COMPLÉMENT SURPRENANT #5-PARTIE 2/2-
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-DOSSIER COMPLET -SOURCE SITE GUY BOULIANNE
Un tribunal du Pérou a déclaré, dans une résolution basée sur les théories du complot, que le COVID-19 était une invention de “l’élite criminelle mondiale” composée, selon les juges de ce tribunal, de milliardaires comme George Soros, de la famille Rockefeller et de l’entrepreneur et co-fondateur de Microsoft, Bill Gates.
Pour justifier le retard de la décision, la Cour d’appel pénale de Chincha et Pisco a assuré que la pandémie était “imprévisible”, sauf pour ses créateurs, “qui l’ont gérée et continuent de la diriger avec un secret extrême au sein de leur environnement et des entreprises mondiales”.
Ainsi, ce tribunal collégial de la Cour supérieure de justice d’Ica, composé des juges Tito Gallegos, Luis Leguía et Tony Changaray, a tenté de s’excuser du retard pris pour assister à l’appel d’un prévenu qui demandait l’annulation de sa détention provisoire, mais dont la demande était ralentie par la pandémie.
Aucun gouvernement mondial, aucune personne physique ou morale, ni la défense des accusés ne peuvent soutenir que cette pandémie a la qualité de “prévisible”, sauf les créateurs du nouvel ordre mondial tels que Bill Gates, Soros, Rockefeller, etc.”, a déclaré la résolution, diffusée sur le portail LP Derecho.
Enquête auprès des juges
Après que le contenu de l’ordonnance du tribunal a été rendu public, l’Office décentralisé de contrôle de la magistrature (Odecma) d’Ica, situé à environ 400 kilomètres au sud de Lima, a ouvert une enquête préliminaire sur les juges qui ont signé l’ordonnance.
L’objectif de l’enquête est de rassembler des preuves pour aider à déterminer l’existence d’irrégularités présumées commises par les juges.
En affirmant que le coronavirus a été “créé par les élites criminelles qui dominent le monde”, la Cour d’appel pénale supérieure de Chincha et Pisco a fait écho à l’une des nombreuses théories de conspiration qui ont émergé l’année dernière au lendemain de la pandémie.
Le document cite en particulier l’investisseur financier George Soros, le co-fondateur de Microsoft, Bill Gates, et la famille Rockefeller, dont les revenus s’élèvent à plusieurs millions de dollars, qu’il accuse de “gérer” et de “continuer à diriger” le virus dans le “nouvel ordre mondial”.
Avec l’apparition de COVID-19, la quantité de désinformation est montée en flèche, et malgré le fait que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ait confirmé dès le mois de mai que le virus était d’origine animale et ait réfuté sa création en laboratoire, des origines prétendument alternatives ont continué à circuler.
Très tôt, ces théories alimentées par de fausses nouvelles ont inclus des discours sur sa création par des sociétés pharmaceutiques désireuses d’accroître leurs bénéfices économiques et même des complots de Gates ou Soros comme promoteurs d’un prétendu plan de contrôle de la population par le biais de vaccins et de 5G.
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Une cour d’appel au Portugal a décidé que le processus PCR n’est pas un test fiable pour le SARS-Cov-2, et par conséquent toute quarantaine forcée basée sur les résultats de ces tests est illégale.
En outre, le jugement a suggéré que toute quarantaine forcée appliquée à des personnes en bonne santé pourrait être une violation de leur droit fondamental à la liberté.Plus important encore, les juges ont décidé qu’un seul test PCR positif ne peut pas être utilisé comme un diagnostic efficace de l’infection.
Les particularités de cette affaire concernent quatre touristes entrant dans le pays en provenance d’Allemagne – qui sont tous anonymes dans la transcription de l’affaire – qui ont été mis en quarantaine par l’autorité sanitaire régionale. Sur les quatre, un seul avait été testé positif pour le virus, tandis que les trois autres étaient simplement considérés comme présentant un “risque élevé d’infection” en raison de leur proximité avec la personne positive. Tous les quatre avaient, au cours des 72 heures précédentes, été testés négatifs pour le virus avant de quitter l’Allemagne.
Dans leur décision, les juges Margarida Ramos de Almeida et Ana Paramés ont fait référence à plusieurs études scientifiques.Notamment l’étude de Jaafar et al, qui a révélé que – lors de tests PCR de 35 cycles ou plus – la précision tombait à 3 %, ce qui signifie que jusqu’à 97 % des résultats positifs pouvaient être des faux positifs.
