Ron Paul : Mensonge des médias sur la "2ème vague"

par Minimalist, mercredi 01 juillet 2020, 12:27 (il y a 1541 jours)

Aux États-Unis, Ron Paul, lui-même médecin, a brisé le silence pour dénoncer la campagne de peur entourant la 2ème vague du coronavirus qui selon les autorités et les médias courants serait ''inévitable''.

Pourtant, nous savons maintenant, selon les données les plus fiables, que le coronavirus est à peine plus mortel que la grippe saisonnière, soit un taux de mortalité aussi bas que 0.1% ou 0.2%. Initialement l'OMS avait déclenché la panique mondiale en affirmant que le taux de mortalité était de 3% ou 4%, soit de 30 à 40 fois plus virulent et mortel.

Voilà pourquoi maintenant les médias se concentrent sur le nombre d'infectés (nombre de cas), et ce jusqu'à ce que le vaccin salvateur vienne délivrer la planète entière(!).

C'est là qu'il faut discerner la propagande: les médias oublient de mentionner que la très grande majorité des personnes infectées aura très peu ou pas de symptômes, à moins de faire partie des groupes très vulnérables (ex: être âgé de 75 ans et plus et être déjà très affaibli ou malade) et que les risques de mortalité sont faibles (guère plus risqué que de mourir en conduisant une voiture ou en attrapant une grippe un peu sévère). De plus, l'OMS a elle-même officiellement affirmé que les ''infectés'' non-symptomatiques ont très peu de chances de propager le virus, avant de subitement rétropédaler suite aux protestations des 'experts' qui entretiennent la campagne de peur et qui rêvent de vacciner de force la population de la planète entière, rien de moins.

''Comme je l'ai toujours dit, si vous subventionnez quelque chose, vous en aurez automatiquement plus.'', Ron Paul

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Ron Paul : Les médias mentent sur la "deuxième vague" de coronavirus

Ron Paul
Source : Ron Paul Institute
29 juin 2020

Pendant des mois, le Washington Post et les autres grands médias ont tenu un "décompte du nombre de morts" de Covid-19 en première page et en primeur dans leurs bulletins d'information. L'épidémie de coronavirus n'avait d'égal que le nombre de morts. Le récit était destiné à stimuler des gouverneurs comme Cuomo à New York et Whitmer dans le Michigan, qui ont rendu leurs États autoritaires en se basant sur la fausse idée que la destruction des emplois, des libertés et des vies des gens empêcherait en quelque sorte un virus de faire ce que les virus font toujours : se propager dans une population jusqu'à ce qu'ils finissent par perdre leurs forces et s'éteindre.

Le "nombre de morts" a toujours fait la une des journaux.

Mais tout à coup, au début du mois de juin, les grands médias ont changé leur discours, comme dans un roman de George Orwell et nous ont fait la leçon en nous disant que tout est une question de "nombre de cas" (Ndt: nombre de personnes infectées) et que cela a toujours été ainsi. Le nombre de décès, et surtout le taux de mortalité lié aux infections, n'étaient plus aussi pertinents. Pourquoi ? Parce que depuis le pic d'avril, le nombre de décès avait chuté de 90 % et continuait de s'effondrer. Ce n'était pas assez terrifiant. Alors les médias ont prétendu que cette bonne nouvelle n'existait tout simplement pas.

Avec l'augmentation massive du nombre de tests, le nombre de "cas" a augmenté. Ce n'est pourtant pas sorcier : plus vous testez de personnes, plus vous découvrez des "cas".

Malheureusement, nos médias traditionnels ne s'intéressent qu'à la "ligne de parti". Ainsi, la bonne nouvelle, c’est-à-dire la découverte que des millions d'autres personnes ont été exposées au virus alors que le taux de mortalité continue de baisser - ce qui signifie que le virus s'affaiblit - est enterrée sous de faux rapports hystériques sur les "nouveaux cas" de coronavirus.

Malheureusement, de nombreux gouverneurs, y compris le nôtre ici au Texas, sont incapables de résister aux mensonges sans fin des grands médias. Ils font revivre aux Américains le cauchemar des fermetures forcées d'entreprises, des masques faciaux obligatoires et des restrictions des libertés constitutionnelles fondées sur une propagande mensongère.

Au Texas, la propagande de la "deuxième vague" est devenue si forte que les dirigeants des quatre principaux hôpitaux de Houston ont adopté une mesure extraordinaire la semaine dernière. Ils ont organisé une conférence de presse commune pour clarifier les rumeurs effrayantes et fausses au sujet des hôpitaux de Houston qui seraient submergés de cas de Covid. Le Dr Marc Boom de Houston Methodist a affirmé que les informations sur l’achalandage des hôpitaux sont trompeuses. Il a déclaré : "Très franchement, nous sommes préoccupés par le fait que le un niveau d'alarme dans la communauté est injustifié en ce moment".
En fait, de nombreux rapports indiquent que le "pic" du nombre de cas au Texas n'est pas dû à une résurgence du virus mais à la pratique des hôpitaux qui consiste à tester chaque patient pour la Covid, peu importe la raison de sa visite. Si le résultat du test est positif, cela compte automatiquement comme une "hospitalisation à cause du covid". Pourquoi les hôpitaux seraient-ils si malhonnêtes dans leurs diagnostics ? Des milliards de dollars fédéraux sont alloués aux établissements sur la base du nombre de "cas covid" qu'ils peuvent produire. Comme je l'ai toujours dit, si vous subventionnez quelque chose, vous en aurez automatiquement plus. Et c'est pourquoi nous obtenons un nombre plus élevé de cas de Covidose.

Revenons aux mesures initiales utilisées pour effrayer les Américains et les inciter à renoncer à leurs libertés constitutionnelles : le nombre de décès quotidien. Même si nous savons que les hôpitaux ont faussement attribué d'innombrables décès au "Covid-19", qui en fait étaient des décès AVEC le virus au lieu de l'être PAR celui-ci, nous constatons que le nombre réel de décès est en baisse constante depuis un mois et demi. La baisse des décès liés au coronavirus n'est pas un moyen efficace de propagande pour alerter sur la "deuxième vague", c'est pourquoi les médias et les politiciens ont déplacé les objectifs et décidé que seuls le ‘’nombre de cas" (Ndt: nombre de personnes infectées) est devenu importants. Et voilà un autre gros mensonge.

Résistez à la propagande et défendez votre liberté. C'est la seule façon de s'en sortir.

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