COMPLÉMENT SURPRENANT #18 - Partie 2-
Le cerveau humain se divise en deux lobes qui sont de moins en moins en mode bicaméral (Séparés).
Lobe droit (INTUITION - Entendre la voix des dieux)
Lobe gauche (RAISON - Action dans la matière)
Selon Jaynes la CONSCIENCE émerge avec l'effondrement du mental bicaméral ( Deux chambres ).
quelques enseignements comparent l'homme à une maison de quatre pièces. L'homme vit dans la plus petite et la plus misérable, sans soupçonner [...] l'existence des trois autres, qui sont pleines de trésors. Lorsqu'il en entend parler, il commence à chercher les clés de ces pièces, et spécialement de la quatrième, la plus importante. Et lorsqu'un homme a trouvé le moyen d'y pénétrer, il devient réellement le maître de sa maison, parce que c'est seulement alors que la maison lui appartient, pleinement et pour toujours.
« La quatrième chambre donne à l'homme l'immortalité dont tous les enseignements religieux s'efforcent de lui montrer le chemin. Il y a un très grand nombre de chemins, plus ou moins longs, plus ou moins durs, mais tous sans exception mènent, où s'efforce de mener, dans une même direction, qui est celle de l'immortalité. »l'immortalité n'est pas une propriété avec laquelle l'homme naît, mais qu'elle peut être acquise. Toutes les voies qui conduisent à l'immortalité — celles qui sont généralement connues et les autres — peuvent être réparties en trois catégories :
1. La voie du fakir.
2. La voie du moine.
3. La voie du yogi.
1. « La voie du fakir est celle de la lutte avec le corps physique, c'est la voie du travail sur la « première chambre ». Elle est longue, difficile et incertaine. Le fakir s'efforce de développer sa volonté physique, le pouvoir sur le corps.[...] S'il ne tombe pas malade, ou ne meurt pas, ce qui peut être appelé la volonté physique se développe en lui ; et il atteint alors la quatrième chambre, c'est-à-dire la possibilité de former le quatrième corps. Mais ses autres fonctions — émotionnelles, intellectuelles — demeurent non développées. Il a acquis la volonté, mais il ne possède rien à quoi il puisse l'appliquer, [...].
2. « La seconde Voie est celle du moine. C'est la voie de la foi, du sentiment religieux et des sacrifices. [...] Le moine passe des années et des dizaines d'années à lutter contre lui-même, mais tout son travail est concentré sur la « seconde chambre », sur le second corps, c'est-à-dire sur les sentiments. Soumettant toutes ses autres émotions à une seule émotion, la foi, il développe en lui-même l'unité, la volonté sur les émotions, et par cette voie il atteint la quatrième chambre. Mais son corps physique et ses capacités intellectuelles peuvent demeurer non développés.[...]
3. « La troisième voie est celle du yogi. C'est la voie de la connaissance, la voie de l'intellect. Le yogi travaille sur la « troisième chambre » pour parvenir à pénétrer dans la quatrième par ses efforts intellectuels. Le yogi réussit à atteindre la « quatrième chambre » en développant son intellect, mais son corps et ses émotions demeurent non développés [...].
« La quatrième voie ne demande pas que l'on se retire du monde, elle n'exige pas que l'on abandonne tout ce dont on avait vécu jusque-là. [...] Car il faut bien se convaincre que dans la vie extérieure, aussi bien que dans la vie intérieure, certaines conditions peuvent constituer, pour la quatrième voie, des barrières insurmontables. Ajoutons que cette voie, contrairement à celle du fakir, du moine et du yogi, n'a pas de forme définie. Avant tout, elle doit être trouvée. [...].
« Ainsi, la quatrième voie atteint tous les côtés de l'être humain simultanément. C'est un travail immédiat sur les trois chambres à la fois. Le fakir travaille sur la première chambre, le moine sur la seconde et le yogi sur la troisième.[...]
