VidéOrandia #15 Semaine du 13 avril 2014
VidéOrandia #15 Semaine du 13 avril 2014
Un vidéOrandia de 1h30.. ne vous inquiétez pas nous ne parlons pas trop du congrès (Blague) en fait nous faisons une belle entrevue de Marc St-Germain l’auteur du livre « Le gardien du silence » qui sera aussi conférencier au congrès du mois de mai, ensuite Richard nous parle d’une conférence qu’il a assisté au Cégep Maisonneuve cette semaine.. et oui accessoirement nous avons parlé des points ci-dessous
- ...Nous parlons avec Marc St-Germain (http://www.marcstgermain.com/)
- ...Élection Québec l’opinion de Richard? PKP a-t-il été la mort de la campagne du PQ et qui a imposé cet excité a la campagne?
- ...Personne n’a parlé d’environnement a part Quebec Solidaire?
- ...Est-ce la mort de la souveraineté?
- ...Qu’en dis monsieur Lefebvre
- ...POPULATION MINIMALE VIABLE ? Selon un article de LaPresse selon la notion en informatique. Lien
- ...Whitley Strieber parle de Fuskushima sur Unkowncountry.com
- ...Aux années lumières demain on parle aussi d’environnement
- ...Jean Barbe: Quand, dans deux cent ans, les survivants autour du feu se raconteront des histoires de l'ancien temps, l'un d'eux demandera à coup sûr: «Mais comment ont-ils pu ne rien voir venir?» «La pollution extrême est la cause de centaines de milliers de morts prématurées chaque année - jusqu'à 1 million, selon certaines sources.» Lien vers LA PRESSE
- ...L’émission les Années Lumières se fait très alarmiste. Va passer Le dimanche 13 avril 2014
Les experts du climat n'ont jamais été aussi inquiets; «L'examen de la conscience»
- ...Le bug Heart bleed non divulgué par la NSA qui savait depuis 3 ou 4 ans.. la catastrophe
VIDEO
Version Viméo
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AUDIO
La version MP3 pour ceux qui voudraient l'entendre en version audio seulement.
et pour ceux qui voudraient le télécharger pour écoute sur ITUNES ou autre player MP3 voici le lien
COMPLÉMENT SURPRENANT #15 - Semaine du 13 avril 2014
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VIDEORANDIA #15 -CLIQUEZ
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MARC ST-GERMAIN UFOLOGUE SANS COMPLEXE
SITE OFFICIEL
Enquêteur-ufologue pour l'AQU, Marc St-Germain est le directeur régional responsable de la région des Hautes Laurentides.
En 2008 Marc St-Germain publie son premier ouvrage,L'ERE DU CHAOS, HISTOIRE SECRETE DE L'HUMANITÉ. C’est en écrivant ce livre qu’il découvrira que la réalité extraterrestre fait partie intégrante du bagage historique de notre civilisation. La publication de son livre l’amènera à donner une série de conférences au Québec et c’est durant ces événements qu’il réalisera que le sujet extraterrestre était encore un tabou bien établi!
Afin de comprendre l’origine de ce tabou, il effectuera une recherche historique du phénomène ovni. Cette recherche le conduira au cœur de l’établissement d’une structure en lien avec le contrôle de l’information sur les ovnis et la présence extraterrestre.
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MARC ST-GERMAIN-LES GARDIENS DU SILENCE
INTRO -PDF
De 1947 à 1969, l’armée de l’air prendra en charge la gestion du phénomène ovni au travers de trois projets d’étude subséquents; Sign, Grudge et Blue Book. En dépit de la quantité énorme de rapports qui seront traités par les analystes, les conclusions de chacun de ses projets restèrent négatives quant à la possibilité d’une quelconque présence extraterrestre liée à ces observations.
Toutefois, des rumeurs entourant la récupération possible d’un vaisseau extraterrestre par l’armée de l’air eurent tôt fait d’augmenter la curiosité de la population américaine. Quelques mois seulement après lesdits événements de Roswell, dont les autorités militaires déclaraient que les débris récupérés provenaient d’un ballon météo, l’administration Truman mettra sur pied le Conseil de sécurité nationale ainsi qu’une agence centrale de renseignement. Y avait-il un lien?
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STUART SYMINGTON et GÉNÉRAL HOYT S..VANDENBERG
-Explication de la Raison de cette image sur la Couverture du Livre de Marc St-germain-
Secrétaire de l'Armée de l'Air Stuart Symington conférant avec Gen Hoyt S. Vandenberg, chef d'état-major de l'Armée de l'Air avec le monde au bout des doigts, le 9 Septembre 1948. Vandenberg est sur le panneau indiqué sur la première page du "1er rapport annuel ".
L'emploi du temps et les déplacements des hauts responsables de l'armée de l'Air pendant et autour du 8 juillet 1947. Il est clair que ceux-ci furent, pendant ces quelques jours, très occupés, et meme fort agités. Etait-ce en rapport direct avec l'évènement de Roswell ? C'est certain au moins en partie car le premier personnage à citer dans ce carrousel étoilé est le général de corps aérien (lieutenant general) Hoyt S. Vandenberg, qui se manifesta en première ligne dans l'après-midi du 8 juillet au sujet de Roswell. En l'absence du général Carl Spaatz, chef en titre de l'armée de l'Air qui était alors en congé, Vandenberg, son adjoint, était le numéro 1 en poste à Washington.
