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Laissez tout cela s'effondrer !

par Baryton, Au coeur des pays d'en haut, mardi 07 juillet 2020, 12:43 (il y a 1361 jours)

C'est assez clair, non ?


Je voulais partager avec vous que pendant cette crise collective de Covid-19, nous devons laisser les choses s’effondrer.

Cela signifie que nous n’essayons pas de sauver la société, nous n’essayons pas de sauver le système éducatif ou le système économique.

Nous devons vraiment, VRAIMENT, créer de nouveaux systèmes et laisser les anciens s’effondrer.

En juin 2020, j’ai reçu plusieurs courriels des autorités éducatives de Sacramento où mon fils de 14 ans va à l’école, proposant des « options » pour l’éducation. Deux de ces « options » consistaient à envoyer les enfants à l’école soit deux jours par semaine, soit cinq jours par semaine. La lettre décrivait ensuite à quoi ces journées allaient ressembler. Pour faire court :

Pas d’espaces communs.
Pas de repas scolaires.
Pas d’interaction avec les autres enfants
Port du masque obligatoire
Acceptation des futures exigences de la vaccination
Pas de jeu

J’ai été choquée de voir ce qu’on me demandait et j’ai aussi pris conscience que de nombreux parents choisissent d’envoyer leurs enfants dans ce qu’on ne peut que qualifier de camp de prisonniers. La folie de cette situation dépasse les mots.

C’est facile à comprendre, n’est-ce pas ?

Prenez une grande respiration, expirez. Répétez. Réalisez qu’il s’agit d’une « option » et que les familles et les enfants qui choisissent cette solution dorment.

Mon conseil, celui que j’ai reçu personnellement ce mois-ci, était de rester en dehors de tout cela. Ne luttez pas, n’essayez pas de réparer, n’essayez pas d’éduquer ces gens sur la gravité et l’horreur de cette situation pour leurs enfants. Laissez-les simplement faire. Laissez-les s’effondrer. Laissez-les vacciner.

En observant cette dynamique, j’ai vu que cette scission est l’une des plus douces qu’on ait pu trouver.

En marchant dans le monde, « par leurs masques, vous les connaîtrez ». Vous connaîtrez ceux qui ont peur, ceux qui coulent, qui s’engagent dans une co-création infernale. Et je ne parle pas des gens qui portent des masques dans des endroits où les gens qui n’en portent pas ne sont pas admis. Je parle des gens qui les portent quand ils marchent seuls sur la route sans personne autour d’eux. Ou lorsqu’ils conduisent seuls dans leur voiture.

Laissez-les partir. Laissez-les s’effondrer. C’est le moment.

En tant que travailleurs de la Lumière, nous devons tenir bon. Ne pas aider les craintifs.

Trouvez vos tribus !

Une fois que vous aurez trouvé vos tribus, commencez à vous connecter. Le temps du loup solitaire est terminé.

Inelia

Source: https://ineliabenz.com/let-it-crumble/

Trouvé ici : Laissez tout cela s'effondrer !

Laissez tout cela s'effondrer !

par Vulcain @, mardi 07 juillet 2020, 13:11 (il y a 1360 jours) @ Baryton

Merci Baryton.

Ajouté aussi sur Nouveau Monde.

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François

https://nouveau-monde.ca/

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Laissez tout cela s'effondrer !

par Baryton, Au coeur des pays d'en haut, mardi 07 juillet 2020, 14:58 (il y a 1360 jours) @ Vulcain

Merci Baryton.

Ajouté aussi sur Nouveau Monde.

Excellent ! Merci. :-)

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Pas question disent et rediront les études & le Gouvernement

par René @, mardi 07 juillet 2020, 16:47 (il y a 1360 jours) @ Baryton

Par R-C...sur FB:

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Une affiche rappelle les mesures de distanciation physique.

PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS


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Mélanie Meloche-Holubowski (accéder à la page de l'auteur)
Mélanie Meloche-Holubowski
Publié à 4 h 00

Est-ce que les stratégies de prévention sont bien comprises? Une chercheuse spécialiste en médecine du comportement pense que les gens sous-estiment les risques du déconfinement et affirme que la « seule arme qu’on a contre cette maladie, ce sont nos comportements ».

