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L'ÉNIGME SACRÉE / CORPUS DEAE / PRÉSENTATION 4

par panthère58, Monday 09 August 2021, 00:16 (il y a 1230 jours) @ panthère58

:-) L’ÉNIGME SACRÉE / CORPUS DEAE / PRÉSENTATION 4

SUITE AVEC MICHEL DESEILLE SUR LES BASQUES


Lien sur Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=X1A0HCVtpXU
Enseignement ésotérique: Les Basques
42 332 visionnements2 déc. 2015
Deseille Michel

À 1H00’25" du vidéo : La Déesse-Mère basque païenne Mari

. Avec le temps, la Vierge Marie est devenue la patronne du Pays basque
. Plusieurs fêtes du calendrier basque correspondent à celles de Dionysos dans le bassin méditerranéen sauf les vendanges
. On fête aussi beaucoup la Saint-Jean

À 1H05’50" du vidéo : À l’Ouest de la Grèce, l’Atlas, le Jardin des Hespérides, les Colonnes d’Hercule (Détroit de Gibraltar) [Atlantide]

. Dans l’Antiquité, on considérait l’extrême occident comme l’Atlas
. C’est dans l’Atlas que les Grecs fixaient le jardin des Hespérides, pour eux, l’Éden
. Il fut un temps où il n’y avait pas de Colonnes d’Hercule, ni de détroit de Gibraltar, car on marchait à sec jusqu’au Sud de l’Espagne
. Dans la légende, pour effectuer son dixième des douze travaux, Hercule aurait séparé l’Afrique de l’Europe causant une montée des eaux, la Méditerranée rejoignant l’Atlantique

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Lien sur Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=_NZlWUIChs8
Les secrets de la Bible interview Roger Sabbah 2004
69 055 visionnements 1 avr. 2013
DSP56K

À 1H03’51" du vidéo : Moïse, Sargon, Gilgamesh, Horus

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Gilgamesh et Hercule : même combat !
https://www.vincentbeckers-cours-de-tarot.net/gilgamesh-et-hercule

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À partir de la page 84, en référence au quatrain X-27 :

. Les Celtes dénomme Héraklès : Ogmios, apparenté à Hermès Trismégiste vieillard [Thot]
. L’Hercule celte dispose du pouvoir d’attraction par le Verbe
. Ogmios, l’Hercule gaulois de Nostradamus

En page 89 : Ogmios serait donc semblable à Jésus, lors de la Transfiguration.

. Un plausible Ogmios de Nostradamus en question, selon Maurice Poulin, sous forme d’un être de lumière charismatique, aurait été visualisé sous hypnose par Fabien X dans le livre « Ils ont vu l’an 2000 »

En page 93 : « …La grande qualité d’Hercule était l’absence de toute tendance dominatrice, au contraire des autres héros de la mythologie qui cherchaient tous à devenir des monarques et à gouverner le monde… »

Ça évoque Ptah / Osiris / Enki.

Toujours en page 93 : « …Toute sa vie, Hercule eut la conviction absolue qu’il ne pouvait être vaincu par un adversaire, quel qu’il fût, et les faits justifièrent sa confiance. L’issue d’un combat engagé par lui était connue d’avance en toute certitude… rien de ce qui vivait dans l’air, la mer, ou sur terre, ne put jamais le vaincre… »

Ça évoque Horus, le faucon vengeur, la réincarnation, la résurrection de Ptah / Osiris / Enki par Isis.

L’absence de vanité et de tendance dominatrice chez Hercule sont conformes aux injonctions du Christ adressées à quiconque voulait suivre ses Sentiers, comme on peut le constater dans les Évangiles.

En page 96 : La boucle est donc bouclée : Hercule est un nouveau nom à ajouter sur la liste concernant le Grand Monarque.

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© 2013, Deuxième edition, Septembre 2014, Éd. Pahana Books, Anton Parks

En pages 132-133 de son essai : Hérodote prétend en livre IV de ses « Histoires », qu’en direction du Couchant, et par-delà les Colonnes d’Hercule (détroit de Gibraltar), et le mont Atlas, s’étendait une zone habitée par des géants tout-puissants, mais aussi par des dieux. Les Carthaginois soutenaient qu’auprès de ces peuples atlantes se trouvait une île dénommée "Cyranis", remplie d’oliviers, de vignes et de jolies femmes. Ce secteur délimitait la zone navigable attribuée aux humains.

La légende grecque déclare encore qu’Atlas, punie par Zeus pour avoir participé à la lutte qui opposa les immortels en quête de pouvoir, soutenait sur ses épaules la voûte céleste et qu’il vivait dans un domaine situé au pays des Hespérides, aussi appelées "Nymphes du Couchant". Les légendes localisent justement cet endroit vers le couchant, près d’une île nommée "l’île des Bienheureux". Dès le VIIe siècle av. J.-C., l’Odyssée (IV, v. 561-586) d’Homère appelle ce même lieu "Champs-Élysées", qu’il plaçait lui aussi au-delà des Colonnes d’Hercule. Les Égyptiens nommaient ce secteur « Sekhet-Hetep » ou « Sekhet laru », "les Champs des offrandes et des roseaux". Ces champs bordaient le Paradis égyptien, la demeure des dieux…

Selon des versions plus tardives rapportées entre autres par Diodore de Sicile (1er siècle av. J.-C.), dans sa Bibliothèque Universelle (Livre III, chapitre 31), Atlas était le père de sept filles baptisées Atlantides. Aimées des dieux et des demi-dieux, les récits à leur sujet font descendre les anciens héros des sept Atlantides. Dotées d’une brillante intelligence, elles incarnaient la déité aux yeux des hommes, c’est pourquoi on leur attribua une place de choix dans le ciel : les Pléiades.

