COMPLÉMENT SURPRENANT #6 -PARTIE 2- COMPLET-
Nicolas Camille Flammarion, né le 26 février 1842 à Montigny-le-Roi (Haute-Marne) et mort le 3 juin 1925 à Juvisy-sur-Orge (Essonne), est un astronome français.Il fut un membre très actif de maintes sociétés savantes et d’associations pour la vulgarisation des sciences positives. Ses découvertes scientifiques l’ont placé et le maintiennent encore au XXIe siècle au premier rang des vulgarisateurs français, en mettant à la portée du grand public les problèmes de l'astronomie, de l’atmosphère terrestre et du climat. Il a, par les côtés mystiques et spirites de certaines de ses œuvres, ajouté à la notoriété de son nom.Après la Première Guerre mondiale, il se consacre davantage aux questions spirites qu'aux sciences.
En 1861, Flammarion découvre Le Livre des Esprits d’Allan Kardec, codificateur du spiritisme. Il entre en contact avec Kardec et assiste à de nombreuses séances spirites, où il fait la connaissance de Victor Hugo. À partir de 1862, il écrit de nombreux ouvrages sur les communications avec les morts, les maisons hantées. Certains de ses livres, tels que Les Habitants de l’autre monde, sont une profession de foi spirite.
Il fréquente les milieux spirites Européens, dont la « British National Association of Spiritualists » et « l’American Brench for Psychical Research » aux Etats-Unis d’Amérique.
En 1869, il rédige et prononce l'éloge funèbre d'Allan Kardec et déclare :
« Car, Messieurs, le spiritisme n'est pas une religion, mais c'est une science dont nous connaissons à peine l'a b c. ... En quoi consiste le mystère de la vie ? Par quel lien l'âme est-elle attachée à l'organisme ? par quel dénouement s'en échappe-t-elle ? Sous quelle forme et en quelles conditions existe-t-elle après la mort ? Quels souvenirs, quelles affections garde-t-elle ? Ce sont là, Messieurs, autant de problèmes qui sont loin d'être résolus et dont l'ensemble constituera la science psychologique de l'avenir. »
Flammarion s'est lié à plusieurs occultistes de son époque, comme Papus, et il a été membre d'honneur de l'Ordre martiniste à ses débuts.Dès 1898 il organise un certain nombre de séances à l’Observatoire de Juvisy avec la médium italienne Eusapia Palladino.
En 1923 il est élu président de la « Society for Psychical Research de Londres. »
Il publie donc son premier livre de vulgarisation, intitulé « La pluralité des mondes habités », qui est un ouvrage sur la présence de la vie sur les planètes du système solaire. De sa propre bouche : « Si l’on observe ainsi les planètes, c’est pour certes chercher à mieux les connaître, mais sommes-nous donc si sûrs d’être seuls dans le vaste Univers ? ».Si cet ouvrage est un succès auprès du grand public, c’en est un moindre au sein de sa confrérie : Il se fait congédier par Urbain Le Verrier en 1862.
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LA PREMIÈRE PHOTO « OVNI » DANS L’HISTOIRE c'est en 1883, la photo de Zacatécas, et à l’époque la référence mondiale en matière d’astronomie est française. C’est donc à Camille Flammarion qu’il envoie cette photo pour qu’il l’expertise.La photo originale, reçue par Camille Flammarion, semble avoir été perdue, car on ne la retrouve pas dans ses archives. Il ne nous reste donc que la version imprimée dans la revue L'Astronomie.
La photo aurait été prise lors d'une séance de photographie des taches solaires par José A. y Bonilla et son assistant, à l'observatoire de Zacatécas. La photo a été prise après plusieurs observations visuelles, parmi des centaines d'autres. Les objets n'ont pu ètre identifiés par les observateurs et la photo a été examinée par la rédaction de l'astronomie qui n'ont pas soupçonné autre chose qu'une réelle photo du disque solaire, montrant un objet non immédiatement identifiable.« Passage devant le disque solaire d’un essaim de corpuscules-C'est donc bien la photo d'un objet volant non identifié par le témoin, prise en 1883, ou tout au moins, avant septembre 1885, date de sa publication.D’après le savant, à la date susdite, entre 8 et 10 heures du matin, tandis qu’il scrutait le firmament « des petits objets lumineux ont traversé le champ du télescope à plus de 300 mille kilomètres, longueur équivalente à la distance entre la terre et la lune ».
