Ta logique est implacable cher Vulcain :)
D'accord avec ce que tu dis il faut volontairement prendre une décision guidée par l'intuition
Pour un court résumé
**Mettre de son bois au feu au lieu de pleurer sur des cendres.**
Pour un court résumé
**Mettre de son bois au feu au lieu de pleurer sur des cendres.**
]]>Et franchir la porte ne peut se faire avec une attitude passive.
L'Humanité est enceinte, est elle passive ? Une femme qui porte un enfant est elle passive ? Un tournesol immobile est -il passif ?
La femme et le tournesol se nourrissent. Cela est une activité comme une autre et n'est pas une attitude passive. A contrario, si la femme restait passive au moment de l'accouchement, est-ce que celui-ci se passerait bien (sans assistance pour compenser la passivité)?
L 'attente du moment de la délivrance personne connait le jour et l'heure...
Comme pour la femme qui attend un bébé, il faut se nourrir et se préparer activement en agissant (au moins intérieurement) adéquatement.
Et au moment de l'arrivée d'un train, si tu n'avances pas volontairement en avant pour franchir sa porte, tu restes sur le quai.
Est-ce qu'une crise se résout en demeurant passif? Une crise, tel qu'un deuil à vivre, c'est comme une porte à franchir.
]]>L'Humanité est enceinte, est elle passive ? Une femme qui porte un enfant est elle passive ? Un tournesol immobile est -il passif ? L 'attente du moment de la délivrance personne connait le jour et l'heure... seule l hormone cosmique va déclencher le travail en attendant sommes nous passif? Tout se passe a l'intérieur rien ne parait sommes nous actif s'il y a apparence?
]]>Encore faudrait-il qu'Adam et Ève aient péché !
De le penser autrefois, disons que ça peut toujours se comprendre, mais de le penser aujourd'hui, c'est d'une morbidité infinie.
L'orgueil a autant cours aujourd'hui qu'autrefois, non ?Oui vous avez raison, le péché est très mortifère.
Mais de croire qu'il n'y en a pas est sans issue possible.
Est-ce qu'on ne confond pas ici responsabilité et culpabilité ? La responsabilité permet d'avancer, alors que la culpabilité paralyse.
Et quand je pense à la notion de péché, ce n'est pas la responsabilité que ça évoque en moi, mais plutôt la culpabilité.
]]>Encore faudrait-il qu'Adam et Ève aient péché !
De le penser autrefois, disons que ça peut toujours se comprendre, mais de le penser aujourd'hui, c'est d'une morbidité infinie.
L'orgueil a autant cours aujourd'hui qu'autrefois, non ?Oui vous avez raison, le péché est très mortifère.
Mais de croire qu'il n'y en a pas est sans issue possible.
Est-ce qu'on ne confond pas ici responsabilité et culpabilité ? La responsabilité permet d'avancer, alors que la culpabilité paralyse.
]]>Jésus dit-on est mort pour le rachat de nos péchés. Il s'agit somme toute d'une déresponsabilisaition absolue et du rejet du fardeau de nos fautes imaginaires dans ce monde dualiste truqué sur les épaules d'un tiers. Ce transfert est totalement absurde.
Nous assumons que nous le voulions ou non le poids du moindre de nos actes, bien que la plupart de ceux-ci ont été exercé sous influence dont nous n'avons nullement conscience. Jésus est mort pour racheter VOS péchés. Mais je refuse son sacrifice pour les miens.
BONNE SOIRÉE...
Le mythe réside certainement davantage dans l'interprétation des faits que dans les faits (réels ou supposés) eux-mêmes. Pour ma part, j'ai toujours considéré l'histoire d'Adam et Ève comme un conte de fée. Et si L'Ancien Testament est bien à lire au niveau de l'allégorie (comme le mentionne Serge), le "péché originel" signifie probablement bien autre chose que ce qui a été transmis. Et dans ce cas, il pourrait y avoir bien des surprises un jour pour de nombreux Chrétiens.
]]>Nous assumons que nous le voulions ou non le poids du moindre de nos actes, bien que la plupart de ceux-ci ont été exercé sous influence dont nous n'avons nullement conscience. Jésus est mort pour racheter VOS péchés. Mais je refuse son sacrifice pour les miens.
