D'Alésia à GIZEH par Oleg de Normandie
D’Alésia à Gizeh
Lien sur Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=KaU3srqoz_Q
La pilule verte #1: Les pyramides & l'Atlantide - Real History #5
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Pagans TV - Oleg
À 0H05'15" du vidéo : Réseau « vert » de méridiens
• 366 méridiens au lieu des 360 convenus
À 0H14'07" du vidéo : D’Alésia à Gizeh
À 0H31'27" du vidéo : Traces d’Hyperborée en Égypte et l’origine de « l’architecte »
• Oleg de Normandie identifie l’origine de Ptah comme Ancien Bâtisseur au site d’Abou Simbel
• Comme il serait le seul des quatre personnages à ne pas être « ensoleillé » les 22 octobre et 22 février, il fait l’amalgame avec l’Hyperborée comme son lieu d’origine
• Hyperborée qui est plongée dans l’obscurité pendant plusieurs mois à partir du 22 octobre
• On retrouverait le même type de temple à couloir à Newgrange en Irlande
Dans « La Dernière Marche des Dieux », Anton Parks identifie Ptah à Osiris. D’ailleurs, Parks identifie Amon à Osiris. De multiples noms pour décrire un même personnage multimillénaires, à différents moments et différents lieux.
En page 20 : Abydos siège dans le 8e nome de Haute-Égypte, dans le district de Ta-Ur "la Grande Terre", "la Terre Primordiale".
En pages 29-30 : Osiris et Seth représentaient deux systèmes différents de royauté. Osiris incarnait le dieu civilisateur, mais aussi le dieu créateur sous son nom de Ptah.
En page 34 : L’ancien pays, "le Premier Pays", s’était écroulé comme la mythique Atlantide des philosophes grecs.
En page 40 : Les textes funéraires égyptiens (Textes des Pyramides et des Sarcophages et le chapitre 17 du Livre des Morts) affirment que les dieux égyptiens étaient issus d’un lieu dénommé A’amenptah "le lieu grand et stable du façonneur Ptah-Osiris" ou Amentet "le Pays de Vérité et de Parole".
En page 52 : Tanen (Ptah-Osiris) : Nefer-Her, le Premier (dieu) Primordial, le créateur terrestre, le seigneur de la création et l’unique (Pen). Son nom signifie "Terre élevée" en référence à la butte primordiale avec laquelle il est associé. Tanen étant le roi de l’abysse premier et des métaux, son nom découle probablement du sumérien TÁN-EN, "la lumière ou l’éclat du seigneur". Comme l’Enki sumérien, il incarne en Égypte : "celui qui a façonné les hommes", "l’aîné de tout Commencement" et "le Créateur de la Terre".
En page 61 : Ptah-Osiris émerge des eaux comme le fait Poséidon dans la mythologie grecque.
En page 72 : Grâce à cet assemblage, nous comprenons simplement que le jeune Horus hérita du "lieu-de-l’artisan-habile-de-ses-mains" (Ptah-Osiris, le créateur). Cette autre forme de Behutet se traduit donc en "la-cité-île-de-l’artisan-à-la-main-habile" ; interprétation confirmée grâce à un homophone Behutet dont les définitions sont "trône" et "siège". Horus reçoit en héritage à la fois le trône de son père (l’Atlantide), mais aussi son œil, à savoir sa puissance. Asar (Osiris) veut dire justement "Trône de l’Œil". Dans ce contexte, le terme Behutet révèle l’origine d’Horus et son droit légitime au trône atlante. De plus, ce passage nous signale que le territoire Djeba et Behutet ne font qu’un. Behutet est donc le nouveau nom de l’Atlantide égyptienne donné à l’époque d’Horus.
Dans les textes funéraires égyptiens, l’Atlantide de l’époque de Ptah-Osiris et d’Horus l’aîné (Râ) est l’A’amenptah. Pour rappel, le sens égyptien de A’amenptah se traduit en "le lieu grand et stable de Ptah". En sumérien, langue d’origine des dieux, ce mot se décompose en A-MEN-PTAH "la couronne d’eau de Ptah".
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Contenu :
Étrange synchronicité : lien entre Hyperboréens, Atlantes, Toltèques, Celtes, Roi Arthur, Table Ronde...
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À 2H02’55" du vidéo : Hyperborée : les hommes qui vivaient là-bas étaient des Justes.
