Qui chante [i]Yeshua[/i] couac

par F Fernand, Monday 26 August 2024, 12:14 (il y a 91 jours) @ mordicus

Salut mordicus

Il est certain que les choses s'expriment de elle même.

Si je prend l'exemple du champignon qui pousse en tooute s'impliciter dans la nature, on a pas plus simple que cela. Son temps de exsitance est très court. il est un produit de la nature.

En toute humilité, il est entouré de arbres gigantesques, il prend forme de vie et il est lui même. Pas nécessairment le plus beau et même le plus convoité. Il ne fait que exsiter, une création nouvelle et spontané, permi toutes ces autres vies qui l'entourent.

On est pas dans les ébats grandioses du ciel et de ses étenrités. Seulement exister un court instant et disparaitre.

Dieu et ses éternités, même les anges ne savent rien a son sujet, il est dit bien des choses, mais dieu en lui même demeure un mistère. Les anciens disaient personne avait vue dieu. Sa veut dire qu'il n'Y a pas de manifestation de lui même.

Ses créatures sont ses manifestations et sa présence. Même la créature ne comprend pas son existance et encore moins sa propre présence de elle même comme créature.

Pour les êtres dit plus complexe, c'est l'anarchie dans leur être, il se prenne tous pour dieu. Même les êtres le splus intelligent du ciel, ce sont prit pour dieu.

Sur terre nos religion de mort et de vie sa battent pour la supréamtie de la forme et de bien autres choses.

Abcepter sa propre création en toute humilité est déja un exploit, et y vivre est un autre exploi.

Les temps et l'espace, pour les êtres qui y vivent selon leur création est une intensification de dieu dans leur être.

Il y a peut être bien de faux représentent, mais avec la vie, il fini par en reste un et seulement un, et uniques. C'est comme cela. Cherher autre chose c'est inutile. Abcepter de vivre sa propre création.

Pour connaitre sa création, il faut abcepter sa première création, son être en existance. Si il se produit des choses plus préfondes dans L'être, tant mieux.

Les portes s'ouvrent sur l'Infinité.

Salut mordicus

Fernand