Au même nombre que les îles des Canaries, les sept filles d’Atlas, assistées par un dragon à cent têtes, veillaient sur le jardin des dieux où poussaient des d’or, symboles d’immortalité. Dans ce décor paradisiaque, auprès de sources jaillissantes qui répandaient l’ambroisie, elles distrayaient les dieux en chantant en chœur.

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Lien : https://www.antonparks.net/ontc-2014
Extrait : Interview Web 2014 d'Anton Parks de « onnouscachetout.com »

Anton Parks : Pour cette nouvelle étude, j'ai repris l'enquête entamée dans LE TESTAMENT DE LA VIERGE et j'ai apporté de nombreux éléments inédits et complémentaires, ayant été aux Canaries depuis la sortie du TESTAMENT.

J'explique dans ce livre par quels effets possibles l'Atlantide encore présente vers 10.000 av. J.-C. s'effondra rapidement sous les flots. Comme je l'ai signalé, je suis d'avis que les Canaries formaient autrefois les cimes des anciennes montagnes du sud de l'archipel atlante. Les Guanches des Canaries ont édifié des complexes pyramidaux sur au moins deux îles différentes. Les pyramides sont alignées sur la marche du soleil. La science n'explique pas d'où leur venait ce savoir en relation avec l'alignement du soleil ni par exemple d'où ils tiraient leur connaissance de la momification.

Les anciens depuis Hérodote jusqu'à Bory de Saint-Vincent qui, en 1803 séjourna plus de six mois aux Canaries et laissa une étude approfondie sur la population de l'archipel, considèrent que les Guanches seraient des survivants des Atlantes, restés sur ces sommets volcaniques après l'effondrement de la dernière île. Cette île, nommée Routa, faisait face à Gibraltar et au Maroc, et serait celle dont parle Platon dans le Critias et le Timée. Le reste de l'Atlantide, composé de plusieurs grosses îles, avait disparu bien des millénaires avant. Cet ensemble formait sans doute, en des temps plus reculés encore, une île volumineuse fragmentée par le temps et les différents bouleversements terrestres et cosmiques.

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Lien : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=134262

Extraits :

Extrait #1. Que dire de la traduction de ces textes ? Ils sont reconnus, d'une part, puisque visibles à qui le souhaite sur les murs du temple d'Edfu (dédié au souverain Horus) et réputés être de la main même du dieu de la Sagesse, Thot.

Les écrits de Thot évoquent la vie en Amenti, les conflits qui opposent les clans des dieux Horus et Seth, les passages de l'Oeil du Son destructeur (Vénus) et les reconstructions qui en découlent ainsi que la marche qui conduira les rescapés de l'archipel mythique vers Abydos, la ville sacrée d'Osiris qui illuminera l'Égypte entière. Ces traductions ne sont pas livrées telles quelles mais encore une fois complétées par des preuves géologiques, anthropologiques, archéologiques et linguistiques qui valident ce scénario historique.

Extrait #3. Platon tirait son histoire de l'Atlantide du récit de son élève Critias, lequel la découvrit dans un manuscrit inédit de son ancêtre Solon, le grand légiste et fondateur de la constitution athénienne. Critias rapportait que la légende avait été ramenée en Grèce après la visite de Solon en Égypte du Nord, et particulièrement à Saïs dans le delta du Nil. Cela se passait entre 593 et 583 avant J.-C.

Platon racontait que le conte traduit de l'égyptien par Solon trouvait son origine dans le langage primitif des Atlantes. Crantor, le premier commentateur de Platon, rapporta que l'histoire de l'Atlantide, version égyptienne, était présentée à ses contemporains grecs par les prêtres égyptiens. Ces derniers affirmaient que la légende était inscrite sur les murs de plusieurs temples, comme celui d'Edfu construit plus tardivement. Si cette information est exacte, il semble bien que seule la version du temple d'Edfu ait survécu dans toute l'Égypte ! Cette dernière est récente de plus de 450 années comparativement aux textes de Platon. Cependant, cette variante d'Edfu est à la fois si différente et si archaïque dans son style, qu'elle semble clairement plus ancienne que la traduction égyptienne hellénisée et romancée par Platon.

« Le Testament de la Vierge », Anton Parks, en pages 98-99 : Dans le contexte funéraire égyptien (cf. Livre des Morts, chapitre 148), les sept Hathor sont plutôt représentées comme sept vaches grasses qui accompagnent le taureau de l’Occident (le roi défunt assimilé à Osiris), vers le soleil couchant, en direction de l’A’amenpteh (l’Atlantide).

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On reprend avec Michel Deseille et sa conférence :

À 1H09’13" du vidéo : On cherche un peuple à l’ouest

. Ça correspondrait aux Açores, Madère, les îles Canaries
. Le géographe grec Claude Ptolémée [100-168] mettait le méridien zéro sur une île des Canaries
. Avec la conquête espagnole au XVe siècle, on note que la population guanche des îles Canaries parle le basque
. Des fouilles archéologiques montrent des grands blonds aux yeux bleus, pas le modèle typique du Basque qui se rapproche du modèle crétois

« Le Testament de la Vierge », Anton Parks, en page 56 : Les différents explorateurs européens (Français, Espagnols, Portugais) trouvèrent sur place des aborigènes de grande taille pour l’époque (1,84 m environ), à la peau claire et plutôt blonds ou roux. Les Guanches se croyaient seuls au monde, convaincus d’être les derniers survivants d’une terrible catastrophe qui avait anéanti l’humanité tout entière, plusieurs millénaires auparavant. Si elle n’a pas été totalement décimée par la conquête espagnole vers 1478, la souche originelle Guanche a été finalement anéantie peu après par une épouvantable épidémie qui fut le fait des envahisseurs et des colons.

