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Jean Chrétien n’avait « jamais » entendu parler des abus dan

par Jeromec, lundi 25 octobre 2021, 17:17 (il y a 914 jours)

Sur le lien suivant, vous allez voir les ''covidiots'' de Radio-Canada... là où le port du masque est OBLIGATOIRE en TOUT TEMPS sauf assis en mangeant....

Est-ce que monsieur Chrétien et Lepage portent les masques... NON.

Est-ce que les enfants à l'école primaires doivent le porter en tout temps...? oui.... est-ce que le décret du gouvernement respectent son décret... NON... les jeunes de 12 ans et moins sont exemptés de le porter et ceux qui déclarent avoir une condition médicale...

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1834100/jean-chretien-liberaux-justin-trudeau-expe...

Jean Chrétien n’avait « jamais » entendu parler des abus dans les pensionnats

Jean Chrétien n’avait « jamais » entendu parler des abus dans les pensionnats
Jean Chrétien à Tout le monde en parle.
L'ancien premier ministre Jean Chrétien était à Tout le monde en parle pour discuter de son dernier livre autobiographique : Mes nouvelles histoires.

PHOTO : RADIO-CANADA / KARINE DUFOUR

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Frédérik-Xavier Duhamel (accéder à la page de l'auteur)
Frédérik-Xavier Duhamel
2021-10-24 | Mis à jour aujourd’hui à 13 h 25
L'ancien premier ministre libéral Jean Chrétien a affirmé sur le plateau de Tout le monde en parle qu’il n’avait « jamais » entendu parler des abus dans les pensionnats pour Autochtones pendant qu’il était ministre des Affaires indiennes, de 1968 à 1974.

On n’a jamais mentionné ce problème-là quand j’étais ministre. Jamais, a-t-il répondu à une question de l’animateur Guy A. Lepage au sujet des abus physiques et sexuels, des mauvais traitements et des disparitions qui y ont eu lieu pendant des décennies.

Ces faits ont depuis été largement documentés par la Commission de vérité et réconciliation(Nouvelle fenêtre) en 2015, et sont revenus au centre de l’actualité cette année après la découverte de centaines de corps non identifiés près d’anciens pensionnats du pays.

Évidemment, je savais qu'il y avait des pensionnats, d'ailleurs le dernier a été fermé quand j'étais premier ministre, soit en 1997, a souligné l’ancien politicien, invité à l’émission pour discuter de son dernier livre autobiographique : Mes nouvelles histoires.

M. Chrétien, qui a été premier ministre de 1993 à 2003, a ensuite semblé vouloir dresser un parallèle avec les pensionnats des collèges classiques qu’il a fréquentés dans son adolescence pour être admissible à l'université.

M. Chrétien sur le plateau.
L'ancien premier ministre Jean Chrétien a raconté avoir été pensionnaire dans des collèges classiques, un prérequis à l'époque pour l'université.

PHOTO : RADIO-CANADA / KARINE DUFOUR

À Shawinigan, on n’avait pas de collège classique, on était obligé d’aller à Trois-Rivières ou à Joliette, a-t-il expliqué. Alors j’en ai mangé des fèves aux lards et du gruau. C’était dur, mais mes parents insistaient pour qu’on aille à l’université et il fallait le faire.


Ces propos ont choqué l’auteur Michel Jean, aussi invité à l’émission juste après l’ancien premier ministre.

Je pense que M. Chrétien, en tout respect, ne réalise pas c’est quoi un pensionnat autochtone, a réagi M. Jean, qui est Innu. Le mot pensionnat fait penser aux gens que c’est une école, on apprend aux gens à écrire, alors que ce n'était pas ça.

Contrairement aux collèges classiques, qui n'étaient qu'un prérequis pour fréquenter l'université, les pensionnats pour Autochtones étaient obligatoires. Durant des décennies, les enfants autochtones partout au pays ont été arrachés à leur famille et forcés de se convertir au christianisme.

Michel Jean, qui était aussi de passage à l’émission pour discuter de son dernier livre, Tiohtiáke, a donné des exemples d’abus que des membres de sa famille y ont subis. Il y a quelqu’un dans ma famille qui est allé au pensionnat de Fort George qui a été agressé sexuellement tous les jours pendant huit ans par une religieuse.

Ça s’appelle un pensionnat, mais ce n'était pas une école.

M. Jean sur le plateau.
L'auteur innu Michel Jean a été choqué par les propos de M. Chrétien sur les pensionnats pour Autochtones.