« La quatrième voie diffère donc des autres en ceci qu'elle pose devant l'homme, avant tout, l'exigence d'une compréhension. L'homme ne doit rien faire sans comprendre — sauf à titre d'expérience, sous le contrôle et la direction de son maître. Plus un homme comprendra ce qu'il fait, plus les résultats de ses efforts seront valables. C'est un principe fondamental de la quatrième voie. Les résultats obtenus par le travail sont proportionnels à la conscience que l'on a de ce travail. La « foi » n'est pas requise sur cette voie ; au contraire, la foi, de quelque nature qu'elle soit, y est un obstacle. Sur la quatrième voie, un homme doit s'assurer lui-même de la vérité de ce qui lui est dit. Et aussi longtemps qu'il n'a pas acquis cette certitude, il ne doit rien faire.
« La méthode de la quatrième voie est la suivante : si l'on commence un travail sur une chambre, un travail correspondant doit être entrepris simultanément sur les deux autres. En d'autres termes, tandis que l'on travaille sur le corps physique, il faut travailler simultanément sur la pensée et sur les émotions [...] Toute une série d'exercices parallèles sur les trois plans physique, mental et émotionnel, servent ce but. De plus, sur la quatrième voie, il est possible d'individualiser le travail de chacun ; autrement dit, chacun ne doit faire que ce qui lui est nécessaire, et rien de ce qui est sans utilité pour lui. [...]
« Ainsi, lorsqu'un homme atteint la volonté par la quatrième voie, il peut s'en servir, parce qu'il a acquis le contrôle de toutes ses fonctions physiques, émotionnelles et intellectuelles. [...]
« La quatrième voie est appelée parfois la voie de l'homme rusé. L' « homme rusé » connaît un secret que le fakir, le moine et le yogi ne connaissent pas
[...] sur la quatrième voie, la connaissance est encore plus exacte et plus parfaite. L'homme qui la suit connaît avec précision de quelles substances il a besoin pour atteindre ses fins, et il sait que ces substances peuvent être élaborées dans le corps par un mois de souffrance physique, une semaine de tension émotionnelle, ou un jour d'exercices mentaux, — et aussi, que ces substances peuvent être introduites du dehors dans l'organisme, si l'on sait comment s'y prendre. Et ainsi, au lieu de perdre un jour entier en exercices comme le yogi, une semaine en prières comme le moine, et un mois en supplices comme le fakir, l'homme qui suit la quatrième voie se contente de préparer et d'avaler une petite pilule qui contient toutes les substances requises, et de cette façon, sans perdre de temps, il obtient les résultats voulus. »
TABLEAU DES 4 VOIES -CLIQUEZ ICI
LA VOIE MYSTIQUE est en haut, vers le ciel.
LA VOIE DU RELIGIEUX est vers la droite.
LA VOIE DU SCIENTIFIQUE est vers le bas, vers la matière.
LA VOIE DU GUERRIER est vers la gauche.
''L'ARTISTE, au centre, doit conjuguer avec tous les éléments et passer par toutes les voies.''
Cette voie est la première. Elle est à la base de tout. C'est la voie la plus pure.Celui qui la suit s'engage uniquement envers lui-même et n'a de compte à rendre à personne, sauf à lui-même. Contrairement à toutes les autres voies, aucun artifice, aucun accessoire n'est utilisé, ni textes sacrés(du religieux), ni instruments(du scientifique), ni armes (du guerrier). Seule une vision ou une inspiration est ce qui caractérise sa raison d'être. Le mystique ressent le monde. Tout le travail se passe dans l'invisible.Dans le Poster la voie Mystique est représenté par l'Efant de Garabandale.
1- MYSTIQUE - Voir et penser
La voie mystique est subjective. C'est une voie solitaire. Celui qui l'emprunte voit les choses à partir de son oratoire, son monde intérieur. Il travail sur lui-même. C'est le domaine du magicien. Le mystique développera des pouvoirs psychiques; comme la clairvoyance, la clairaudience, la prémonition, etc.
Cette voie est la deuxième. Elle fait suite à la démarche du mystique qui, lorsque qu'il a atteint une totale compréhension de son être en relation avec l'univers, manifeste la volonté de transmettre sa connaissance aux autres. Celui qui la suit la voie du Religieux s'engage envers la communauté, il fait le don de soi. Elle fait souvent appel à des accessoires comme des livres sacrés, des rituels, etc. La parole est ce qui la caractérise. Le religieux veut convaincre le monde.Dans le Poster la Voie Religieuse est représenté par une Chrorale Gospel.