Après quelques essais, il a réussi à photographier un des ces étranges trucs (à l’époque on ne parlait pas d’OVNIS) et il a envoyé cette photo à « L’Astronomie », dans laquelle apparaît à la page 347 du volume correspondant à l’année 1885.L’image déclencha fortes controverses en Europe, où se sont hasardées maintes hypothèses qui n’ont abouti en aucun cas à élucider l’affaire, ce que n’empêche pas au phototype de José Árbol y Bonilla de rester à jamais la première photographie de un OVNI dans l’histoire universelle.
La Gravure sur bois de Flammarion est une gravure sur bois anonyme, ainsi nommée car on retrouve pour la première fois sa trace dans le livre de Camille Flammarion publié en 1888, L'atmosphère: météorologie populaire, au chapitre La forme du ciel- La gravure, dite de Flammarion, ou « au pèlerin », est souvent décrite comme une gravure médiévale,-Camille Flammarion a représenté la quête de la connaissance par une gravure sur bois fort élaborée qui fut souvent attribuée à la Renaissance. Agenouillé dans un paysage terrestre stylisé, un chercheur passe seulement la tête à travers ce qui sépare le ciel et la terre, et de là, il contemple l'inconnu. Cette création de Flammarion invite à deux interprétations opposées et inconciliables de la connaissance.
1 / La connaissance ne serait limitée que par une barrière imaginaire que l'activité scientifique finira toujours par franchir.
2 / La connaissance est limitée par une barrière véritable que l'on ne peut franchir que par l'imagination.
Dans ce second cas, nous serions enfermés dans la bulle finie de ce que nous savons déjà, et nous ne pourrions comprendre que le seul monde de notre expérience passée. Tout ce qui se trouve à l'extérieur de la barrière resterait à jamais inaccessible tant à notre compréhension qu'à une quelconque explication.
L'étrange roue à deux jantes perpendiculaires, c'est tout simplement la roue d'Ezéchiel, telle qu'on la représentait au XVIème siècle.
Au premier plan de ce qu'il découvre figure un rideau de flammes, qui nous désigne le « ciel empyrée » que la cosmologie médiévale plaçait au-delà de la sphère des étoiles fixes. Plus haut, l'étrange roue à deux jantes perpendiculaires est identique aux représentations de la « roue d'Ézéchiel », ce qui confirme qu'il s'agit bien du ciel empyrée chrétien, séjour du créateur.
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Charles Hoy Fort (C.H.F.) ou plus simplement Charles Fort, né à Albany, aux États-Unis le 9 août 1874 et mort à New York le 3 mai 1932, est un écrivain américain au style qui serait aujourd'hui qualifié de réalisme fantastique, dont il fut le précurseur, sinon le modèle. Son œuvre est à l'origine du mouvement fortéen (le néologisme fortéen a été forgé sur base du nom de Charles H. Fort en 1931, avec la fondation de la Fortean Society) qui, s'il est méconnu dans le monde francophone, est relativement important dans le monde anglo-saxon.Son œuvre s'est attachée à recenser et documenter des phénomènes non expliqués ou extraordinaires (pluies de grenouilles, apparitions de crocodiles sur les côtes anglaises, chute lente de météorites ultra-légères, vestiges archéologiques lilliputiens, observations d'engins volants non-identifiés, etc.) et à proposer des hypothèses souvent farfelues ou pour le moins originales en explication.
Travailleur infatigable, véritable rat de bibliothèque, il recense dans tous les journaux, périodiques et publications scientifiques ce qu'il appelle les données « damnées », c'est-à-dire les faits étranges écartés par la science officielle. Il se constitue ainsi une véritable encyclopédie de phénomènes extraordinaires qu'il entreprend de classer selon sa propre terminologie. Ami du grand écrivain américain Theodore Dreiser, c'est ce dernier qui lui permet de publier son premier livre, Le Livre des Damnés en 1919. Le livre provoque une controverse dès sa sortie.
LIEN
Environ dix ans après la création de la maison d’édition Joey Cornu dédiée à promouvoir le talent de jeunes auteurs, l’entrepreneure de Lorraine, Claudie Bugnon, avoue qu’il faut être « un peu naïf » pour se lancer en affaires.
«Si on connaissait toutes les difficultés avant de débuter notre projet, je ne pense pas qu’on le ferait », raconte à la blague la femme d’affaires.Après avoir vécu de sa plume de publiciste durant une quinzaine d’années, Claudie Bugnon a eu le déclic qui a fait prendre un tournant à sa carrière.«Entre la vente d’imprimantes et de programmes de retraite, je me suis rendu compte que c’est le livre que je préférais vendre », affirme-t-elle.
