COMPLÉMENT SURPRENANT #27 -COMPLET-
PROPRIÉTÉ DU NOMBRE 27:
SOURCE
-La guerre menée par l'Antéchrist débutera en l'an 1999 et durera 27 ans selon Nostradamus
-ce chiffre revêt une certaine importance car il est l’expression triple de la Trinité : c’est 3x3x3, soit 3 au cube.
-La 27e lune de Jupiter se nomme Sinopé.
-Les 27 Maîtres qui ont poursuivi les meurtriers d'Hiram
-Longueur du coudée 'mir' en pouce - soit en réalité vingt-sept pouces et demi. Selon Edgar Cayce, c'est cette unité de mesure qui aurait été utilisée pour la construction de la Grande Pyramide, celle dite de Chéops.
-Le dernier livre du Nouveau Testament, le 27ième, est l'Apocalypse de Jean et sa fête est célébrée le 27 décembre..
-L'astrologie occidentale ne fait pas grand usage du zodiaque lunaire et de ses 27 demeures, mais l'astrologie hindoue en revanche se fonde sur un système complexe d'observation des positions planétaires qui, loin de se borner à l'étude du zodiaque, inclut celle des 27 maisons lunaires qui se forment successivement pendant le parcours zodiacal complet de la lune.
ÉTYMOLOGIE FINANCE:Le mot ‘ finance ‘ vient de l’ancien français finer qui signifie payer, ‘ mettre à bonne fin ‘, qui est une forme altérée de finir = ‘ amener à fin ‘. Le mot fin en ancien français désigne l’argent. En latin médiéval, on retrouve le mot financia qui signifie ‘ redevance ‘.
Vous êtes les bienvenus au feu de camp à Mont-Saint-Hilaire à 19:30 ce samedi 7 juillet INFORMATIONS: https://esoterisme-exp.com/Section_…/Conference/ESO-801.php…
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"Imaginez une marmite remplie d’eau froide, dans laquelle nage tranquillement une grenouille. Le feu est allumé sous la marmite. L’eau se chauffe doucement. Elle est bientôt tiède. La grenouille trouve cela plutôt agréable et continue de nager. La température commence à grimper. L’eau est chaude. C’est un peu plus que n’apprécie la grenouille ; ça la fatigue un peu, mais elle ne s’affole pas pour autant. L’eau est maintenant vraiment chaude. La grenouille commence à trouver cela désagréable, mais elle est aussi affaiblie, alors elle supporte et ne fait rien. La température de l’eau va ainsi monter jusqu’au moment où la grenouille va tout simplement finir par cuire et mourir, sans jamais s’être extraite de la marmite.
Plongée dans une marmite à 50°, la grenouille donnerait immédiatement un coup de pattes salutaire et se retrouverait dehors.
Cette expérience (que je ne recommande pas) est riche d’enseignements. Elle montre que lorsqu’un changement négatif s’effectue de manière suffisamment lente, il échappe à la conscience et ne suscite la plupart du temps pas de réaction, pas d’opposition, pas de révolte."
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La Conférence de Charlottetown de septembre 1864 met en marche le projet de la Confédération.La réunion rassemble des délégués du Nouveau-Brunswick, de la Nouvelle-Écosse et de l’Île-du-Prince-Édouard afin de discuter de l’union de leurs trois provinces.La Conférence de Charlottetown de septembre 1864 met en marche le projet de la Confédération.La réunion rassemble des délégués du Nouveau-Brunswick, de la Nouvelle-Écosse et de l’Île-du-Prince-Édouard afin de discuter de l’union de leurs trois provinces.
Un groupe de personnes de la Province du Canada – qui n’étaient pas sur la liste initiale des invités – parvient néanmoins les convaincre de travailler à l’union de toutes les colonies de l’Amérique du Nord britannique.Une session générale est organisée dans l’après-midi du 2 septembre, un vendredi, pour souhaiter la bienvenue aux Canadiens.APRES QUELQUES DISCUSSIONS ET DISCOURS SUPPLÉMENTAIRES LE LENDEMAIN MATIN, LES CANADIENS OFFRENT UN DÉJEUNÉ AU CHAMPAGNE A BORD DU QUEEN VICTORIA.Quelqu’un cite alors les mots prononcés habituellement lors d’une cérémonie anglicane de mariage :Si quelqu'un a quelque raison que ce soit de s'opposer à ce mariage, qu'il parle maintenant, ou se taise à jamais.Les éclats de rire qui s’en suivent confirment, dans l’esprit de certains, que les bans de mariage d’un nouveau Canada ont été proclamés et que l’union peut s’effectuer.
À Charlottetown, capitale de l’Île du Prince Édouard, les discussions se tiennent dans la salle du Conseil législatif de l’édifice Province House entre le jeudi 1er septembre et le mercredi 7 septembre, avec une pause le dimanche. Le 8 septembre – jour férié – un grand bal est organisé pour les délégués à Province House. La salle du Conseil est transformée en salle de réception tandis que la bibliothèque sert de bar et la salle de l'Assemblée législative de piste de danse. Les festivités se prolongent tard dans la nuit et jusqu’au petit matin.Durant toute la semaine passée à Charlottetown, la réunion s’accompagne d’une bonne dose de festivités. L’historien J.M.S. Careless écrit dans sa biographie, Brown of the Globe : « Dans le grand salon du Queen Victoria, au milieu de verres de vin et de la fumée de cigare, vingt-trois hommes avaient décidé, avec enthousiasme, de fonder une nouvelle nation. D'autres pays auront connu un début plus frappant, mais bien peu en auront connu de plus agréable. »
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Il y a 3 Étapes:
-Il y a le DÉCLIN - Quand un Avion commence a Décliner,il Descend...