Le "Washington Post" du 9 juillet relate que les officiers de l'armée de l'Air furent aussi stupéfaits que le reste du monde. Mais, sous la direction du lieutenant général Hoyt Vandenberg, chef en poste de l'armée de l'Air, qui fit irruption au service d'information du quartier général de l'Air Force, en pleine agitation, ils grillèrent les lignes de communication vers le Texas et le Nouveau-Mexique.
D'autres sources, par exemple le "New York Times" et l'agence Associated Press, ont décrit l'agitation dans les meme termes. Il semble que la prise en main directe par le chef de l'armée de l'Air n'était pas prévue à l'avance. Le communiqué de presse de Roswell avait-il été émis sans son feu vert ? Ou Vandenberg était-il intervenu seulement parce que l'opération risquait d'échapper au controle de l'armée ? Sur son agenda, aujourd'hui accessible en archive, on note un trou d'environ 1 h dans son emploi du temps, absence de son bureau, qui doit correspondre à cette intervention non programmée, entre 17h15 et 18h15, heure de Washington. C'est bien à ce moment-là que le Pentagone commence a démentir la découverte d'un disque volant. Au cours de l'après-midi, Vandenberg a rencontré à trois reprises le secrétaire d'état de l'armée de l'Air Stuart Symington, sur une question en principe non urgente. Il n'est pas invraisemblable de supposer qu'ils ont plutot parlé de Roswell. On sait d'autre part qu'il s'est entretenu au téléphone avec le général Ramey, basé à Fort Worth. C'est le "San Fransisco Examiner" qui le signale, ayant été le premier à joindre Ramey au téléphone peu après, et à recueillir son premier soupçon qu'il s'agit d'un ballon.On sait aussi que le général Vandenberg s'est occupé de près des observations de soucoupes volantes au cours des jours précédents. Son agenda révèle que le 7 juillet il passait par Dallas, au Texas, selon le "Dallas Morning News", il y avait fait un briefing à la presse, indiquant que l'armée de l'Air recevait des milliers de questions sur les "disques volants". Selon le gros rapport de l'armée de l'Air, le "Roswell Repport" publié en 1995, Vandenberg s'était également occupé ce jour-là d'une observation de disque volant au Texas, à Ellington Field. C'était alors le sommet de la vague de 1947. De retour à Washington, il rencontre au Pentagone le général Curtis LeMay, en début d'après-midi. LeMay est alors le chef adjoint des services de recherche de l'armée de l'Air. Toujours le 7 juillet, le général Nathan Twining, chef de l'Air Materiel Command (AMC: services techniques de l'armée de l'Air au terrain de Wright), fait une visite non annoncée à la grande base de Kirtland, dans la banlieue d'Albuquerque, située au coeur des activités de recherche militaire au Nouveau-Mexique. Le centre de recherche de Sandia est à coté, Los Alamos n'est pas loin, et Roswell non plus.
L'emploi du temps du général Vandenberg pour la journée du 8 juillet comporte un aspect particulièrement intéressant. Une réunion prévue le matin a été annulée et remplacée par une réunion d'une durée de deux heures et demi avec le Bureau de Recherche et Développement de l'Armée(Joint Research and Development Board, ou JRDB). Celui-ci est constitué des plus hauts conseillers scientifiques pour l'armée...
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LES OVNIs PLUS IMPORTANT QUE LA BOMBE H
SOURCE
En 1945, après la capitulation sans conditions de toutes les forces militaires en vertu de la Troisième Reich allemand et l'Empire japonais, les Etats-Unis avaient imposé au monde comme la puissance militaire inégalée de la planète. Armé d'armes nucléaires, l'Amérique avait le plus grand bâton sur l'aire de jeux. Pourtant, en moins de deux ans après la victoire de l'agitation, des États-Unis a été confronté à une crise de la sécurité nationale des proportions sans précédent.
En Juillet 1947, les machines volantes pas de cette terre ont été trouvés écrasés dans le désert près de Roswell, au Nouveau-nati o. Défenses stratégiques vitaux de l'Amérique avaient été compromis! Les installations d'armes les plus gardés de notre pays étaient soudain vulnérable. Nouveau-Mexique est le foyer de développement de la bombe atomique avancée en cours à Los Alamos. Notre premier groupe de bombardiers du Strategic Air Command, le 509e, venait opérationnelle à Roswell, et au sud de Roswell à White Sands Missile Range, notre programme de conception de fusée naissante était en cours ..
Suite à l'enquête de crash de Roswell, Nouveau-Mexique en 1947, Air Force général Nathan Twining a insisté le président Truman que la question «étranger» était plus grand que le projet Manhattan et nécessaire qu'il soit géré sur une plus grande échelle et, évidemment, pour une période plus longue ... Ils feraient rien de moins que d'un gouvernement dans le gouvernement, se soutenir de l'administration présidentielle de l'administration présidentielle, indépendamment de n'importe quel parti politique a pris le pouvoir, et la garde impitoyablement leurs secrets.