À 3H26’56" du vidéo : Les Toltèques (Atlantes / Hyperboréens) : Des Justes, la parole Juste !
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Extrait : Pour rappel, les Hyperboréens découleraient des Atlantes. Les Toltèques découleraient des Hyperboréens. Quetzalcoatl [Horus] serait Toltèque. Le personnage d’Enki a évolué au fil des millénaires. En Atlantide, il était Ptah. En Égypte, il était Osiris, celui qui aurait civilisé le genre humain. Horus, résurrection d’Osiris, était le Mesi égyptien. L’histoire des textes bibliques (Jésus-Christ) relaterait l’histoire de ces dieux égyptiens.
« La Dernière Marche des Dieux – de l’Atlantide à Abydos », Anton Parks, en page 246 : Osiris subissait ensuite le jugement des dieux en vue de devenir le Juge des hommes. Dès lors, il était déclaré "Juste de Voix", en harmonie avec les règles universelles.
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Extrait : Toltèques = "Maîtres Bâtisseurs"
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Extrait : Deïmian évoque des Grands Blonds Barbus, des Nordiques dans son approche des Hyperboréens. Qui seraient-ils ?
Trois possibilités : Les Imdugud, les royaux Kingú-Babbar, ou les Nungal d'Enki
Ajoutons les humains babbar issus des manipulations génétiques de l'espèce humaine.
Question : Les récits des multiples ethnies sises en Asie ou en Amérique du Sud et du Nord décrivent les résidents des cavernes de la même manière, ce qui est assez frappant : ce serait des hommes à la pigmentation blanche et aux cheveux blonds ou roux, disposant, aux yeux de ces ethnies, d’une technologie très avancée. Les Indiens d’Amérique du Nord les ont baptisés : les habitants du monde surnaturel. Selon votre propre perception, qui étaient les habitants des mondes souterrains mais aussi de la terre creuse ? Ont-ils un rapport avec les anges déchus ? Que sont-il devenus aujourd’hui ?
« La Dernière Marche des Dieux – de l’Atlantide à Abydos », Anton Parks, en page 134 : Ces ancêtres à peau blanche possédaient une silhouette épaisse. Leur visage s’ornait de petits yeux bleus ou verts logés dans des orbites larges et basses, tandis que leurs cheveux étaient le plus souvent clairs.
L’anthropologue français René Verneau qui résida cinq ans aux Canaries vers la fin du 19e siècle, confirme les caractéristiques de peau et de cheveux des Guanches, malgré un métissage évident venu de l’extérieur depuis la Conquête. "À chaque instant, les vieux nous parlent de blonds et même de roux" ajoute-t-il.
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Extrait : Qui sont les Atlantes, les Hyperboréens, les Toltèques ; qui est le Roi Arthur, qui est Merlin ? Des pistes de réponses intéressantes :
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http://www.orandia.com/forum/index.php?id=156581
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ON POURSUIT AVEC OLEG DE NORMANDIE
À 0H36'44" du vidéo : Le signe du Bélier et sa présence en Égypte
• RAM le bélier celte, incarné par un druide, qui conduit les siens en lieux sûrs jusqu’aux Indes (Brahma, Ariya, Aries - bélier / Agni - agneau, bélier et Igné - en feu)
• Sur la base de traces archéologiques de métaux, RAM aurait fondé la civilisation des Daces en Roumanie
« Le Testament de la Vierge », Anton Parks, en page 84 : Le bouc-bélier est en effet souvent observé comme le symbole de la fécondité, il est également celui du dieu Pan (litt. "Tout", dieu de la totalité en grec) qui, comme Osiris-Enki, avait un comportement bienveillant et présidait aux troupeaux, aux pâturages et aux grottes.
« La Dernière Marche des Dieux – de l’Atlantide à Abydos », Anton Parks, en page 81 : Horus se lance alors dans une bataille nautique avec l’aide de ses forgerons, les fameux Mesentiu. Ces Mesentiu (forgerons) d’Horus ont la réputation de manier le fer et de fabriquer des armes. Ceci confirme leur connexion avec les anges veilleurs des textes bibliques. Mesentiu est formé de la racine égyptienne Mesen qui veut dire "défendre" et "protéger". Les différents temples égyptiens nous offrent des représentations des forgerons d’Horus. Ils sont généralement représentés, tête rasée, avec le jupon traditionnel, tenant dans la main droite un poignard et dans la main gauche une lance à pointe de métal. On trouve parmi eux des fondeurs, des graveurs et des ciseleurs sur métaux. Selon les textes, Horus est le seul dieu à avoir employer des forgerons-soldats à son service. Il possédait la connaissance du métal divin via son père Ptah-Osiris.