. On a aussi trouvé des svastikas sur des structures
. Le peuple guanche momifiait les morts, construisait des pyramides

« Le Testament de la Vierge », Anton Parks, en pages 59-60 : Nous pouvons ajouter que les Guanches des Canaries pratiquaient la déformation crânienne comme en Égypte. Cette coutume millénaire avait pour objectif de ressembler aux dieux. Ils momifiaient également leurs morts à l’instar des Égyptiens…

Autre point surprenant, à Grande Canarie se trouvait une confrérie féminine de recluses, les Harimaguadas, comparables aux célèbres "Vierges du Soleil" du Pérou.

Cette confrérie de prêtresses me rappelle celle de Dendérah, en Égypte, où le culte d’Isis-Hathor était pratiqué.

. Les Basques ne seraient qu’une des colonies atlantes en Méditerranée
. Donc, on doit remonter au Déluge qui aurait détruit l’Atlantide
. Avec les pyramides, on retrouve une géographie sacrée au sol, luni-solaire
. Les dates correspondent au signe du Taureau [Osiris] et on fêtait les Vierges noires [Nephtys]
. Les Basques ont leur croix svastika mais stylisée

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Croix svastika basque

. Le svastika serait le signe de reconnaissance des Atlantes

À 1H26’49" du vidéo : L'Arbre sacré (chêne) de Guernika

Wikipédia : L'Arbre de Gernika (Gernikako Zuhaitza en basque) est un chêne de la ville basque de Gernika qui est l'emblème officiel de Biscaye. Il est surtout connu en tant que symbole des libertés traditionnelles des Biscayens, et par extension des Basques, depuis que les seigneurs de Biscaye, les rois de Castille et d'Espagne puis les lehendakariak (présidents) de la Communauté autonome du Pays basque, y ont prêté serment lors de leur prise de fonction.

Il a été remplacé quatre fois et existe toujours sur le petit promontoire de la ville où se trouve la « Casa de Juntas » (maison des juntes).

. Guernika, la ville sainte, la capitale spirituelle basque

« La Dernière Marche des Dieux », Anton Parks, en page 27 : Abydos était la Jérusalem ou la Mecque de l’antiquité.

Michel Deseille : Très curieux, parce que vous avez une croix dans le feuillage. Et quand on lit, vous vous rappelez la symbolique des arbres, la croix, le bois de la croix, avec le poids d’un arbre, et quand l’arbre est feuillu, c’est la résurrection. Le bois, la croix, c’est le Christ en croix, c’est la mort ; le feuillage fait la résurrection puisque l’arbre reverdit. Donc, c’est un symbole d’immortalité, comme le Pays Basque, toujours agressé, toujours attaqué, martyrisé, revit toujours.

. L’Arbre sacré est sur le blason de Guernika [ville] et de Biscaye [province], avec deux loups qui tiennent un agneau dans leur gueule et un lion, trois symboles solaires
. Le lion régit le Soleil, un symbole de lumière
. Le chêne aussi est un symbole de lumière car c’est l’arbre du printemps, du bélier, de la résurrection
. Loup, dans les langues anciennes, même racine que lumière ; Apollon le Loup

« ÁDAM GENISIŠ », Anton Parks, en pages 480- 483 : Il est indiqué sur la 12e tablette de l’Épopée de Gilgameš que les flots "sur la quille du bateau d’Enki, se déversaient comme une nuée d’oiseaux". Les oiseaux qui encerclent la charpente du bateau nous suggèrent les deux déesses Isis et Nephtys qui se transforment en oiseaux pour escorter la barque divine. La transformation des deux déesses en oiseaux est à mettre en relation avec le renouveau de l’âme et de la lumière, l’oiseau étant le symbole de la résurrection en Égypte. Il représente le Saint-Esprit chez les chrétiens.

L’analogie avec l’univers égyptien se précise dans le texte "Enki au pays des morts" lorsqu’il est dit plus loin que les flots se brisent comme "un loup dévorant" sur la proue du bateau. Le loup nous évoque bien sûr le chien-loup Anubis, l’ouvreur des chemins dont la fonction est de guider le défunt dans l’au-delà.

Christian Jacq nous rapporte que dans la tradition nordique, le loup est un animal noble qui marche au-devant des choses et révèle la puissance aux humains dignes de la recevoir. Doté de la vue la plus perçante qui soit, le loup bénéficie du don de la divination…

Rencontrer le loup, c’est donc rencontrer l’initiateur…

Avant l’instauration du protestantisme, les pays nordiques liaient le loup au Christ, puisque l’animal, comme le fils de l’Homme, portait la lumière en lui…

Au final apparaît dans notre texte un dernier animal fabuleux, lui aussi associé à la barque d’Enki et aux flots universels : le lion. Le lion est fréquemment représenté comme le gardien des portes des temples et des palais. L’iconographie lui attribue le livre ou le rouleau ; il est le Christ-Juge. En ésotérisme, sa tête et sa partie antérieure, sont associées à la nature divine du Christ, alors que la partie postérieure figure plutôt la nature humaine.

Le lion égyptien se confondait avec l’essence du soleil naissant, il participait à ce titre au parcours du défunt dans l’autre monde.

Il est tout-à-fait remarquable de rencontrer dans un texte sumérien, à première vue insignifiant, trois symboles égyptiens en relation avec le transport du corps vers l’au-delà et la résurrection de l’âme.