PHOTO : RADIO-CANADA / KARINE DUFOUR

Des excuses déconseillées
Dans son livre, Jean Chrétien raconte également avoir déconseillé à la reine d’Angleterre de s’excuser auprès du peuple maori de Nouvelle-Zélande pour le sort que leur a réservé l’administration coloniale britannique.


Il lui aurait dit : Votre Majesté, si vous commencez je serai obligé de vous faire venir au Canada et, comme nous avons plusieurs centaines de communautés autochtones, vous serez à genoux pendant au moins deux ans.

Questionné sur cet épisode, M. Chrétien a soutenu que les excuses, c’est bon qu’on en fasse, mais il y a une chose qui est importante, c’est l’avenir.

On ne peut pas réécrire l’histoire, a poursuivi l’homme d’État aujourd'hui âgé de 87 ans. C’est un problème extrêmement difficile.

J’ai même adopté un fils indien, pour donner l’exemple, a-t-il ajouté, en précisant qu'il s'agissait d'une idée de sa femme, Aline, qui lui faisait remarquer que les Canadiens adoptaient des enfants de partout dans le monde, mais jamais de jeune indien mâle.

Ça prouve mon attachement à ce problème-là, mais c'est très difficile. Et ce qui est important, c'est de s'assurer qu'ils ont un avenir.

M. Chrétien a ensuite souligné les progrès qui ont été faits, notamment en éducation, dans les dernières décennies.

La valeur de l’expérience
Dans son livre, M. Chrétien soutient que, si le premier ministre Justin Trudeau et son équipe aspirent à être des réformistes à grande échelle, leur manque d’expérience pour atteindre cette cible est de plus en plus apparent.

Sur le plateau de Tout le monde en parle, il a dit se baser sur son expérience personnelle et la valeur qu’il a trouvée chez des collègues plus expérimentés.

Quand je suis arrivé au parlement, très rapidement M. Pearson m’avait pris comme son secrétaire parlementaire ensuite il m’a envoyé au ministère des Finances, s’est-il remémoré.

Il m’a dit : ''va-t’en au ministère des Finances avec Mitchell Sharp'', qui avait été sous-ministre, homme d’affaires. Il m’a dit : ''là tu vas apprendre.'' Et Mitchell Sharp est devenu mon mentor.

Ce dernier l’a aussi conseillé bénévolement pendant une décennie lorsqu’il est devenu premier ministre, a-t-il raconté.

L’expérience de M. Pearson, plus l’expérience de M. Sharp, ont fait de moi ce que je suis aujourd’hui.

Sur les relations tendues entre le Canada et la Chine(Nouvelle fenêtre), M. Chrétien s’est montré pragmatique.

La Chine est devenue une puissance énorme. Elle va rejoindre éventuellement les Américains et les dépasser. On n’aime pas leur régime, mais ils sont là.

Il faut garder un dialogue avec eux parce que les économies du monde sont interreliées. Et puis la chicane ça mène nulle part, faut essayer d’avoir les meilleurs rapports possibles, a-t-il ajouté''

Le 1 novembre il y a une manifestation devant Radio-Canada.. inutile de vous dire pourquoi... ben je vais vous le dire quand même... c'est assez de leurs mensonges et demies-vérités...

Trudeau participera en personne à deux sommets en Europe

par Jeromec, lundi 25 octobre 2021, 17:27 (il y a 914 jours) @ Jeromec

Le Dauphin de Chrétien, Castro-Trudeau-Sinclair... va-t-il quitter le Canada sans être adéquatement vaccinés...

Il a fait semblant de recevoir le Astrazeneca et le Moderna....

Mais même si ce n'était que des solutions salines selon une infirmière (pur délire de conspirationniste évidemment)...

Va-t-il quitter le pays sans être adéquoitement vaccinnés... Suspense...

Si j'étais dans son équipe de communication, je ferais au moins une fausse vaccination devant les caméras et sans l'aide de Sophie... comme un grand garçon... dans l'épaule sans tatou de Corbeau... cette fois-ci... pourquoi endommagé un si beau tatou, tatou compris... :-D

Justin Trudeau participera en personne à deux sommets en Europe cette semaine

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1834291/justin-trudeau-g20-cop26-deux-sommets-europe


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La Presse canadienne
11 h 21 | Mis à jour à 11 h 38
Justin Trudeau participera en personne à deux sommets internationaux tenus en Europe dans les prochains jours.

Le premier ministre quittera Ottawa peu après l'assermentation de son nouveau Conseil des ministres mardi. Son voyage commencera par un arrêt aux Pays-Bas vendredi pour une visite bilatérale à La Haye. Il y rencontrera son homologue Mark Rutte.

Il sera à Rome les 30 et 31 octobre pour le Sommet des dirigeants du G20. Il y sera question de la pandémie de COVID-19.