« EDEN, la vérité sur nos origines », Anton Parks, en pages 144 à 153, tablette d’argile CBS 8322 : L’outil est le prolongement de l’arbre, son manche est généralement formé à partir d’une de ses branches.
La femme est l’avenir de l’homme, c’est elle qui éduque les enfants, c’est d’ailleurs pourquoi elle a été la première que le Serpent Enki a approchée. Le Serpent instructeur comptait de cette façon diffuser le savoir de l’outil civilisateur parmi les êtres humains.
Je ne pense pas que la transmission de l’outil à l’humanité se soit faite rapidement. Les aspects temporels sont souvent synonymes de très longues durées dans les mythes sumériens en raison de l’immortalité des dieux.
La connaissance du métal est le premier pas vers une autonomie complète, vers une culture civilisée. La connaissance du métal inclut celle du bien et du mal… On a là une illustration du secret du "bien" et du "mal" autrement plus précise que dans la Genèse, où l’arbre de la connaissance du bien et du mal fait depuis des siècles l’objet d’interminables débats théologiques.
« Le Testament de la Vierge », Anton Parks, en pages 85-86 : Le bouc émissaire [RAM] se nomme Asa’el ou Azazel ou encore Azazyel en hébreu. Ce terme apparaît plusieurs fois dans le Lévitique de la Bible pour désigner le bouc sacrifié à Yahvé. Dans la littérature juive, Azazel (litt. "le puissant dieu", généralement traduit par "le puissant de Dieu") est le maître du désert mis en relation avec le rite annuel des expiations. C’était à lui que le prêtre envoyait, chargé de[s] péchés du Peuple, le fameux bouc émissaire.
Azazel ou Asa’el possède une place importante dans les différentes versions du Livre d’Enoch. Les versions primitives du Livre d’Enoch ont été rédigées en hébreu ou en araméen. Le texte original étant perdu, les Éthiopiens avaient traduit dans leur langue une version grecque rédigée au début de l’ère chrétienne et découverte en Égypte. L’une des traditions recueillies par Enoch reconnaît en Azazel la première étoile déchue, un "prince du mal" qui descendit corrompre l’humanité avant l’arrivée en scène de ses "veilleurs luxurieux" qui se mélangèrent avec les filles des hommes. Mais Azazel est surtout l’ange rebelle qui va apporter l’usage du métal à l’humanité, comme le dit le Livre d’Enoch :
"Azazel enseigna encore aux hommes à faire des épées, des couteaux, des boucliers, des cuirasses et des miroirs ; il leur apprit la fabrication des bracelets et des ornements, l’usage de la peinture, l’art de se peindre les sourcils, d’employer les pierres précieuses, et toute espèce de teintures, de sorte que le monde fut corrompu."
– Le Livre d’Enoch, chapitre 8:1
Nous avons vu plus haut, dans la 4e tablette de Kharsarğ, qu’Enki "parla [à l’humanité] de la hache qui abat. Ils [les hommes] devaient apprendre que le fer n’existait pas pour tuer mais devrait servir pour couper du bois. Ils devaient aussi apprendre que ce n’était pas uniquement pour les hommes, mais pour assister toutes les femmes"… Le sumérien Enki étant Osiris, nous avons sous les yeux la démonstration qu’il s’agit du même personnage que Azazel. Un dieu diabolisé dans l’apocryphe d’Enoch, et transformé en mauvais serpent dans la Genèse, mais un dieu de sagesse à Sumer !
Envisageons maintenant la possibilité que le nom d’Asa’el (Azazel) provienne simplement de l’égyptien Asar-El ou Asar-Er dont le sens donne "Osiris le créateur". Nous le savons désormais : les scribes ont toujours joué sur la phonétique et les homophonies ; une prononciation à peine prononcée grâce à un R aspiré et le tour était joué…
Asar-El (Azazel) est un membre de "l’armée déchue" qui est tenu personnellement responsable de la subite compréhension de l’humanité, comme l’est le serpent (Enki) dans la Genèse, et comme l’est Osiris qui n’a cessé de parcourir le monde en vue de civiliser l’être humain. La manipulation des textes est une nouvelle fois manifeste et sans appel.