-Il y a la CHUTE -L'Avion Pique vers le Sol...
-il y Aura le CRASH - L'Avion percute le Sol...
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La crise économique de 1929 et la Grande dépression des années trente représentent certainement, encore de nos jours, la période la plus sombre qu’aient connu les économies capitalistes. Même après plus de 80 ans, cette crise reste toujours présente à l'esprit des investisseurs. En effet, comme le naufrage du Titanic, l'effondrement de la bourse la plus puissante du monde a marqué l'imaginaire des gens.
Entre 1921 et 1929 la FED augmenta de nouveau la masse monétaire de plus de 60%. Même conditions, mêmes conséquences. Cette fois-ci, cependant, un nouveau type de prêt fit son apparition : le « prêt sur marge ». Grâce à ce prêt, tout investisseur pouvait ne payer que 10% de l’action qu’il désirait acquérir, les 90% restants provenant directement du courtier. Le prêt sur marge devint très populaire dans les années 20 ; pourtant il existait une condition à laquelle peu firent attention : il était à tout moment possible pour le prêteur de réclamer un remboursement du prêt dans les 24h. Conséquence directe d’un tel « appel de marge » : la vente des actions acquises par l’investisseur.
L'appel massif du remboursement des "margin loans" par l'établissement bancaire de New York eut pour résultat de dévaster le marché par des crashs en octobre de 1929. Le "Jeudi Noir", le crash initial, est survenu le 24 octobre. Le crash qui causa la panique générale fut le "Mardi Noir", cinq jours plus tard, le 29 octobre.
Alors, au lieu d'étendre la masse monétaire, la Réserve Fédérale la contracta, créant ainsi la période connue sous le nom de Grande Dépression. La masse monétaire baissa de 8 milliards de dollars de 1929 à 1933, causant la banqueroute de 11 630 banques sur le total de 26 401 existantes aux États-Unis. Cela permis aux banquiers centraux de racheter des banques rivales et des corporations entières à des prix dérisoires.
Il est intéressant de noter que dans les biographies de J.P. Morgan, Joe F. Kennedy, J.D. Rockefeller et Bernard Baruch, il est indiqué qu'ils ont tous réussi à transférer leurs capitaux hors du marché et à les convertir en or juste avant le crash de 1929. Joe Kennedy passa d'une fortune de 4 millions de dollars en 1929 à 100 millions de dollars en 1935.
Paul Warburg, un fondateur et membre de la Réserve Fédérale, avait averti de la crise et de la dépression dans un rapport annuel aux détenteurs de stocks de son "International Acceptance Bank":
"Si l'on permet aux orgies de spéculations de s'étendre, la crise qui en viendra n'affectera clairement pas seulement les spéculateurs eux-mêmes, mais prendra le pays entier dans une dépression générale." Paul Warburg, mars 1929.
En 1929, les banquiers en contrôle de la Federal Reserve Bank organisent un coup d’état économique en créant de toutes pièces un effondrement de la bourse. Les principales entreprises impliquées se sont discrètement retirées du marché boursier au cours des mois précédents. Ils en profiteront ensuite pour reprendre les affaires les plus profitables, liquider les autres, et mettre la main sur d’immenses terres (plus des deux tiers des fermes indépendantes à l'Ouest du Mississippi), que les fermiers états-uniens sont forcés de laisser aller, faute de liquidités. C’est sur ces terrains que sera construite la grande utopie américaine de la planète Suburbia, au cours des 30 années suivantes.
« Le crash de 1929 n’a rien eu d’accidentel. C’est un événement soigneusement planifié. Les Banquiers internationaux ont cherché à engendrer ici une condition désespérée, de façon à devenir nos maîtres à tous ».Depuis sa création, la Réserve fédérale a présidé les Krachs de 1921 et 1929, la Grande dépression de 1929-1939, les récessions des années 53, 57, 69, 75 et 81 et le lundi noir de 1987, où 22% des valeurs totales de la Bourse chutèrent en une journée.
FÉDÉRAL RESERVE BANK
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Signé le 23 décembre 1913, il crée la « Réserve Fédérale », une institution privée qui devient la banque centrale des États-Unis, et à laquelle on donne le pouvoir de la création d’argent non-basé sur l’or, et ce même si la constitution américaine ne le permet pas.La Fed est une banque centrale indépendante : ses décisions ne sont pas sujettes à l'autorisation du Président des États-Unis ou d'une autre partie du gouvernement fédéral, elle ne reçoit pas de budget du Congrès, et les mandats des gouverneurs sont beaucoup plus longs que ceux des élus fédéraux.
Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation, et je n’aurai pas à m’occuper de ceux qui font les lois. »Cette phrase attribuée à Mayer Amschel Bauer montre toute l’ambition oligarchique de la Banque.Le 23 décembre 1913 - Création de la Réserve fédérale américaine.