Compte tenu de la situation potentiellement explosive à la main, la proposition de Twining semblait le plus prudent d'action pour Truman à suivre. Ainsi, un groupe de contrôle ad hoc secrète urgence a été formé, qui est devenu connu comme MJ-12. Les membres de ce «comité» inclus, hauts commandants militaires, comme secrétaire d'Etat, George C. Marshall, le général Nathan Twining, chef de l'Air Material Command, le général Hoyt Vandenberg, chef d'état-major de la Force aérienne, l'amiral James Forrestal, secrétaire d' défense, et le vice-amiral Roscoe Hillenkoetter, chef de la CIA naissante. Le scientifique le plus remarquable de l'équipe était, le Dr Vannevar Bush, la tête de Truman de la National Science Foundation.
Dans un mémorandum secret, scientifique du gouvernement canadien Wilbert Smith a révélé, en effet, que le Dr Vannevar Bush a dirigé un "petit groupe" mis en place pour enquêter sur les ovnis-une question qui a déclaré Smith ... "EST LE SUJET LE PLUS HAUTEMENT CONFIDENTIELLES DANS LE GOUVERNEMENT DES ÉTATS-UNIS , ATTRIBUÉE PLUS ENCORE QUE LA BOMBE H ».
VIDEO PROMITIONNEL-CONGRES UFO - 401
CONFÉRENCIERS
Voici la bande annonce du congrès..
Beau travail d'équipe entre Micheline et Jacques bravo c'est très cool.
Congrès UFO 401
MARC SÉGUIN-Professeur de physique
au Collège de Maisonneuve
Marc Séguin possède un baccalauréat en physique de l'Université de Montréal ainsi que deux maîtrises (astrophysique et histoire des sciences) de l'Université Harvard. Il est co-auteur, avec Benoît Villeneuve, d'Astronomie et astrophysique: cinq grandes idées pour explorer et comprendre l'Univers. Il a été concepteur et narrateur de deux séries d'émissions de vulgarisation scientifique à Radio-Canada: La logique de l'Univers (physique moderne et cosmologie) et Treize leviers pour soulever le mondé (histoire des sciences). Julie Descheneau possède un baccalauréat bidisciplinaire en mathématiques-physique et une maîtrise en physique théorique (cosmologie) de l'Université McGill. Benjamin Tardif possède un baccalauréat et une maîtrise en physique de la matière condensée de l'Université de Montréal. Tous les trois enseignent la physique au, Collège de Maisonneuve, à Montréal.
Physique XXI réinvente le manuel de physique en offrant un outil vraiment convivial au lecteur désireux de comprendre et de maîtriser les lois fondamentales qui régissent les phénomènes physiques.
Grâce à sa structure modulaire et flexible, à la clarté de ses démonstrations, à la pertinence des situations concrètes analysées et à la rigueur de la présentation des solutions, cet ouvrage se révèle un véritable partenaire pédagogique, tant pour les élèves que pour les professeurs.
Une structure simple, modulaire et flexible
Les quatre ou cinq chapitres de chacun des trois tomes sont divisés en sections courtes qui contiennent toutes un glossaire, des questions, conceptuelles et des exercices, ce qui permet au lecteur d'évaluer sa compréhension de chaque sujet avant de passer au suivant. Un organigramme placé au début de chaque chapitre montre les liens entre les sections, rendant possibles des parcours adaptés aux besoins de chacun.
Une approche concrète, des solutions complètes
Les sections sont bâties autour de l'analyse détaillée de mises en situations concrètes. On décrit souvent les situations avant de présenter la théorie nécessaire pour les analyser, rendant ainsi explicites les raisons qui motivent, l'introduction de nouveaux éléments de théorie. Les analyses des situations sont très détaillées afin de permettre au lecteur d'apprendre à construire des solutions rigoureuses: les schémas qui doivent accompagner une solution complète sont systématiquement présentés, et on n'omet aucune des étapes logiques et algébriques qui permettent d'obtenir les réponses.
Une iconographie riche et intégrée
Les illustrations et les photos sont étroitement intégrées au texte: plusieurs situations et exercices sont basés sur des photos. Les démonstrations et les solutions particulièrement complexes s'appuient sur plusieurs schémas détaillés qui montrent chacune des étapes de l'analyse.
Des outils de révision et de synthèse
À la fin de chaque chapitre figurent des fiches de synthèse qui exposent de manière schématique les liens principaux reliant les concepts du chapitre, ainsi que des exercices de révision et de synthèse. À la fin du livre se trouve une annexe mathématique complète et détaillée qui permet au lecteur de réviser les notions mathématiques importantes en physique.