2- RELIGIEUX - Parler et lire
C'est une voie que le monde emprunte en groupe. C'est la voie des sociétés secrètes, des sectes et des religions. Les pouvoirs s'acquièrent par un enseignement lu dans des livres sacrés, des grimoires secrets comme Le Grand Albert, Le Petit Albert, Le Dragon noir, Le Dragon rouge, etc. On y apprend des formules magiques et des sortilèges. C'est le domaine des sorciers. Le religieux développera des pouvoirs de dévotion avec rituels et formules magiques.
La voie du Scientifique est la troisième voie. Elle est en opposition à la voie Mystique. Opposition non pas dans les résultats obtenu mais dans la manière d'y parvenir. Vous connaissez la théorie de la science quantique qui voit l'univers comme une toile? Au dessus il y a le monde phénoménal (matériel et visible) et en dessous le monde nouménal (spirituel et invisible). Et bien disons que le Scientifique travaille dans le monde phénoménal alors que le Mystique travaille dans le monde nouménal. Chacun utilise la même force mais, pas du côté opposé de la toile. Le Scientifique fait également appel à de nombreux accessoires:, instruments de mesures, etc. dans son laboratoire... alors que le Mystique vit dans son oratoire et son vécu personnel est (corps et esprit) est son instrument de mesure. Prouver et appliquer est ce qui caractérise la voie scientifique. Tout son travail se passe dans le visible.Dans le Poster la Voie Scientifique est représenté par le Scientifique Albert Einstein.
3- SCIENTIFIQUE - Toucher et expérimenter
C'est la contre partie objective de la voie mystique. C'est également une voie solitaire. Celui qui l'emprunte voit les choses à travers les instruments de son laboratoire. Il travail sur la matière à l'extérieur de lui. Le scientifique développera des pouvoirs sur la matière (kinésie). C'est le domaine du shaman. Le scientifique développera des pouvoirs par des mixtures, des potions magiques.
Finalement la quatrième voie, celle du Guerrier, c'est la plus spectaculaire car la plus visible des voies. Elle est en opposition à la voie Religieuse. Lorsque la parole ne suffit plus pour convaincre le Guerrier intervient pour vaincre. Celui qui la suit s'engage à la vie et à la mort. Elle fait appel à tous les accessoires de combat disponibles (arme, technique de combat, sabre laser, etc.). L'affrontement est ce qui la caractérise. Le guerrier veut vaincre le monde. Cette voie peut aussi devenir celle du Guerrier pacifique qui s'impose par la maîtrise totale de LA FORCE.Dans le Poster la Voie du Guerrier est représenté par le Film BraveHeart.
4- GUERRIER - Agir et juger
C'est la contre partie de la voie religieuse. Empruntée en groupe également elle réunit des combattants qui jouent avec les forces de vie et de mort. Le guerrier travaille pour vaincre l'adversaire. C'est le domaine du soldat. Le guerrier développera des pouvoirs de combat.
Puis il y a l'autre, celle du milieu, verticale.On ne peut bien la voir qu'avec le coeur.L'essentiel étant invisible pour les yeux.De la SOURCE, elle nous inspire et nous aspire.Vers l'ascension elle nous transporte.Au centre, se trouve l'être, ICI ET MAINTENANT.Se croyant prisonnier de sa caverne, de la matrice.Si la première voie (matérielle) lui propose de s'enfoncer d'avantage dans la caverne (Tunnel),la seconde (spirituelle) lui propose d'en sortir définitivement.Par LA VOIE DU COEUR l'être n'est plus prisonnier.Il peut sortir et revenir dans sa caverne à VOLONTÉ. (Par le passage de lumière au sommet de sa caverne)Accomplissant ainsi un engagement à la fois matériel et spirituel.C'est la voie de l'équilibre. La voie de l'artiste.Dans le Poster la Voie de l'Artiste est représenté par l'être qui Ascensionne vers le ciel et a aussi l'apparence d'une épée de Lumiere comme dans Excalibur l'être réussi a s'arracher de la Matiere.
Le RELIGIEUX et le GUERRIER risquent de devenir des extrémistes intolérants à cause des autres qui suivent avec eux, la même voie. Il n'est pas bon d'être seul, mais alors, pire encore, de se singulariser face aux autres.