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Dès 1791, les États-Unis expérimentent un système de banque centrale. En 1816, une seconde tentative pour mettre en place une banque centrale est amorcée mais le projet reste controversé. Durant la guerre de Sécession, le Congrès adopte une législation afin de créer une banque nationale et ainsi sécuriser le système financier américain. Ce système, bien qu’inadéquat, reste en place jusqu’à au début du XXe siècle. Le 23 décembre 1913, le président Woodrow Wilson signe le Federal Reserve Act. Cette loi prévoit qu’un comité de membres du government doit créer entre huit et douze districts pour établir des banques de réserve. Un conseil d’administration est aussi nommé pour administrer la Réserve fédérale.
LIEN
L’établissement de ce système de régulation fait suite à la panique bancaire de 1907 et à la Commission sur la politique monétaire dirigée par le sénateur Nelson Aldrich.
Woodrow Wilson, qui était président des États-Unis lors du passage de la loi de la Réserve fédérale en 1913, déclara:
(On rapporte que tout juste avant de mourir, Wilson aurait déclaré à certains de ses amis qu’il avait été trompé lors du passage de la loi de la Fed, et qu’il avait trahi son pays en approuvant le passage de cette loi en tant que président.)
En 1910, sept hommes se rencontrèrent sur l'île de Jekyll, au large des côtes de la Géorgie, aux États-Unis, pour mettre au point l'avènement de ce qui allait devenir la banque "nationale" américaine : la Federal Reserve. Nelson Aldrich et Frank Valderclip représentaient l'empire financier des Rockefeller. Henry Davidson, Charles Norton et Benjamin Strong représentaient J.P. Morgan. Paul Warberg représentait la dynastie européenne de la Banque Rothschild. Habituellement en concurrence acharnée, ils firent cette fois cause commune.
Ces trois puissantes familles étaient en réalité, sans le savoir, sous le contrôle de l'Ordre des Illuminés de Bavière, ceux que l'on a vulgarisés sous le nom d'illuminati. Et ce sont ces illuminati qui, après avoir fait acheter la White Star Lines par J.P. Morgan, ordonnèrent, en 1909, la construction du Titanic pour une raison que nous allons bientôt comprendre.
Depuis le tout début, le luxueux paquebot était voué à un destin funeste.
Il se trouvait qu'un certain nombre de personnages influents n'étaient pas favorables au projet de création de la Federal Reserve. Benjamin Guggenheim, Isaac Strauss et John Jacob Astor s'opposaient à sa formation. Non seulement ces hommes – indiscutablement les plus riches au monde – étaient contre l'institution de la Federal Reserve mais, en outre, ils auraient usé de leur richesse et de leur influence pour faire éviter la Première Guerre Mondiale.
On leur déroula le tapis rouge afin qu'ils embarquent pour le voyage inaugural du plus grand navire jamais construit. La campagne en faveur de « l'insubmersibilité » du Titanic promettait aux passagers un haut niveau de sécurité. Il fallait, en fait, que l'élimination du trio Guggenheim-Strauss-Astor ait lieu d'une manière si absurde que personne ne puisse penser à un meurtre.Ces riches parmi les riches qui s'opposaient à la mise en place de la Federal Reserve périrent au beau milieu des classes moyennes et défavorisées. Le navire insubmersible, le palace flottant avait été conçu pour devenir leur tombeau. Le naufrage du Titanic reste peut-être le plus grand désastre du 20ème siècle, après les deux guerres mondiales.
Le 14 avril (la même date que celle de l'assassinat d'Abraham Lincoln) de l'année 1912, le Titanic heurta un iceberg et toute opposition à la Federal Reserve fut gommée. En décembre 1913, l'institution bancaire vit le jour aux États-Unis. Huit mois plus tard, grâce à la Federal Reserve, les illuminati disposaient de suffisamment de fonds pour déclencher la Première Guerre mondiale.
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Le Jeu de l'argent - Partie 1 - les archives oubliées
Le Jeu de l'argent - Partie 2 - les archives oubliées
Le Jeu de l'argent - Partie 3 - les archives oubliées
Le Jeu de l'argent - Partie 4 - les archives oubliées
Le Jeu de l'argent - Partie 5 - les archives oubliées
SOURCE
-6 juillet 2018-L'ex-président américain Barack Obama a mis en garde vendredi à Madrid contre une « montée du nationalisme » comme réponse aux changements technologiques et politiques dans le monde.
« Nous voyons une montée du nationalisme » face à « l'extraordinaire changement » que vit le monde sur les plans technologique, économique et politique, a déclaré Barack Obama devant 2000 personnes lors d'un sommet dans la capitale espagnole sur l'économie circulaire et l'innovation technologique.
« Nous vivons une époque difficile politiquement, socialement (...), les gens sont très anxieux. Les changements interviennent très vite. Les gens se demandent s'ils peuvent s'adapter à ces changements. Les gens ont peur », a-t-il ajouté.
L'ex-président américain a souligné dans ce contexte son inquiétude face à la fragmentation de l'opinion publique due au traitement divergent de l'information selon les médias.
SOURCE
Dans le domaine socio-économique, la main invisible est une expression (forgée par Adam Smith) qui désigne la théorie selon laquelle l'ensemble des actions individuelles des acteurs économiques, guidées (par définition) uniquement par l'intérêt personnel de chacun, contribuent à la richesse et au bien commun.Adam Smith (5 juin 1723 - 17 juillet 1790) est un philosophe et économiste écossais des Lumières.