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Cailloux, poissons et grenouilles qui tombent du ciel. Pluies de sang. Marques de ventouse sur des montagnes de tous les continents. Processions de corps célestes et éclipses mystérieuses. Silex lilliputiens et mollusques sur des météorites... Les scientifiques ont recueilli des notes et noirci des pages, mais devant l'impossibilité d'expliquer, ils ont choisi de balayer les étrangetés de notre monde sous le tapis des dogmes.
Moutons noirs dans l'histoire de l'observation, faits que l'on aurait condamnés à être ensevelis... n'eût été de la curiosité d'un journaliste du 20e siècle aussi dérangeant que clairvoyant. Quarante mille fiches recueillies dans les catacombes de l'astronomie, de la météorologie, de la paléontologie, de la géologie, de l'archéologie ont abouti à une enquête insolite, un voyage derrière le miroir des apparences. Jamais plus vous ne regarderez le ciel et la Terre de la même manière. Ce classique américain qui aura soulevé une vive controverse en 1919 connaît ici sa première traduction intégrale. Un chapitre portant sur des faits récents et des réflexions actuelles y a été ajouté.
Chutes sélectives de grenouilles, de mollusques et d insectes. Témoignages de monstres fabuleux sur terre comme en mer. Disparitions d humains. Apparitions de bêtes meurtrières et insaisissables. Plafonds qui suintent l essence et statues qui suintent le sang. Téléportations de cailloux. Lumières étranges qui sèment terreur et ferveur. Tremblements de terre et déluges qui coïncident avec des phénomènes célestes. Étoiles désobéissantes dans les télescopes. Pendant 26 ans, l aventurier érudit du Bronx a pris un plaisir malicieux à déterrer les anomalies des plates-bandes scientifiques. Car disons-le : les domaines comme la météorologie, l astronomie et la biologie ont connu leur lot de faits impossibles à réconcilier avec un système de connaissances. À force d assimiler des idées préconçues et des réponses toutes faites, avons-nous perdu notre capacité d explorer? Ce grand classique américain est en quelque sorte un électrochoc. Du premier ouvrage (Le livre des damnés), Pierre Blais, du Réseau Lézarts de Canal Vox, a dit qu il s agissait d un livre culte. Le culte est loin d être éteint, car Robert Zemeckis, réalisateur de Back to the Future et de Forrest Gump, portera au grand écran en 2013 un film d animation sur Charles Fort, inspiré de la bande dessinée Prophet of the Unexplained.
Quand des chutes de météorites coïncident avec des secousses sismiques, comment ne pas imaginer une interaction entre la Terre et un monde nomade? Lorsque les journaux sont emplis de témoignages de visiteurs célestes, peut-on croire au vide spatial? D'ailleurs l'Univers est peut-être plus petit qu'on le pense. Et les lois de la gravitation possiblement biaisées. Qui est certain de nos fondements astronomiques? Découvrez des histoires vraies à vous tenir éveillé et émerveillé : averses mystérieuses, mirages et bruits aériens, signaux lunaires, bizarreries martiennes, apparitions et disparitions... Le grand semeur de doute jongle avec toutes les possibilités. Traduction du classique américain « New Lands ».
Charles Fort, le pionnier incontesté des phénomènes inexpliqués, avait secoué les milieux intellectuels en 1919 avec Le livre des damnés. Mais il faut savoir qu il avait publié quatre enquêtes-chocs autour des anomalies que la Science avait préféré balayer sous le tapis de convenances. Son livre le plus provocateur restait à traduire en français, le défi vient d être relevé. Talents insolites équivaut à une visite au musée des combustions humaines spontanées, des disparitions mystérieuses, des crimes insolubles, des survenues de vampires et de loups-garous, des poltergeists, des stigmates et d autres incidents «pas si sensationnels étant donné leur relative abondance », se plaisait à dire l auteur. Les histoires humaines abracadabrantes se mesurent aux histoires scientifiques tout aussi extravagantes... Et qui sait si nous ne nageons pas dans le réel-irréel. Fort, l empêcheur de penser en rond, le boulimique de la connaissance, fut un sabreur de dogmes et un visionnaire. Pour plus de détails et pour apprécier un extrait du livre , visitez la rubrique Livres à découvrir.
à la 20e Minutes de ce Vidéo, Richard interview
L'Éditrice JOEY CORNU au Salon du Livre à Montréal.