La décision poursuit en concluant que, selon les données scientifiques qu’ils ont lues, tout test PCR utilisant plus de 25 cycles est totalement peu fiable.Les gouvernements et les laboratoires privés ont été très discrets sur le nombre exact de cycles qu’ils effectuent lors des tests PCR, mais on sait qu’il peut parfois aller jusqu’à 45. Même le chef Anthony Fauci a déclaré publiquement que tout ce qui dépasse 35 cycles est totalement inutilisable.
*La réaction des médias à cette affaire a été tout à fait prévisible – ils n’en ont pas parlé. Pas du tout. Nulle part. Jamais.Le jugement a été publié le 11 novembre et a été référencé par de nombreux sites d’information depuis… mais les principaux médias maintiennent un black-out complet sur cette affaire.
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En ce 26 janvier 2015, à Toronto (Ontario,Canada), dans le silence médiatique le plus complet, des citoyens canadiens regroupés au sein du Comité sur la réforme économique et monétaire (COMER) ont gagné le procès qui les oppose à la banque centrale du Canada, qu’ils accusent d’être contrôlée inconstitutionnellement par des banques privées depuis 1974.
Pourquoi les Canadiens permettent-ils aux banques privées de profiter de la dette publique alors que juridiquement, la Banque du Canada se doit de garantir des prêts sans intérêt.Trois juges de la cour fédérale du Canada leur ont donné raison le 26 janvier, réaffirmant que la banque devait pouvoir émettre sans intérêt de l’argent pour les besoins du gouvernement. Ce procès, parce que révolutionnaire, n’a évidemment été couvert par aucun média de masse ni au Canada, ni à l’international : « Il est évident que le gouvernement a demandé aux médias officiels de se taire, mais je ne peux révéler mes sources », a déclaré Rocco Galati, qui a qualifié de « dictature calme », la crise perpétuelle de la dette entretenue par le monopole des banques privées sur le prêt d’argent au gouvernement.
Entre 1939 et 1974, le gouvernement empruntait en effet à sa banque centrale. Ce qui, en fait, rendait sa dette dépourvue d'intérêt, dès lors que le gouvernement possédait la banque et en percevait les intérêts. La dette fédéral restait à un niveau peu élevé, n'évoluait quasiment pas et était parfaitement supportable durant ces années (voir graphique plus bas).
En décembre 2011, cette accusation a été répercutée dans un recours porté auprès de la Cour Fédérale Canadienne par deux citoyens et un think tank en économie canadiens. Le juge constitutionnel Rocco Galati a mené une action pour le compte de William Krehm, Ann Emmett, et COMER (le Comité pour une Réforme Monétaire et Economique) afin de revenir au rôle original de la Banque du Canada, y compris concéder des prêts sans intérêts aux structures municipales, régionales et fédérales pour des dépenses liées au "capital humain" (èducation, santé, et autres services sociaux) et aux infrastructures. La plainte stipule que, depuis 1974, la Banque du Canada et les politiques financières et monétaires du Canada ont été dictées par des banques privées étrangères et des intérêts financiers menés par la BRI, le Forum pour la Stabilité Financière (FSF) et le Fond Monétaire International (FMI), outrepassant la souverainité du Canada représentée par son parlement.
Pour un État, le droit d’emprunter sans intérêt c’est le droit de battre monnaie. Quand ce sont les banques privées qui fabriquent l’argent, au lieu que ce soit l’État, cela revient à une privatisation de l’argent. Et les propriétaires des banques font du fric sur le dos des citoyens grâce aux intérêts.
Voici le document du jugement en question :
http://www.lexisnexis.ca/documents/2014csc021.pdf
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Invoquant le manque de crédibilité et les propos mensongers de son client, l’avocat Guy Bertrand se retire de la poursuite intentée par un groupe de complotistes contre le gouvernement dans la foulée de la COVID-19.Au début du mois de juin, la Fondation pour la défense des droits et libertés du peuple (FDLP) entamait des procédures judiciaires envers le Procureur général du Québec et la Direction de la santé publique. Appuyée par Me Guy Bertrand, l’organisation dénonçait les mesures de confinement mises en place par Québec depuis le début de la pandémie.
''LES ÉVÈNEMENTS SUBSÉQUENTS ONT MONTRÉ QUE L'INTENTION RÉELLE N.ÉTAIT PAS DE LIBÉRER LES VICTIMES, MAIS D'UTILISER LA CRISE POUR CHANGER LA DONNE POLITIQUE EN FAVEUR D'INTÉRÊTS FINANCIERS DE HAUT NIVEAU.''