5- ARTISTE - Réaliser son être
Le DJEDI accompli a suivi la voie de l'ARTISTE, la voie du milieu, du centre de soi-même. Il est passé par les quatre voies de pouvoirs et les maîtrises toutes. La maîtrise de son ART lui permet de savoir quand et comment doser chacun de ces pouvoirs en fonction des circonstances et des événements de la vie, dans le but de toujours rechercher l'harmonie. Selon l'adversaire, le Djedi agira toujours par la voie appropriée.
''Il n'y a pas de rencontres, il n'y a que des rendez-vous. Et tout le dévoilement des signes tient dans l'élucidation de l'absolue nécessité de ces rendez-vous''- Raymond Abellio-
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Georges Soulès, dit Raymond Abellio (né à Toulouse le 11 novembre 1907 - mort à Nice le 26 août 1986), est un écrivain français et philosophe gnostique.Il a également été un homme politique des années 30 et 40.Son œuvre philosophique se développe à travers plusieurs essais et de nombreux articles montrant son approche de la gnose, questionnant le sens et les enjeux de la connaissance.
C'est dans son dernier roman, La Fosse de Babel, qu'Abellio parle pour la première fois de la structure absolue où l'un de ses héros veut voir «la clef universelle de l'être et du devenir, des situations et des mutations».
Dès sa préface, l'auteur remet en cause la notion de «structure» qui jouit d'une si grande vogue dans la plupart des disciplines actuelles et qui ne semble devoir l'essentiel de son crédit qu'à une complaisante souplesse de sens. Comment les sciences pourraient-elles, en effet, justifier l'emploi d'un concept qui implique une interdépendance globale des parties alors qu'elles ne peuvent jamais rendre compte de celles-ci que de façon elle-même partielle?
C'est en partant, au contraire, d'une vision universelle de l'interdépendance et d'une étude initiale de l'intuition et de la perception qu'Abellio s'efforce de dégager une dialectique entièrement nouvelle. Il fonde ainsi une ontologie, une théologie et une anthropologie dont la lecture demeure difficile sans doute mais qui, constamment éclairée d'aperçus nouveaux, d'analyses brillantes et profondes, demeure la première tentative pour maîtriser et systématiser la complexité croissante des sciences dites humaines._
SOURCE
Le 7 mai 2013 l’article « Quantum Gravity and the Holographic Mass » a été validé et publié dans le peer review journal: Physical Review and Research International, ce qui donne du crédit à la théorie de Nassim Haramein.
Le 20 décembre 2012, Nassim Haramein, directeur de recherches à l’Institut de Physique Unifiée de Hawaï et à la Fondation du Resonance Project, enregistrait des droits d’auteur à la Bibliothèque du Congrès pour son article Gravité quantique et masse holographique (GQMH), article qui fut finalement publié dans « Physical Review & Research International », une revue soumise à l’examen de ses pairs. Dans son manuscrit, Haramein a utilisé les unités sphériques de Planck (USP) pour décrire les fluctuations du vide holographique et prédire avec une extrême précision le rayon de charge du proton (normalement, le rayon de charge permet une description plus précise du rayon du proton du fait que tout ce que nous pouvons en dire, c’est qu’il y a une concentration de charge positive dans
telle région de l’espace qui définit ce que nous pouvons penser être la surface du proton).
Peu de temps après qu’Haramein a soumis son article à la Bibliothèque du Congrès, une nouvelle mesure muonique du proton fut faite le 25 janvier 2013, mesure qui s’accordait extrêmement bien avec la prévision d’Haramein (en-deçà de 0,000366 x 10 -13cm de la valeur mesurée) de sorte que la prévision est comprise dans l’écart-type de l’expérience ou grosso-modo, dans sa marge d’erreur. Par conséquent, la valeur d’Haramein,extrapolée à partir de principes théoriques précis, pourrait être une valeur exacte et les observations s’approchent maintenant de la précision nécessaire pour l’atteindre.
Le premier février 2013, pour rendre compte de la confirmation de sa prévision,Haramein a soumis à droit d’auteur à la Bibliothèque du Congrès un autre manuscrit,appelé Appendice à « Gravité quantique et masse holographique » en vue de la mesure muonique du rayon de charge du proton de 2013.