Physique XXI réinvente le manuel de physique en offrant un outil vraiment convivial au lecteur désireux de comprendre et de maîtriser les lois fondamentales qui régissent les phénomènes physiques. Grâce à sa structure modulaire et flexible, à la clarté de ses démonstrations, à la pertinence des situations concrètes analysées et à la rigueur de la présentation des solutions, cet ouvrage se révèle un véritable partenaire pédagogique, tant pour les élèves que pour les professeurs. Une structure simple, modulaire et flexible. Les quatre ou cinq chapitres de chacun des trois tomes sont divisés en sections courtes qui contiennent toutes un glossaire, des questions conceptuelles et des exercices, ce qui permet au lecteur d'évaluer sa compréhension de chaque sujet avant de passer au suivant. Un organigramme placé au début de chaque chapitre montre les liens entre les sections, rendant possibles des parcours adaptés aux besoins de chacun. Une approche concrète, des solutions complètes. Les sections sont bâties autour de l'analyse détaillée de mises en situations concrètes. On décrit souvent les situations avant de présenter la théorie nécessaire pour les analyser, rendant ainsi explicites les raisons qui motivent l'introduction de nouveaux éléments de théorie. Les analyses des situations sont très détaillées afin de permettre au lecteur d'apprendre à construire des solutions rigoureuses : les schémas qui doivent accompagner une solution complète sont systématiquement présentés, et on n'omet aucune des étapes logiques et algébriques qui permettent d'obtenir les réponses. Une iconographie riche et intégrée. Les illustrations et les photos sont étroitement intégrées au texte : plusieurs situations et exercices sont basés sur des photos. Les démonstrations et les solutions particulièrement complexes s'appuient sur plusieurs schémas détaillés qui montrent chacune des étapes de l'analyse. Des outils de révision et de synthèse. À la fin de chaque chapitre figurent des fiches de synthèse qui exposent de manière schématique les liens principaux reliant les concepts du chapitre, ainsi que des exercices de révision et de synthèse. À la fin du livre se trouve une annexe mathématique complète et détaillée qui permet au lecteur de réviser les notions mathématiques importantes en physique.
Le mercredi 9 avril, à la salle Sylvain-Lelièvre, MARC SÉGUIN a organisé une Conférence sur la Sciences de la nature du Collège de Maisonneuve sur le thème de la vie dans l’Univers.
Au programme il y avait:
•La chimie du cosmos;
•La recherche de planètes extrasolaires;
•Le mystère de l’origine de la vie;
•La probabilité d’existence d’autres civilisations avancées dans notre galaxie.
Quatre conférenciers :
•Martin Lachapelle, enseignant de chimie au Collège de Maisonneuve;
•Simon De Sousa, enseignant de biologie au Collège de Maisonneuve;
•Marc Séguin, enseignant de physique au Collège de Maisonneuve;
•René Doyon, professeur d’astrophysique à l’Université de Montréal, dont l’équipe a été la première à photographier une planète dans un autre système solaire!
LE PARADOXE FERMI
Si les extraterrestres existent… alors, ils devraient être là !
« Mais où se cachent-ils ? »
Physicien Enrico Fermi. S’interroge le fameux physicien Enrico Fermi au milieu du XX siècle, alors que la première « vague d’Ovnis » touche les États-Unis.
Le paradoxe de Fermi s'intéresse à la question de savoir pourquoi nous ne sommes pas déjà en contact avec des extraterrestres, vue la relative jeunesse de notre étoile, le Soleil, par rapport à toutes celles existant dans l'univers.
Enrico Fermi (1901-1954), physicien italien, est connu pour son prix Nobel de physique en 1938, pour avoir produit la première réaction nucléaire en chaîne en 1944 mais avant tout pour cette histoire a priori anecdotique, que l'astronome Carl Sagan baptisa plus tard "le paradoxe de Fermi".
Pendant l'été 1950, Enrico Fermi travaillait au laboratoire national de Los Alamos. En se rendant à la cantine avec trois autres physiciens renommés, il discutait d'un dessin humoristique paru dans le New Yorker. Suite à une série de vols de poubelles à New York, le dessinateur avait représenté une soucoupe volante posée sur une autre planète avec des petits hommes verts tirant chacun un container de déchets.
Fermi demanda à Edward Teller, le père de la bombe H, une estimation de la probabilité que dans les dix prochaines années nous ayons la preuve de l'existence d'un objet se déplaçant plus vite que la vitesse de la lumière ? Il sous-entendait bien sûr que tout extraterrestre nous rendant visite aurait découvert le voyage supra-luminique. Teller hasarda : 1 sur 1 million. Fermi répondit que ce chiffre était bien trop faible, et que son estimation se portait à 10%. La question s'arrêta là. Ils prirent leur repas. Tout d'un coup Fermi se leva de table et s'écria "Mais où sont-ils ?"
LES HYPOTHESES D'EMMANUEL DAVOUST
Cette "absence de signal" de la part d'une intelligence extraterrestre fait intervenir des éléments subjectifs liés à la sociologie. Emmanuel Davoust, [...] explore l'ensemble des considérations culturelles poussant une civilisation à prendre ou non contact avec une autre. Il pose la question : "Pourquoi, si il existe d'autres civilisations dans la galaxie, ne nous ont-elles pas déjà visitées avec leurs sondes exploratrices et leur vaisseaux colonisateurs?" (paradoxe de Sagan - Fermi). Certains astronomes répondent que cette absence "évidente" est une preuve que nous sommes seuls. D'autres, que de telles civilisations n'ont pas encore eu le temps matériel de nous rendre visite.