Il reste dans l’histoire comme le père des sciences économiques modernes, dont l'œuvre principale, publiée en 1776, La Richesse des nations, est un des textes fondateurs du libéralisme économique. Professeur de philosophie morale à l'université de Glasgow, il consacre dix années de sa vie à ce texte qui inspire les grands économistes et qui poseront les grands principes du libéralisme économique.La plupart des économistes considèrent Smith comme « le père de l’économie politique »
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Le livre "Manipulés, Se libérer de la main invisible d'Adam Smith" de Thierry Pauchant revisite les écrits du père fondateur de l'économie politique. -Entrevue par Gérald Fillion-
Le titre de travail du film était «Le triomphe de l’argent». Mais au fur et à mesure qu’il progressait, il dit s’être rendu compte, avec la prestation et la présence de Vincent Leclerc — qui joue Jean-Claude, un itinérant sympathique et au grand coeur — que ce titre ne donnait pas une image juste du film.Denise Robert explique pourquoi : « Le premier titre amenait à focuser que le film était simplement sur l'argent. L'argent c'est plus une excuse, mais ce n'est pas l'ensemble du film.
«C’était trop réducteur.»
«C’est plutôt le triomphe de la compassion, le triomphe de la charité, de l’amour, et de toutes sortes d’autres choses comme ça».Et il trouvait que la situation politique ne s’est pas améliorée depuis ce temps-là (celui du Déclin de l’empire américain, sorti il y a plus de 30 ans, en 1986).
La Chine détrône de nouveau le Japon comme premier détenteur étranger de la dette des Etats-Unis.À un niveau record, la dette américaine n’appartient pas toutefois au seul Empire du milieu. Une partie de celle-ci n’est tout simplement pas mise sur le marché des obligations, car il s’agit de fonds de la Sécurité sociale américaine. Des fonds qui représentent tout de même plus de 5 400 milliards de dollars.
Du reste, 6 171 milliards de dollars de la dette américaine est détenue par des créanciers étrangers. Après la Chine, c’est le Japon qui détient le montant le plus important d’emprunts des États-Unis, avec 1 091 milliards de dollars au mois de juin.
En troisième position, l’Irlande possède 302,5 milliards de dollars d’obligations américaines. La France, elle, arrive en 18e position, avec en sa possession 72,3 milliards de dollars d’emprunts américains.L’empire du Milieu possède un quart des bons du Trésor américain, place ses capitaux dans les multinationales et veut consolider ses investissements en Europe pour prendre le leadership économique mondial.
La Chine menace de réduire ses achats de bons de Trésor US
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La Chine va-t-elle détruire le marché des bons du Trésor américain et le dollar américain?
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La Russie et la Chine se débarrassent de bons du Trésor US
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La Chine envisagerait de réduire ses achats de bons du Trésor US
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La dette américaine, une arme trop risquée pour la Chine
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Etymologie Dépression: du latin depressio, abaissement, enfoncement, profondeur.
Etymologie Récession: du latin recessio, venant de re, en arrière, et cedere, aller.
Une récession correspond à une diminution d’activité économique : on considère communément qu’un pays entre en récession lorsqu’il connait deux trimestres successifs de baisse de Produit Intérieur Brut (PIB).En 1980, lors de la campagne présidentielle américaine, Ronald Reagan déclara que « une récession, c’est quand votre voisin perd son travail ; une dépression, c’est quand vous perdez le vôtre ». Ainsi, une dépression est une appellation courante utilisée pour qualifier une grave et longue crise économique, alors qu’une récession est plus passagère. Elle s’applique pour des périodes de long ralentissement de la production et de la consommation, mais il n’existe pas vraiment de critère explicite afin de délimiter une période de dépression. On considère parfois qu’une dépression correspond soit à un déclin de 10% du PIB ou bien une contraction du PIB pendant au moins trois ou quatre ans. Une dépression s’accompagne par conséquents de graves problèmes économiques, notamment des faillites multiples et l’apparition d’un chômage de masse. L’exemple le plus connu est celui de la Grande Dépression qui toucha l’économie mondiale dans les années 1930 et qui fut amorcée lors du krach de 1929. Le Japon connut également une dépression économique dans les années 1990 jusqu’au début des années 2000.
La crise de 2008 est aujourd’hui appelée « Great Recession » dans le monde anglophone, mais ce terme est davantage une référence à la « Great Depression » des années 1930 qu’à une récession.
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SOURCE
Cette critique discute la question 14 mars 2011 du Magazine Time qui représente une part de mousse (ou doigt de mousse) avec « Nous sommes #1 » écrit en travers l’index vers le bas pour indiquer le déclin de l’Amérique « Oui, L’Amérique est en déclin ».Une autre caractéristique frappante est le fait que l’image se regarde des deux côté droit vers le haut et tête en bas et toujours rester cohérent. Un côté avec la légende : « Oui, l’Amérique est en déclin » et l’autre avec la légende : « non, l’Amérique est toujours n ° 1. -Le doigt de mousse est considéré comme un symbole de l’unité américaine ,comme le drapeau américain ou comme la statue de la liberté.La légende dit « oui, l’Amérique est en déclin » comme l’index glorieux » nous sommes #1 » de points de victoire vers le bas à perte. sur la couverture du Time, ce même doigt, un doigt associé à succès et grand triomphe affiche par contre défaite (rendant encore plus tragique dans le œil du spectateur). Le doigt de mousse a trahi l’Amérique de sa bien-aimée. Ce qui affichait une fois le slogan « Nous sommes les #1 » de la suprématie est maintenant orientée vers le bas, ce qui indique que l’Amérique est en train de régresser. Il est ironique de constater que le mot « Temps » être placé de telle manière qu’il renforce l’idée de l’Amérique diminue avec le temps : à droite le « poignet » de la main de mousse juste avant le doigt pointant vers. C’est un double sens de toutes sortes, « TIME », comme dans le temps qui passe et « TIME » la chute de l’Amérique.