La Dre Kim Lavoie, professeure de psychologie en médecine du comportement à l'Université du Québec à Montréal, est l’une de 150 chercheurs, issus de 40 pays, qui étudient présentement l’impact des politiques de confinement et de mesures sanitaires.

Les chercheurs de l'étude iCARE demandent aux citoyens de remplir un questionnaire(Nouvelle fenêtre) sur leurs comportements depuis le depuis le début de la pandémie. Plus de 50 000 personnes ont déjà décrit comment ils ont réagi aux mesures de confinement et de restriction sociale.

La Dre Lavoie fait partie des experts qui demandent aux gouvernements de consulter des spécialistes des sciences sociales pour faire davantage en sorte que leurs politiques et mesures sanitaires soient respectées et efficaces.


1. Depuis le début du déconfinement, est-ce que les gens sous-estiment les risques d’être infectés par la COVID-19?

Oui, on voit qu’en déconfinant, les gens sous-estiment le risque, ils oublient que le virus est encore très présent.

Il faut toujours rappeler aux gens qu’il n’y a pas grand-chose qui a changé depuis le début de la pandémie; le virus est tout aussi présent, les risques sont toujours là et même encore plus, parce qu’on est davantage en contact avec les gens.

Sans vaccin ni traitement, la seule arme qu’on a contre cette maladie, ce sont nos comportements. Tout dépend de la bonne volonté et de la motivation des gens.

Mais avec les êtres humains, ce n’est pas toujours pas si simple que ça…


2. Le déconfinement se fait-il trop rapidement?

Je pense qu’il y a certaines choses qui vont trop vite. Les bars et les restaurants ne devraient pas être ouverts. Il faut garder la frontière avec les États-Unis fermée.

On ouvre tout et c’est problématique, parce que ça envoie le message que tout est correct puisqu’on a tout rouvert. Il y a un problème de message. Ce n’est pas pour ça qu’on permet le déconfinement. On le fait à cause des impacts économiques.

3. Les gouvernements ont-ils bien expliqué les risques associés au déconfinement?

Les directives ont été un peu n’importe quoi, et ça crée beaucoup de confusion. De dire « on recommande », plutôt qu’« on oblige », ça peut donner le signal que ce n'est pas si important que ça. Ça peut laisser place à l'interprétation, surtout chez les gens qui ne sont pas persuadés qu’il y a un risque.

Par exemple, au début de la pandémie, il y a eu le message de ne pas porter le masque. Il faut rappeler le contexte : il n’y avait pas de masque et on voulait les réserver aux travailleurs de la santé. Là, ça nous rattrape, ça entraîne de la confusion.

Je pense que les gens agissent en réaction aux directives du gouvernement. Plusieurs se disent : Si c'était dangereux de voir mes amis, d’avoir des regroupements, le gouvernement nous l’interdirait.

Si on veut vraiment inciter les gens à porter des masques et à respecter la distanciation physique, il faut donner des directives plus claires.

4. Est-ce que le non-respect des règles sanitaires entraîne de la tension dans la population?

Absolument. On le voit dans notre étude, certaines personnes deviennent en colère si elles ont la perception qu’elles en font plus que les autres et que les autres en font moins. Les gens deviennent cyniques, fâchés.

On demande à la population de faire des sacrifices. Et ça peut créer des tensions, parce que les personnes commencent à se dire : Moi, je porte le masque pour te protéger, et toi, tu ne le portes pas. Pourquoi est-ce que je continuerais à faire des sacrifices pour toi si tu penses juste à toi?

La pression des pairs est aussi très forte. Par exemple, les gens peuvent sentir qu'ils doivent changer leur comportement si personne autour d’eux ne respecte les règles, si personne ne porte un masque à l’épicerie.

5. Qui semble moins respecter les règles?

On voit que, si quelqu'un s’inquiète pour un membre de sa famille ou un proche, cette personne est plus portée à pratiquer la distanciation sociale, à porter un masque. Ceux qui sous-évaluent leur risque personnel ou ne se sentent pas concernés - particulièrement les jeunes, par exemple - sont moins portés à respecter les règles, parce qu’ils jugent ça moins pertinent pour eux.