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15. Les trois symbols de la résurrection de l’âme selon l’imagerie funéraire égyptienne

Complément Surprenant :
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=41730
Extrait : Arthur y est conduit sur une barque par trois sœurs, et la référence aux pommes (aval dans les langues celtiques, Avalon (en gaulois « la pommeraie ») dans le nom d'Avalon rappelle sa dimension d'immortalité.la barque est un symbole très important que nous retrouvons dans toutes les traditions. Son sens est le même d'un point de vue onirique ou spirituel. La barque est le véhicule qu'emprunte l'âme des défunts pour accéder à l'au-delà, pour traverser les eaux qui mènent à l'autre rive. Sa forme n'est pas sans rappeler celle du cercueil ou du sarcophage. La barque est le véhicule obligé pour le passage d'un état à un autre, pour traverser les différentes phases de l'existence. La barque symbolise donc une mort initiatique.

. Guernika voudrait dire « La victoire du cœur » et Dionysos ressuscite grâce à son cœur
. En celte, Kar signifie cœur et nak victoire, Karnak (complexe religieux en Égypte)

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Le blason de Guernika avec l’Arbre et les Loups

À 1H36’12" du vidéo : Le Pays basque est une des principales destinations touristiques

. Le fondateur des Pères Jésuites, Saint-Ignace de Loyola est de la région basque espagnole
. Et c’est sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle

Complément Surprenant :
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=76349

Extrait : FRANÇOIS XAVIER/JÉSUITE

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Saint François Xavier (en espagnol Francisco Javier, en basque Frantzisko Xabierkoa), né Francisco de Jasso y Azpilicueta le 7 avril 1506 à Javier, près de Pampelune en Navarre et décédé le 3 décembre 1552 sur l'île de Sancian, au large de Canton en Chine, est un missionnaire jésuite basque navarrais1. Proche ami d'Ignace de Loyola, il est un des cofondateurs de la Compagnie de Jésus.

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BASQUES, ATLANTIDE, LOUPS, TRADITION PRIMORDIALE

. Michel Deseille évoque de façon récurrente la « tradition primordiale ».
. Il a établi des liens entre les Basques et l’Atlantide.
. Il a aussi établi l’importance du Loup sur le blason de leur capitale spirituelle.
. Avec les racines basques de Guertika, et celtiques, il a fait un lien avec Karnak en Égypte.
. Le Loup occupe une place importante en Atlantide et en Égypte, et chez Anton et Hanael Parks.

J’ai fait un parallèle entre les Parks, leur Loup et la télésérie « Game of Thrones » / « Le Trône de Fer ».
Voir lien : https://orandia.com/forum/index.php?id=156562

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Anton Parks
Éditions Nouvelle Terre, 2009

En page 52 : C’est sous le nom de Khentamentiu ("le Premier des Occidentaux"), qu’apparaît le dieu d’Abydos. Ce surnom sera associé à Osiris au fil des âges, mais je pense qu’avant d’être mis en rapport avec Osiris, ce terme désignait le clan osirien venu de l’Ouest actuel. [Atlas / Westeros / Hespérie / Kébek] Le symbole de ce clan est le chien ou le loup, image de l’ouvreur de chemin : définition parfaite pour désigner le clan osirien qui a été le premier formé de Shemsu de l’Ouest à s’établir en Égypte. Le loup est par ailleurs l’emblème du domaine d’Abydos. Il est ainsi envisageable que le lieu d’origine de ce clan (l’Atlantide) était peuplé de chiens et de loups. Les Shemsu (suivants) d’Osiris portent le masque du loup et ceux d’Horus l’Aîné (Râ), celui du faucon. Les deux clans sont frères et possèdent la même origine.

En page 55 : En face du Maroc se trouvent les sept îles Canaries, vestiges probables de l'antique Atlantide. Plusieurs détails importants m'obligent à conforter cette hypothèse.

En page 56 : Les îles Canaries ne tirent pas leur nom de leur petit oiseau jaune, le canari, mais sans doute du latin Canariae Insulae ("îles aux chiens"). Ce nom fait référence aux "chiens sauvages" (canes) que les premiers explorateurs ont découverts sur la plupart des îles de l'archipel, lesquelles sont, comme nous l'avons indiqué, au nombre de sept. Or, les suivants d'Osiris portent le signe du chien ou du loup en Égypte. Nous savons qu'ils sont regardés comme provenant de l'A'amenptah, qui est sûrement l'antique Atlantide.

En page 58 : L’autre déclinaison du terme guanche, « Ua-Shenit », "détaché ou écarté de la déesse vache", me laisse songeur, car la vache est le symbole personnel d’Isis en tant que déesse Hathor. Mais les cornes de vache sont également l’emblème de la colonie osirienne débarquée à Abydos.

En page 105 : À cette époque lointaine, le clan d’Asar (Osiris) portait sans doute le nom de « Khentamentiu », "le Premier des Occidentaux", c’est-à-dire le premier clan venu de l’occident, à savoir l’Atlantide. Il était représenté sous la forme d’un loup, figure mystique ensuite rattachée à Osiris lui-même. Pourquoi ce loup ? Simplement parce que ce mot se prononce « Sab » en égyptien, et que son homophone « Sab », constitué par le hiéroglyphe du loup couché, veut dire "juge", "chef" et "maître", attributs qui collent parfaitement au clan osirien et à son maître Osiris.

En page 106 : En hébreu, le loup se dit Ze’eb. […] Or, le ZÉ’EB Emesal exprime le fait d’être "beau", "favorable" et aussi l’"eau fraîche", encore des épithètes qui collent parfaitement avec Enki-Osiris, le dieu de l’eau. [Poséidon, Neptune, Dionysos]

En page 108 : Le peuple d’Eridu, celui d’Enki, avait montré une direction à suivre que les Sumériens et Akkadiens ont reprise en annonçant spontanément que la tradition primordiale provenait justement d’Eridu.