Un Azazel que les anges de Yahvé doivent donc supprimer comme l’a sauvagement été Osiris…
« Le Testament de la Vierge », Anton Parks, en pages 87 : Il est généralement admis que la transition entre les périodes prédynastiques et dynastiques seraient le résultat d’une série brutale de révolutions et de guerres, provoquées par la découverte de la métallurgie et des nouvelles structures sociales qu’impliquaient les cités, les habitations individuelles et l’écriture. Tous ces éléments font partie des innovations apportées par les "anges déchus" à l’humanité, dont Asa’el (Azazel) est rendu personnellement responsable. Sauf qu’elles sont, de mon point de vue, encore plus anciennes que l’on ne veut bien admettre.
ON POURSUIT AVEC OLEG DE NORMANDIE
À 0H45'21" du vidéo : RÂ / RAM le Bâtisseur
• Ram le Kelt (Celte) venu du Nord (Hyperborée)
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Extrait : « Le Réveil du Phénix – Tome 3 », Anton Parks, en page 481, section ARCHIVES et DÉCODAGES : Ce rite (« la Porte de la Mort ») est directement lié au meurtre d’Hiram [RAM] Abif, le Maître-maçon du temple de Salomon, lâchement assassiné par trois de ses ouvriers pour ne pas avoir divulgué le mot secret du Maître. Le rituel maçonnique qui, comme nous le savons, s’inspire des mystères de l’Égypte, assimile clairement Hiram [RAM] Abif à Osiris en tant que symbole du « bienfaiteur » de l’humanité sacrifié.
« CORPUS DEAE », Anton Parks, en page 21 : Certains membres de la Franc-maçonnerie revendiquent une connexion templière et prétendent détenir un savoir égyptien depuis longtemps oublié. Ne se nomment-ils pas "fils de la veuve", comme Horus, le fils d’Isis ? D’autres diront qu’Hiram [RAM], le bâtisseur du Temple de Salomon, portait aussi cette épithète (cf. la Bible, 1Rois, 7:13-14)
« Le Testament de la Vierge », Anton Parks, en page 49 : Nous avons démontré en note 36 d’Ádam Genisiš [version originale] que le dieu Ptah (Pteh) est une image primitive d’Osiris et de son double sumérien Enki dans leur rôle spécifique de façonneur et bienfaiteur de l’humanité. Ajoutons à ce propos que Ptah est le protecteur des artisans et le maçon du monde. Une des épithètes de son double mésopotamien Enki-Éa est justement « Ša itinni », "celui qui est le maître d’œuvre ou le maître-maçon".
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Extrait : « L’Énigme Sacrée », en page 269 : Comme plus tard les Cathares, Mani croyait en la réincarnation… Pour lui Jésus était le « fils de la Veuve » (terme utilisé, on s’en souvient, par la franc-maçonnerie), un être essentiellement mortel, dont l’aspect divin n’était que symbolique, et non pas mort sur la croix, un autre l’ayant remplacé.
« L’Énigme Sacrée », en page 277 : Son héros [à Chrétien de Troyes] se nomme Perceval, le « fils de la Dame Veuve », appellation, notons-le, qui appartiendra de tout temps au vocabulaire des hérésies dualistes et gnostiques désignant soit leurs prophètes, soit Jésus lui-même, et qui sera plus tard reprise par la franc-maçonnerie.
« L’Énigme Sacrée », en pages 278-279 : Comme dans le poème de Chrétien de Troyes, Perceval est, dans cette version [de Robert de Boron], le fils de « la Dame Veuve » mais aussi le petit-fils du Roi Pêcheur, et non son neveu.
« L’Énigme Sacrée », en page 280 : Non seulement Perceval y est désigné [dans le roman Perlesvaus, d’un auteur anonyme], là encore, comme le fils de la « Dame Veuve »…
« Corpus Deae », Anton Parks, en page 21 : Certains membres de la Franc-maçonnerie revendiquent une connexion templière et prétendent détenir un savoir égyptien depuis longtemps oublié. Ne se nomment-ils pas "fils de la veuve", comme Horus, le fils d'Isis ? D'autres diront qu'Hiram [RAM], le bâtisseur du Temple de Salomon, portait aussi cette épithète (cf. la Bible, 1Rrois 7:13-14)...