« Ce que nous voyons aujourd'hui est une économie américaine qui a explosé en raison de politiques et l’évolution des années 1950 et 60 » mais maintenant, « l’argent est compté. » Sur une période de « Temps » l’Amérique a cessé d’être numéro 1. Il est maintenant « 12e parmi les pays développés dans les études collégiales... 79e dans l’inscription de l’école primaire... 27 dans l’espérance de vie. » Son « infrastructure est classée 23e au monde...
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Pour comprendre ce qu’est le QE,pas besoin d’avoir un gros QI,Le QE, ou quantitative easing, est le fait, pour une banque centrale, d'acheter des actifs (en général des titres) avec de la monnaie qu'elle crée.Le Quantitative Easing est une politique monétaire non-conventionnelle ayant pour objectif de stimuler l'économie, en injectant des liquidités via un programme de rachat de dettes.Le terme en Français est: Assouplissement Quantitatif -
C'est donc un outil permettant d'injecter de l'argent dans les circuits de l'économie, avec l'espoir de la faire repartir.
On dit que la Banque centrale "fait tourner la planche à billet", ce qui est évidemment une métaphore : il n'y a ni planche, ni billets, juste un jeu d'écriture. La Banque centrale écrira dans ces registres la somme d'argent utilisée pour acheter les titres, et le tour sera joué.Pour une banque centrale, le QE consiste à créer de la monnaie non plus pour financer l'activité de prêt des banques, mais pour acheter directement des titres sur le marché. De quels titres parle-t-on ? En général, d'"obligations d'Etat" : des titres qui représentent une créance sur tel ou tel Etat et qui s'échangent sur le marché, de main en main, parfois depuis longtemps.
La première mention écrite du concept d'assouplissement quantitatif et de l'expression « Quantitative Easing » est attribuée à l'économiste allemand Richard Werner, professeur d’économie internationale à l'université de Southampton (Royaume-Uni). Travaillant en 1994 à Tokyo, il a inventé l'expression, lors de présentations à des investisseurs nippons. Il l'a également utilisée, dans le titre d'un article publié le 2 septembre 1995, dans le Nihon Keizai Shinbun (Nikkei).
Selon lui, il a utilisé cette expression afin de proposer une nouvelle forme de politique monétaire : une politique de stimulation par la banque centrale qui ne repose ni sur les réductions de taux, ni sur les politiques monétaristes conventionnelles telles que l'expansion de la masse monétaire (par exemple par la « planche à billets »), l'accroissement des réserves des banques ou la stimulation des agrégats M2-M3.
Au lieu de cela, Werner a fait valoir que, pour provoquer une reprise économique, il était nécessaire et suffisant de stimuler « la création de crédit », à travers un certain nombre de mesures telles que l’achat de bons du trésor et des prêts directs aux entreprises et au gouvernement par la banque centrale. Il a également suggéré l’achat direct par la banque centrale d'actifs non performants des banques commerciales et des prêts directs aux entreprises et au gouvernement.
SITE OFFICIEL du PETRO
Le Venezuela est devenu le premier pays à lancer sa crypto-monnaie nationale. Le Petro basé sur le pétrole vénézuélien est désormais monnayé avec une variété de devises fiduciaires, exceptée le dollar.-Le Venezuela a entamé en FÉVRIER 2018, la vente de 38,4 millions de petros sur les 100 millions d’unités qui seront émises en tout. Le gouvernement a mis en vente 44 millions supplémentaires dans un mois, et conservera les 17,6 millions restants. Le prix de vente de départ a été fixé à 60 dollars, l’équivalent d’un baril de pétrole. Présenté comme la première cryptomonnaie émise par un état, le petro est, selon les autorités vénézuéliennes, une réponse au blocus financier imposé par les États-Unis.
Le président Nicolas Maduro a fait une annonce télévisée:Ces devises citées constituent « l’avenir économique de la planète. »L’utilisation du Petro est encore assez limitée, pour ne citer que le paiement des taxes gouvernementales. Toutefois, il serait possible d’acheter une maison ou tout autre bien avec la crypto-monnaie nationale du Venezuela, à partir du 20 Avril 2018, selon le président Maduro. D’ailleurs, le gouvernement financera la construction de 230 000 maisons via les fonds collectés par l’Initial Coin Offering du Petro.Carlos Vargas, le surintendant de la crypto-monnaie et des activités connexes du Venezuela a annoncé que 83 000 individus dans 127 pays, ont acheté du Petro.
La prévente du Petro aurait également rapporté 5 milliards de dollars, selon Maduro.La crypto-monnaie étatique a été lancée pour contourner les sanctions américaines et payer les dettes du pays – étant donné que le Venezuela est confronté à l’augmentation significative du chômage, aux violations des droits de l’Homme, aux pénuries alimentaires et à l’hyperinflation.
Le président Maduro a qualifié les sanctions de « guerre économique » et affirme que le Petro aidera le Venezuela « sur les questions de souveraineté monétaire, à effectuer des transactions financières et à surmonter le blocus financier. »
En réponse à la réaction du Venezuela suite aux sanctions américaines, le président Donald Trump a strictement interdit aux citoyens américains d’acheter ou de vendre le Petro.
