nous...
Qui évite d'y répondre?
L'absence de réponse équivaut-il à une réponse négative?
Qui ne cesse de parler d'ego au moindre propos, semblant ainsi indiquer que c'est son gros problème actuel?
Un cherchant, pour progresser dans le développement de sa conscience, doit être capable d'accepter de revoir ses convictions... il doit être libre !
C'est inconfortable d'aller à contre sens de ce que l'on croit, c'est inconfortable d'aller à contre sens du lieu commun... et parfois c'est carrément très douloureux quand la conviction à abandonner est fortement ancrée, (j'ai été enfant de cœur) mais c'est nécessaire afin de ne plus être assujetti à la pensée commune de l'autre ou des autres...
Personnellement, je me suis adressé Serge C de manière courtoise, jusqu'à ce qu'il m'accuse d'être impoli... donc je lui ai donné de l'impolitesse, c'est ce qu'il attendait de moi après tout...
Cordialement
Xalbat
Pas conspirationniste pour un sou, contre toute pensée formatée, digérée, imposée.
«Les Hébreux estimaient que leur dieu était tellement puissant, qu’il incarnait tout ce qu’il y avait de meilleur chez les autres dieux ; leur dieu était le dieu des dieux. Mais comment exprimer ça, alors que leur langue, l’hébreu, ne possède pas de superlatif? En utilisant un pluriel de majesté : le Dieux!»
Il prétend que l'hébreu n'a pas d'expression pour le superlatif, or c'est faux! Il répète ici ce qu'on lit dans certains manuels en usage dans les classes d'introduction. Pourtant, la syntaxe du comparatif existe effectivement en hébreu lorsque deux noms identiques sont juxtaposés, le premier sans article suivi du second avec l'article.
Je cite deux exemples, je viens d'en repérer une bonne douzaine sans même faire une recherche exhaustive. Il me semblait aussi...
Un premier :
Deutéronome 10, 14 : «Voici, à YHWH, ton Dieu (liYHWH elohèqa), appartiennent les cieux et les cieux des cieux (woushmè hashamayim), la terre et tout ce qu'elle renferme.»
Et le pourtant très connu :
Cantique des Cantiques, 1, 1 : «Cantique des cantiques (shir hashirim), de Salomon.»
]]>Vulcain : Serge C. dispose des bons outils contrairement à tous les autres forumiens qui croient aveuglément la propagande de Biblino parce que ça va dans le sens de leurs croyances. Serge connaît maintenant suffisamment l'hébreux, l'araméen et le grec, avec quelques notions de sumérien, ainsi que l'Histoire concernant la période biblique et la manière dont les anciens lisaient les textes concernés à l'époque.
Ah... il lit l'hébreu...
Lequel ?
Je ne saurais répondre à sa place (s'il veut le faire).
La première Bible a été écrite sous la forme d’une séquence de consonnes...
Il ne peut l'ignorer![]()
Ce qui signifie que le travail effectué par les Masorets - « les gardiens de la tradition » - a consisté d’abord à déterminer les mots : à partir des consonnes, il leur fallait choisir des mots !
Cela peut-être fait de bien des façons…![]()
Dans un second temps, ils ont du insérer les voyelles, ce qui veut dire en fait : choisir le mot et en déterminer le sens. (le sens qui convenait au message qu'il voulait faire passer)
As-tu étudié toi-même l'hébreu correspondant, ou bien rapportes-tu ici seulement ce que tu as lu ou entendu sur le sujet?
]]>Concernant le texte biblique, ajoutons lui le texte homérique (lui aussi considéré comme “texte sacré” durant l'Antiquité tardive), ce que la Tradition nous dit c'est qu'il y a une double hauteur, c'est à dire au moins deux dimensions dans ces deux textes, une dimension matérielle (la lettre) et l'autre dimension spirituelle. Le non sens que je note, c'est que ceux qui actuellement prétendent faire de l'ésotérisme font exactement ce qu'ils reprochent aux religieux de faire : Ils laissent de côté la dimension spirituelle et s'attachent à la matérialité du texte.