«Une semaine après les élections du 29 avril 1970, soit le 7 mai, le cabinet fédéral forma un comité spécial ayant pour tâche d'évaluer dans quelles circonstances un électrochoc pourrait être appliqué aux Québécois. Infiltré depuis un certain temps, le F.L.Q. servirait de détonateur. La bombe, cette fois, serait la promulgation en pleine nuit de la Loi des mesures de guerre. On verrait bien alors si les Québécois étaient prêts à « faire la guerre », s'il le fallait, pour conquérir leur indépendance, ou s'ils vomiraient plutôt le séparatisme sous l'effet du choc subi. »
Les média, quant à eux, serviraient à « brancher » l'ensemble de la population et à provoquer, au moment voulu, l'instantanéité dans le choc. Ainsi donc, sous le couvert d'une lutte à finir entre le F.L.Q. et "les autorités en place", la crise d'octobre serait pour Ottawa l'occasion d'opérer un vaste référendum électronique et de mesurer la force réelle du sentiment indépendantiste dans la population.McLuhan a qualifié la crise d'octobre de « première révolution électronique de l'histoire ». Son affirmation est juste si l'on entend par là que, pour la première fois, un gouvernement occidental utilisa l'électronique comme moyen privilégié d'affirmer sa force et d'éprouver celle de ses adversaires.
Le Comité du 7 mai 1970 n'était pas sans savoir que les péripéties de la crise seraient, de minute en minute, diffusées et dramatisées par les média et que cette retransmission instantanée des événements et des rumeurs créerait rapidement le climat de tension requis pour mener le plus loin possible "l'escalade organisée" de 1'électrocution collective. Bien sûr, il y aurait des distorsions de toutes sortes, car une société est un organisme vivant très complexe et, partant, vulnérable à ce type d'agression. Mais le jeu en valait la chandelle pour le gouvernement Trudeau. D'ailleurs, la surprise totale que provoquerait cet électrochoc empêcherait les adversaires de réagir efficacement et permettrait au gouvernement d'amplifier ou d'atténuer, en fonction de ses calculs, les effets cumulatifs de la crise.
La mise en application de cette opération inédite en Occident fut confiée au Centre des opérations stratégiques (le S.O.C.) qui avait ses quartiers généraux sur la rue Sparks à Ottawa. Le S.O.C. était formé, entre autres, de Jim Davey, Arnold Masters, Robin Bourne, Fernand Cadieux, Jean-Pierre Mongeau, Jean-Pierre Goyer, et des représentants de l'armée et de la G.R.C. Il relevait directement de Pierre Trudeau et de Marc Lalonde. L'existence du S.O.C. ne fut révélée que cinq ans plus tard dans une émission du réseau C.B.C. sur la crise d'octobre.
Le S.O.C. avait, depuis plusieurs mois, un portrait détaillé des felquistes qui formeraient plus tard les cellules Libération et Chénier. Il connaissait leurs projets. Il les laissa s'organiser. Parallèlement se déroulaient au collège militaire de Kingston des "war games" destinées aux officiers supérieurs de l'armée et à des représentants de l'escouade combinée anti-terroriste (C.A.T.). Le moment venu, il ne resterait plus qu'à mobiliser solidement l'attention générale sur les "exploits du F .L.Q.", puis, cela fait, à transformer cette attention soutenue en une tension de plus en plus vive qui, de l'enlèvement d'un « Anglais » à l'assassinat d'un "Canadien français", de la démagogie verbale à l'occupation militaire.
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Lors d’une session virtuelle du Forum économique mondial le 27 janvier 2021, le président russe a dressé un tableau sombre des perspectives de la planète si un nouvel ordre mondial n’était pas institué. Ses préconisations ne sont pas sans rappeler la nécessité d’un “grand redémarrage” prôné par de nombreuses voix en Occident, observe la presse russe.
Ce 27 janvier, pour sa première participation depuis onze ans au Forum économique mondial de Davos (plus précisément à une session préliminaire du sommet qui doit avoir lieu au mois de mai), “Vladimir Poutine a fait de bien sombres pronostics concernant l’avenir de l’humanité”, écrit le tabloïd Moskovski Komsomolets. Le monde, selon le président russe, est “menacé par la guerre de tous contre tous, et la raison fondamentale de cette instabilité réside dans l’accumulation de problèmes socio-économiques”.