En page 272 : Nous avons vu au début de cet ouvrage qu’il existait deux groupes « Shemsu » : l’un venu de l’Ouest – ceux d’Osiris portant un masque de chien – et provenant de l’Atlantide…

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« La Dernière Marche des Dieux », Anton Parks, en page 29 : Autrefois, les anciens Égyptiens nommaient Osiris, et sans doute son clan : « Khentamentiu » ("le premier des Occidentaux" ou "à la tête des Occidentaux"). Ce nom leur fut donné dans la préhistoire afin de les désigner comme étant le ou les premier(s) venu(s) de l’Ouest. En effet, Osiris présidait l’Occident, c’est-à-dire, l’Ouest géographique. Après son trépas et celui de sa dynastie, la direction de l’Ouest fut systématiquement associée aux morts.

« La Dernière Marche des Dieux », Anton Parks, en page 34 : D’après les textes des Pyramides et le Livre des Morts égyptiens, la mort d’Osiris coïncide avec un autre événement très important : l’abandon du "Premier Pays" des dieux… L’ancien pays, "le Premier Pays", s’était écroulé comme la mythique Atlantide des philosophes grecs. L’exode des rives de l’Atlantique vers le Nil s’effectua en petits groupes…

« La Dernière Marche des Dieux », Anton Parks, en page 35 : L’une d’entre elles, la voie terrestre qui part des Monts Atlas du Maroc (colonnes d’Hercule), aboutit vers les environs de Thèbe en Égypte. Cette route antique du Nord de l’Afrique, connue des anciens, reprend approximativement une voie de communication très importante de l’époque préhistorique. Il s’agit de la piste des grands nomades chameliers – "la voie des morts" – qu’auraient empruntée les Suivants d’Osiris et Horus l’ancien après la destruction de leur île mythique.

« La Dernière Marche des Dieux », Anton Parks, en page 36 : Également dénommée "voie royale" par les Berbères et les nomades, cette piste préhistorique s’illustre d’art rupestre de même type d’un bout à l’autre du trajet et des anciens oueds. Ces dessins sont datés du début de l’Holocène (vers 10.000 ans av. J.-C.). Dans les gravures des oueds (par ex. : Issanghaten, Tekniewen, Isser, Alamas, Ti’n-Einessnis, Erahar, Takabart, I’n-Habeter…) apparaissent régulièrement des hommes à tête de chien ou de loup rappelant les Suivants d’Osiris tels ceux gravés dans les temples égyptiens.

« La Dernière Marche des Dieux », Anton Parks, en page 37 : Après son voyage extraordinaire à travers le désert jusqu’à Abydos, Marcelle Weissen-Szumlanska publia un ouvrage mythique dénommé « Origines atlantiques des anciens Égyptiens ». Dans cette étude très documentée et tirée à seulement quelques centaines d’exemplaires, elle démontre l’origine canarienne des rescapés du clan Osiris et l’importance d’Abydos.

« La Dernière Marche des Dieux », Anton Parks, en page 39 : Les informations que l’anthropologue Marcelle Weissen-Szumlanska découvrit de son côté et qu’Albert Slosman comprit à son tour d’une toute autre façon, confirment que les rescapés des îles atlantiques des Canaries abordèrent les côtes du Maroc après la catastrophe. Ensuite, ils se lancèrent dans une longue marche boueuse vers l’Égypte [Exode...], à travers les grandes étendues et les canyons du Sahara, autrefois verdoyants.

« La Dernière Marche des Dieux », Anton Parks, en page 112 : Dans les chapitres 2 et 3 de la deuxième partie de mon essai intitulé « Le Testament de la Vierge », j’explique que les Guanches de îles Canaries étaient, selon moi, des rescapés du domaine de l’A’amenptah / Amenti des dieux égyptiens. J’aboutis à cette conclusion en décomposant phonétiquement plusieurs mots Guanches et en les transposant en égyptien ancien. Cette méthode me permit de confirmer les conclusions de plusieurs linguistes : le langage Guanche se range dans la famille des langues chamito-sémitiques aux côtés du berbère et de l’égyptien ancien.

« La Dernière Marche des Dieux », Anton Parks, en page 130 : L’archipel des Canaries se situe dans l’océan atlantique au nord-ouest du Sahara. Son nom provient sans doute du latin « Canariae Insulae », "l’île aux chiens".

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Anton Parks, Éditions Nouvelle Terre, 2010

Salle 805 du Club CRÉÉE : L’initiation vécue par Anubis Shénouda dans la chambre de la Grande Pyramide est pratiquement identique à celle évoquée par Anton Parks dans son récit du tome 3 des Chroniques du Girku, soit Le Réveil du Phénix.