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Au début de 2009, sous la double pression des États-Unis et des 20 pays les plus puissants de la planète sur le plan économique (G20), la Suisse est contrainte d’alléger le dispositif mettant à l’abri de son secret bancaire les individus qui n’ont pas déclaré leurs avoirs au fisc. Ces pressions sont la conséquence des excès de la place bancaire, qui a industrialisé l’évasion fiscale envers des clients étrangers les années précédentes, et l’intolérance des États face à ce phénomène alors que la crise financière a brusquement creusé leurs budgets. Plusieurs capitales (Washington, Berlin et Paris en tête) sont d'autant plus motivées à mettre fin à ce régime qu’elles reçoivent des renseignements toujours plus fournis de la part de personnes ayant volé des données, généralement des anciens employés de banque: Heinrich Kieber, Rudolf Elmer, Bradley Birkenfeld et Hervé Falciani notamment.
Le 13 mars 2009 le conseiller fédéral Hans-Rudolf Merz annonce la fin du secret bancaire. Patrick Odier, banquier privé genevois issu de la Banque Lombard Odier est élu président de l’Association Privée des Banques Suisses en septembre 2009 et mène à bien cette transition.
Le 18 février, Berne ouvre une brèche. Elle doit remettre quelque 250 noms de clients d’UBS au Département de la Justice des États-Unis (DoJ) pour éviter une inculpation d’UBS pour complicité de fraude fiscale, qui entrainerait un arrêt de ses activités aux États-Unis. Le 13 mars 2009, la Confédération doit abandonner la distinction entre la fraude et l’évasion fiscale, qui mettait les fraudeurs à l’abri des poursuites de leurs autorités fiscales nationales. La Suisse est néanmoins inscrite pour six mois sur la liste grise des paradis fiscaux non-coopératifs dressée par l’OCDE avant qu’elle ait conclu douze conventions de double imposition avec d’autres pays prévoyant les modalités d’échange d'information à la demande.
Les banquiers suisses convainquent en décembre 2009 leur gouvernement de passer à la contre-offensive en offrant une contre-proposition baptisée « Rubik » visant à prélever un impôt sur les comptes de leurs clients, qui à en reverser le produit à leurs États de domicile. Cette formule ne convainc que deux pays, l’Autriche et le Royaume-Uni. Elle n'est officiellement plus proposée dès 2013.
En avril de cette année-là, la Suisse se joint aux efforts de l’OCDE visant à élaborer une norme prévoyant l’échange automatique de renseignements fiscaux, norme définitivement sous toit en juillet 2014.
En septembre, elle annonce vouloir l’appliquer dès 2018, une année après le premier groupe d'États (« early adopters »). En Suisse, où le secret bancaire reste en vigueur, plusieurs modifications législatives menacent de le vider de sa substance. Ces projets sont combattus par une initiative populaire lancée par des parlementaires de l’UDC, du PLR et du PDC.
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La Suisse par exemple a décidé de mettre fin au secret bancaire dès 2018. Il s’agira encore d’une démarche progressive, en quelque sorte une phase de test pour évaluer la porté de ce projet. Entre temps, le pays envisage également de lancer des négociations et de mettre en place des textes de loi visant à instaurer un changement au niveau des règles qui régissent les établissements bancaires.
Le gouvernement suisse a approuvé en septembre 2017 la proposition émise par Éveline Widmer-Schlumpf, la ministre des Finances, concernant la transparence au niveau des transactions financières. Et les autorités helvètes pensent mettre en application à partir de textes de loi les suggestions dans cette proposition.
Ainsi, 2018 symbolise le début de la levée du secret bancaire en Suisse, mais aussi dans tous les pays signataires de l’EAR. Certaines institutions bancaires ont d’ores et déjà lancé un programme visant à collecter les données de titulaires de comptes bancaires étrangers sur leur territoire, et ce, depuis l’année 2017. En outre, si le projet s’annonce intéressant, sa mise en application effective devra encore être soumise à un accord préalable du parlement et surtout de la population suisse.
«Et ainsi contemple toutes les oeuvres du Très-Haut, - deux à deux, l'une en face de l'autre».-dans l'ECCLESIASTE chapitre 33, verset 15-
On nous dit en Ésotérisme qu'une Oeuvre il faut la Comtempler au moin 3 Fois...Que ce sois un Livre, Un Film, une Peinture, une Sculpture ect.
La Premiere c'est le côté Physique et Extérieure...
La Deuxieme c'est plus l'Aspect intérieure et Psychologique...
La Troisieme tu entres, tu pénetres l'Oeuvre,tu en fait partie...
Selon Aristote, le but de l’art est de représenter non pas l’aspect extérieur des choses, mais leur signification intérieure. une Auteur disait aussi que la fonction de l’art est de «transformer, fût-ce à des doses homéopathiques, la perception des choses et du monde».«L’artiste nous prête ses yeux pour regarder le monde». Quant au médecin psychiatre Carl Jung, il affirmait : «L’artiste fait parler l’inconscient collectif. L’artiste est l’interprète des secrets de l’âme de son temps.»