« Corpus Deae », Anton Parks, en page 62 : Salomon fait venir du Liban un certain Hiram [RAM], artisan expert en airain, sans doute envoyé par le roi de Tyr lui-même. Fils d’une veuve…
« Corpus Deae », Anton Parks, en page 243 : En Égypte, ce rituel [subit par Horus-Marduk] se nommait « Porte de la Mort ». Son souvenir se retrouve, jusqu’à présent, dans toutes les loges [maçonniques], sous le nom de "Mort et Résurrection d’Hiram [RAM] Habiff, le fils de la Veuve".
« ÁDAM GENISIŠ », première version, Anton Parks, en page 475 : Le rituel maçonnique qui, comme nous le savons, s’inspire des mystères de l’Égypte, assimile clairement Hiram [RAM] Abif à Osiris en tant que symbole du "bienfaiteur" de l’humanité sacrifiée.
ON POURSUIT AVEC OLEG DE NORMANDIE
• Râ-RAM, dieu solaire qui est arrivé en Égypte sur sa barque solaire, est le dieu primordial, civilisateur, initiateur, qui a apporté l’irrigation, l’astronomie, les mathématiques, la médecine, l’architecture, la géométrie
« Le Testament de la Vierge », Anton Parks, en pages 272-275 : Les deux clans Shemsu-Nungal [anges déchus] incarnent les fils des Elohim ou Bené Elohim dans la Bible. Conformément au récit d’Enoch, ils appartiennent au clan d’Asa’el (Azazel) que nous avons facilement identifié comme étant Osiris (Asar-El ou El-Asar). Ils sont d’ailleurs dénommés les Mesentiu ("forgerons"), ce qui les relie bien aux hommes d’Asa’el (Osiris), qui ont apporté le fer à l’humanité. Souvenez-vous qu’Enki a, lui aussi, apporté le fer à l’humanité en Edin ; c’était bien avant qu’il ne quitte Sumer et qu’il ne porte le nom d’Asar (Osiris).
L’égyptologue et écrivain René Lachaud détaille ce que les Shemsu ont apporté à l’humanité en ces temps très anciens, bien avant les rois dynastiques et les chronologies officielles : une nouvelle conscience du monde. Des techniques performantes de travail des métaux (fer, bronze et or). Des nouvelles techniques agricoles et la science de l’irrigation (celle de l’Atlantide et de Sumer). Une importante part du système hiéroglyphique. Des mythologies (la véritable histoire), des cosmogonies, et des rites comme celui des offrandes. Des connaissances mathématiques, minéralogiques, astronomiques et la pratique de la Magie sacerdotale. Pour finir, une organisation monarchique qui, dans un premier temps se heurta au système classique des premiers occupants et engendra de nombreux conflits.
Nous pouvons préciser que ce sont ces conflits qui sont montrés du doigt dans le Livre d’Enoch lorsqu’il est question des géants ou Nephilim ("les tombés") et des conflits qu’ils ont engendrés. Ce qui est intéressant, c’est qu’il y est question du seul point de vue de Yahvé et de ses anges, les Anunnaki sumériens. Cela veut dire que les armes mises entre les mains des humains ne servent qu’à se battre contre l’armée du dieu universel Yahvé qui impose sa loi et sa pensée unique. C’est la grande différence. C’est ici que se trouve le grand mensonge universel, celui qui mène en partie vers la faute biblique. Comme toujours, ces rôles, tels que les ont diffusés la pensée judéo-chrétienne et l’écrit apocryphe d’Enoch, sont clairement intervertis par rapport à la littérature égyptienne…
• barque solaire similaire aux drakkars vikings, ornée de cornes (bélier)
• Chez les Atlantes, le capitaine porte un casque à cornes
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Extrait : En 1991, David O'Connor fait la fantastique découverte de 12 énormes bateaux ancrés dans le désert, le long du mastaba ouest et de l'enceinte du roi Khasekhemwy. Depuis cette date, on trouva deux autres navires, ce qui rallonge la liste à 14 bateaux, soit le nombre sacré d'Osiris. La découverte d'embarcations n'est pas inédite en Égypte, de grandes barques se trouvent à Saqqarah, près des tombes fictives des premiers rois historiques, et aussi dans les cimetières d'Helwan. Ces navires forment généralement des barques funéraires prêtes à embarquer les âmes des souverains pour les aider à traverser l'éternité lors de leur dernier voyage. La grande différence entre les embarcations d'Abydos et les barques funéraires déjà connues, se trouve dans leurs tailles plus imposantes. Leurs proues et leurs poupes démesurées créaient également la grande distinction avec les traditionnels navires funéraires. De plus, les barques d'Abydos ne sont aucunement associées à des rois. En fait, leur utilisation reste, à ce jour, un mystère complet.