Davoust examine, devant cette "absence", les raisons pouvant "les" pousser à ne pas se manifester :
1. Nous sommes seuls et nous l'avons toujours été parce que la vie est un phénomène unique, ce qui est une des conclusions possibles soutenues par des biologistes face aux astronomes. Position et contradiction avec l'incommensurabilité de l'univers et la loi des grands nombres. Une autre raison pourrait être que les autres civilisations se sont éliminées à la suite de conflits internes.
2. Nous avons pas reconnus les signaux comme tels. Il est possible que nous n'ayons pas détectés les signaux venant d'une autre civilisation. Il est également possible que des signaux aient été captés mais qu'ils aient été interprétés comme des phénomènes naturels (exemple des pulsars).
3. Nous n'avons pas encore regardé au bon endroit, au bon moment, avec les bons instruments. Les quelques milliards d'étoiles écoutées sporadiquement depuis quarante ans sans résultats positifs suggèrent tout au plus que le nombre de civilisations technologiques dans notre galaxie est faillible (à condition qu'elles ne se cachent pas).
4. "Ils" ne se montrent pas. Nous devons ici adopter une attitude anthropomorphique et prêter aux civilisations extraterrestres un comportement humain.
* Hypothèse de la contemplation : Ils sont tournés vers un monde intérieur duquel nous sommes absents.
* Hypothèse écologique : Malgré l'intérêt qu'ils portent à l'exploration et à la communication, ils ne veulent pas modifier leur environnement ni gaspiller de l'énergie en envoyant des sondes.
* Hypothèse de l'horizon mental : Nous sommes, de leur point de vue, une civilisation primitive dont l'horizon mental est très limité et qui ne présente que peu d'intérêt. Ils communiquent par des techniques dont la physique nous dépasse complètement. Nous sommes comme ces peuples primitifs qui vivent dans leur jungle, ignorant tout de la civilisation moderne.
* Hypothèse de l'immaturité : Un contact trop précoce nous transformerait en consommateur d'information.
* Hypothèse du zoo : Nous sommes une civilisation primitive parquée dans une sorte de réserve naturelle à l'échelle galactique. Ainsi se gardent-"ils" de pénétrer chez nous pour les mêmes raisons qui font que nous ne pénétrons pas dans les réserves naturelles terrestres. Dans le cadre de cette hypothèse, on pourrait imaginer un scénario de science-fiction dans lequel les OVNIs seraient les gardes de cette réserve...
* Hypothèse de méfiance : Nos progrès technologiques et l'histoire mondiale tourmentée de ces dernières décennies nous ont rendues suspectes à leur yeux. Toujours dans la domaine de la science-fiction seraient dans ce cadre des sentinelles chargées de surveiller nos activités. Il est certain que notre exubérance dans certains domaines, émissions radio tous azimut, explosions nucléaires erratiques [c'est moi qui souligne], pollutions diverses, incitent à la circonspection.
Reste à élucider pourquoi "leurs" sondes ne viennent pas sur Terre chercher le contact :
1."Ils" sont déjà venus. Ce qui pourrait expliquer un certain nombre de prouesses architecturales ou de connaissances scientifiques et techniques chez des civilisations passées dont nous sous-estimons le niveau de développement. Mais il faudrait dans ce cas expliquer pourquoi "ils" ne sont pas restés.
2. "Ils" se sont installés ailleurs dans notre système solaire et nous observent à distance. La fragmentation de la ceinture d'astéroïdes pourrait être le résultat de travaux miniers de civilisations colonisatrices. Des tentatives de détection de telles civilisations à l'aide d'un télescope infrarouge ont été tentées sans résultat par l'astronome Papagianis.
3. "Ils" ne veulent pas nous rendre visite pour les raisons évoquées plus haut.
4. L'environnement du système solaire est hostile à leurs sondes. Dans la mesure où nous n'occupons pas une place privilégiée dans l'univers, l'autre implication serait qu'une bonne partie de l'univers leur est hostile ou qu'"ils" n'ont pas maitrisé les difficultés inhérentes au voyage interstellaire.
5. "Ils" n'ont pas eu le temps de venir sur Terre. Des modèles élaborés par les astronomes précisent qu'il faut entre cinq et soixante millions d'années pour qu'une civilisation colonise la galaxie. En revanche, une civilisation sans croissance démographique mettrait un temps infini à coloniser la galaxie. Le cas des sondes automatiques est différent : il dépend essentiellement du niveau de développement technologique de la civilisation exploratrice. Des sondes exploratrices voyageant à dix pourcent de la vitesse de la lumière devraient pouvoir explorer la galaxie en quatre millions d'années.