LIEN-https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=mhkWVMzJcjs
SOURCE-
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Ernest Bozzano est un parapsychologue italien né le 9 janvier 1862 à Gênes et mort dans sa ville natale le 24 juin 1943.cet enfant précoce n’eut de cesse de s’instruire et d’étudier. Dès l’âge de trois ans il apprenait à lire en se servant d’un livre d’histoire. Il étudie jusqu'à l'âge de 15 ans puis continue à lire les philosophes. Cependant une question continue à hanter son esprit : le mystère de la vie, la personnalité humaine et le but de l’existence.Il a évolué de la métapsychique au spiritisme. Il est l’auteur d’une œuvre abondante visant à démontrer la réalité de la survie posthume à l’aide de témoignages.C'est la lecture de deux ouvrages en particulier (fantômes des vivants) de Gurney et « Animisme et Spiritisme » d’Alexandre Aksakof qui déclenche en lui ce que l’on peut qualifier d’aventure de la recherche psychique. C’est aussi sans compter sur les manifestations spirites qui lui parvinrent de façon inopinée sous la forme de deux messages. Le premier message lui fut transmis par sa mère et lui fut donné par le biais d’un médium à écriture automatique. Le second message, lié au premier, lui fut transmis par un médium rencontré lors d’une course en montagne établissant le long chemin qu’il devra parcourir pour arriver à l’édification de l’idéal spirituel auquel il s’adonnera toute sa vie.
Pendant 30 ans, Ernest Bozzano classa, sous forme de fiches, tout ce qu’il lut et étudia en termes de phénomènes spirites et animiques. Il put ainsi recenser l’ensemble des manifestations rapportées dans le monde.Grâce à ce travail énorme, le monde scientifique, partisan ou non, reconnut sa notoriété dans le domaine de la phénoménologie spirite.C’est au travers des 3000 volumes de sa bibliothèque qu’il put ainsi recenser l’ensemble des manifestations rapportées dans le monde. Cependant, BOZZANO attendit 9 ans pour écrire son premier ouvrage « Spiritualisme et Critique Scientifique ». Il est mort à l'âge de 81 ans en 1943 avec l’intime conviction que toute la phénoménologie paranormale n’était pas liée à l’aspect biologique de l’homme mais à sa partie psychique.
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1146977/etidorhpa-bibliotheques-publiques-montreal...
https://www.ledevoir.com/culture/545789/les-biblios-peuvent-elles-promouvoir-l-existenc...
Outre quelques interviews de promotion pour son livre: "OVNI" l'auteur est mystérieusement disparu pendant plusieurs années.
Yurko Bondarchuk ne s'intéresse plus (officiellement) aux OVNIS depuis qu'il a refait surface comme journaliste dans la région de Toronto.Pourtant, ce livre "OVNI", publié en 1979 est l'un des meilleurs au Canada. ( Surtout des cas canadiens très bien documentés)"Il m'apparaît que ces OVNIS fréquentent ce que j'appelle les corridors de haute technologie: bases militaires, postes de télécommunications, centrales électriques. La plupart des observations rapportées furent faites le long des failles géomagnétiques de l'écorce terrestre comme il en existe près de Rougemont, St-Hilaire et Beloeil."
VIDÉO-https://www.youtube.com/watch?v=YoIKAhswYN0&feature=player_embedded
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L'objet évoluait à une altitude entre 1000 et 2700 mètres et son diamètre devait avoisiner les 500 mètres. Il est resté au moins 3 heures au dessus de Montréal au Canada, le 7 novembre 1990.
Le 7 novembre 1990, une quarantaine de Montréalais, dont des policiers, aperçoivent au-dessus de la Place Bonaventure un objet lumineux situé à plus de 800 mètres d’altitude. Les lumières de couleur orange forment un ovale. Au centre, des faisceaux lumineux de couleur blanche montent vers le ciel. L’objet est aperçu vers 19 heures. Il est resté quasi stationnaire pendant près de trois heures. Certains témoins affirment que la chose s’était déplacée très lentement du sud au nord. La GRC atteste de la crédibilité des témoins et confirme ce qu’ils ont vu.
OVNI PLACE BONAVENTURE( partie 1/2 )
OVNI PLACE BONAVENTURE( partie 2/2 )
Image prise par le photographe du journal La Presse MARCEL LAROCHE le 5 novembre 1990 lors de l’apparition d’un objet volumineux et stationnaire au-dessus du centre-ville de Montréal.
En 1992, deux spécialistes des ovnis à la solide formation scientifique, Bernard Guénette (psychologie et physiologie), homme d'affaire et Richard Foster Haines (philosophie et aménagement urbain) travaillant pour la N.A.S.A ont publié un rapport qui démontre clairement que les lumières observées le 7 novembre au-dessus de Montréal provenaient d’un « objet ».