IL faut regarder vers l’Orient, notamment vers l’Inde hindouiste, pour repérer les premières traces de cette notion de lâcher-prise. Des maîtres spirituels indiens employaient fréquemment ce terme dans leurs écrits. Aux Occidentaux qui, à la fin des années 1970, affluaient dans leurs ashrams, ils apprenaient à laisser de côté leur volonté de contrôle, leurs attentes et désirs égotiques, afin d’apprendre peu à peu à accepter les différents événements, heureux ou malheureux, qui se présentaient à eux.
« TO SURRENDER, c’est le verbe anglais que ces Indiens utilisaient », Ce mot évoque une vraie RÉDDITION, littéralement le fait de « RENDRE LES ARMES ». Cesser de se battre de front, en somme, comme dans les arts martiaux où le combattant trouve davantage de puissance en détournant la force de son ennemi après l’avoir laissée venir. Dans le sanskrit ,lâcher prise signifie S’ABANDONNER et, plus précisément, « SE DÉPOSER ».
Pour certain,Le lâcher-prise débute dans le corps : « C’est une expérience. Une expérience physique de relâchement des tensions. Comme d’autres traditions et techniques psychocorporelles, le yoga invite à cette expérience grâce à un travail de respiration, de prise de conscience des sensations. Il s’agit alors d’oublier un peu notre attitude volontariste d’Occidentaux, nos crispations mentales, pour atteindre une connaissance plus vaste, faite d’abandon et de confiance. » Né du corps, cet abandon pourrait peu à peu se diffuser dans les différents domaines de notre vie.
Le drapeau blanc est un signe international de paix, de trêve, de reddition d'un belligérant. Ce drapeau est typiquement employé en période de guerre ; des soldats portant ou agitant un drapeau blanc ne doivent pas être attaqués. Il indique à tous qu'un négociateur s'approche désarmé ou a l'intention de se rendre. On attend d'une personne portant le drapeau blanc qu'elle reste neutre et ne s'engage pas dans des actes guerriers.Le drapeau blanc est reconnu par la convention de La Haye depuis 1899. Le drapeau blanc fut aussi le drapeau du royaume de France, jusqu'au 31 juillet 1830, excepté entre 1790 et 1815 où il fut remplacé par un drapeau tricolore. Sur les champs de batailles, le drapeau blanc était souvent levé par l'ennemi lors d'une défaite, en signe de respect pour l'armée vainqueur du Royaume de France. Il ne faut pas confondre le drapeau blanc de la France avec la bannière de France, bleue à fleurs de lys.Il se dit que le blanc a été choisi à l’origine pour sa référence à la virginité de Marie, sous la protection de laquelle Louis XIII avait décidé de placer le royaume de France. Il se dit également qu’il aurait été le drapeau de Jeanne d’Arc.
Emprunté au latin propheta, lui-même emprunté au grec ancien προφήτης, prophếtês (« oracle », « devin », « interprète des dieux ») composé de πρό(« devant <le sanctuaire>», « avant les événements» → voir pro- et pro) et φημί (« dire »). On peut rapprocher ce mot du latin profiteor (« dire publiquement », « révéler », « dévoiler ») qui a donné « professer », « professeur ».Prophète, au féminin prophétesse (grec : προφήτης [profétès], docteur, interprète de la parole divine ; devin, Le prophète est un porte-parole, un messager.) est un mot provenant du latin chrétien et emprunté au grec prophêtês qui désigne une personne qui tient, d'une inspiration que l'on croit être divine, la connaissance d'événements à venir et qui les annonce par ses paroles ou ses écrits.Le prophète s'oppose au devin en ce qu'il n'est pas fataliste, il intervient pour que ceux qui l’écoutent changent leur vision et leur comportement,Le prophète se dit au service et mû par la divinité, et va souvent à l'encontre de l'opinion de ses concitoyens. Il forme ainsi un contre-pouvoir, forme d'antidote à l'embourgeoisement institutionnel.D'une façon générale, on qualifie de prophète toute personne qui a fait une prophétie en annonçant par avance un événement que les personnes à qui il s'adressait considéraient comme imprévisible.