On le voit dans les réponses de l'étude, les jeunes - partout à travers le monde - sont beaucoup plus égoïstes et ils sont moins portés à suivre les règles sanitaires.

Il faut mieux expliquer aux jeunes qui croient ne pas être à risque de mourir que même les médecins ne savent pas quels sont les risques à long terme de la maladie. Un jeune ne va peut-être pas mourir maintenant, mais quel sera l’impact sur ses poumons, sur son système cardiovasculaire? On n’a aucune idée, mais on voit que ça s'annonce très mal du côté des effets à long terme.

Et à ceux qui disent : Il n’y a pas assez de données pour montrer que porter un masque est utile ou que le virus est très mortel ou contagieux, je leur dis que les données s’en viennent. Voulez-vous vraiment que tout empire en attendant de les avoir?

6. Comment convaincre les gens de continuer à respecter les règles sanitaires et de distanciation physique?

On le sait très bien, ce n’est pas suffisant de dire aux gens quoi faire. Par exemple, les gens savent que fumer n’est pas bon. Mais ce n’est pas suffisant pour changer le comportement.

Selon notre étude, les gens dans tous les pays nous ont dit : Montre-moi comment mes sacrifices portent fruit, comment mes efforts sauvent des vies, comment ça réduit le taux de transmission et ça accélère notre retour à la normale.

Il faut récompenser les gens pour leurs sacrifices - avec des données, avec du renforcement positif. Il faut dire : « Regardez, les gens ont porté des masques et ont respecté les règles; ç’a permis de réduire le nombre de cas ». Il faut que ça soit clair pour les gens que leur sacrifice accélère un retour à la normale.

Il faut continuer de rappeler que tout le monde doit être discipliné si on ne veut pas retourner comme avant avec des mesures sévères.

Il faut aussi qu’on cultive un sentiment de solidarité, comme c’est le cas en Asie, où c’est très normal de porter un masque. Les annonces au début de la pandémie qui incitaient les gens à rester à la maison misaient sur le message d’être solidaires, de combattre le virus ensemble. C'est une responsabilité collective si on veut protéger nos libertés.

De plus, il faut mieux cibler les communications selon la démographie. Par exemple, il faut être beaucoup plus créatifs pour convaincre les jeunes de respecter les règles. Pourquoi ne pas demander à des célébrités de passer des messages sur les réseaux sociaux, par exemple?

7. Doit-on avoir des mesures plus coercitives, comme des amendes plus salées pour les personnes les plus récalcitrantes?

Il ne faut pas leur taper dessus quand elles font quelque chose de mal. Je crois que les mesures punitives, les amendes ou la menace de la prison sont parmi les mesures les moins efficaces.

Les contraventions vont pousser certaines personnes à résister encore plus. Elles vont vouloir défendre leur statu quo. C’est normal, personne n'aime se faire dire quoi faire.

La population doit comprendre que la seule raison pour laquelle les mesures sévères sont nécessaires, c’est parce que les gens ne sont pas capables de maintenir leur discipline. S'ils les respectaient, ils n’auraient pas besoin de lois, de règlements.

On peut imposer certaines méthodes de prévention, mais l’idéal c’est que les gens soient motivés à les adopter, qu’ils croient que c’est important ou que ça va apporter quelque chose à la société.

8. Est-ce qu’on montre suffisamment l’impact de la COVID chez les personnes qui ont été infectées?

Non, pour plusieurs, la COVID-19, c’est encore très mystérieux. Au début, on voyait des images de gens très malades en Italie et à New York. Mais très souvent, les gens voient dans les médias que des chiffres à l’écran. Il faut véhiculer une image plus personnelle de la maladie. Qui sont ces gens? Qui sont les gens infectés qui sont encore en vie? Il faut rendre la souffrance de la maladie plus visible, il faut montrer la réalité.

