COMPLÉMENT SURPRENANT #25 -PARTIE 2 - 437 VUES-
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Pourquoi les Canadiens permettent-ils aux banques privées de profiter de la dette publique alors que juridiquement, la Banque du Canada se doit de garantir des prêts sans intérêt.Entre 1939 et 1974, le gouvernement empruntait en effet à sa banque centrale. Ce qui, en fait, rendait sa dette dépourvue d'intérêt, dès lors que le gouvernement possédait la banque et en percevait les intérêts. La dette fédéral restait à un niveau peu élevé, n'évoluait quasiment pas et était parfaitement supportable durant ces années.Pour un État, le droit d’emprunter sans intérêt c’est le droit de battre monnaie. Quand ce sont les banques privées qui fabriquent l’argent, au lieu que ce soit l’État, cela revient à une privatisation de l’argent. Et les propriétaires des banques font du fric sur le dos des citoyens grâce aux intérêts. (voir graphique plus bas).
En décembre 2011, cette accusation a été répercutée dans un recours porté auprès de la Cour Fédérale Canadienne par deux citoyens et un think tank en économie canadiens. Le juge constitutionnel Rocco Galati a mené une action pour le compte de William Krehm, Ann Emmett, et COMER (le Comité pour une Réforme Monétaire et Economique) afin de revenir au rôle original de la Banque du Canada, y compris concéder des prêts sans intérêts aux structures municipales, régionales et fédérales pour des dépenses liées au "capital humain" (èducation, santé, et autres services sociaux) et aux infrastructures.
La plainte stipule que, depuis 1974, la Banque du Canada et les politiques financières et monétaires du Canada ont été dictées par des banques privées étrangères et des intérêts financiers menés par la BRI, le Forum pour la Stabilité Financière (FSF) et le Fond Monétaire International (FMI), outrepassant la souverainité du Canada représentée par son parlement.Ce 26 janvier 2015, à Toronto (Ontario,Canada), dans le silence médiatique le plus complet, des citoyens canadiens regroupés au sein du Comité sur la réforme économique et monétaire (COMER) ont gagné le procès qui les oppose à la banque centrale du Canada, qu’ils accusent d’être contrôlée inconstitutionnellement par des banques privées depuis 1974.
Pourquoi les Canadiens permettent-ils aux banques privées de profiter de la dette publique alors que juridiquement, la Banque du Canada se doit de garantir des prêts sans intérêt.Trois juges de la cour fédérale du Canada leur ont donné raison le 26 janvier 2015, réaffirmant que la banque devait pouvoir émettre sans intérêt de l’argent pour les besoins du gouvernement. Ce procès, parce que révolutionnaire, n’a évidemment été couvert par aucun média de masse ni au Canada, ni à l’international.
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Voici le document du jugement en question :
http://www.lexisnexis.ca/documents/2014csc021.pdf
-SOURCE
L’endettement des étudiants américains a atteint un niveau sans précédent à la fin de 2019, selon les données les plus récentes de la Réserve fédérale de New York. Le chiffre dépasse l’entendement : 1500 milliards US (plus de 2000 milliards CAN). C’est plus que le total dû par les Américains sur leurs cartes de crédit et plus que l’ensemble des dettes contractées pour l’achat d’une voiture.
Les dettes d’études sont les deuxièmes en importance, après les hypothèques, dans l’endettement total des ménages américains.Les études coûtent cher au sud de la frontière et, à moins d’avoir une famille fortunée, les dettes d’études font partie de la réalité des étudiants américains. Mais la crise financière de 2008 a transformé cette réalité en cauchemar pour un nombre croissant d’entre eux.En 2008, avant que la crise ne frappe, les dettes d’études totalisaient 580 milliards US. Elles ont plus que doublé depuis, pour atteindre 1500 milliards US au dernier trimestre de 2019. La crise a eu un effet domino : les familles ont eu moins d’argent pour payer l’éducation de leurs enfants, les États ont réduit leurs subventions aux établissements scolaires et les droits de scolarité ont augmenté.
Le résultat, c’est que presque 50 millions d’Américains ont aujourd’hui des dettes d’études à rembourser, et qu’un nombre croissant d’entre eux peinent à le faire. Malgré 10 années de solide croissance économique et un taux de chômage historiquement bas, les prêts étudiants en souffrance (retards de 90 jours et plus) continuent d’augmenter et dépassent le seuil des 10 %. Selon la Réserve fédérale de New York, les chiffres officiels sous-estiment grandement la réalité, et le pourcentage de prêts en défaut serait vraisemblablement deux fois plus élevé que ces 10 %.