Le chimiste russe Dimitri Mendeleiev (1834-1907) avait travaillé pendant des années à la mise au point de la méthode de classification des éléments selon leur poids atomique qui porte aujourd'hui son nom. Une nuit de 1869, il se jeta sur son lit, après avoir consacré de longues heures à ce problème et s'endormit totalement épuisé. Dans son sommeil, Mendeleiev vit en rêve une table sur laquelle tous les éléments se mettaient à leur place de la manière requise. A son réveil, avant que la vision ne se soit dissipée, il nota fébrilement le tableau qu'il avait vu en songe. Selon Kedrov, son biographe, Mendeleiev affirma que ce fut de cette manière qu'il inventa sa fameuse table des éléments, découverte fondamentale de la physique moderne, et «qu'une seule correction lui avait paru nécessaire avant sa publication».
''Le discernement est nécessaire pour comprendre les dieux,Le discernement c’est un sabre, la sagesse c’est une fleur,le discernement deviendra la faculté impératrice de la nouvelle civilisation''-Bernard de Montréal-
Capacité à apprécier avec justesse et clairvoyance une situation, des faits. Synonyme clairvoyance Anglais discernment .-Le discernement est la faculté de reconnaître distinctement en faisant un effort des sens (vue, ouïe,...) ou de l'esprit, ou de tous ces éléments conjugués. Le discernement peut en première approche se rapprocher de l'intuition. Le discernement permet de reconnaître par perception précoce.
« C'est la "Loi de Trois", la loi des Trois Principes ou des Trois Forces. Selon cette loi, tout phénomène, sur quelque échelle et dans quelque monde qu'il ait lieu, du plan moléculaire au plan cosmique, est le résultat de la combinaison ou de la rencontre de trois forces différentes et opposées. La pensée contemporaine reconnaît l'existence de deux forces et la nécessité de ces deux forces pour la production d'un phénomène : force et résistance, magnétisme positif et négatif, électricité positive et négative, cellules mâle et femelle, et ainsi de suite. Encore ne constate-t-elle as toujours ni partout l'existence de ces deux forces. Quant à la troisième force, elle ne s'en est jamais préoccupée, ou s'il lui est arrivé un jour de soulever cette question, nul ne s'en est aperçu.
« Selon la vraie, l'exacte connaissance, une force ou deux forces ne peuvent jamais produire un phénomène. La présence d'une troisième force est nécessaire parce que c'est uniquement avec son aide que les deux premières peuvent produire un phénomène, sur n'importe quel plan.
« La doctrine des trois forces est à la racine de tous les anciens systèmes. La première force peut être appelée active ou positive; la seconde, passive ou négative; la troisième, neutralisante. Mais ce sont de simples noms. En réalité, ces trois forces sont aussi actives l'une que l'autre; elles apparaissent comme active, passive et neutralisante, à leurs seuls points de rencontre, c'est-à-dire, seulement au moment où elles entrent en relation les unes avec les autres. Les deux premières forces se laissent plus ou moins comprendre et la troisième peut être quelquefois découverte, soit au point d'application des forces, soit en leur "milieu", soit en leur "résultat". Mais il est difficile en général d'observer et de comprendre la troisième force. La raison en doit être cherchée dans les limites fonctionnelles de notre activité psychologique ordinaire et dans les catégories fondamentales de notre perception du monde des phénomènes, c'est-à-dire dans notre sensation de l'espace et du temps, qui résulte de ces limitations. Les hommes ne peuvent ni percevoir, ni observer directement la troisième force, pas plus qu'ils ne peuvent percevoir spatialement la "quatrième dimension".