Ainsi, le rapport rejette l’hypothèse d’un phénomène optique comme celui du reflet des projecteurs sur les nuages. Pour appuyer leur thèse, les deux scientifiques se basent sur les photographies du journal La Presse analysées par ordinateur ainsi que des témoignages concordants.Selon le rapport, l'objet évoluait à une altitude entre 1000 et 2700 mètres et son diamètre devait avoisiner les 500 mètres.Les deux hommes conclurent à l'évidence qu'un grand objet insolite, silencieux et non identifié avait survolé Montréal ce soir de novenbre.
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HAINES BIOGRAPHIE
“…le négatif de la photographie a été digitalisé sur ordinateur au moyen du programme “PERCEPTICS NU VISION IMAGE SCANNER“. L’image digitalisée est reproduite ci-contre. Elle vise essentiellement à faire ressortir les différences de brillance entre les points de la photo. On a tiré un graphique de cette photo, pour mettre en évidence la densité lumineuse de l’ovale entourant le disque. “Ce tracé lit-on dans le rapport, représente le changement de densité optique produit par un objet aérien…Cet objet si brillant qu’il a saturé le film sur une grande moitié du diamètre…”
Également grâce à ces photographies, on en déduisit dans ce rapport que “…que cet objet évoluait à une altitude de 1060 mètres à 2700 mètres et que son diamètre était de 540 mètres (1771,7 PIEDS), soit l’équivalent de 5 terrains de football…”
Je rappelle pour ceux de ma génération que 5280 pieds égalent un mille…
Fait intéressant mais peut-être sans rapport avec l’observation, une panne électrique se produisit à la base militaire de LONGUE-POINTE, au moment où l’objet la survolait.Peu de Montréalais savent qu'une importante base militaire est située en plein coeur de la ville de Montréal.
C'est la base de Longue-Pointe dans l’est de Montréal. Toutes les forces terrestres basées au Québec sont gérées à partir de là.Environ 2000 employés y travaillent, des civils et des militaires.Les marchandises qui y sont entreposées valent plusieurs milliards de dollars. En fait, tout le matériel acheté par les forces transite par là.À ce chapitre, Montréal constitue la plaque tournante de l’armée.
Un air obsédant, chanson-velcro (Québec) ou ver d'oreille (traduction littérale de l'allemand Ohrwurm), en anglais earworm ou musical itch (démangeaison musicale) est un thème musical, une mélodie ou une suite de notes dont le souvenir est mentalement persistant, répétitif et difficile à réprimer. Ce phénomène est susceptible de toucher 97 à 99 % de la population, les femmes et les musiciens étant les plus concernés.
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Fleetwood Mac est un groupe de rock américano-britannique, originaire de Londres, au Royaume-Uni.
La légende veut qu'après avoir reçu un notice de la ville pour sa grange qui empiètait sur le terrain voisin, il l'ait lui même déplacé pendant la nuit... Certains l'ont également vue faire danser un deux piasse en papier et aussi des tournevis... Certains aussi ont raconter quil avais fais revivre un chat mort frapper par un auto et que le chat etait revenu en vie...Il aurait aussi fait sonné les Cloche de l'Église à Distance ect
Il est mort le 19 janvier 2000, à l'âge de 88ans.
Hommage à la légende de MArieville M.Emile Masse.
Claudius Malosinus est un questeur romain intègre, de la bande dessinée Astérix, de René Goscinny et Albert Uderzo.Son nom vient de "mal aux sinus".Il apparaît dans l'album Astérix chez les Helvètes.
Il est envoyé par Jules César pour vérifier les comptes du gouverneur de Condate (Rennes), Gracchus Garovirus. Celui-ci, qui détourne l'argent des impôts à son profit, cherche tout d'abord à corrompre Malosinus. N'y parvenant pas, il tente de l'empoisonner. Devant l'incompétence des médecins de la garnison, Claudius Malosinus fait appel au druide Panoramix pour lui sauver la vie. Ce dernier emmène le questeur “en otage” dans le village gaulois, pour le mettre à l'abri d'une nouvelle tentative d'assassinat de Garovirus, et envoie Astérix et Obélix chercher un edelweiss en Helvétie, ingrédient essentiel de la potion pour guérir le questeur.Une fois guéri, et avec un doigt de potion magique, Claudius Malosinus assomme Garovirus.Il est le seul romain à être invité au traditionnel banquet du village gaulois sans s'y faire frapper.
Fil complet:
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