GALACTICA
Vers la fin du Septième Millénaire de l'histoire connue, le Battlestar Galactica est la dernière base galactique de combat de la Défense Coloniale. Fuyant dans le vide de l'espace, le Galactica entraîne dans son sillage une flotte hétéroclite de plus de deux cents vaisseaux habités par les rares survivants des Douzes Mondes qui ont été entièrement anéantis par l'Alliance Cylon. Les Cylons, des machines douées de conscience, étendent alors leur influence dans l'univers connu, depuis plusieurs milliers de yahrens, en détruisant et pourchassant toutes formes de vies organiques. Presque sans espoir de survivre à cette formidable menace, faisant face aux difficultés de ravitaillement en nourriture et énergie, au travers de multiples combats et sacrifices, sous le commandement avisé d'Adama, le Galactica s'enfonce au plus profond de l'espace, traversant même un trou noir, afin de rejoindre la Treizième Tribu humaine qui, d'après les Seigneurs de Kobol, aurait atteint une planète plusieurs milliers de yahrens auparavant. Une planète connue sous le nom de Terre.
la série lancée, calquée en grande partie sur l’exode de la bible et également sur l’odyssée d’Homère. Car le commandant Adama ne fuit pas simplement. Non, il a une idée en tête, retrouver la trace de la mythique treizième colonie qui se serait installé sur la planète terre. Si pour beaucoup, cela n’est qu’un mythe, Adama se raccroche à cette idée. Et leur périple lui donnera raison puiqu’ils découvriront la planète Kobol, le berceau perdu de leur civilisation. L’occasion d’explorer la planète qui ressemble trait pour trait à l’Égypte ancienne. On y verra ainsi le plateau de Gizeh (avec le sphinx et les pyramides) et le temple de Karnak à Louxor (enfin une magnifique réplique version studio avec quelques plans larges avec des images du vrai temple)! Voila qui explique pourquoi le casque des pilotes ressemble furieusement au masque funéraire de Toutankhamon.L’exode va se poursuivre en passant de planète en planète à la façon d’Ulysse.
LES 6 RAISONS DU SILENCE DES EXTRATERRESTRES DANS L'UNIVERS
D'APRES MARC SÉGUIN
1-L'ÉCHELLE GIGANTESQUE DE L'UNIVERS
2-LA DIRECTIVE PREMIÈRE(Star Trek)
3-LA THÉORIE DU COMPLOT
4-L'HYPOTHÈSE DU PLANÉTARIUM
5-LE VIEILLISSEMENT DES CIVILISATIONS
6-UNE ÉVOLUTION ATYPIQUE SUR TERRE
Ce Sujet sera discuté par Richard Ce Mardi le 15 Avril,à la Ligne Ouverte à 19h.
TRUMAN SHOW
The Truman Show est un film américain de Peter Weir sorti en 1998.Le film raconte la vie d'un homme, Truman Burbank, star d'une télé-réalité à son insu. Depuis sa naissance, son monde n'est qu'un gigantesque plateau de tournage, tous ceux qui l'entourent sont des acteurs, lui seul ignore la réalité. Le film explore ses premiers doutes et sa quête pour découvrir la vérité.
Truman vit dans un monde où tout est organisé par une seule personne (le réalisateur), un monde orwellien proche de 1984 et de son Big Brother. Il s'agit d'un homme a priori tranquille qui doute petit à petit de la réalité, ce qui rapproche The Truman Show du roman de Philip K. Dick Le Temps désarticulé, dont il reprend l'idée de départ. La recherche de la réalité de Truman évoque Matrix, sorti un an plus tard, par le biais de l'allégorie de la caverne, et certains éléments de la série Le Prisonnier. « Truman » est la contraction de true man, qui signifie en anglais « l'homme vrai » ou « l'homme véritable »
Quand Truman décide de quitter sa ville par bateau, il se rend compte qu'il est « enfermé », et que le ciel de l'horizon est en fait une paroi peinte. Il trouve une porte pour sortir du studio immense. Le réalisateur lui parle alors, comme le ferait un dieu, par une voix qui descend du ciel et lui révèle la réalité, puis lui propose de rester pour éviter de subir les difficultés du monde extérieur. Cependant, Truman refuse. Cette partie du film est un éloge de la liberté de pensée et de décision. Ce côté rappelle le livre Le Meilleur des mondes d'Aldous Huxley, avec le même combat entre d'un côté une vie contrôlée, surveillée, mais sans risques, et de l'autre la liberté et ses problèmes inhérents.
Pour terminer, le film semble aussi traiter de l'impossible contrôle total des individus. Sa fuite n'est pas due à une volonté éclairée de découvrir le monde dont il a peur mais au désir fou d'une femme à peine rencontrée7. Ce thème se retrouve également dans le roman 1984 où c'est aussi l'amour qui guidera la rébellion de Winston Smith.
L'ÉQUATION DE DRAKE
SOURCE
L'équation de Drake est une célèbre équation mathématique qui concerne directement l'exobiologie.
