Pour moi, c'est une PREMIÈRE, DU JAMAIS VU

C'est à l'image du clivage croissant de l'Humanité : une augmentation de l'émotion et de l'intensité des idéologies et des théories dans un sens ou dans l'autre. Et donc ici en particulier, nous voyons une augmentation de la haine de Trump par le côté démocrate, mais une augmentation de l'amour ou de l'affection pour Trump du côté républicain. Les indécis qui flottent encore entre les deux seront tôt ou tard emportés par le courant, du côté droit ou du côté gauche. De moins en moins de monde pourra tenir en équilibre au sommet du pic de plus en plus aigu qui sépare les deux.

Je ne parlerais pas des démocrates comme tel mais plutôt du Parti Démocrate, de mondialistes, de médias de masse et de Big Tech avec BLM et Antifas, soit l'État profond avec tous ses commettants, des artistes et vedettes compromises.

Car il y a plusieurs démocrates qui ne se reconnaissent plus dans ce Parti aujourd'hui, dans cette flanbée de violence, d'intimidation, d'agressivité dont beaucoup de Noirs. Dans un Parti qui a vendu les États-Unis à la pièce en faveur de la Chine, comme au Canada. L'état du Michigan en est un bon exemple. Trump a pratiquement réalisé ce que Michael Moore revendiquait depuis des années pour cet état démocrate.

Et je dirais que les républicains d'aujourd'hui sont devenus les démocrates d'hier avec une réelle ouverture pour les homosexuels, pour les Noirs et les Hispaniques. Disons-le, Trump incarne JFK mais avec plus de mordant.

Et le Parti Démocrate accuse faussement Trump de tous ce qu'eux commettent.

Moi, tout ce que j'espère, c'est que Trump ne trahisse pas la confiance et l'amour du peuple américain dans un éventuel deuxième mandat. Parce qu'il représente la seule alternative à la folie qui déferle présentement sur la planète.

Effectivement. La précision est utile.

Et à notre époque d'inversion, il n'est pas étonnant de voir celle-ci dans la permutation des rôles, en grande partie, entre Républicains et Démocrates (au niveau des partis). Il n'est pas étonnant non plus de voir ces derniers tomber systématiquement dans l'inversion accusatoire.

Mais je dois avouer que c'est aussi dans l'optique de la perception que l'on a, que j'aie, des Démocrates ou des Républicains à ce moment précis. Perception colorée par le Président élu ou le candidat à la présidence. Donc, il y a eu variation au fil du temps de cette perception, et au fil des présidents et candidats. Les Bush n'avaient rien à voir avec Abraham Lincoln. Comme les Boisclair, Marois, Péladeau n'avaient rien à voir avec René Lévesque. Mais chacun a coloré notre perception des Péquistes, dont j'étais mais je ne suis plus.

D'ailleurs, c'est sous Bernard Landry, le Parti le plus souverainiste du Québec, qu'au tout début des années 2000, on a "vendu" la souveraineté québécoise en matière de Santé publique à l'OMS par l'entremise des pouvoirs accordés au Directeur de la Santé publique du Québec. Tous les ingrédients pour produire une dictature sanitaire. On voit les résultats aujourd'hui. Et Legault faisait partie de ce Gouvernement !

P.-E. Trudeau a lui vendu la souveraineté monétaire et son fils adoptif, Justin Castro-Sinclair, la souveraineté de nos frontières en matière d'immigration avec le Pacte de Marrakech. À la pièce, tranquillement, mine de rien. Et un beau jour, on se retrouve pris dans l'engrenage de l'Agenda 2030 de l'ONU dans un monde orwellien.

Tout ça pour dire que tout n'est pas blanc ou noir, lorsque j'écris ou partage de l'info. On ne peut pas tout nuancer ou tout répéter à chaque fois pour contextualiser. Donc, on y va de généralités habituellement acceptées par une majorité au moment où on le fait. Et on espère que les récepteurs aient aussi un minimum de suivi de l'actualité américaine (ou autres sujets abordés) pour faire la part des choses. Sinon, ça fait du bruit dans la communication et ça débouche sur un échange improductif et voué à l'échec.

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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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