La situation économique actuelle est comparable à celle des années 1930, estime-t-il, or les instruments traditionnels pour stimuler l’économie, telle la distribution de crédits bon marché aux entreprises et aux citoyens, ne fonctionnent plus : “La bulle enfle et les inégalités s’accroissent.”
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Ce personnage coloré a le mérite de défendre ses opinions politiques et mondialistes sans ménagement face à ceux dont les points de vue sont généralement fondés sur des médias populistes. Seuls ceux et celles qui savent lire entre les lignes, ou qui ont la patience d'attendre que le temps ait fait son oeuvre, peuvent apprécier à sa juste valeur les déclarations souvent intempestives de ce monsieur qui a atteint un âge respectable.De formation universitaire, (haut fonctionnaire scientifique au gouvernement fédéral, ayant gravité dans les milieux politico-ésotériques dès sa plus tendre jeunesse,dès sa plus tendre jeunesse dans l'Europe d'Hitler.
Je vous avais prévenu, le 11 septembre 2001 n'est que la pointe de l'iceberg. Le monde entier doit passer de gré ou de force à l'abolition des structures anciennes, culturelles et nationales qui divisent pour entrer, tous ensemble, dans un NOUVEAU MONDE.Aucun État ne doit avoir le dessus sur les autres. Les États-Unis vont vivre des moments encore plus difficiles parce qu'ils se croient les maîtres du monde.Ils vont devoir apprendre à partager leurs talents sans imposer leurs façons de penser aux autres nations.Monsieur Louis Lefebvre serait décédé le 5 avril 2019 au CHSLD Judith Jasmin.
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D'abord nommée "Overcast", c'est en février 1945 que le traité de l'opération est signé afin de préparer l'après-guerre, mais dans une violation flagrante et précoce des accords de Yalta. Ce traité, conclu par les chefs d'état anglais, américain et russe, est entre aures mené par la section T-2 pour identifier et mettre la main sur les scientifiques et ingénieurs nazis ayant travaillé sur les programmes aéronautiques du Reich, notamment les fusées : l'usine allemande des V-2 de Dora-Mittlebau est placée sous contrôle russe. Pourtant, les services secrets américains décident de faire main basse sur tout ce qui peut être pris dans l'usine.
Le 2 mai, peu après la nomination de Harry Truman comme président des Etats-Unis suite à la mort de Roosevelt, Wernher Von Braun et son équipe sont récupérés du site de Dora-Mittlebau par les alliés.Au total, près de 2000 nazis sont convertis (à l'aide de méthodes de contrôle programmé de l'esprit selon certains). Parmi eux, Von Braun et ses collègues qui vont être amenés à lancer dans le désert du Nouveau-Mexique des V-2 récupérés par les troupes américaines.
En septembre, 1946, convaincu que les scientifiques allemands pourraient aider aux efforts d'après-guerre américains, le président Truman donne son accord pour autoriser le "Projet Paperclip" ("Trombone", intitulé ainsi parce que les dossiers scientifiques étaient attachés avec à trombone aux dossiers d'immigration de ces scientifiques), un programme pour sélectionner des scientifiques allemands pour travailler pour le compte des Etats-Unis durant la "guerre froide".L'opération Paperclip sera déclassifiée en 1973.
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Pékin avait l’habitude d’envoyer de simples avions de reconnaissance dans l’espace aérien de Taïwan. Plus maintenant. Ces deux derniers jours, la Chine communiste a envoyé des bombardiers et des avions de chasse dans l’espace aérien taïwanais.Il faut dire que pour montrer son mécontentement à l’égard de la Chine communiste, Joe Biden avait invité la représentante de Taïwan aux États-Unis à son investiture. Pékin n’a pas apprécié.Depuis que le gouvernement de Xi Jinping a tordu le cou aux mouvements démocratiques de Hong Kong, en violation des accords passés entre la Chine et la Grande-Bretagne, tous les yeux se tournent vers Taïwan. La réunification est devenue la principale question de politique extérieure de la Chine continentale. Plus cette Chine devient totalitaire, moins les Taïwanais sont intéressés à troquer leur démocratie contre le joug du Parti communiste chinois.
La façon dont Hong Kong est traité par Pékin effraie à juste titre les Taïwanais.En théorie, Taïwan fait partie de la Chine. Seule une poignée de pays reconnaissent encore Taïwan comme État indépendant. Les autres États conservent dans l’île des délégations économiques qui, sans dire leur nom, possèdent le même statut que des ambassades normales.