« Mais en s'étudiant soi-même, en étudiant les manifestations de sa pensée, de sa conscience, de son activité, de ses habitudes, de ses désirs, etc., on peut apprendre à observer et à voir en soi-même l'action des trois forces. Supposons, par exemple, qu'un homme veuille travailler sur lui-même pour changer certaines caractéristiques, four atteindre un lus haut degré d'être. Son désir, son initiative, sera la force active. L'inertie de toute sa vie psychologique habituelle, qui s'oppose à cette initiative, sera la force passive ou négative. Ou bien les deux forces se contrebalanceront, ou bien l'une l'emportera sur l'autre entièrement, mais sera dès lors trop faible pour toute action ultérieure. Ainsi les deux forces devront, en quelque sorte, tourner l'une autour de l'autre, l'une absorbant l'autre, et ne produiront aucun résultat d'aucune sorte. Et cela peut se prolonger une vie entière. Un homme peut éprouver un désir d'initiative. Mais toute sa force d'initiative peut être absorbée par ses efforts pour triompher de l'inertie habituelle de la vie, ne lui laissant rien pour atteindre le but vers lequel devrait tendre son initiative. Et cela peut durer ainsi jusqu'à ce que la troisième force fasse son apparition, par exemple sous la forme d'un nouveau savoir, montrant aussitôt l'avantage ou la nécessité d'un travail sur soi, qui, de cette façon, soutiendra l'initiative et la renforcera. Alors l'initiative, avec le soutien de la troisième force, pourra venir à bout de l'inertie et l'homme deviendra actif dans la direction voulue.
«Des exemples de l'action des trois forces et des moments où la troisième force entre en jeu, peuvent être découverts dans toutes les manifestations de notre vie psychique, dans tous les phénomènes de la vie des communautés humaines, de l'humanité considérée dans son ensemble, et dans tous les phénomènes de la nature autour de nous.
« Au commencement, il suffira de comprendre le principe général: chaque phénomène, si grand soit-il, est nécessairement la manifestation de trois forces; une ou deux forces ne peuvent pas produire un phénomène, et si nous observons un arrêt en quoi que ce soit, ou une hésitation sans fin, à la même place, nous pouvons dire qu'à cette place manque la troisième force. Pour essayer de la comprendre, il faut encore se rappeler que nous ne pouvons pas voir les phénomènes comme des manifestations des trois forces, parce que, dans nos états subjectifs de conscience, le monde objectif échappe à nos observations. Et dans le monde phénoménal subjectivement observé, nous ne voyons dans les phénomènes que la manifestation d'une ou de deux forces. Si nous pouvions voir la manifestation de trois forces en toute action, nous verrions alors le monde tel qu'il est (les choses en elles-mêmes). Il faut seulement se rappeler ici qu'un phénomène d'apparence toute simple peut en réalité être compliqué, c'est-à-dire qu'il peut être une combinaison très complexe de trinités. Mais nous savons que nous ne pouvons pas voir le monde tel qu'il est, et ceci devrait nous aider à comprendre pourquoi nous ne pouvons pas voir la troisième force. La troisième force est une propriété du monde réel. Le monde subjectif ou phénoménal de notre observation n'est réel que relativement, en tout cas il n'est pas complet.
« Revenant au monde dans lequel nous vivons, nous pouvons dire maintenant que dans l'Absolu - aussi bien qu'en tout autre chose, par analogie - trois forces sont actives: la force dite active, la force dite passive et la force dite neutralisante. Mais puisque dans l'Absolu, de par sa nature même, chaque chose constitue un tout, les trois forces, elles aussi, constituent un tout. De plus, en formant un tout indépendant, les trois forces possèdent une pleine et indépendante volonté, une pleine conscience, une pleine compréhension d'elles-mêmes et de tout ce qu'elles font.
« L'idée de l'unité des trois forces dans l'Absolu forme la base de beaucoup d'enseignements anciens - consubstantielle et indivisible Trinité; Trimurti : Brahma - Vishnu - Siva, et ainsi de suite.