M. Trudeau entend également commencer à parler de transition vers l'énergie propre et de lutte contre les changements climatiques, le sujet de la réunion qui suivra, à Glasgow, au Royaume-Uni.

Les deux premiers jours de novembre, M. Trudeau participera donc à la COP26. Les leaders du monde doivent s'attaquer, une fois de plus, à la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

Ensemble, nous en finirons avec la COVID-19, nous nous attaquerons à la crise climatique mondiale et nous bâtirons un meilleur avenir pour tous, est-il écrit dans le communiqué diffusé par le bureau du premier ministre, lundi matin.

Je suis impatient de travailler avec les dirigeants au cours du Sommet des dirigeants du G20 et de la COP26 afin que nous puissions, ensemble, bâtir un avenir plus propre et plus prospère pour tous, y a écrit M. Trudeau.''

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1834220/obligation-vaccinale-federal-colere-groupe...

Des fonctionnaires fédéraux ripostent contre la vaccination obligatoire

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Julie-Anne Lapointe
4 h 00 | Mis à jour à 8 h 51
Des employés de la fonction publique fédérale s'organisent pour éviter d’avoir à se plier à l’obligation d’être pleinement vaccinés. Un groupe créé par des fonctionnaires en colère contre la politique du gouvernement Trudeau – qui compte plus de 4000 membres – s’échange des trucs et astuces, comme celui qui consiste à faire parvenir des mises en demeure aux gestionnaires.

Les instigateurs du groupe Feds for Freedom ont rassemblé sur leur site web toute la documentation nécessaire pour aider les fonctionnaires dans leur démarche : un guide des étapes à suivre, des modèles de lettres et des documents à télécharger, y compris une copie d’une mise en demeure à remplir par l’employé.

Le groupe suggère ainsi à un fonctionnaire qui le souhaite de réclamer jusqu’à 35 000 $ à un gestionnaire ou toute autre personne qui aurait brimé ses droits en évoquant la possibilité d’un congédiement s’il refuse de révéler son statut vaccinal.

Si le membre de l’équipe [insérer le nom] cesse de réclamer une preuve vaccinale d’ici 7 jours, ce différend sera résolu, peut-on lire dans le document.


Les fonctionnaires fédéraux ont jusqu’à vendredi pour soumettre à leur employeur une attestation de leur statut vaccinal, selon l’échéancier prévu par le gouvernement fédéral.

À quelques jours de cette date butoir, les membres s’activent dans les forums de discussion du groupe. Certains s'échangent des noms d’avocats qu’ils ont consultés ou des adresses de cabinets de médecins prêts à donner un billet médical pour justifier une absence prolongée pour des employés qui cherchent à garder leur salaire sans devoir se faire vacciner.

Des membres expliquent en détail comment ils entendent convaincre leur gestionnaire de leur accorder une exemption pour des motifs religieux. D’autres encouragent leurs collègues à ne pas céder aux exigences de l’employeur, afin de lancer un message fort si plusieurs se retrouvent en congé sans solde le 15 novembre prochain.

Les fonctionnaires fédéraux, y compris les employés de la Gendarmerie royale du Canada (GRC), ont jusqu’au 29 octobre pour confirmer à leur gestionnaire leur statut vaccinal. La politique annoncée plus tôt en octobre prévoit que les travailleurs qui ne seront pas pleinement vaccinés ou qui refuseront de dévoiler leur statut vaccinal seront placés en congé sans solde à compter du 15 novembre. Une période de 10 semaines sans mesures punitives sera accordée aux employés ayant reçu une seule dose de vaccin, pour leur permettre de recevoir leur deuxième dose.

Les responsables du groupe Feds for Freedom ont refusé de répondre à nos questions ou de nous accorder une entrevue.

Dans une déclaration, le groupe assure qu’il n’est pas contre les vaccins. Il estime cependant que les employés doivent s’unir pour dénoncer la vaccination obligatoire des fonctionnaires, puisque selon lui, l’employeur n’a aucun droit légal ou moral de faire des menaces ou de mettre en place cette politique.


Pas de passe-droit, dit le gouvernement
Le Secrétariat du Conseil du trésor maintient que les employés qui ne peuvent pas être vaccinés pour des raisons médicales ou des motifs religieux peuvent demander des accommodements. Dans une déclaration écrite, il lance toutefois une mise en garde aux fonctionnaires : ceux qui soumettent une fausse attestation s’exposent à des mesures disciplinaires qui peuvent mener au licenciement.

Les attestations seront vérifiées et les gestionnaires peuvent demander une preuve de vaccination à tout moment, est-il écrit.