Tout le monde vivait très bien avec cette fiction et il était entendu que la Chine continentale ne chercherait pas à reprendre Taïwan par la force. D’ailleurs, les États-Unis et d’autres pays ont conservé le droit de vendre à Taïwan de l’armement dit défensif, justement pour amoindrir la tentation de reprendre Taïwan par les armes.Mais voilà : la puissance militaire des États-Unis a diminué depuis 40 ans. Au point où il est douteux que l’armée américaine puisse remporter une victoire régionale contre la Chine avec de l’armement classique.
Le gouvernement américain irait-il pour défendre Taïwan jusqu’à mettre en danger ses propres territoires avec de l’armement nucléaire ? Probablement pas. Une attaque militaire contre Taïwan coûterait très cher à la Chine communiste, économiquement, matériellement et diplomatiquement.
Mais le gouvernement de Xi Jinping oriente son pays dans une voie de plus en plus autarcique. La puissance militaire de Pékin augmente chaque année. Il y a 40 ans, la Chine communiste possédait environ la 25e armée au monde, en forces classiques. Cette armée est à présent la deuxième plus puissante. Et les investissements internationaux chinois incitent bien des États à se taire, comme le montrent les très faibles protestations des pays musulmans à l’égard de la politique de la Chine face aux Ouïgours.Dans ces conditions, le temps est compté pour Taïwan, qui ne peut espérer qu’un effritement à long terme du régime communiste. Pékin, de son côté, n’a qu’à être patient et Taïwan tombera comme un fruit mûr. Xi Jinping, qui s’accroche au pouvoir par tous les moyens, aura-t-il cette patience ? Croit-il qu’envahir Taïwan servirait son ambition dévorante ?
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Une édition du journal The Epoch Times, a été distribuée à plusieurs endroits dans les provinces au canada ces derniers jours.Mis sur pied en 2000 aux États-Unis par des Sino-Américains affiliés au mouvement spirituel Falun Gong (ou Falun Dafa), le journal The Epoch Times est très critique du Parti communiste chinois, qu’il accuse notamment de persécuter les adhérents, en Chine, de ce qui est parfois décrit comme une secte religieuse.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Falun_Gong
«The Epoch Times est une organisation de presse résolument indépendante qui se consacre à un travail éditorial sincère», clame la publication sur son site Internet. «Nous ne sommes influencés par aucun gouvernement, entreprise ou parti politique, ce qui nous autorise à vous apporter des informations factuelles, précises, engagées, en vous laissant vous faire votre propre opinion.»The Epoch Times est présent dans 25 pays et ses éditions se déclinent maintenant en 25 langues.
-Non, The Epoch Times n’est pas un média d’information
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Les Japonais ne veulent plus des Jeux olympiques. C'est ce que confirme un récent sondage réalisé par les agences de presse japonaise Kyodo et Asahi ces derniers jours. 80% des personnes interrogées seraient opposés à l'organisation des JO de Tokyo en 2021, qui doivent se tenir dans la capitale du Japon à partir du 23 juillet 2021.
Force est de constater que l'opinion des habitants de l'agglomération de Tokyo par rapport à la tenue des JO dans leur ville s'est encore nettement dégradée. En même temps que la propagation du virus s'accélère dans le pays. En effet, depuis plusieurs jours, les autorités sanitaires nippones enregistrent des records de nouveaux cas de contamination, et le spectre du Covid-19 refait surface dans la péninsule. D'autant plus que l'apparition d'une nouvelle souche du coronavirus n'arrange en rien la situation. D'ailleurs, le Premier ministre a décrété l'état d'urgence au Japon.
Le premier ministre japonais et les organisateurs des Jeux olympiques de Tokyo 2020, reportés l'an dernier en raison de la pandémie, ont réaffirmé vendredi leur intention de les tenir cet été, en dépit des informations du quotidien britannique The Times selon lesquelles le gouvernement y aurait secrètement renoncé.
"Je suis déterminé à accueillir des Jeux olympiques sûrs" à Tokyo, en signe de "victoire de l'humanité sur le nouveau coronavirus", a notamment déclaré le premier ministre Yoshihide Suga lors d'une séance parlementaire.Dans un communiqué, le comité organisateur a aussi rappelé vendredi qu'il était "entièrement concentré sur les préparatifs pour accueillir les Jeux cet été, à l'unisson avec le gouvernement japonais et la Ville de Tokyo, le Comité international olympique (CIO) et le Comité international paralympique (CIP)".