« Les trois forces de l'Absolu, constituant un tout, séparées et unies par leur propre volonté et par leur propre décision, créent, à leurs points de jonction, des phénomènes, des "mondes". Ces "mondes", créés par la volonté de l'Absolu, dépendent entièrement de cette volonté en tout ce qui concerne leur propre existence. En chacun d'eux, les trois forces agissent encore. Cependant, puisque maintenant chacun de ces mondes n'est plus le tout, mais seulement une de ses parties, les trois forces cessent dès lors de former en eux un seul tout: Il y a maintenant trois volontés, trois consciences, trois unités. Chacune des trois forces contient en elle-même la possibilité des trois, mais à leur point de rencontre chacune d'elles ne manifeste qu'un principe : l'actif, le passif ou le neutralisant. Les trois forces constituent ensemble une trinité, qui produit de nouveaux phénomènes. Mais cette trinité est différente, elle n'est pas celle qui était dans l'Absolu, où les trois forces, constituant une totalité indivisible, possédaient une seule volonté et une seule conscience. Dans les mondes du second ordre, les trois forces sont maintenant divisées, et leurs points de jonction sont d'une autre nature. Dans l'Absolu, l'instant et le point de leur jonction sont déterminés par leur volonté unique. Dans les mondes du second ordre, où il n'y a plus une volonté unique, mais trois volontés, les points de manifestation sont déterminés par une volonté séparée, indépendante des autres, et, par conséquent, le point de rencontre devient accidentel, mécanique. La volonté de l'Absolu crée les mondes du second ordre et les gouverne, mais elle ne gouverne pas leur travail créateur, oh un élément de mécanicité fait son apparition.
« Ce que j'ai entendu était comme une voix lointaine et pourtant assez proche. Elle était aussi nette qu'une voix humaine qui me parlait, et irrésistible […] Pour moi, la voix était plus réelle que ma propre existence. Elle ne m'a jamais trompé, ni d'ailleurs personne d'autre. Et chacun qui le veut peut entendre cette voix. »-Mahatma Gandhi-
« Entendre des voix ne doit pas être pensé en tant que pathologie que l’on se doit d’éradiquer mais comme une expérience riche de sens, à interpréter, intimement liée à l’histoire singulière de l’entendeur de voix ». Jung disais: entendre des voix n’est pas en soi une maladie.Les entendeurs de voix sont des précurseurs.Il s’agit non plus d’être dans une relation de fuite avec les voix, mais au contraire d’en faire des alliés bienveillants».
Il est nécessaire d'écouter notre voix intérieure qui ne correspond pas toujours aux voix extérieures... médias, amis, nos proches.
Sur qui se fier pour prendre les bonnes décisions et s'engager dans la bonne voie parmi toutes les voies qui nous sont proposées.
Lorsque nous sommes en train de décider comment agir face à une situation difficile, nous entendons parfois en nous-même une voix qui nous parle. Celle-ci se manifeste également lorsque la décision est déjà prise et que nous passons à l'acte. Tout le monde a certainement fait cette expérience de nombreuses fois, bien qu'elle se manifeste un peu différemment chez chacun. Certaines personnes entendent moins une voix qu'elles n'éprouvent un ressenti ou ont des pensées correspondant à ce que leur conscience leur transmet. Quelle que soit la manière dont cette transmission se passe, on parle quand même de voix de la conscience.
Cette voix est désignée comme étant notre voix intérieure, car nous l'entendons en notre for intérieur et non comme si elle provenait de l'extérieur, par nos oreilles. On l'appelle aussi la voix de la conscience, car elle nous conforte dans nos bonnes résolutions,La voix de la conscience nous met en garde, exhorte et avertit. Elle nous encourage à prendre des décisions bénéfiques et nous dissuade d'opter pour ce qui est malfaisant et destructif. C'est elle qui nous exhorte en disant : « Fais ceci, c'est bien ! » ou « Ne te tais pas ! », « Dis la vérité » ou encore « Ne fuis pas tes responsabilités, engage-toi et assume ! »Quelqu'un qui suit la voix de sa conscience est calme intérieurement. On dit qu'il a la conscience tranquille ou en paix. Ce ressenti est légitime, il est en harmonie avec lui-même et avec les hautes valeurs. De plus, ayant semé quelque chose de bénéfique, il récoltera en conséquence. Il peut donc envisager l'avenir avec confiance, en tout cas en ce qui concerne cet acte.
Comme le disent différents proverbes, quelqu'un qui a bonne conscience dort bien : « Une bonne conscience est un bon oreiller. » On dit d'ailleurs d'une personne qui dort bien qu'elle a une bonne conscience, qu'elle dort du sommeil du juste.La voix de la conscience est une intuition qui vient de l'esprit et en possède les caractéristiques. Elle n'est pas l'aboutissement de réflexions menées par le cerveau. L'INTUITION SE FAIT ENTENDRE D'UN COUP.
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