Le Conseil du trésor encourage par ailleurs les gestionnaires à discuter avec les employés pouvant se montrer hésitants à se faire vacciner.

Les syndicats coincés au centre d’un enjeu polarisant
Des syndicats qui représentent les fonctionnaires sont bien au fait que des employés s’organisent pour s’opposer à la politique de vaccination. Depuis des semaines, ils reçoivent un grand nombre de messages de membres inquiets.

On reconnaît que des membres ont des problèmes à respecter l’obligation de la vaccination, affirme Stéphane Aubry, vice-président de l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada.

Les employés ont peur de ce qui se passe. Leur emploi et leur quotidien sont en jeu. Les gens essaient seulement de survivre, et quand on ajoute la possibilité qu’on leur retire leur salaire, ça va devenir encore plus difficile, constate Nicholas Marcus Thompson, président régional pour le Syndicat des employé-e-s de l’Impôt, qui représente 800 membres de l’Agence du revenu du Canada dans la région de Toronto.

C’est un enjeu qui divise et qui a le potentiel de mener à de la violence.

Une citation de :Nicholas Marcus Thompson, président du Syndicat des employé-e-s de l’impôt, Toronto-Nord
La politique de vaccination obligatoire ne s’applique pas encore aux employés des agences gouvernementales comme l’Agence du revenu du Canada, mais des discussions sont en cours pour déterminer quand et de quelle façon une mesure semblable pourrait être adoptée.

Selon M. Thompson, la question de la vaccination obligatoire a créé un important clivage chez les membres. Il craint qu'elle contribue à un climat de travail tendu, qui pourrait mener à certains débordements, selon lui : Quand on parle aux membres et qu’on entend des deux côtés à quel point ils sont engagés dans cet enjeu, c’est vraiment inquiétant.

Entre les employés qui s’opposent à la vaccination obligatoire et ceux qui s’inquiètent de côtoyer des collègues non vaccinés, les représentants syndicaux marchent sur des œufs en tentant de défendre les intérêts de tous leurs membres, y compris de ceux qui contestent la politique du gouvernement.

On continue de les représenter dans les cas où ils ont des demandes d'accommodation refusées par l’employeur, explique M. Aubry. On va les appuyer au cas par cas, tout en les encourageant à considérer la vaccination.

Les opposants reprochent toutefois aux syndicats de ne pas en faire assez pour défendre leurs intérêts. Des journées de mobilisation sont organisées par le groupe Feds for Freedom à compter de lundi à Ottawa, pour réclamer un meilleur appui des représentants syndicaux.

Peu de contournement possible, croit une avocate
Malgré les moyens de pression exercés par certains fonctionnaires fédéraux, Me Geneviève Beaudin, avocate spécialisée en droit du travail, estime qu’il y a peu de chances que la politique puisse être ignorée ou contestée sans conséquence pour l’employé.

Geneviève Beaudin en entrevue avec Radio-Canada.
Geneviève Beaudin, avocate spécialisée en droit du travail

PHOTO : RADIO-CANADA

Je ne vois pas de façon de la contourner autrement que de demander des mesures d’adaptation comme une contre-indication médicale ou des motifs religieux, dit-elle.

Le premier ministre Justin Trudeau avait indiqué lors de l’annonce de la nouvelle politique que ces cas d’exception seraient extrêmement rares.

Selon Me Beaudin, des gestionnaires pourraient avoir à gérer au cas par cas des demandes d’exemption des employés.

Elle n’écarte pas la possibilité que les efforts des employés en coulisse mènent à des recours devant les tribunaux. Tout se peut; il pourrait y avoir des contestations aux droits de la personne, il pourrait y avoir des syndicats qui vont aller de l’avant avec de la contestation.

Une minorité contre la politique
Lors de l’annonce de l’entrée en vigueur de la politique, le gouvernement fédéral estimait que la proportion d’employés fédéraux n’étant pas pleinement vaccinés devait être semblable à celle de la population générale, soit d’environ une personne sur cinq.

On parle quand même d’un petit nombre de fonctionnaires qui expriment leurs inquiétudes et leurs demandes, soutient Stéphane Aubry.

Les syndicats et représentants gouvernementaux attendent la date limite du 29 octobre pour avoir un portrait plus clair du nombre d’employés qui ne sont pas pleinement vaccinés ou qui auront refusé de dévoiler leur statut vaccinal. En date du 20 octobre, environ 200 000 fonctionnaires fédéraux sur 267 000 avaient soumis leur attestation de statut vaccinal à l’employeur, selon le gouvernement fédéral...''

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