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Chronologique

Un médecin de l'Institut de cardiologie de Montréal ose parl

par azurai, vendredi 26 février 2021, 20:24 (il y a 1126 jours)

Un médecin de l'Institut de cardiologie de Montréal ose parler des risques du vaccin COVID19

SVP partagez.... c'est notre seul médecin québécois qui a pris position contre le narratif officiel concernant la vaccination contre le COVID.

Il est important d'attendre un maximum de temps avant de prendre ce vaccin. Le Dr. Marchand, spécialiste en vaccination, microbiologiste et infectiologue de l'Iinstitut de Cardiologie de Montréal, nous dit qu'on manque de recul et que ce vaccin, en temps normal, n'aurait pas été commercialisé. Il nous expose le danger réel d'un tel vaccin développé en accéléré et surtout, pourquoi ce vaccin a le potentiel de nous tuer...
Ce n'est pas banal comme avertissement!

Un document fait par un ami qui résume la controverse du vaccin anti-covid: https://drive.google.com/file/d/1vBeP...​

Si vous voulez plus de détails sur le fonctionnement des ADE écouter ma dernière vidéo sur les effets ADE et pourquoi se méfier de ce vaccin, c'est ici: https://youtu.be/nbEUhxZzQ0k​

Ma première vidéo sur les problèmes potentiels de ce vaccin, réalisée au mois d'avril 2020, c'est ici: https://youtu.be/YJnCOxLLa1Y​​
Bonne écoute.

Passeport vaccinal, discriminatoire - Vardit Ravitsky

par azurai, vendredi 26 février 2021, 20:35 (il y a 1126 jours) @ azurai

Entrevue avec Vardit Ravitsky, professeure de bioéthique à l’Université de Montréal.

la police rejette le vaccin après 25% des agents

par Jeromec, lundi 01 mars 2021, 18:59 (il y a 1123 jours) @ azurai

êtes vous surpris que les politiciens et les journalistes laissent passer les autres en premier..... Cobayes... De toutes façon, même vacciner les restrictions vont demeurer les mêmes...;-)

Vaccin AstraZeneca: la police rejette le vaccin après 25% des agents à effets secondaires en France

https://www.marseillenews.net/news/sante/vaccin-astrazeneca-la-police-rejette-le-vaccin...

Le vaccin choisi pour les policiers en Espagne et dans d’autres pays européens a été celui de AstraZeneca et les premiers à se plaindre et à demander que cette décision soit modifiée ont été les représentants de la police régionale et locale, qui, après avoir ajouté au soupçon généré entre les forces de sécurité de l’Etat et les organes pour le choix du médicament contre Covid, maintenant ils sont allés plus loin. Selon les données de la Confédération de la sécurité locale et autonome, la vaccination des policiers français provoque une avalanche de congés de maladie en raison de la vaccination de la police et ils ne veulent pas que cela se produise également en Espagne.

Les campagnes de vaccination contre Covid pour les différents policiers en Espagne ont été éclaboussées par différentes controverses depuis l’annonce des groupes qui allaient en bénéficier, à savoir, les forces de police de toute envergure, nationales, régionales et locales, les pompiers, la protection civile et tout autre qui peut être considéré comme un organisme dédié aux urgences. La dernière de ces controverses vient du pays voisin. Selon la Confédération de la sécurité locale et autonome, un représentant professionnel d’organismes tels que la Mossos, la Ertzaintza et toute la police locale, en France les forces de l’ordre sont également vaccinées avec le médicament AstraZeneca et là 25 agents vaccinés sur 100 ils manifestent des effets secondaires graves.

Selon Oscar Camacho, le secrétaire général de l’AAPC, en France les policiers qui ont été vaccinés avec cette variante, ont réagi différemment après son administration, mais environ 25% ont manifesté des symptômes grippaux sévères, des maux de tête, des fièvres élevées et d’autres types de conséquences qui ont entraîné une avalanche de blessés médicaux qui, de l’avis de cette organisation, ce qu’elle fait est de saper la capacité d’assurer la sécurité en faisant chuter le nombre d’agents disponibles dans la rue.

C’est précisément la vague d’altercations et de manifestations violentes vécues ces jours-ci en Espagne qui a conduit à cette réaction de la part des représentants de la police locale et régionale qui défendent que si ce n’est jamais le bon moment pour réduire le nombre d’agents disponibles pour le service est peut-être le pire de ces moments en raison des situations vécues ces derniers jours dans différentes villes d’Espagne.

C’est pourquoi ils se sont adressés au ministre de la Santé, Carolina Darias, pour vous demander de corriger votre décision et de cesser de recommander le vaccin AstraZeneca pour lutter contre la vaccination policière. En fait, Camacho assure qu’en France l’affectation des effets secondaires a été généralisée, mais en Catalogne il y a déjà des pertes de mossos d’Esquadra après presque deux semaines de campagne de vaccination. Petit à petit, ce vaccin spécifique se répand dans le reste du pays, en particulier dans les communautés qui contrôlent leurs policiers. Sans aller plus loin, ce lundi 22 février, la campagne de vaccination de la Police Forale de Navarre. Dès le début de la campagne de vaccination policière dans la communauté Foral de Navarre, un agent des personnes inoculées avec le médicament AstraZeneca a notifié à ses services médicaux qu’il avait 38 ans et demi de fièvre et des symptômes compatibles avec un processus grippal, qu’il camoufle généralement le affectation par le coronavirus. Le policier a été retiré du service et envoyé en congé de maladie jusqu’à ce que son état s’améliore.

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