BONNE SOIRÉE...
]]>Ne pas agir nous-mêmes, nous en remettre à un autre (fût-il le Christ) pour espérer être libérés ou sauvés, c'est ne pas reconnaître la responsabilité de nos actes.
Y a-t-il quelque chose dans ce que j'ai dit qui laisse entendre que nous n'avons pas à reconnaitre la responsabilité de nos actes ? Il me semble bien que je n'ai pas cesser de dire exactement le contraire...
À côté de ça, combien de Chrétiens sont-ils tombés dans le piège de croire que tout était joué à partir du moment où ils se considéraient sauvés et dès lors tendaient à ne plus même se préoccuper de la recommandation "Aime ton prochain comme toi-même"?
Le Christ lui-même s'est-il présenté comme sauveur?
«Je Suis la Voie, la Vérité, la Vie.»
S'il s'était présenté comme un sauveur, il est probable qu'il aurait simplement dit : "Je suis le sauveur du monde" (ou le sauveur des Hommes), puisque par ailleurs il a bien été capable de dire "Je suis la lumière du monde" (Ce qui pour des athées pourrait être l'indice d'un égo monstrueux). Mais tu peux bien entendu le voir autrement et le considérer par exemple comme le Sauveur par qui on devrait obligatoirement passer.
]]>Il y a bien sûr des comportements qui ne construisent pas, mais détruisent. Mais même là, il faudrait nuancer, car parfois il faut détruire pour reconstruire. Par contre, pour ce qui est de l'orgueil, je ne suis pas prêt à dire que ce soit un péché. Disons que c'est plus un problème ( parfois petit, parfois plus grand) qu'il faut tout simplement apprendre à gérer.
Est-ce qu'un père chasse ses enfants ( petits ou grands) de sa maison parce qu'ils ont fait montre d'orgueil?
On peut toujours trouver mille façons de tergiverser...
Ne pas agir nous-mêmes, nous en remettre à un autre (fût-il le Christ) pour espérer être libérés ou sauvés, c'est ne pas reconnaître la responsabilité de nos actes.
Y a-t-il quelque chose dans ce que j'ai dit qui laisse entendre que nous n'avons pas à reconnaitre la responsabilité de nos actes ? Il me semble bien que je n'ai pas cesser de dire exactement le contraire... Le Salut par le Christ anéantit justement cette accusation de l'autre et nous relève dans notre propre intégrité. Ne serait-ce que pour ce cela (et pour tout cela), je n'aurai pas la prétention de pouvoir faire cela par moi-même. Chaque nuit qui se couche sur moi je lui remets mon être entier, et je suis on ne peut plus consciente de ma faiblesse, de mes erreurs et violences, du précipice dans lequel je peux constamment tomber, ne serait-ce que par la tentation de tout abandonner, de la fragilité des vieux jours qui s'en viennent, ou le risque de tomber en profonde dépression, et c'est ce qui me permet de voir à chaque instant le miracle de la vie s'opérer, la force me soutenir, la parole se prononcer, la joie éclater. Cela ne vient pas de moi, je ne me donne pas cette vie à moi-même, mais j'y participe en consentant, j'y acquiesce. C'est là ma part de responsabilité.
Le Christ lui-même s'est-il présenté comme sauveur?
«Je Suis la Voie, la Vérité, la Vie.»
On peut toujours trouver mille façons de tergiverser...
]]>le Christ n'est pas venu nous sauver, mais nous montrer comment nous sauver nous-mêmes.
Tout son enseignement repose sur ce message le reste c'est de la compréhension et de la pratique.
Evangile selon Thomas 1ere logion :
**Celui qui trouvera l'interprétation de ces paroles ne goûtera pas la mort**
2eme logion:
**Que celui qui cherche ne cesse de chercher jusqu'à ce qu'il trouve; et quand il aura trouvé, il sera bouleversé, et, étant bouleversé, il sera émerveillé et il règnera sur Tout.
Qu'est- ce qu'il nous manque ...qu'après 2000 ans d'enseignement( des livres et des livres) que l'on soit encore à la porte à attendre... je m'inclus :)
Et franchir la porte ne peut se faire avec une attitude passive.