De plus, dans le cas des premiers livres de la Bible (La Torah, ou le Pentateuque) la Tradition nous parle de 4 dimensions de signification, en référence à cette légende juive qui raconte que quatre sont entrés au Paradis (en fait, dans le PaRDeS). Cette présence de trois et de quatre niveaux de lecture était encore très connue au Moyen âge chrétien, mais ça a fini par se perdre.
Maintenant, ce que mon étude des textes dits “mythologiques” sumériens me montrent (et avec eux, je n'en suis qu'à des balbutiements), c'est que la aussi il y a une dimension multiples - j'en vois trois facilement - de sens : Un sens littéral selon la matérialité du récit, puis un sens plus psychologique (avec réserve afin de ne pas commettre d'anachronisme) et un sens qui s'intéresse à l'esprit.
On y reviendra.
]]>Qu'importe la manière que l'on déchiffre, que l'on traduit et que l'on interprète, que l'on signifie les signifiants !
Si je désire rencontrer une fable a mon enfant, et que ce dernier la transmet ensuite oralement a ses enfants, et ainsi de suite avant quelle soit transcrite sous forme littéraire, et bien rien ne change pour le réel, l'histoire reste une histoire !
Maintenant, si je fais référence a des êtres Divins plus grand et plus fin que l'homme, il est évidant qu'il viennent de ce qu'on mon imaginaire leur donne comme lieux de résidence, une résidence situé au plus haut de l'homme pour le surveiller, et il suffit juste de lever les yeux vers le ciel étoilé pour m'en inspirer ! Maintenant, comment mon imaginaire va créer l'homme, puisque eux sont venu avant et de différente nature, ha oui, tiens l'argile, et pour quoi pas y rajouter un souffle pour symboliser le vent !
Mais cette histoire, cette intuition romanesque, ne restera qu'une histoire et rien-que'une histoire ! (voir thor, Jupiter romain, grec, sumérien, égyptiens et tout les autres) !
Un fait relevé dans une écriture historique, quel quel soit, ne permet pas d'en faire un fait véridique et réel. Une fable, un conte restera toujours une histoire symbolique ! Le réel vient alors de l'imaginaire de celui qui la inventé, qui la créer (la raison vient de lui, et seulement de lui) ! Pourquoi toujours tout prendre à la lettre ?
Attendons des faits réel avant de conclure, attendons avant de tout briser ....
]]>Cela dit, Je connais Christian Boyer, personnellement je veux dire, en vrai de vrai, mais là n'est pas le point. Je ne sais cependant pas jusqu'à quel niveau il a poussé son étude des langues sémitiques. Je serais heureux de m'assoir avec lui devant un café afin de lui indiquer quelques éléments de références.
Ce que je peux dire du haut de ma tour d'ivoire, c'est que oui, c'est une opinion courante qu'on lit souvent mais qui ne tient ni compte de la morphologie, ni de la syntaxe, ni de la sémantique.
Que dites-vous du mot hébreu māqôm, masculin, mais qui prend la forme féminine au pluriel : māqômôṯ ? Il a une morphologie du féminin, mais une syntaxe du masculin.
Il y en a plusieurs comme ça vous savez. Des mots ayant une graphie masculine, mais qui sont des féminins, ou le contraire, une graphie féminine, mais qui sont des masculins, ou des mots qui ont une graphie plurielle mais qui sont des singuliers.
Mais laissons Élohim de côté (je ne vous convaincrez pas, et je ne cherche pas non plus à vous convaincre), que dites-vous des deux autres points de traduction que je soulève?
BSHGM (en Genèse 6) et son baratin au sujet du liquide spermatique ? Et bara' qui selon lui serait un verbe de transformation ?
Mais sentez-vous libre, je ne vous force pas à répondre. SI votre idée est déjà faite, demeurez en elle et soyez heureux avec ça.
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