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-Une Coïncidence- Feu Notre-Dame de Paris

par gilles surprenant ⌂, mardi 16 avril 2019, 16:30 (il y a 1837 jours)

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Comme à son habitude, la chaîne diffusait N'oubliez pas les paroles de Nagui, programmée chaque jour à 18h40. Et, coïncidence dans cette émission où les candidats doivent retrouver les paroles de chansons françaises célèbres, alors que Notre-Dame était en proie aux flammes, ce sont les morceaux Allumez le feu de Johnny Hallyday et Belle, titre issu de la comédie musicale Notre-Dame de Paris, qui étaient joués. Un infortuné hasard,Cet épisode avait été enregistré il y a plusieurs semaines et avait été programmé depuis longtemps à cette date.
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-SOURCE

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Le Portail du Jugement Dernier (Notre Dame de Paris)

par Jeromec, mardi 16 avril 2019, 20:24 (il y a 1837 jours) @ gilles surprenant

Poussière tu redeviendras poussière...;-) :-) :-P

Maintenant l'attention planétaire tourne autour de Notre-Dame-De Paris...

Évidemment, qui dit Notre-Dame de Paris, dit aussi Le Portail du Jugement dernier tel que spécifier dans le de l'Apocalypse....


Le Portail du Jugement

http://www.notredamedeparis.fr/la-cathedrale/architecture/le-portail-du-jugement/

Le Portail du Jugement est le portail central de la façade occidentale, installé dans les années 1220-1230, peu après les deux autres portails de la façade. Il représente le Jugement Dernier tel qu’il est écrit dans l’Évangile de Saint Matthieu.

Au linteau* inférieur, les morts ressuscitent et sortent de leur tombe. Juste au-dessus, au linteau supérieur, l’archange Michel pèse leur âme et, suivant la vie qu’ils ont menée sur la terre et l’amour qu’ils ont manifesté envers Dieu et les hommes, les élus sont conduits à gauche vers le Paradis (à la droite du Christ) tandis que les damnés sont menés par un diable vers l’enfer à droite.

Cependant le Christ au tympan*, majestueusement assis sur son trône de gloire, rappelle qu’il est venu sur terre pour sauver l’humanité, par son sacrifice sur la Croix. Il montre les plaies de ses mains et de son flanc tandis que les deux anges qui l’entourent portent respectueusement les instruments de la Passion : celui de gauche la lance et les clous de la Croix, celui de droite la Croix elle-même. Jésus nous demande ainsi de lui faire confiance et nous indique qu’alors tout deviendra possible pour nous, avec son soutien et l’aide de tous les saints qui intercèdent pour nous, en premier lieu Marie et Jean l’Évangéliste placés ici comme au pied de la Croix le jour de sa Crucifixion, Marie à sa droite et Jean à sa gauche.

Au-dessus, comme dans les autres portails, les voussures* sont occupées par la cour céleste (anges, patriarches, prophètes, docteurs de l’Église, martyrs et vierges) et l’on peut remarquer la place très réduite prise sur l’enfer tout à fait à droite. Il ne fait donc pas désespérer mais garder sa lampe allumée comme celle des vierges sages figurant au piédroit* gauche (du côté du Paradis), alors qu’au piédroit opposé, les vierges folles n’ont plus d’huile dans leur lampe à l’arrivée de l’Époux.

Ce Portail a subi deux modifications importantes au XVIIIe siècle.
Tout d’abord en 1771 où l’architecte Germain Soufflot [qui édifia l’église Sainte-Geneviève à Paris, actuel Panthéon.] supprima le trumeau et la partie centrale des deux linteaux à la demande le l’Archevêque et du Chapitre, il fallait en effet faciliter le passage du dais sous lequel était présenté le Saint Sacrement lors des processions. Le vide réalisé fut remplacé par une arcade en bois ornée du chiffre de Marie rehaussé d’une couronne portée par deux anges. Les lourds vantaux de XIIIe siècle furent remplacés par deux portes où furent sculptés sur l’une le Christ portant sa croix et sur l’autre une Vierge douloureuse.

Autre avatar en 1792, les révolutionnaires détruisirent, comme aux autres portails de la cathédrale, les grandes statues des ébrasements.
Lors de la grande campagne de restauration à la moitié du XIXe siècle, Viollet-le-Duc rétablira l’état d’origine du portail en faisant refaire, de même que les effigies des vierges sages et les vierges folles, le trumeau* et les statues des douze apôtres placées aux ébrasements.
On reconnaît successivement :
– à gauche, Barthélemy, Simon, Jacques le Mineur, André, Jean et Pierre
– au trumeau, le Christ enseignant, placé sur un socle où sont sculptés les arts libéraux
– à droite, Paul, Jacques le Majeur, Thomas, Philippe, Jude et Matthieu

Au pied des douze apôtres, des médaillons représentant les vertus et les vices qui leur sont opposés, thématique reprise dans la Rose ouest.

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Le Portail du Jugement Dernier (Notre Dame de Paris)

par F Fernand, mercredi 17 avril 2019, 10:14 (il y a 1836 jours) @ Jeromec

Salut Jeromec

C'est une très belle image. Les texes explique bien la situation.

Il est certain que la présence du christ sur terre, est une demande des prophètes de dieu, qui le priaient jour et nuit. C'est a leur suplication que dieu a envoyer une messagé, une passage, une réouverture du chemin vers le ciel.

Depuis la chute de l'Homme du paradie, l'Homme avait plus le droit d'y retourner, l'Homme était devenu un criminel spiritiuelle, un enfant luciférein. Les codes génétiques pour aller vers le ceil était détruit, et c'était la mort spirituelle. Pataugé dans le clots du beau diable, c'est le canser généraliseé.

Salut Jeromec

Fernand

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