Horus peine à croire qu’il est la réincarnation d’Osiris. Pour se prouver, il fait un genre de voyage astral provoqué dans la Grande Pyramide pour aller à la rencontre de l’esprit d’Osiris, au-delà de l’Horizon des Évènements.

p.221 : Sabu (Anubis) posait un regard bienveillant sur ma personne. Ses deux prêtres qui nous accompagnaient, ne m’inspiraient aucune sympathie et je tentais de les effacer de mon esprit. Ils m’avaient presque mené de force au cœur de Bit-Râ-Hem (la Grande Pyramide) sans m’adresser la parole. Nous étions dans les profondeurs de notre Mer (pyramide), dans le Shetat ("chambre du roi"). C’était le grand jour. Sabu me fit allonger dans le lit d’Asar. Derrière le sarcophage se trouvait son couvercle, mais celui-ci ne semblait pas destiné au voyage que j’allais réaliser. J’étais enfin prêt à connaître la vérité sur mon père et sur moi. Sabu m’avait convaincu de franchir la porte de l’horizon des événements malgré l’interdiction formelle de notre mère.

pp.223-224 : Un bourdonnement étrange emplit la chambre. Le plafond se fait transparent au-dessus de moi : les différents compartiments des pièces à compensation forment comme une ruche gigantesque, des milliers d’abeilles battent des ailes sans relâche. Le bourdonnement se fait de plus en plus intense et se transforme en pulsation régulière.

p.227 : Je sais depuis mon plus jeune âge que l’abeille est notre symbole royal par excellence et qu’il provient de mon père. Nombre d’entre nous prétendent qu’Asar possédait une colonie importante de ces insectes dont il s’était occupé pendant de nombreuses années, jusqu’à ce qu’il trépasse. Il en avait en A’amenptha (Atlantide) et en Kemet (Égypte). Mais nous avions perdu leur trace. C’est ma mère qui m’avait parlé de ces abeilles au cours de mon enfance. Elle m’avait raconté que le passage du Benu Céleste (le Phénix) avait fait monter les eaux un peu partout sur Uraš (la Terre). Les survivants de l’A’amenptha avaient suivi les abeilles d’Asar vers Kemet, alors que le sol était recouvert de boue et de cadavres de tout genre. Les souterrains qui reliaient autrefois l’A’amenptha à Kalam (l’Afrique) s’étaient effondrés.

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De même, le « CHIEN » occupe aussi une place de choix dans l’essai de Maurice Poulin.

En page 107 : …l’étoile Sirios, ou Sothis, pour les Égyptiens, qui est l’étoile la plus brillante des cieux. Sothis présida à la Création du monde, selon les Égyptiens, en qui ils voyaient également « l’âme d’Isis », ou Isis en personne…

« ÁDAM GENISIŠ », Anton Parks, en page 335 : Wallis Budge, dans son "A Hierogliphic Vocabulary to the Book of the Dead" (Dover editions, p.343-44) relève des homophones du terme Sepdj (Sirius) qui incarne la déesse Isis.

En page 108 : Rappelons-le, Nostradamus puise largement dans la tradition égyptienne

L’étoile Sirios nous permet également d’éclaircir (c’est le cas de le dire) un passage obscur de l’épître adressée à Henry Second, où le Grand Monarque est appelé « le grand chien » ; or, Sirios est justement l’étoile principale de la constellation du Grand Chien.

Note de bas de page 21 : Depuis une extraordinaire expérience vécue le 18 novembre 1990, je préfère l’orthographe « Sirios » à l’usuel « Sirius ».

. Et pour l’anecdote, mon signe chinois est le Chien (1958) comme Kiwan pour Richard Glenn et Donald J. Trump (1946)

En page 109 : Sirios nous permettra encore de comprendre le « rond » du sixain 4, annonçant la naissance du grand Prince, futur Grand Monarque ; à partir du latin « rota » (roue) qui signifie, ésotériquement, « l’étoile du matin », nous serons en mesure de retourner au cœur de l’Apocalypse. En effet, « l’étoile du matin » (II, 28) y est « la souche et la race de David, l’astre brillant » (XXII, 16), dont Jésus lui-même se réclame, dans ce même passage.

Lien : http://www.bible-en-ligne.net/bible,66N-22,apocalypse.php
Extrait : 22:13 Je suis l'alpha et l'oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin…

22:16 Moi, Jésus, j'ai envoyé mon ange pour vous attester ces choses dans les Églises. Je suis le rejeton et la postérité de David, l'étoile brillante du matin.

Contrairement à ce que croient grand nombre d’ésotéristes, il n’y a pas là d’allusion à le planète Vénus, mais bien à Sirios.

« ÁDAM GENISIŠ », Anton Parks, en page 317 : Par la même occasion, il sera confirmé, grâce à divers textes anciens que Vénus, en tant qu’Étoile du Matin (ou autres appellations que lui accordaient les anciens), fut un astre errant avant de se positionner à la place qu’elle occupe actuellement dans le système solaire. [Dr. Immanuel Velikovsky, "Mondes en collision"]

« Le Testament de la Vierge », Anton Parks, en pages 209-210 : Le Phénix symbolise l’inondation, celle qui sera plus tard [v]énérée comme salutaire pour la survie du pays. Ce point est tout de même étonnant. Sur les calendriers comme celui du plafond astronomique du temple jubilaire de Ramsès II – appelé "temple des millions d’années" – le Phénix apparaît fin décembre et non en juillet, lorsque l’étoile Sirius se lève pour marquer le début de la saison de l’inondation. Pourquoi un tel écart puisque le Phénix symbolise justement l’inondation ? La réponse est simple : le Phénix apparaît sur les calendriers fin décembre parce qu’il marque non pas l’inondation annuelle, mais la naissance de l’étoile Vénus et donc d’Horus. Les passages cycliques de Vénus, tant redoutés par les anciens "dieux", engendraient précisément de longues périodes d’inondations. Cette idée est restée fortement ancrée dans l’esprit des anciens Égyptiens, c’est pourquoi le Phénix-Vénus est resté le maître de l’inondation.

