Journal of the Whills Préface (8)

par Contact , lundi 20 janvier 2020, 18:26 (il y a 1550 jours) @ F Fernand

Salut Fernand,

Ton analyse est étonnante car il faut bien prendre le temps de te lire.

Le ou les Whills sont, soit une énergie, soit des êtres, soit un produit des deux, ou encore autres choses d'encore plus merveilleux qui reste à définir.

À ce propos je crois que Lucas lui-même n'a pas réellement bien défini ce qu'il en est et il est passé tout de suite à une thématique qui englobe sa pensée i.e. la Force et les midicloriens.

Cependant, Lucas s'est créé un problème de taille dès le départ car il s'est limité en "créant" la dualité, le Bien et le Mal comme composante de la Force.

Eh oui le bien et le mal.

Auparavant il semblerait que Lucas n'est pas arrivé à vraiment bien définir ce que sont les Whills et ce dont ils sont les "ambassadeurs".

Pour essayer de se rapprocher de ce qu'il a laissé entendre, il faut tisser un lien avec ce qui relie (ce dont on vient de parler plus haut), avec les midicloriens, là, on se rapproche un peu de sa "volonté".

Whill= Volonté
Force = Énergie

Puis, "Hop", on entre dans la matière à partir d'ici.

Midicloriens = ici on "entre" dans l'incarnation. Passage du nouménal au phénoménal transportant ainsi, ou activant, ou se connectant ainsi à la conscience.

Eh oui, la conscience...

Mais tu sais Fernand, une seule personne pourrait nous en parler mieux que quiconque et c'est Richard.

D'ailleurs il serait temps que Richard "ouvre les vannes." Hum...2023 approche.

Fernand ton texte, tout comme ce que l'on essaie de "choser" ( Alain Nyala ) est ambigüe.

Lorsque je dis ambigüe, cela signifie que c'est une reconnaissance de la qualité de ta pensée.

Voici un exemple de ce qui est Ambigu, uë = qui présente plusieurs sens ou plusieurs interprétations possibles. « Je l'ai entendu dire à Sophie » est une phrase ambiguë. Ambivalent, e = qui paraît être contradictoire, avoir un sens double. Un discours ambivalent, à la fois laxiste et moralisateur.

Maintenant si "ambigüe" pour nous deux, toi et moi Fernand, voulait également dire qu'il s'agit d'une manière de laisser la porte ouverte à la fréquentation d'une conscience, toujours présente, mais rarement invitée car nous ne lui soulevons rarement le voile, nous ne lui ouvrons pas assez grande la porte de nos perceptions.

Et le problème c'est que nous n'avons pas les mots justes pour l'inviter. Ces mots n'existent pas, ou, viennent à notre conscience que lorsqu'on est près, présent, et qui sait, peut-être qu'à ce moment, nous pensons, pour la première fois de notre vie.

Sur ce, passe une belle soirée Fernand.