Une Monnaie fondante ou Monnaie Franche ou Monnaie Estampillée est une monnaie qui se déprécie avec le temps selon un coût de demeurage fixe.La monnaie franche ou monnaie fondante désigne une monnaie qui à l’image des biens de consommation (nourriture, maison, vêtements…) perd de sa valeur au fil du temps.L'idée d'une telle monnaie a été mentionnée en 1916 par Silvio Gesell(1862/1930) dans son ouvrage L'Ordre économique naturel.Ignoré de la plupart des livres d’histoire de la pensée économique, Silvio Gesell n’en proposait pas moins de faire disparaître le capitalisme financier.Il était qualifié d’« étrange prophète » par John Maynard Keynes
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Un exemple connu de monnaie fondante est la wära, en circulation en 1931 à Schwanenkirchen, une petite ville minière de Bavière.
La Banque WIR fondée en 1934 a, elle aussi, utilisé ce système de monnaie fondante jusqu'en 1948. Plus récemment, en 2003 une autre monnaie fondante régionale a été créée en Bavière, le Chiemgauer.
Dans son essai L'argent mode d'emploi (2009), Paul Jorion souligne que Keynes « estimait que d'un point de vue strictement technique le principe [d'une telle monnaie] était « irréprochable » et que l'avenir aurait sans doute beaucoup de choses à apprendre des idées de Silvio Gesell ».Silvio Gesell est mort le 11 mars 1930, peu après le Jeudi noir de Wall Street (24 septembre 1929)-
LIEN
Peter Moore - Solution "Monnaie fondante"
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Si on observe les prix sur le panneau, les hamgurgers coûtaient 45 cents et les hot-dogs 25 cents. Les frites 25 cents et les beignes 15 cents. Toute une différence avec aujourd'hui.
Mais n'oublions pas non plus qu'à l'époque dans les petits casse-croûtes (Snack-Bar) du coin de la rue à Montréal, il en coûtait beaucoup moins cher qu'à l'Expo pour s'empiffrer de fast-food.Dans la Ville cétait moin Cher...nous pouvions déguster trois hot-dogs, une frite sauce et une boisson gazeuse pour moins de un dollard.Un hamburger coûtait 20 cents et un sac de chips (croustilles) 5 cents.En 1967, au Québec, le salaire minimum était de 1,05$ de l'heure. Pour une semaine de 40 heures il entrait dans un foyer 42$. Après le loyer, la nourriture, les vêtements, et les frais médicaux (car l'Assurance maladie n'était pas encore en vigueur).
Le crédit social est une idéologie économique et un mouvement social qui est apparu au début des années 1920. À l'origine, c'était une théorie économique développée par l'ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas. Chaque citoyen reçoit chaque année un total de monnaie créée proportionnel à la croissance des biens et services, et inversement proportionnel au nombre de citoyens de la zone monétaire. Le nom « crédit social » dérive de son désir de faire que le but du système monétaire (« crédit ») soit l'amélioration de la société (« social »).
Il a depuis été soutenu par nombre d'économistes dont le prix Nobel d'économie Maurice Allais qui dénonce une économie basée non pas sur la monnaie réelle, mais la monnaie-dette (création de la monnaie avec du crédit, amenée à disparaître au fur et à mesure du remboursement de celui-ci).
Le crédit social est aussi appelé dividende universel, dividende social ou, de façon sans doute plus adaptée, dividende monétaire.
L'argent vient des valeurs humaines d'une société qui exploite ses richesses naturelles territoriales.Il faut faire crédit au peuple et retourner les argents au peuple NON aux banques dont les intérêts sont privés. Ces institutions bancaires ruinent le peuple à cause de leur appât du gain égoïste.
Une vertu pourrait se définir comme une disposition acquise (et non pas innée) qui habilite l’homme à agir bien.Il s’agit d’une très ancienne notion philosophique qui date de l’Antiquité. Dès le IVe siècle avant J-C, Platon distingue déjà quatre vertus principales : la prudence, le courage, la tempérance et la justice. Ces concepts philosophiques sont ensuite reprises par les Pères de l’Église, puis par St Thomas d’Aquin et deviennent des vertus chrétiennes. Elles sont alors qualifiées de « cardinales » (du latin « cardo » qui signifie charnière ou pivot) car elles sont les vertus charnières, dont découlent toutes les autres. Elles sont alors également complétées par trois vertus dites « théologales » (foi, charité et espérance) pour former les sept vertus chrétiennes.
Le récit du veau d’or, dans le chapitre 32 du livre de l’Exode, peut se lire comme une réflexion sur la difficulté, voire l’impossibilité, d’accepter un dieu invisible, transcendant, ne supportant aucune représentation. Lorsque le peuple d’Israël était arrivé au désert du Sinaï, Dieu lui avait promis qu’il pourrait devenir un peuple de prêtres (Ex 19), c’est-à-dire, un peuple où il n’y a pas besoin de clergé, puisque chaque fils d’Israël est son propre prêtre. lorsque Moïse s’absente pour recevoir de la part de Dieu les tables de la loi, le peuple ne supporte plus d’avoir affaire à un dieu invisible et Aaron lui fabrique un veau – expression ironique pour un taureau – on constate que les deux récits sont construits de manière parallèle: le veau d’or est pour Israël ce que la «pomme» est pour l’humanité).