N = R* x fp x ne x fl x fi x fc x L
N est le nombre de civilisations extraterrestres dans notre galaxie avec lesquelles nous pourrions entrer en contact,
R* est le nombre d'étoiles en formation par an dans notre galaxie, il est égal au nombre d'étoiles dans la Galaxie divisé par l'âge de la Galaxie, sachant que le nombre actuel d'étoiles correspond à peu près au nombre total d'étoiles ayant existé.
fp est la fraction de ces étoiles possédant des planètes,
ne est le nombre moyen de planètes par étoile potentiellement propices à la vie,
fl est la fraction de ces planètes sur lesquelles la vie apparaît effectivement,
fi est la fraction de ces planètes sur lesquelles apparaît une vie intelligente,
fc est la fraction de ces planètes capables et désireuses de communiquer,
L est la durée de vie moyenne d'une civilisation : C'est donc la durée de vie d'une civilisation communicante.
Cette équation a pour mérite d'être composée de facteurs accessibles à notre entendement. Si la plupart des facteurs de cette équation semblent être accessibles à nos instruments, la durée de vie moyenne d'une civilisation semble être le facteur le plus difficile à appréhender.
LA MAISON DES CULTURES AMÉRINDIENNES
SOURCE
Le site de La Maison amérindienne vous permet de découvrir diverses facettes des cultures amérindiennes du Québec et du Canada. Inaugurée au tournant du siècle, en l'an 2000, La Maison amérindienne est une trace tangible de la Décennie internationale des populations autochtones qui a été lancée par l'Assemblée des Nations unies le 9 décembre 1994. Marquée par une naissance originale inspirée par la démarche sociale de son fondateur le peintre-sculpteur André Michel et par sa situation, puisque située hors réserve, La Maison amérindienne est un lieu multi- nations, reconnue par le Gouvernement du Québec comme Entreprise culturelle d'économie sociale.
Le 22 avril 2008 – Jour de la terre – la Commission de lieux et monuments historiques du Canada a désigné La Maison amérindienne et l'érablière, où elle est située, comme le seul lieu de référence national des Produits de l'érable pour l'origine de l'acériculture. Sa mission sociale: être un lieu d'échanges, de partage et de rapprochement des peuples se réalise avec des activités muséales, environnementales, agricoles et gastronomiques.
MANIFESTATION CONTRE LES COMPTEURS POLLUANT A MONTRÉAL
VIDEO
MONTRÉAL - Quelques centaines de personnes opposées à l'installation des compteurs intelligents par Hydro-Québec ont scandé leur message dans les rues de Montréal, samedi après-midi.
Organisée par le mouvement Refusons les compteurs, la manifestation visait à dénoncer les conséquences sur la santé liées à l'émission des radiofréquences de ces nouveaux compteurs.
Les marcheurs ont arpenté les rues du centre-ville en direction des bureaux du nouveau premier ministre Philippe Couillard, sur la rue Sherbrooke, en prenant bien soin de passer devant le siège social d'Hydro-Québec, sur le boulevard René-Lévesque.
Sylvie Robitaille, qui habite Boucherville, fait partie des premières personnes chez qui les nouveaux compteurs ont été installés, dans le cadre d'un projet pilote. Elle ne voyait pas d'inconvénient à cette nouvelle technologie au départ, mais du jour au lendemain, elle dit avoir ressenti les effets négatifs sur sa santé.
«J'ai commencé à faire de l'insomnie, à avoir des pertes d'équilibre et de mémoire. Je me servais un verre d'eau, je prenais une gorgée et je m'en servais un autre tout de suite après», se rappelle-t-elle.
Elle n'est pas la seule à vivre cette situation. Les organisateurs de la marche affirment que 442 témoignages écrits ont été déposés à la Régie de l'énergie au sujet de problèmes liés aux nouveaux compteurs.
Devant cette situation, le mouvement Refusons les compteurs croit que le nouveau premier ministre Philippe Couillard n'a qu'un choix. «Il doit agir par décret pour imposer un moratoire et abolir les frais de retrait des compteurs», a réclamé Marie-Michelle Poisson, une porte-parole du mouvement.
Le député de Québec solidaire Amir Khadir a pris la parole devant la foule réunie au square Victoria avant le début de la marche pour féliciter les organisateurs. «Les personnes qui souffraient ne sont plus seules aujourd'hui et c'est grâce à vous (...) Comptez sur Manon (Massé) , Françoise (David) et moi [pour en parler à l'Assemblée nationale], mais ne lâchez surtout pas les députés des autres partis», a-t-il dit, s'attirant des applaudissements.
LA CARTE DU CIEL DU JOUR D'ÉLECTION,
LE 7 AVRIL 2014
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LA CARTE DES 3 CANDIDATS
Chanson Vivre Debout Gilles Vigneault
PAULINE MAROIS
PHILIPPE COUILLARD
FRANÇOIS LEGAULT
LES CHICAGO BOYS
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Le surnom de « Chicago Boys » désigne un groupe d'économistes chiliens des années 1970, formés à l'Université de Chicago et influencés par Milton Friedman et Arnold Harberger.En 1953, l'école de Chicago propose un partenariat à l'Universidad de Chile, qui était l'université la plus prestigieuse du Chili. Mais ses dirigeants refusent l'offre, et préfèrent un partenariat avec l'Université Columbia1. Les économistes de Chicago se tournent alors vers l'université pontificale catholique du Chili, qui accepte en 1956.