Les barques d'Abydos s'étalent sur le sable de façon régulière, les unes à côté des autres le long du mur de l'enceinte du roi Khasekhemwy. David O'Connor note que d'un point de vue stratigraphique, les navires abydiens sont plus anciens que l'enceinte elle-même ; découverte d'ailleurs confirmée lors de la datation des embarcations. Les longueurs des embarcations varient entre 18 et 24 m et chacune d'entre elles se cale dans une tranchée en brique d'une moyenne de 26,25 m de long, revêtue d'une épaisse couche de plâtre et blanchie à la chaux. Quoi que mal conservées et leurs bordages endommagés par les termites, nous savons que les coques, d'une soixantaine de centimètres de profondeur, s'enfilent en mortaise par des cordages tandis que les planches en bois sont tapissées de roseaux. Il s'agit d'une technique totalement inconnue pour les navires égyptiens.
La fabrication de ces embarcations ne relèvent pas de simples maquettes ou de barques fictives puisqu'elles pouvaient naviguer et contenir jusqu'à trente rameurs. Les derniers relevés nous indiquent une datation vers 3000 av. J.-C., ce qui accorde à ces bateaux la place de plus anciens navires au monde retrouvés à ce jour. Pourquoi ces 14 embarcations furent-elles ancrées à Abydos, domaine sacré de Khentamentiu-Osiris, précisément vers -3000, donc à l'époque où la civilisation se réveilla un peu partout, et particulièrement dans l'Ancien Orient ? Le fameux calendrier maya va nous donner la réponse. [...]
• RAM aurait donné son nom au temple RAMesseum de RAMsès II à Thèbes
• Grande Ourse, constellation du Cygne, d’Orion et Sirius chez les Égyptiens
• Grande Ourse et Cygne, des constellations importantes pour les marins et les Hyperboréens
• Orion indique l’époque par rapport à la précession des équinoxes et son arrivée au printemps coïncide avec l’arrivée de RAM et des marins Atlantes (ère du Taureau)
• Sirius = Sirios = l’anagramme d’Osiris et cette étoile signifie l’arrivée des marins Atlantes et d’Osiris au printemps, car comme Apollon, les marins naviguent l’été et rentre pour passer l’hiver en Hyperborée
• rite funéraire en lien avec la barque chez les Vikings et les Égyptiens
• Décomposition d’Osiris qui donne « les Ases qui viennent de la mer »
À 0H52'20" du vidéo : L’effigie du dieu solaire Râ (RAM)
• Le Soleil au-dessus de sa tête = une élévation spirituelle (comme le grand druide) dont la tête d’oiseau en exprime la symbolique
• Chez les Nordiques et les Gaulois, le cygne et corbeau es sont les symboles
• Le pouvoir royal est symbolisé par l’Ours (Arthur, arctique)
• Une rune retrouvée en gravure en Égypte
• Ainsi, RAM serait de la tribu des Eburos Boréens
Oleg de Normandie part du principe que les Hyperboréens auraient civilisés l’Humanité alors que dans les faits, ça origine du Serpent biblique Enki-Ptah-Osiris-Horus avec ses « anges déchus » qui l’aurait fait plus de 10 000 ans avant notre ère. Ainsi, RAM n’est pas Osiris ; Osiris est RAM. Nuance importante. Pour le reste, ça n’enlève rien à la crédibilité de ses liens et de ses interprétations, à l’instar de Deïmian et autres chercheurs indépendants.
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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58
Fil complet:
- Emplacement d'Alésia, village sacré des Celtes-Gaulois - panthère58, 30/05/2022, 13:33
- Emplacement d'Alésia, village sacré des Celtes-Gaulois - F Fernand, 31/05/2022, 13:50
- Alésia et autres liens géométriques et toponymiques - panthère58, 01/06/2022, 13:17
- D'Alésia à GIZEH par Oleg de Normandie - panthère58, 03/06/2022, 18:31
- D'Alésia à GIZEH par Oleg de Normandie - F Fernand, 04/06/2022, 15:22
- Jésus le Galiléen, Gaulois païen / Hiram de Tyr - panthère58, 09/06/2022, 19:34