9. Avez-vous repris toutes vos activités depuis l’annonce du déconfinement?

Non, j'attends le plus possible avant de m’exposer davantage pour donner du temps aux chercheurs de découvrir c'est quoi ce virus, de donner une chance de trouver des traitements. Déjà, être malade maintenant c’est moins pire qu’au mois de mars, parce qu’on en sait plus sur le virus. Je sais que ce n’est pas facile de patienter. Mais pour rouvrir, il faut adapter nos comportements

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" La première victime d'une guerre, c'est la vérité. "
* Rudyard Kipling 30 Déc 1865 au 18 Jan 1936.
** "La première victime de la guerre est la vérité"
** Carl Von Clausewitz 1er juin 1780 au 16 novembre 1831.

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À Tokyo they Go creasy at 100+ cases / day Fine Line choices

par René @, mardi 07 juillet 2020, 21:07 (il y a 1360 jours) @ René

Les choix sont au Japon Tokio (33,000,000) sont très difficiles!

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On Monday, the Tokyo Metropolitan government confirmed 102 new cases of the coronavirus, marking the fifth straight day of over 100 infections. Governor Koike Yuriko, who on Sunday was reelected for a second term, says the city will respond by setting up its own version of the US Centers for Disease Control and Prevention, or CDC.
Koike said at a press conference on Monday that Tokyo’s CDC will collect and analyze data from the city’s medical institutions and public health centers. She said the institution would be formed by unifying existing bodies, and would operate during normal times and emergencies.


The day after her reelection, Tokyo governor Koike Yuriko said she would continue to prioritize anti-coronavirus measures.
A new coronavirus subcommittee met for the first time on Monday. It has been tasked with coming up with ways to reopen the economy while also preventing the spread of infection. It replaces the panel of experts that had been advising the government on its policy.

The committee says that many recent infections have been among young people, and that the number of serious cases has been lower. As a result, the country’s healthcare system is not strained in the way it was in early April, when the nationwide state of emergency was declared.

The committee says it supports the government’s plan to ease restrictions on spectator events, on the condition that thorough preventive measures are put in place. Starting on July 10, the government will raise the maximum attendance at events from 1,000 to 5,000.

Japan’s professional baseball and soccer leagues have agreed to welcome back fans to stadiums as soon as the restrictions are lifted. Both leagues resumed play behind closed doors in June.

But experts say no matter how many measures are put in place, it will be impossible to completely eliminate risks. Professor Kaku Mitsuo of Tohoku Medical and Pharmaceutical University says the only way to manage the virus is by resuming social and economic activities very gradually.


The top flight of Japanese soccer, which postponed all matches in February, has resumed play behind closed doors.
Positive rate rises

The positive rate of coronavirus tests in Tokyo has been rising in recent weeks. Government officials say that when the state of emergency was lifted on May 25th, the positive rate in Tokyo stood at around 1%. This figure started edging up in June, exceeding 3% late in the month. On July 1, it hit 4%. Last Sunday, it reached 5.1%.

The number of hospitalized patients has also started to increase. On June 20, there were 204 coronavirus patients in hospitals across Tokyo, the lowest figure since the start of the pandemic. Last Sunday, the number was 369.


The Musashino Red Cross Hospital on the western outskirts of Tokyo currently has 12 coronavirus patients. None of the cases are believed to be serious enough to require prolonged hospitalization.

“We are under much less pressure now,” says Dr. Izumi Namiki, the hospital’s director. “But if infections start spreading among Tokyo’s elderly population, this could place a serious strain on the medical system. Every effort needs to be made to ensure that this doesn’t happen.”

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" La première victime d'une guerre, c'est la vérité. "
* Rudyard Kipling 30 Déc 1865 au 18 Jan 1936.
** "La première victime de la guerre est la vérité"
** Carl Von Clausewitz 1er juin 1780 au 16 novembre 1831.

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***Melboure 9 Complexes lockdown à la Chinoise... (Tests)

par René @, mercredi 08 juillet 2020, 00:32 (il y a 1360 jours) @ René

Pas le choix test pour tous et confinement 5 jours pour tous,

La bouffe vous sera livré.

Lien vidéo tv Australienne" https://twitter.com/qanonnotables/status/1280507515093094400?s=21 "

Fotos twitter Ice Age Farmer
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Autre rencontre hier...

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** Carl Von Clausewitz 1er juin 1780 au 16 novembre 1831.

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