Pour contrebalancer les effets d'une sortie du marché unique européen, les partisans du Brexit comptent sur le potentiel économique du Commonwealth."A Global Britain" [Une Grande-Bretagne mondiale]… Le mot est sur toutes les lèvres, Boris Johnson. Soucieux de contrebalancer la perte de l'accès au marché unique européen dans le cadre de la sortie de l'Union européenne (UE), les dirigeants britanniques vantent les mérites de nouveaux marchés qui ne demanderaient qu'à être envahis : ceux du Commonwealth, l'organisation intergouvernementale rassemblant 52 États pour la plupart anciens territoires de l'Empire britannique. il est clair que le gouvernement britannique lorgne du côté des territoires de l'ancien empire britannique : "Boris Johnson, le 2 décembre, a même affirmé dans un discours que ces pays faisaient déjà la queue pour signer des accords bilatéraux."Le gouvernement britannique aimerait conclure des accords bilatéraux avec la plupart de ces pays. Cette ambition a du sens économiquement, car la plupart des membres du Commonwealth sont des pays développés, comme l'Australie, la Nouvelle-Zélande, ou des économies émergentes, comme l'Inde ou l'Afrique du Sud. Ces nations, dont le taux de croissance moyen avoisine les 5 % ou 6 % ces dernières années, constitueraient un débouché prometteur pour la Grande-Bretagne ainsi qu'une réservoir de clients inespéré de 2 milliards d'habitants contre 500 millions pour l'UE.
" Par suite de l'iniquité croissante
l'amour se refroidira chez le grand nombre. "
-(Mt. 24, 12)-
Le mot Hébreu traduit ici par iniquité est רֶשַׁע Resha qui signifie mal, méchanceté et culpabilité -Voici le mot Grec derrière la traduction "Iniquité" : ανομιαν=anomia a signifie "sans" ou "absence" et nomia vient de "nomos" qui signifie "Loi" en référence à La Loi de Elohim. -C'est l'activité secrète des puissances des ténèbres dans le monde entier. Cette activité s'intensifiera, jusqu'à atteindre son maximum. Tout ce que la Bible considère comme sacré sera ridiculisé et rejeté. L'esprit de rébellion prévaudra et l'iniquité grandira, au point que l'amour du plus grand nombre diminuera (Matthieu 24 : 10-12).On peut déduire que c’est l’opposé de l’intégrité et de l’abnégation. Voici une recommandation commentée : Tu n’auras pas dans ton sac deux poids différents, un gros et un petit. (En d’autres mots : Pas de favoritisme, d’oppression, d’exploitation, de pot de vin, de paroles mensongères, de ruse, de manipulation stratégique etc)
Tu auras un poids exact et juste. (Une évaluation honnête, sans tirer un profit quelconque d’une faiblesse humaine ou d’une interprétation des valeurs spirituelles)Car quiconque fait ces choses, quiconque commet une injustice ou une iniquité est en abomination à l’Eternel. Deut 25 : 13-16 (Celui qui trompe son prochain, exploite les bénévoles, opprime son prochain par abus de pouvoir se rend abominable devant Dieu.Iniquité veut dire l’attitude de faire ce que l’on veut, sans aucun égard pour ce que Dieu veut. C’est l’exaltation de notre volonté au-dessus de la volonté de Dieu.
La classe politique québécoise a dénoncé "le Québec bashing" du magazine canadien Maclean's et sa page couverture peu flatteuse pour le Bonhomme Carnaval.Dans son édition du 4 octobre, le magazine présente le Québec comme la province la "plus corrompue" du Canada.A la une figure Bonhomme en gros plan tenant un porte-documents bourré de billets de banque qui s'échappent dans toutes les directions."Pourquoi y a-t-il un si grand nombre de scandales politiques au Québec?", s'interroge le périodique, ajoutant que les allégations de trafic d'influence qui secouent le bureau du premier ministre ne sont que le dernier épisode du phénomène.Les textes du Maclean's, signés par Martin Patriquin et Andrew Coyne, relatent des événements qui remontent jusqu'à la Confédération pour illustrer combien "la racine de la corruption" est profonde au Québec.Les auteurs soulèvent diverses hypothèses pour expliquer cette tare québécoise. Ils citent entre autres la place prépondérante qu'occupe l'État dans l'économie et l'omniprésent débat national qui détourne l'attention de la saine gouvernance."Si on écrivait que les juifs sont corrompus, on dirait que c'est du racisme. Si on écrivait que les femmes sont corrompues, il y aurait un lobby pour s'élever contre ça. Mais la facilité avec laquelle le Canada anglais s'attaque au Québec est déconcertante","Nous sommes choqués. On associe l'ambassadeur touristique du Québec à la corruption. C'est totalement inapproprié et cela nous crée un tort important au niveau de l'image".
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- VidéOrandia #25 On s'est Faits Passer un Sapin, avec Jean de - Spyrale, 20/06/2020, 19:45
- COMPLÉMENT SURPRENANT #25 -PARTIE 1 - 1,513 VUES- - gilles surprenant, 20/06/2020, 20:14
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- COMPLÉMENT SURPRENANT #25 -PARTIE 1 - 1,513 VUES- - gilles surprenant, 20/06/2020, 20:14