En page 113 : Passages à toutes fins utiles identiques, qui concernent respectivement un « fils d’homme » et « Celui qui monte le cheval blanc ». Ceci, en relation avec la notion de maître spirituel et instructeur de l’humanité assignée au Phénix oriental, Garuda, peut être figuré de façon très poétique par les jolies paroles qui vont suivre, venant de l’auteur-compositeur-interprète québécois d’avant-garde, Raoul Duguay :

« … J’entends dans ton regard la voix de la Lumière… »

Dans cette perspective, ce n’est certes pas un hasard que Sirios donne l’anagramme Osiris

En page 114 : Et pendant que nous y sommes, les deux grandes qualités du Chien ne sont-elles pas celles de « Celui qui monte le cheval blanc » : Fidèle et Véridique ?

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L’ÉTOILE DU MATIN (évoquée par Maurice Poulin)

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Section Archives et Décodages

En page 318 : La 3e partie de ce dossier établira qu’Enki et Osiris ne formaient qu’un seul et même personnage. Cette démonstration nous concèdera la possibilité d’authentifier les filiations amphibiennes d’Enki-Osiris (Sa’am) ainsi que sa consanguinité avec les planificateurs Abgal provenant de Sirius. Ces mêmes planificateurs étant considérés comme des KIR-IŠ-TI, terme en rapport avec le mot "Christ". Tous ces faits réunis, nous rapprocherons alors les Kirišti du Christ et de l’Étoile du Matin qui symbolise distinctement ce dernier dans des passages hermétiques de la Bible. Ceci nous permettra de commenter le sens des différentes croix que nous trouvons à travers le monde. Pour finir cette partie, nous explorerons la tradition des Dogons qui retrace la mort du Nommo, le "Christ" du Mali. En conséquence de ce sacrifice, l’univers entier fut bouleversé ainsi que le positionnement des étoiles. Cette étude nous donnera l’occasion d’assimiler pour la première fois le Nommo céleste sacrifié à un astre dont la destruction provoqua la naissance de la planète Vénus.

En page 319 : Horus le vengeur, le fils posthume d’Osiris, représente l’Étoile du Matin. Nous relèverons que les divers pharaons (images d’Horus) symbolisent tous Vénus.

En page 330 : Même si ces hymnes sont retirés de leur contexte, il apparaît clairement qu’Agni était un astre du ciel avant de symboliser le feu et le sacrifice. D’ailleurs les Vedas ne nous cachent pas sa double personnalité, à la fois terrestre et céleste. Certains éléments nous laissent penser qu’il pourrait s’agir d’une forme védique de Lucifer (Vénus).

En page 333 : Les analogies ne s’arrêtent pas là. Plusieurs passages du Rig-Veda associent clairement Agni à l’Horus égyptien. [Extraits du Rig-Veda] Nous savons qu’Agni a pour père "le maître du sacrifice" alors qu’Osiris est lui-même le grand sacrifié. Nous apprenons ici qu’Agni possède deux mères, tout comme Horus (Heru).

En page 336 : Le rituel de résurrection ne peut s’effectuer sans l’appui précieux de l’Étoile du Matin (Vénus). Le chapitre 13 du Livre des Morts égyptien rapproche nettement l’Étoile du Matin du phénix... En effet, l’Étoile du Matin guide Pharaon, mais il est lui-même cette étoile qui monte et descend dans le ciel.

En pages 336-337 : En fait, les divers textes funéraires égyptiens dénomment essentiellement Vénus de deux façons : "Neter Duau" en tant qu’Étoile du Matin et "Benu" (le phénix) en tant qu’Étoile du Soir. Si on se réfère à l’extrait du chapitre 13, ceci sous-entend donc que Vénus en qualité d’Étoile du Matin est symbolisée par un faucon, et en tant qu’Étoile du Soir par un phénix. Tous les deux représentent le roi défunt, image d’Heru (Horus).

En page 338 : Les Purânas indiquent que le père terrestre de Vénus œuvrait pour l’humanité et qu’il était en relation avec les prêtres et les agriculteurs. N’était-ce pas les fonctions principales d’Enki en Mésopotamie et d’Osiris en Égypte ? Le Mahâbhârata indique que Jamadagni, le père terrestre de Vénus, fut assassiné par un roi et ses fils appartenant à une caste guerrière. Nous savons qu’Osiris (Enki) fut assassiné par Seth (Enlil) et ses partenaires orgueilleux (les guerriers Anunna).

En page 345 Fig.4 : Dans l’inscription archaïque sumérienne (à gauche), [Fig.4] on retrouve le signe de la croix, symbole des KIR-IŠ-TI, litt. "fils ardent de la vie" ou "poisson des étoiles et de la vie" qui sera repris par l’église chrétienne comme symbole de Jésus le Christ (voir plus loin la partie intitulée "Sous le signe de la croix"). Le signe de la croix est bien antérieur au christianisme et se retrouve sur bon nombre de monuments antiques, particulièrement sur ceux d’Amérique centrale, où il est identifié comme étant "la croix de Quetzalcoatl". Ce même Quetzalcoatl étant assimilé à l’Étoile du Matin et au Christ de la culture précolombienne. Nous verrons plus loin qu’il s’agit d’un double d’Heru (Horus).

En page 349 Fig.9 : Nous n’avons aucun mal à assimiler le poisson Abdju à un Horus symbolique ou plutôt un Osiris réincarné, alors que la contrepartie sumérienne d’Osiris est Enki qui possède lui-même le poisson comme symbole. Ce poisson qui précède la barque solaire évoque évidemment la planète Vénus qui devance aujourd’hui la course du soleil (Râ). Nous savons que le poisson figure également Sirius, l’autre astre sacré des Égyptiens, qui est le lieu où vivent les planificateurs amphibiens.