Le CIO a aussi déclaré par communiqué que la rumeur de l’annulation des Jeux est "complètement fausse" et que toutes les parties impliquées travaillent à l’organisation de Jeux sécuritaires.Selon The Times, le gouvernement japonais aurait conclu en privé que les JO devront être annulés à cause de la crise de la COVID-19, citant une source au sein de la coalition gouvernementale.Le Japon se concentrerait maintenant sur l'attribution des Jeux d'été de 2032 pour accueillir le rendez-vous olympique à Tokyo, fait savoir le quotidien britannique.
Le mensuel, à la fois revue de vulgarisation scientifique et magazine d’actualité technologique, se veut désormais plus éclectique, avec une multitude de sujets et de contenus.Dans le dernier numéro, consacré au décryptage du monde des hackers, on retrouve un dossier de 14 pages sur la cyberguerre, avec des actualités scientifiques, des questions de lecteurs, des interviews de spécialistes, des infographies qui aident à comprendre un phénomène. « Nos journalistes passent au crible nature, techno, histoire, espace et science pour offrir un maximum de savoirs aux lecteurs », détaille le groupe, qui espère ainsi séduire de nouveaux lecteurs.
-SOURCE
Si dans l’esprit collectif – le cinéma y ayant largement participé–, une attaque informatique est l’acte d’un petit génie malveillant de la programmation, la démocratisation de certains outils a rendu les choses enfantines. Aujourd’hui, la simple installation d’un logiciel sur son ordinateur (comme le programme LOIC, surtout utilisé par les Anonymous), permet à n’importe qui de participer à une cyber-attaque avec des milliers d’autres internautes. Ensemble, ils constituent une « ruche » et procèdent facilement aux cyber-assauts les plus courants sur Internet : les attaques par déni de service.
[img]https://www.zupimages.net/up/21/05/
« L’idée d’une attaque par déni de service est de rendre inaccessible un site internet en envoyant un très grand nombre de requêtes à son serveur. C’est un peu ce qui se produit quand un million de personnes veulent commander des billets de concerts qui viennent d’être mis en vente : le site internet lâche »,Même si elle ne représente qu’une infime partie de l’ensemble des attaques qui ont lieu, la carte permet d’apercevoir, entre autres, que la majorité des conflits implique les États-Unis et la Chine.
-CARTE EN TEMPS RÉELLE
SOURCE
http://www.profession-gendarme.com/the-american-journal-of-medecine-admet-discretement-...
SOURCE
http://voxday.blogspot.com/2021/02/never-trust-science.html
[…] L’hydroxychloroquine (HCQ) est un médicament antipaludéen/anti-inflammatoire qui entrave le transfert endosomal des virions dans les cellules humaines. La HCQ est également un ionophore de zinc qui transporte le zinc à l’intérieur des cellules pour bloquer l’ARN polymérase dépendante de l’ARN du SRAS-CoV-2, qui est l’enzyme centrale de la réplication du virus.Les études rétrospectives et les essais randomisés actuellement achevés ont généralement permis de découvrir que
:1 – Lorsqu’ils sont administrés tardivement à l’hôpital et pendant de courtes périodes, les antipaludiques semblent inefficaces
2 – Lorsqu’ils sont administrés tôt à l’hôpital, pendant des périodes progressivement plus longues et en ambulatoire, les antipaludiques peuvent réduire la progression de la maladie, prévenir l’hospitalisation et sont associés à une réduction de la mortalité.
SITE de JEAN DE FLOR avec les LIENS
https://gab.com/jeandeflor
GAB TV
https://www.youtube.com/channel/UCikmzIO-nA0jeQ_1ELGregg
Liste des Vidéorandias de 2013 à 2020
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=161981
Fil complet:
- VidéOrandia #5 Jean de Flor: "Je vous l'avais dit !" - Spyrale, 30/01/2021, 03:13
- COMPLÉMENT SURPRENANT #5-PARTIE 1/2- - gilles surprenant, 30/01/2021, 04:45
- COMPLÉMENT SURPRENANT #5-PARTIE 2/2- - gilles surprenant, 03/02/2021, 21:28
- COMPLÉMENT SURPRENANT #5-PARTIE 1/2- - gilles surprenant, 30/01/2021, 04:45