Les Chicago Boys suivent une formation en économie à l'université pontificale catholique du Chili, organisée en partenariat avec l'université de Chicago dans le cadre de cet accord ; des professeurs de l'université enseignent ainsi sur place, une bibliothèque moderne est financée sur place ainsi que des bourses pour les meilleurs étudiants. Sous la présidence du doyen de l'université de Chicago, Theodore Schultz, cet accord est renouvelé à trois reprises et a une influence prépondérante sur l'enseignement de l'économie au Chili. Plusieurs des Chicago Boys poursuivent leur formation directement à l'université de Chicago où ils suivent les cours de Milton Friedman et d’Arnold Harberger.
Leur influence s'affirme au cours des années 1960 lorsque leur leader, Sergio de Castro, devient président de l'Université pontificale. Ils s'opposent au mouvement des étudiants démocrates-chrétiens qui souhaitent une démocratisation des universités. Les Chicago Boys lient alors des liens avec le mouvement grémialista dirigé par le militant d'extrême droite Jaime Guzmán (futur idéologue de la dictature Pinochet).
Dans les années 1960 et 1970, ils écrivent dans les journaux conservateurs El Mercurio et Qué Pasa, et pour certains dans la revue d'extrême droite PEC. Ils y dénoncent les politiques menées par les démocrates-chrétiens, puis par l'Unidad Popular
JEAN BARBE
"Quand, dans deux cent ans, les survivants autour du feu se raconteront des histoires de l'ancien temps, l'un d'eux demandera à coup sûr: «Mais comment ont-ils pu ne rien voir venir?»
«La pollution extrême est la cause de centaines de milliers de morts prématurées chaque année - jusqu'à 1 million, selon certaines sources.»"
qui réfère a l'article suivant dans
LA PRESSE
ÉMISSION LES ANNÉES LUMIERE
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[size=largeLes experts du climat n'ont jamais été aussi inquiets du scénario de réchauffement qui menace la Terre. Ils publieront ce dimanche le plan d'action que les gouvernements devront entreprendre s'ils tiennent à éviter le pire.
Invités :
-Youba Sokona, ingénieur civil, co-président Groupe de travail mitigations, GIEC, Berlin
- Hervé Le Treut, climatologue, directeur, Institut Pierre Simon Laplace, Paris.
- Andrée-Lise Méthot, ingénieure, associée principale, Cycle Capital, Montréal]
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FUKUSHIMA:LE DANGER EST PIRE
Les médias ont obtenu s'ennuyer avec l'histoire de la crise de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi, mais les débris radioactifs va bientôt atteindre la côte ouest américaine. Faut-il s'inquiéter? Non seulement vous inquiétez pas, mais se préparer. C'est une situation très dangereuse. Ici, Linda Moulton Howe rapports sur l'histoire largement ignoré de ce qui s'est passé à l'équipage de l'USS Reagan quand il s'est approché à moins de deux miles de la centrale de combustion afin d'offrir de l'aide. Les Japonais avaient menti à l'US Navy sur le niveau de contamination, mais quand les dirigeants de la Reagan ont réalisé qu'ils naviguaient dans un piège mortel, ils ont immédiatement retiré à une centaine de miles au large des côtes. Mais les membres de l'équipage ont été dévastées par la maladie des rayons depuis.
Ce n'est là qu'un exemple de la mensonge horrible et incroyablement irresponsable qui caractérise Japon et toute approche de Tokyo Electric Power au problème. Le gouvernement japonais a même été jusqu'à faire des rapports quelque chose de négatif à propos de l'usine illégale au Japon.
L'OVNISHOW
L'OVNIshow est la seule émission diffusée en Mauricie où tous les aspects du phénomène OVNI sont scrutés à la loupe. Par l'entremise d'invités et de témoins de phénomènes insolites, l'OVNIShow vous fait découvrir toutes les facettes se rapportant à notre réalité visible et invisible. Diffusée sur les ondes de Radio-Shawinigan les mercredis en soirée, L'OVNIshow vous présente l'actualité ufologique et fait état des grands dossiers relatifs au monde de l'ufologie d'aujourd'hui
La technologie de communication empêche la détection.
Une autre raison que nous ne détections pas les extraterrestres,
La technologie de communication qu'ils utilisent empêche la détection.
Combien de gens utilisent encore les signaux de fumée pour communiquer.
La science des extraterrestres est très en avance sur la notre.
Il y probablement peu de civilisation au même niveau que nous.
VidéOrandia #15
Bien le bonjour,
Votre invité au début, très intéressant
Merci
Son histoire (aventure) ma fait pensé a (voir a 8:03)
http://www.youtube.com/watch?v=XMkQZNPJhtU
Se nourrir de vie
J'ai bien aimer aussi la présentation sur la liste des invités
Nous avons Hate
Merci