Après avoir détruit le taureau, qui est un symbole courant au Levant pour les dieux de l’orage, Moïse monte alors de nouveau vers Dieu pour obtenir le renouvellement de l’alliance. Lorsque Moïse redescend pour instruire le peuple, il n’est plus le même: «Quand il descendit de la montagne, il ne savait pas, lui, Moïse, que la peau de son visage était devenue rayonnante en parlant avec le Dieu.» la traduction latine n’avait pas compris «rayonnant» mais «cornu», et se trouve ainsi à l’origine d’un motif qui se retrouve à travers toute l’histoire de l’art, du Moyen Âge jusqu’à nos jours. Au temps de moïse sur sa montagne sacrée on était entre deux ère celle du taureau et celle du bélier ce qui d’ailleurs est reflété par la Torah comme étant le signe d’une ancienne adoration païenne précipitant le peuple vers sa destruction ce qui donne sa légitimité à Moïse car il apporte les tablettes de la nouvelle ère celle du bélier ce qui explique pourquoi dans certain cultes Juif on souffle dans une corne de bélier.
Le verbe «qaran» peut en effet signifier «rayon-ner» ou «être cornu».Les cornes symbolisent la force et sont souvent des attributs divins. Mais dans le contexte du récit du veau d’or, il y a peut-être un sens encore plus profond. Le peuple voulait un dieu visible; ce faisant il a provoqué la «transgression originelle d’Israël» et la destruction de cette image. Au moment de l’alliance renouvelée, Moïse apparaît avec des «cornes». A-t-il pris la place du taureau? D’une certaine façon, c’est le cas, puisqu’il est, lui, le médiateur visible entre Yahvé et Israël. Il n’est certes pas la représentation du Dieu d’Israël, mais il demeure définitivement son meilleur représentant. Ainsi, les cornes expriment le statut tout à fait particulier de Moïse. Ce faisant, l’auteur d’Ex 34,29 fait preuve d’une grande audace puisqu’il transpose des attributs du divin sur un homme. Il exprime par là une conviction profonde qui caractérise à la fois le judaïsme et le christianisme. Pour ces deux religions, Dieu se manifeste dans la rencontre avec d’autres hommes.
Dans la version japonaise, le robot s’appelle Grendizer, un nom jugé peu vendeur par les producteurs français qui importent la série en 1978.
C’est le directeur commercial de la maison de production, Jacques Canestrié, qui propose Goldorak :une association du Gold de Golfinger et du rak rappelant le magicien Mandrake.
Un Aurochs est une espèce éteinte de gros sauvage bovins qui habitait l’Europe, Asie et Afrique du Nord. Il est l’ancêtre des bovins domestiques et les bisons d’Europe, croisés avec le bison des steppes.Donc, le Veau d'Or ont le retrouve dans GOLD Auroch -Gold Orach -Goldorak-
Artro Di Modica,artiste italo-américain, mis en place ce taureau en bronze de 3 tonnes devant la bourse de New York en 1989.N ayant aucune autorisation, le gouvernement décida de l'enlever, mais les habitants de wall Street ont manifesté pour garder cette sculpture dans leur quartier. Vu l'ampleur que prit cette affaire, finalement le taureau fut simplement déplacer, il est resté à l'entrée de Wall Street. Cette sculpture est l'une des plus photographiées de New York....sur toutes ses facettes...En bourse, les investisseurs qui pensent que la bourse va monter sont appelés Bulls (taureaux) et ceux qui pensent que la bourse va baisser Bears (ours).Son créateur, le sculpteur Arturo Di Modica, dit qu'il symbolise "la force, le pouvoir et l'espoir du peuple Américain pour le futur". Vous verrez que sa tête est d'une couleur plus claire que le reste du corps : c'est parce que chaque matin, les personnes travaillant à la bourse de Wall Street ont l'habitude de toucher la tête et les cornes du taureau espérant que cela leur porte bonheur.
À la fin du Moyen Âge, le transport maritime est en plein essor. Il n'était pas rare que des marins partent en mer pendant des mois, avant de pouvoir remarcher sur la terre ferme et y croiser des vaches, d'où le « plancher des vaches », par opposition au plancher « mouvant » des bateaux.
Dominique Besnehard est un incontournable du cinéma français. Besnehard a visionné le premier montage de La chute de l'empire américain, nouveau film de Denys Arcand dans lequel Maripier Morin joue un rôle. Voici ce qu'il avait à dire d'une jeune comédienne dont il ne connaissait jusque-là pas l'existence: une certaine Maripier Morin.
Après avoir vu un premier montage du film et déjeuné avec l'actrice: «Elle crève l’écran, cette fille, c’est une bombe! dit-il. Est-ce vrai qu’elle provient d’une téléréalité? En tout cas, moi, elle m’a soufflé. À mes yeux, c’est une nouvelle Bardot!» avait confié le réalisateur à Marc-André Lussier de La Presse.
«Moi j'étais su'l'cul!» a dit Maripier Morin en prenant connaissance des propos de Besnehard.
Se faire comparer à Brigitte Bardot par l'un des magnats du cinéma français, ce n'est pas le genre de compliment que l'on reçoit chaque jour. Surtout pour une jeune femme qu'on connait d'abord pour ses talents d'animatrice et qui apprend en quelque sorte le métier de comédienne.
Il n'y a pas à dire, Maripier Morin est l'une des surdouées du show business québécois. Autant comme animatrice, comédienne ou femme d'affaires, elle réussit tout ce qu'elle entreprend.
Fil complet:
- VidéOrandia #27 de 2018 La Chute... des Finances - Spyrale, 07/07/2018, 00:42
- COMPLÉMENT SURPRENANT #27 -COMPLET- - gilles surprenant, 07/07/2018, 05:03