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Evangile selon Thomas 1ere logion :
**Celui qui trouvera l'interprétation de ces paroles ne goûtera pas la mort**
2eme logion:
**Que celui qui cherche ne cesse de chercher jusqu'à ce qu'il trouve; et quand il aura trouvé, il sera bouleversé, et, étant bouleversé, il sera émerveillé et il règnera sur Tout.
Qu'est- ce qu'il nous manque ...qu'après 2000 ans d'enseignement( des livres et des livres) que l'on soit encore à la porte à attendre... je m'inclus :)
]]>Dés qu'un être humain croit à quelque chose, qu'il s'agit de quelque chose de vrai ou de faux, ça existe systématiquement comme étant vrai, car tout s'enregistre dans la dimension causale.
Est-ce que parce qu'on enregistre une fiction (ou la révélation d'un mensonge) sur un DVD ça transforme cette fiction en réalité objective (ou ça transforme ce mensonge en vérité)? La mémorisation d'un mensonge, qu'elle ait lieu dans le plan physique ou dans le plan causal, transforme-t-elle ce mensonge en vérité?
]]>Encore faudrait-il qu'Adam et Ève aient péché !
De le penser autrefois, disons que ça peut toujours se comprendre, mais de le penser aujourd'hui, c'est d'une morbidité infinie.
L'orgueil a autant cours aujourd'hui qu'autrefois, non ?Oui vous avez raison, le péché est très mortifère.
Mais de croire qu'il n'y en a pas est sans issue possible.
Il y a bien sûr des comportements qui ne construisent pas, mais détruisent. Mais même là, il faudrait nuancer, car parfois il faut détruire pour reconstruire. Par contre, pour ce qui est de l'orgueil, je ne suis pas prêt à dire que ce soit un péché. Disons que c'est plus un problème ( parfois petit, parfois plus grand) qu'il faut tout simplement apprendre à gérer.
Est-ce qu'un père chasse ses enfants ( petits ou grands) de sa maison parce qu'ils ont fait montre d'orgueil?
]]>De ce point de vue, le Christ n'est pas venu nous sauver, mais nous montrer comment nous sauver nous-mêmes.
Là s'arrête mon accord avec vous.D'une part comment saurions-nous nous sauver nous-mêmes s'il ne nous avait pas indiquer la voie? On peut considérer très minimalement qu'il est sauveur en ce sens.
J'ai bien mentionné qu'il avait montré la voie (qu'il avait montré comment se libérer). Il l'a fait par la valeur de son exemple. Bien sûr ça n'empêche pas de le voir comme sauveur dans le sens qu'il serait l'initiateur du mouvement et par conséquent un point de repère, un lumière, un phare ou un guide, voire un berger pour les autres.
D'autre part, comment se sauver soi-même «Si nous sommes tous liés par la Conscience et/ou la Vie, par l'âme et/ou par l'Esprit, alors [que] ce qui affecte l'un rejaillit sur tous les autres», en positif autant qu'en négatif ?
Ne pas agir nous-mêmes, nous en remettre à un autre (fût-il le Christ) pour espérer être libérés ou sauvés, c'est ne pas reconnaître la responsabilité de nos actes. Le Christ lui-même s'est-il présenté comme sauveur? Paul a pu le présenter comme tel, mais Paul n'était pas le Christ et a pu se fourvoyer. Enfin, tout être qui se libère facilite la démarche des suivants dans ce sens, par effet boule de neige, ou parce qu'il est plus facile de suivre un chemin qui a été foulé maintes fois qu'un qui vient d'être ouvert, ou encore parce que nous sommes tous liés sur les plans subtils (âme, esprit).
]]>Parfaitement d'accord avec ça.
]]>Encore faudrait-il qu'Adam et Ève aient péché !
De le penser autrefois, disons que ça peut toujours se comprendre, mais de le penser aujourd'hui, c'est d'une morbidité infinie.
L'orgueil a autant cours aujourd'hui qu'autrefois, non ?
Oui vous avez raison, le péché est très mortifère.
Mais de croire qu'il n'y en a pas est sans issue possible.