En page 399 : Chez les Égyptiens Neberu (Neb-Heru = le seigneur Horus), fils du maître de la royauté (Mulge = Osiris/Seker), succède à son père, il prend la royauté et porte le flambeau en se transformant en Vénus, le porteur de lumière, à savoir Lucifer chez les judéo-chrétiens. […] Les textes funéraires égyptiens sont explicites quant à l’assimilation d’Horus ou de ses suivants (les rois d’Égypte) à la planète Vénus.

En page 410 : Comme le souligne l’Évangile selon Philippe (Nag-Hammadi NH2, 15) : "Jésus est un nom caché, Christ est un nom révélé." Chaque Kirišti possédait manifestement un nom occulte. Avec un peu de perspicacité, nous n’aurons aucun mal à identifier le nom occulte d’Horus comme étant NEB-HERU "le Seigneur Horus", nom désignant le "Christ" égyptien qui personnifie à la fois le défunt roi et l’Étoile du Matin, c’est-à-dire le nouveau soleil…

En page 436 : La majorité des Gnostiques et occultistes considèrent Lucifer comme le Libérateur, celui qui a libéré l’humanité des chaînes de l’esclavage et de l’ignorance créées par le faux dieu qui gouverne ce monde malfaisant. Nous verrons dans le troisième volume des "Chroniques du Ǧírkù" que ce rôle incombera à Horus (Quetzalcoatl), le vengeur de son père, dont le but sera de récupérer le trône de son géniteur et de "sauver" l’humanité de l’oppression patriarcale des faux "dieux".

Lien complément Surprenant : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67146
Extrait :

LUCIFER EST UN TITRE DU CHRIST
SOURCE
[image]

Il ne faut pas trop s'inquiéter avec Lucifer ! Si on passe outre les contresens modernes autour de ce nom, si on met à la corbeille ce que les évangéliques disent, ainsi que les récupérations du New Age et des mouvements aux prétentions occultes, ésotéristes, néo-païennes, lucifériennes et sataniques, il ne reste qu'une seule chose : Un titre du Christ !

Lucifer est en effet un des plus anciens titres du Christ qui a été perverti.!

En effet, j'ai souvent expliqué ça à plusieurs personnes. Dans la littérature chrétienne ancienne, avant le quatrième siècle, ainsi que dans le Nouveau Testament, Lucifer est un titre du Christ comme dans 2 Pierre 1.19 (“phosphoros” en grec et “Lucifer” dans toutes les traductions latines pré-vulgate et Vulgate, traduit la plupart du temps en français par “étoile du matin”). Pierre écrit donc qu'il espère que Lucifer se lève dans le cœur de ses lecteurs! Ainsi, “Lucifer”, l'étoile du matin, celle qui s'illumine la première, représente symboliquement le Christ (tu as ça aussi dans l'Apocalypse à deux reprises en 2.28 et 22.16.) En 2.28, l'étoile du matin est donnée en récompense à celui qui a vaincu! En 22.16,
Jésus s'attribue à lui-même ce titre.

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Lien vidéo sur Dailymotion : http://www.dailymotion.com/video/xvwkd7

Avec comme invités : Robert Domingue, Robert Saint-Onge, François Payotte, et bien sûr, l’animateur Richard Glenn.

À 08:04 : L’Atlantide

RG : Là, j’en arrive avec une question fort intéressante pour tout le monde qui aime l’insolite, l’Égypte, est-ce que ce serait issue de ce que l’on a appelé l’Atlantide ?

RSO : Bien, selon les textes, selon les traductions de certains textes, oui. C’est directement issue de l’Atlantide. […] Mais si on prend l’hypothèse fondamentale, c’est que l’Atlantide se serait scindée en deux parties. [Un peu de chaque partie s’est [retrouvée] en Égypte, les fils de Bélial, les fils de la loi de Un. Mais la plus grosse partie des fils de Bélial se serait [retrouvée] ici en Amérique centrale. Et l’autre partie des fils de loi de l’UN [s’est retrouvée] en Égypte. De là est arrivée la civilisation égyptienne.

Richard Glenn fait un lien entre la Basse et la Haute Égypte et le Bas et le Haut Canada. L’expression « passage étroit » du Kebek se retrouve dans l’étymologie hébraïque ancienne pour parler de l’Égypte, le passage emprunté pour évacuer l’Atlantide vers l’Égypte. Dans le livre La Dernière Marche des Dieux, selon Hérodote, il serait question d’une route terrestre, parmi plusieurs possibilités, qui partirait des Monts Atlas du Maroc pour se rendre à Thèbes en Égypte.

À 10 :35 du vidéo : Le nom de l’Égypte

RSO : Tu me ramènes au nom justement, parce que si on prend le nom égyptien hiéroglyphique de l’Égypte c’est… veut dire « le cœur ressuscité de Dieu », Ptah étant Dieu. Alors que, on est en [droit] de se demander [d’où origine] le cœur unique, le cœur original. C’est A’amenptah qui veut dire le « cœur original, le cœur, le fils unique du Père ». Et A’amenptah a été [traduit] en grec [par] « Atlantide ». Juste au niveau de l’étymologie, le nom d’« Égypte » qui nous dit que le « cœur ressuscité de Dieu » qui… L’Égypte aurait apparue telle une colline primordiale. Et [de] là vient toute la signification des pyramides. Parce qu’on aurait vu resurgir une terre comme une colline, comme une pyramide avec les rayons du soleil qui faisaient une pyramide au-dessus. Et [de] là toute la signification des pyramides, en dehors de la notion énergétique des pyramides, toute la question symbolique des pyramides. Et c’est pour ça que les pyramides sont devenues [les] derniers temples initiatiques qu’il y avait là-bas. La dernière étape que l’initié passait, c’était à travers la barre, le double dans la pyramide.

FIN DE LA PRÉSENTATION

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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58

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